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sujet; You make me wanna die (Nell)
MessageSujet: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 20:47

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Nell Gerty Burke
feat sky ferreira • crédit swan

Death Eater • Prédéfini
• nom complet ; Nell Gerty Bruke. Comme un doucereux sifflement, la peur s'y glissant, les ténèbres s'y noyant. Un nom murmuré en un éreintement, l'étincelle de la mort caressant ces sonorités choyés par l'amour d'une famille sous le seau des abysses. Une famille au sang pur, une famille marquée par sa propre destinée, enveloppée de cette magie sombre les fascinant entre les ondulations d'une éternité tant contemplé.    Nell, tel l'éclat du soleil, contraste saisissant entre une signification refoulée et une réalité bien ancrée. Pourtant, tu es celle qui possède la force comme le proclame ta seconde identité, cette autre moitié de ton âme, Gerty. Cette force si sombre, perdue à jamais dans l'obscurité de la nuit. Parce que tu es la nuit, tu n'es que le scintillement du néant.• surnom(s) ; tu aurais put être l'ange de la mort, si tu n'étais pas qu'une simple mortelle torturée par sa fin omniprésente. tu es nell, et tu demeureras à jamais cette rose sauvage s'éteignant au fil des assauts de la vie sur son âme.  • naissance ; Dans le domaine familiale, sous l'effervescence du soleil tapant tel un forcené un mois d’Août 1976. Tu es née caressée par les fidèles de la lumière, t'éternisant pourtant près des démons les plus imbibés de cruautés pour plonger entre les spirales de l'obscurité.  • ascendance ; Sang pur, ces deux mots définissant ton devenir, la clé pour les portes de ce Paradis si sombre. Une réalité te collant à la peau, don du ciel sauvant ta vie, mais condamnant ton âme, cette âme prête à s'abandonner à l'inhumanité totale. Bientôt, tu plongeras dans ce ravin, ce ravin sans fin s'étendant de ces flammes ardentes broyant ta chair, lacérant tes pensées d'une irrationalité imbattable.    • camp ; Tu aurais pu être reine des ténèbres, mais tu n'en es qu'une sbire y vagabondant, fidèle au Mage Noir détenant les lieux de sa monstruosité légendaire. Tu n'es pas née pour gouverner, tu n'es pas née pour t'imposer. Tu es née pour ton propre intérêt, survivre  dans ce monde sans préceptes concrets. Et ta survie dépend à présent des dires de ce Seigneur dans toute sa splendeur féroce.     . • métier ; Suivre les pas de ses descendants, oser immortaliser leur existence en perpétuant leur labeur. La plus grande boutique de l'Allée des Embrumes, sanctuaire des Burke depuis tant de siècles. Elle se dresse de toute sa hauteur, fruit d'une activité constante que tu prends à présent en main, assistant ton père dans son travail. Tu ne pourras jamais te défaire de cet héritage encerclé de magie noire. Cette boutique fait partie de toi. • réputation ; Depuis ton plus jeune âge, tu offris ta vie à la magie noire, cet art te fascinant au plus haut point, virtuosité unique que tu tentas de dompter malgré les dangers. Tu n'abandonnas jamais. Ton existence est défini par cet aspect de la magie. Et à présent, ta mort aussi. Toi, Nell Burke, tu es réputée pour ta férocité et ton inhumanité, ce masque glacial que tu abordes sans un sourire. Tu représentes l'indifférence, cette indifférence frappante agrémentée d'une folie mentale n'en finissant pas d’accroître. Cette fleur de démence naissant en toi définira bientôt le moindre de tes actes. Pour toi, les autres ne sont que des obstacles à décimer. Et, malgré ta fidélité envers le mage noir, tu n'approuveras jamais son choix fatal de dominer ce monde de faibles. Pourquoi ne pas tous les tuer ? Ravager chaque once de bonté, anéantir toute parcelle d'espoir, causer la destruction tant désirée de l'humanité. Mais, il s'évertue à souhaiter dominer ce monde en maître, alors qu'il pourrait être bien plus que cela. Le désir de pouvoir est sa faiblesse, et tu le sais, un jour, elle lui coûtera sa vie. Cependant, ce jugement personnel n'est qu'une pensée libertine, une pensée dont toi seule connaît l'existence. Toi, l'Ange de la mort parmi les mangemorts. Du moins, tel est ta réputation.   . • état civil ; Il semblerait que tu sois fiancée. Fiancée à un inconnu dont le visage n'est qu'un voile sans distinction. Mais, tu n'as que faire de cette formalité, qu'une bague orne ton doigt ou non, tu t’enivres du peu de ta vie qu'il te reste. Il n'est qu'un nom, un personnage fantôme. A tes yeux, il n'existe pas.    . • rang social ; Tu dois te résoudre à jouer les mangemorts au service de la cause. Au nom de la survie, tu exécutes les tâches les plus barbares. Tu n'es plus qu'une âme au service du mal. L'ombre de toi-même, tu es ce visage sans considération pour ces vies qui s'envolent. Tu es le vent qui les emportes, et leurs cris ne sont que des ombres voguant au loin, si loin.  • particularité(s) ; Tu es maudite, Nell. Condamnée à subir une malédiction irrévocable, prix de ta passion pour la mage noire, la condamnant à dépérir de jour en jour. La faucheuse te contemple, et tu ne sais quand elle viendra t'emprisonner. Tu ne peux qu'attendre, attendre ta déchéance.  • patronus ; Corbeau, symbolique de la magie. Compagnon d'infortune vêtu de noir, ce défenseur de ton cœur n'est qu'illusion, il ne peut te protéger des crocs de la fossoyeuse et pourtant, tu le souhaiterais tant. Sortilège dont tu n'uses que rarement, il n'est pas la clé de ta survie.     . • épouvantard ; Nombreux sont les esprits à posséder cette peur de la fin, cette peur de perdre un être cher, cette peur viscérale les rongeant. Tu aurais aimé proclamer que la frayeur n'est pas ton ennemi, du haut de ta tour d'Ivoire, l'épouvante ne peut t'atteindre. Tu es comme invincible, et pourtant, entre les profondeurs de ton cœur, tu connais ta plus grande peur, cette dernière part de ton humanité ne pouvant se détacher de ton être. Cette frayeur de contempler la boutique familiale en flamme, ravagée par la fatalité ou serait-ce la lumière embrasant les sombres sentiers dans lesquels tu te perds ?  . • risèd ; pourquoi désirer, pourquoi souhaiter. Le désir n'est qu'une perte, une affliction dévorant ta raison et condamnant ton avenir. Tels ces innombrables âmes damnés, tu n'as plus rien à désirer. Comme si toute émotion n'était plus qu'une vulgaire illusion. Tu ne ressens plus que le mal. Et le mal ne peut se permettre d'aspirer à un souhait. . • animaux ; L'idée de t'encombrer de pareilles bêtes ne t'est jamais venu. Les animaux ne sont que des cobayes de ta magie noire. Si tu venais à en posséder, celui-ci ne vivrait pas plus d'une journée. . • baguette ; Bois  d’Épicéa, Crin de licorne, 30,5 centimètres. Une baguette fidèle requérant force et dextérité, une personne maladroite ne parviendrait jamais à la manier. Seul un puissant esprit en aurait le pouvoir. Elle est ta seule amie, la seule sur qui tu puisses compter. Et malgré ton incompétence à reconnaître tes émotions, tu te sens attachée à elle, liée à jamais.  

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : Le temps du mal s'impose, ce noir, ce noir sang, balayant toute pureté acquise, saccageant des vies et des espoirs, réduisant la Terre à l'état de terreur, cette terreur dont les mangemorts se nourrissent, cette force les conduisant vers une cruauté sans pareille. Ils sont nés pour condamner ce monde à l'enfer, à brûler ces âmes prétendant à la perfection, à laisser ces lieux sacrés sombrer dans le chaos.
Un chaos noir sang.
Nell, tu es là, munie de tes pinceaux.
Ton pinceau noir.
Ton pinceau rouge.
Et tu peins.
Tu peins comme une aliénée, tu peins comme si ta vie en dépendait.
Transportée par les échos de ces hurlements se brisant, les cris de la liberté se perdant dans cette désolation en effervescence.
Tu es ce visage dans la foule, ce visage de Cruauté, avec un grand C. Parce que, tu n'es qu'un démon parmi tant d'autres.
Un démon qui prie pour la déchéance, qui entraîne la déchéance, qui rit de cette déchéance.
Tu te délectes de la souffrance d'un peuple endeuillé, par ces morts, ces morts n'en finissant pas, comme des missiles envoyés au combat. La guerre ne s'achèvera jamais.
Et tu ne veux pas qu'elle s'achève.
A présent, elle est toute ta vie.
Tu n'attends plus que ce noir sang, ce noir sang qui t'inspire tant.
Tu es une virtuose, Nell. Une virtuose au cœur de pierre, une artiste qui ne cesse de s'abandonner à ses tableaux.
A ces esclaves damnés s'accrochant à un espoir d'impunité qui demeurera chimère au-delà de leurs rêves.
A ces derniers combattant luttant au nom de Liberté. Ils sont beaux, ils sont grands, mais ils ne peuvent battre le vent de l'anarchie sévissant.
Tu peins ces devenirs ténébreux englobant les vies des mauvais comme des bons. Personne ne gagnera cette guerre.
Cette bataille ingagnable ne causera que la perte du Vivant.
Pourtant, tu la mènes à bien, tu es le souffle de ce combat, Nell.
Et tu aimes ça.

Tu aimes les voir crever,
tu aimes les tuer de tes mains,
tu aimes prouver que la vie est le Mal;
Et que nous sommes tous condamnés à survivre dans ce Mal définissant notre être et nos valeurs.
Nous sommes constitués de Mal.

Et toi, Nell
, avec ton regard or, ta crinière rebelle et ta peau translucide,
tu es le Mal.



► Infos en vrac : Nell, l'excellence personnifiée, cette élève autrefois discrète, abordant fièrement les couleurs vert et argent, comme un trophée, sa maison, son foyer. Pourtant, elle ne s'attacha jamais à l'immensité du château de Poudlard. Solitaire dans l'âme, dès son plus jeune âge, sa personnalité avenir s'avérait déjà forgée. Seul son profit comptait et compterait. Le reste du monde n'est qu'un décor dans lequel survivre et tenter de prospérer. Les autres ne sont que des fantômes s’immisçant dans ton existence, le temps d'une seconde, avant de disparaître dans la profondeur de la nuit. Comme s'ils n'avaient jamais existé. Aussi, tes années d'études furent cernée par ta réussite exemplaire et ton attachement au travail, te valant des résultats frôlant la perfection aux ASPICS et aux BUSES. Une Burke dans toute sa splendeur, saluant son ascension vers la grandeur avec davantage de labeur. Une acharnée ne songeant qu'à son devenir, et plus encore, au doucereux sentiment s'emparant de ton être lorsque tu t'abandonnes à la magie noire, cet art dans toute sa rigueur et sa complexité, devenant une partie de toi, marquée dans ta chair à jamais. Tu es née pour déjouer sa beauté et la présenter au monde comme un joyau, ton joyau. Tu es fille de la Magie Noire, prête à mourir   pour cette magnificence indomptable.  
Tu es la réincarnation de la folie, Nell. La démence en elle-même, cette parcelle d'ivoire prétendant à la raison, mais ne jouant qu'entre les mailles de l’aliénation. Parfois, tu t'abandonnes à tes délires immortels, tes délires causant parfois la perte des malheureux croisant ta route. Tu ne ressens ni la compassion, ni la joie. Du moins, tu ne parviens jamais à l'identifier, à la définir. Ce besoin naturel de l'Homme ne n'appartient pas, il ne s'agit là que d'un fardeau duquel tu préfères te délester. Tu as pourtant déjà ressenti, des émotions en soubresauts étouffant ton cœur et ton esprit, les privant de cet oxygène nécessaire à ta vie. Mais, ces uniques et rares échappées ne sont que des souvenirs que tu tentes d'oublier. Parce que la cruauté et l'indifférence ont tant à t'offrir, un univers infini à découvrir.  
  Sur ton bras, la marque des ténèbres. Ce signe d'appartenance à la cause du Mal, ce Mal dévastant tout sur son passage. Tu appartiens à cette tornade de ressentiments balayant l'humanité en une seule seconde, un seul impact. Ils sont si peu, à tenter de lutter contre ce mouvement en marche, ce mouvement qui vous détruira de l'intérieur. Vous êtes condamnés, toi plus qu'une autre, Nell. Le Mal est marquée sur ta chair, ancrée en toi, sentiment amer te détruisant. Mais, tu n'es pas prête à abdiquer. Jamais. . Sur ton corps, un dragon tatoué à l'encre de Chine, imbibée de magie lui permettant de se mouver sur ta peau de cette grâce unique et légendaire, sa couleur évoluant au gré des humeurs de cette princesse de la magie noire, prouvant par ailleurs la présence de ton cœur entre les entrailles de ton corps de glace.
Nell, source de potentiel et de compétences exilé en Chine par son père. Apprenti d'un mage noir, sa présence dans ce pays lointain est notamment justifiée par le besoin de resserrer les liens commerciaux et en apprendre plus sur le savoir faire local. Au service de sa plus grande passion, elle se livre corps et âme dans la magie noire, se perdant en cet art suscitant la naissance de sa folie. Et, vint le jour où sa raison de respirer la condamna aux enfers. Cette peur de la fin, cette frayeur de quitter les feux de la rampe, de s'éteindre dans la nuit noire, sombrant dans le fléau qu'est l'oubli. Un simple incident, un vulgaire incident. Une trahison t'arrachant le cœur, du moins, le peu te restant. A présent, tu es comme mise à nue, Nell. Tu n'es plus cette carcasse sans émotions. Tu es un cadavre à découvert, das le fossé, là où personne ne viendra t'y chercher. Pourquoi avoir manipulé ce grimoire maudit ? Pourquoi tenter le diable ? Tant de pourquoi inanimés. Inconsciente, le mage noir s'occupant de ta formation te sauva des flammes du temps. A présent, tu n'es plus que ce triste et pâle visage attaqué par la maladie, caractérisé par cette malédiction sans nom. Elle te ronge, assiège ton être, te bouffe de l'intérieur. Tu ne sais quand la fossoyeuse viendra te chercher. Les jours filent, et tu demeures sujet de la peur. Toi, l'imbattable, l'inhumaine, Nell. Le monde sera bientôt libéré de ta monstruosité. Mais, soyez sûr de ce fait, tu seras remplacé. Personne n'est irremplaçable.      
  Félicitation à la jeune fiancée. Une nouvelle parmi tant d'autres, une réalité qui te parvint sous les flots, une pensée passagère. Son visage est cerné par les ténèbres. Mais, malgré son existence fatale, il n'est qu'une illusion, une rumeur sans fondation.   Alors que tu te noies dans cet océan si profond, trop profond, cette bague a ton doigt n'est qu'un poids supplémentaire te précipitant dans ta chute vers les entrailles de la Terre.
Tu n'as jamais aimé que ton propre intérêt, et pourtant, tu sais pertinemment que ton attirance physique se tourne aussi biens vers le sexe opposé que vers le sexe identique. Tu n'as que faire de les distinguer, l'amour et ses variantes sont proscrits de ton langage.  

Nothing compares to you
• pseudo & âge ; Dieu  :queen: Mais, on m'appelle aussi Lucile  perv 16 balais dans six mois à mon actif, et ouais  wesh (c'est mieux que de dire 15  mdr ) . • comment as-tu trouvé le forum ? j'suis tombé sur le bon mur, j'ai foncé et tadaaam me voici sur mon mouton arc-en-ciel !! bbmouton mais, je pense que bazzart y est aussi pour quelque chose  :3:   • ton avis, tes suggestions ; alors alors  trognon déjà, je tenais à dire que omfg, ce forum est sublime, magnifique, splendide, parfait, inconditionnellement parfait, et je suis à court d'adjectifs  mdr  kr que dire à part que le contexte est original et change des autres forums hp que l'on peut rencontrer  ptitkr d'ordinaire, je ne viens jamais sur un forum avec plus de 100 membres, mais bon voilà, je change les habitudes pour vous GOSH et pour ce fucking perfect scénario de Katie, joteeem  I love you  I love you  potte   . • connexion ; environ tous les soirs, et la nuit parfois  hehe  kr . • quelque chose à ajouter ? Vous gérez  iiih  iiih  iiih .



Dernière édition par Nell Burke le Dim 8 Fév 2015 - 1:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 20:48

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Here comes the hurricane
désastre des astres

Intocixate me



Ce silence malfaisant, cette obscurité saisissante, cette puissante déchirante.
Une harmonie des milles et unes afflictions dansant sous tes yeux fascinés, tes yeux détournés de toute lumière pour se noyer dans ces artères noires, si noires, à en souffrir, à en mourir.
Boum.
Boum.
Boum.

Hurle ton cœur, transcendé par ce pouvoir sans horizons, au-delà de toute raison, vers des songes éveillés, des vies par milliers, tant et tant d'émotions méconnus séjournant dans la moindre de tes parcelles. Ce poison, ce doux poison ondulant dans tes veines, sous ta chair, ton être est envahi par ce nectar divin agonisant ton esprit vers des contrées improbables. L'idée même de la lumière n'est plus qu'un vague souvenir voguant vers sa mort splendide et fatale, irrémédiable. Le diable en personne prend possession de ton âme, tu es ce cadavre de douleurs transis par ces frissons en déferlantes.
Tu souhaiterais que jamais cela ne s'arrête. L'éternité caresse ta peau, ton cœur, chuchotant au creux de ton oreille des mots d'amour, ces mots passionnés t'abandonnant à l'addiction.
Tu ne peux plus t'en passer.
Tu ne peux qu'en rêver.
Enfin, enfin, tu frôles la vie.
Tu lui murmures enivre moi.
Tu lui hurles enivre moi, détruis moi, extermine moi.
Tu as besoin d'elle, ton souffle dépend de son joug se refermant sur ton corps, ton âme. Tu t'abandonnes à ce berceau mortel, sans penser, sans même y songer.
Tu es là, au sein de cet univers chaotique, cet univers sanglant et sans frontière s'emparent des limites de ton esprit et te poussant vers cette folie, cette folie divaguant au gré de ses envies. Tu n'es plus qu'objet d'une démence à en mourir. Tu la touches, tu la caresses du bout de tes doigts, tu t'en empares, tu brûles vive, tu renais à la vie.
Et tu deviens sbire de Satan, fidèle à ses désirs.
Ton humanité s'éteint, s'évapore, s'envole entre les remords de ces années passés à sombrer dans l'oubli. Tu sembles comme dénués d'émotion, au fil des ans. Tu chavires, un peu plus, un peu plus loin. Tu es navire se dirigeant sans un arrêt vers cette tornade ennemie, ce blizzard amer prêt à te renverser, à t'égorger, à te poignarder.
Perdre son âme. Un sort pire que la mort, pire que ces souffrances infinis ornant le monde de ces cris sans pareilles, ces hurlements sans vies, ces espoirs anéantis par quelques démons vagabondant sur ces terres damnés.  
Pourtant, tu n'as jamais autant aimé le goût de la douleur, cet arsenic se répandant en toi pareille à la lave dévalant un volcan en éruption, doucement si doucement. Mais, tu es brûlé à vif. A l'intérieur, à l'extérieur, tu dépéris sous cette dépendance argenté.
Elle fait partie de toi, elle s'ancre en toi, elle est là, berçant tes nuits et tes journées, constamment à ton chevet, vaillant sur ta carcasse inanimé.
Tu n'as jamais autant souhaité te délecter de ta propre souffrance. Cette passion déchaîné déterminera ta perte, pourtant, tu t'y accroches, tu t'en empares, tu ne la laisses pas s'évader. Tu es cet homme à la mer s'agrippant fermement à cette bouée de sauvetage. Mais, un jour, il sombrera entres ces eaux troubles.
Tu sombreras entre ces eaux troubles.
Ces si jolis troubles.
De toutes couleurs, de toutes beautés, tu n'as plus conscience de toi-même, ni de ce que tu étais. Tu n'es plus que fidèle à cet art, cet art de la fossoyeuse, cet art autrefois condamnée, à présent enseigné.
Tu te souviens de cette première fois où tu t'abandonnas à elle, cette première fois marquée au fer rouge, la plus belle des premières fois.
Le début de la fin.
Et les années passèrent.
Et ton ascendant décupla sur cette magie si particulière.
Au fond, Nell, tu n'es qu'une camé. Séduite par l'addiction, par ces multiples révélations, tu ne peux plus t'en passer. Tu deviens le Mal, ce mal pourtant si bon.  

Ton cœur s’accélère. Un tambourinement frénétique, le tambourinement de la fin, semblable à une foule enragée. Tu te laisses divaguer, tu perfectionnes ton assuétude.
Une camé gamine, une camé étudiante, une camé adulte.
Tu fus toujours cette camé désespéré, cette camé transformé par sa raison de respirer. Sans elle, tu n'aurais jamais pu tuer, tu n'aurais jamais pu goûter au réel plaisir de l'existence humaine.
Sans elle, tu ne serais rien. Si ce n'est une vulgaire humaine jouant les puissantes, une âme indistincte, mourante, transpirante, plongeant dans l'abîme du semblable. Tu serais la proie et non le prédateur.
Aujourd'hui, tu es détentrice de la terreur, et tu la répands comme une traînée de fumée, sans y penser, indifférente à la douleur sévissant.
La magie noire t'a sauvé,
La magie noire t'a tué.


Et pourtant, tu ne cesses de murmurer.

Enivre moi.

On ne peut plus rien pour toi.  

Marche ou crève

Ton regard or se déposa sur ta nouvelle appartenance, ta nouvelle souffrance, ta nouvelle dépendance.
Ce symbole représentait ton âme, cette âme abîmée par le temps, cette âme détruite par sa propre divergence.
Un crâne, un crâne d'une beauté terrifiante. Et ce reptile, ce sublime reptile s'extirpant d'une grâce maline de sa bouche.
Fidèle du Seigneur des Ténèbres, ou devrais-tu dire esclave ?
Mais, peu t'importait.
Tu étais là. Vivante. Et ta peau incendié par la souffrance de cette nouvelle marque éternelle t'accompagnant jusqu'à la tombe te narguait de sa présence.
Du bout de tes doigts, tu la caressais. Et tu lui promettais le sang.
Ce nectar divin d'un rouge aussi éclatant que celui d'une rose.
Tu souhaitais le contempler s'écouler délicatement de leurs ecchymoses par centaines, balafrant leur peau aux allures inhumaines.
Ange de la mort, au service du diable. De ta magnificence indomptable, tu voulais incendier le monde dans le chaos des ténèbres, les anéantir, les piétiner, les agresser, jusqu'à ce qu'ils n'en peuvent plus, jusqu'à cette fin fatidique où tout espoir ne serait plus qu'une aura éteinte dans les grands matins.
Tu dois poursuivre leur espoir, l'espoir des plus faibles tentant de fuir, de survivre, dans un monde ennemi où la bonté n'est plus.     Et leur arracher cette futile émotion, leur offrir des cris de détresses, les livrer aux profondeurs des enfers pour avoir oser jouer les rebelles.
Personne ne peut se rebeller contre ta haine.
Personne ne peut vaincre ta cruauté légendaire.
Personne ne peut défier les puissances du Mal.
Si ce n'est le cœur lui-même de cette fleur affligée.

Tu te souviens de tes mains, tes mains pâles, soudainement si rouges, si vives, comme embrasés. Mais, la fournaise de ta monstruosité ne cessait de lutter.
Encore, encore.
Tu les contemplais de ta grandeur immortelle, ces êtres translucides, cernés par la fatigue, le délire, le suicide.
Ces traîtres à leur sang, ces esclaves évadés, ces rebelles infondés.
Toutes ces vies gâchés pour fuir, fuir, toujours fuir.
Mais, vient le jour où courir ne peut plus les sauver.
Riposter est la seule solution.
Et alors, nombreux sont-ils à dépérir sous les flots de ta magie noire. Ils ont peur, ils sont au bord du précipice. Tels des funambules, ils tentent de conserver leur équilibre, tandis que de ton doigt, en une seconde, un seul instant, tu les repousses vers les abysses de ce ravin sans fin. L'écho de leurs cris ne cessent de résonner.
Tu es là, face à eux, contemplant leur misère et leur désespérance hurlant à la lune. Tu entends leur cœur battre au creux de leur poitrine. Comme une mitraillette.
Tu ressens leur effroi vagabonder près de toi, ondulant sur ta peau.
Tes lèvres s'entrouvrent en un sourire carnassier.
Adieu.

Lors de ta première rafle, tu ressentais cette palpitation, cette nécessité de tuer, de tous les exterminer. Comme une obligation, un désir si ardent t'incendiant intérieurement.
Ta première victime.
Un jeune rebelle te défiant.
Ses yeux hurlaient Liberté, sa raison implorait ta pitié.
Pourtant, si droit, la tête haute, le regard fier, il fixait l'artisan de sa mort d'une détermination sans fond. Il était prêt à mourir pour sa cause, prêt à décéder pour sa passion envers cette révolte insensé.
Et tu ne le supportais pas. Le voir, , fier de mourir, comme si tu lui rendais le plus grand des services.
Ta Haine, ton immense Haine, ne cessait d'accroître. Tu jalousais sa force, tu jalousais son âme si pure, ses valeurs sûres.
Tu aurais pu le tuer. Tout simplement.
Mais, ton alter ego démesuré ne pouvait l'accepter, ni même y penser.
Tu saisis ta baguette, et de cette voix rauque et dénué de pitié, tu murmurais.
Doloris.
Un gémissement sanglant.
Doloris.
Un hurlement dépérissant.
Doloris.
L'agonie d'un homme dans sa splendeur inhumaine.
Doloris.
L'achèvement de sa fierté.
Son regard éteint, inanimé de sa ferveur d'autrefois. Et tant de murmures il te fallut pour anéantir son être et son cœur.
Pourtant, dans le creux de ses iris, brûlait toujours une étincelle insurgé, l'ultime éclat de vie.
Et ainsi naquit ton sourire. Ce sourire sans joie, sans émotions.
En un sifflement, tu chuchotas à l'infortuné.

Marche. Ou crève.

Dans son dernier combat, tentant de se relever, un sifflement rauque s'échappant de ses lèvres, il s'effondra lamentablement, pataugeant dans son espoir brisé et sa droiture renversé.
Un sourire.

Le coup fatal.

Avada Kedavra.

Human




Un éclair de lumière, toi qui pensais dépérir dans les ténèbres.
Comme une tempête qui t'oppresse, t’agresse de sa folie vengeresse.
La faucheuse armée de cette fatalité si belle entre ces faisceaux éclatants.
Tu te souviens d'un crépuscule, si grand, englobant le monde de sa beauté rare, se dressant si fermement. Le soleil irradiant ton regard, tel une promesse d'humanité s'insinuant en tes pores dévorés par les afflictions de milles et uns démons fusionnant en ta seule âme. Tu étais si jeune, empreinte alors de ce sourire, ce véritable sourire, celui qui embaume votre cœur d'une ardeur dans toute sa splendeur.
Tu pensais à un feu, une tornade de flammes dévalant entre les ruelles sombre. Tu sentais le vent de la peur s'éclipser, tu entendais les murmures de la vie batifolaient de leur énergie propice à ce souffle, cet imposant souffle glissant sur ta chair pareille à des lames de verres.
Pourtant, tu ne souffres pas.
Tu es sereine, sereine tel un lac perdurant sa peine de sa patiente inhumaine.
Tes yeux sont plongés entre les ferveurs de cette sphère de lumière s'envolant sous terre, là où règne les fidèles de la Cruauté en elle-même, là où ils t'attendent, Nell. Ils susurrent ton nom, te réclament, tentant de te dissuader de contempler les rayons du soleil, tentant de t'interpeller vers la Haine véritable.
Mais, tu demeures immobile. Condamnée à devenir jouet de tes émotions, jouet de cette sensation t'offrant ce miracle qu'est la fascination.
Pour la première fois,
Pour la dernière fois.

Tu ressentis l'espoir.
Ce sentiment d'ivoire assiégeant ton être. Et cette promesse...

Mensongère.

Et le sifflement de ton Diable personnel t'emportait au-delà de cet instant d'humanité.
Et ton espoir que le soleil ne cesse de briller s'éteint à jamais.

Tandis que ton âme s'éveillait entre les profondeurs de la terre. Pour l'éternité.

Tu ne retrouvas jamais l'espoir.
Tu ne revis jamais le soleil.


Souvenir amer te brisant.

Est-ce la mort qui t'implore de renaître à la vie ?

Run, run, run


Résurrection.
Mais, dans quel condition ?

Tes yeux palpitent, ton cœur s'anime.
Ta vie est là, victorieuse.
Tu es victorieuse, Nell.
Personne ne peut t'anéantir, pas même la fossoyeuse.
Tu es de ceux qu combattent les poings serrés, de ceux qui tuent avant d'être tués. Et tu l'as exterminé la mort, d'un coup fatal.
Un jour, elle reviendra te chercher, un jour elle se délectera de sa vengeance.
Mais, pour le moment, tu peux Vivre, exploser de milles et uns frissons crépitant en toi pareilles à la braise en combustion.

Tu te sens défaillante,
Tu te sens tremblotante,
Tu te sens martyrisée, exterminée, souffrante de ces douleurs d'en finissant pas d'aboyer.

Mais, plus que tout, tu te sens en Vie. Et personne ne peut te prendre cela.
Tes yeux s'entrouvrent sur une vive lumière, tu penses retrouver le soleil de tes rêves.
Mais, l'illusion de cette réalité contournée t'encercle soudainement. A quel point es-tu en vie ? A quel point es-tu morte ?
Tu ne sais rien, tout n'est que confusion, une confusion sans fond s'entremêlant entre des larmes.

Des larmes.
Des larmes de détresses, des larmes glacées par les remords, des larmes vagabondant sur ta peau pâle.

Et, en cet instant, tu sais que rien ne sera plus jamais pareil.
Parce que tes larmes sont le présage de ta faiblesse, toi qui jamais ne goûta à ce nectar salé tant regretté.
Tu ressens la maladie t'envahir, tu ressens la douleur te tourmenter de sa monstruosité sans limite. Ton être se retourne contre toi, Nell.
Il ne veut plus de toi.
Tu es piégée dans une enveloppe corporelle qui te rejette.
Elle y parviendra, ils y parviennent tous.
Tu voudrais taper, frapper, tuer le monde, anéantir cette terre de désolation de tes afflictions par millions.

Mais, tu ne peux que ressentir.
Percevoir les rires de la fatalité s'envolant sous cette brume enneigée. Avant qu'une parole ne soit dégainée, tu te sais condamnée.

Tu es condamnée, Nell.
Tu n'es plus qu'un cadavre abandonnée en ce paysage chaotique, dans la noirceur de sa haine.
Tu es soudainement si frêle, si vide, une plume morte desséchant sans lumière.

Et tu pleures, Nell.
Tu n'es plus qu'un ruisseau, un ruisseau intarissable.  

Parce que même toi, tu as peur.
Tu as si peur, tu es cette âme recroquevillée sur elle-même, se balançant d'avant en arrière, semblable à une petite fille apeurée.
Tu n'es plus le terrible Ange de la Mort. Tu es telle l'une de tes innombrables victimes, tu es cocon de frissons, cette carcasse de douleurs.

La Vie s'estompe.

Tic.
Tac.
Tic.
Tac.


Tu as peur,
Tu as honte,
Tu n'es plus qu'une ombre esseulée de toute ferveur.

Et alors, tu te murmures.
Adieu.

Quand la faucheuse  sonnera t-elle sa clémence ?

Tic, tac... 

Cours, cours, cours. Avant qu'elle ne te rattrape.






Dernière édition par Nell Burke le Mar 10 Fév 2015 - 21:09, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 21:16

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sky, le nom, la famille, le titre, le scénario. yeux yeux tbe
bienvenue craque
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 21:36

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Bienvenue parmi nous damoiselle What a Face
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 21:51

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bienvenue potte
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 22:30

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
You make me wanna die (Nell) Tumblr_ob1ibueZ761rmsoypo3_250

‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14294
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
You make me wanna die (Nell) 489546spea
Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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t'as l'air trop cooooooool trop délirante et tout, je kiffe What a Face perso j'aime pas Sky mais elle est carrément hypnotique sur l'avatar que t'as choisi owi BIENVENUE avec ce scénario tout à fait intéressant, y'en a une qui avait super hâte de te voir et qui va sûrement être ravie What a Face bon courage pour ta fiche & n'hésite pas à nous contacter si besoin !

edit ; ton titre jule
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptySam 7 Fév 2015 - 22:57

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aw, je fais une overdose de belles gueules GOSH han pis votre accueil, vous êtes perfect colors (et je suis so bilingue mdr )

draco. je te retourne le compliment trognon j'avoue que je l'aimais pas non plus, au début, mais là je sais pas, je suis tombée amoureuse, comme ça d'un coup mdr et perso je peux pas dire que j'aime pas tom felton, et je peux pas dire non plus qu'il est pas hypnotique sur tous ses vavas gaah potte du coup, merciii !! kr
et ouais, mon titre perv
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptyDim 8 Fév 2015 - 1:08

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Officiellement bienvenue sur Excidium !!!!  iiih  iiih
Bon alors premièrement le début de ta fiche est un rêve éveillé - tu as une super plume !! kr kr  Tu es parfaitement taillée pour le scénario - je n'ai rien à redire à part de continuer à prendre ton pied avec mon scénario !! lapin  Ah oui et j'oubliais...JOTEM AUSSI placard
Et EN PLUS dans ta signa' tu reprends une quote de Sucker Punch potte potte
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptyDim 8 Fév 2015 - 1:35

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Aaaw, Katiie iiih iiih palpite palpite GOSH GOSH yiih yiih pétille pétille The perfection adore J'ai pas pu résister à ton scénario, il était juste trop, trop, trop parfait sex sex  comme toi yiih
merciii pour tes compliments, j'espère vraiment que j'arriverais à bien cerner le personnage dans mon histoire kr kr Et, aucun soucis, je compte bien continuer à prendre mon pieds avec ton scénario so badass !! iiih iiih
Et ouais, du Sucker Punch pur et dur fire palpite Parce que ce film, ommg potte

Voilà voilà bbmouton Encore une fois, joteem GOSH
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MessageSujet: Re: You make me wanna die (Nell)   You make me wanna die (Nell) EmptyDim 8 Fév 2015 - 12:51

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Bienvenue sur excidium, quelle entrée perv
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