|
sujet; Denisa¤ There is no such thing as beauty to make an empty world full |
| Denisa Luliana Balasko feat Behati Prinsloo • crédit Morphine
| Groupe • Prédéfini/Inventé
• nom complet ; Denisa Luliana Balasko. • surnom(s) ; Deni. • naissance ; Roumanie, le 15 mars. • ascendance ; Sang-Mêlée. • camp ; Insurgents. • métier ; Terroriste et assassin, si l'on peut considérer cela comme un métier . • réputation ; La demoiselle est en Angleterre depuis seulement quelques mois, elle n'a pas encore eut le temps de se faire une réputation. Elle est simplement connue en Roumanie pour être une sorte de veuve noir ayant tendance à viser des hommes ou des femmes connus pour être particulièrement racistes et attachés aux traditions machistes. Elle est aussi associé à supposition à certains actes terroristes qu'elle aurait perpétré avec l'aide d'un certains Rosier de son nom de code. Mais, aucun de ces actes n'a été rattaché au nom de Denisa Balasko, l'ensemble étant attribuée à La Colombe. • état civil ; Célibataire. • rang social ; Insurgée (Belliqueuse), elle partage leur volonté de justice à tout prix et d'égalité. Il faut réellement se battre pour obtenir ce que l'on veut. Les mots sont vains et jouer à cache-cache ne sert à rien. . • particularité(s) ; Demi-Vélane, elle possède le don de vision qui même si elle a l'habitude de l'utiliser, particulièrement pour échapper aux autorités à tendance à l'énerver, surtout quand elle ne comprend pas ce qu'elles veulent dire. • patronus ; Une Colombe. • épouvantard ; Elle-même momifiée. • risèd ; Être totalement libre. Ne plus devoir répondre de rien à personne. Plus besoin de se battre en permanence, pouvoir faire ce qu'elle désire sans qu'on ne la fasse trop souffrir. Un rêve, un désir surpuissant qui guide chacune de ses actions. • animaux ; Un chat sauvage qu'elle a adopté en arrivant au Royaume-Uni, il est tout noir et elle l'a surnommé Drag (qui veut dire chouchou en roumain) . • baguette ; 23 cm, bois d'Acajou et ventricule de dragon. Elle est souple et aussi colérique que sa maîtresse. • miroir à double sens; En forme d'étoile au reflet rouge vif. se rendre sur l'onglet "miroirs" pour voir les explications. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Etant une partisane de la liberté à toute épreuve, je dois bien vous avouer que la vente de personnes et le gouvernement actuel de l'Angleterre me dégoûte profondément. Si mon propre pays commence à prendre conscience de la nécessité de changements, il semblerait que se ne soit pas le cas ici. C'est peut-être ce qui a motivé mon départ vers le Royaume-Uni. Ça et le fait que je suis de plus en plus rechercher dans mon pays natal. Ils sembleraient que certains de mes actes soient mal passés auprès des autorités locales. Trop de morts? Peut-être. ► Infos en vrac : Elle est assez douée dans tout ce qui touche la métamorphose ou les altérations d'apparence. Elle aime réussir à tromper les gens en fasse d'elle et se faire passer pour quelqu'un d'autre. De plus cela lui a toujours été utile en grandissant. • A tendance à éternellement tournicoter une mèche de ses cheveux quand elle commence à perdre patience. Ce qui arrive assez souvent connaissant son tempérament explosif et violent. Elle n'est pas du genre à se laisser faire et à attendre quoi que se soit. Tout doit être immédiat/ • Elle aime séduire, utiliser sa beauté. Elle mise d'ailleurs énormément dessus c'est à la fois son gagne pain et sa passion. Elle collectionne les amants et n'a jamais réussit à se case. De toutes les manières son tempérament rebelle et éperdument amoureux de la liberté l'empêche même de s'imaginer au bras d'une personne pour le restant de ses jours. • Elle adore le sang, elle adore blesser, elle aime les explosions. Disons qu'elle possède un petit côté psychopathe qui peut parfois paraître dérangeant. Elle n'a pas pitié de ceux qui deviennent ses victimes et si parfois ses actions entraînent la mort d'innocents, elle se rassure en se disant qu'ils sont morts pour une bonne cause ou bien qu'ils n'avaient qu'à agir pour changer les choses. • Elle possède un tatouage à l'intérieur de la cuisse gauche représentant une colombe emprisonnée par une rose. Ce tatouage sert lui-même à cacher une cicatrice qu'elle a eut enfant. Les accidents arrivent vites surtout quand on est considéré par sa famille comme un monstre. • La demoiselle aurait pratiqué la prostitution à une époque. Vrai ou Faux? Personne ne sait. A part peut-être ses anciens clients mais, qui irait se dévoiler? . • Son pêché mignon est le chocolat, elle en est totalement accro et ne le cache pas. Elle a aussi quelque chose pour tout ce qui contient une colombe, vêtements, petites babioles et autres. Elle ne peut pas en faire la collection à cause de sa condition d'Insurgée mais, si elle le pouvait elle le ferait. • Pratique la photographie depuis très jeune et continue encore aujourd'hui. Cela lui sert toujours aujourd'hui. Nothing compares to you • pseudo & âge ; < Dence > • comment as-tu trouvé le forum ? C'est des gentils gens qui m'en ont parlés. HEIN NATHAN! • ton avis, tes suggestions ; réponse. • connexion ; Autant qu'une deuxième année de prépa le permet. • quelque chose à ajouter ? Le forum à l'air cool <3.
Dernière édition par Denisa L. Balasko le Ven 17 Juil 2015 - 15:49, édité 17 fois |
| | | |
| Here comes the hurricane Falling from the sky, comming from the earth. There is no way to know.
Family is complicated -"Maman, Papa, pourquoi est-ce qu'ils me fixent tous comme ça?"Du haut de ses quatre ans, la petite demoiselle ne comprenait pas. Ne comprenait pas qu'on la dévisage ainsi. Elle n'avait pas encore rencontré le reste de sa famille, son père comme sa mère n'avaient jamais semblé enthousiasmés par cette idée. Demi-Vélane, sang-mêlée. Fille de démone. Elle entendait tout ces petits murmures désagréables dans les bouches des adultes. Elle avait compris ce que l'on pensait d'elle, ce que l'on pensait de sa mère et une petite larme ronde coula de son œil droit. Une seule petite larme pour exprimer combien elle était triste. Sa mère la prit dans ses bras. Pleurer était mal qu'elle lui avait dit déjà toute petite. Mais cette fois-si, elle ne fit qu'essuyer la petite larme avec un sourire. Elle voulait que sa fille comprenne, comprenne que ces gens là ne seraient jamais bons pour elle. Que les seules personnes qui la comprendrait de ce cocon familial étouffant était sa mère et son père. La vélane ne comprenait pas ce qui avait poussé son mari à renouer avec ces gens. Sans doute les demandes incessantes du patriarche pour rencontrer son premier petit-enfant, quand bien même cette dernière était une sang-mêlée. Elle avait vue dans le regard du vieillard luire cette étrange étincelle de tendresse et quelque part, elle avait été rassurée. Ils arrivèrent dans la salle à manger. Lorsque la petite fille aperçut son grand-père, la tristesse avait disparu, remplacée par une excitation sans borne. Elle sauta des bras de ses parents pour aller se réfugier dans ceux du vieil homme. Il l'aimait cette petite chipie pleine d'énergie et même si quelque part il réprouvait le mariage de son fils, il était reconnaissante à cette créature de lui avoir donner un tel rayon de soleil. Dans une atmosphère lourde et écrasante d'un château en Roumanie, perdue entre les montagnes, entouré seulement de sa famille, il savait que tout n'était que complot. Le clan Balasko, des sang-purs particulièrement respecté dans leur pays. Il savait que son fils cadet n'attendait qu'un seul faux pas, une seule occasion pour prendre les rênes et rendre ce clan encore plus intolérant qu'il ne l'était déjà. Denisa regardait la salle de ses petits yeux, curieuse. Elle savait pertinemment qu'elle était plus mignonne et plus jolie que toutes les autres petites filles présentent. Elle aimait jouer de son visage poupin, de son rire claire et de son étrange manière aérienne de se mouvoir. Sa mère reconnaissait bien là le comportement d'une vélane mais, les autres ne le pensait que superficielle. Lorsqu'ils rentrèrent chez eux le soir, l'adulte avait prise une décision. Elle élèverait la petite comme une vélane. Elle devait apprendre à contrôler ses charmes et sa façon d'agir pour pouvoir en faire une arme à part entière. Ce serait son seul moyen de survie en grandissant, surtout dans un pays qui considérait les vélanes comme des démones incarnant la tentation. De plus, si le vieillard l'aimait bien, il n'en avait plus pour très longtemps. Que se passerait-il alors quand il ne la protégerait plus. La jeune femme n'était pas sûre de vouloir le savoir. Prison is a lie! -"Grand-père est mort pas vrai?"Les trois adultes qui étaient dans la salle se retournèrent vers la petite fille en un sursaut. Elle serrait contre elle sa peluche favorite, une colombe que le temps avait rendue grise. Elle le savait, elle l'avait vue. Même si se n'était pas très clair, elle avait compris. Pour une fois d'ailleurs que ses visions avaient eut un sens clair. Le danger n'était pas loin. Elles l'avertissaient. Comme souvent. La mort de son grand-père avait signer pour elle l'arrêt de la vie qu'elle menait jusque là. Son petit-frère venait juste de naître, un beau bébé tout aussi blond qu'elle et qui avait eut tout de suite une place dans son cœur. La mort de son grand-père l'attristait réellement. Mais, elle avait surtout peur. A 6 ans, elle avait compris maintenant qu'en dehors de lui, tout le reste du clan la détestait et voulait la priver de sa liberté. Elle sentait se refermer sur elle la cage du clan Balasko, condamnée à rester dans ce château jusqu'à ce qu'on lui trouve un mari convenable. On voulait la briser. C'est ce qui se passa. Elle se retrouva enfermée, condamnée à apprendre la magie depuis sa chambre, interdite de sorties en dehors du château. Il en allait de même pour sa mère. Seul son père et son frère arrivaient à sortir pour leur ramener de quoi égayer leurs mornes journées. On lui apprenait la magie. Par ce qu'il fallait tout de même qu'elle puisse apparaître comme une sorcière. On l'empêchait de se comporter comme une vélane. Comme si elle pouvait faire ternir son charme naturel, empêcher ses visions de se manifester. Heureusement sa mère était là. Pour lui rappeler ce qu'elle était vraiment, qu'être une demi-vélane n'était pas une malédiction. La liberté était son rêve. Elle voulait pouvoir visiter le monde et ce venger de ceux qui voulait la briser mentalement. On n'osait pas la frapper tout de même. Seule une cicatrice vestige d'un soi disant "accident" marquait son corps, à l'intérieur de sa cuisse. Un couteau planté dans sa cuisse, par accident. Elle avait eut du mal à se retenir de rire. Mentir, elle connaissait, jouer la comédie, elle connaissait. Ses seuls moments de liberté, les balades avec son appareil photo autour de la propriété quand elle réussissait à s'évader du château. Elle était maligne et souple, douée pour passer inaperçue. Et puis réussir à faire grandir l'une de ses poupées pour qu'elle lui ressemble entrain de dormir lui était devenue un jeu d'enfant. Prendre des photos et imaginer à quoi le monde extérieur ressemble. Être dans cette cage dorée avait fait grandir dans son cœur une haine violente à l'encontre de tous ces racistes, de tous ceux qui se pensaient mieux que les autres et qui voulaient les opprimer. Les cages n'étaient pas faites pour les innocents. Un jour, elle se libérerait. Un jour, elle les ferait tous tomber. Un à un, ils mourraient. Dans d'atroces souffrances si possible. Elle ne leur obéirait plus. . Halfway in the shadow. Je courais dans la nuit, courais à en perdre haleine. La forêt, les bois, la nature. J'étais libre, couverte de sang mais libre. J'avais vengé mes années volées, je lui avais ôter la vie. Mère aussi était libre maintenant. Ils allaient me chasser ces Balasko. J'avais tuer leur chef, j'avais tuer mon oncle. Un moment de rage pur et simple, de bonheur sans limite. Mon cœur se sentait enfin léger. Je m'arrêtais, éclatais de rire et m'essuyais la joue. Il fallait que je me lave. Que je sois propre. J'allais m'enfuir de nouveau, j'allais aller à la rencontre de la société. Ma baguette dans une main, je prononçais le sortilège Aguamenti afin de pouvoir me rincer un peu. J'avais 17 ans et je venais de commettre mon premier meurtre. Comment le reste allait se goupiller, je ne resterais pas assez longtemps ici pour le savoir. Je transplanais jusqu'à la partie magique de Bucarest que j'avais eut la chance de visiter au moins une fois dans ma vie. Je refermais la porte de ce qui me servait de chambre. Mon lieu de travail en somme. Comment gagner de l'argent quand on a aucune formation et qu'on est une jolie femme? La réponse était rapide. La prostitution était le moyen le plus rapide. J'avais d'ailleurs connu un succès rapide dans cette branche. Sans doute le fait que je sois à demi-vélane. Mais, j'aimais le sexe et je n'avais pas peur des clients les plus violents ou les plis bizarres. Satisfaire ses désirs était pour moi le premier pas vers le liberté. Voilà déjà trois ans que je pratiquais, trois ans que je gagnais bien ma vie. Et je n'en avais pas honte. Mon prochain client n'allait pas tarder. S'était un hypocrite. Un de ceux qui prônait la supériorité des sang-purs, chose que je ne cautionnais pas du tout. Et c'est qu'il était un haut placé du gouvernement roumain. De quoi raviver mes haines d’antan. Mais je me contrôlais encore. Le but n'était pas de me faire emprisonner. La sonnette retentit. J'ouvrais la porte souriante, secouant mes cheveux d'un petit mouvement de tête. Il alla se mettre à l'aise tandis que je passais sous la douche rapidement. Il y eut à nouveau une sonnette pour annoncer la présence de quelqu'un. Sans doute avait-il commandé quelque chose au service d'étage. Des bruits de bagarres retentirent et je me précipitais hors de la pièce pour voir un homme masqué tenter de tuer mon client. Sauf que s'était lui qui était en mauvais posture. J’attrapais ma baguette ranger dans ma table de chevet et hurlais: -"Petrificus Totalus"Histoire de sauver la mise à l'inconnu. Je me précipitais vers lui, attrapant son poignard et me fit plaisir. Je le plantais en plein dans le cœur faisant rompre le sortilège au moment de sa mort. Le sang gicla jusqu'à moi, dans mes cheveux et sur ma robe de chambre. Je le regardais tomber dans un petit sourire vicieux et me retournait vers l'autre. Il était blessé. Je me penchais vers lui, examinant sa blessure. Elle n'était pas trop grave. Je penchais la tête sur le côté en le regardant: -"Vous auriez un moyen de vous débarrasser du corps, cela m'arrangerait bien."Il me regardait derrière son masque. Je le retirais d'un mouvement de main rapide tandis qu'il me saisissait le poignet. Mais j'avais déjà vue son visage. Il était mignon d'ailleurs et me regardais les yeux interloqués. Je l'embrassais sur la joue dans mon élan de bonne humeur et murmurais: -"Merci! Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant amusée."C'est ainsi que j'ai rencontré Rosier, qu'il m'a entraîné dans sa cause, que je suis devenue une terroriste et un assassin. Je suis devenue La Colombe et il était le Rosier. C'est lui qui quelque part m'a offert ma liberté. On me demande souvent si j'ai jamais été amoureuse. Je pense que j'aimais Rosier et que lui aussi m'aimait. Mais, nous étions des êtres épris de liberté, l'amour rendait trop faible pour ce que nous étions. Alors on ne se l'est jamais dit. Jamais. Hopeless Love and Hawfull Death Rosier était allongé sur le lit, les yeux fermés, la respiration calme. Il était endormis. Il avait ce petit côté bête sauvage qui ne dort que d'un oeil qui m'avait souvent donnée envie de le tester. Mais, je connaissais ses capacités en combat et je n'étais pas prête à me prendre une énième raclée. Même pas drôle. Je fis la moue et me rejetais en arrière sur le fauteuil de notre petit appartement. Il m'avait entraîné, cela faisait déjà 4 ans que nous nous étions associés, pour le meilleur et pour le pire. Il m'avait appris à me battre, à tuer, à faire des explosifs. Il m'avait fait découvrir un monde dont je n'avais aucune idée. La vraie liberté. Celle de se balader dans la rue en sachant que de toutes les manières, tu n'avais plus peur de rien. Que rien ne pourrait nous résister. J'avais appris à faire la fête, à consommer ces matières illicites qui rendaient mon esprit flou. J'aimais ma situation. Je fermais les yeux, me laissant aller dans mes souvenirs. Finalement, mon père et ma mère avaient maquillé le meurtre de mon oncle en une mort naturelle ou un suicide, je n'avais pas très bien compris. Mais, malgré leurs supplications j'avais refusé d'y remettre les pieds. Cela aurait été comme admettre ma soumission, admettre que j'avais été emprisonnée. Et je ne voulais plus de ces souvenirs. Je voulais les oublier, y renoncer. Mon frère venait me visiter régulièrement, je l'aimais toujours autant mais, il y avait ce gouffre entre nous, entre moi et ma famille. Le monstre que je cachais en moi s'était libéré, il n'avait plus peur de se montrer et de s'exprimer. Mais je ne me considérais pas comme un monstre. Plus comme un oiseau de proie dont les ailes brisées s'étaient enfin réparées. Une ombre au dessus de moi me tira de mes pensées. Rosier avait prit mon appareil photo et commençait à s'amuser avec. Je me levais pour lui courir après, pour récupérer mon objet favoris et nous nous retrouvâmes comme deux enfants sur le lit entrain de nous chamailler. Par ce que nous étions deux enfants. Un baiser par ci, un baiser par là, une main sur ma cuisse, ma main sur son torse, et nous discutions "Avec qui tu sors ce soir? La fille qui nous fournit en arme? Fait attention, la dernière fois, elle t'avait plutôt bien amochée. Qui? Moi? Je vais voir celui qui tient la taverne au coin de la rue." Et nous continuions à nous prendre en photo, à sourire. Et pourtant demain était un jour important, nous avions une nouvelle cible et toute l'opération allait avoir lieue. Nous n'en n'étions pas à notre coup d'essai, se n'était pas la première fois que nous nous en prenions à un bâtiment du gouvernement. Le dernier attentat avait fait beaucoup de bruit. La Colombe et le Rosier. On nous connaissait. Mais personne ne se souvenait de Denisa Balasko. Personne. Rosier était mort. Quelqu'un nous avait trahit et ils l'avaient eut. Notre Ministère l'avait eut. Mais comme il me l'avait toujours promis, il était hors de question pour lui de vivre emprisonné. Il s'était alors lancé de le combat et il était mort. Il m'avait laissé m'enfuir. J'avais mal. Trop mal. J'étais prostrée dans le lit de notre planque, silencieuse, douloureuse. Et une larme, une seule larme roula une fois de plus sur mon visage. Pleurer n'avait jamais été mon fort. Exprimer ma tristesse et ma douleur était quelque chose que je ne savais pas faire. Je ressentais juste ce déchirement puissant dans ma poitrine. Rosier n'était plus là, Rosier ne reviendrait pas. Et cette phrase sonnait en moi comme un gouffre sans fond pour ma peine. J'avais compris la signification de cette maudite vision. Pourquoi. Pourquoi est-ce qu'elles étaient aussi floues? Pourquoi! Si j'avais eut la force de crier je l'aurais fait mais, j'étais bien trop fatiguée pour cela. Bien trop... I'll miss you babe! Je rabattis les pans de tissus qui composaient ma robe de chambre dans un soupir. J'aurais aimée que les nouvelles soient différentes. Les autorités étaient bien trop proche de moi, bien trop énervées pour que je me permette de rester en Roumanie. De plus, mes visions étaient pour une fois assez claire pour que je sache quoi faire. Pourtant, j'aimais mon pays, d'un amour profond et sans faille. La Roumanie avait son charme, ses dragons et ses peuples folkloriques. Elle avait aussi son lot de personnes dérangées. Sans doute en faisait-je partie. L'homme qui venait de quitter mon lit faisait partit de la police. Tuer le responsable de la mort de mon coéquipier avait fait du bruit. Un commissaire haut placé. Heureusement pour moi, personne n'avait jamais su quel était mon vrai visage. Denisa et la Colombe n'avaient aucun lien, aucun. De cette réussite je pouvais être fière. Je regardais le dossier que l'on venait de me donner et le feuilletait avec attention. Un autre homme avait été affilié à ma traque. Cela me déclencha un fou rire particulièrement violent. Piochant dans les friandise que l'on m'avait offert il y a quelque temps, j'attrapais une chocogrenouille en souriant et me délectait de mon pêché mignon. Le chocolaaaaatttt. Il fallait que je m'habille. Que je prépare mon départ. J'allais me renseigner sur les destinations possibles. J'enfilais un short en jean et un débardeur, ajoutant un manteau en cuir et des bottes pour me protéger un minimum du froid. Bas quoi, on était pas non plus au Bahamas mais en Roumanie. Le meilleur endroit pour avoir des informations était Les 4 Cornelongues, alcools, receleurs et autre gens vivant dans l'illégalité y étaient des habitués. Bien entendue, cela ne se savait que peu. Dans ma poche, j'avais quelques gallions, histoire de payer les consommations et mes possibles informateurs. Où faisait-il bon d'émigrer? Où pouvais-je continuer ma lutte contre la violence et l'intolérance? Par ce que je ne pouvais pas m'arrêter, je ne savais pas m'arrêter. A la fin de la soirée, j'étais fixée. Tandis que je rentrais, je sentis que j'étais suivis. Les années de cavales en compagnie de Rosier étaient très formatrice. Je continuais comme si de rien n'était, cherchant à l'intérieur de mon manteau mon poignard favoris, celui avec une colombe gravée sur le manche et attendis d'être sûre qu'il n'y avait personne d'autre avant de se retourner. Elle évita de justesse un sort qui aurait pu lui être très mauvais et réussit à sortir sa propre baguette pour répliquer. Se n'était pas quelqu'un de très expérimenté, cela se vit dans la facilité avec laquelle elle réussit à s'approcher de lui et à le poignarder. La nuit masquait son identité dans cette ruelle mal éclairée et elle lui murmura à l'oreille: -"T'aurais pas du! J'aime le sang presqu'autant que le chocolat! Mais bon, le chocolat c'est irremplaçable."Je replaçais mon arme et examinait mes vêtements. J'étais tout de noir vêtu, on ne verrais sans doute pas le sang avant que je ne sois rentrée jusqu'à ma planque. De toutes les manières, d'ici quelques jours je serais partit. En rentrant, j'envoyais à mon père un hibou lui informant de ma décision de partir en Angleterre. Il faciliterait très certainement mon entrée sur le territoire. Et c'est ainsi que j'ai rejoins la grande Île, sans aucun complexe. On ne me connaissait pas, on ne savait pas qui j'étais mais, le nom de Balasko avait toujours de la résonance dans le monde. Vieille famille de sorciers sangs-purs à l'exception de moi et de mon frère, on devait me voir comme la parfaite candidate à l'immigration et que mon éducation ferait de moi une bonne mangemort ou tout du moins un soutient au régime. Ils ne pouvaient pas avoir moins tort. Mais, les deux premiers mois ne furent pas facile, j'évitais de sortir de chez moi, de me mêler à la société. Il était difficile pour moi de me mélanger à ces gens. Et puis j'ai entendue parler des Insurgés, des gens qui combattaient le système! J'avais un nouveau but, une nouvelle façons de revivre, de continuer la lutte. Je me suis alors mise à leur recherche mais, vous vous en doutez, ils n'étaient pas facile à trouver. Deux mois de plus avaient passer où mes passages dans des endroits plus mal famés les uns que les autres n'avaient rien donner et puis, me voilà témoin d'une de leurs actions. Se fut ma chance et je l'ai saisie. Depuis, Denisa Balasko n'a pas disparue, elle est juste en théorie recluse chez elle, atteinte d'un mal du pays qui l'empêchait de sortir. Ne connaissant personne, il est rare que l'on vienne m'embêter énormément et je reste la plupart du temps dans le QG de mon groupe, avec des gens qui me ressemblaient le plus souvent. S'était la première fois depuis la mort de Rosier, la première fois que j'avais l'impression d'être en vie depuis sa mort. Les Belliqueux étaient fait pour moi. J'avais toujours prônée l'action. Toujours. Et j'étais encore une inconnue ici, surtout la Colombe, cette terroriste au visage secret qui venait de se remettre en vol. J'avais hâte de faire mes preuves et de m'amuser! Et toi? Tu veux jouer avec moi? all my tears have been used up THE END!
Dernière édition par Denisa L. Balasko le Dim 19 Juil 2015 - 22:00, édité 13 fois |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | Bienvenue sur EXCIDIUM ! :oué: Je te souhaite beaucoup de courage pour ta fiche Ralalala y'a que des "prépateuuux" ici. J'ai hâte de lire ce que nous réservera ce personnage ! |
| | | |
| Ah baby, c’est un avatar qui est réservé déjà Adriana Lima . Une sorcière de Roumanie! Tu as des dragons? :3. Bienvenue Bonne chance pour ta fiche . |
| | | |
| Coucouuu <3 Et merci à vous <3
Par contre Sergueï, elle n'est pas dans la liste, il faudrait peut-être que tu vérifie si vous voulez qu'elle ne soit pas prise. Moi, cela ne me gêne pas de changer donc je m'en fiche un peu mais c'est pour vous XD
Bref missiiii encore<3 |
| | | |
PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | Adri n'est pas réservée mais elle est tentée en effet, du coup si le changement ne te dérange pas c'est tout bénèf BIENVENUUUE parmi nous si t'as des questions tu connais le chemin, te gêne pas on est là pour ça bon courage pour ta fiche |
| | | |
| Sexy Belliqueuse de mes deux. Bienvenue. |
| | | |
HERO • we saved the world June Winchester | Encore une demoiselle jolie, faut arrêter un peu bienvenuuuue sur exci, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ton personnage en tout cas Dracofeu a tout dit alors bon courage pour ta fiche et amuse-toi bien parmi nous |
| | | |
| Merciiii beaucoup à vous tous <3 Nathan, moi je te mange Mais chuuutt! June, t'es sexy toi aussi Faut pas arrêter le sexyness |
| | |
|
|