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sujet; les mains sales x Blaise |
 | Blaise Erez Zabini feat Dudley O'Shaughnessy • crédit Schnaps
 | Insurgés • Prédéfini
• nom complet ; Blaise Erez Zabini • surnom(s) ; Mahkai. • naissance ; 1 mai 1980, Londres, Angleterre • ascendance ; De façon officielle : sang-pur. Officieusement, rien n'est moins sûr mais même sa mère n'en est pas sûre. • camp ; Insurgé. • métier ; Fugitif. • réputation ; Fils d'une veuve noire, évidemment, en premier lieu, pendant longtemps. La réputation de sa mère a toujours été omniprésente. Dernièrement, il est traître, traître à son sang – lequel ? - , traître à sa maison, à ses amis, ses relations. Traître. • état civil ; Célibataire. • rang social ; Insurgés. • particularité(s) ; /. • patronus ; Caïman. • épouvantard ; Lui-même, les yeux vides, couvert de sang. • risèd ; Une femme de dos aux cheveux roux et un enfant dans chaque bras, il rit aux éclats, les yeux posées sur elle. • animaux ; Un chat couvert de cicatrices auquel il manque un bout d'oreille, Kirjava. • baguette ; Bois de hêtre, 24,3 cm, très souple, ventricule de dragon. • miroir à double sens; Cercle, reflets rouges. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Il y a quelque chose de pourri au Royaume-Unis. Quelque chose de rampant, de noir, de sanglant. Il y a quelque chose qui le révolte, quelque chose qui le secoue, quelque chose qui lui donne envie d'hurler, à s'en arracher la gorge, de cogner à s'en briser les phalanges. Il y a quelque chose qui fendille la coquille luisante de sa bonne éducation, quelque chose qui lui a fait oublier un à un, tous les bons et loyaux principes des sangs-purs anglais. Dans le vert des sortilèges, il y a quelque chose qui lui donne la nausée. Pendant la bataille de Poudlard, peut-être aurait-il abattu son poing, avant que sa paume ne se teinte de sang, peut-être aurait-il hurlé. Mais la pourriture gagne, ronge, tourmente, et si la flamme qui l'habitait à l'époque avait le roux des cheveux de la fille qu'il aimait, les passions sont aujourd'hui éteintes, sourdes, chargées de rancoeur et de désespoir. Il déteste froidement, affronte sans faillir. Peut-être y a-t-il quelque chose de pourri en lui-aussi. Peut-être que c'est la guerre, au final, qui lui a démoli l'âme. ► Infos en vrac : Malgré son passif, malgré tout ce qu'on peut penser de lui, Blaise ne supporte pas les préjugés raciaux, pour trop les avoir subi lui-même • S'il était capable de faire un patronus corporel il y a quelque mois de cela, il en est à présent incapable • Il est curieusement très comptent en arithmancie et en divination – quelque chose que sa mère lui a légué • Fut un temps, n'importe qui aurait pu dire que sa qualité principale était sa loyauté. Maintenant, plus personne ne dit rien de lui, il préfère ça • Pour se changer les idées, Blaise fait des origamis, qu'il ensorcelle pour se déplacer ensuite • Son corps est recouvert de tatouage et de cicatrices, fruit d'une époque où il craignait d'être marqué par Voldemort avant d'avoir pu s'appartenir à lui-même • Blaise a longtemps fait de la boxe, et s'il en a gardé les réflexes, il préfère le combat de rue, sans règles, sans pitié, sans limite, parce que ça lui permet d'évacuer • Il fait toujours quelque chose avec ses mains, que ce soit jongler avec une mornille, jouer avec le col de sa chemise, claquer des doigts, pianoter, on dit que c'est la partie de lui qu'il a de plus délicate. Il la considère lui-même comme sale • Il a tué deux personnes et leurs visages hantent ses rêves, il lui arrive des les halluciner, sur des passants • Il est daltonien et ne distingue pas le rouge du vert. • Il souffre de syndrome de stress post-traumatique même s'il le niera jusqu'à la mort. Il sursaute aux bruits trop violents, dort avec sa baguette sous son oreiller, quand il dort, il cauchemarde, hallucine, se sent traqué, perpétuellement – il est en fuite, après tout • Si le temps n'est plus à la plaisanterie, personne ne peut le deviner en le voyant : c'est comme si le temps n'avait pas d'emprise sur lui et il sourit avec la même morgue qu' avant. • Blaise a une propension au sarcasme, même lorsqu'il charme • Il a des grains de beauté en forme de morsure, sur la hanche, et une tâche de naissance en forme de cœur, sur la cuisse – une blague • Il fume bien trop, boit bien trop, consume sa vie pour les deux bouts parce qu'il ne sait plus où est sa vie, quoi en faire • Depuis qu'il est petit, il rêve de fonder une famille, de ne pas reproduire les erreurs de sa mère, les fautes de leurs sociétés • Blaise a des goûts musicaux incroyablement éclectique, avec une préférence pour le jazz. • Sur son bras, au marqueur, il compte le nombre de jour qu'il survit. • Avant tout, Blaise est un battant et malgré tout ce qui le ronge, confronté à une situation de bataille, il n'hésite pas, n'hésite plus, comme si son esprit se vidait, comme s'il était débarrassé de toute conscience : cela lui fait peur. • Il est de confession juive, par sa mère, un de leurs ancêtres aurait été pirate aux Caraïbes. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Schnabeltier/Schnaps, 22 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? Par hasard, en traînant sur le net. • ton avis, tes suggestions ; RàS pour l'instant ! • connexion ; Sans doute une fois tous les jours, sauf problème, forcément. • quelque chose à ajouter ? PAILLETTES
Dernière édition par Blaise Zabini le Mer 20 Mai 2015 - 1:54, édité 2 fois |
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| | Nobody move nobody get hurt Too bad I ain't takin' advice tonight
You know if you hit when it burns
Live and I die by my word  Fais-moi la haine, fais-moi l'amour, fais que ça tape, que ça cogne, que ça brûle, que ça consume. Fais-moi la vie, je t'en prie. Je suis désolé, Poids Plu- xxx Le silence de la rue est un tombeau que le bruit de ses pas fendille à chaque fois. Il a cinq ans, la peau bien trop noire, les yeux bien trop bleus ; les gens ne l'aiment pas. On l'appelle le nègre, dans la rue, alors qu'il serre la main de sa mère avec un amour farouche et flamboyant. Il a cinq ans à peine et sa mâchoire est serrée, et son regard fixé au loin. Il a cinq ans et sait déjà que la vie est difficile, qu'il cumule, d'une certaine façon, comme si quelqu'un s'était penché sur son berceau, une fée tordue et maléfique, qui avait dit tu seras étranger, juif, ta mère sera traitée en catin et les gens te cracheront dessus. Tu voudras qu'on t'aime et tu voudras trop fort, alors tu cogneras, tu auras cinq ans, une dent en moins et l'expression de la haine dans tes yeux trop clairs. Tu seras paria. Il ne veut pas de cette vie-là. C'est quelque chose qu'il sait, depuis qu'il est enfant, quelque chose de sûr, de certain, sur lequel il n'a aucun doute : il ne veut pas être un paria, ne veut pas être rejeté, déteste cette société qui le juge sur des critères absurdes, déteste tous ces moldus stupides et haineux. Ça se bouscule dans sa tête, ça cogne, ça tape, ça tremble, il refuse de vivre comme ça. Il est enfant, le sait déjà. Le Monde Sorcier lui offre cette chance. La réputation de sa mère ne change pas, cependant, mais il l'aime, l'a toujours aimé, parce que c'est sa mère et qu'elle est forte, qu'elle lui a appris a redressé les épaules, à faire face, toujours, à se battre pour ce qu'il voulait, pour ce qu'il aimait, pour arriver à ses buts de la façon la plus rapide possible. Sa mère a peut-être un avantage, cependant, avec ses ruses divinatoires, elle qui a toujours su prédire la pluie et le beau temps, les coups dures et les réussites éclatantes. Sa mère a toujours eu un temps d'avance. Sans avoir ses dons, il s'inspire d'elle. Dans chaque sourire triomphant de Blaise, c'est Grace qu'on retrouve. Dans chacune de ses victoires, c'est son ombre qu'on entraperçoit. Lorsqu'il entre à Poudlard, c'est une victoire supplémentaire. Bien sûr, il est toujours considéré avec méfiance, par tous ses enfants bien trop sûrs d'eux, bien trop entichés des préjugés de leurs parents, bien sûr, on le regarde toujours un peu de biais, un peu de haut, un peu étrangement, bien sûr. Mais les parents sont loin et les Serpentards se targuent d'être une maison unie. Petit à petit, Blaise creuse son trou. Ce qui aide, bien évidemment, c'est la complicité qu'il noue avec le fils Malfoy. Evidemment, au début, ça balbutie, c'est chancelant, c'est calculé. Il sait qu'avec Draco dans la poche, il rentre dans le cercle, dans celui des Sangs-Purs, des fréquentables, de ceux qui ne sont plus rejetés – ou du moins le croit-il. C'est une cruelle désillusion de se rendre compte que sa maison est celle des parias, de celle qu'on hue à la répartition, de celle à qui l'on vole la victoire, pour des raisons absurdes. Il semble que le destin se joue toujours de lui, que la houle le porte toujours dans des endroits où la bonne conscience populaire pourra le détester. Il n'apprécie pas. C'est ce qui lie sa maison, pourtant. Un même sentiment de supériorité, un même sentiment de rejet. C'est comme ça qu'il se fond dans la masse. Comme ça et parce que le calcul laisse place à la confiance, comme ça parce qu'il cesse de feindre, un court instant, quelques années, et qu'il est sans haïr, qu'il existe tout simplement, et ça faisait des années que cela ne lui était pas arrivé. Jouant avec un gallion d'un geste tranquille des doigts, il sourit à Draco, titille Pansy, du bout des lèvres. Il se sent chez lui, se sent en confiance, se sent heureux, pour la première fois de sa vie, accepté. C'est un sentiment grisant que la réalité rattrape, fatalement. Il aime ces gens. C'est quelque chose qu'il ne peut nier. Il aime Draco et son nez pointu, ses fanfaronnades et ses roulements d'yeux, il aime la confiance qui les lie, savoir rien qu'en le regardant ce à quoi il réfléchit, sans avoir besoin de vérifier ou de forcer son esprit, juste parce qu'il le connaît, qu'il le connaît vraiment. Il aime Pansy, aussi. C'est peut-être le plus terrible. Il l'aime et c'est étrange, il aime sa peau sous ses doigts, ses yeux qui brûlent, la chaleur, les étincelles, l'osmose de son esprit contre le sien. Il aime la sentir s'ouvrir, la sentir contre lui, la sentir sereine et électrique, violente et passionnée, ses ongles contre sa chair, son sourire contre sa peau. Il l'aime, vraiment. Peut-être pas assez, ou peut-être ouvre-t-il trop grand les yeux, ou peut-être qu'il a trop connu la douleur, peut-être qu'il connaît trop bien les pouvoirs atroces de ces idéologies perverties. Plus les années passent et plus il sait. Il sait qu'il n'est pas comme eux, il sait qu'il devra trahir, et c'est la chose la plus difficile qu'il ait à faire, la chose la plus terrible, aussi, parce que pour lui, ça n'a aucun sens, qu'il a toujours été loyal et qu'il aurait voulu l'être aux autres mais qu'arrivé au pied du mur, il ne peut l'être qu'à lui-même. Parce qu'il ne peut accepter cette extrémisme aveugle, cet holocauste en devenir, l'épée de Damoclès qu'on suspend au-dessus de la tête de tout un peuple ; c'est toute son histoire qui se révolte, toute l'histoire de sa famille qui le déchire. Contrairement à ce que la rumeur chuchote, c'est avant tout cela qui le pousse à rejoindre l'AD. Bien sûr, il y a dans le coin de son œil la chevelure en feu de cette fille qui l'obsède, bien sûr, c'est un bonus, quelque chose en plus. Mais ce n'est pas ce qui l'a convaincu, pas pour cela qu'il veut – Blaise n'est pas fou, sait très bien qu'il ne peut pas l'avoir, qu'il ne pourra pas et même si c'est douloureux, il sait aussi que c'est peut-être mieux ainsi, parce qu'il trahit déjà, qu'il ne veut pas trahir plus que ça. C'est un monde libre de préjugés, qu'il veut, mais il veut pouvoir en profiter avec ceux qu'il aime. C'est pour cela qu'il accepte la mission qu'on lui donne. Pour cela et pour sauver la peau de ces gens à qui il est obligé de mentir pour les sauver. Personne ne se rend compte d'à quel point il est dur de faire la bonne chose. Personne ne sait à quel point il est difficile de renier sa loyauté pour aller dans le sens de ses principes, de savoir qu'on ne sera jamais tout à fait vainqueur, jamais tout à fait gagnant alors qu'il a été élevé pour sortir debout de toutes les guerres qu'il entreprendra. Personne ne peut deviner. Il y a la guerre dans son corps avant qu'il y ait la guerre dans le monde. Il y a Ginny, Pansy, les Mangemorts et l'Ordre du Phoenix, il y a tout ce qu'il a déjà et le rien que tout cela peut devenir. Il y a la peur de l'échec, la peur qui ronge, la peur qui brûle, la peur qui est partout. Il n'en montre rien, bien sûr, il est habitué à ne rien montrer, mais la bataille de Poudlard était à son comble dans son esprit avant même d'exister dans le château. Ce jour-là, il se met à nu. Il a l'espoir, bien sûr, on a toujours l'espoir, c'est la dernière bataille, la fleur au fusil, le reflet d'un monde meilleur quelque part. Il a tort et perd tout ce jour-là. Il perd la guerre, perd Draco, perd Pansy aussi, de façon inattendu et douloureuse, parce qu'il sait, qu'il sait trop bien, qu'elle ne viendra pas avec lui. Il fuit, et fuit toute sa vie de la même façon. C'est un nouvel éclat de rire du Destin, dans le fond : il est à nouveau paria, et cette fois-là, cela risque de lui coûter la vie. La veille, il soufflait « Je t'aime, Poids Plume » à la forme endormie de Pansy, parce que c'était le surnom qu'il lui donnait, une pique, parce qu'il lui avait trop dit « Je te veux » mais qu'il ne s'était jamais étendu sur le reste, qu'il ne pouvait lui dire en face, parce qu'il y avait Ginny, bien sûr, mais que ça n'avait rien à voir. Que d'une certaine façon, il pensait aimer Pansy moins, mais l'aimer plus longtemps. Ça n'a plus d'importance maintenant. Il se sent Troyen devant les ruines de sa cité, Achilles pleurant le corps brisé de Patrocles, se demande si ce sont les Moires qui se rient de lui, Destin ou Hasard, qu'en sait-il, du reste ? Il est furieux, déchiré, tremblant de rage. Il est Insurgés, dévastateur, dévasté. Il a devant les yeux le fantôme de cette femme qu'il aurait dû ouvertement, à l'arrière de l'esprit, celui de cette flamme rousse qu'on a réduit à une morne étincelle. Il tue. Pour la première fois de sa vie, il a le sang d'un homme sur la peau, le goût du fer dans la bouche, l'odeur trop humaine de la vie dans la gorge. Quelque part, il sait. Il sait qu'il ne pourra plus revenir en arrière, il sait qu'il a franchi un cap, que sa vie est bouleversée, perturbée, brisée, que ses sentiments sont éteints et détraqués, comme passé sous le filtre terne de sa fuite. Souvent, il pense à ce qu'on lui a raconté, une fois où il a retrouvé des gens de Poudlard, des gens d'une année inférieure. Il pense à MacGonagall, au détraqueur, à ses yeux vides, son esprit et ses sentiments évaporés. Il se demande si ce n'est pas à cela, qu'il ressemble, lui aussi. À un fantôme de ce qu'il était. À l'ombre de ce qu'il aurait pu être. Dame Rage est sa dernière maîtresse. xxx Explosifs posés. Éliminé deux rafleurs. RÀS. B. Z.
Dernière édition par Blaise Zabini le Mer 20 Mai 2015 - 1:47, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | OH BORDEL. TU. JE. GEEZ JE SAIS PAS QUOI DIRE. je vais commencer par bienvenue , ça semble logique, mais c'est trop peu pour exprimer mon bonheur  c'est juste une super bonne surprise de voir quelqu'un tenter Blaisou, mais en plus tes idées, ta plume, c'est trop booooon comme aperçu j'ai hâte d'en lire plus  j'vais (essayer de) me calmer pour éviter d'te faire flipper (même si poqudofiq qpodipjfpoi jpoifjd pfoiqjp sodifj    ), si t'as des questions ou quoi n'hésite pas, ma boîte à mp t'est grande ouverte ofc  |
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| | Merci beaucoup vous êtes tous adorables  ! J'espère que la suite de la fiche quand elle sera postée vous plaira tout pareil hehe |
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| | Yahou, un Blaise ! Mes deux insurgés sont ravis de voir les rangs grossis encore  Bienvenue ici et bonne rédaction. |
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| | BIENVENUUUUUUUUUUUUUE  J'suis suuuuper contente de voir un Blaise et ta fiche est géniale ** (Je viendrais t'embêter parce que je joue Fred Weasley & j'avais un vieux lien d'amitié entre Fred & l'ancien Blaise basé sur le fait que Blaise était dans l'AD et que les jumeaux avaient capté qu'il avait un béguin pour Ginny & comme il s'était toujours bien comporté vis-à-vis de Ginny, ça avait aidé à tisser la confiance entre Blaise & les jumeaux. Si ça te tente, on peut le reprendre Ou en faire un autre, je suis partante aussi  ) |
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| | ta fiche est belle  bienvenue |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | Te voilà validé congratulations : you made it, mate !
 mes deux sorciers-du-d'ssus l'ont déjà dit avant moi et je ne peux que confirmer : c'est beau, c'est beauuu tu as condensé une histoire bien compliquée en quelques mots sans lui enlever une once de son intensité – au contraire même, c'est touchant, on sent que tu maîtrises le perso et ça c'est merveilleux bref je suis fan, tu m'as vendu du rêve là, et comme je sais que PanPan est tout aussi emballée que moi je te file vite vite tes couleurs et j'te réquisitionne d'office pour un rp, bouya Maintenant que tu as franchi l'étape la plus casse-pied, tu peux enfin gambader librement dans les prés verd- wait, mauvais script, ahem. On en était où ? Ah oui, à toi gambadant gaiement (ou pas hein, chacun son délire) à travers le forum, avec ta couleur toute neuve. Tes potes les insurgés sont sans doute ravis de compter un nouveau membre dans leurs rangs ! Mais j'crois bien qu'il te reste encore un peu de paperasse à remplir... besoin d'un coup de main, peut-être ?
► inscris ton personnage aux annexes qui le concernent (et assure-toi bien, ensuite, de figurer dans chacune des listes !) ; ► renseigne-toi sur les xp pour organiser ton évolution ; ► prends connaissance des différentes façon de gagner et d'utiliser tes gallions ; ► organise le suivi de ton activité ( obligatoire) ; ► crée ton carnet de relations et la liste de tes rp ; ► établis la chronologie de ton personnage ; ► participe à l'activité du qg secret de ton groupe ; ► fais la pub des valeureux insurgés auprès des sorciers neutres ; ► active la fonction surveiller les réponses du sujet de news ; ► tiens-toi informé des actualités du monde sorcier ; Et pour finir : ta mission si tu l'acceptes sera de t'éclater bien comme il faut. Bon jeu ! |
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J'ai dévoré ça beaucoup trop vite, j'ai tellement hâte de lire la suite 
N'hésite surtout pas si tu as besoin de quoi que ce soit et bon courage pour la suite 
Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.