2 résultats trouvés pour PARDON

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Tag pardon sur EXCIDIUM DgxnSujet: ariane ✻ the crazies, they make me feel sane
Astoria Greengrass

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Rechercher dans: Récupération   Tag pardon sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: ariane ✻ the crazies, they make me feel sane    Tag pardon sur EXCIDIUM EmptyMar 24 Mai 2016 - 19:07
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JE VEUUUUUX LE RP WTF PTN. fire fire fire (désolée du temps que j'ai mis à répondre, je savais pas quoi dire. meuh meuh meuh ) mais omg ce rp wtf je veux, tori va être en mode ptsd en se faisant kidnapper et ari va rien caler omg je le veux TOUT DE SUITE SI TU PEUX (no shame) PARCE QUE J'AIME TROP L'IDÉE. iiih iiih #aritori (ptn on dirait un nom de plat jap?? pardon) #brotp #hoetp #otp #osef #lesbest #lesbe #lesbien #QUOI #PARDON mais omg oui cristina cordula, yakoi tu veux qujte tape? :russe: bon. :russe: :russe: :russe:
BREF. UN RP STP. gaah gaah gaah

also: #unborispourasto
Tag pardon sur EXCIDIUM DgxnSujet: callamander — THERE'S A WOLF AT THE DOOR.
Rolf Scamander

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Rechercher dans: Trésors rpgiques   Tag pardon sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: callamander — THERE'S A WOLF AT THE DOOR.    Tag pardon sur EXCIDIUM EmptyLun 2 Nov 2015 - 15:36
emily callaghan
give yourself over to the wolf. let it eat the parts of you that are sick, that are damaged beyond salvage. let the wolf in and let it clean house, and let it leave again. the wolf knows which parts must be swallowed. you do not need what it takes, and where it bites you the wounds will heal. let the wolf in and let it eat you, and let it leave again.  


« Je ne vous veux aucun mal. » Il a envie de lui dire que c'est typiquement le genre de trucs que tout le monde vous dit quand, effectivement, ils veulent vous faire du mal. En fait, c'est même tellement classique que Rolf a juste envie de s'étrangler d'un rire et de s'en aller avec un rictus sur la lippe et une risette dans les yeux; mais l'énergie lui manque et bientôt, son goût du drame le rattrape alors qu'il lui demande simplement d'en finir rapidement. Il ne sait pas trop pourquoi il lui dit ça, à vrai dire, car il a juste envie de s'en sortir et de survivre et de s'occuper lui-même d'écorcher la jeune femme; mais les mots tombent, ses yeux tressautent avant de se fermer et il soupire, déjà las, à l'idée de mourir aussi... bêtement. Mourir... une incroyable aventure, n'est-ce pas? Son estomac se tord à cette idée. Il n'est pas là pour mourir. Au contraire: il est là pour vivre, il est là pour rire, il est là pour fumer et marcher et découvrir le monde tel qu'il l'a toujours rêvé: cru, parfait, naturel, curieux, incroyable. Et pourtant...

« Je ne vous veux aucun mal ! Je ne sais même pas comment je pourrais vous tuer avec ça ! » Elle lui montre sa baguette, maintenant, et même s'il sent lentement la force quitter son corps et qu'il a juste envie de s'allonger pour oublier le monde, il ne peut pas s'empêcher de froncer les sourcils en souriant légèrement, l'air de dire qu'elle se fiche complètement de lui. Il y a plein de manières de tuer avec une baguette. La plus simple est de lancer un petit sortilège Impardonnable; la plus compliqué, c'est de taper sa victime avec pendant des heures. Elle a l'air très jeune, ceci dit. Peut-être que la jeunesse d'aujourd'hui (avec le temps, sa vieillesse apparente lui est montée à la tête) ne sait pas ce qu'est un Avada Kedavra? Ça l'étonnerait, mais il est prêt à tout entendre. « En vrai, vous allez sûrement rire mais … Je ne sais même pas comment je vous ai fait ça ! » Sa langue est pâteuse quand il ouvre la bouche pour parler: “ vous êtes... une sorcière, vous savez? ” grince-t-il, avec le même ton que prennent les représentants du ministère ou de Poudlard pour prévenir les né-moldus qu'ils appartiennent à un autre monde. Il grince des dents, ses mâchoires durement serrées, en la regardant d'un oeil un peu trouble, quelque part entre conscience et douleur terrible.

« Je veux vraiment vous aider. Il faut soigner cette plaie avant qu’elle ne s’infecte, et … vous perdez vraiment beaucoup de sang ! » Rolf tourne lentement la tête. Purée, c'est vrai. Purée, c'est vrai, oh par Merlin, il perd vraiment beaucoup de sang, il ignorait même qu'il avait autant de sang dans son corps et pendant un instant, rien que pendant un instant, une surprise horrifiée se lit sur son visage; il pâlit; il devient tout d'un coup semblable à un fantôme: tremblant et blanc comme un linge, il la regarde avec ses grands yeux devenus sombres par l'angoisse et a l'air d'avoir envie de la tuer ou au contraire, de la supplier à le sauver. Elle s'approche de lui comme d'un animal sauvage, lentement, gentiment, ses gestes lents et presque assurés, et Rolf aurait pu y croire s'il n'avait pas décelé l'appréhension dans son regard, l'hésitation dans ses mains qui se tendent vers la blessure. « Me laisseriez-vous ? » Il grogne comme toute réponse, fermant les yeux et tournant la tête pour lui donner meilleur accès — si elle essaie quelque chose, je jure que je vais- -

Le couteau tombe — le drame.

La sensation froide et piquant agite un spasme sous sa peau; ses membres tressautent; ses yeux s'ouvrent soudainement et la dardent, effrayés, pupille dillatée. Tu es en danger de mort, lui crie son esprit. Tu es en danger de mort. Qui qu'elle soit, tu es en danger de mort. Il ressent de la peur, de la confusion, et il ne sait plus où se trace la ligne entre ses émotions à elle et ses émotions à lui, il ne sait plus vraiment quand est-ce que son empathie se termine et quand est-ce que le couteau se retrouve dans sa main; tout ce qu'il sait, c'est que son sang bat trop vite à ses tempes et que son coeur s'échine dans sa poitrine comme un colibri en cage et que l'instant suivant le couteau tourne dans ses doigts et la lame se retrouve sur la peau pâle de la jeune femme, et il tremble toujours — atrocement — et il ne contrôle pas sa force — horriblement — alors le sang est prompt à couler, une petite ligne fine écarlate sur la lame, sur la peau et Merlin Merlin Merlin il ne sait plus ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas.

Qu-qui êtes vous? ” parvient-il à lâcher entre deux respirations lourdes et sifflantes, les yeux maintenant injectés de sang. À quand remonte la dernière fois qu'il a fait une vraie nuit de sommeil? À quand remonte la dernière fois qu'il s'est endormi sans se réveiller transi de cauchemars et d'angoisse? À quand remonte la dernière fois qu'il a croisé quelqu'un de non hostile envers lui? “ Vous- - écartez-vous. ÉCARTEZ-VOUS! ” Sa voix déraille. Il se sent faible, nu, cru, faible faible faible. Va-t-il mourir ici et maintenant? D'une manière si... eh bien, si peu héroïque? Si nulle, finalement? Rolf est un romantique désespéré: il veut une mort pleine de couleurs, une mort parfaite, une mort qui fait se lâcher des soupirs d'admiration et de respect et de compréhension. Il ne veut pas mourir bêtement d'un trou dans l'épaule infecté, ou d'une gorge maladroitement coupée. Il ne veut pas. Il ne peut pas.

Le couteau est trop lourd. Mais quand elle se recule, il le garde en main; s'aide du tronc pour se redresser, lentement, difficilement; il a toujours l'oeil trouble, le tremblement terrible, la bouche pâteuse; il n'est pas fiévreux, mais un peu peut-être; sa gorge lui fait mal; putain, il a pas non plus attrapé froid, avec tout le reste? Parfait. Il va mourir d'un trou dans l'épaule et d'une pneumonie. “ Lâ-lâche ta baguette, ” balbutie Rolf, pointant toujours le couteau vers elle; maigre consolation.

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