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sujet; joe + revolutionary road |
| Joseph Adam Fitch feat heath ledger • crédit sugar slaughter
| Wizard • Inventé
• nom complet ; Joseph, mais on ne l’emploie plus depuis des lustres. Fitch, longue lignée de rien-du-tout qui, pourtant, persiste à se reproduire entre deux tas de cailloux en Arizona. • surnom(s) ; souvent Joe, parfois Fitch ; il a été connu il y a longtemps sous le pseudo de Joker outre-Atlantique. • naissance ; 16 mai 1970, Prescott. • ascendance ; mêlé, et les questions de sang européennes lui sont bien longtemps passées au-dessus de la tête. • camp ; Magister ; Mangemort en devenir, il est indéniablement à leur botte. • métier ; ancien leader du Bleeding Ace Movement, il est désormais Adhérent et Rafleur pour le compte du Magister, et assiste parfois le Département des Catastrophes Magiques en tant que consultant. Dans sa prime jeunesse, il a également été Dégnomiseur, mais il a préféré ne pas le mentionner sur son CV magique. • réputation ; l’Amerloque, celui qui a débarqué, un jour, le sourire fendard aux lèvres pour se jeter au cœur d’une guerre qui ne le concerne qu'à peine ; derrière son éternel sourire et ses tapes fraternelles, on le sait un poil cinglé et très vindicatif. Il pourrait même presque être de bonne compagnie, s'il n'était pas en passe de devenir Mangemort. L’autre côté de l’Atlantique, lui, cherche toujours à mettre la patte sur lui (on veut surtout s'assurer qu'il ne reviendra plus leur coller des pétards dans les pattes). • état civil ; marié. • rang social ; prolétariat. • particularité(s) ; aucune. • patronus ; inconnu. • épouvantard ; la chute fulgurante, la descente aux enfers ; l’anonymat et le silence complets. • risèd ; une explosion assourdissante, les hurlements de terreur ; le retour du BAM en haut de l'affiche. Et puis un câlin de son feu père, aussi. • animaux ; il se suffit à lui-même, merci. • baguette ; bois d’aulne, 29.3 cm, poil de Troll ; il en a changé trois fois et celle-ci, choisie avec soin chez Ollivander, est beaucoup moins pénible que la dernière. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Il aurait aimé que ce formidable chaos explose dans son pays natal ; c'est dire comme il se sent bien, au coeur de ce maelström de terrorissme. Quelque chose le chatouille néanmoins : pas les morts, encore moins les méthodes douteuses employées par le gouvernement tyrannique, mais le manque de radicalisme probant de ce dernier. S'occuper des Nés-Moldus, il comprend la démarche, mais les Moldus alors ? Joe aimerait bien qu'on se rappelle qu'ils sont à l'origine de tous les maux : sans moldu, pas de Sang-de-Bourbe. La logique est irréprochable, et Joe se propose pour éradiquer (ou soumettre) totalement l'espèce. ► Infos en vrac : Pas assez précautionneux pour les potions, ni assez patient pour les runes, Joe a naturellement développé des aptitudes en sortilèges offensifs et a un temps rêvé de devenir tireur d’élite -avant de se rendre compte qu'en fait, terroriste, c'était tout de même moins contraignant. • cure-dent, bâton de sucette, éclat de baguette ; il a souvent quelque chose à mâchouiller entre les dents. • Fitch sait indubitablement parler aux foules : il a dans le corps une passion sanguine, entière, qui, comblé à sa propension aux discours en fait un excellent leader. Talent tombé aux oubliettes depuis sa chute en Amérique. • éternel insatisfait –toujours plus haut, toujours plus fort, toujours plus loin, il est extrêmement versatile, et est également incapable de vivre seul : quand il n’est pas entouré, Joe se meurt. • Ordo ab chao, tatoué sur le côté de son avant-bras. L'ordre né du chaos. • il croit en dieu minuscule : le Dieu tout-puissant des Protestants et Catholiques ne lui inspire rien d’autres que ces extrémistes dopés à une foi destructrice. Joe, lui, croit simplement en un quelque chose au-dessus d’eux et tient d’ailleurs avec lui de nombreuses conversations aux airs de monologue. • le sorcier est d’une vulgarité notoire ; mêlant à la fois jurons moldus et sorciers, même ses grands discours en sont ponctués –au moins, on sait que ça vient du coeur. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Serge, 24 ans (encore et toujours). • comment as-tu trouvé le forum ? Bazzart. • ton avis, tes suggestions ; vous êtes beaux, mais je me répète. • connexion ; 7j/7, sauf intempéries sociales. • quelque chose à ajouter ? après Fenella et Ajeet, me voilà avec le VRAI perso qu'il me fallait. Me jugez pas trop fort, s'iouplaît.
Dernière édition par Joseph Fitch le Mar 4 Aoû 2015 - 11:34, édité 2 fois |
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| Here comes the hurricane citation de ton choix, citation de ton choix
l’origine du mal C'était un fait connu de tous, Archibald Fitch buvait trop. Une sale habitude de moldu, disait-on avec toute la mauvaise foi du monde -il fallait voir le concours de de descente de Whisky Pur-Feu d'Austin et sa popularité grandissante- mais l'on était incapable d'incriminer vraiment ce brave sorcier qui jamais encore n'avait commis sous l'effet de l'alcool la moindre erreur. Jamais n'avait-il levé la main sur sa femme, tout au plus s'échouait-il en gazouillant dans ses bras, et, quand il lui arrivait de le réveiller par mégarde, il se contentait d'offrir à son fils un sourire béat de fierté. Un comportement irréprochable en privé que l'on pouvait tout autant constater en public : doté d'une bonhomie à vous dérider un Détraqueur, Archie envoyait régulièrement valser les insultes alcoolisées et se retrouvait tout aussi fréquemment à jouer les médiateurs entre buveurs échauffés -par un miracle des mages, il parvenait à trouver les mots même lorsqu'il peinait à les aligner dans l'ordre, à moitié mâchés par sa bouche pâteuse. Alors quand Archibald avait proposé à quelques collègues d'aller essayer un bar moldu de Phoenix, certains curieux, rassurés par la réputation d'alcoolique protecteur du bonhomme, avaient cordialement répondu par l'affirmative. « Tu n'as pas vu ton père ? » Les boucles blondes de l'enfant s'agitèrent brièvement lorsque ce dernier secoua négativement la tête ; sa mère noua la ceinture de sa robe de chambre en réprimant un bâillement. « Espérons qu'il ne se soit pas endormi trop loin pour une fois... La pelouse, ça m'arrangerait bien. » Bonnie sortit la baguette magique qui dépassait de sa poche et, d'un léger mouvement du poignet, alluma le réchaud sous la cafetière. « Jimmy est encore au lit ? » Joe, le nez sur l'arrière de son paquet de céréales, mâchonnait bruyamment ses corn flakes ; il s'interrompit tout juste pour répondre, gardant les yeux rivés sur le labyrinthe où un Hippogriffe devait retrouver son chemin. « Il veut pas aller à l'école. » La sorcière se pencha pour déposer un baiser sur le crâne de l'aîné ; il lui faudrait encore son café pour se préparer aux longues négociations avec le cadet. « J'irai le voir tout à l'heure », annonça-t-elle en se détournant vers l'évier où s'entassait encore la vaisselle de la veille. Parmi les assiettes et les couverts, Bonnie extirpa de sa baguette une tasse encore souillée de marc et, relevant les yeux vers la petite fenêtre de leur cuisine, elle fronça légèrement les sourcils. Joe releva le nez de son bol lorsqu'il entendit un cri. « Maman ? » Mais la cuisine, le salon et l'ensemble du rez-de-chaussée semblaient vides ; il se leva finalement et ouvrit la porte d'entrée qui donnait sur la pelouse mal entretenue de la maison. Il ne faisait pas encore tout à fait jour, mais Joe put voir sa mère, une main plaquée sur la bouche, au pied d'une forme insolite, accrochée à la plus grosse branche de leur noyer, tournoyant lentement sur elle-même. Quand il ouvrit la bouche pour hurler, aucun son n'en sortit. Archibald Fitch, la langue pendante, n'avait désormais plus rien de sa légendaire bonhomie. L'ordre né du chaos « On les a tous ? » « Affirmatif. On commence quand tu veux, chef. » Un sourire s'ouvrit progressivement sur les lèvres du sorcier en constatant son oeuvre ; cinq formes encagoulées, gigotantes, se tortillaient sur le sol crasseux du sous-sol. « C'est bien, les cagoules, comme ça on enfreint même pas le Secret Magique. » « Je crois que tu viens juste de le faire en mentionnant ledit Secret Magique. » « Oups. Je crois que je parle trop. » Et d'un même mouvement, Joe sortit sa baguette magique ; il crut la sentir frétiller entre ses doigts, extatique, et la peur qui persistait depuis le début de la nuit au creux de son estomac crût autant que son adrénaline. Sa voix avait beau être claire, ses répliques vives, ses gestes, eux, trahissaient toute la nervosité qui lui agitait le corps. Merlin, il était sur le point de torturer cinq hommes, cinq moldus ; cinq râclures, cinq complices de crimes impardonnables -ou en passe de le devenir, il avait vu Gillespie attraper sa fille sorcière par les cheveux à la première manifestation de ses pouvoirs. On pouvait dire que Joe n'en était pas à son coup d'essai : dans le collimateur des adultes depuis l'enfance, chatouillant le nez de l'autorité depuis plusieurs mois avec des délits de petite envergure lui et sa petite bande, il avait semé derrière lui autant de problèmes qu'il l'avait pu, se surpassant toujours en terme de chaos. Mais jusqu'à aujourd'hui, Joe n'avait jamais physiquement et directement torturé un autre être humain. Torturé cinq corps grouillant encore de vie -de vie et de vices- jusqu'à leur en arracher des hurlements de terreur. « Clyde McGill, Bernie Gillespie, Charles Keller, Randall Owen, Benjamin Griffin, par la très sainte autorité de notre bon vouloir, vous êtes aujourd'hui condamnés à payer pour vos crimes. » « Fous-la toi au cul, ton autorité de merde ! » « Vous crèverez en Enfer, démons ! » « Merlin, qu'est-ce qu'ils causent pour des condamnés. » Joe tourna la tête vers ses acolytes. A côté de lui, les autres sorciers semblaient retenir leur souffle, écrasés par la tension monstrueuse qui s'abattaient sur leurs épaules ; quelques rires secouèrent néanmoins, sans grande conviction, les bouches crispées des adultes. Ces types, Joe les connaissait depuis des années -depuis sa Première Année à Salem pour beaucoup, depuis son renvoi éclatant pour d'autres ; il les connaissait hardis, vaillants, dévorés par une colère qu'il n'avait fait qu'exacerber de ses discours. Ils avaient ensemble terrorisés les moldus, envoyés des pétards ensorcelés dans le salon de vieilles Sang Pur, agité les environs de Prescott et le quartier snob de Phoenix, ils avaient hurlé avec véhémence quand il leur avait proposé le plus grand coup de leur carrière : aller choper ces enfoirés et leur faire payer leurs crimes. Mais les Phoenix Shufflers, il le voyait maintenant, n'étaient rien d'autre qu'une petite troupe d'agitateurs tout juste sortis des capes de leurs mères. Cinq, c'était peut-être trop pour commencer. Cinq, ça ne serait jamais assez pour faire payer les rebuts de bouses d'Hippogriffes qui avaient pendu son père, engendré l'inconsolable chagrin de sa mère. Jamais assez pour avoir ruiné la vie des siens. Allez Joe, vas-y. Sans savoir si les encouragements venaient de lui ou des autres, il s'avança pour pointer sa baguette sur le ventre de McGill. Montre-leur l'exemple. Cette fois, il le sentit comme un Souafle en plein plexus, la voix ne venait ni de lui, ni des autres ; elle venait d'ailleurs, et lui emplissait le corps d'une force nouvelle. Derrière lui, comme contaminés par la puissance de cette voix, plusieurs autres tirèrent leur baguette magique. « Cracbadaboum. »-- Beaucoup, secoués par cette nuit, quittèrent par la suite les Phoenix Shufflers. Les autres, ceux qui, en eux, possédaient la même rage et s'étaient découvert une folie commune, restèrent auprès de Joseph. Durant quelques semaines, on n'entendit plus parler du petit groupe de délinquants que dans les journaux magiques et moldus ; ils semblaient avoir disparus, immolés par leur cruauté aussi brève que gratuite, et les deux communautés oublièrent vite cette malheureuse tragédie avec l'avènement d'un sombre trafic de balais ensorcelés. Et un beau jour de mai, une bombe fit voler en éclat une église moldue pleine à craquer. Au milieu des débris de corps et de bois, on put lire le nom qui allait bientôt hanter le Sud durant plusieurs années. Le Bleeding Ace Movement était né. L'ordre né du chaos « Wizards Tribune, édition du 3 septembre 1992
EDITO : BLEEDING ACE MOVEMENT, JUSTICIERS OU TERRORISTES ?
Joker, Ace, Jack of Spades. Derrière ces surnoms, trois hommes à la tête du plus célèbre groupuscule de ces deux dernières années : Joseph Fitch, Anatoli Sokoloff et Matthew Faulkner. Le Bleeding Ace Movement, communément appelé BAM, fait frémir la communauté moldue depuis l'explosion spectaculaire de l'église de Flagstaff le 17 mai 1990. Les attaques terroristes, censées visées "toute forme d'extrémisme", se succèdent alors dans le Sud : lynchage et pendaison simultanée de dix pasteurs (NdR : chef religieux chez les moldus de religion chrétienne) en Arizona, attaque au Quod explosif lors d'une réunion des Knights of the Ku Klux Klan en Arkansas, attaque de loups-garous dans un camp de jeunes moldus évangélistes au Texas, destructions des lieux de rites moldus à travers les états sudistes, entre autres meurtres, enlèvements, séquestrations et crimes de haine jugés de moindre envergure. Il faut cependant attendre les événements du 21 janvier 1991 dans la ville sorcière d'Imburg, pour que les BAM, grimés en membres de la Brigade, fassent comprendre au monde magique que personne n'est à l'abri de leur colère.
Mais nous, on s'y perd. Lutter contre l'extrémisme à grands coups de bombes et de sorts impardonnables, ne serait-ce pas contradictoire ? Les trois têtes du serpent, pour excuser bains de sang et massacre répété du Secret Magique dans une nation connue pour son extrême tolérance, se disent ennemis de "l'injustice, moldue ou sorcière, frappant les populations du Sud des Etats-Unis d'Amérique". Mais quelle injustice, au juste, combattaient-ils en prenant en traître les manifestants d'Imburg ? Leur injuste révolte contre le bastion d'esclavagistes qui exploitaient en douce une petite tribu de Sans-pouvoirs ? Ou l'injuste présence d'un grand nombre de Sangs Impurs, certains connus pour leur activisme pro-moldu ? Nous en venons à nous demander si la définition même d'injustice ne différerait pas pour ce groupuscule de militants vindicatifs ; en tout cas, pour nous, elle ressemble étrangement à du terrorisme. (...) »
« Wizards Tribune, édition du 28 février 1994
JOSEPH FITCH EN CAVALE A SWEETWATER
Ce 27 février, Joseph Fitch, leader du BAM, aurait été aperçu du côté de Sweetwater, Texas. La Brigade Magique aurait reçu des informations d'un sorcier anonyme, indiquant que le criminel aurait trouvé refuge dans une grange moldue dans les environs de la ville.
Le sorcier et ses deux acolytes, recherchés pour une impressionnante liste de crimes, seraient en fuite depuis leur attentat manqué au stade de Palisse, Louisiane, le 11 octobre dernier. Depuis lors, le BAM s'était fait particulièrement discret.
Il semblerait néanmoins que Fitch ait été prévenu de l'arrivée de la Brigade quelques minutes avant leur arrivée. Après une course poursuite de longue haleine, on aurait perdu sa trace dans les bois environnants. D'après la Brigade, personne n'aurait été blessé durant la poursuite. » /// « Salut Fitch. Comment s'est passé le voyage ? » Joe, l'oeil hagard, la bouche pâteuse, fit l'effort d'un sourire en rencontrant l'air beaucoup trop guilleret du sorcier qui se tenait devant lui. « Sokoloff, vieux connard. » Le sourire de l'autre s'agrandit ; ils se tombèrent dans les bras avec force tapes fraternelles, et Fitch se rendit compte qu'Anatoli, connu pour sa maigreur presque squelettique, avait pris ce qu'il avait cru impossible : une bonne dose d'embonpoint. « Garde ta verve pour plus tard, tu vas en avoir besoin. » Et, devant le regard vaguement interrogateur de son ancien acolyte -le mieux qu'il pouvait faire, après les secousses terribles de cette boîte de métal moldue qui avait survolé l'Atlantique : « J'ai quelqu'un à te présenter. Les planques moldues et les petits braquages de fortune, c'est terminé. » 1997. Il était arrivé sur la brèche. Et la brèche n'avait eu de cesse de s'étendre, engouffrant égalité sociale, droits des moldus et de leurs descendants sorciers -engouffrant aussi le rachitique Joseph Fitch qui, durant les trois ans qui avaient suivi la chute de son charmant petit groupe de terroristes, avait prospéré au milieu de ceux qu'il aborrait tant. Les moldus l'avaient accueilli en leur sein et Joe le serpent y avait planté les crocs avec une mollesse nouvelle : voleur à la tire, braqueur, cambrioleur, petite frappe de rien du tout, il avait troqué ses atours de sorcier pour ceux du plus minable des moldus. Alors quand on l'avait introduit auprès du Lord, il avait joyeusement botté le cul à cette ombre qu'il était devenu. Il avait poussé avec la mauvaise herbe. Il avait repris goût aux rafles et aux descentes, aux cruautés et aux tortures, et s'était régalé de la légitimité nouvelle de ses actes. Plus personne à fuir ; l'autorité était celle qui l'enjoignait à faire ce qu'il faisait de mieux. L'Américain débarqué sans prévenir, chaudement recommandé par Sokoloff, fringuant Mangemort, s'était joint sans rechigner aux troupes du Seigneur ; comment aurait-il pu tourner le dos à une terreur délicieusement légale ? Il avait immédiatement signé chez les adhérents, extatique -il n'était ni britannique, ni connu pour sa propension à se soumettre aux autorités ; on le faisait volontairement poireauter aux côtés des jeunes pousses. Cinq ans. Et quelque chose commence à le gêner. Rien qu'une petite démangeaison, quelque part du côté du doute.
Dernière édition par Joseph Fitchburg le Ven 31 Juil 2015 - 21:50, édité 4 fois |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10433
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| AGAIN ? Tu vas nous pondre des merveilles à chaque fois ou comment ça se passe ? **. Re-welcoooooome toi . Heath éè (fais gaffe, Draco-Feu fait un très bon joker aussi ). Bon courage pour la suite, G.I. Joe |
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| Non mais toi, tu mérites une médaille pour être venue m'accueillir à chaque fois avec amour. (j'ai encore dix fiches à passer, t'es prête ? ) (non, faut pas pousser : cette fois c'est la bonne) Merci mille fois, t'es adorable ! |
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| NON MAIS TOI, TOI, TOI. CA SUFFIT chaque fois je flashe sur ton perso, chaque fois je flashe sur ta plume, pour me rendre compte par la suite que c'est la même personne derrière je t'aime, wallah, sans même te connaître. MAIS FIXE TOI SUR UN PERSO, DIDIOU. sans compter que celui ci est un belliqueux, me gusta, bienvenue encore |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | - Sansa Rosier a écrit:
- chaque fois je flashe sur ton perso, chaque fois je flashe sur ta plume, pour me rendre compte par la suite que c'est la même personne derrière je t'aime, wallah, sans même te connaître. MAIS FIXE TOI SUR UN PERSO, DIDIOU.
tout est dit cette fois pas de faux espoir hein, parce que cette fiche commence juste de façon amazing et que j'espère voir ton bougre en action (+ Heath quoi ) ! t'es encore et toujours la BIENV'NUE bien évidemment, surtout si c'est pour nous pondre des merveilles comme ça bon courage pour la suite du coup, et si t'as des questions, well.. faut-il encore le dire ? j'suis à ta disposition |
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| Ca y est, Serge, t'es décidé ? NON PARCE QUE BON. HEIN. VOILA Bienvenue, encore Et j'ai hâte de lire tout ça une fois terminé ! |
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| NAN MAIS T'AS PAS UN PEU FINI TES BÊTISES C'est qu'on t'attend pour avoir des liens de fifous, nous ! Alors hop, hop, hop, boucle nous cette fiche darling (btw, il a l'air sacrément badass le vieux Joe ) |
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| VAZY ! Amène-toi qu'on cloue des mangemorts sur les portes de Londres ! Si t'es un belliqueux, t'as ta place au bras droit du Saigneur ! Luv |
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| OH MAIS HÉ, C'EST PAS UN PEU FINI OUI. bon, certes, je l'ai amplement mérité. et Sansa, Draco, je vous décerne officiellement une médaille pour être venus me chatouiller de vos joyeux bienvenue trois fois, et sans râler (ou presque mais je suis sympa je vous pardonne). alors merci. et merci à toi Murphy, même si après cette dernière pirouette (très mal expliquée dans la dernière partie, mais j'expliquerai tout en RP/dans ma chrono, promis), c'est moi que tu vas vouloir clouer. (Erin, Elli, AMOUR SUR VOUS. ) |
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