► Avis sur la situation actuelle : régime politique, vente des Rebuts, traque des insurgés, durée de la guerre (5 lignes).
► Infos en vrac : elle est douée dans l’autodéfense physique, pratique quand on a plus sa baguette • quand elle réfléchit la plupart du temps elle regarde dans le vague et elle fait différentes moues plus ou moins étranges. • combative, la vie n’a pas été tendre avec elle, elle a donc appris très vite à se battre contre les évènements, pour s’en sortir. • l’un de ses plus gros défauts c’est sa difficulté à entrer en contact avec les autres, elle adorerait pouvoir aborder les gens plus facilement, à passer plus de temps avec eux. • son corps est recouvert de cicatrices, nombreuses elle n’a pas voulu qu’elles soient toutes gommées par la magie, justifiant ça par un « ce n’est pas en effaçant des cicatrices qu’elles disparaîtront » et elle a une louve dessinée de manière géométrique légèrement coloré sur son épaule gauche. • une rumeur : elle est froide et un peu impressionnante. • son enfance a été très difficile, elle a été battu, elle a subit divers sévices • elle a grandit dans une secte moldue isolée des réalités de l'époque que ce soit d'un point de vue moldue ou sorcier • ses pouvoirs ce sont manifestés tôt au travers de pic de magie, comme une maladie l'émergence de cette magie l'a fait devenir l'idole de la secte, le "chef" y vu un signe des forces de la nature, il pensait même que s'il venait à mourir elle le ressusciterait • elle n'a pas de famille au sens que l'entend la société, ces parents/géniteurs ont été tué un dans l'incendie de la secte • elle a toujours eu l'impression de ne pas être l'enfant au sens génétique de ces parents parce qu'elle sentait que son environnement était malsain, anormal pourtant elle est née et a grandit dans la secte • la force magique qui la compose est supérieur à celle habituelle et aussi plus compliqué à canaliser • suite à l'incendie de la secte elle a été très rapidement récupéré par le ministère de la magie pour la placer à Saint Mangouste et travail avec elle• on lui a offert un phénix un an après qu'elle ait survécu à l'incendie la personne lui dit qu'elle méritait au moins ça, que malgré son jeune âge elle avait déjà deux vies à son actif •etc.

• pseudo & âge ; réponse. • comment as-tu trouvé le forum ? en allant de partenaire en partenaire sur différent forum, le genre de situation où tu te dis, bon allez je passe qu’un quart d’heure sur le net et que une demie heure plus tard tu te retrouves avec une dizaine voir une vingtaine d’onglets ouverts... • ton avis, tes suggestions ; ça fait plaisir de s’inscrire sur un forum qui ne va pas se fermer dans une semaine, qui a des bases solides, où on répond rapidement aux questions, où on est bien accueilli le tout dans un beau design. Juste une petite chose : sur le design précédent y avait pas beaucoup de contraste entre le fond des catégories et les descriptifs du coup c’était un peu difficile de lire • connexion ; en générale, quasi quotidienne, sauf la semaine prochaine où j’ai mes partiels, après c’est les vacances donc plein de temps libre dont une partie prévue pour le forum !! • quelque chose à ajouter ? critiques sur le personnage, idées, envie de lien plus ou moins tordues n’hésites pas à me contacter à la suite des messages ou par mp :)

La vie est une maladie mortelle, ces quelques mot flottent dans son esprit, la voix douce de Monica l’appaise quelques microsecondes, juste un instant, un mini-instant. De toute façon il ne lui reste que quelques instants, combien exactement ? Elle ne sait pas, elle n’est pas certaine cependant une choseest sûre : elle n’en a plusbeaucoup, juste une poignée et l’assurance de s’étindre dans une grande souffrance. Pourtant aucun cris ne sort, aucune larme rongent ses joues, les seules gouttes qui dévalent sa joue droite sont rougeoyante, le sang. Mais elle ne s’en préoccupe pas, son intention est dirigé vers le corps affaiblit de son amie. Elle chuchotte une petite contine, elle ne peut lui donner que ça.

La vie est une maladie mortelle, un petit rire lui échappe, un gloussement désincarné. Oh oui la vie est une maladie mortelle, elle a déjà l’impression qu’une partie d’elle est partie, son maigre poids lui parrait plus léger. La chaleur des flemmes qui mordillent la batisse et qui les engloutira. C’est à cet instant qu’une larme dévala sa joue, à l’instant où elle sentie toute la pesanteur d’être dans cette situation, si proche de la mort, l’avait quitté. Une sensation étrange, qui ne faisait que rendre la fin plus perceptible. Comme si avant de nous attraper la mort nous offrait quelques secondes de répis. Elle papillonna des yeux quelques secondes, sentant son corps s’affaisait de plus en plus. Elle pourrait décider d’arrêter, d’arrêter de lutter et se laisser emporter avec les flemmes. Cependant elle décida de rouvrir les yeux, avec difficulté. Et des flammes s’approchant, de la fumée emplissant l’espace se détacha une silhouette pareil à celle d’un détraqueur,  à part sa taillequi est bien plus grande. Emmitoufflée,cachée sous d’épais tissus noire La mort prononça ces mots « tu te bats petite, malgré toutes les épreuves que tu as vécu, tu te bats toujours. C’est…remarquable » cette voix indescriptible mais pourtant descriptibles sur certains points comme l’impression qu’un sourire s’applique sur le visage de La mort, la faucheuse. Etait-ce la réalité ou une hallucination ?
Remarquable, ce mot ne devrait-il pas être le dernier entendu par elle, elle qui n’est qu’une enfant de neuf ans, elle qui deviendra Siobhan, elle qui pensait ne pas rouvrir les yeux. Pourtant ils se rouvrirent, avec difficulté, elle fut elle-même surprise de ressentir quelque chose, de sentir la lourdeur de la douleur, de la fatigue revenir peser sur elle. La petite fille ne parvint pas à ouvrir complétement ses yeux, ils ne firent que papilloner comme si, eux aussi, ressentait la lourdeur de la douleur. Et bien qu’elle finit par clore ses yeux, ses oreilles fontionnaient bien que ça tête semblait êtr préssée entre deux serres-livres en plomb. Alors les mots qu’elle comprit, les mots qui venaient de deux personnes à quelques mètres du lit d’hôpital, lui servirent d’indices pour savoir où elle était.
« C’est un miracle… le feu sortait de partout… il a foutu le feu, l’assaut avait été donné…. Y a quelques balles d’échangées puis il a foutu le feu… les cris ont retentit, de peur mais aussi comme… un cri de victoire, il hurlait vous nous aurez pas…un malade ! un peu après y a cette enfant qui sort des flemmes avec une autre qu’elle porte presque… elle semblait pas éveillée, protégée par un espèce de bulle, on a été plusieurs  à voir ça, cetteespère de bulle qui protégeait les deux gamines… je sais que c’est dingue… on arrive pas à l’expliquer, la bulle a disparu une fois qu’elles furent en dehors du feu… et elles étaient dans un état ! on a jamais vu ça…il va leur falloir de l’aide…quand on a finit par maîtrisé le feu, on a inspecté l’intérieur, tout était brulé et derrière la maison on a trouvé une sorte de cimetière… oui un cimetière, plusieurs tombes avec des noms…comme si ça faisait plusieurs dizainees d’années que la secte était établit là… »
Les informations se cognaient dans sa tête, une tête si lourde et douleuse qu’elle ne put s’empêcher de grogner légèrement ce qui n’attira pas l’attention des deux hommes, sans doute trop plongé dans leur conversatiion. j’ai survécu…j’ai vu la mort… les flemmes…. Comment c’est possible ? une bulle ? une bulle magique ? mais j’ai vu la mort… ou peut être pas, c’était une allucination ? je suis en vie… et Lyssa, Lyssa ? c’est à la pensée de son amie que la jeune fille parvint enfin à ouvrir les yeux et ce qui devait être une phrase ne fut qu’un grognement. Un grognement qui cette fois-ci attira l’attention  des deux hommes. Ils s’approchèrent de la jeune fille, ils portaient tout deux un uniforme noire, l’un avec un peu de rouge sans doute un pompier et l’autre avait des initiales blanches sans doute un membre du groupe d’intervention de la police. Le premier resta choquée par le grognement  de Siobhan, il ne s’attendait pas à ce qu’elle se réveille aussi tôt avec toutes les blessures qu’elle avait. Le second prit la parole, un peu surpris lui aussi il préfera caché ce sentiment en parlant de manière simple et plus forte que précedemment.
« tu es à l’hôpital, tu as survécu, on sait pas comment mais tu as survécu… » Siobhan l’observa et par automatissme quand il s’approcha de son lit elle se recula légèrement ce qui  la fit couiner de douleur. « tu es en sécurité ici. On va prendre soin de toi… » il lui sourit, un petit sourire pour tenter de masquer toute l’horreur que lui inspiré ce corps frêle de petite fille. Un corps qui avait subit bien  des sevices : privation de nourriture, de soleil, des coups, des brûlures et dont la salleté ne laissait aucun doute : cela faisait plusieurs jours qu’elle était enfermée. Mais pour le moment ce n’était pas ce qui compté pour elle, elle entrouvit la bouche, prête à parler mais rien ne sortit. Elle retenta sa chance et cette fois-ci ses paroles furent audibles bien que sa voix était faible, fragile à l’image de son corps. « Lissa…lissa elle, elle est là … ? » elle décrocha son regard du visage du policier pour regarder la porte entrouverte de la chambre d’où discutait les deux hommes.

« oui, elle est en vie, tu lui as sauvé la vie. Tu… » il n’eut pas le temps d’achevé sa phrase, « y en a d’autres ?... d’autres survivants ? » après le bref soulagement qui put se lire sur son visage quand on lui avouaa que Lissa était en vie disparu bien vite pour être remplacé par de la peur. « il n’y a que vous deux… » « vous… vous êtes sûr ? » le policier acquiessa « il n’y a que vous qu’on a retrouvé vivantes. Les autres… »  « les autres sont morts par les balles ou par le feu… » Elle ferma ses yeux quelques secondes et expira un bon coup comme soulagée. « il faut que tu te reposes, tu restes sous surveillance, quelqu’un passera pour prendre des photos, d’autres personnes viendront pour te parler, te poser des questions sur ce que tu as vécu… » « Clarissa Milles » « Clarissa Milles, LA Clarissa Milles ? la surprise du policier se lisait autant sur son visage que dans le ton qu’il avait employé. « elle m’avait dit qu’elle était portée disparue, elle est morte il y a six mois…il…il disait qu’elle était partie mais je pense qu’il l’a tué. » Le policier qu’il était avait envie de lui poser tout un tas de questions mais l’état de la jeune fille le préocuppait plus, il vallait mieux la laisser se reposer et poser des questons plus tard. « si…si vous la trouvez…si elle est vie dites le moi…sinon vous… vous la trouverez dans …le champ après les animaux, pas au cimetière. » là ce fut plus fort que lui, il posa des questions « un cimetière ? y a donc deux endroits où y a des morts ? » la jeune fille acquiessa elle voulu reprendre la parole mais la fatigue l’en empêcha, elle se concentra alors quelque ssecondes sur sa respiration, une respiration aidé par le tube nazale d’oxygène qu’on lui avait posé. « le cimetière » - elle leva, par automatisme ses mains pour faire des guillemets, une fois de plus un geste anondin fut source de douleur. « y a l’officiel et l’autre…les gens morts naturellement ou qui le paraissait et les autres…ceux qui ont voulu partir, qui ont eu des problèmes, ils disparaissaient … » et alors que son côté policier questionneur le démangait une infirmière fit irruption « l’interrogatoire c’est fini, elle abesoin de repos, laissez la tranquille »
Oh oui elle avait bien besoin de tranquilité, malheureusement cette dernière ne suffira pas à apaiser ses blessures, seul le temps pourrait avoir un effet sur elles et encore il est certain que jamais ça ne disparaitra complètement. Et au fond c’est normale vu la gravité de ce qu’elle a subit. Jamais personne ne saura la totalité des sevices qu’elle a subit, jamais elle ne rendra compte de toute la violence qu’on lui a fait. Les policiers, les psychologues ne  parvinrent à tout savoir. Pour ce qui est des policiers, elle ne dit que le strict minimum, il ne restait plus qu’elle et Lissa, alors elle dit aux policier quelque chose comme « à quoi ça servirait de tout dire ? il n’y a personne à sanctionner » quant aux psychologues elle lâcha quelques informations de plus, tenter par le temps d’espérer (ce qu’elle se reprocha) que parler pourrait vraiment aider. Et pourtant des informations sur elle sont nombreuses, énormes malgré son jeune âge. Elle n’avait que huit ans quand on l’a sauva de la secte ou plutôt elle sortit des flemmes et on la récupéra. Pendant un temps elle tenta de se convaincre qu’elle était vraiment en dehors de la secte, presque envie de dire libre mais la liberté nécessite bien plus d’aspects. Normalement, à cet âge là nous sommes censé être naïf, ne pas se préoccupe de la liberté parce qu’on vie le moment, on n’envisage pas tout, on est censé jouer, apprendre, tester les limites des adultes…mais la normalité ne correspond pas à elle.

Oh oui la normalité est tellement loin de la réalité pour des milliers de raisons où on trouve ce genre de détail : elle est née et a été élevé dans la secte, elle n’a pas de papiers d’identité/de naissances officiels, elle ne savait pas qu’elle âge elle avait, elle n’en était pas certaine parce qu’ils ne fêtaient pas les anniversaires parce que selon eux la notion d’âge a été désincarné, séparé de sa signification originel par la société moderne en commercialisant cet événement. La secte avait une philosophie de vie proche de la nature, croyant à la force élèvements naturels ce qui aurait pu donner une vie en communauté sympathique, enrichissante sauf qu’à ces croyances c’est mêlé des pratiques biens loin de la beauté de la nature. Le chef avait ajouté à cette vision de proximité à la nature, une exclusion complète des membres de la société normale = ceux qui ne faisaient pas partis de la secte, un culte de la personnalité néfaste. Inutiles d’entrée dans les subtilités de la secte car « après tout elle n’existe plus ». Elle n’existe peut être plus physiquement mais dans l’esprit de la jeune femme elle existe toujours car elle en porte encore les traces à la fois physique et psychologique. On l’a frappait régulièrement, on l’isolait pendant des jours entiers. Ces actes étaient justifiés par l’idée que  l’isoler, la mettre à mal ferait ressortir ses pouvoirs. Oui des pouvoirs, des pouvoirs qui  commencèrent à se manifester tôt, trop tôt. elle faisait comme des crises de magie, mais dans son environnement il n’y avait pas de sorcier, elle était entouré de que plus tard elle appellera moldue. Cette caractéristique lui fit d’abord peur, puis elle chercha à mieux maîtriser ses crises et tenter de diriger l’énergie vers des cibles, l’aider à trouver un moyen de s’échapper. Au lieu de l’aider à partir ils ne firent que déchaîner toujours plus de violence malgré quelques ponctuels idées d’améliorer les conditions de sa vie pour que les pouvoirs se manifestent mais le chef et ce qui semblait être ses parents préféré la violence. Les rares fois où elle parle de son enfance, elle ne donne jamais le nom du chef, elle ne nomme jamais la secte par son nom, ses parents n’ont pas de nom et elle n’ont plus. En effet elle n’est pas née sous le prénom de Siobhan et si elle ne nomme jamais ses parents c’est qu’elle a tentée de les enrayer le plus possible de la notion de parents comme pour les rendre moins réel, le mot parent semblait plus neutre que donner leur prénoms, paradoxalement ce terme à un poids important. Il fut un temps où elle se demanda si les deux personnes qu’on lui avait assigné  en naissant étaient les originaux. Ça aurait été plus simple de savoir qu’elle n’était pas leur fille, ç aurait été un moyen d’expliquer la douleur qu’ils lui ont infligé, s’il l’avait adopté ou encore s’ils l’avaient kidnappé cela laissait l’espoir de rencontrer deux personnes bien mieux que « ses parents » et cela aurait donné une explication au fait qu’elle sentait déjà petite que la vie dans la secte n’était pas « normale » alors qu’elle ne connaissait aucun autre modèle. Malheureusement, les tests adn réalisés par la police prouveront qu’elle est bien affiliée génétiquement aux deux individus, « aux parents » et à aucun autre membre de la secte.
« chuuuut tu peux pas être plus discret ! » « rrroooh c’est bon on a pas fait beaucoup de bruit. au moins j’ai pensé à pas allumer. » « tais-toi tu vas la réveiller » « on va la réveiller tu veux dire ! faut qu’on se dépêche y a du monde qui passe après nous, il va falloir faire oublier à beaucoup de monde » « on s’en fout ça c’est pas notre boulot. » cette discussion se passait en pleine nuit, il devait être dans les 3h30 du matin quand Siobhan fut réveillée par les deux Aurors, mais à ce moment là elle ne savait pas ce que c’était. Elle avait juste entrouvert les yeux pour voir les deux silhouettes s’approchaer de son lit d’hôpital, instinctivement elle bougea pour se mettre  en retrait. La peur la mordillait, jusque là les êtres humains n’avaient pas été très gentil avec elle alors elle se méfiait de tous, d’autant plus de ceux qui débarquent la nuit à deux.
Heureusement pour la jeune Siobah les deux Aurors n’étaient pas venus pour lui faire du mal, au contraire ils venaient pour la sortir de cette hôpital. Il avait été décidé par leur supérieur en coordintion avec le ministère de la magie et le ministère moldue que cette petite fille montrant des signes de crises de magie ferrait mieux d’être accueilli à l’hôpital Saint Mangouste et que toutes personnes ayant eut un contact avec elle subisse un sort d’oubli, pour sa sécurité. « oh t’as vu l’état dans lequel elle est ? olalal non d’un troll des montagne, ils sont fous ces moldues aillheuuuh » il ne put finir sa phrase car sa collègue venait de lui asséner un coup de coude dans les côtes avant déclarer d’une voix plus basse « fais moins de bruit ! c’est terrible ce qui lui arrive mais là faut se bouger, faut pas qu’elle se réveille ! fait lui un sort de sommeil je m’occupe de tout ce matériel. » ce seront là les dernières paroles que Siobhan entendra.
Quelques heures plus tard, le soleil