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sujet; Cause we came to have so much fun now feat C.Guenièvre Lestrange |
| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Elle te parla de sa baguette ce qui te fit sourire, tu n’étais pas prêt à t’essayer en un sort sur elle ou sur toi, peut-être en laissant vos vêtements sur le sol, mais s’il prenait en feu, tu serais pris sans vêtement, mieux valait opter pour le séchage et rester sécuritaire. «Restons prudent et ne tentons rien, ça vaut mieux je pense…» Du coup vous étiez tous les deux en train de greloter. «Frigorifiée serait plus exact…» tu fronças des sourcils, elle avait froid certes, mais toi maintenant que tu avais retiré ces vêtements humide, bon tu avais gardé ce pantalon, mais ce n’était qu’une question de temps avant de le retirer, tu n’avais pas autant de frissons aux épaules. Puis tu remarquas qu’elle te fixait, vraiment un peu trop, mais cela t’amusait plus qu’autre chose. Puis lorsqu’elle te parla de sa robe, qui d’ailleurs était étendu contre le sol sous une lumière chaude histoire qu’elle sèche un jour. «Après tout ce n’est pas la première fois que tu déshabilles une fille parce qu’un poisson à décider de se balader dans une robe beaucoup trop courte. Non ?» Tu eu un petit sourire amusée cette fois en la regardant. « Hum, habituellement quand je déshabille une fille ce n’est pas à cause d’un poisson qui désir s’y balader, je dirais…» un petit sourire flotte sur tes lèvres, amusé. Puis la voilà qui claquait des dents, tu te devais de faire quelque chose. «Et puis tout est de ma faute… c’est moi qui t’ai conduit ici….» Tu retiras ton pantalon alors, le laissant sécher avec les autres vêtements à même le sol. Puis, tu la vis se rapprocher un peu plus de toi, tu la regardas et laissa un petit soupir glisser entre tes lèvres. «Cette veste va seulement te donner plus froid, tu devrais la laisser de côté, tu permets?» Puis tu lui retiras doucement, l’étendant avec le reste, puis d’un geste machinale, sans arrière-pensée, tu savais que ton corps, vue ta condition, devenait très chaud. La preuve depuis tes 14 ans, tu dormais nue la nuit puisque tu avais beaucoup trop chaud, même les nuits d’hiver. Tu collas alors son corps gelé contre le tien, enroulant ses épaules d’un bras. Laissant la chaleur naturelle du loup en toi la réchauffer doucement, tu ressentais de moins en moins le froid pour ta part sans ses vêtements humides. «Laisse-moi te réchauffer, tu claques des dents» Tu collas tes jambes contre les siennes et sa tête vint se déposer contre ton torse, tu lui frottais doucement les bras avec tes mains. «Ma mère va me tuer…» Tu ne pus empêcher un petit ricanement de sortir de tes lèvres. «Ta mère n’en sauras rien voyons, ça restera entre nous.» Tu la regarde dans les yeux à ce moment-là et sans vraiment y réfléchir, vous vous fixer un peu trop, tu déposes tes lèvres contre les siennes, l’embrassant doucement alors que vos deux corps sont collés en guise de réchauffement. Dans le pire des cas, elle se reculera ou te frappera la joue, qui sait, mais tu l’embrasse par envie, tu n’as pas vraiment réfléchir d’ailleurs. Tu l’as simplement fait, car à ce moment même tu avais envie de goûter ses lèvres pulpeuses qui étaient très attirante d’ailleurs. Elle semblait pourtant y répondre et ne pas se reculer vivement, se laissant border par la caresse, ta langue alla rejoindre la sienne en un mouvement, goûtant, découvrant. Le loup qui sommeillait au creux de ton ventre était réveiller depuis qu’elle n’avait plus de robe à vrai dire, mais maintenant il s’extasiait de ce goût. Il se nourrissait doucement de ce que tu lui donnais, bien qu’une faim toujours plus grande t’attende au détour. Tu glissas une main dans sa chevelure, profitant de ses lèvres, du moment, de cette proximité que vous partagiez. |
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| Nous allions avoir du mal à sécher mais qu’importe tant que je ne me transformais pas en statue de glace je pouvais bien attendre, un rhume n’avait jamais tué personne. Oui c’est mieux… avais tu soufflé, mieux valait ne rien tenter… du moins en magie parce que là, j’avais bien envie de tenter un truc, du genre complétement déplacé. Une gamine… une gamine idiote et un peu, bon d’accord, complétement cuite ! Je donnais plutôt bien le change mais mes pensées étaient floues, mes actions irréfléchies, mes paroles complétement dénuées d’intérêt et de réelle logique. Je n’étais plus du tout la Gwen un peu froide, la jeune fille de bonne famille un peu coincée… Alors forcément je n’étais pas en état de résister à mes plus bas instincts et la vue que m’offrait Constantin était bien trop attirante pour que je n’y cède pas. Ah oui ? Tu es plutôt le genre de garçon à la déshabiller pour y aller direct ? C’est ça Gwen, tu n’as plus de filtre… tu dis ce qui te passe par la tête… Par Merlin, il va te voir comme la pire des gamines qui soit. Et ces p*tain d’yeux qui ne veulent pas se poser ailleurs que sur son corps parfait !!! Mon corps partait en vrille et ma langue n’avait plus aucune retenue. Et voilà, il retire son pantalon… et il va me sauter dessus parce qu’à force de le regarder comme une pâtisserie il a compris le message, bravo. Voilà il se rapproche de moi… ben BOUGE !!! Ben non… et puis tant qu’à faire il retire la veste qu’il m’a prêté il y a quelques secondes à peine… et le pompom c’est que... ben je me laisse faire et avec le sourire qui plus est et un hochement de tête en signe d’acceptation. Il pourrait me dire la même chose pour mes sous-vêtement que ce foutu sourire resterait coller à mes lèvres. Les méfaits de l’alcool moi je vous le dis c’est pas beaux à voir ! Il se rapproche de moi et me voilà littéralement collé contre lui… il est.. chaud. Oua… soit je te fais de l’effet soit tu as du sang de dragon… mais qu’est-ce que t’es chaud. Class… réellement class. Mais véridique, son corps est plus efficace qu’un feu de cheminée et c’est vraiment pas désagréable du tout ! Bon par contre je me serai bien passé de son petit rire moqueur quand je lui parlais de ma mère… il ne savait pas, il ne pouvait pas connaitre la relation que j’entretenais avec elle, et il ne fallait pas que j’y pense, surtout pas dans cet état. Je le regarde, il me regarde, bref nous nous regardons et… nos lèvres entrent en contact de façon presque naturelle. Un baiser d’abord timide, plutôt intimidé même. Je ne m’étais jamais sentie aussi petite qu’à cet instant, aussi jeune aussi futile aussi fébrile… Ce contact chaud, bienveillant est agréable, ses lèvres douces effleurent les miennes, je lui réponds, j’en ai envie. Sa langue trouve la mienne et ce contact m’électrise, sa main dans mes cheveux fini d’emballer mon cœur. Je n’ai plus de souffle, je recule un peu gauchement et ma main part sur sa joue… Mes yeux, comme deux billes bleues s’offusquent de mon geste et non du sien. Je viens de le gifler. Pourquoi ? Parce que tout bêtement j’ai été surprise, surprise d’apprécier ce contact… et peut-être une pointe de peur qu’il ne souhaite aller plus loin… Pardon. Un seul mot dit dans la précipitation alors que c’est à mon tour de renouer le contact de nos lèvres et d’échanger cette fois ci un baiser plus fiévreux. Le gifler puis l’embrasser… oui définitivement je ne savais plus ou j’en étais. Mes mains trouvent le chemin de sa nuque, caressant celle-ci, remontant jusqu’à sa chevelure. Je l’embrasse avec une fougue mal maîtrisé, une envie exacerbé. Mon cœur bat vite, vite et fort s’en est presque douloureux. Non je n’ai pas le droit de lui faire ça… je ne devrais pas jouer avec lui, pas de cette façon… mes lèvres quittent les siennes, j’ai besoin d’air. Je m’essouffle dans son cou ne quittant pas ses bras, ne lâchant pas son cou, il n’a pas le droit de partir, il ne peut pas me laisser, comme tous les autres… Je vacille, mon cœur, mes pensées tout est imbibé d’alcool. Je voudrais juste en profiter sans blesser personne, sans le blessé lui qui a embelli ma soirée. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now «Ah oui ? Tu es plutôt le genre de garçon à la déshabiller pour y aller direct ?» Tu lui souris, est-elle vraiment curieuse, ou elle se donne du courage. «Hum, ça dépend toujours de la situation, mais j’aime prendre mon temps habituellement.» Puis lorsque tu lui retire la veste, elle te sourit, elle semble prête à te suivre peu importe et tu comprends qu’elle a entièrement confiance en toi. Puis lorsque tu la colle afin de la réchauffer elle semble te croire pouvant la réchauffer. «Oua… soit je te fais de l’effet soit tu as du sang de dragon… mais qu’est-ce que t’es chaud. Class…» Tu pouffes doucement de rire, du sang de dragon. «Hum je n’ai pas de sang de dragon, peut-être que c’est l’autre option alors.»Puis vous vous embrassez…. Elle répond à ton baiser, sa langue caressant la tienne puis après un moment, elle se recule puis sans attendre, elle te gifle. Celle-ci tu ne l’avais pas vraiment vu venir, elle ne l’a pas fait trop fort au moins, elle semble aussi surprise de son geste que tu l’es, puis elle s’empresse de s’excuser « Pardon.» Elle n’explique pas son geste, ni ce qu’elle ressent, qu’elle s’empresse de renouveler l’expérience, bon là elle te prend de court de nouveau, mais tu suis le mouvement, n’étant pas si offusquer de cette gifle. Ses bras ce noue autour de ton cou, tu refermes les tiens autour de sa taille. Puis peut-être que tu la méritais cette gifle, t’as l’air de quoi, du mec qui profite de la situation, la fille en petite tenue et tout, non? Tu ne te pose pas vraiment de question, la sensation est agréable et tu ne t’attends à rien de plus par après, à moins qu’elle te ferait part de quoi que ce soit. Pour l’instant, tu n’es qu’un garçon qui embrasse une fille, bon vous êtes presque à poil tous les deux, mais ce n’est qu’un détail, tu ne comptes pas en prendre profit tout de même, c’est l’amie de Susanna. Merde, c’est l’ami de Susanna que tu es entrain d’embrasser là présentement, caressant la peau de ses reins doucement alors que ses lèvres ce font plus exigeante, qu’elle colle plus son corps au tien, laissant clairement ton corps ressentir sa poitrine contre toi. Est-ce l’alcool qui vous fait agir ainsi, en parti, elle vous a retiré toute inhibition, mais c’est vraiment un désir de t’embrasser et de l’embrasser, puis elle se recule reprenant son souffle. Tu la sens respirer dans ton cou, alors que ses mains sont encore emmêler à ta chevelure. Tu profites de ce moment pour respirer, respirant son odeur, oui en ce moment tu as envie d’elle, bien qu’au début de la soirée tu n’aurais pas cru en une telle chose. Après avoir dansé avec elle, avoir ri, t’être amusé en sa compagnie, mouais voilà que maintenant tu n’avais qu’une envie c’était elle et ses lèvres pulpeuses. Puis tu espères qu’elle ne se casse pas trop la tête, mais en même temps tu ne peux pas lui dire d’un coup qu’elle s’en offusque, tu ne voudrais pas la blesser. Ça ferait trop macho de lui dire de ne pas se caser la tête avec ça, que c’est rien qu’une soirée de plaisir, qu’on n’ira pas plus loin que ce qu’elle a envie, car ton appétit est beaucoup plus grand et la bête pourrait dévorer la belle. T’as simplement envie de passer du bon temps sans vraiment te soucier du après, du lendemain matin et de ce que cela pourrait changer pour vous deux. «Hey…ça va?» Tu glisses un doigt sous son menton, lui relevant la tête doucement pour voir son visage, ses yeux, son regard. «Tu sais, on n’ira pas plus loin que tu le veux.» Elle était bien plus jeune que toi, d’ailleurs avait-elle sa majorité? Tu ne t’étais pas vraiment posé la question… «Je préfère éviter une autre gifle» Tu la taquinais maintenant, un sourire bordant tes lèvres avec amusement. |
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| Si je lis entre les lignes, ou bien si je comprends simplement ce qu’il vient de me dire je lui fait de l’effet. Il faudra remercier le poisson alors... il a bien accélérer les choses. Parce qu’il était clair que je ne me déshabillais pas devant tous les hommes que je croisais. A dire vrai aucun homme n’avait réellement pu apprécier la vue que Constantin avait. Les sorciers anglais n’étaient pas réputés pour se balader sur les plages ou barboter dans des piscines et encore moins les Lestrange. Sans compter cette vilaine cicatrice dans mon dos que je préférais garder pour moi, l’explication de sa présence étant, même à mes yeux un mystère bien trop gros pour être honnête. Je sentais ses mains sur ma peau, des frissons parcourait l’ensemble de mon épiderme, c’était agréable. Le contact de ses mains chaudes sur mes hanches, ses lèvres sur les miennes, tant de contact qui me brulaient de l’intérieur. Un véritable brasier alimenté par des émotions trop intenses bien arrosés par une dose conséquente d’alcool. Rien de tout ceci ne serait arrivé sans alcool, j’avait été élevée dans la retenue, on m’avait ordonné de jouer la petite sang pur parfaite et j’étais une excellente comédienne et ce soir tout volait en éclat parce que j’avais eu le malheur de vouloir en profiter un peu.... Avec un jeune homme charmant, gentil et agréable. Voilà appelons un chat un chat, ce soir je m’amusais avec le prince charmant ! Je reprenais ma respiration tentant d’éloigner mes peurs et mes mauvaises pensées au maximum mais en vain. J’aimerai savoir ce qu’il pense ce qu’il souhaite mais je ne sais pas et je n’ai aucun moyen de le savoir. ses doigts effleurent mon menton et mon regard se pose sur son visage... je n’ose pas le regarder dans les yeux, je viens tout juste de le gifler et de l’embrasser. Mais ses paroles me rassurent et sa plaisanterie me tire même un rire cristallin. Alors, oui je le regarde. Les yeux dans les yeux. Oui ça va... Je me sens juste complètement idiote... Je me mords la lèvre inférieur sans le quitter du regard. Ma main effleure son visage, redessine ses traits. Je le découvre. Je t’aime bien. Beaucoup même mais... ça ne suffit pas. Comprenait il ce que je voulais dire? J’ai l’impression que mon coeur et ma tête se disputent et avec l’alcool c’est plutôt violent parce que t’es carrément sexy et que j’ai envie de t’embrasser encore et encore... Mes doigts effleurent ses lèvres avec douceur. ... mais pas d’aller plus loin.. je suis non je ne suis pas prête. J’étais jeune et je ne connaissais quasi rien des jeux de l’amour. Personne ne me connaissais un seul petit ami officiel. Liam était le seul et nous n’avions fait qu’échanger quelques baisers. Je baissais les yeux et grimaçais, légèrement honteuse de lui avouer tout cela. Tu dois me prendre pour une sorcière capricieuse mais.. enfin... bref je suis vraiment désolée. J’ôtais ma main de son visage comme si je n’avais plus le droit de le toucher, je n’étais de toute façon pas assez bien pour lui. Je comprendrais que tu veuilles rentrer... Partir, s’éloigner de moi, assez loin pour pouvoir jouer avec une fille qui accepterait, une fille qui en valait la peine. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Elle te dit alors ce qui lui pèse sur le cœur, ce que tu appréhendais, mais en même temps, elle est jeune et ça tu le comprends amplement, en plus d’être une jeune fille. Elle est là collé contre toi en te disant combien elle t’apprécie, mais qu’elle n’est pas prête, qu’elle se sent idiote. «Je t’aime bien. Beaucoup même mais... ça ne suffit pas. J’ai l’impression que mon cœur et ma tête se disputent et avec l’alcool c’est plutôt violent parce que t’es carrément sexy et que j’ai envie de t’embrasser encore et encore...» Tu l’écoute parler et déjà tu sais qu’elle se prend trop la tête avec tout ça. Ses doigts effleurent tes lèvres doucement. « ... mais pas d’aller plus loin… Je suis non je ne suis pas prête.» Au moins elle était franche et elle savait ce qu’elle voulait et ne désirait pas, peut-être qu’elle était vierge et prendre la virginité d’une fille amenait a de grande responsabilité la plupart du temps, elle le faisait par amour et non pas désir habituellement, tu ne lui volerais pas ce cadeau qu’elle pourrait offrir à l’élu de son cœur, tu lui souris doucement, lui caressant la joue. «Tu dois me prendre pour une sorcière capricieuse mais… enfin... bref je suis vraiment désolée.» Elle retira sa main de ton visage. « Je comprendrais que tu veuilles rentrer...» Elle semble gêner, timide de tout ce qu’elle ressent et du fait qu’elle préfère ne pas aller plus loin. «Tu sais, je comprends et c’est correct, tu as le droit et vaux mieux que tu gardes ça pour la personne que tu aimeras vraiment. On a eu du plaisir toi et moi, mais je veux dire tu n’es pas amoureuse de moi après une simple soirée et c’est tout à fait à ton honneur, je ne vais pas partir et te laisser parce que tu ne veux pas aller plus loin tu sais, je ne suis pas de ce genre-là.» Puis tu lui souris avec amusement. «Puis merci du compliment, tu es… vraiment parfaite.» Puis tu te repenche sur elle, lui offrant à nouveau un léger baiser, ne voulant pas la brusquer non plus. «Puis je n’ai pas de problème si tu veux te limiter à ça, et je ne vais pas te forcer à faire quelque chose que tu n’es pas prête à faire.» Tu avais beaucoup de respect pour les femmes, ta mère t’avait élevé de cette manière et comme tu respectais ta mère pour ce qu’elle représentait, tu savais au combien tu devais ce même respect aux autres femmes. «Je pense que nos vêtements ne seront pas secs avant une bonne demi-heure, malgré cette chaleur tropical.» Elle semblait avoir repris un peu de chaleur maintenant, mais tu n’allais pas la décoller pour autant, les frissons la reprendrait dès que ton corps et sa chaleur se décollerait du sien. «Tu crois que la fête va encore battre son plein quand on va pouvoir remettre nos vêtements et sortir d’ici?» Un petit sourire planait sur tes lèvres, imaginant la maison vide après un long moment, mais il y avait plus de chance de retrouver des gens à moitié endormit dans tous les recoins de la maison, certains occupant surement des chambres pour s’y amuser, les jeunes le faisaient tous et cette alcool… À croire qu’on y avait placé un léger filtre d’amour pour aider les gens à briser la barrière, ce qui aurait pu être possible, elle avait retiré tout inhibitions. La fatigue commençait à se pointer le bout de son nez, mais tu aimerais mieux être dans ton lit que de t’endormir à moitié nu dans cette serre, la soirée avait avancé et seulement vos vêtements humides vous retenais encore ici, bien que d’avoir son corps tout près du tiens était plutôt agréable. Le goût de ses lèvres rodaient encore sur les tiennes, tu pouvais encore la goûter dans ta bouche, certes l’envie de l’embrasser ailleurs sur son corps t’aurait plu, mais elle n’aurait pas apprécié, tu l’aurais brusqué, elle aurait peut-être fuie à toute jambe. (la fin du rp s'approche ) |
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| Les sorciers de sang pur sont soient d’incroyable rétrograde soit de parfait gentleman. Constantin faisait partie de la seconde catégorie. Il avait sans doute été éduqué comme mes frères l’avaient été. Du moins comme ils l’auraient été si je n’étais pas présente dans l’équation. Le jeune homme était l’héritier de sa famille, il aurait pu simplement se servir, prendre ce qu’il souhaitait en mettant de côté mes envies et mes besoins mais il n’en avait rien fait. Mieux que cela il comprenait et ce malgré l’alcool qui embrumait nos esprits, c’est dire s’il avait une force de caractère et une retenue puissante contrairement à moi qui lorgnait encore et toujours sur ses lèvres. J’allais dire merci, merci de me comprendre, de rester et de me dire que j’étais parfaite –ce qui était complétement faux mais passons- lorsqu’il déposa un sage baiser sur mes lèvres. Un gout de trop peu… trop rapide, pas assez d’intensité. L’alcool avait relevé des barrières que je n’avais jamais franchies avec personne et j’avais gouté à un plaisir que je ne souhaitais pas voir s’envoler si vite. J’étais tiraillé entre l’envie de l’embrasser, de re-goûter au fruit défendu, d’y laisser mon empreinte, ma trace et le sentiment d’être la pire amie qui soit au monde en le « chauffant » sans lui laisser la moindre chance d’aller plus loin. Par Merlin si Sue avait vent de cette histoire je ne saurai plus ou me mettre…. Pour le moment je lui offrais un sourire, bienveillant, chaleureux et l’écoutais avec attention. Mon regard se posa sur nos vêtements, je secouais légèrement la tête amusée de l’état dans lequel nous nous trouvions. Voilà une soirée que je n’étais pas prête d’oublier. Je restais tout contre lui, bien au chaud tout en lui répondant. Des calèches ont été prévues pour raccompagner les sorciers trop ivre pour transplaner en un seul morceau… donc ça a du se vider un peu. Je me mordillais la lèvre inférieure, hésitante, avant de replacer mes bras autour de son cou et de souffler dans un murmure. Merci Constantin… D’être là, de rester. J’avais besoin de stabilité dans mes relations ce qui impliquait que je ne m’attachais pas facilement et ce soir l’alcool avait aidé à créer un rapprochement inattendu. Et puis, sans crier gare, je le poussais afin qu’il se trouve allongé dans l’herbe et me plaçais tout près de lui avant de l’embrasser de nouveau, lui mordiller la lèvre inférieure par jeu. Après tout nous connaissions les règles maintenant non ? L’alcool me faisait décidément faire des choses étranges… lui aussi devait y mettre les limites s’il ne voulait pas finir frustré… Mon avant-bras était posé sur l’herbe, afin que je ne sois pas en train de l’écraser alors que ma main parcourait ses cheveux mouillés avec douceur, comme un geste doux presque naturel. Tu sais qu’il y a des chances qu’à cause de l’eau je sois incapable de rentrer de nouveau dans cette robe ? J’avais déjà eu bien du mal à y entrer la première fois, mais humide ça allait être un vrai calvaire ! Je riais en imaginant la situation, moi bloquée dans un vêtement trop petit et Constantin tirant dessus jusqu’à la déchirer complétement… oh oui la soirée n’était définitivement pas terminée en terme de rebondissement ! |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Elle répondit doucement à ta question, parlant de calèche pour ceux qui ce serait sans doute trop amusé. «Des calèches ont été prévues pour raccompagner les sorciers trop ivre pour transplaner en un seul morceau… donc ça a du se vider un peu» Au moins il avait eu un plan de rechange histoire de ne laisser aucune trace de cette fête, sans doute que les grand dirigeant de cette maison était partie en voyage et ne savait rien du plan diabolique qu’avait leurs jeunes de faire cette fête dans l’enceinte de leur manoir. Eh bien ils auraient maintenant des poissons traumatiser, mais cela personne ne réaliserai vraiment. Puis elle t’enlace de nouveau, un air espiègle sur son visage de murmurant un remerciement. Puis elle te poussa doucement, légèrement fatigué, tu te laissas tombé sur le dos, avec elle contre toi, puis tu sentis ses lèvres revenir caresser les tiennes dont tu acceptas l’invitation. Mélangeant salive et langue à la sienne, sa main te caressait les cheveux et la fatigue finirait par t’emporter si elle continuait ainsi. Puis elle cessa pour partager une crainte. « Tu sais qu’il y a des chances qu’à cause de l’eau je sois incapable de rentrer de nouveau dans cette robe ?» Tu eu un petit sourire amusé qui traversa ton visage, ce serait du moins embêtant si sa robe ne lui faisait plus une fois sec. «Hum… ce serait embêtant, quoi que je ne l’oublierais pas facilement cette histoire si tu dois rentrer avec ma chemise, ça ne t’inquiète pas si elle ne te fait plus, je ne te laisserai pas quitter en sous vêtement, là t’as mère te tuerais et moi aussi j’y passerais…Maintenant que ce problème est régler s’il y a un problème d’ici que ce soit sécher, alors que faisons-nous pour passer le temps?» Tu la regardas alors, attendant une réponse de sa part, ayant déjà une idée de comment passé le temps, et dormir ne serait pas la meilleur des idées, tu devais rester éveillé et ne pas sombrer par ce moment confortable, tu commençais vraiment à te demander ce qu’il avait ajouté dans ses breuvages. Sans vraiment attendre une réponse de sa part, tu rapprochas son visage du tien et recommença là ou vous vous étiez arrêté, laissant une main glisser le long de sa hanche, car certes l’envie de la caresser te tiraillait l’estomac, bien qu’elle t’avait clairement établit ses limites. Tu voulais tout de même te tester, voir si tu savais résister au envie de la bête, si tu sentais perdre le contrôle, tu la repousserais gentiment, ayant atteint tes limites, car certes tu n’étais pas fait de bois. Puis après un moment, tu remarquas que tu résistais mieux que tu l’aurai cru, vous continuez ainsi pendant quelques minutes, profitant de cette bulle tropicale pour vivre quelque chose qui ne se reproduirait sans doute jamais plus, faisant semblant d’être quelqu’un d’autre, cela ne vous engageait à rien l’un envers l’autre. Puis les vêtements étaient enfin sec, tu renfilas ton pantalon, attendant de voir si sa robe serait correct avant de remettre ta chemise sur le dos, prêt à lui prêter main forte pour attacher la dite robe. «Alors, elle fait toujours?» Le moment était venu de retourner à ce que vous êtiez, à quitter ce petit cocon tropical pour reprendre le court de cette soirée qui tirait sur sa fin, reprendre le cours de vos vie respective en tant qu’amis, elle l’amie de ta cousine et toi le cousin de sa copine. |
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| Oui, sa chemise c’est une bonne idée, du moins c’est une idée et je devrais m’en contenter si, comme je le pensais l’eau plutôt froide avait renforcé les mailles du tissus et rendu cette robe plus immettable qu’elle ne l’était déjà. Je devrais simplement éviter de croiser ma mère ou mes frères dans cette tenue et l’affaire serait faite. Oui, c’était une bonne idée, du moins le temps nous le dirait pour l’instant j’étais très à l’aise en sous-vêtements. Il me demande comment passer le temps... je réfléchis... quelques secondes avant que ces lèvres ne retrouvent les miennes et que sa peau effleure la mienne. Il veut jouer, il veut se tester et cela m’amuse. Il sait que je n’irai pas plus loin même si l’envie ne manque pas mais il m’embrasse tout de même. Ses lèvres sont douces, il sait parfaitement y faire. Je frissonne sous ses doigts. Je me demande combien de demoiselle sont passées entre ses bras. Combien ont gouté à la chaleur de ses lèvres. Combien, comme moi ont redessiné ses muscles. C’est idiot d’être curieuse, jalouse même dans un moment pareil, il était le cousin de mon amie, au fond nous n’aurions jamais dû échanger ce genre d’étreinte même si nous en avions parfaitement le droit. Il était l’héritier de sa famille mais en tant qu’homme il avait la liberté de flirter avant de se retrouver coincé par un quelconque mariage. En revanche de mon côté je devais rester aussi pure et noble que pouvait l’être une jeune fille de bonne famille, ah la bonne blague. Mais l’alcool aidant nous profitions simplement de ce que l’occasion nous offrait sans penser une seconde qu’il puisse se passer autre chose par la suite si ce n’est une complicité certaine. Sue avait raison, la jeune femme qui un jour porterait son nom serait une chanceuse, peu d’homme aurait respecté mes choix et mes désirs surtout pas avec la dose d’alcool que nous avions dans le sang. Une fois les vêtements secs je tentais d’enfiler la robe, en vain. Malgré mes nombreuses gesticulations elle refusait de réintégrer sa place initiale sur la peau. Je crois que je vais avoir besoin de ta chemise. Enfin “je crois” non j’en étais même certaine. De toute façon si la robe avait été plus loin que la poitrine je serais morte étouffé en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire quidditch! Je prenais donc la chemise de Constantin que j’enfilais... Elle était... grande TRES grande. A moins que ce ne soit moi qui soi vraiment petite. Je la boutonnais et remontais les manches, ce n’était pas trop mal mais il manquait quelque chose. J’observais Constantin avec un sourire amusé avant de m’approcher de lui. Je déposais ma robe entre ses mains et retirais sa ceinture d’un geste vif mais expert. J’avais deux frères ainés dont je choisissais les vêtements et la ceinture finissait toujours une tenue, je n’avais donc pas douter une seule seconde que Constantin en porte une. Je la plaçais autour de ma taille, ainsi sa chemise ressemblait presque à une robe. On avait le sens de la mode ou on ne l’avait pas! Pas mal hein? Je tournais sur moi même pour lui montrer que son idée était en définitive la bonne. Je te préviens, tu ne reverras ni ta chemise ni ta cravate, il me faut absolument un souvenir de cette soirée. Dis-je amusée avant d’ajouter sur le même ton. Je te laisse la robe! Oui je mettrai cette chemise et cette ceinture dans mon dressing, nulle doute que cela me ferait beaucoup rire. Je récupérais ma baguette que je replaçais dans mes cheveux que je coiffais comme je pouvais pour ne pas paraître complètement débrailler. On se partage une calèche? Après tout il était mon chaperon autant faire son travail jusqu’au bout. En tout cas je dirai à Sue que grâce à toi j’ai passé une excellente soirée, tu as été tout simplement parfait. Et j’étais sincère, d’ailleurs je le remerciais d’un baiser mutin. Oui, juste au bout je profiterais de sa présence à mes côtés. |
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| Red cups and sweaty bodies everywhere Hands in the air like we don’t care Cause we came to have so much fun now Bet somebody here might get some now Elle essaya d’enfiler sa robe, mais n’y parvenant pas, celle-ci restait prise à ses hanches, ce qui rendait ton corps plus attrayant, prisonnière de ce tissus, tu ne perdis pas une goutte du spectacle, bien qu’elle était trop occuper pour se rendre compte tu regard avec laquelle tu la regardais. «Je crois que je vais avoir besoin de ta chemise.» Avait-elle dit, tu lui donnas alors ce tissu que tu tenais patiemment avant de l’enfiler, elle l’enfila à ta place, celle-ci lui recouvrait les fesses et elle te semblait encore plus désirable avec ce vêtement qui t’appartenait. Elle semblait plutôt satisfaite, puis elle vint vers toi en souriant, détachant ta ceinture, tu la regardas faire perplexe et étonné qu’allait-elle faire? Puis elle l’enfila autour de sa taille, donnant une allure plus de tunique à cette chemise, elle avait moins l’air d’avoir celle d’un homme sur le dos maintenant. «Pas mal hein?» Elle tourna afin que tu la voies sous tous ses angles et lui offrit un petit sourire. Ouais elle était bien ainsi, elle se ferait moins remarquer même si toi tu n’avais plus de chemise et te retrouvait torse nu en dessous de cette veste. «Je te préviens, tu ne reverras ni ta chemise ni ta ceinture, il me faut absolument un souvenir de cette soirée.» Tu acquiesças un eu amusé par sa réclamation, elle t’offrit sa robe et tu te demandas ce que tu pourrais bien en faire. «D’accord, je te les laisse, puis si un jour je cogne à ta vitre, j’aurai de quoi me rhabiller le lendemain.» Tu lui fais un clin d’œil afin qu’elle comprenne qu’il s’agissait d’une blague, tu n’irais pas lancer de petits cailloux à sa vitre, sa mère te tuerais. Alors qu’elle relevait les bras, passant ses mains dans sa longue chevelure, ce qui remontait un peu la chemise plus haute, laissant voir plus de cuisse, presqu’une rondeur de fesse, que tu ne pouvais t’empêcher de mâter, un frais obsédé merde… Elle te regarda et te posa une question. «On se partage une calèche?» Tu acquiesças, pourquoi pas, aussi bien rendre l’utile à l’agréable. «Oui d’accord, ce sera plus amusant ainsi.» Puis elle amena ta cousine à a conversation. « En tout cas je dirai à Sue que grâce à toi j’ai passé une excellente soirée, tu as été tout simplement parfait.» Tu lui offris un petit sourire, répondant au baiser qu’elle t’offrit. «Moi aussi j’ai eu du plaisir.»Puis vous quittèrent cette serre aux effluves de tropique, revenant dans la maison, la soirée tirait sur sa fin, la plupart semblait tous trop péter, il y avait bien quelque chose dans cet alcool, plusieurs s’embrassait dans des recoins de la maison, tu cru même entendre des ébats plus loin venant d’une pièce plus loin, à croire que certain avait céder à d’autre. La maison ressemblerait plus à un «baisodrome » qu’à une fête bientôt, valait mieux partir et ne pas boire de cet alcool à nouveau, avant que toi et elle ne commettre l’irréparable. Une fois à l’extérieur, vous alliez dans une calèche et heureusement personne ne sembla remarquer qu’elle ne portait plus sa robe et que toi tu avais le torse nu. Une fois à l’intérieur, vos corps se collèrent tout naturellement, le premier arrêt serait chez elle, mais d’ici l’arrivé, tu enroulas ses épaules de tes bras. Vous installant confortablement, revenant à l’attaque l’un de l’autre, vos lèvres se rejoignant avec un tel naturel, ses effluves t’emplissant les narines. La calèche s’arrêta, attendant que la demoiselle sorte, tu regardas Guenièvre. «Hum semblerait-il que c’est terminer, on doit retourner à notre réalité, j’ai aimé ma soirée belle brune.» Tu lui offris un dernier baisé plus langoureux, glissant ta langue vers la sienne. «J’espère que tu penseras à moi en retirant ce vêtement…» Tu restais sur ta faim ce soir, mais cela te convenait, ça ne t’empêchais pas de lui faire un petit commentaire plus coquin. «Bonne nuit.» Puis tes lèvres retrouva les siennes en un rapide baiser, sortant ensuite pour l’aider à sortir de la calèche, lui offrant un bras pour descendre. Tu savais que la prochaine fois que vous vous croiseriez, vos liens reviendrais à ceux qui existait avant cela, avant cette nuit, la convenance le voulant, ce soir avait été un dérapage doux et amer qui se terminait avec son entrée dans sa maison. |
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