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sujet; Le jour le plus long (feat Astoria Greengrass)

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And you won’t have to hide away
You’ll be a man, boy!
But for now it’s time to run, it’s time to run!

"
Parfois il fallait conduire des groupes de cracmols ou de sang-mêlés jusqu’aux frontières. D’ordinaire Ron ne s’en occupait pas mais des mois passés en forêt et des semaines de tranquillité studieuse chez son frère avait manqué de le rendre dingue.
Il ne cherchait pas spécialement l’adrénaline. Le danger était une notion trop quotidienne pour qu’il l’apprécie réellement en tant que tel. Il y avait des actions qui comportaient des risques voilà tout. Harry n’avait pas objecté quand Ron s’était proposé pour mener le petit groupe déguisé jusqu’au quai de la Tamise. De là, un autre insurgé s’occuperait de les amener jusqu’en France là où ils ne risquaient pas de finir en rebut ou pire, dans les couloirs nauséabonds du sous-sol du Ministère.

Red King!Ron rajusta ses lunettes en regardant le dernier réfugié monter à bord, l’odeur du fleuve lui piquant le nez et sa barbe blonde. Il n’avait franchement aucune idée de l’image que renvoyait sa couverture polynectarienne aujourd’hui mais ce serait-il penché sur un miroir, il aurait pu voir un homme aux épaules massives, au nez en trompette et au poil blond et fourni. Un air de marin pas commode qui avait dissuadé le peu de surveillants dans cette zone sorcière de la ville.

« J’enverrais des nouvelles à l’un des coordonnateurs. » fit l’autre insurgé en lui serrant la main.
Ils allaient se quitter quand l’autre eut un mouvement nerveux. Une patrouille de publicité paradant en direction du Chemin de Traverse non loin et annonçant avec moults paillettes un jeu d’échecs version rebut ce week-end pas très loin. « Venez nombreux pour ce spectacle merveilleux ! »

Le cœur de Ron s’arrêta. Il vivait dans l’angoisse de voir Ginny obliger de se retrouver dans des arènes de ce genre. Une tape sur l’épaule de l’homme en face. « Vous en faites pas Red. On est plus loin de la fin. »

Red King acquiesça. Une dernier bourrade dans le dos et il s’éloigna du rebord du quai.

C’était sans compter la douane estampillée du cachet faramineux du Ministère qui s’avançait en direction des petites embarcations dont faisaient partit le bateau de réfugiés.

« Je me charge de les éloigner », dit Ron en passant une main le long de son col. Il faisait chaud. Trop chaud. La fin du mois de juin était toujours pénible mais de fait, cette fois-ci c’était encore pire. Le vieil insurgés se retourna brièvement, grave mais calme et lui adressa un clin d’œil.

Certains types au sein de la Résistance étaient franchement des légendes et non, Ron ne pensait même pas à Harry mais plutôt à tous ses sorciers et sorcières qui avaient mis leurs expériences au service d’une cause qui aurait pu leur sembler obsolète.

Pour le moment, l’urgence absolue était de concentrer sur lui l’attention des agents de l’état sorcier actuel –tout en évitant de se faire prendre lui-même. Là il avait pris du polynectar mais ils seraient trop heureux de voir qu’ils avaient capturés Ron Weasley s’il se faisait prendre.

Non, cette mission se passerait bien. Ça ne foirerait pas, pas sous sa putain de responsabilité. Une sensation de brûlure lui envahit le crâne et la gorge et il traversa le quai en leurs directions à grand pas. Il bouscula un des hommes de sorte que ce dernier le suivit du regard et passa légèrement sur le côté, farfouillant dans sa poche. Fred lui avait fourni des leurres explosifs. C'était déjà ça.

Boom. Boom. Boom.

Les leurres explosifs eurent l’effet demandés et les miliciens abandonnèrent immédiatement les navires pour se tourner vers lui. Le moteur 65,8 litres du navire rugit et Ron inspira avant de courir jusqu’au coin de rue suivant, dévala l’escalier d’une cave qui puait l’urine et le whisky au moment où montait derrière lui des cris et un hurlement de sortilège raté.

Attends, attends encore un peu, maintenant. Vas-y!

Il longea au sprint une série de ruelles, franchit en coup de vents deux ou trois passerelles piétonnières, descendit quatre à quatre plusieurs volées de marches.

Exploite les obstacles, traverses les voies, change de direction chaque fois que tu es physiquement hors de vue, pousse-les à faire de mauvais choix, débrouille-toi pour sortir des limites de leur territoire.

Aurait-il eu une montre, Ron aurait vu que cela faisait plus d’une demi-heure qu’il les avait éloigné puis semé. La règle voulait que les guetteurs de l’état prennent leurs temps aussi Ron se dirigea vers un attroupement étrange fait de sorciers qui tenaient tout un tas de carnets et de plumes à papottes ainsi que des vieilles machines pour prendre des portraits mouvants.

Bruit de flash ininterrompu devant la porte d’un manoir.

Il jeta un coup d’œil distrait vers l’attroupement avant de s’apercevoir qu’il avait franchi la frontière avec les quartiers chics.

Bordel de @#jkdhgfru !!!

C’était blindé de famille au sang-pur et de miliciens les préservant des ‘vilains pas beaux’ ici. Au bout du large trottoir aux allures victoriennes, se tenait celui sur laquelle il avait jeté le leurre explosif tout à l’heure et qui fonçait droit sur lui. Un coup d’épaule et il le repoussa dans une ruelle tandis que le bruit des flash plus loin se faisait entendre. L’homme voulu enjamber le grillage et Ron considéra qu’il était plus que temps de mettre les voiles. Il évita un ‘crucio’ pour renvoyer un ‘petrificus totalus’. Trop de mouvement. Un coup de pied sur le crâne et Ron entendit l’homme crier et ses traits se tordirent de douleur.

Courir. Courir encore.

La rue retrouva son calme.

Bilan: deux heures de cavale, les jambes et le dos en compote, un voile grisâtre à la périphérie de son champ de vision. Il avait les bronches qui allaient exploser. Il emprunta un étroit passage, rasant les murs dans le noir.

Prendre la première porte disponible à l’air un peu rustique.

Ron déboula dans une salle minuscule de ce qu’il devina immédiatement être un pub. Ce dernier avait l’avantage d’avoir des fenêtres fumées.  Une vieille dame aux dents ébréchées était derrière le comptoir et le dévisagea avant de reprendre comme si de rien n’était la lecture de son Daily Prophet. Des verres propres et quelques badauds complétaient le décor.

Ron se dirigea vers le comptoir en s’efforçant de maîtriser les tremblements de ses mains et, sous le regard vide de la vieille, lui commanda une pinte de bière noir. Il s’installa ensuite à la dernière table, cachée, qui semblait se refermer sur elle-même au loin.

Il n’avait pas fait attention au fait qu’elle était déjà occupée, trop impatient de vérifier par la fenêtre que tout allait bien.

Les gestes de la personne qui se tenait en face de lui furent les même et ils croisèrent le regard en même temps, se dévisageant, surpris de s’apercevoir.

Elle –puisqu’il s’agissait là d’une femme- ne pouvait le reconnaitre évidemment. Lui, par contre, lâcha malgré lui un murmure.

« Duchesse ? »
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« Miss Greengrass, avez vu Potter? » « Un mot sur les insurgés? » « Vous n'avez guère collaboré pour donner des noms, vers qui tourne votre loyauté? » La journaliste ayant posée la dernière question se retrouva bien vite avec sa plume à papotte brisée et exclue de la conférence spontanée - orchestrée par le père Greengrass lui-même. Tous les moyens étaient bons pour faire parler de la famille, après tout. Et même deux mois après, la cadette attirait toujours l'attention, la presse répondant allègrement à l'invitation du patriarche. Mais oser remettre en question la loyauté d’une Greengrass, après le scandale monstre de Daphné, voilà qui n’était ni très fin ni très malin. Astoria regardait avec ce sourire fatigué et las aux lèvres. Elle ne le montrait pas, la reine des cachottières, qu’elle était blasée des mêmes questions qu’on lui posait sans cesse depuis deux mois. La jolie enfant faisait tout pour oublier le calvaire qu’elle avait connu mais son père s’entêtait à la foutre sur le devant de la scène, à la jeter dans la cage aux fauves sans aucun scrupule. Froid, autoritaire, l’enfant ne s’opposait pas à son géniteur. Jamais. Enchaînée à des cordes qu’il menait avec brio, elle était manipulable et manipulée. Elle se pliait à ce qu’on attendait d’elle ; Daphné aussi, mais seulement parce que sa cadette le lui demandait. Elle voulait que le monde entier voit malgré tout que la famille Greengrass était de nouveau réunie, que plus rien ne les séparera, qu’elle était lavée de tout soupçon. Plus aucune tâche n’entichait le tableau familial et cette journaliste, la gourde, l’intrépide, avait dépassé les bornes. Ces conférences avaient le don d’attiser sa patience, d’alourdir son moral. Il fallait sans cesse répéter que non, elle n’avait pas vu Potter, que les insurgés étaient des êtres sans scrupule et sans cœur, qu’elle restait fidèle au Magister (son père était furieux mais elle pensait qu’il valait mieux le préciser tout de même). Après tout, n’avait-elle pas failli devenir une Mangemort, elle aussi ? Si seulement on lui en avait laissé l’opportunité. Mais comme à chaque fois, on lui avait coupé l’herbe sous le pied et la jeune fille avait été emprisonnée au lieu d’apprendre à se défendre, à attaquer, à montrer qu’elle aussi, elle pouvait être forte.

Puis, une explosion et des jurons suivis de cris se firent entendre au loin, appelant la curiosité de la jeune Greengrass, ainsi qu’à son public. Un jet de lumière fusa puis un deuxième ; une course poursuite semblait s’engager. Astoria jeta un coup d’œil à son père, l’air perdu ; comment cela pouvait-il arriver à Herpo Creek ? C’est une bourgade plutôt tranquille, habituellement. Un crépitement d’appareil se fit entendre et Wyatt se racla la gorge alors que les deux hommes s’échappaient vers des ruelles voisines. Des voix commencèrent à s’élever chez les journalistes et le patriarche familial eut la bonne idée d’écourter exceptionnellement la conférence. Cela fit soupirer de soulagement Astoria, qui avait mal aux chevilles à force de rester debout, sa tête présentant un début de migraine sous la chaleur solaire qui tapait sur son crâne depuis le début de l’après-midi.

Deux heures après, la jeune Greengrass s’était échappée de la froideur de la demeure familiale pour aller dans le pub du coin, celui qu’elle avait repéré des années auparavant, aux fenêtres fumées qui cachaient ce qu’il s’y passait à l’intérieur. A l’époque, elle n’avait pas le droit d’y rentrer – trop jeune, pas encore majeure. Mais maintenant, elle avait vingt ans. Elle aussi avait continué à vivre, à grandir, à vieillir dans les cages des insurgés. Le lieu était rustique. Ce n’était pas forcément le genre d’endroit où une jeune demoiselle de bonne famille comme elle devrait se trouver. Ses parents grinceraient, hurleraient de savoir qu’elle foule un parquet plutôt grinçant et à la propreté douteuse. Mais le lieu avait son charme et la cadette observait cet environnement d’un œil curieux. Astoria eut un sourire éclatant à la vieille dame de l’autre côté du comptoir avant de lui commander un rhum groseille et de se diriger vers la table la plus reculée du bar. Il valait d’éviter de s’exposer, se dit-elle alors que son regard azur se baladait sur les différents clients du lieu. Elle n’avait pas plus confiance à la gamine avec sa mère qui s’amusait avec la baguette de cette dernière que celui qui regardait son verre d’un œil vitreux, tentant peut-être d’y lire son avenir. Puis, alors qu’elle s’installait tout de en observant par la fenêtre, quelqu’un fit le même geste qu’elle. Prise de court, le regard presque terrifié ; elle aurait dû ramener Astre, son Fléreur. Elle aurait pu éviter la panique qui s’instaurait en elle s’il avait été là. « Duchesse ? » Panique qui se transforma bien vite en interrogation. Astoria regarda derrière elle ; non, il semblait que cet étranger s’adressait à elle. Par pitié, non, pas ici. « Pardon, c’est à moi que vous parlez ?, demanda-t-elle quand même, pour la forme, tout en fronçant les sourcils. » La dame lui apporta sa boisson et la jeune enfant lui sourit pour la remercier. Elle reporta ensuite son attention sur l’homme à l’air marin. « Est-ce qu’on se connait ? Car je n’ai aucune idée de qui vo– » La jeune sorcière s’interrompit avant d’ouvrir grand les yeux, sa main commençant à chercher sa baguette, les traits de nouveau paniqués. « Attendez voir, je vous ai vu tout à l’heure ! C’est vous que cet homme poursuivait ! » Pourquoi donc alors cet étranger blond la connaissait ? Bien sûr, le visage d’Astoria n’était inconnu de personne, et encore moins dans le quartier, mais son cœur palpitait avec fureur car elle, elle ne le connaissait pas. « Qui êtes-vous ?! » Sa baguette sur la cuisse, elle la pointait sur lui d’une main tremblante. Elle n’avait jamais été une femme de terrain et encore moins de combat. Mais l’adrénaline pouvait vous pousser à faire des choses que vous ne soupçonneriez même pas, après tout.

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In bed above, we're deep asleep,
While greater love lies further deep.
This dream must end, the world must know,
We all depend on the beast below.

Doctor Who

"
Pour une raison étrange, il se l’était toujours imaginé autrement. La cadette Greengrass ne ressemblait pas tant que ça à sa sœur. Plus longue, plus guindée, les cheveux châtains doré là où Ron attendait du roux et une taille similaire à celle de Daphné aka lui arrivant au milieu du torse. Il prit conscience qu’il n’avait en définitive jamais réellement fait attention à elle. Les serpentards… il y en avait des tas et pour lui ils prenaient tous plus ou moins les visages doubles de Malfoy et Parkinson. Une osmose parfaite d’allure au sein de l’intégralité du groupe vert et argent qui ne se différenciait qu’à coups de couleurs par-ci par-là. Mais les attitudes ? Toute les même ou presque selon Ron qui était encore trop imprégnés de ses préjugés pour s’apercevoir des nuances innombrables parmi ses anciens camarades de Poudlard.

« Pardon, c’est à moi que vous parlez ? Est-ce qu’on se connait ? Car je n’ai aucune idée de qui vo– »

Évidemment. Il avait une légende, celle du marin bourlingueur aux traits épais et à la gouaille propre au port. Pour un peu il se serait grondé et il fronça le nez par dédain envers sa propre bêtise. Il avait été surpris de la voir là après la spectaculaire fuite du campement qu’elle avait effectué en compagnie de la précieuse Daphné.
Il avait dû rassurer Hermione qui ne comprenait toujours pas pourquoi son amie leur avait tourné le dos. Après Hécate, Ron pouvait enfin saisir la portée de ce qu’avait ressenti sa meilleure amie. Non pas qu’Hécate Shackelbolt ait été une confidente, loin de là, mais le sentiment de trahison alors que l’on était persuadé d’avoir su convaincre –tout ça pour voir ces gens se tourner vers l’ennemi- gravait d’amertume le chemin qu’ils s’étaient tous fixés.
Voldemort ne détruisait pas seulement ceux qui avaient le malheur de n’être pas né de deux parents sorciers, il détruisait les amitiés, les mains tendues, ce qui aurait pu être, ou pas.

Ron s’installa tranquillement devant la jeune femme aux allures de poupées endimanchées. Trop jolie, trop pâle, il s’imaginait qu’elle devait être aussi très polie, très sage, pas un mot plus haut que l’autre parmi les siens. On lui avait aspiré les couleurs.
Il eut un froncement de sourcils indétectable sous la broussaille blonde. En vérité, il n’en savait strictement rien. On lui avait parlé d’elle quand elle était chez les insurgés mais les types n’avaient pas été très courtois dans leurs propos et c’était plus référés au fait qu’elle faisait des demandes abracadabrantes, qu’elle hurlait sans cesse et qu’elle était bonne.

Typique.

A sa grande honte, Ron pouvait avouer qu’il avait eu des remarques –certes drôles- mais désobligeantes également. Comme ce surnom de Duchesse d’ailleurs.

 Boys will be boys ou une connerie dans ce genre.

Il sentit sa nervosité et glissa un œil vers la vieille dame qui venait de déposer les boissons respectives puis vers le reste de la salle. Pas de vagues surtout. Qu’elle n’alerte rien ni personne. Il avait après tout l’avantage d’être grimé, non ?

Un haussement d’épaules désinvoltes. « Je suis un admirateur miss ! J’voulais pas vous effrayer. »

« Attendez voir, je vous ai vu tout à l’heure ! C’est vous que cet homme poursuivait ! »

Les bourgeoises ça faisait gaffe à tout maintenant se dit Ron d’un air grognon.  Déjà la voir dans un endroit pareil était en soi quelque chose d’étonnant mais en plus elle faisait attention aux alentours…  Ron se rendit compte –enfin- que peut-être c’était qu’elle fuyait aussi quelque chose.

Oh.

« Et vous, vous étiez pas poursuivit par des journalistes ? » Ron eut un sourire décontracté et leva son verre. « Aux fuites et à nos bonnes chaussures alors ! »

S’il avait perçu le fait qu’elle gardait jalousement une main sous la table et que ce n’était probablement pas pour se gratter les genoux, Ron n’en montra absolument rien. « Ils doivent être pénible, non ? Tous ces grattes papiers avec leurs plumes à papotes. Jamais trop aimé les journalistes… s’ils faisaient bien leurs jobs encore… » Commença Ron en buvant une goulée du breuvage sombre avec l’habitude d’un loup de mer à quai. Lui faire croire -ce qui était en quelque sorte- que c'était un p'tit marin qui faisait gentiment sa petite contrebande. « Vous pouvez ranger vot’ baguette hein. J’finis mon verre et je décampe. Je dirais rien à votre sujet non plus miss. » Il leva les yeux sur le plafond miteux et le reste du pub à la lumière basse et revint sur Astoria.

Il n’avait pas lu les tabloïds. Il y en avait trop et ils étaient quasi tous ridicules surtout sur le trio mais il l’avait vu en couverture. « Le retour tant attendu ! » « J’ai vécu un enfer. » « Comment j’ai survécu chez les Insurgés. »

Ma vie mon combat quoi.

Pour Ron, et l’ironie quand on savait que c’était pourtant là un attribut serpentard, la fin parfois justifiait les moyens. Ou presque. C’était plus simple à dire qu’à faire. Ron coinçait et il coinçait encore plus maintenant que d’autres éléments se mettaient en places. Des facteurs humains qui avaient pour prénom Sue, Lucrezia ou encore Léda.

« C’est bien le fait que vous ayez survécu aux Insurgés. » La pointe d’ironie était là. En filigrane.

Il rebut un peu, le verre comme une horloge collant au rythme de leurs conversations.
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