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sujet; Cause we came to have so much fun now feat C.Guenièvre Lestrange |
| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Tu venais à peine de fêter tes 23 ans, une fête au sein des jeunes de l’élite se donnait, Susanna étais censée t’y rejoindre, elle avait d’ailleurs plusieurs amies qui y serait, toi également, vous profitiez tous encore de cette jeunesse pour profiter de la vie. Une bande de jeune snob qui se retrouvait entre eux, entre membre de l’élite pour y faire la fête. Musique, danse et sans doute alcool serait de la partie, tu espérais pouvoir garder un œil sur ta chère cousine et ses copines, histoires qu’il n’y arrive aucune histoire d’horreur à l’une d’elle. Pourtant, Sue te fit parvenir un mot alors que tu étais déjà sur place, un mot d’excuse, elle avait attrapé un virus qui la clouait au lit, elle te souhaitait de t’amuser et elle te demandait d’ailleurs s’il t’était possible de garder un œil protecteur sur ses amies qu’elle venait rejoindre normalement. Tu soupiras, mais tu étais déjà sur place maintenant, aussi bien profiter, t’amuser tout de même, oublier tes soucis pour cette nuit. La musique jouait déjà, vous étiez dans la demeure d’une des grandes familles de sorcier, mais tu n’avais pas vraiment porté attention au nom. Tu connaissais toutes ses amies depuis le temps, à Poudlard elle t’en avait souvent présenté et ensuite dans des fêtes donnés chez les Carrow. Tu les remarquas sans problème d’ailleurs, tu faisais partie des ainés de la soirée, même si en ce moment tu ne te sentais pas encore comme un adulte. Tu exercer un métier obligatoire de râfleur en ce moment et tu détestais ce travail que tu devais offrir au gouvernement. Les gens que tu retrouvais, que tu livrais a d’autre, la peur sur leur visage, tu n’aimais pas ce travail, mais heureusement tu terminais sous peu ton temps obligatoire, bien que ton père en serait déçus. Lorsque tu entras l’environnement devint rapidement que musique, lumières tamisés créant une ambiance, certaines pièces éclairées par des lumières phosphorescentes. Tu circulais dans le corridor rempli de gens, tu sentais les corps frôler le tien sous ton passage, la fête semblait battre son plein. Plusieurs avait déjà un verre à la main, d’autre fumait dans un coin. Ici, on retrouvait la panoplie de jeune héritier, que ce soit les Travers, les black, les Carrow… Tu reconnaissais plusieurs visages d’autre plus jeune, d’autre de ton âge, certain terminait bientôt leurs études de Poudlard. Tu remarquas certaines filles en train de se déhancher dans la grande pièce sur cette musique rythmé, beaucoup trop forte à tes oreilles. Tu fuyais habituellement ce genre d’endroit, mais pour paraitre normal, te fondre dans le moule tu y participais, parfois tu fêtais trop fort et tu te retrouvais le lendemain endormit dans la haie d’épinette. Plusieurs amis de ta cousine étaient présents, tu les reconnaissais facilement, Susanna te présentais souvent de ses amis lorsque tu étais à Poudlard et lors des réceptions offertes chez les Carrow. Tu comptais t’amuser ce soir, même si Susanna t’avais demandée de garder un œil sur ses copines et celle dont elle devait accompagner ce soir. D’ailleurs tu la recherchas parmi la foule, plusieurs filles se tenaient en attroupement, certaines dansaient, d’autres flirtaient avec des garçons plus âgés. Puis tu la remarquas, cette jolie petite brune plus loin qui semblait chercher des yeux une personne. Sans doute guettait-elle l’arrivée de Susanna qui devait la rejoindre ce soir? Tu te pris un verre, ton addiction à ce nectar avait déjà débuté, tu pouvais boire à te rendre malade parfois. Tu t’en fichais un peu, tu aimais oublier que tu avais des responsabilités, des attentes venant de ta famille, le seul héritier Crouch se rebellait parfois et tu en profitais avant de devenir trop vieux et de devoir grandir. Verre en main, tu te rapprochas de celle dont Susanna devait rejoindre ce soir, tu ne savais pas si elle lui avait fait parvenir une notice comme elle l’avait fait avec toi. Tu allas donc à sa rencontre, lui offrant un de tes sourires charmeurs, car certes, elle était trop jeune pour toi, mais elle restait une jolie fille à qui on pouvait donner quelques années de plus par sa maturité. «Bonsoir Gwen» Tu l’appelas par son surnom, tout le monde l’appelait couramment ainsi, tu la surprise sûrement, mais tu remarquas le verre qu’elle tenait. Elle devait être arrivée depuis un petit moment. «Susanna ne pourra pas être présente ce soir, elle m’a demandé de garder un œil sur toi et ses amies.» Tu en avais reconnus certaines, mais tu n’étais pas certains de toutes les avoir repérés d’ailleurs, Susanna n’avait pas le plus grand cercle d’amis, mais elle y tenait. «Elle est tombé malade semblerait-il.» Tu haussas des épaules avant de prendre une gorgée de ta boisson alcoolisé. (C’est court, mais je veux te laisser ajouter ce que tu veux, soyons fou ^^ elle pourrait déjà être saoule si c’est son genre enfin je vais suivre la vague ) :pokerface: |
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| Majeure depuis quelques mois… nous avions prévu de fêter ça comme il se devait avec quelques ami(e)s mais, bien sûr rien ne se passais comme prévu, jamais. A défaut de trouver une date qui convienne à tous nous avions reporté cela à l’été ce qui me convenait parfaitement. Mais, aujourd’hui on m’avait presque, obligée, à venir à cette soirée de l’élite ou l’alcool coulerait assez à flot pour que mes amies puissent en profiter pour m’enivrer… La décadence de l’élite… Mon petit groupe d’amis n’avait pas vraiment l’habitude de voir la sage Guenièvre dans un état second. J’avais parfois l’impression que tout dans ma vie s’imbriquait afin de me la compliquer chaque jour davantage. Une simple impression sans doute. Néanmoins ce soir, je cumulais sérieusement. Après Arsenius et Aramis, trop pris par leur travail respectif, c’était au tour d’Eris de m’indiquer qu’elle ne serait pas présente à cette soirée, du moins pas assez longtemps pour que nous en profitions pleinement. Heureusement elle avait eu la bonne idée de décaler son rendez-vous d’une petite heure afin de m’obliger à me rendre à cette fête puisqu’il lui fallait quelqu’un sur les lieux afin de tout lui raconter par la suite. C’est donc en sa compagnie et vêtue d’une robe noire que j’estimais trop courte vu la température extérieur que je me rendais à cette fête. Après un énième « arrête de tirer dessus, elle est parfaite, elle met tes formes en valeur sans être provoquant » de la part d’Eris j’avais attrapé un verre au passage d’un serveur afin de me détendre quelque peu. Plus je tirais sur la longueur plus le décolleté se faisait plus plongeant sur ma poitrine… N’ayant jamais été du genre « allumeuse » les deux me gênait mais je ne pouvais de toute façon plus faire marche arrière. Ainsi nous avions passé presque une heure à saluer des connaissances, danser une fois, avant de nous trouver un bon angle de vue pour attendre Susanna. Eris elle cherchait d’autres cibles, plus… masculines. Lorsqu’elle se tourna vers moi ce ne fut que pour me dire qu’elle allait bientôt devoir partir. Attends au moins que sue arrive, tu ne vas pas me laisser toute seule… Après tout dans notre petit cercle j’étais la plus jeune et je parvenais fort bien à user d’un regard de chien battu qui fonctionnait à merveille… J’allais saluer d’un signe de tête le cousin de mon amie lorsque je m’aperçois qu’il venait tout droit dans notre direction… bon je pourrais peut-être lui demander s’il avait des nouvelles de Sue. Bonsoir, Mr Crouch. L’avais-je salué, surprise qu’il m’appelle Gwen même si je le connaissais depuis plusieurs années maintenant. Après avoir salué Constantin, Eris me glissa que je n’étais plus seule à présent et qu’elle devait, vraiment, partir. D’ailleurs elle ne tarda pas à me lâcher, s’éclipsant avec une rapidité effrayante… Ok… sympa les copines. Oh… Loquace ce soir, bravo. Cette soirée s’annonçait décidément bien étrange. Je buvais une gorgée pour me donner un peu de courage. Il n’y a plus que moi on dirait… A-t-elle précisé les termes du chaperonnage ? Demandais-je avec le sourire. Après tout Constantin était plutôt sympa et s’il devait garder un œil sur moi autant en profiter. La musique battait son plein, certains regards curieux et/ou déplacés se posaient de-ci de là sur moi et sur ma tenue. J’ignorais si Sue était aussi responsable qu’Eris pour la robe mais j’avais connu des tenues plus décontractée ! Je finissais mon verre que je déposais à la volée sur le plateau d’un serveur qui passait. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Sa compagne l’avait abandonnée aussitôt que tu l’avais rejointe. «Bonsoir, Mr Crouch» Ce nom te fit légèrement grincer des dents, tu n’étais pas si vieux et Mr. Crouch c’était ton père. «Voyons, appel moi Constantin, c’est mon père ça Mr. Crouch». Tu n’avais pas vraiment porté attention à sa robe au départ, mais plus tu la voyais tirer sur le bas de sa robe et plus sa poitrine semblait prête à émerger de son décolleter. Tu détournas les yeux, te concentrant sur ses yeux, oui elle avait de magnifiques yeux et mieux valait penser à ses yeux et non à ses deux obus qui semblaient si pressés dans cette étoffe noire et prêtes à se dénuder doucement. Elle t’offrit un petit sourire alors qu’elle te posait une question suite à la demande de Sue la concernant. «Il n’y a plus que moi on dirait… A-t-elle précisé les termes du chaperonnage ?» tu lui souris doucement. «Hum… non, pas spécifiquement, mais j’imagine qu’elle désir s’assurer qui n’arrive rien de grave à son amie, ne t’inquiète pas je ne vais pas t’enchainer à moi et t’empêcher de t’amuser, simplement m’assurez que personne ne t’embête» Elle termina son verre, le déposant rapidement sur un plateau non loin, tu la regardas faire, elle semblait prête à s’amuser. La musique d’ailleurs était déjà assez forte, la piste étaient pleine de jeune danseur, certains s’enlaçant en s’embrassant, d’autre buvant un verre en se déhanchant et plusieurs semblait rigoler entre eux, s’encourageant l’un l’autre. Tu n’étais pas vraiment du genre danseur, tu ne l’avais jamais vraiment été, tu connaissais les pas classiques puisque tu y avais été contraint, mais tu ne dansais que très rarement par plaisir. Elle regardait la piste de danse, elle devait avoir envie de rejoindre ceux de son âge, elle était encore bien jeune la demoiselle. «Tu devrais y aller, profiter de la musique, je ne serai pas bien loin si tu as besoin de moi.» Tu vis certains membres de l’élite venir à ta rencontre, ceux de ton âge, ceux travaillant avec toi à ce travail ingrat que tu détestais tant, pourtant tu avais un don pour la chasse, un don pour retrouver les gens, pour suivre une trace, Gwen serait en sécurité, tu pourrais la flairer facilement dans la masse maintenant que son parfum avait chatouillé tes narines. Un groupe vint te saluer, te parlant de la dernière trouvailles qu’il avaient fait dans les bois, certains s’amusait de retrouver ses jeunes insurgés qu’on devaient remettre au gouvernement qui leur réservait un sort atroce, réduit à l’esclavage. Cela te dégouttait de les entendre parler, te concentrant à moitié sur leur paroles, buvant sans doute ton verre trop rapidement, mais déjà ton amour pour ce nectar avait débuté et tu arrivais a bien maintenir l’alcool avant de perdre le contrôle. Heureusement, bientôt tu mettrais fin à ce travail obligatoire par le gouvernement, tes services ne seraient plus requis et tu pourrais t’enligner vers autre chose. Tu gardas un œil sur la brunette tout en écoutant la conservation des autres d’une oreille, tu remarquais comment les gens regardaient la jeune femme. Son habillement semblait plaire à plusieurs garçons qui souriaient en la remarquant, prêt à profiter de la vue. Ceux qui étaient venu à ta rencontre, remarquèrent que ton regard était centré sur la jeune brunette, ils sourirent alors. «Tu nous présente ta copine Constantin.» L’un d’eux la regardait avec intérêts, tu voyais la convoitise briller dans son regard. «T’es plutôt mignonne, j’adore ta robe.» Tu soupiras doucement et fit de mauvais yeux au garçon. «Oui et elle est beaucoup trop jeune pour toi.» Il sourit avec amusement. «Voyons donc, laisse la demoiselle en décider d’elle-même Constant, t’es pas son père à ce que je sache, moi c’est Colin.» Il lui offrit son sourire des plus charmeur, alors que tu restais entre eux, imposant ta présence afin de la préservé des deux mecs beaucoup trop âgé pour elle. |
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| C’était d’avantage par surprise de l’entendre m’appeler par mon surnom que je l’avais appelé par son patronyme, c’est donc avec un sourire taquin que je lui répondais. Très bien Constantin. Mes amis m’appelaient Gwen, les autres se contentaient de Miss Lestrange et ma mère de Cedrella qui restait, malgré tout mon premier prénom. Constantin était le cousin d’une amie mais je le connaissais assez peu en réalité. Bien entendu je connaissais la famille Crouch et Sue m’avait beaucoup parlé de son cousin en bien, mais nous n’avions jamais réellement prit le temps de faire plus ample connaissance. Nous pourrions, peut-être profiter de cette soirée pour rectifier cette petite erreur. Après tout j’étais là maintenant et j’étais seule alors pourquoi ne pas passer la soirée avec une personne avec qui je pouvais avoir confiance ? Mon sourire se fit plus large en entendant les termes du chaperonnage. Il devait simplement s’assurer que tout se passe « bien ». Je m’étonnais moi-même en lui répondant avec humour. Vu la robe qu’elles m’ont choisie c’est un travail à plein temps. Oui, tout à fait, je me plaignais du choix effectuée par mes amies !! Franchement j’avais vraiment l’air de… enfin d’une… bref. Ce n’était pas MOI. Je n’aimais pas spécialement montrer mes formes à l’élite entière même si, comme me le disait souvent Eris, j’avais de la chance d’en avoir de jolies. Je n’étais pas ce genre de sorcière et les regards déplacés de certains pouvaient vraiment être gênant. Mais l’alcool aidant gentiment je me détendais au fil des minutes assez, en tout cas pour cesser de tirer d’un côté puis de l’autre en vain. J’observais autour de nous les autres s’amuser sur la piste de danse. Comme tout sang-pur qui se respecte et pire encore comme toutes les jeunes filles de l’élite j’avais reçu une éducation assez conservatrice et les cours de danse étaient inclus dans le pack des bonne manières. Mais il n’y avait qu’en comité restreint, avec mes amies que je me permettais de me déhancher sur des sons bien moins courant. Pourtant ce soir j’avais bien l’intention de m’y mettre, après tout j’étais maintenant majeure et c’était une façon comme une autre d’ennuyer ma tendre mère puisque dès demain elle aurait les commentaires de ceux qui étaient présent ce soir. Mon regard se posait sur les serveurs, je cherchais un cocktail aux teintes bleuté, je n’y avais jamais goûté mais la couleur m’avait toujours attiré. Je te remercie, c’est très aimable de ta part de prendre soin de moi mais… je tente de trouver un cocktail avant d’y aller. j’appelais d’un signe de main le serveur qui tenait entre ses mains « mon précieuxxx » et attrapais le verre avant de le remercier d’un sourire. Ce n’était que mon second verre pourtant je me sentais déjà assez légère, l’alcool devait être fortement dosé. Trempant mes lèvres dans cet étrange liquide je ne me souciais pas des regards et des sourires qui m’entouraient. Trop habituée à reconnaitre les ingrédients d’une potion je détachais chaque ingrédient de ce mélange tout en en appréciant le gout. Je ne remarquais la présence des amis de mon chaperon que lorsque l’un d’eux s’adressa à moi et de façon plutôt… grossière. J’esquissais un sourire amusé de la réaction de mon chaperon, il tenait parfaitement son rôle. Pourtant je me décalais de Constantin et observait l’homme de cromagnon devant nous. Bien sûr Constant, je suis majeure laisse-moi donc décider moi-même. J’observais Constantin avec le sourire et après lui avoir fait un clin d’œil je retournais mon attention sur le jeune homme. Enchantée Colin. Je suis Guenièvre. Je me rapprochais d’un pas lui offrant à présent un sourire carnassier. Guenièvre Lestrange. Toujours intéressé… Colin ? Mon nom eut l’effet escompté comme souvent et je m’amusais toujours autant de la notoriété de celui-ci. Je lui aurai annoncé sa mort prochaine par écartèlement qu’il n’aurait pas fui aussi vite. Etre la fille de Rabastan Lestrange n’avait pas que des inconvénients, cela permettait réellement de faire le tri parmis les sorciers. Se présenter comme étant une Lestrange c’était se présenter comme étant la fille du bourreau… mieux valait s’en tenir loin et Colin semblait bien l’avoir compris. L’effet n’était pas aussi tranchant avec les 28 sacrées d’ailleurs je me retournais vers l’un d’eux, Constantin à qui je souriais sincèrement amusée. Pas très courageux ton ami… Je trempais mes lèvres dans mon verre avant d’attraper sa main. Viens danser avec moi. C’était une invitation un peu sauvage mais une invitation tout de même. Je l’attirais vers la piste de danse tout en conservant mon verre à la main. Oui, j’étais bien décider de profiter de la soirée ET de Constantin. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Guenièvre semblait d’humeur enjouée ce soir, certes elle était plus une amie de ta cousine que la tienne, pourtant tu l’avais appelé par son surnom par habitude. Sue te parlait toujours de Gwen et non de Guenièvre, par habitude d’entendre ce nom tu l’avais appelé ainsi et maintenant qu’elle se présentait à Colin, tu t’en rendais compte que tu avais peut-être été trop familier avec elle. Pourtant elle ne t’avait pas reprise, peut-être par soucis de respect envers son ainé? Colin eut sans doute la réaction désiré puisqu’en entendant le nom de famille de celle-ci, il semblait prêt à prendre ses distances à présent, beaucoup moins joueur désormais. Elle, cela semblait réellement l’amuser. Puis alors qui vous saluait rapidement, elle te souriait avec un air d’amusement. «. Pas très courageux ton ami…» Sans doute, mais tu osais appeler cela plus de l’intelligence, la réputation de sa famille la suivait et certes bien des garçons n’oserait faire une bêtise avec la fille de Rabastan Lestrange. Elle buvait son cocktail bleu, puis elle attrape ta main, te tirant doucement « Viens danser avec moi.» Elle te tire d’une main, vers la piste de danse, tu hésites, mais comment lui dire non? Tu termines, en une rapide gorgée, ton verre, le laissant sur une table à portée alors que tu te laisses entrainer avec elle. Tu n’aimes pas particulièrement la danse, mais aussi bien profiter de t’amuser ce soir et de suivre la vague. L’alcool devrait t’aider à te laisser aller, tu te laisses donc emporter par cette jeune femme, beaucoup trop jeune pour toi avec une robe beaucoup trop révélatrice. Vous vous retrouvez sur cette piste de danse improvisé dans une pièce, vous faisant frôler par d’autre corps autour de vous, la plupart semble en transe et ne porte pas tant attention à ce qui les entourent. Tu la regardes se mettre à bouger, la musique est assez rythmer, très différentes des valses qu’on entend lors des réceptions et bals offerts par l’élite. La plupart des gens danse tout bonnement et alors qu’elle te sourit en continuant de sucrer ses lèvres dans son breuvage tout en dansant doucement, tu te laisses aller, suivant le rythme. Tu finis même par sourire, amusé, ressentant peu à peu l’ivresse de l’alcool dans ton sang et l’euphorie de la musique. Lorsqu’un serveur passe tout près, tu lui vole un breuvage, le buvant assez rapidement, vaut mieux boire ce soir et arriver à ce laisser aller. Tu danse avec elle, riant avec elle aux différents mouvements que vous faites pour vous amuser l’un l’autre. La pièce semble tourner légèrement, mais c’est certainement dû aux breuvages, à croire qu’ils ont ajouté une concoction plus forte que l’alcool puisque habituellement tu la tiens plutôt bien. Tu ressens une certaine ivresse et une euphorie qui te fait rire doucement. Puis la musique devient plus douce, la lumière écliptique se teinte de bleu et tous les corps se retrouvent pour danser doucement sur cet air, valsant doucement comme porté par la vague. Sans trop réfléchir, tu passes un bras à la taille de la jeune brune, gardant une distance respectable entre vous. «J’espère que tu n’as pas trop détesté ta soirée, malgré l’absence de tes amies.» Cette musique plus douce vous offres la chance de reprendre un peu d’énergie, demandant moins d’effort pour y danser, tu profites donc du moment, d’ailleurs cela fait déjà quelques chansons que vous vous déhanchés sur la piste, tu n’as pas vue le temps passer et tu commences doucement à avoir chaud, après celle-ci, tu iras sans doute au jardin, prendre l’air frais. «T’as envie d’aller à l’extérieur? Pour se rafraichir?» |
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| J’use et abuse de mon nom, c’est vrai. C’est parfois tellement pratique maintenant que Lord Voldemort est au pouvoir. Avant les sorciers nous regardait de travers comme si nous étions marqués du sceau de l’infamie, maintenant le respect et la crainte sont revenus. Comme si l’ombre de mon père m’accompagnait ou que j’aille. Alors oui, je m’en sers. Eux ignorent que je ne suis pas ce genre de sorcière, petite fille à papa qui risque de les mettre en fâcheuse posture. Mon père est un étranger, je le connais sans doute moins bien que je ne connais le jeune homme en face de moi. Constantin Crouch, assez courageux pour servir de chaperon à une Lestrange. Il accepte, pourtant un peu hésitant au début de notre danse. C’est agréable de ne pas être entouré par nos familles, ce soir il s’agit essentiellement de jeunes de nos âges, enfin surtout du sien. Les jeunes filles de mon âge ne doivent sans doute pas se trémousser de la sorte, c’est mal vu. Après cette soirée ma mère parlera sans doute de crise d’adolescence… et puis nous ne faisions rien de mal n’est-ce pas ? Les danses et les cocktails s’enchainent. Je me contrefiche de la longueur de cette robe ou de son décolleté, près du cousin de Sue, je suis intouchable, j’en ai le sentiment en tout cas. Alors les sourires et les rires fusent et je profite. Loin de tous mes problèmes, loin de toutes les histoires il y a nous, la danse et l’alcool. Un trio détonnant. Je n’ai pas pour habitude de me lâcher de la sorte, vraiment pas. J’ai passé ma courte existence à apprendre le contrôle, de soi, de mes pensées, mes souvenirs, mon don… S’il me voyait ce soir il serait sans doute fort déçu mais j’en ai besoin. Comme une soupape de décompression, il faut savoir lâcher du lest de temps en temps. J’ai chaud, heureusement que cette robe est noire… l’alcool ne désaltère pas, sur le moment seulement. La musique se fait plus douce, j’ai juste le temps de poser mon verre sur un plateau que déjà Constantin pose sa main sur mes hanches. Je me rapproche de lui me sentant plus petite encore qu’au début de cette soirée… Si j’enlevais mes talons mon pauvre cavalier allait devoir me porter… L’idée m’amusa et je posais ma main dans la sienne, profitant de ce simple contact innocent. Du tout. Grâce à toi je passe une excellente soirée. Mon sourire était sincère même si ma tête commençait gentiment à tourner un peu, j’avais, moi aussi besoin de prendre un peu l’air, respirer autre chose que les effluves des danseurs. Constantin c’était vraiment montré tout à fait charmant et je m’étais même sans doute plus amusée que si mes amies avaient été là, sans doute un peu plus libre face à quelqu’un qui me connaissait assez peu. C’est donc avec une joie non dissimulée que je répondais à mon cavalier. Je sais exactement ou on peut aller. Je lui prenais la main et attrapais un verre au passage –autant en profiter jusqu’au bout- avant de quitter la pièce principale. J’étais déjà venu ici avec mon frère Aramis. Il s’agissait alors d’une soirée de l’élite ou tous nos parents étaient présents et où nous avions ressenti le besoin d’être loin d’eux. Aller dehors dans cette tenue aurait été complétement inconscient, les hivers anglais n’étaient peut-être pas les plus froids mais ils l’étaient assez pour tomber malade. Nous prenions un long couloir ou nous croisions quelques personnes se bécotant ici ou là avant de tomber sur une épaisse porte en bois sombre. Je lâchais la main de Constantin et attrapais ma baguette que j’avais utilisée pour bloquer mes cheveux en une demi-queue. Alohomora. Je poussais à présent la porte ouverte et la refermais derrière nous. Au fond de celle-ci se trouvait deux magnifiques et grande, très grande tentures d’un bleu profond. J’emmenais Constantin jusqu’aux rideaux. Tu vas voir c’est un petit bijou. J’attrapais un bout du rideau le relevant pour montrer à Constantin le jardin d’hiver dissimulé au reste du monde. Une serre immense baignée par des lumières douces, une flore luxuriante rappelant une jungle tropicale. L’air était bien plus respirable que dans la salle de danse. J’avançais vers le centre de la pièce, buvant quelques gorgée jusqu’à arriver a un bassin ou quelques petits poissons nageait tranquillement... du moins jusqu’à ce qu’ils ne soient tout d’un coup accompagnés par les pieds d’une demoiselle, les miens puisque je venais d’envoyer valser mes talons et que j’étais entrée dans le bassin ou l’eau m’arrivait juste un peu au dessous des genoux. Viens, elle est bonne et c’est marrant les poissons nous chatouillent!! ils venaient autour de mes pieds pour les “picorer”... Décidément ma joie de vivre était du genre douteuse... Les alcools étaient vraiment bien dosés. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Elle te certifiait passer une bonne soirée grâce à ta compagnie, tu pouvais sans doute en dire autant, qui aurait cru que tu danserais avec Guenièvre Lestrange. Puis elle trouve sans doute ton idée inspirante, puisqu’elle semble connaitre le bon endroit où aller, te disant de la suivre, tu le fais donc, sortant avec elle dans ce jardin de givre. L’air frais surprend, mais il faisait si chaud à l’intérieur, que tu en profite largement avant de la suivre dans cette serre tropicale. Elle se dirige déjà vers une énorme fontaine au fond des plantes exotique, le basin semble assez large, mais connaissant les maisons de sorcier, rien n’était jamais trop quand on avait l’argent. Elle retire déjà ses escarpins, glissant ses pieds dans l’eau, marchant dans la fontaine avec amusement. «Viens, elle est bonne et c’est marrant les poissons nous chatouillent!!» Tu regardes la demoiselle dont sa robe si courte ne dérange pas vraiment ses mouvements, tu n’es pas certain d’être prêt à t’y glisser. Puisque toi au contraire, tu n’as pas une mini-jupe qui te laisse les jambes libres. «Hum… je ne pense pas que ce soit vraiment une bonne idée…» Tu te rapproches du bassin en regardant tes chaussures. Elle semble avoir tant de plaisir, les poissons venant lui caresser la peau, tu t’assois sur le bord, glissant une main à l’intérieur, elle est tiède fraiche. «Ah… et puis tant pis.» Tu retires tes souliers rapidement et tes chaussettes puis tu remontes l’ourlet de ton pantalon au-dessus de chaque genou pour ensuite glisser tes pieds à l’intérieur. Elle avait raison, l’eau est vraiment rafraichissante, tu en oublie un peu les poissons qui y circulent. Puis tu te lèves et viens doucement à sa rencontre, riant doucement alors qu’elle semble si amusé par ses poissons. Décidément ils ont ajouté une formule pour doubler la quantité d’alcool, habituellement tu la tiens assez bien alors que là, tu la ressens couler en tes veines, elle te fait tourner la tête. Puis alors que tu avances, tu ne sais pas trop ce qui se passe, mais sans doute as-tu glissé dans de la vase ou bien l’alcool t’as fait perdre ton équilibre, mais voilà tu perds pieds et sans vraiment le vouloir, par instinct, par réflexe, tu as tenté de t’accrocher à ce qu’il y avait de plus près. Guenièvre ne s’avérait pas un des meilleures appuie, car au lieu de t’aider à ne pas tout te mouiller, elle tomba avec toi dans cette marre d’eau. Résultat, vous étiez tout tremper maintenant, bravo Constantin! Tes vêtements était couvert d’eau, tes cheveux n’avait pas été épargné, mais cette pauvre Guenièvre devait maintenant regretter d’être en ta compagnie. Sa robe, noir heureusement, était tout trempée et ses cheveux lui tombaient sur le visage. «Je suis tellement désolé, je…» Tu essayais de lui retirer les mèches de devant les yeux, ne pouvant empêcher d’avoir un petit rictus sur le bord des lèvres, trouvant la situation bien que très maladroite un peu ridicule. «J’ai glissé, je ne voulais pas, je suis désolé…» Maintenant assit dans l’eau, les vêtements te collants au corps, mais quelle sensation désagréable d’avoir des vêtements trempés collés contre son corps. Sa robe qui était si courte était à présent des plus moulantes, mais tu ne t’attardais pas à sa poitrine. Tu te relevas et tu l’aidas à se relever, l’eau brouillé redevenant plus calme et les poissons se calmant de nouveau. (c'est court, désolé je préfères te laisser réagir face à la maladresse de constantin, vive la bière ) |
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| Il m’a suivi sans protester, il me faisait assez confiance pour ça. A moins que ce ne soit l’alcool qui l’aide à faire ses choix auquel cas je pouvais bien l’emmener ou je voulais, il me suivrait sans rien dire. Mais le manger n’étant pas au programme, pour l’instant, je préférais continuer de profiter pleinement de cette soirée en sa charmante compagnie. Usant et abusant de tout ce que cette demeure et ces hôtes pouvaient bien nous proposer. Alors oui, bien sûr j’avais légèrement « forcé » la serrure pour entrer dans le jardin d’hiver mais si ce sortilège basique fonctionnait aussi bien c’est que la protection n’était pas optimum et que par conséquent le jardin n’avait pas une « grande valeur » à leurs yeux. Pour moi au contraire ce genre de jardin avait une symbolique bien plus précieuse que toutes leurs galeries des glaces ou leurs grands salons. Les jardins étaient des lieux de paix, un endroit où l’on pouvait respirer et avec la bonne personne s’amuser de façon complétement désinvolte, comme ce soir. J’étais déjà dans l’eau attendant que mon compagnon me rejoigne mais son entrain n’était pas une évidence…. Je le titillais donc afin qu’il se décide plus vite. Voilà donc le secret de l’héritier des Crouch, il est en sucre ! Rapidement il ôte ses chaussures, chaussettes et remonte son pantalon… Le voir ainsi fit naître en moi une envie irrépressible de le pousser dans l’eau. Mais l’idée n’eut pas le temps d’être mise en action qu’il s’emmêlait les pieds et se rattrapait… à moi. N’étant pas réputé pour être de marbre nous filions tout droit vers un bon bain. Trempée jusqu’aux os, je tentais d’ôter mes mèches mouillés de mon visage après m’être assise. Le pire dans tout ça c’est que j’en avais lâché mon verre ! Je l’observais amusée, il s’excusait. Je reviens sur ce que j’ai dit, ton secret c’est d’avoir deux pieds gauche après quelques verres… Je l’arrosais lui envoyant de l’eau avec ma main tout en riant de bon cœur, nous n’étions pas blessés, il n’y avait pas mort d’homme. Je sentis quelque chose commencé à chatouiller mes jambes et remonté doucement vers… oh non ! Par Merlin, Cons…tan…tin… on… m’atta…que…. Mon rire avait redoublé d’intensité, un petit poisson était venu jouer les curieux au mauvais endroit et il remontait tranquillement dans le peu d’espace qu’il y avait entre ma robe et ma peau. La bestiole me chatouillait joyeusement et je me tordais de rire arrosant, inondant même la pauvre Constantin près de moi. Je ne savais pas comment me sortir de cette situation, je n’allais clairement pas demander au jeune homme d’attraper le petit poisson ou qu’il se trouve !! Je ne pouvais décemment pas retirer ma robe non plus !! L’attraper moi-même se révélait ardu, le tissu étant un ennemi féroce ! Plus je me débattais plus il bougeait c’était un jeu sans fin. Ni tenant plus j’attrapais le bas de ma robe et le remontait dévoilant des dessous noirs mais pas encore le poisson. Le tissu collait à ma peau et mon rire n’arrangeait rien –l’alcool non plus, je dois bien l’avouer-. Aides moi Constantin, je vais finir par tout déchirer… Oui, en clair je lui demandais de me déshabiller parce que cette foutue robe refusait de m’obéir ! Le complot des animaux et de la mode aurait ma peau ce soir ! Constantin serait aux premières loges pour en profiter! |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now «Voilà donc le secret de l’héritier des Crouch, il est en sucre !» Elle te lançait de petites insultes pour te gagner à aller dans l’eau, voilà tu y étais et vous étiez tombés tous deux dans cette fontaine par ta faute. «Je reviens sur ce que j’ai dit, ton secret c’est d’avoir deux pieds gauche après quelques verres…» Tu la regardas en secouant la tête. «Je crois qu’ils ont amplifié ces verres d’ailleurs.» Elle t’arrose doucement, et tu ris amusé, aussi bien en rire, elle ne semble pas offusquer et profiter de la baignade à présent. Alors que tu désirais l’aider à se relever en lui offrant tes mains, espérant rester stable sur tes jambes cette fois-ci, tu la voyais commencer à gigoter, elle se trémoussait, elle riait à présent, mais un rire qui semblait nerveux, elle leva des yeux ronds vers toi. «Par Merlin, Cons…tan…tin… on… m’atta…que….» Elle se mise à rire, se trémoussant avec énergie alors que tu ne comprenais pas vraiment ce qui se passait avec cette histoire d’attaque, tu regardais autour de vous, quelqu’un essayait peut-être de la contrôler ou de lancer un sort, mais il n’y avait personne et on devait fixer la victime pour que cela fonctionne. Puis elle attrapa l’ourlet de sa robe, essayant de la relever, le tissus mouillé et lourd collait à sa peau, ce qui ne semblait pas l’aider. «Aides moi Constantin, je vais finir par tout déchirer…» Vraiment, elle te demandait de lui retirer sa robe? Il semblait avoir quelque chose qui la gênait et plus elle tirait dessus, plus elle semblait prisonnière et prise de panique, sans plus attendre, bien que sa demande te semblait étrange, tu attrapas le bas de robe et le releva d’une poigne rapide et ferme, lui retirant entièrement celle-ci du corps, vérifiant ce qu’il y avait dans le tissus. Elle se retrouvait en sous-vêtements parmi l’eau et les poissons. Tu tenais toujours le bout de tissus à la recherche de ce qui l’avait sans doute encombré. «Je ne vois rien Guenièvre.» Tu posas alors les yeux sur elle, la voyant en sous vêtement, tu retiras alors ta veste et lui déposa sur les épaules, bon elle était mouillée, mais au moins elle cacherait ces atouts. «Je crois qu’on serait mieux de sortir de la fontaine, histoire de ce sécher un peu.» Tu l’aidas à sortir de l’eau, essayant de ne pas poser ton regard à des endroits indiscrets. «Est-ce que tu penses qu’on peut faire un sort pour nous sécher?» Tu t’installes au sol avec elle, au moins il fait chaud dans cette serre, mais tu sens les frissons te prendre avec tous ces vêtements humides et froids contre ta peau. Tu commenças à déboutonner ta chemise, aussi bien retirer tes vêtements avant d’attraper froid. «J’ai vraiment froid… t’as froid toi aussi?» Tu n’oses pas te coller sur elle, mais en même temps elle pourrait greloter dans ses vêtements humides. Tu retiras ta chemise, bien que tu n’aimais pas vraiment l’idée de te retrouver sans chandail sur le dos, elle pourrait voir ta cicatrice dans le dos, tu ferais en sorte de ne pas lui faire dos histoire qu’elle ne voit rien. «C’est… un peu bizarre comme situation, non?» Puis tu ris doucement, appliquant ta chemise de façon à ce qu’elle sèche un peu, avec la robe de la demoiselle. |
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| J’étais assez d’accord avec lui concernant les verres d’alcool, j’étais bien trop guillerette pour le « peu » que j’avais bu. Le fait que nous ne mangions rien n’arrangeait pas les choses. Néanmoins je n’avais pas eu le temps de faire le moindre commentaire que Nemo s’attaquait à moi. Bon, décidément cette soirée était sous le signe de l’imprévu ! Je me débattais avec une robe qui m’avait ennuyée toute la soirée, autant dire que je n’étais pas prête de la reportée un jour et Constantin semblait chercher un ennemi là où il n’y avait personne à trouver puisque la créature remontait insidieusement le courant ! Heureusement, tel un preux chevalier en armure il m’aida à retirer ma robe. D’un geste vif je virai le petit poisson qui retrouvait rapidement ses copains ! Il allait sans doute raconter son incroyable aventure, mieux qu’un tour de minibalais, une visite très… lestrange. Moi je restais debout camouflant comme je pouvais ma poitrine et m’assurant que mes cheveux cachaient toujours aussi bien ma cicatrice disgracieuse. Je lui offrais un petit sourire de remerciement lorsqu’il me donna sa veste qui bien que trempé me rendait un peu moins mal à l’aise. Je prenais sa main pour sortir de la fontaine et trouvais la sensation de l’herbe fraiche sous mes pieds assez agréable malgré les frissons qui parcouraient ma peau. Sincèrement, je ne suis même pas certaine que ma baguette obéirait à un simple sortilège de lévitation… Et puis le viser ou me viser avec un sort n’était me semble-t-il pas une excellente idée à moins qu’il ne souhaite rendre cette soirée plus étrange encore. Je resserrais davantage la veste sur moi, j’avais froid, contrairement à ce qu’on pourrait penser l’alcool ne réchauffait pas, c’était une belle illusion. Il ôta sa chemise ce qui eut pour effet de me réchauffer quelques secondes, par Merlin, il était bien foutu !! Le froid rendait ses lèvres aussi rouges qu’une bonne fraise, bien juteuse… juste gouter… non ! frigorifiée serait plus exact… Ma peau pâle, l’extrémité de mes doigts ainsi que mes lèvres commençait à bleuir, j’avais eu la pire idée de ma vie et j’allais le payé d’une pneumonie ! Et ses lèvres qui m’appelaient… Bizarre ? Non… ou alors juste un peu. Un sourire glacé s’étendait sur mes lèvres alors que je m’efforçais de faire taire mon envie de l’embrasser. Voilà ! Interdiction de regarder ses lèvres. Oui mais voilà… plus bas ce n’était pas moins bien non plus. A présent mon regard ne quittait pas son torse… non ne pas regarder, vilaine ! Après tout ce n’est pas la première fois que tu déshabilles une fille parce qu’un poisson à décider de se balader dans une robe beaucoup trop courte. Non ? Je tentais l’humour alors que je commençais à trembler joyeusement. Et son torse…. Nu… ses lèvres… NON ! Entre deux claquements de dents j’ajoutais. Et puis tout est de ma faute… c’est moi qui t’ai conduit ici…. dans cette serre… dans la fontaine… dans ses bras… quoi ??? Oui d’abord assis l’un face à l’autre –puisque nous cachions nos dos tous les deux- j’avais tout doucement basculé vers l’avant, me retrouvant lové contre lui et que Morgane m’en soit témoin… ce n’était vraiment pas inconfortable ! Bien que timidement je rapprochais davantage mon corps contre le sien, recherchant sa chaleur. De mon front ce fut mon visage qui entrait en contact avec sa peau. Je murmurais, comme une confidence. Ma mère va me tuer…. Vu dans l’état dans lequel j’étais il n’y avait aucun doute que ma « tendre » mère se ferait un plaisir d’appuyer là où ça ferait le plus mal. |
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| | | | | Cause we came to have so much fun now feat C.Guenièvre Lestrange | |
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