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sujet; Maksim • Vouloir, c'est pouvoir. |
 | Maksim prénom² Dolohov feat Tom Hiddleston • crédit swan
 | Death Eaters • Prédéfini
• nom complet ; Il porte le prénom de Maksim et le nom qui fait frémir les lèvres en Russie, son pays d'origine : Dolohov. • surnom(s) ; On le surnomme souvent "Maks" ce qu'il déteste et qui généralement le fait rentrer dans une colère noire. Lorsqu'il dirige son réseau dans l'illégalité la plus totale, il se fait appeler Lord. Quelque part c'est une provocation, il en est conscient. • naissance ; Il est né à Moscou en 1968. • ascendance ;Sang-Pur. • camp ; Il a prêté allégeance à Lord Voldemort bien qu'il soit avant-tout dans son propre camp. • métier ; Mangemort dans la vie courante, dirigeant du réseau de psychotropes sorciers en sous-marin. • réputation ; On le sait très proche du Lord, étant l'un des plus fidèles mangemorts de ce dernier, il lui arrive d'être reconnu mais il fait généralement en sorte qu'on ne se souvienne pas de lui, préférant l'anonymat à la célébrité. Pour des questions pratiques, évidemment. • état civil ; Il est marié. • rang social ; Mangemort. • particularité(s) ; Aucune. • patronus ; Autrefois, il produisait un majestueux ours brun mais aujourd'hui, il n'y arrive plus. Lorsqu'il arrive à être joyeux, ce n'est jamais assez pour produire un patronus formé. • épouvantard ;Il se voit sur le déclin. Il voit son clan abandonné, détruit, fumant. Il se voit errer, seul, oublié. Il voit sa gloire s'effacer et l'avenir d'une obscurité s'approcher. • risèd ; L'alliance est un succès, le régime anglais s'est exporté en Russie, et tout va bien. Le clan rayonne, tout est parfait. • animaux ; Aucun. • baguette ; Sa baguette mesure trente-centimètres, elle est en bois de houx et se compose d'un ventricule de cœur de dragon. • miroir à double sens; RAS. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Objectivement, tout pourrait être encore bien mieux qu'aujourd'hui. Maksim est un homme dévoué qui n'avouera jamais au Lord ses pensées les plus profondes. En surface, le régime politique lui convient parfaitement, il sait se montrer heureux, souriant et d'entrain mais au plus profond de lui, il trouve que tout cela ne va pas assez loin. En tant que dirigeant d'un réseau parallèle, il serait plutôt du genre à vouloir légaliser son activité pour en vendre deux fois plus. Maksim n'est pas du genre à faire du militantisme politique plus qu'il n'en faut, il montre son soutien au Magister, il fait son métier convenablement mais il se fiche bien de certains aspects. C'est un marchand de plaisirs et il voit en ce régime la manière la plus rapide de diriger ses affaires, puisqu'il est dans les bonnes grâces du "patron". Certains aspects de la dictature ont son adhésion complète. Par exemple, la vente et l'exploitation des Rebuts est une idée à laquelle il apporte son soutien le plus total. Même plus puisqu'il en fait lui-même l'usage régulièrement. Il y aussi les événements spécialement organisés pour l'élite qu'il aime, ça lui permet bien évidemment de vendre énormément d'Orviétan. Le requin partage également la vision des Mangemorts : le sang doit être préservé. Bien qu'il ne s'agisse pas du seul critère important à ses yeux, il voit le sang comme un critère social d'une importance capitale. Élevé dans l'idée qu'un sang-pur domine par définition le reste des sorciers, il y croit dur comme fer et méprise les "êtres inférieurs" issus d'un brassage de sang moins délicat. Redoutable dirigeant de clan, il comprend parfaitement que le pouvoir en place ait besoin d'utiliser la force pour faire taire les voix discordantes. Lui-même sait faire preuve de fermeté lorsque cela s'avère nécessaire et il est conscient qu'un règne aussi juste que celui du Magister fait naître quelques ambitions démesurées de justice qu'il déteste. Et bien que la guerre civile soit longue, s'il faut qu'elle dure encore vingt-ans pour mater la rébellion et bien certes, elle durera le temps qu'elle durera. ► Infos en vrac : Maksim est un requin en affaires. • Son métier est d'un ennui profond et il ne s'y résout que pour préserver son précieux rang. • Maksim est un homme particulièrement persuasif et manipulateur. •Bien qu'il en fasse de temps en temps, il considère la politique comme quelque chose de pénible et préfère le milieu des affaires si illégales fussent-elles. • Il dirige le clan Dolohov d'une main de maître et rêve de revoir un jour sa Russie natale. • Il se fait appeler "Le Lord" dans le milieu des trafiquants. C'est un défi, une provocation sans doute mais c'est surtout parce qu'il souffre d'un cruel manque d'imagination lorsqu'il s'agit de nommer les choses. • Il est un infidèle reconnu et n'hésite pas à coucher avec la première femme qu'il rencontre. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Vibrator, 20 ans • comment as-tu trouvé le forum ? J'ai suivi Cersei *o* • ton avis, tes suggestions ; Il a l'air vraiment très cool. • connexion ; Normalement tous les jours. • quelque chose à ajouter ?Rien pour le moment  .
Dernière édition par Maksim Dolohov le Mer 25 Mar 2015 - 10:27, édité 4 fois |
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| | Here comes the hurricane Que c'est dur ici, comme un sale enfer.
Little Dolls  Sourdine. Un bourdonnement. Une sensation de n'être rien. De ne plus être. Une sensation de vivre sans mouvement. Mécanique. Robotique. Un haussement de sourcils, un mouvement de tête vers la gauche. Un autre vers la droite. Une sensation de ne plus être. De s'élever, de voler, de flatter un quelconque dieu, de monter au ciel suprême. De s'expulser hors de son corps. De flotter. Un bruit. D'autres saccades. La délivrance ? Pas tout de suite. L'ascenseur, son sang monte puis redescend. Son esprit s’embrume, il se met à penser mais il oublie bien vite, il s'agrippe. Toujours en plein vol spirituel. L'homme est ravi, il pousse même de petits cris. On croirait un animal en plein coït. Puis un sourire béat. Le monstre se retire petit à petit. Son esprit est apaisé. Ses tracas sont oubliés, au moins pour un temps. Adossé au mur, ses fesses sur le sol, il ne semble plus vouloir bouger. Ses yeux sont clos, on pourrait même penser qu'il dort, là, dans le coin sordide d'une rue passante. A son côté, debout, un duo se tient attentif. Les quatre yeux sont rivés sur le toxicomane. Le plus grand des deux, un type assez grand tient un parchemin et une plume à la main. Il semble griffonner. L'autre se contente de regarder, un sourire vissé aux lèvres. Le grand type renifle, il frémit. Le temps n'est pas au beau fixe et le vent qui s'engouffre des deux côtés de la rue produit un effet plus que désagréable sur sa peau lisse. Ses cheveux virevoltent légèrement. Là, au moment où il étudie le comportement d'un pauvre type, il se promet d'aller chez le coiffeur. Le scribe d'un soir prend la parole, sa voix d'un grave monocorde résonne sur le bitume goudronné, vient s'écraser sur la surface trempée des immeubles et glisse jusqu'à son camarade. « Crois-en mon expérience, ce produit va faire un malheur chez nos amis.» L'autre homme acquiesce. Il s'accroupit et se met face au cobaye humain qu'ils viennent d'utiliser. Le Rebut est dans un état pitoyable, ses yeux sont injectés de sang, lorsque l'homme fait claquer ses doigts en face de ses yeux, il n'a même pas le droit à la réaction craintive que l'homme a généralement. Il ne réagit à rien. Il est perdu. Alors qu'il se relève, le drogué émet une série de gémissements. Pas de bonheur cette fois. Ça semble plutôt douloureux. Sa bouche est parfaitement ouverte et au milieu de filets de sang, il arrive encore à brailler. Le rédacteur lève les yeux vers le corps qui s'agite. Des soubresauts. Son subordonné s'approche dans l'espoir d'aider le mourant. . « Laisse-le. Je dois voir combien de temps il met à mourir.» Son ton est sans appel, et l'homme sait que ce n'est pas la peine de discuter, son patron est décidé. Le Lord a la réputation d'être particulièrement dur en affaires et ce soir, il ne démord pas. Il griffonne encore sur son parchemin. Il sait qu'il a besoin de trouver le dosage parfait avant de le proposer à ses clients. Il doit pouvoir être certain que le produit n'est pas mortel. Du moins, pas immédiatement. Au sol, le toxicomane forcé meurt enfin. Il range le parchemin et la plume dans la poche de sa cape après avoir pris soin de noter le temps exact. Le dosage est loin d'être approuvé. Son assistant s'occupe de maquiller la scène pendant qu'il contemple l'horizon par la lucarne offerte par deux immeubles. La lune est belle, et bien qu'il fasse froid, le ciel est plutôt dégagé. Dolohov aime le ciel. Le ciel lui rappelle pourquoi il fait ce qu'il fait. Pour l'atteindre, pour toucher le sommet. « Tout est parfait patron ! » s'exclame son jeune assistant. L'homme acquiesce. Lui tournant le dos quelques secondes auparavant, les deux hommes se trouvent maintenant face à face. L'autre a compris. Il supplie du regard mais il est déjà trop tard et avant qu'il ait pu ouvrir la bouche, un éclair vert le percute et il s'effondre à côté du Rebut. Ne pas laisser de traces. Jamais. Telle est la devise d'un influent trafiquant. All To Well  Les souvenirs. Ils étaient pénibles. Plus envahissants que la mauvaise herbe. Plus imprévisibles que les moustiques. Les souvenirs avaient cette habitude fâcheuse à venir vous prendre n'importe où. Les souvenirs ne s’embarrassaient jamais des formules de politesse lorsqu'ils passaient à l'assaut. Ils étaient des guerriers, des chacals à l'affût du moindre abandon de l'esprit. Et les souvenirs de Maksim Dolohov avaient tous la particularité d'être peu joyeux. A vrai dire, l'homme ne se souvenait même plus de la dernière fois où il avait été particulièrement épanoui et complètement lui-même. Ce temps était révolu depuis bien longtemps. Depuis la mort de son frère, sa vie avait été un amas de choses complexes emmêlées qu'il fallait démêler par la suite. Autrefois, c'était un riche russe basique. Sa position de petit dernier lui permettait d'être particulièrement libre et de se moquer des histoires de famille. Son frère avait la lourde responsabilité de faire vivre le clan, quant à lui, la débauche était son amie. Filtrant toujours avec la ligne rouge, il s’enivrait jour après jour, courant la donzelle comme s'il était un fin pur sang arabe sur un champ de course. Quelque part, c'était une époque maudite, une époque où sa vie n'avait aucun but et où il détestait profondément ce qu'il était. C'était le temps où la futilité était son quotidien mais parfois, il se prenait à rêver d'y retourner. Lorsque la pression devenait trop forte, il se réfugiait dans les souvenirs de sa Russie natale où il aidait son frère dans les diverses affaires familiales. Quand ce dernier vint à mourir, tout l'équilibre du clan Dolohov branla sérieusement. La bataille de Poudlard avait emporté les meilleurs dont faisait parti Antonin. La place de patriarche revenait donc au jeune homme mais on le savait décadent et parfaitement irresponsable. Aussi régna-t-il une ambiance de guerre froide dans la famille. On tenta de renverser son autorité et de commettre une mutinerie dans les règles de l'art mais c'était sans compter sur la poigne bien camouflée du jeune homme. Il avait exercé son rôle de souverain domestique à la perfection. Et aujourd'hui c'était cet épisode particulièrement marquant qui lui revenait en mémoire. Cette époque n'avait pas été facile à gérer. Alors qu'il avait démissionné des responsabilités depuis longtemps, menant une scolarité banale, il se retrouvait propulsé à la tête des affaires de sa famille. Son frère ayant passé une alliance avec le Magister, il avait organisé un départ précipité pour l'Angleterre. L'alliance était en marche. Il avait épousé une femme issue d'une famille aussi riche que la sienne et d'une beauté grandiose. Mais cette union s'était dégradée au fil du temps et s'il l'avait aimé un jour, il la haïssait aujourd'hui. La femme était insupportable et Maksim en venait parfois à souhaiter qu'elle meurt. Si fort qu'il l'avait déjà menacé à quelques reprises déjà, lui promettant un enfer si elle ne se calmait pas un peu. L'acclimatation à l'Angleterre avait été dure, habitué à sa mère patrie, il n'avait pas apprécié immédiatement les particularités locales et cette marque sur le bras qui le brûlait... Mais il avait cette force, celle de s'adapter. En quinze ans, il avait réussi à prendre la tête d'un réseau de trafiquants de psychotropes en Russie où il se rendait encore régulièrement et trois ans plus tard, ce réseau était même parfaitement implanté dans son pays d'adoption. Bien qu'illégales, ses activités nocturnes procuraient à l'homme la dose de piquant qui lui manquait lorsqu'il se contentait de son travail. Au Ministère, c'était un employé efficace, le genre de bureaucrate de haute importance qui n'aimait pas aller sur le terrain. Donner une image différente était importante. Jouer le flemmard avait quelque chose de séduisant. Conscient de sa position au sein du régime, Dolohov se montrait également comme un mangemort convaincu. Il partageait les décisions de son chef et vouait une haine sans bornes aux gens qu'il voyait comme des êtres inférieurs, bons à être exploiter. Lorsque le système des Rebuts était arrivé, Maksim était heureux de pouvoir en profiter. Il en avait acheté pour son commerce parallèle, les transformant en cobayes pour tester ses drogues mais également pour vendre leurs services. Il partait du principe que seule l'imagination du client était une borne aux traitements qu'il autorisait. Lorsque des réjouissances étaient organisées pour l'élite, on faisait toujours appel au Lord pour fournir certaines choses. Devenu très en vogue dans le milieu des drogues, diversifier ses activités s'était imposée comme une évidence. Heroes Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. 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Dernière édition par Maksim Dolohov le Mer 25 Mar 2015 - 12:41, édité 16 fois |
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HERO • we saved the world June Winchester  | | | | | |
| | Je ramène Lucrezia rien que pour tes beaux yeux  BIENVENUE  Bon courage pour ta fichette, la plume est prometteuse J'avais un lien avec l'ancien Maksim donc je compte bien te harceler  |
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| | Bonjour et bienvenue sur Excidium !! Super choix de PV. J’avais un lien avec l’ancien Maksim qui était mon mentor chez les tatoués :p et j’avais aussi créer un sujet… x) Je ne sais pas si tu souhaiteras conserver le tout, quoi qu’il en soit j’ai hâte de lire ta fiche !!! Bon courage  |
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| | Bienvenue ici  (ce pv est super, la joueuse bave derrière son pc) Sinon, j'avais aussi un lien avec l'ancien Maksim , je te harcèlerais aussi quand tu seras validé  |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy |
Dernière édition par Draco Malfoy le Mer 25 Mar 2015 - 15:14, édité 3 fois |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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| | | | | | | | Maksim • Vouloir, c'est pouvoir. | |
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bon et puis Tom est ultra bavant comme mec donc ça n'aide pas non plus 
Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.
ton début est déjà top, tu as l'air d'avoir bien cerné le perso en plus d'avoir, comme l'ont dit les autres, une plume tout à fait agréable 
) n'hésite pas à venir trouver le staff si tu as besoin de quoi que ce soiiiit 
bon courage pour la suite