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sujet; Aliss et les fleurs du mal.
MessageSujet: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 3:59

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Aliss Rose-Elisabeth d'Anjou
feat Ginta Lapina • crédit Applestorm

Wizard • Inventé
• nom complet ; Pour le moment, elle est revenue Aliss d'Anjou. Ne trouvant plus l'inspiration, elle a laissé tombé Baudelaire pour revenir à son nom de naissance. Bientôt Anjou se fera remplacer par Flint. Cela n'est qu'une question de temps. Mais un nom défini jamais réellement qui nous sommes. • nom d'artiste ; Baudelaire, prenant ainsi le nom de jeune fille de sa grand-mère maternel à son honneur. Elle s'est fait appeler Aliss Baudelaire pendant plusieurs années, ne prenant plus Anjou. • surnom(s) ; Aucun, Aliss est un nom qui n'a pas besoin de surnom. Et surtout, Aliss ne les supporte pas.  Seulement, pour ses transactions et ses occupations officieuses, Aliss se fait surnommer "Cheshire" afin de rester incognito si les mauvaises personnes entend parler d'elle. • naissance ; 31 octobre à Paris en France  • ascendance ; Haute société de sang pur français de la famille d'Anjou.• camp ; Aussi étrangement que dérangeant pour les autres, Aliss n'en a que faire. Ce n'est pas son pays et elle n'y attache aucun sentiment d'appartenance. Elle joue la carte  des Wizard pro Death Eaters pour rester libre, vivante et surtout, pour pouvoir fréquenter la haute société. Hypocrisie ? Non c'est de la légitime défense pour pouvoir continuer à vivre dirait-elle. Elle aide les mangemorts quand sa l'arrange, quand ça peut servir ça cause, mais au fond d'elle-même, elle préférait ne pas être mêlé à tout cela. • métier ; Recommence à peindre (et secrètement toujours dealeuse pour la haute société, quoi que cela commence à diminué) • réputation ; L'Étrangère. Avec cette accent français, Aliss se fait vite remarquer par ses paires.  Cet appellation n'est que trop véridique. Elle est étrangère où elle va, pas assez française lorsqu'elle est chez elle et pas assez anglaise lorsqu'elle en Angleterre. Aliss est une étrangère peu importe où elle va. Elle est même étrangère à sa propre vie, la voyant défiler sous ses yeux sans qu'elle soit capable d'y changer quoi que se soit. Mystérieuse ou, Secret, sont les deux autres réputations qui lui colle à la peau, mais Aliss l'a bien cherchée. Complètement obnubilé par son art, Aliss n'est jamais complètement dans le monde réelle. Difficile de la cerner complètement, on n'arrive jamais à comprendre qui elle est réellement. Même elle se le demande parfois.   • état civil ; fiancé avec Marcus Flint, tout est trop compliqué. Elle reste tout de même assez fidèle à elle-même et  indépendante. Ils se sont fiancé par choix, non par amour. • rang social ; élitisme. • particularité(s) ; Aliss est peintre et c'est ainsi qu'elle gagne sa vie. Ses peintures font fureur et se vend très cher. Elle est aussi dealeur pour la haute société depuis qu'elle n'arrive plus à peindre. • patronus ; Un cardinal • épouvantard ;  le vide. • risèd ; Pouvoir retourner à sa peinture. Trouver le blocage qui l'empêche de peinturer. • animaux ; Elle avait un chat, mais ça c'était avant. Aimerait bien en avoir un autre.  • baguette ; Bois de Magnolia, fleur de filet du diable, moyenne flexibilité, 29,30 cm. Idéale pour la métamorphose. Ses initiales sont gravés sur le manche et a été fait spécialement pour elle par la famille Ollivander. • miroir à double sens; caractéristiques (pour les insurgés uniquement) voir explications.

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : Aliss ne se sent pas particulièrement affecté par le climat politique actuelle alors qu'elle devrait être la première à s'inquiéter. Et si elle ne pouvait plus quitter le pays ? La jeune fille s'en soucis gère, pour le moment elle vit dans le néant qu'est ça vie, tentant d'échapper son quotidien entre deux dose d'orviétans. Elle se fout un peu du sort des nés-moldu. Elle trouve cela déplorable, certes, mais elle n'y peut rien et elle ne sait pas comment changer les choses, elle joue la carte de l'ignorance, du déni. Un jour peut être, cela va revenir comment avant. Un jour...

► Infos en vrac : Aliss peint depuis qu'elle peut tenir un pinceau entre ses mains. La jeune fille se ronge les ongles, une mauvaise habitude qu'elle n'est capable de se débarrasser. Cela s'intensifie lorsqu'elle est anxieuse ou stressée. Aliss a comme qualité qu'elle est une jeune fille loyale, imaginative, intuitive, indépendante, mystérieuse, secrète, renfermée, passionnée, discrète, modeste. Ses défauts sont nombreux, mais son plus gros est qu'elle est asociale. Elle n'aime pas non plus les foules et ne sait jamais comment agir devant les autres. Elle est une menteuse compulsive, racontant aux gens ce qu'ils voudraient entendre plutôt que dire ce qu'elle voudrait réellement leur dire. Aliss est une jeune fille complexe qui est dur à déchiffrer. Elle recherche constamment l'approbation des autres, mais ça, jamais elle ne voudra l'avouer. Aliss est compulsive, obsessionnelle, parfois volontairement naïve, rancunière et blessante. Elle n'arrive pas à se modérer et consomme à l'exagération. Aliss a des cheveux blond très pâle. On la reconnait de loin. Ce petit être discret et délicat qui se découpe dans la foule par son visage gracieux où son regard perdu, démontrant qu'elle est sous les effets de psychotropes. Elle a plusieurs tatoues qu'elle montre très rarement. Elle a un arbre qui lui fait tout le dos, un éléphant qu'elle s'est elle-même tatouée sur la cuise droite. Elle a aussi plusieurs cicatrices, notamment une dans sa paume de main. Résultat d'une mauvaise nuit où elle a fait un bad trip et s'est elle-même plantée un crayon dans sa paume car elle disait qu'elle n'arrivait plus à dessiner. Ses autres cicatrices ont une histoire semblable. Plusieurs dont elle ignore elle-même l'existence. La blondinette a beaucoup vendu d'orviétant et en consommait tout autant mais elle a ralentie. Elle ne vent que pour rembourser une dette qu'elle a envers Maksim. Seulement, elle consomme encore énormément, peut-être même plus malgré son désire d'arrêter. La jeune fille est tasiturne et préfère la compagnie de livre ou e ses tableaux qu'aller à des stupides soirées mondaines, mais elle y va quand même afin de faire plaisir à ses parents.

Nothing compares to you
• pseudo & âge ; Mysti-Lee ou Marie-Pier,  • comment as-tu trouvé le forum ? réponse. • ton avis, tes suggestions ; Si je suis revenue, ce n'est pas pour rien.  jule  • connexion ; relativement fréquente • quelque chose à ajouter ?  :russe:



Dernière édition par Aliss d'Anjou le Ven 23 Jan 2015 - 1:24, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 4:00

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Here comes the hurricane
citation de ton choix, citation de ton choix

ENFANCE
Âgé de 22 ans à peine, Agnès d’Anjou donna naissance à son première enfant. Jamais rien n’avais laissé présagé que les Anjou auraient voulu avoir des enfants si tôt. À leur âge, la vie était encore devant eu et ils s’encombraient déjà d’un poupon. S’encombrer était réellement le bon mot. Agnès et Pierre d’Anjou n’avaient jamais souhaité enfanté si jeune. Cette enfant était un fardeau, une plaie. Ils savaient qu’enfanter était un cadeau de Dieu, qu’ils devaient se sentir soyer, mais tout ce qu’ils voyaient était leur restaurant mit à l’abandon pour quoi ? Pour un enfant ? Non ils ne l’accepteraient pas. Surtout pas pour une fille. Un humain qui ne porterait pas leur nom, qui ne leur apporterait rien de plus. Agnès et Pierre étaient heureux d’avoir leur premier enfant, mais ils étaient trop jeunes pour prendre pleinement conscience de tout ce que ça voulait dire. Tous les sacrifices qu’ils devraient faire. Non, ils n’étaient tout simplement pas près. Aliss d’Anjou vit le jour le 31 octobre en 1975 dans le manoir familial de la famille d’Anjou. Joie et émerveillement accueillir ce premier enfant. Mais bien vite, les parents se retrouvèrent désenchantés. Mais qu’est-ce qu’ils allaient faire avec un enfant ? Leur restaurant demandaient une surveillance accru et pratiquement permanente. À peine âgé de trois semaines, Agnès fit appelle à une nounou afin que quelqu’un dédaigne surveiller cette chose, ce bambin qui demandait trop d’effort, trop d’attention alors que son esprit était ailleurs. Puis la nounou dû quitter pour une raison inexpliquée et Agnès se retrouva avec Aliss. Toujours ce bébé dont elle ne savait que faire. Agnès se trimbalait le paquet, se disant qu’à 22 ans, c’était finalement beaucoup trop tôt pour avoir un enfant. Elle avait à peine vécu sa jeunesse que voilà qu’elle devait supporter des cris incessants de sa propre progéniture. Puis la solution arriva, la mère d’Agnès se proposa pour garder l’enfant, le temps que le restaurant soit au mieux et que les parents de l’enfant serait prêt à prendre Aliss avec eux. Âgé d’un mois, les parents confèrent  l’enfant à sa grand-mère au grand soulagement d’Agnès. Libérée. Voilà ce qu’elle ne cessait de se répéter, honteuse d’une telle pensée. Les trois premières années de sa vie, Aliss voyait ses parents qu’occasionnellement. Obnubilé par leurs restaurants, ils profitèrent de ses années pour ouvrir la boulangerie qui feront leur renommée quelques années plus tard. C’est alors que Wayland, garçons et héritier de la famille fit son arrivé chez les Anjou. Heureux événement. Les parents décidèrent alors de laisser de côté pendant quelques temps leurs restaurants pour s’occuper dignement de leur nouvel enfant et par la même occasion, d’Aliss. Elle se fit rapatriée en Angleterre afin de vivre avec cette famille qui venait de s’agrandir. L’enfant continua de voyager entre Paris et Londres, passant de long mois avec sa grand-mère maternelle. Quelques années plus tard, Aliss fit la découverte de la peinture. Déjà talentueuse dans le dessin, la jeune fille avait un don évident pour ce nouvel art. Ses parents déboursèrent de généreuses sommes afin que sa fille puisse profiter des meilleurs professeurs. Car les Anjou ne sont pas juste bon, ils doivent exceller dans ce qu’ils font, tout simplement. S’est âgée de six ans qu’Aliss apprit que sa mère attendait alors un nouvel enfant. Une fille. Aliss ne voyait pas d’un bon œil ce nouveau bébé sous leur toit. Ce poupon allait lui voler déjà le peu d’attention qu’elle avait de ses parents et maintenant de son frère. Charline vint au monde et Aliss resta en retraite. Préférant passer du temps avec ses pinceaux et ses petites toiles qu’avec Charline. Les années passèrent et Aliss se rapprocha quelque peu de sa sœur, mais toutes ses craintes se révélèrent fondées. Ses parents donnèrent beaucoup d’attention à Charline, voyant en leur fille la digne cuisinière qui reprendrait leur restaurant une fois qu’ils ne pourraient plus travailler. Ni Aliss, ni Wayland n’avaient éprouvés le moindre intérêt pour la cuisine. Ils donnèrent le peu d’attention qu’ils avaient à offrir à leurs enfants à Charline, délaissant leurs deux aînés. Aliss vécut très mal se rejet et se referma sur elle-même afin de combler le vide. Ne parlant à Charline que pour entretenir une relation cordiale, mais la jalousie qu’elle avait envers sa sœur l’empêcha d’entretenir des liens plus intime. C’était injuste que Charline soit plus aimée qu’elle. Aliss avait toujours été sage, l’enfant rêvé, mais rien à faire, elle était née au mauvais moment, sans même avoir été désirée.

ADOLESCENCE
Aliss ne fit pas sa scolarité à Poudlard, elle fut inscrite à Beauxbâton par sa grand-mère qui refusait catégoriquement que sa petite Aliss chérie aille ailleurs que dans cet établissement où sa réputation n’était plus à faire. Séparée temporairement de son frère et de sa sœur, Aliss tenta de s’ouvrir un peu plus aux autres, mais rien n’à faire. Aliss ne se sentait pas spécialement à l’aise avec tous ses gens. C’est à ce moment où elle commença à mentir. À raconter aux gens ce qu’il voulait entendre plutôt que de dire ce qu’elle voulait réellement raconter. Son frère fut envoyé à Poudlard et Aliss fut déçus de ne pas pouvoir passer sa scolarité à ses côtés. Le seul à qui elle n’avait pas peur de dire tout ce qui lui passait par la tête. Le seul qui ne la jugeait pas. Pas encore… La jeune fille investie une grande partie de son temps libre à peindre et le nez dans ses bouquins d’art. C’était la seule chose qui la passionnait réellement. Alors qu’elle avait 15 ans, sa grand-mère maternelle décéda. Cela toucha particulièrement Aliss, étant très proche de sa grand-mère. Lors de la lecture du testament, Aliss apprit que sa grand-mère lui avait légué une généreuse somme d’argent pour qu’elle puisse exploiter son talent comme il se devait. Avec cet argent, Aliss décida d’aller étudier dans une école d’art une fois sa scolarité à Beauxbâton. Les trois années qui restaient pour Aliss se passa sans problème majeur, réussissant avec des résultats acceptables à ses A.S.P.I.C. . Lorsqu’elle sorti de l’école, diplôme en poche, Aliss alla rejoindre sa famille en Angleterre pour l’été. Ces quelques mois, elle les passa avec son frère et sa sœur, tentant de renouer les liens qui s’étaient éfriter avec le temps, ne les voyant que quelques jours par année. Le temps avaient éloigné Aliss de son frère et sa sœur, mais qu’importe, elle s’était toujours sentie inférieur à eux. Moins importante puisque tout le monde remarquait l’intrigant et mystérieux Wayland et cette si charmante Charline, mais pour Aliss, elle ne semblait qu’être l’autre, celle dont n’a pas réellement besoin de se soucier. L’automne arriva et Aliss refusa de prendre un emploi dans le restaurant de ses parents. Sans un mot à sa famille, Aliss parti en France à l’école des Beaux-Art à Paris côté moldu. Vivre dans l’ombre, non ce n’était pas fait pour elle. Aliss n’a jamais recherché la gloire ou la renommée, ce qu’elle voulait avant tout, c’était de vivre de son art. Avec l’argent que sa grand-mère lui avait Aliss fit ses valises et déménaga dans le Paris moldu et commença alors quatre ans de solitude dans cet école d’art. Elle écrivit quelque lettre à Way afin d’expliquer ce qu’elle était partie faire tout en restant vague sur les raisons d’avoir gardé ceci secret. Ses parents furent mise au courant et ne contacta pas Aliss pendant les quatre ans que prit son périple. Non personne ne devait savoir que leur fille étudiait chez les moldu. La tentions était déjà bien présente dans le monde sorcier et sans que Voldemort ne soit au pouvoir, rester à l’écart de ces personnes sans magie était le mieux. Aliss resta donc évasive et à part sa famille et quelques gens de son cercle privée, personne ne fut au courant de sa scolarisation à l’école des Beaux-Art de Paris. Elle disparut simplement de la circulation pendant quatre ans. Jeune fille relativement réservée, peu de gens remarqueraient son absence. Toute cette discrétion n’était selon ses parents trop superficiels. Qu’un mangemort traine à Paris à ce moment-là, et leur réputation en serait alors immédiatement entaché. Ils exigèrent à Aliss qu’elle change son nom de famille, le temps qu’elle aille étudier en France. Légèrement déstabilisée, Aliss accepta et changea Anjou pour Baudelaire, ce que ses parents n’avaient pas prévue était que la jeune fille refuse par la suite de revenir avec son véritable nom de famille. Elle s’était créé une véritable carapace sous ce nom d’emprunt et la jeune fille refusa de l’abandonnée. C’était maintenant son nom d’artiste. Anjou était devenu Baudelaire. À 22 ans, Aliss retourna auprès des siens en Angleterre, sans le sou et sans toit, Aliss réclama refuge auprès de ses parents. Après plus de quatre ans sans se parler, Aliss revint chez-elle comme si rien de tout cela n’avait eu lieu. Agnès et Pierre n’étaient pas fâchés contre leur fille aînée, seulement terriblement déçus, comme toujours des agissements, ou non, de leur progéniture.

Cela prit plus d’un an avant qu’Aliss ne sorte une véritable peinture. Puis les suivant virent d’eux-mêmes, s’imposant à la jeune fille telle des visions. Des obsessions. Des illuminations qu’elle n’avait d’autre choix que d’obéir. Mélangeant la peinture moldu à celui sorcier, ces réalisations étaient étonnantes. La toile qui la fit connaitre du public fut celui qui lui demanda le plus de temps à réaliser. Celle d’une jeune femme nue, bougeant à un rythme d’une musique que seulement elle semblait connaitre. Une peinture sombre, troublante et surtout, énigmatique. On ne pouvait détournée le regard. Elle sortit la collection de peinture dans sa première exposition qui reconnut un énorme succès. C’est ainsi qu’est née Aliss Baudelaire artiste de renommée. Les années qui suivirent fut semblable, Aliss peignait, exposait et à chaque fois sinon plus, son succès grandissait au monde sorcier. La vie n’est pas un long chemin stable et Aliss est la première à le reconnaitre. Son bonheur s’envola comme il était venu se poser sur son épaule. La jeune fille semblait se perde contre des tourmentes qu’elle seule semblait voire. Son imagination trop fertile commençait à s’effriter. Ses moments d’inspiration devenait trop rare. Une amie à elle lui recommanda d’essayer quelques doses d’orviétant. C’était le remède miracle pour retrouver l’inspiration. Aliss commença alors qu’occasionnellement, en moment de grande déteste, lorsqu’elle avait un délai de peinture qui venait à terme. Puis cela devin de plus en plus fréquent, pour ne dire régulier. Aliss sorti sa dernière exposition à ce jour le 6 mai 1999. Puis après, plus rien. Aliss refusa de continuer à peindre. Elle ne pouvait plus disait-elle. Le syndrome de la page blanche, la hantise de tout artiste. Elle était beaucoup plus qu’atteinte, elle représentait à elle seule ce syndrome. Puis les galions vinrent à manquer. Ne pouvant plus payer son loyer et ses factures, Aliss contacta Maksim et avec arrangement, elle commença alors à vendre de l’orviétant à la haute société, le milieu qui avait le plus de galion à offrir, ce marché où il était encore si peu exploité. Ce milieu que la jeune fille ne connaissait que trop bien. Aliss Baudelaire dit d’Anjou devin "Cheshire", pseudonyme pour ce commerce dans lequel elle se lançait. Aliss arrêta de peindre et se consacra entièrement dans la vente. Malheureusement pour elle, elle ressentait un vide que seule la peinture pouvait combler, tentant tant bien que mal de le remplir temporairement avec toutes les cochonneries qu’elle trouvait sur son chemin. Tatouage, drogue, alcool, dépression, tout était bon. La vie d’Aliss défilait entre ses doigts sans qu’elle ne parvienne à saisir qu’une infime partie. Elle voyait sa vie dérouler devant ses yeux sans qu’elle arrive à changer quoi que ce soit. Tout allait trop vite, tout s’écroulait autour d’elle.



Dernière édition par Aliss d'Anjou le Mar 27 Jan 2015 - 20:01, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 4:22

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Here comes the hurricane
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follow me down
J’étais ligotée sur une chaise dans l’atelier de mon appartement. Les larmes ne cessaient de couler sur mes joues, moi qui ne pleurais jamais, j’avais éclaté en sanglot comme une stupide idiote. À travers mes larmes, j’aperçus ma voisine de palier qui venait de passer sa tête par le cadre de la porte. Alarmée par le bouquant, elle avait appelé les autorités et avait attendu que le calme reprenne pour venir jeter un coup d’œil à ce qui s’était passé. C’était une femme intelligente, cette voisine de palier. Me voyant ligotée à ma chaise, elle s’empressa de venir détacher mes liens et d’essayer de me rassurer en affirmant que tout était fini. Ce qui était complètement faux. Ce n’était que le début d’un cauchemar incessant. Une première soirée en enfer. Les autorités arrivèrent quelques instants plus tard, exigeant que je leur explique ce qui était arrivé.

Le tout était on ne peut plus simple. J’étais tranquillement chez moi à faire… ce que je faisais… lorsque deux brutes sont arrivés chez moi. Un homme et une femme. Ils étaient particulièrement perturbés, probablement sous substance quelconque et ils ont décidé de me ligoter à ma chaise. Ils m’ont, par la même occasion, brutalisée quelque peu, puis on cassés ma précieuse baguette. Nous avons échangé des joutes verbale très colorés. Tel que « « Dis-nous où sont tes objets de valeur ou je peins cette toile avec ton sang. » et je répliquais « Vas y fait couler ce que tu veux, cher, mais tu ne réussiras pas grand exploit. » et j’enchainais par «  Mon corps refuse de peindre, tout ce que tu risques de faire est du dégât. Idiot. Tu t’es prise à la mauvaise cible. Je n’ai rien qui vaut quoi que ce soit ici. Tout n’est qu’illusion, que mensonge dans cette vie. Va voir tes amis et j’espère que tu les retrouveras tous mort. Vous ne valez pas mieux aux yeux de la population que des déchets. Que des cadavres en décomposition. Ignoré et méprisé. » Bref, de merveilleuse conversation. Puis Gustav est venue nous interrompe, ce qui a grandement agacée la dame qui l’a cloué au mur et tué par la même occasion. Paix à son âme de chat. Finalement, les nerfs probablement déjà peu enclin au dérangement et à ma non-coopération, la charmante demoiselle m’a débitée ses âneries de morts et de rêves anarchiques révolutionnaires. Rien qui laissait présager un avenir joyeux pour notre société. «  Tu vas faire passer un message sinon je reviendrais coller ton doux visage de collabo à la place de ton chat. Dis-leur que les Insurgés les observent et connaissent leur trahison. Raconte-leur que nous viendrons les chercher. Tous. Un par un. Au plus clair et au plus sombre. Au moment où le Soleil  noircissant leur peau, cariant leur dent et teintant leurs mains de l'écarlate du génocide, ils déambuleront dans la Lumière.  Lorsque minuit sonnera et que l'araignée tisse sa toile, passant du moment où elle porte bonheur à l'heure où elle porte malheur, nous serons là, sous les lits, dans leurs armoires, dans les recoins sombres de leur âme et nous réclameront la justice. » Dit-elle tout en gravant des gros mots sur mon murs. Elle m’oblige par la suite à soit boire une potion, soit lui indiquer quelques petites affaires qu’elle voulait prendre chez-moi. J’ai opéré sans avoir à prendre la potion, que grand bien me fasse. Elle et son copain peu bavard se sont transplantés je ne sais où avec mes affaires. Que des barbares ses insurgés. Okais, les événements n’étaient peut-être pas dans le bon ordre, mais en gros, c’était exactement ce qui c’était passé.

-Et que vous on-t-il prit, me demanda l’un des autorités. De biais je leur lançais un regard mauvais, sachant très bien que le trafic et la vente de psychotropes était illégale dans ce pays.

-Mes outils de travail, Monsieur.
Une quantité beaucoup trop importante pour que Maksim ne le remarque pas. Ces deux cons venaient de me mettre carrément dans la merde, si on pouvait parler ainsi.

look me down
Maksim est là devant moi, tout puissant. Du haut de mon petit mètre cinquante, je le regarde me surplombée, me versant sa fureur en plein visage. Je sens la violence couler dans ses veines, je ressens l’excitation d’une nouvelle proie à abattre et sa victime, ça sera moi. Toujours ce morceau de viande avec lequel tous se permet de jouer, d’injecter leur venin afin d’assouvir leur pulsion. Ce cadavre que l’on se permet de malmener. Je fais trainer les choses, espérant pouvoir échapper au moment où il faudra que je lui dise. Combien je lui ai fait perdre. L’estimation des dommages. Trop à mon gout, beaucoup trop élever pour pouvoir tout rembourser. Ce poison qui tuait, endommageait qui en consommait avait un prix beaucoup trop élevé à mon gout. Cet arsénique des temps modernes détruisait tout sur son passage. Les consommateurs, les revendeurs, mais surtout, celui qui illusoirement voulait le contrôler. Pour l’instant, Maksim était le seul fournisseur, encore le seul patron de ce commerce insolite, mais fantasme d’espérer pouvoir continuer d’opérer seul. Ce commerce en plein expansion ne souhaite que s’étendre d’avantage, promettant richesse et luxure à celui qui sera capable de le contrôler. Forçant d’autre à rêver de se mettre à rechercher la même quête qu’entreprenait Maksim. Il ne sera plus seul encore bien longtemps. Un jour, Maksim rencontrera plus puissant que lui. Il se heurtera à un rocher qui ne fera qu’accélérer sa chute. Ce moment venu, je le regarderais couler avec plaisir, me délectant de sa déchéance comme il se délecte de la mienne. Ordure. Cette confrontation me mettait mal à l’aise. Dans mes pires cauchemars, jamais je n’avais pu m’imaginer perdre une quantité de cames si importante. Afin d’amortir ma chute, je tentais de lui rappeler ma place dans ce conflit anglais, aucune. Je ne me sentais si peu concerné que je n’arrivais toujours pas à comprendre pourquoi ces insurgés s’en étaient pris à moi. « J’ai un message à te faire passer. Je ne suis qu’un dommage collatéral dans cette guerre qui ne me concerne pas. » lui disais-je. Makim me faisait face, un rictus imprégné de bestialité.« Un message ? » Il s’approchait d’avantage de moi, trop proche même. En cet instant, je le détestais. Pour ce qu'il était, pour ce qu’il représentait, pour être simplement lui. De tout mon être, je ne supportais plus la présence de Maksim. «  Tu veux savoir ce que tu es ? » me dit-il d’un ton si ironique que cela me glaçait le sang. « Tu n’es qu’une sombre petite conne, Anjou. » Et toi un putain d’enfoirée. Que la mort t’emporte et te pourrisse aussi lentement que délicieusement. « Tu rampes dans la misère que ton talent avorté suppure et tu m’emmerdes – putain comme tu m’emmerdes – par la même occasion. » Pour une première fois, je regrettais sincèrement de m’être embarqué dans ce trafic et les raisons qui m’y avaient poussé semblaient de plus en plus lointaines. Cela faisait trop longtemps que je m’y étais plongée et maintenant, je commençais à m’y noyer. Et Maksim était là pour me le rappeler. Celle qu’il appelait Anjou n’était plus l’ombre de celle qui autre fois portait ce nom. Aliss d’Anjou n’était que cendre et poussière. Un cadavre qu’il n’avait pas le droit de ramener à la mémoire. Je ne le quittais pas des yeux, développant une haine farouche pour ce visage qui me crachait insulte après insulte. Brusquement, il agrippa mes poignets déjà douloureux. Je tentais de me dégager, mais rien n’y faisait et il ajouta une pression sur les ecchymoses boursouflées. Me faisant mal volontairement. Pour me montrer de qui, dans cette pièce, avait le pouvoir. Maksim, toujours Maksim. « N’escompte pas bénéficier d’un sursis sous prétexte que je t’ai connu le bavoir sous le nez. » me dit-il de sa voix cassante, écrasante qui résonnait sur les murs de mon salon, fameux site du vol qui était la raison de notre échange. Il se pencha encore vers moi et m’agrippa les cheveux. Violemment, brutalement, il inséra sa main pour empoigner ses doigts dans mes cheveux, me faisant grimacer d’inconfort. Son autre main se resserra sur ma blessure. Je n’en pouvais plus, Maksim me brusquait, s’amusait à commencer à me violenter. J’avais l’impression que tout ceci n’était qu’un avant-gout d’une soirée qui s’annonçait trop brutal pour moi. « Lâche-moi Maksim ! » dis-je d’une voix aigüe en tentant violemment de dégager mon bras de son emprise.  Ignorant la douleur qui se faisait de plus en plus présente alors que la pression sur ma blessure augmentait. Je voulais juste qu’il me lâche. Relevant la tête pour plonger mon regard dans le sien. Sachant qu’il pouvait me blesser et me malmener aussi longtemps qu’il le voudrait, je n’aurais pas peur de lui. Non, pas de cet homme qui se croyait maître d’un trafic qu’il ne faisait qu’effleurer sa surface. Simple amateur alors que j’avais pu côtoyer pendant quelques jours de réel maître de ce trafic dans le monde moldu. Non, je n’avais pas peur de cette enfant chéri de Dolohov, de ce garçon qu’on nommait homme et qui comme moi, ne connaissait que déchéance et désillusion après désillusion. Nous étions deux rescapés d’une vie qui se voulait impitoyable. « Je te demanderais rien, Dolohov. Tes paroles ne sont que fumés. Ils ne valent rien. » J’avais apprécié Maksim, avant qu’il ne franchisse cette porte pour ce massacre qu’il me préparait. Je continuerais probablement de l’apprécier une fois le carnage fini, mais en cet instant, j’aurais immolé ce connard pour ma plus grande joie. M’y jetant moi-même dans le feu par la même occasion. « Tu me paieras cette came. En nature, en litre de gerbe ou de sang s’il le faut, mais tu me rembourseras. Jusqu’au dernier gallion. Tu saisis ?! » Non absolument pas. Tu ne feras pas payer ta mauvaise gestion et tes mauvaises relations. Tout ceci est ton problème. « Je ne te dois absolument rien. C’est pas mon problème si tu es incapable de traiter avec les insurgés. C’est eux qui ont ton stock. Je n’ai rien à faire là-dedans. » Tu ne me feras pas devenir ta pute ou pire, ta mule. Jamais. « Je ne te paierais, ni en nature, ni en liquide ou tout autre sorte de paiement que tu penserais adéquat. Je ne serais pas ton punching bag. » Tu as déjà ta femme pour cela. Je réussis enfin à me dégager de son emprise, me massant le bras en ne le quittant pas des yeux. « Je continuerais à vendre si c’est ce que tu désires, mais n’espère rien de plus de ma part. C’est de TA faute si la came s’est fait voler et arrête de jouer l’idiot en te fermant les yeux. » C’est toi que les insurgés voulaient atteindre, je n’étais que le moyen. Que l’objet pour faire passer le message. Je ne t’ai rien volé, arrête de me faire porter le chapeau de la disparition d’orviétan. Après ce que je venais de dire, j'étais certaine qu'il me le ferait payer le double. Les hommes sont incapable d’accepter leur tord, j'étais certaine que Maksim n'y faisait pas exception. Il s’avança vers mois, le visage de marbre et m’abattit son point au visage. Sans même m'en rendre compte, j'étais étalée de tout mon long sur le sol, le visage qui explosait, le sang qui commençait déjà à s'étendre sur le sol. Ma tête me tournait. Une main apparût devant mes yeux et m'aida à me relever. J'allais avoir des marques pendants quelque temps, mais c'était un coût minime à payer à comparer ce qu'il aurait pu faire à d'autre. "Je te rembourserais." dis-je d'une voix neutre mais autoritaire. J'avais aucune idée comment j'allais m'y prendre, mais j'aillais lui rendre cet argent. "Sort de chez-moi maintenant Dolohov, j'ai des chose à faire..." Gustav devait être décroché, il commençait déjà à sentir la puanteur de la mort. "À moins que tu ne veille m'aider à décrocher un chat mort d'un mur... ce qui m'étonnerait beaucoup" murmurais-je à moi-même. Seulement, il ne m'entendit pas. Il se contenta d'un hochement de tête et me lança un regard à vous transpercer sur place et fini par quitter cet appartement misérable.

break me down
Me voilà prisonnière de moi-même, privé de mon poison qui atténuait tout autour, devenant floue, tel un mirage. Mon univers s’illuminait, me faisant oublier ma réalité. Mais aujourd’hui, je n’avais rien pour faire passer le tout, rien pour me faire oublier mon douloureuse existence. Les insurgés étaient venue, puis Maksim et ce qu’il me restait n’était que lambeaux. Je n’avais pas la force d’aller nulle part, m’échouant dans mon salon, attendant que les secondes passent, n’ayant ni le gout ni l’envie de faire quelque chose. J’aurais vendu mon âme pour un peu d’orviétan me faisant réaliser à quel point cette substance était rendu essentielle à ma survie. J’étais allée trop loin. Profitant de ma liberté, je m’étais brûlée les ailes et maintenant, je chutais sans réussir à atténuer ma décente, attendant avec angoisse mon atterrissage. Mes yeux vaguais d’une toile accroché à mes murs, synonyme de période de ma vie qui d’une à l’autre s’avérait si différente. Ces toiles me perçaient le cœur, me narguant. Me rappelant le talent que j’avais gaspillé. Cette passion qui m’avais dévoré pour ne laisser qu’une artiste dépravée qui n’avait plus rien d’autre que ses illusions pour la faire vivre. Qu’un jour, l’inspiration reviendrait. Après plus d’un an d’arrêt, plus les jours passaient, plus j’avais l’impression que tout cela allait être perdue à jamais. Ces couleurs, ses sensations, cette passion qui donnait ce gout à chaque moment de ma vie s’était envolée en fumée. Probablement perdue si je continuais sur ce chemin. Mais je n’avais plus rien. Je n’avais plus mon talent, plus ma passion, plus mon échappatoire. Je me retrouvais démunie à tenter de vivre comme je l’avais toujours rêvé, de ma passion, mais je me retrouvais à vivre d’illusion. L’orviétan était ce qui avait tout détruit. Ce qui m’avait fait perdre tout contrôle à ma vie. Mes yeux voguais encore d’une toiles à l’autres lorsque Marcus fit interruption chez moi, ouvrant la porte en tombe, accourant jusqu’à moi, le visage couvert d’un voile obscure. Je savais que Marcus allait venir, mais lorsque je vis son ombre dans le cadre de la porte, je poussais un soupir de soulagement. Me sentant instantanément plus certaine de moi. Loin de ses derniers jours pénibles où l’angoisse avait été toujours là. Je me lève et me précipite dans ses bras. En vie. Le contacte de Marcus contre moi me faisait sentir vivante, mais surtout, loin de tout. Parce que qu’importe ce qui arrivait, nous serions toujours là l’un pour l’autre. Comme nous l’avons toujours été. Car entre nous, tout avait toujours été ainsi. Sans raison, l’un complétait l’autre dans sa déchéance, dans notre asocialité.

Ses bras m’entourent, me serrant contre lui. Je ne dis rien, sachant tous les deux pourquoi il est là. Profitant du moment. Enfin un peu de réconfort dans cette semaine qui avait été probablement la pire de ma vie. Il se détache un peu, pour venir poser un baiser sur mon front. Je garde les yeux fermé, serrant sa main contre la mienne. Ne voulant plus le quitter. Telle une rescapée qui voit enfin son sauveur. Car c’est ce qu’il était, mon sauveur. « Aliss, je peux plus rester comme ça. Je ne peux plus te regarder de loin sans pouvoir t’aider pleinement. » Je le regarde dans les yeux. Mais juste en étant présent, tu fais déjà tellement plus que n’importe qui. Te présence m’aide beaucoup plus que tu ne pourrais le croire. Mais je ne dis rien, le regardant se torturer l’esprit afin de me dire quelque. Comment pourrait-il m’aider plus, il en fait déjà tellement. « Epouse-moi. » Quoi ? La demande frape, choque. Comment ose-t-il me demande cela après tout ce que j’ai vécu ? Je reste muet de surprise. Je recule de quelque pas et je n’arrive plus à penser à quoi que ce soit. Épouser. Homme et femme, ensemble, unie. Pour. Toujours. Ma respiration s’accélère et mes mots restent bloqués dans ma gorge. Je porte ma main à ma bouche, essayant de dire quelque chose n’importe quoi, mais je n’y arrive pas. « Je ne veux pas te prendre ta liberté. Crois-moi, c’est la dernière chose que je souhaite. » Je ferme les yeux et tente de trouver quoi lui répondre. « T’épouser ? Mais Marcus… Je ne sais pas. » Ce n’est pas l’idée de l’épouser LUI qui me bloque, c’est l’idée du mariage tout simplement. Moi qui avait tout fait pour ne pas épouser un inconnu, voilà que mon heure était venue pour moi? C’est peut-être le temps de tout arrêter et d’accepter qu’on t’aide, Aliss. Si facile à dire, mais si difficile à faire. « Je t’en prie, accepte. » J’étais bloquée. « Je ne sais quoi dire. C’est tellement soudain. » Trop même. Je m’assoie sur mon sofa et met ma tête entre mes mains. La dernière chose que je voulais faire, était de blesser Marcus en refusant. Mais avais-je réellement le choix de refuser ? Continuant à me pourrir à l’orviétant, me détruisant toujours un peu plus, refusant la première et dernière aide qu’on me proposait. Je me sentais déchirée entre la peur de m’engager et l’angoisse de me voir continuer sur cette voie. Car j’en étais plus capable. Je relève la tête vers lui, ses yeux ne quittaient pas mon visage. Sentant un mélange de colère et d’angoisse venant de Marcus. « Tu es sûr de vouloir de moi comme épouse ? Que diront les gens et ton père? » J’essayais de trouver des excuses pour ne pas avoir à répondre à sa question car ma réponse me faisait peur. « Je ne suis pas certaine. J’ai peur… » Je me lève et sans perdre une seconde, me précipite dans ces bras afin d’y trouver une réponse. Afin d’essayer d’y trouver le courage de tout dire. « Promet moi qu’on ne fait pas une erreur, qu’on ne le regrettera pas. » Promets le moi et j’accepterais. Ment-moi et dis-moi que tout va bien aller. Qu’on sera heureux même si l’on n’est pas amoureux. Même si rien de me prévoyais à épouser un homme, j’accepterais d’être ta femme si tu me mens en me disant que c’est ma seule option enviable. Que tous les deux, c’est le mieux qu’on peut trouver. Car pour toi c’est absolument faux. Chaque femme rêve d’être dans les bras de Marcus, trouver mieux n’est qu’une question de temps, alors que moi, déchet de cette société pourri, personne ne voudrait de moi sauf toi. Alors oui, j’accepterais si tu me mens et me dis qu’ensemble, on va s’en sortir. « C’est d’accord » Mes mots me choque. Ces syllabes frappent le silence alors qu’ils se sont formés d’eux-mêmes. Trop tard pour reculer, pour refuser une nouvelle fois. Je ferme les yeux et tente d’oublier que j’ai accepté d’épouser un homme donc jamais je en serais amoureuse. Peut-être serions-nous heureux ensemble, mais comblé, probablement pas.



Dernière édition par Aliss d'Anjou le Mar 27 Jan 2015 - 21:05, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 9:47

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SIIISTER iiih
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 9:48

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MA ALISS D'AMOUR iiih iiih potte potte palpite palpite palpite sex sex trognon trognon kr kr kr kr kr kr kr kr hug inlove inlove inlove bed bed yiih yiih yiih yiih yiih yiih yiih rainbow
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 10:02

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‹ liens utiles : présentation - reaghan - ronald - daphne - mood - lyanna - lorcàn - remus
‹ âge : trente ans. (01/06/1974)
‹ occupation : à la renaissance du phénix, je n'ai pas de métier (la faute au gouvernement qui estime que les loups-garous sont trop dangereux pour avoir un métier).
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1984 et juin 1991.
‹ baguette : Elle est en bois d'ébène avec une plume de phénix à l'intérieur et mesurant vingt-quatre centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 7797
‹ réputation : À Poudlard et jusqu'à sa morsure, on la connaissait parce qu'elle ne ressentait pas la douleur et qu'elle passait plus de temps à l'infirmerie pour vérifier qu'elle ne s'était pas fait mal qu'en cours. Elle a été joueuse de Quidditch aussi et pas une mauvaise. C'est un sport qu'elle a toujours adoré et qu'elle aurait bien continué par la suite. Puis après sa morsure, sa maladie s'est guérie grâce (ou à cause du) au gène loup-garou et on a fini par l'oublier. Puis après elle a été recherchée parce qu'elle a fait partie de l'Ordre du Phénix puis des insurgés. On l'a connu comme étant le rebut de Severus Snape. Puis de nouveau une insurgée. Puis héros de guerre, mais un héros qu'on remercie par un simple sourire et une petite somme d'argent, pas un héros qui mérite l'Ordre de Merlin. Vous comprenez, elle n'est pas normale. L'Ordre de Merlin, June s'en moque, mais elle ne supporte pas le snobisme de ce gouvernement qui se veut tolérant. Depuis la fin de la guerre, June se renfonce dans l'anonymat et ça lui va très bien.
‹ particularité : Loup-garou. Totalement. Elle a été mordue par Claevis, un membre de la meute de Thurisaz en 1995. La cicatrice est toujours visible et bien brillante sur son flanc gauche. Le gène lui a permis de guérir de sa maladie d'insensibilité congénitale à la douleur, mais il lui a fait perdre son boulot d'Auror aussi.
‹ faits : uc
‹ résidence : à storm's end.
‹ patronus : un renard roux
‹ épouvantard : le feu.
‹ risèd : Teddy avec Dora et Remus. Et puis elle avec Elijah et leurs enfants. Des enfants qui ne souffrent pas du gène du loup-garou.
http://www.smoking-ruins.com/t6908-june-shadow-of-the-colossus
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Ouais les D'Anjou aussi sont vraiment canons de la vie ow rebienvenue choupinette minikr tu connais la maison alors réinstalle toi bien brille
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 12:23

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(re)Bienvenue sur excidium I love you
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 12:28

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Rebienvenue sur Exci et bon courage pour ta fiche ! kr (et puis, rien que pour Baudelaire : hug huug inlove iiih )
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 12:52

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(Re)Bienvenue sur Exci :D
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MessageSujet: Re: Aliss et les fleurs du mal.   Aliss et les fleurs du mal. EmptySam 3 Jan 2015 - 13:02

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Rebienvenue sur Excidium ! :russe:
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