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sujet; I'm here trying not to bite your neck. |
| Nell Gerty Burke feat margot robbie • crédit fair game
| death eaters • scénario
• nom complet ; Nell, Gerty, Burke. Il inspire la noirceur, le nom des corrupteurs. Et il est de ceux que l'on retient, pour des raisons aussi sombres qu'inhumaines. Il attire l'oreille chaque fois qu'il est prononcé, arrache un frisson, glace le sang. Parce qu'il semble attirer les ténèbres, l'annonciateur de l'horreur. • surnom(s) ; Un prénom déjà si court qui n'invite au surnom. • naissance ; C'est en plein cœur du mois d'Août de l'année 1976 que l'enfant naissait, au domaine familiale. • ascendance ; Si pure et conservatrice. • camp ; Là où se trouve son profit, auprès du magister. • métier ; Seconde de son père au sein de l'entreprise familiale. • réputation ; Jeune, mais redoutable. Dans son regard tant de violence, d'ambition. Une ambition malsaine, dangereuse, qu'ils craignent. • état civil ; Fiancée, la belle ne connaît pourtant le nom de l'élu. Peu pressée de le rencontrer, elle n'espère qu'une chose de lui, qu'il soit pourvue d'une intelligence semblable à la sienne. Sinon, il n'obtiendra d'elle que l'indifférence et le dédain qu'elle octroie à la masse humaine. • rang social ; Mangemort dévouée à sa propre cause. • particularité(s) ; Elle est maudite, celle qui porte la marque des ténèbres. • patronus ; Une âme bien trop noire pour ne serait-ce que songer à celà. • épouvantard ; La boutique familiale réduite à néant, pour de bon. • risèd ; Rien. les damnés n'attendent plus rien de ce monde. • baguette ; En bois de rose, rigide, elle renferme un ventricule de cœur de dragon. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Ce régime politique la satisfait, elle, la mangemort dévouée. Mais si elle lutte pour cela, pour et aux côtés du magister, sûrement n'est-ce que pour la liberté que cela lui donne. Elle, l'enfant de la noirceur, qui depuis la montée au pouvoir du Lord n'a plus à se contenter d'actes cachés. Elle, qui s'est tournée vers les ténèbres depuis si longtemps. Pourtant, si elle se montre si dévouée, sûrement n'est-ce pas seulement par compati pour le système, non, surtout pour elle. Elle, et cette liberté offerte depuis que le Lord est au pouvoir. Et elle le soutient certes pour que les siens restent dans ses bonnes grâces, mais surtout pour cette passion commune, les forces du mal. Toutefois, en le magister elle ne croit plus franchement, car s'il se montrait tel le maître qu'elle désirait auparavant, maintenant, ses actes ne démontrent qu'une envie de régner en maître sur le monde. Actes loin de ceux qu'elle désirait, elle, qui ne souhaitait rien d'autre que le sang. Du gâchis. Il gâche son pouvoir, lui, celui qui ne vit plus que par ses fantasmes de grandeur, celui qui pourtant aurait pu devenir si puissant. ► Infos en vrac : Une mère au grand cœur, gracieuse. Hôtesse irréprochable, cultivée, à l'âme d'artiste. Si belle était celle qui a engendré le démon. Celle avec qui elle n'a jamais su tisser de lien fort. Au contraire de son époux, le froid, le fort, l'impassible. Celui qui ressemblait tant à l'enfant. • Ils sont venus au monde à deux. Le noir et le blanc. Alors que le garçon est fusionnel avec sa mère, la fille elle, n'a d'yeux que pour son père. Et entre eux, il n'y a aucune ressemblance autre que physique. Ils ne se connaissent pas vraiment, pas en profondeur, pas comme le devrait des frères et sœurs. • A défaut d'avoir su se lier à sa moitié, elle entretenait une relation forte avec ses aînés. Surtout avec le plus âgé, Melchior, dont elle ne s'est jamais réellement remise de la mort. Et son souvenir la hante, le jour, les rares nuits où elle trouve le sommeil, à chaque fois que son esprit devient volatile. • Enfant capricieuse, mais brillante. Elle savait se montrer discrète, mais l'enfant déjà lunatique devenait violente lorsqu'une chose lui échappait. • Elle présidait le club d'échec durant ses études à Poudlard. • Élève brillante, elle frôlait l'excellence. De nombreuses portes se sont ouvertes à elle, mais c'est celle que lui désignait son père qu'elle a choisi. Autrement dit l'entreprise familiale, cette boutique de l'Allée des Embrumes. Ainsi, c'est auprès d'un mage noir qu'elle a continué ses études, en Chine. Elle a donc quitté l'Angleterre avec pour but de resserrer les liens commerciaux et en apprendre davantage sur le savoir faire local pour seconder au mieux l'affaire familiale. • Elle a un dragon tatoué à l'encre de Chine magique qui se déplace sur son corps et change de nuances en fonction de ses humeurs. • A la montée au pouvoir du Lord, elle a accepté de rejoindre les rangs des mangemorts, puis occupé un poste de raffleuse juste après la bataille de Poudlard. Elle a participé à bon nombre d'assauts et ne saurait dire combien d'âme elle a volé. Et si elle a laissé derrière elle son masque quelques temps pour rejoindre la Chine, elle l'a rapidement de nouveau endossé à son retour. • Passionnée par la connaissance, avide d'en apprendre toujours davantage, il n'est pas rare de la voir seule, entourée d'ouvrages, nourrissant son savoir. • Égoïste, imprévisible, ambitieuse, indéniablement dangereuse et totalement imbue de sa personne, malgré sa nature conciliante elle n'est l'objet de personne. Ce qu'elle fait, elle le fait uniquement pour elle, son plaisir personnel. Et si elle semble parfois faire des concessions, notamment lors de missions futiles qu'elle ne voit autrement que par une perte de temps, c'est simplement pour faire perdurer l'entente entre sa famille et le pouvoir établit. • Elle parle le chinois et le russe d'une perfection troublante. • Elle a faillit perdre la vie suite à un accident de sa part en manipulant un grimoire maudit, lorsqu'elle était en Chine. Le mage qui la formait l'a trouvé inanimée au sol, et sûrement est-ce grâce à lui qu'elle a survécu, mais peut-être aurait-elle préféré mourir. Parce qu'elle est condamnée, à présent. Condamnée à vivre une demi-vie, et elle ne sait jamais quand la mort viendra la chercher. Elle ne mange plus, n'ingurgite rien d'autre que des potions pouvant potentiellement ralentir la malédiction. Elle ne dort presque plus, n'aura jamais d'enfants, et ses yeux autrefois foncés sont désormais azur et se décolorent de jour en jour. • Il lui reste à peu près quinze années à vivre, dans le meilleur des cas. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Minie. (21 ans) • comment as-tu trouvé le forum ? Je le connais depuis son ouverture, je m'étais d'ailleurs déjà inscrite à l'époque. • ton avis, tes suggestions ; Toujours aussi sublime, puis ce nouveau design est à tomber ! Et je vois qu'il y a eu une belle évolution au niveau du contexte, c'est toujours aussi inspirant. • connexion ; En général je passe tous les jours, au moins une fois par jour en fait - en véritable droguée au rpg que je suis. Pour ce qui est du RP, c'est plus variable. Disons que ça dépend de mon inspiration, mais je pense largement tenir le minimum demandé ! • quelque chose à ajouter ? Vous êtes beau, et je suis pressée de rejoindre officiellement l'aventure
Dernière édition par Nell Burke le Mar 28 Juil 2015 - 14:22, édité 4 fois |
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| Here comes the hurricane I'm a paper doll, you can tear me up
Elle était discrète, l'enfant. Son faciès n'inspirait que douceur. Et pourtant dans son regard, tant de violence, d'ambition. Cette ambition malsaine qui la rongeait, qui n'avait d'égale que la cruauté de cette âme qui n'avait jamais semblé pure. Puis ce sourire, si doux, si franc, devenait pourtant malsain dès lors qu'on le sondait. Oui, elle était discrète, l'immature, mais ses silences étaient dangereux. Et lorsqu'on la regardait, elle arrachait un frisson. Son aura trouble glaçait le sang, celle-là même dont on ne voulait s'approcher. Parce qu'on la connaissait, l'enfant. Comme on connaissait ses silences, son intelligence. Celle qu'on craignait, tout autant que le moment où elle s'éveillait. Alors ils semblaient conciliants, face à la lunatique. Ils n'osaient se lier, ni même tenter de la cerner, comme pour se préserver de cette poupée dont les traits semblaient refléter la bonté. Peut-être parce qu'ils savaient ce qu'elle deviendrait, et que l'on ne veut pas du diable à ses côtés. 1993 ; Le regard de son frère était troublé, fuyait le réel pour s'évader ailleurs. Il songeait. Et maintes choses semblaient brouiller son esprit. L'esprit de son jumeau, celui sur le faciès duquel elle lisait l'effroi. Pourtant, elle ne semblait décrypter ce mal qui le rongeait. Parce qu'elle ne le connaissait pas. Pas si bien. Pas assez bien. Il demeurait la plus belle part d'elle. Cette poupée, c'était le diable. Et lui, la bienveillance. Celui qui balançait leur alliance vers le bien. Celui qui gardait les pieds sur terre, alors qu'elle, elle s'envolait. Elle volait à contre sens, loin de lui, vers son propre réel. Et ses ailes étaient noir de jais, contraste flagrant avec celles de son double, avec le blanc immaculé émanant de ce dernier. « Tu peux me parler. » Elle l'aimait, du plus profond de son âme noircie, mais ils étaient si différents. Tellement différents. Et rien d'autre que ce physique similaire ne semblait les lier. Eux, les cadets d'une famille dont chacun avait pourtant prit les travers. « Tu ne comprendrais pas, Nell. » Et ce qui semblait être un sourire forcé sur son faciès n'était qu'une grimace terrible. Parce que son âme était sincère, en l'instant. Et qu'il ne pouvait mentir, pas maintenant, pas à elle. Peut-être ne voulait-il pas. Voulait-il faire entendre raison, et faire découler de ses angoisses une réflexion. Pour qui, pour quoi. Pensait-il pouvoir modifier leurs façons de faire, d'agir, de penser. Ou voulait-il simplement les éloigner du mal. L'éloigner d'un destin funeste, elle, celle qui n'avait pourtant jamais été la blanche colombe. Elle ne savait pas, s'en voulait parfois de ne pas savoir. Parce qu'elle devrait. Elle devrait pouvoir lire en lui, mais l'immature semblait à peine capable de se comprendre elle-même. « Je serai là pour toi, toujours. » Mais il n'y croyait pas. Elle non plus. Et sûrement avaient-ils raisons de ne pas se bercer d'illusions. L'égoïste ne se souciait de son monde, simplement d'elle, de ses besoins. Pourtant conciliante, elle faisait ce qu'on lui demandait, pour le bien des siens. Et la flamme de la capricieuse s'éteignait lorsqu'elle était sous les ordres, parce qu'elle n'était pas meneuse, la belle. Pas vraiment. De nul autre que sa propre personne. Peut-être pas suiveuse non plus. Pas autant qu'elle le devrait. Parce que l'impulsive ne savait se retenir, ne savait se faire raison, toujours davantage attirée par l'imprévisible, par ses propres intellections. Pourtant, elle n'avait jamais manqué d'intelligence, demeurait même brillante, alors la stratège s'exécutait, sans prendre aucun plaisir, simplement pour le plus grand bien. Et ce, même si en l'homme qui la guidait, elle ne croyait pas, plus. Car leurs ambitions n'étaient plus les mêmes. Les ambitions de la blonde, celle qui ne souhaitait rien d'autre que le feu et le sang, s'éloignaient davantage de celles du magister, celui-là même qui n'était à présent plus qu'avide de grandeur. Et pourtant elle se battait pour lui, aujourd'hui. Elle luttait, tuait, pour ce mage noir qui de lui-même gâchait son pouvoir. Ce pouvoir, si grand, qui aurait pu l'être davantage encore. Et qui ne s'élevait à présent qu'uniquement grâce aux mains de ses hommes. 1998 ; Des cris, des gerbes d'étincelles. Des faciès figés par la peur, d'autres tiraillés par la hargne. Et elle, eux. Les leurs, masqués. Seule leur ombre trahissait leur présence, et ces baguettes, tenues par des mains qui ne tremblaient pas. Ils fendaient la foule, les serviteurs. Elle fendait la foule, pour le magister. Silencieuse, intraitable. Elle éliminait ceux dont l'âme avait été réclamée. Et les corps tombaient vulgairement au sol, personne ne se souciait de leurs chutes. Surtout pas elle. « Avada kedavra. » Ses lèvres s'écartaient juste assez pour laisser passer ce sifflement, cet appel à l'au-delà. Ses yeux devenaient plus obscurs à mesure que le temps s'écoulait, presque comme si elle se nourrissait de la mort. Et elle semblait prendre plaisir, non pas à servir son maître, simplement à exécuter ces faits. Malade, de corps, d'esprit. Elle ne l'avait pas toujours été pour le premier, l'était devenue. Elle, la fille brillante, ambitieuse. Trop ambitieuse. Celle dont la soif de connaissance n'avait n'égale que la fougue. Avide de connaissances, rien ne lui faisait peur. Et pourtant elle tombait, celle qui se pensait invincible. Elle tombait, de haut, revenait au réel, n'avait d'autre choix que de constater qu'elle n'était pas plus forte que la foule, pas plus intouchable que les autres. Imbue de sa personne, elle l'était. L'avait toujours été, l'enfant. Il n'y avait qu'elle. N'y avait eu toujours qu'elle, son bonheur, son ambition, son chemin. Celui qu'elle traçait. Là n'étaient que des raisons à son châtiment. Et si jusqu'alors le destin lui avait été favorable, à présent il se dressait devant elle, tel une muraille infranchissable. Ou un gouffre, celui-là même qu'elle ne pourrait franchir, dans lequel elle serait forcée de tomber, peu importe la force avec laquelle elle lutterait contre ce vent qui la poussait. Était-ce la vie qui la punissait, simplement ? Elle, celle qui s'était plongée corps et âme dans la noirceur dès son enfance, qui n'avait jamais daigné ne serait-ce qu'afficher une once de bienveillance. Payait-elle pour cela aujourd'hui ? Ou n'était-ce que le fruit du hasard, qui jugeait bon de lui ôter la vie. 2002 ; « Si cela pouvait rester entre nous, père. » D'un signe de tête, il acquiesçait. Acceptait, de garder le lourd secret de l'enfant, son enfant. Et sûrement des larmes auraient pu teinter les prunelles du père aimant, si leur famille n'avait pas été de celles qui ne montraient leurs sentiments. Et pourtant, elle l'aimait. Tellement. Mais ne savait le montrer, jamais. Il demeurait l'être qu'elle admirait le plus sur cette terre, son père. Celui qui occupait le plus large espace de son âme damnée. Car il l'avait battis, façonnée à son image. Fait d'elle ce qu'il voulait qu'elle soit, elle, la dernière de cette lignée, fille unique à l'esprit tourmenté. La dangereuse était le diamant habillement façonné. « Mère est-elle rentrée ? » « Ne t'inquiète pas, Nell. » Et il balayait l'angoisse d'une simple phrase. Le mal-être, face auquel elle se trouvait chaque fois qu'elle imaginait le faciès de celle qui l'avait mise au monde, lorsqu'elle apprendrait qu'à présent la mort, à chaque instant, pouvait emporter son enfant. Que la chair de sa chair, était condamnée. Que son sang, ne vivrait plus que de moitié. Et qu'elle serait bercée entre deux mondes, à présent, vacillant chaque jour davantage vers le néant.
Dernière édition par Nell Burke le Mer 29 Juil 2015 - 13:38, édité 2 fois |
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| margot robbie omg cette beauté bienvenue parmi nous avec ce pv et ce choix d'avatar divin |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10433
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| Margot est juste far-paite en mangemort quoi . BIENVENUE CHEZ NOUS . Bon courage pour ta fichette je suis pressée de voir ce que tu vas faire de ta blonde . |
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| Ah finalement tu t'es décidée à prendre Margot Robbie Bienvenue officiellement sur le fow, inonde moi de mps si tu as des questions et surtout amuse toi pour ta fiche On va accomplir de grandes choses ensembles |
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HERO • we saved the world June Winchester | Je connais pas ta demoiselle, mais elle est super jolie bienvenuuuue sur exci si tu as des questions, n'hésite pas à nous mp et n'oublie pas d'aller réserver l'avatar de ton personnage bon courage pour ta fiche et amuse-toi bien parmi nous |
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| Merci beaucoup vous tous et Katie, ouuui après maintes tergiversations j'ai finalement cédé aux charmes de Margot ! Comme le disait Luna, c'est vrai qu'elle est parfaite pour le rôle En tout cas, je ne doute aucunement du fait que nous allons accomplir de grandes choses ensemble |
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| Bienvenue à toi ;) !
Nous allons sans nul doute nous croiser, pour le meilleur mais surtout pour le pire. |
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