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| Minerve Bulstrode feat gillian anderson • crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞Wizard ; Inventé ☇ pseudo complet & surnom(s) ; Bulstrode, percute l'ambition des calices, la grandeur féminine. Les amazones incarnées dit-on, à prôner l'autorité, défier l'homme et se hisser de brillance. Minerve, l'aînée de la portée, doyenne des jolies dryades, madone flanquée du haut de son piédestal, la glorieuse admirée, la vipère estimée. Crainte suante aux rigoles de sang léguées dans le vestige de ses pas ☇ naissance ; Royaume britannique où l'on a vu bourgeonné le clan des superbes, Minerve dans la foulée, au premier jour d'automne dans une bourgade écossaise, coule le whisky, tournoient les jupes populaires! ☇ ascendance; Pureté écarlate des blanches chasseresses, à tisser complots et alliances pour garder intact la sève battant en leurs artères.☇ métier ; Ambitieuse parvenue à ses fins, claquent les escarpins dans les couloirs du ministère, où les échines se courbent au passage de la dorée, sourit la jolie, la directrice du département de régulation des créatures magiques. ☇ camp ; Aux fosses les camps battants, les pouilleux baroudant pour moult convictions! Impartiale, elle qui se fait l'apôtre de ses propres appétits, laisse aux autres le dessein de régner sur le monde, de gorger l'écorce de flots rougeoyants... ☇ réputation ; Main de fer dans un gant de velours, l'honorable garantit la gloire des siens, lèvres charmantes aux murmures cruels, valse l'ondine sur les carcasses défaites... Les phalanges n'ont peur de souiller leur blancheur, hostilité à la hauteur de leur beauté, les nobles nymphes, et elle par-dessus toutes. Mécène des siens, Venus veille et maçonne la trouble dans son sillage, laisse les supputations couler à flot sur les dépouilles trouvées à l'aube naissante. ☇ état civil ; Union durable pour un tendre qu'elle n'aime pas. D'un amour pour un autre, mariage survivant de tendresse et de butin, époux qu'elle apprécie d'une affection simple. Traître émoi, le cœur qui s'accroche à un autre, souffre d'une fierté féroce, déni vivace pour le diable charmant ☇ rang social ; Félonne campée parmi les grands, l'élite où s'invite la horde, Bulstrode enraciné, qui sonne familier aux oreilles des opulents. ☇ baguette ; Bois d'aubépine, crin de licorne, 28,3 cm. ☇ épouvantard ; Des fausses couches multiples, le poison s'infiltre sous sa chair, enlace ses os et remonte jusqu'au cortex. Fils perdu, l'épouvante, illusion morbide où la mère perd le seul rescapé . ☇ risèd ; Oublier l'humanité, délaisser la chair, l'ossature humaine et voler à jamais. Plume d'ivoire dans le reflet du miroir, rêve insolite d'une femme qui se dégoûte. ☇ patronus ; Hibou, écho de son âme, de ses lubies d'enfance ☇ particularités ; Animagus, flotte le milan royal dans la voûte céleste. ☇ miroir ; voir l'onglet "miroirs".
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Spectatrice de l'horreur sympathique flanquée sur son socle. Muse discrète, sang pur inaccessible au système de rebuts, aux citoyens acculés au mur. Sans camp ni foi pour l'un d'eux, Minerve se dresse loin des conflits, des carnages rougeoyants. L'intérêt pour les siens n'est plus, mort aux ébauches macabres qui se sont dressées toute sa vie durant. L'amour pour les bêtes, la nature, et son fils. De la tendresse pour le mari. C'est tout. Elle laisse les luttes aux autres, épuisées des mêmes spectacles, hisse seulement le costume pour se fondre dans la masse. Oiseau délicat planqué sous la reine de fer, couronne respectée, crainte, méprisée. Elle se moque des injures et préfère porter regard aux créatures qui lui filent entre les pattes, les étudier, préserver ces trésors des charognes insensées. ☇ Infos complémentaires ; Maternité en horreur, confiance étiolée au premier enfant, mort né échappé de ses boyaux, la faute au compagnon, charogne pissant la magie noire. L'horrible mis en cage. • la musique en son coeur, jouent les phalanges, les paluches expertes. Chefs d'oeuvre qui reprennent vie sous sa patte, quelques instruments qu'elle maîtrise, la préférence va au piano • phobie insolite, d'une maternité qu'elle craint, de gosses qu'elle ne veut, à la crainte d'en perdre un, encore. Un seul rescapé, des complications trop nombreuses, mère traumatisée • curiosité pour les monstres, les particuliers. D'une profession dont elle se fait le pivot, l'envie de les découvrir, tous, d'en effleurer la particularité • masque depuis toujours, quelques rares pour la mettre à nue, éplucher sa personnalité • diabètique, l'aiguille devenue familière, à trouer la chair au quotidien. Des injections dans la cuisse pour survivre, garder la vie entre ses mains • méduse, amour des visages fugaces, des soirs éphémères lovée dans quelques bras. Hommes aimés puis massacrés. Doux poison pour ceux qui ont voulu l'aimer, d'une colère pour l'un qu'elle reporte sur d'autres • ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi shi, panda vador. J'ai 24 ans , je viens de Belgique et j'ai connu le forum via bazzart . Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [] oui / [x] non. Un dernier mot ?
Dernière édition par Minerve Bulstrode le Mar 29 Sep 2015 - 19:15, édité 12 fois |
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| ❝ Face to face ❞Année & Lieu « Mimi, ne t’éloignes pas de trop » L’enfant déjà trop loin, disparait à la vue de la mère flanquée dans le belvédère, déjà engloutie dans la flore luxuriante. Les ballerines roses pilonnent la terre en silence, rôde l’intruse dans le royaume d’émeraude. Du végétal jaillissant du sol en tout coin, plantes qu’elle effleure du bout de ses blanches phalanges. Des senteurs gorgent l’air, de celles qu’on ne trouve ailleurs. Les narines frissonnent au bois d’automne qui exhale son parfum cendré. La forêt chatoie dans une mosaïque de couleurs où le vert cède peu à peu le pas sur les nuances orangées du mois d’Octobre. Esquisse apothéotique qui miroite dans le bleu rétinien des jeunes mirettes, enfant ébloui, planqué entre quelques arbrisseaux. Des animaux qu’elle contemple, des créatures absentes. Elle sait pourtant qu’ils existent, parcourent la sylve lorsque les prédateurs sont ailleurs, mais fuient au moindre intrus, particulièrement les humains. Le chérubin espère pourtant, d’un jour les voir, les côtoyer comme une interaction naturelle entre deux êtres du globe. « Mimi ! Je t’ai déjà dit de ne pas t’éloigner autant » La nature s’agite, s’affole au bruit singulier qui vient de surgir dans le dos de la petite. Une boutade défigure le tendron. « Maman, tu les as fait fuir » Les jolis, les insaisissables. Un jour, elle sera parmi eux, deviendra comme eux! « Serpentard ! » Ris complaisant sur les babines nacrées, l’ambitieuse dégringole les marches d’un pas tranquille et conflue jusqu’à la table de son nouvel asile. Jolie platine accueillie par des charmants sourires. Des questions en tout coin, classiques, souvent personnelles. Les jours deviennent des mois, vite des années, où Bulstrode devient reine parmi les verts, la madone dorée. Beauté insaisissable, des cœurs qu’elle brise sans vergogne, n’a d’amour que pour les autres. Les animaux, les plantes. Mais les hommes… Néant d’émoi. Des pantins d’une laideur égale pour chaque visage se dressant devant elle. Divine comédie. Les sentiments déguisés pour satisfaire la plèbe à ses pieds. Des odalisques qui se dressent nombreux, lèvres suppliantes d’une moindre attention, la méduse leur accordant quelques grâces, des sourires par ci par là. Horreur sympathique. Et quand la gorge se noue, bouche suffocante, s’envole la muse loin du commun des mortels. Le plumage blanc supplante la chair, devient son enveloppe pour quelques temps, animagus perdu dans le ciel. Loin des artères peuplées du château comme du parc où s’évadent moult élèves dès que sonne la fin des cours. Loin de tous, des siens, à préférer les autres, la faune tapie sous les arbres. Jamais un regard pour l’humain. Intérêt mort, absent. Jusqu’à ce jour… « C’est donc là que tu t’planques… » Minerve sursaute au timbre rauque, presque goguenard qui résonne dans son dos. L’échine se tord pour saisir l’intrus dans le champ de ses globes blêmes. Au visage identifié, les lèvres grimacent. Qu’est-ce qu’il fiche ici ? Deux ados désorientés dans le cœur sombre de la forêt interdite. Deux curieux, guidés par des ambitions différentes. « Dégage »glaviote la jeune Bulstrode. « On abandonne son joli masque ? Si tes groupies voyaient ton vrai visage… » brocarde le grand brun en faisant quelques pas jusqu’à elle. Minerve ne cille pas, reste campée contre le vieux chêne où elle s’est assoupie de nombreuses fois. « Belle en colère, nue de tes masques, vas-tu continuer cette mascarade encore longtemps ? » Ce type est agaçant. Des paroles irritantes. Des mots qui pourtant la blessent à chaque fois que cette bouche de petit con s’ouvre. « Rookwood…. » Elle le méprise, se sent nue dans ses yeux. Le masque effiloché, glissant de sa peau lisse. La carapace raclée jusqu’à déloger sa vraie nature, oiseau fragile, impulsif sous la reine immuable. Personne pour la voir réellement. Des idiots tombant dans le panneau, des sottes convoitant ce qu’elles ne possèdent. Puis lui, garçon discret, Augustus, serpent provocant, jeune clairvoyant. La haine, la violence des mots, du sang délogé. Puis la passion, amour violent. Elle l’a haï, puis aimé, joli imbécile. Connard, quel idiot ! Pourquoi ? « Quelle est sa peine ? » Sept ans. SEPT !? Les genoux tremblent à la nouvelle. C’est un cauchemar… Peut-elle attendre si longtemps ? Non. Les mains glissent sur la rondeur naissante sous son nombril, vacillent sur la chair à peine étirée. « Idiot, idiot IDIOT ! » La future mère défaille et glisse sur le sol, taraudée par d’indicibles questions. Le père de l’embryon derrière les barreaux, que doit-elle faire maintenant ? Jeune adulte à peine sortie des bancs scolaires, femme célibataire, pourtant enceinte, tout juste embauchée au ministère. Elle sent déjà la honte s’abattre sur la famille à la confidence du secret, s’enfuit alors de ces terres, loin du royaume britannique. Le temps laissé à l’enfant de naître, Paris rejoint dans le plus grand secret. Les semaines passent, s’égrènent, le ventre gonfle, se dilate. Au jour de l’accouchement, les larmes coulent. Tristesse, néant martyr. L’enfant est né, l’enfant est mort. D’une magie noire imprégnée dans ce petit corps, d’un père coupable d’avoir trempé dans l’occulte trop longtemps, trop profondément. La carcasse flasque de la mère anéantie, disloquée en fragments de désespoir. Des « pourquoi » hurlés aux médicomages. Le chagrin pendant longtemps, puis la colère, rage dédiée au seul coupable. D’un homme aimé, aujourd’hui méprisé. Retour du masque, des habitudes passées. Une alliance, un autre dans sa vie. D’une tendresse sans amour, c’est la résignation aux ambitions familiales, l’enfant qui cède aux caprices de la mère. Minerve devient épouse, puis mère. Un seul survivant parmi les nombreuses couches, enfant choyé, précieux entre les mains douces et tremblantes. Au travail, Bulstrode jalonne les échelons, s’impose parmi les grands, se voit offrir la direction du département jusque là convoité. Le temps l’a rendue aigrie, cruelle. En particulier pour un collègue, lui, le joli sorti de prison. Boulot devenu partie d’échecs entre Minerve et Augustus. Un coup, défaite à celui qui cède en premier. Quelques rares étreintes loin des regards indiscrets, tumulte des corps, des bouches avides qui parfois se résignent. Puis la fierté se redresse, écarte les féroces, attise leur rage pour l’autre. Tous deux qui se pensent trahis. Outre l'époux, seul homme encore en vie. Les autres, tous égorgés.
Dernière édition par Minerve Bulstrode le Mar 29 Sep 2015 - 19:11, édité 5 fois |
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| Cette image que tu as mis pour l'histoire !!! Ca fait peur. (Je connais ce tableau mais j'ai oublié son nom, shame on me. ) Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| ANDERSON (ptn, s'il fallait lui faire une soeur, Winslet serait parfaite , plus elles vieillissent plus elles se ressemblent ). (oui, j'aime Gillian ) BIENVENUE CHEZ NOUS . J'ai hâte de lire la suite et à mon avis je vais t'envoyer Adele pour un lien . |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | GILLIAN Juste un excellent choix d'avatar donc déjà, je t'aime Bienvenue sur Excidium quand même ! et bon courage pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre ! |
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| C'est QUOI ce tableau dans ta fiche ? /planque Augi sous un buisson/ - Citation :
- Maternité en horreur, confiance étiolée au premier enfant, mort né échappé de ses boyaux, la faute au compagnon, charogne pissant la magie noire. L'horrible mis en cage
TES ENTRAILLES SONT POURRIES. NUANCE Je ne te dis pas bienvenue, tu m'as abandonné |
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| qu'est-ce que j'aime le côté amazones des bulstrodes la famille me fascine déjà, et je sens que le perso est en bonne voie pour faire de même ! bienvenue sur excidium |
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| rah, quel joli accueil j'avais tenté ce forum il y a un moment, mais fiche en cours de severus qu'un autre finit sa fiche avant moi *n'aime pas la compet'* je reviens en force LUCIUS + que dire de jason, perfect man (Lucy, la superbe blonde de hp certes, j'ai eu envie de le taper plus d'une fois, mais c'est un personnage badass cool avec sa barbichette à la fin ) ILARIO + tu as compris qu'il ne fallait pas me titiller, je suis parfois un peu impulsive (promis, je ne te mangerai pas ) pour le tableau, c'est une oeuvre de Gentileschi, Judith décapitation d'Holopherne LUNA + ce personnage , parmi mon trio préféré de hp (severus, luna, narcissa ) avec cette bouille trop chou, la jolie Il est vrai que les deux actrices ont quelques similarités, et je les affectionne à même titre :hhh: (kate, rose pour toujours dans mon coeur, titanic immortel *laissez rêver mon petit coeur * ) Owi, n'hésite pas à me harceler pour des liens :3: ANNA + Jessica la jolie rousse merci GUGUS + p'tit con *rien d'autres à dire* ( SANSA + on est badass dans la famille, on soumet les hommes, et parfois, on les mange Un animagus en fuite? J'exigeee un lien qui roxe sa mémé en string!! (je te mettrai pas en cage, promis ) Encore merci à tous&toutes |
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| Vous faites peur, madame Je ne peux que me joindre à tous mes prédécesseurs pour te souhaiter la bienvenue ! Ton style me dit quelque chose, j'attends de voir ton pseudo pour voir si je finis de fumer ma moquette ou pas Quoi qu'il en soit, ton début roxx grave (un peu comme celui d'Augi) et jte souhaite bien du courage pour ta fiche. Enfin jviendrais chouiner pour un lien parce que bon, hein, tant de perfection, toussah... (PUIS GILLIAN. PUIS CE TABLEAU. PUIS CE TITRE aozfmoqzzqfesgrs *retourne hyperventiler dans un coin*) |
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