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Tag teamsudouest sur EXCIDIUM DgxnSujet: (anwar) all the things lost
Anwar Maseed

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Rechercher dans: validés   Tag teamsudouest sur EXCIDIUM Nonew12Sujet: (anwar) all the things lost    Tag teamsudouest sur EXCIDIUM EmptyMar 25 Oct 2016 - 0:00
anwar ishmael maseedHow do we forgive ourselves for all of the things we did not become?
❝ We're running in circles again ❞war heroes ; Inventé

☇ pseudo complet & surnom(s) ; désormais associé aux papiers polémiques et autres portraits au vitriol, les tripes des concernés se tordent toujours un peu quand à la suite d’un titre un tantinet provocateur se dévoile cette signature redoutée : Anwar Maseed. Il y a encore quelques années, ce nom n’évoquait rien, sinon l’ailleurs, une terre qu’il n’a jamais visitée autrement que dans les histoires de ses aïeuls — un patronyme anonyme, se baladant avec tant d’autres dans le monde sans traîner derrière lui quelque lourd héritage. Enfant ardemment désiré, sa mère a choisi de le nommer Anwar, que l’on peut traduire par « lumineux », « éblouissant », mais ce prénom s’est sensiblement raccourci à une certaine période de sa vie, quand il en hachait les syllabes, pour devenir « Ani », sans faire grande impression. Il trouve « Anwar » déjà assez court comme ça, « pas besoin d’en rajouter, » qu’il grimace, mi-amusé mi-agacé — même s’il est bien conscient que « asshole » ou « fucking shit-stirrer » doivent être particulièrement populaires, derrière son dos.
☇ naissance ; 21 août 1970 à Sainte-Mangouste (quoiqu’il a longtemps cru être né dans un hôpital moldu).
☇ ascendance; à une époque, l’ombre d’une hésitation suffisait à le troubler lui-même : il réfléchit, et répond sans grande conviction, sang-mêlé, parents sorciers. Mais il sait, lui, qu’il ne peut pas vraiment prétendre à ce statut, de la même manière qu’il ne se sentira jamais vraiment pakistanais, en gamin élevé dans la banlieue londonienne et buttant parfois sur son ourdou. Son père était un sang-pur, descendant d’une famille Pendjabi déchue, tandis que sa mère était née-mordue — et c’est au frère de cette dernière qu’il a été confié après la disparition de ses parents ; de fait, il a été éduqué en conséquence.
☇ métier ; journaliste et éditorialiste honni du Daily Prophet, brutalement remercié lorsqu’il a essayé, sans succès, de rendre publique l’affaire des lavages de cerveau orchestrés par les Mangemorts. Depuis le début, sa vocation était claire, précise, se lisait déjà dans ses écrits un brin polémiques et vibrait à travers ses remarques contestataires. Pourtant, son imagination fourmillante l’a d’abord poussé à se rêver écrivain, avant qu’un stage au Quibbler le décide à troquer ses manuscrits raturés contre une plume à papote et un carnet décrépi. Il aime considérer son métier comme un moyen de rendre service à la société, et si ses articles permettent à quelques conversations de s’enflammer, il estime avoir réussi sa mission. (Toutefois, s’il évoque avec passion ses sujets d’enquête et ne perd jamais une occasion de se poster au premier rang d’une conférence quelconque, il parlera moins des inconvénients d’une telle profession, à l’instar de sa vie personnelle chaotique ou des nombreuses menaces reçues depuis qu’il a commencé à sérieusement mettre son nez n’importe où.)
☇ camp ; déstabilisé par la fin de la guerre, guignant de loin cette ère nouvelle dont les chefs auto-proclamés attisent ses soupçons ; pendant plusieurs années ouvertement (et violemment) anti-gouvernement. Et si au départ, personne ne lui en tenait réellement rigueur — du moment qu’il restait discret (chose dont il est absolument incapable) —, ses articles de plus en plus pamphlétaires dérangeaient. Son rédacteur lui retira sa chronique politique (il éditait la colonne hebdomadaire « The Chatty Wizard ») et le vira, purement et simplement, après qu’Anwar eut glissé dans ses éditoriaux de vives critiques à l’encontre du Daily Prophet, « dont l’encre corrompue est une disgrâce pour la liberté de la presse ».
☇ réputation ; Grande gueule et fouille-merde pour certains, tenace et non-conformiste pour d’autres, Anwar divise autant que ses écrits — il s’est jeté un sort dans le pied en refusant de se soumettre au gouvernement, quoique salutaire sans doute, compte-tenu de la situation dans laquelle il se trouve actuellement. Sur la route, avec les rebelles comme compagnons d’infortune, il tient assurément son prochain best-seller (The Lost Generation: Portraits of Modern Day Heroes). Cependant, c’est un « good lad ». Direct, la blague facile, curieux — intéressé par les autres, par leurs histoires, leurs combats, leurs échecs, leurs vies.
☇ état civil ; célibataire, dit-il, et ce mensonge pratique lui brise le cœur. Il y a quelques mois, il était encore fiancé à Mina Bagnold, jusqu'à la trahison de celle-ci — ou du moins, jusqu'à ce que la sordide entreprise de manipulation du gouvernement détruise leur couple.
☇ rang social ; autrefois prolo de pacotille, puis estampillé « rebelle » après avoir fricoté avec le camp de Potter, maintenant désargenté, sans domicile fixe (il est reparti vivre chez ses parents, dans le Londres moldu), et préférant utiliser la compensation financière du Ministère pour l'édition de son roman. De retour au point de départ, certes moins fustigé et traînant quelques honneurs, mais pas de quoi reprendre le cours normal de sa vie.
☇ baguette ; la légende veut que les détenteurs d’une baguette façonnée dans du bois de pin mènent une vie longue et prospère (cette époque sombre sera sans doute l’occasion rêvée de prouver de tels dires). La sienne renferme un ventricule de dragon et mesure vingt-huit centimètres et demi. Souple, cette compagne de toujours se révèle particulièrement utile lorsqu’il concocte des enchantements « journalistiques » de son cru, elle semble même conçue pour lui éviter le plus de dégâts possibles.
☇ épouvantard ; le cadavre de Mina, atrocement défiguré.
☇ risèd ; s’il espère, comme tout écrivain, goûter à une certaine forme de reconnaissance, le reflet du miroir trahirait son rêve le plus fou, ou plutôt, la plus amère de ses désillusions. Il y contemplerait sa famille réunie, soudée. Ses parents, ces lointains inconnus qu’il connaît seulement à travers le peu de photographies ayant survécu au temps, son oncle, sa tante, sa cousine, les enfants de celle-ci, Mina, une alliance au doigt, enfin.
☇ patronus ; un caméléon, mais depuis sa fuite, sa blessure à l'épaule, et l'horreur à laquelle il est confronté quotidiennement, créer un patronus exige un effort qu'il n'est plus en mesure de fournir.
☇ particularités ; legilimens chevronné, en plus d'un talent certain pour dénicher des informations et témoignages en tout genre.
☇ animaux ; il y avait Bowie, son chat, disparu après les émeutes du Chemin de Traverse en janvier 2002. Il l'a cherché pendant plusieurs jours en espérant qu'il traînait ailleurs que dans l'appartement au moment des explosions, mais il a dû se résoudre à l'évidence : Bowie a succombé sous les décombres de l'immeuble. Puis vint le tour de Sulky, le hibou qu'il a acheté avec Mina — leur « hibou de couple » (officialisant ainsi leur emménagement), avec sa moue boudeuse et ses coups de bec agacés quand ils tardaient à décider qui aurait le droit d'envoyer son courrier en premier.
☇ Avis sur la situation actuelle :
Il ne sait pas. Il ne sait plus. Il commence tout juste à se réhabituer à un lit normal que les articles pleuvent au sujet du nouveau gouvernement, des procès, des « révélations choquantes » au sujet de tout et n’importe quoi, des grèves, révoltes, protestations… il ne suit pas. Ironique, pour un journaliste — plus ironique encore pour un journaliste de son calibre. En ce moment, il préfère se concentrer sur son livre relatant son année de fuite et les portraits des insurgés qu’il a côtoyés tout au long de ce périple, mais sa méfiance à l’égard de cette nouvelle Angleterre sorcière lui donne envie de reprendre la plume, alors que l’inspiration s’en est allée il y a des mois de cela. Dans ses mauvais jours, il dit qu’il s’en cogne. Il veut juste la vérité pour Mina. Il veut savoir ce qu’on lui a fait, il veut savoir s’il peut encore la sauver, il veut les coupables en face de lui, il veut—c’est une vengeance, qu’il veut. Une vengeance pour elle. Et ils auront beau le remercier pour ses « services » rendus (car soudainement, on s’est empressé de vanter ses articles polémiques pendant la guerre, comme symboles d’une liberté d’expression jugulée, puis de sa fuite, on l’a remercié d’avoir aidé à faire fuir des innocents, on lui a serré la main, on lui a donné une tape sur l’épaule — on a foutu sa vie en l’air, on a foutu la vie de milliers de personnes en l’air).
Il est toujours en colère, mais la hargne qui commandait ses rêves de révolution n’est plus, et il a seulement un goût d’amertume dans la bouche.

stand for something or die in the morning ❞informations supplémentaires

Family ; (MUGGLE CULTURE) Entre son permis de conduire, son vieux tacot dont on ne voudrait même pas les pièces détachées et son téléphone portable (un Nokia 3210 capable de braver vents et marées), il jongle entre plusieurs univers de la même manière qu’il lâche instinctivement des « oh my God » plutôt que les « Merlin » effarés de ses pairs. Il a tenté — sans succès — de faire fonctionner un poste de télévision dans l’ancien appartement qu’il occupait avec Mina, avant que celui-ci ne soit détruire pendant les émeutes du Chemin de Traverse. (Autant dire que sa fiancée contemplait d’un œil méfiant le téléviseur trônant sur une chaise et n’a pas regretté sa disparition sous les décombres de leur immeuble). Il est très attaché au monde moldu et, bien que ses détracteurs aient failli ouvrir une enquête ministérielle contre lui, ça ne l’a pas empêché de continuer d’écouter la BBC, d’acheter les journaux à la sortie de la mosquée, d’embarquer Mina au cinéma… c’est une culture inhérente à son identité. (ISLAM) Élevé dans une famille moldue et musulmane, la religion a toujours été partie intégrante de sa vie — et si son appartenance à un monde qui rejette les idoles des moldus rend difficile le ménage singulier formé par sa foi et sa magie, il refuse de renier ses croyances pour autant. (HASSAN) Histoire compliquée, qu’il peine à évoquer ne serait-ce qu’à demi-mot. Ce n’est ni de la honte ni un secret jalousement gardé, mais une cicatrice béante. Douloureuse. Soupçonné d’être un « mudblood », la méprise lui a valu d’être convoqué par le Ministère à la commission d’enregistrement des nés-moldus, avant d’être relâché lorsqu’il a pu fournir les documents attestant que de moldu, il n’avait que le patronyme, Maseed, et qu’il était bel et bien le fils unique d’Imran Hassan, magistrat sorcier assassiné en 1970 à Karachi, quelques semaines avant sa naissance. (Ombrage a été extrêmement déçue de le renvoyer de sa salle d’audience et a tenu à lui assurer qu’une enquête serait menée pour vérifier la véracité de ses dires — soit de son sang-mêlé.) Quant aux officiels, ils ont préféré justifier leur erreur que présenter des excuses en bonne et due forme, arguant que les listes pouvaient être erronées, avec les familles étrangères, « better safe than sorry right », lui a-t-on lâché en le raccompagnant dans l’atrium. Une semaine plus tard, il racontait son expérience dans la Gazette, « who’s afraid of the Mudbloods ? ». Il était très jeune, quand sa mère a disparu, et a été confié à son oncle et à sa tante moldus, Faward et Noor Maseed, qui l'ont élevé comme leur propre fils. Même après avoir appris la vérité, il ne s'imaginait pas les appeler autrement que mum et dad. (WATER) De par ses origines pakistanaises, il a une affinité particulière avec l’élément de l’eau— mais ayant été élevé en Angleterre et éduqué à Poudlard, il maîtrise mal cette partie de son héritage magique. Il correspond régulièrement avec son grand-père paternel, sorcier et maître de l’eau, afin d’acquérir de meilleures compétences mais ses progrès sont limités par le manque de temps et du coup, d’entraînement. Pour le moment, il est assez à l’aise avec des bases relativement élémentaires (changements d’état de petites quantités d’eau, par exemple) mais ses difficultés sont plus nombreuses que ses atouts. (etc) il parle couramment l'ourdou, davantage utilisé sous le toit familial que l'anglais, surtout quand ses grands-parents sont dans les parages sa famille maternelle est moldue et a émigré en Angleterre dans les années 1950 ; Meera, sa mère biologique, a cependant continué d'étudier la magie en Inde, et s'est installée à Lahore après ses études

Hogwarts ; (RAVENCLAW) La fougue impatiente empruntée aux rouge et or, l’ambition dévorante propre aux serpents, la loyauté sans faille d’un jaune et bronze — la curiosité intarissable des aigles discrets.  Un peu de tout, trop de rien, et le doute continue de subsister dans sa caboche insouciante, dépassée par les évènements de la semaine passée (rien de pire, pour un gamin issu d’une famille moldue, d’être né fin août et de n’avoir que sept malheureux jours pour se préparer au reste de sa vie). Le Choixpeau a farfouillé les tréfonds de son esprit de longues (non — interminables) minutes avant de vociférer son verdict : ce sera Serdaigle. Car là où le bât blesse est son individualisme, et cet espèce de courant d’air qu’il est, insaisissable, étrange. Tour à tour spectateur silencieux réfugié dans les derniers rangs et orateur véhément rassemblant les troupes, il n’a jamais été très aisé à cerner, le Maseed, mais une chose est sûre, le Choixpeau n’a pas commis d’impair en le plaçant chez les bleu et argent. (QUIDDITCH) Sa découverte du Quidditch, en première année, a eu le mérite de lui sortir la tête des bouquins. Il est entré dans l’équipe de Serdaigle comme attrapeur en troisième année, et en est devenu le capitaine en septième année (il avait l’habitude d’obliger ses équipiers à s’échauffer à la moldue avant d’enfourcher leurs balais). Parmi ses blessures les plus notables, il a été violemment projeté hors de son balai par un cognard en sixième année et a été alité pendant une semaine avec un bras cassé, un traumatisme crânien, et une Madam Pomfrey pestant contre ce « sport de sauvages ». (Hogwarts Daily) en quatrième année, il a convaincu le professeur Flitwick de l'autoriser à créer un journal des étudiants, l'Hogwarts Daily. Couvrant à peu près tout ce qu'il y avait à couvrir dans une école, des nouveautés du château aux commentaires sur l'actualité en passant par des rubriques plus légères (courrier du cœur pour jeunes sorciers timides, petites annonces en tout genre, résultats du Quidditch, courtes interviews, guide du Premier Année en perdition, pages invisibles aux professeurs où les élèves partageaient leurs trouvailles en sortilèges, potions, passages secrets…), le journal a rencontré un certain succès mais le départ d'Anwar et des principaux éditeurs n'a pas permis de le relancer.

COLLEGE ; Il a étudié au SAWL Center (London IV) — la majorité de son cursus a été financé par l’héritage des Hassan, et le reste par des petits boulots peu reluisants, le plus mémorable restant le CDD dégoté à la Poste magique de Londres (une expérience qui lui a appris à redoubler de patience en toute circonstance). Très actif sur le campus, il a écrit pour le quotidien des étudiants et pour un hebdomadaire consacré à la pop culture, sans compter la demi-douzaine d’associations auxquelles il participait. En troisième année, il a passé un semestre en Australie.

Journalism ; (WRITER) Son rêve de gosse. Il écrit depuis qu’il sait tenir un crayon ; au début des histoires enfantines, attendrissantes, que sa mère corrigeait derrière lui, des « fanfictions » (Star Wars principalement, après la sortie de A New Hope en 1977, puis Tolkien lorsqu’un professeur d’anglais lui confia le premier tome du Seigneur des Anneaux), des centaines de projets de romans avortés pendant son adolescence et autres textes courts, griffonnés sur un parchemin de métamorphose ou dans la marge d’un livre quelconque. Coucher sur papier la kyrielle d’idées confuses lui trottant dans la caboche avait un effet thérapeutique — depuis la fin de la guerre en revanche, il lutte constamment avec le syndrome de la page blanche, et ce qui autrefois lui venait naturellement se bloque dès lors qu’il pose la pointe de sa plume quelque part. Il ne se considère pas écrivain, mais il a deux livres à son actif, sortis en 1997 et 2000 : The Electric Wand, un recueil de nouvelles, et Anyone Can Be A Leader, un essai romancé du mandat de Cornelius Fudge, brutalement tourné en dérision par l’auteur. Cet ouvrage-là a été retiré de la vente à cause de quelques passages jugés « controversés », car semblant prendre le parti d’Harry Potter. (THE QUIBBLER) À sa sortie de Poudlard, ASPICS en poche, il a décroché un stage dans la rédaction du très excentrique Xenophilius Lovegood, où il a appris les fondements du journalisme. (L’Evening Prophet avait également accepté de l’accueillir mais il a choisi, par curiosité, le Quibbler. Une décision qu’au début, il a eu tendance à regretter en écoutant certaines de leurs balivernes.) Toutefois, le coté fantasque de cette publication et les libertés avec lesquelles il a pu commencer à éditer ses premiers articles lui ont donné la confiance nécessaire en sa plume, en ses idées et en sa vocation de journaliste. Le risque était assez considérable cela dit, étant donné que le Daily Prophet a guigné avec dédain ses quelques mois passés au Quibbler — jusqu’à ce qu’il leur montre ce qu’il y avait fait. Peut-être ont-ils apprécié l’audace, peut-être avait-il suffisamment de talent pour faire oublier le tabloid de Lovegood, quoiqu’il en soit, il n’a pas été pénalisé plus que cela. (RITA SKEETER) Il avait vingt-deux ans quand il a atterri dans le bureau de la fameuse Rita Skeeter. Deuxième stage au sein d’une rédaction — une expérience qui s’est révélée… différente, mais étrangement enrichissante, car cette femme, aussi abjecte puisse-t-elle selon le jour, avait cependant une approche intéressante de la presse à sensation. Elle le considérait plutôt comme une boniche que comme une stagiaire ; cela dit, elle avait toujours quelque chose à partager et fourrait son nez partout, en dépit de l’avis de son rédacteur. Parfois décontenancé par ses méthodes, dégoûté par sa manie de répandre des rumeurs sans fondement, il a cependant remarqué qu’elle avait un talent certain pour capter l’attention du plus sceptique des lecteurs. Curieusement… il a beaucoup appris, à ses cotés. (THE CHATTY WIZARD) À mesure que ses articles attiraient de plus en plus d’attention, son rédacteur lui a proposé une colonne exclusivement dédiée à son commentaire de la semaine, un billet d’humeur en quelque sorte, parfois accompagné d’une interview ou entièrement consacré au portrait d’une personnalité (souvent peu flatteur — dresser une éloge n’est pas dans ses cordes). Plus libre, plus indépendant, il a pourtant été forcé d’édulcorer sa chronique à la suite de l’ascension au pouvoir du Magister, n’a plus été autorisé à taper sur les figures de l’élite sorcière, et a même été contraint de broder quelques louanges pour satisfaire la propagande du Ministère. Et il n’y a rien de pire, pour un journaliste, que de trahir ainsi son intégrité. Alors ses critiques virulentes ont repris, en dépit des mises en garde de sa hiérarchie — jusqu’à ce qu’on lui retire sa colonne. (Il a continué de publier des articles corrosifs sous un pseudonyme, The Angry Wizard — il ne cherchait pas à être discret —, dans un hebdomadaire à tendance insurgée, distribué clandestinement). (INFLUENCE) En théorie, le Daily Prophet avait toutes les raisons du monde de le mettre à la porte dès l’avènement du Magister, mais plutôt que prendre le risque de se séparer d’un nom vendant du papelard (et, peut-être, de subir ses foudres dans une publication concurrente si jamais il était remercié), sa hiérarchie a décidé d’utiliser sa plume comme preuve que la liberté de la presse n’était pas morte ; au contraire. Anwar a toujours su se faire apprécier et nouer des contacts utiles un peu partout — ses détracteurs arguant même qu’il ne doit sa longévité au sein de la rédaction qu’au chantage. (etc) il a été arrêté en mars 2002 pour un éditorial fustigeant l'arrestation de journalistes étrangers et libéré grâce à l'intervention surprise de Cornelia Rosier pendant sa cavale, il a recueilli des dizaines et des dizaines de témoignages, aussi bien d'insurgés que de prisonniers, si ceux-ci daignaient répondre à ses questions, et a documenté la bataille finale avec Mina, ils travaillèrent avec le Phare à On, glanant pour eux des informations qui leur étaient davantage accessibles, en tant que simples civils il était (est) obsédé par les rumeurs de lavages de cerveau pratiqués par le gouvernement, jusqu'à soupçonner Mina d'en avoir été victime après l'exécution des rebuts (malheureusement, à raison) parmi ses sujets de prédilection : le réseau de stupéfiants, l'affaire des Rebuts et l'utilisation abusive du sortilège de l'Imperium contre des fonctionnaires haut-placés du Ministère

Mina ; en 1997, il a été envoyé en Egypte pour couvrir un scandale financier impliquant le Pacha du Caire, et il a, par hasard, croisé le chemin d’une ancienne camarade de classe — Mina Bagnold. La rencontre fortuite s’est déroulée pendant une redoutable tempête de sable (soit une quarantaine où ils étaient confinés en attendant que Mère Nature apaise ses autans de colère). Vagues connaissances à Poudlard, il a engagé une conversation maladroite qui ne s’est pas si mal terminée que ça. Il lui promit de la contacter quand ils rentreraient à Londres « pour un café ». (Il avait prévu d’emmener Mina en lune de miel à Memphis.) Mina est sa plus proche collaboratrice et un inébranlable soutien ; c'est à ses cotés qu'il a mené une enquête ambitieuse au sujet des pratiques du gouvernement (arrestations des opposants, meurtres de nés-moldus, menaces pesant sur le Secret Magique, interrogatoires musclés, conditions de vie à Azkaban…) il l'a demandée en mariage en 2001, mais les fiançailles s'éternisent, l'argent manque et le climat politique les oblige à repousser la date de leur union (à dire vrai, il regrette encore de ne pas l'avoir épousée en secret)

REBELLION ; Il a longtemps cru qu’il pourrait se battre à l’intérieur du système, mais sa fuite a changé la donne. Grâce à des contacts, il rejoignit un camp d’insurgés (le premier de son périple), et plus que désireux de se rendre utile, il mit à disposition toutes ses connaissances du monde moldu, laissa sa plume au fond de son sac, déterminé à combattre. Et aujourd’hui, il se rend compte à quel point la guerre, la proximité avec la mort, l’a changé. Comme une compagne d’infortune, l’adrénaline des lendemains incertains lui manque. Il a participé à un réseau de passeurs pendant quelques semaines : ses papiers moldus et son permis de conduire lui facilitaient la tâche. Du jour au lendemain, il s’est retrouvé à voler des voitures, changer les plaques, ensorceler les coffres, trafiquer les moteurs, maladroitement au début, puis avec une aisance étrange, qui ne lui appartenait pas tellement. Il est insomniaque — et s’est mis à consommer de l’orviétan pour se remettre d’aplomb après plusieurs nuits sans sommeil.

CURSE ; La main tremble, la magie se dérègle. Frappé de plein fouet par un maléfice perdu pendant la prise d’assaut d’un campement d’insurgés, il ne s’est pas appesanti sur une blessure jugée superficielle et a attendu de croiser le chemin d’un guérisseur renégat pour la traiter. Toutefois, le mal était fait, et ce court laps de temps entre le heurt et la prise en charge lui a coûté beaucoup plus qu’il ne l’imaginait. Le sortilège, inconnu mais signature certaine d’un mangemort, lui a laissé en souvenir une arantèle de stries éparses, noirâtres, à la naissance de l’épaule (où il a été touché en premier lieu), épousant ses zébrures veineuses. Ça le démange comme pas permis, de jour comme de nuit, et quand le tissu entre en contact avec les lésions, ça lui tue l’épaule. Faute d’un examen médicomagique adéquat, le diagnostic est sommaire, manque de précision, mais les symptômes commencent à se manifester ; epistaxis, céphalées, nausées, fatigue… et surtout, les cauchemars terribles hantant ses sommeils difficiles. Très affaibli à l'issue de la bataille finale, il est resté plusieurs jours à Sainte-Mangouste mais sa condition demeure incertaine, quoiqu'assez répandue pour émettre l'hypothèse qu'il s'agit d'un maléfice usité par les séides de Voldemort contre leurs prisonniers pendant les interrogatoires. en réaction, Anwar a développé un goût pour les puissants filtres de sommeil prescrits par l'hôpital, et consomme de plus en plus de potions analgésiques

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi simone, mathilde, idk  noeil . J'ai 22 ans, je viens de #teamsudouest et j'ai connu le forum via probablement baz. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 jours sur 7. Un dernier mot ?  noeil  noeil  noeil

Approuvé par le Ministère de la Magie
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