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sujet; Cissy - Behind her eyes, she says : "I still exist" |
| Narcissa "Cissy" Malfoy feat Naomi Watts• crédit swan | ❝ We're running in circles again ❞Wizard ; scnénario ☇ pseudo complet & surnom(s) ; Narcissa Charis Malfoy (née Black) ; Cissy. Si Narcissa est de provenance évidente, son second prénom, signifiant littéralement grâce en grecque l'est moins. Charis était l'épouse d'Hephaïstos, dieu des forges, personnage boiteux, elle lui resta cependant fidèle, compagne douce, c'est elle qui reçoit les hôtes et les couvres de présent, elle représente l'idéale mondain que Cygnus et Druella espérait ce leur fille. ☇ naissance ; 12 avril 1955. Londres ☇ ascendance; toujours pur ☇ métier ; aucun. Narcissa n'a jamais eut besoin de travailler, la noblesse ne se fourvoie pas avec le labeur. ☇ camp ; elle n'a de camp que celui de sa famille. Si elle a soutenu le nouveau gouvernement, elle le hait aujourd'hui. Elle n'a toujours voulu que le bonheur et la stabilité de sa famille, ce gouvernement a tout détruit, a commencé par elle-même. ☇ réputation ; Mondaine, elle avait l'habitude d'être la plus charmante des hôtesses, la plus agréable des compagnies, de pouvoir suivre chaque conversation avec un sens aigüe de la répartie mais sans jamais oublier sa place. C'est la réputation qu'elle avait parmi le cercle des mondains, dans le reste du monde sorcier, elle était perçue comme une femme froide et méprisante, inaccessible et pédante. Cependant, il y a bien longtemps que plus personne ne l'a aperçu et de folles rumeurs courent, on l'a dit assassiné des mains de son mari, ou bien en fuite, ce "on" dit beaucoup de chose mais pas instant n'imagine qu'elle est otage du Lord. ☇ état civil ; épouse, mère, grand-mère ☇ rang social ; élite sorcière ☇ baguette ; bois d'Aulnes et cheveux de vélane, 28,2 cm ☇ épouvantard ; Voir l'un des siens à sa place, voir Draco enserré par Nagini, voir Scorpius terminer dans la gueule du reptile, voir Lucius supplier qu'on l'achève comme elle a supplié. ☇ risèd ; Voir l'agonie de Voldemort, le voir devenir pathétique, l'entendre hurler de douleur et se délecter de ses cris, puis l'achever. ☇ patronus ; elle n'a jamais réalisé ce sort. ☇ particularités ; aucune. ☇ animaux ; aucun. ☇ miroir ; elle n'y a pas accès
| ☇ Avis sur la situation actuelle ; Tout change si vite, elle a été élevée dans l’attente d’une société sorcière purgée de l’infamie des sangs de bourbe. Et c’est enfin arrivé, elle devrait savourer cet état, vénérer son gouvernant, mais elle étouffe. Elle étouffe du climat toxique qui règne, sous la paranoïa d’un leader devenu fou, entre les anneaux de son serpent. Narcissa en vient à rêver que les insurgées renversent le gouvernement, elle en vient à prier pour une révolution. Elle a méprisé les rebuts, elle a même éprouvé une certaine satisfaction à leur sort, son sort est pire, elle ne vaut pas mieux. Elle n’a plus de droit, la pureté de son sang ne l’a pas protégé, il coule aussi rouge et poisseux que celui de n’importe qui. La pureté de sang ne protège personne, leur leader est devenu tyran. Il y’a un an qu’elle n’a plus de nouvelles du monde et elle l’imagine devenu monstrueux. Les lois liberticides ont du se multiplier, la propagande pénétrer les esprits. Elle déteste ce monde, sa naïveté cruelle, son éducation aliénante l’ont poussé à croire en un idéale meurtrier, la violence n’engendre que plus de violence. Elle craint pour sa famille, elle craint qu’ils ne meurent, elle craint qu’ils ne soient déjà morts, elle craint la folie qui la guète , elle craint la folie de ce monde. ☇ Infos complémentaires ;elle était une excellente pianiste • on lui a coupé la main • elle adorait faire de longues promenades• elle ne plus marcher sans l'aide, les muscles de ses jambes sont atrophiés • esthète et élitiste • brisée et craintive •loyale et protectrice envers les siens.•passionnée d'herbologie•à commencé à boire pour pouvoir dormir •si son esprit a été mis à mal par captivité et les traitements qu'elle a subit, sa force d'esprit et son orgueil lui interdiront de se laisser sombrer dans la folie et la mélancolie •très attachée à son apparence, elle camouflera l'état de son corps par des tenues couvrantes. Elle n'est jamais apparu quelque part démaquillée ou décoiffée.•Sa famille est sa priorité sur tout le reste. •son désir de vengeance la consume•elle a développé un sens du cynisme qui sonne mal chez elle. Elle ne croit plus en rien, si ce n'est en l'absolu nécessité de mettre ses proches en sécurité.•elle adorait lire, mais n'est plus capable pour le moment de rester concentrée• jamais elle ne se plaindra devant Lucius ou Draco. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Bosie. J'ai 27ans, je viens de bretagne et j'ai connu le forum via google je crois. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 6 jours sur 7. Je veux bénéficier de l'aide d'un parrain ou d'une marraine : [X] oui / [] non. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [X] oui / [] non. Un dernier mot ? je vous aime déjà
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Ven 16 Oct 2015 - 3:31, édité 7 fois |
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| Quand le soleil se couche, qui ne s'attend à la nuit ? Si tu te plais à contempler tes odieux forfaits, regarde cet échantillon de tes assassinats. ❝ Cissy ❞1963 Londres La petite Narcissa Black ne parlait jamais fort, ne se plaignait jamais des obligations de son rang. La petite Narcissa Black avait la nuque toujours bien droite, le menton haut, n’a jamais tâché une de ses robes avec de la terre ou du chocolat. La petite Narcissa Black écoutait toujours attentivement ses parents, presque religieusement ses précepteurs. La petite Narcissa Black aimait peindre et jouer de la musique. La petite Narcissa Black était l’enfant idéal d’une famille au sang pur et chaque jour ses parents se congratulaient d’avoir donné naissance à une telle bénédiction. La petite Narcissa sans avoir d’idée précise de ce que c’était, savait qu’elle faisait partie de l’élite. La petite Narcissa Black ne désobéissait jamais ou seulement pour retrouver ses sœurs. Lorsque punies, elles étaient privées de repas, toujours la benjamine leur ramenait son dessert, lorsque brimées par un règlement trop sévère, elle écoutait leurs plaintes. Elle aimait tant ses sœurs. La famille c'est le plus important, les liens du sang, sa famille c'est sa religion. Alors, parfois quand l'une ou l'autre venait lui demander son aide, même pour une bêtise, elle acceptait. Personne n’aurait songé à accuser la petite Narcissa Black et jamais la petite Narcissa Black n'a dénoncé l'une de ses sœurs. Son obstination à les protéger est l'unique facteur de ses quelques punitions. Andromeda l'aventurière et Bellatrix si aimé de leur père, élevée comme le fils qu'il n'aurait jamais. - Indifférente à la complaisance de sa perceptrice qui la couvrait de louanges mielleuses, Narcissa Black, 8 ans demain, quitta la petite étude pour se rendre aux jardins. Elle était une fillette calme et attentive, elle n’avait pas le goût des bêtises comme Bellatrix et Andromeda. Elle préférait le calme d’une promenade sur le terrain de la propriété, essayait de reconnaître les plantes, lisait une lecture recommandée. La benjamine Black était une fillette sans surprise et tous les adultes s’en félicitaient. Son principal attrait : sa beauté. Elle était amenée à devenir une jeune femme magnifique. Déjà bébé, les infirmières jurèrent n’avoir jamais vu plus beau bébé. Ses parents convinrent alors du prénom Narcissa. Ne sois pas trop fière petite Cissy, Narcisse est mort de trop se regarder. Comme elle était si belle et si discrète, les adultes vinrent à parler mariage. Elle était un atout à placer stratégiquement. Trois filles, c’était un malheur pour une famille de noble, cette partie de la famille perdrait tout, Walburga avait eut la chance de donner naissance à un fils et l’héritage des Black reposait sur lui maintenant. Il était plus jeune de quatre ans, mais pendant un moment, l’idée de les marier traversa l’esprit de la famille. Ce n’était pas si rare dans les familles riches pour conserver le patrimoine. Une idée que ses parents eurent tôt fait de se féliciter de n’avoir jamais officialisée. ❝ Princesse de comédie❞Poudlard Narcissa avait depuis longtemps intégré le fait qu’un jour elle serait Madame Malfoy. Alors elle faisait tout pour se faire bien voir de son futur, pour construire quelque chose entre eux. C’était une entreprise ardue et sans rétribution. Son regard passait sur elle comme sur un vase, elle se sentait transparente. Bellatrix avait tout son intérêt, elle n’en était pas jalouse, elle ne pouvait pas jalouser sa sœur. Elle les regardait rires aux éclats et tourmenter les élèves de basses naissances, ce n’était pas dans sa nature, non qu’elle veuille les défendre, elle n’avait simplement pas l’âme du bourreau. Elle le voyait ramener ses conquêtes et s’exhiber avec, si elle trouvait son comportement révoltant jamais elle ne dit un mot, elle voyait au fil des mois s’allonger la liste de toute celles qui n’étaient pas elle. Narcissa croyait en ce principe fondamental dans l’éducation d’une jeune fille de bonne famille, la virginité. Son hymen serait intact pour celui qui n’en avait que faire. La pudeur lui était une vertu précieuse. Elle aurait pu chercher revanche dans les draps de ceux qui l’y invitaient ; bien peu en réalité, peu à oser affronter son regard et ses refus. Elle était une princesse diaphane et distante, tout droit sorti d’un livre de conte, promise à un prince froid et moqueur que personne n’aurait osé contrarié. Marquée du sceau des Malfoy, elle était malheureuse et digne. Elle savait que son bonheur elle devrait le construire, qu’elle devrait apprendre à être une Malfoy, qu’elle devrait comprendre qui était son prince. Elle n’était dans le dortoir des serpentards qu’un simulacre de dignité, princesse de comédie, respectée parce que ses sœurs y veillaient. Studieuse elle était l'élève modèle. Elle aurait pu choisir n'importe quelle carrière, mais la sienne était déjà tracée. C'est avec un regain d'énergie qu'elle appréhenda la vie adulte, loin du monde bruyant qu'était Poudlard, elle pourrait retrouver son monde. Un monde dans lequel elle évoluait avec une aisance naturelle. Un monde où elle pourrait amadouer son roi. L'après Poudlard commença par une période de liberté agréable. Les bals se succédaient, pour consolider les alliances, pour trouver un mari à Bella bien plus sauvage qu'elle. Elle se souvint des été au bord du lac, les Lestranges, les Black et Lucius, c'était une période de joie simple, avant que tout ne devienne beaucoup plus compliqué. ❝ Reine couronnée de soucis.❞1979 - Manoir Malfoy La main sur son ventre, Narcissa s’observait dans la psychée. C’était injuste ! Elle avait tout fait ! Son corps la trahissait, son enfant ne voulait pas naître. Echec sur fausse couche, elle avait été incapable de mener à terme une grossesse. Le médicomage lui avait dit que c’était le stresse, tout fonctionnait parfaitement bien chez elle et chez Lucius, mais la pression détraquait son corps. Elle voulait pleurer mais ne s’en donnait pas le droit, pas alors que toute la famille était réunie en bas, prêt à l’accabler de reproche, à la noyer dans les marais de la culpabilité. Et cette guerre qui n’en finissait pas ! Lucius était peu présent, affairé aux ordres du Lord. Oh bien sur elle était partisane, mais la perspective d’une nouvelle terrible hantait ses nuits solitaires et jetait une ombre sur les moments qu’elle partageait avec son mari. Un mari qu’elle avait durement conquis et dont elle refusait à la mort qu’elle lui dérobe. Elle se souvint, le jour de leur mariage, son appréhension de devoir passer son existence avec un homme qui ne semblait nourrir pour elle qu’une vague condescendance. Elle se souvint ses sourires radieux et ses yeux vides. Le creux dans son ventre et la peur du moment où ils auraient à se trouver seuls. Son envie de fuir devant son regard de glace. Elle avait toujours su trouver les mots, toujours été à l’aise avec tout le monde, elle était une femme du monde, vive et intelligente, pertinente et sophistiquée, mais à quoi servirait tout cela dans un mariage de mépris, à quoi servirait toute son éloquence lorsqu’elle devrait gagner sa couche. Alors doucement d’abord, elle parla, affrontant son regard orageux. Les mots venaient plus facilement à mesure qu’elle parlait. Dans son immense naïveté, Narcissa n’avait jamais parlé à Lucius. Vraiment parlé. Il n’était pourtant qu’un homme et Narcissa était femme avisée, agile dans ses mots, certaine de sa séduction, mais le pouvoir que lui avait conféré son statut de fiancé et les humiliations répétées des années à Poudlard lui avait fait oublier qu’il n’était qu’un homme. Un sorcier de sang pur contraint à un mariage et que tous ne pouvait s’y conformer avec la même docilité qu’elle. Ils avaient de nombreuses fois dansés sans entrain. Quelque chose s’était débloquée entre eux ce soir là. Un déclic, une compréhension soudaine et la certitude d’un meilleur possible. Elle le senti avant de le voir. Lucius l’observait, il se détacha du cadre de porte contre lequel il était appuyé et posa ses mains sur ses épaules. Il montrait son soutiens, lui ne lui imposait aucune pression, il ne l’avait pas rejeté et c’était déjà beaucoup. Elle observa leur reflet, ils étaient si beau, impériaux dans leurs tenues d’apparat, dans leur regard dansait quelques démons que la guerre avait apporté, que l’absence d’héritier entretenait. Elle posa sa main sur la sienne, douce, pour se donner du courage, il fallait affronter les harpies. Un baiser échangé, puis elle glissa son bras sous le sien. Dans le grand salon, les conversations allaient bon trains. Narcissa observait les gens, dehors des gens trahissaient, échafaudaient et mourraient, mais ici, les mangemorts et la haute société échangeaient des anecdotes cruelles autour d’un verre de champagne et de petits fours. Elle salua sa sœur, la seule qu’elle avait encore, Bellatrix aujourd’hui Lestrange, la seule qui ne la blâmait pas, la seule qui continuait à lui parler comme à un être humain et non comme à une poule pondeuse. La guerre serait bientôt terminée, la résistance allait tomber, tous s’accordait à le dire. Narcissa qui s’était découvert une passion pour la politique, dévia habilement la conversation chaque fois qu’elle commençait à porter sur elle. Cela sembla amuser Lucius et Bella, et pendant un instant elle crut retourner à l’époque bénie de l’insouciance. Avant qu’Andromeda ne trahisse, avant que la guerre ne commence, lorsque le rire était plus facile et moins cynique. ❝ Petit Prince ❞1985 - plage de St Cyrus « Laisse le Lucius… » Narcissa sourit en voyant son bambin, son adorable fils couvert de terre et les bras égratignés, brandissant fièrement quelques fleurs sauvages. Elle déposa un baiser sur le front de Draco. Elle était heureuse à cet instant. Son sourire illuminait le ciel maussade. Elle n’avait pas perdu le goût des balades et il était rare que Lucius l’accompagne, elle appréciait d’autant plus sa présence qu’il était très souvent occupé. « Ne t’éloigne pas trop ! » cria t-elle tout de même à son fils qui courait maintenant sur le sable frais. Narcissa ôta ses chaussures, elle avait envie d’avoir les pieds dans l’eau, l’automne était encore doux, le vent faisait voler ses cheveux détachés. Ce n’était pas un comportement très noble ou très digne, mais elle s’en moquait, elle était juste heureuse. Draco la rejoignit et à chahuter tous les deux, elle échoua dans l’eau riant aux éclats sous le regard consterné de Lucius, mais Narcissa était certaine d’avoir vu le coin de sa lèvre se redresser. Il se montrait austère avec Draco, cela peinait l’enfant qui rivalisait d’effort pour impressionner son père. Narcissa connaissait cette attitude, c’était la même qu’avait son père. Elle avait essayé de lui parler, mais cette fois elle avait eut affaire à un mur. L’éducation était différente dans la haute société, elle aurait sans doute dû montrer plus de retenu, mais c’était son fils. Elle l’avait tant attendu, elle l’aimait si puissamment, elle n’imaginait pas en être capable alors. Elle se devait d’en profiter, bientôt, il ne se laisserait plus si facilement enlacé, bientôt il essaierait de s’émanciper de façon cruelle, bientôt il partirait de la maison. Le temps passe si vite lorsque le bonheur s’installe. Elle se redressa et courut vers son mari. « Tu es trempée Narcissa. » Elle grimaça à l’entente de son prénom complet, de son ton sec et de son regard réprobateur. Voilà qu’il se prenait également pour son père, à son austérité elle répondit par un sourire malicieux « Ça ne te dérange pas toujours. » L’expression de son visage la fit éclater de rire joyeusement. Bella aurait adoré voir ça et comme à chaque fois qu’elle pensait à sa sœur, une ombre passa sur son visage, Son bonheur aurait été complet si elle ne pourrissait pas à Azkaban. Oh sa sœur était démente, elle en convenait, elle avait fait d’horribles choses au nom d’une cause en laquelle elle croyait, mais elle avait aimé les horreurs, elle s’était repue de la douleur et du déchirement. Elle méritait sans doute d’être emprisonnée, mais pas livrée aux détraqueurs. C’était un sort pire que la mort. C’était l’enfoncer plus loin dans sa folie. Sa seule consolation, Lucius avait évité ce sort, il avait plaidé l’impero et elle avait témoigné à son procès. Sans jamais élever la voix, avec la certitude de ceux qui savent, elle avait plaidé en sa faveur. Draco avait besoin d’un père. Elle leva les yeux vers lui au moment où Draco venait encercler sa taille. « Rentrons, il va bientôt faire nuit. Elle aurait pu se sécher magiquement, mais en vérité elle s’en moquait. Se serait l’occasion de prendre un bain chaud et elle pouvait parier qu’elle ne le prendrait pas seule. ❝ Reine de mauvaise chance ! ❞QG de Lord Voldemort - 2001 "Eh bien, où est ton mari à présent ? Où sont tes sœurs ? Où est ton fils ? Quelles jouissances te reste-t-il ? Qui donc te sollicite, et s'agenouille, et dit : Vive la reine ? Où sont les pairs prosternés qui te flattaient ? Où sont les foules pressées qui te suivaient ? Rappelle-toi tout cela, et vois ce que tu es à présent !... Tu étais heureuse épouse, tu es là par la faute de ton mari... tu étais joyeuse mère, tu en déplores aujourd'hui même le nom .. tu étais suppliée, tu es suppliante ..tu étais reine, tu es une misérable couronnée d’ennuis. Tu me méprisais, maintenant je te méprise ; . tu faisais peur à tous ,maintenant tu as peur ; tu commandais à tous, maintenant tu n'es obéie de personne ! Ainsi la roue de la justice a tourné, et t'a laissée en proie au temps, n'ayant plus que le souvenir de ce que tu étais, pour te torturer encore étant ce que tu es ! William Shakespeare - Richard III (un peu réadapté) " « Pars rebut de malheur cesse de me narguer ! Ou apprend moi à maudire comme tu m’as maudit ! » Sa voix n’était plus qu’un murmure, elle n’avait plus la force de crier, elle avait trop hurlé, de douleur et de désespoir. Pathétique silhouette, elle n’était plus que l’ombre de la femme qu’elle était, discutant avec les ombres qui peuplaient la nuit. Il n’y avait personne dans cette prison doré. Personne à part elle et Nagini qui enserrait son corps. Il n’y avait personne, mais elle la voyait. Cette sang de bourbe, qu’elle avait regardé se tordre de douleur sur le sol de son manoir, torturée par les mangemorts, les mêmes qui la torturaient maintenant. Elle n’avait plus de larmes pour pleurer sur son sort. Elle avait supplié Severus pour qu’il la tue, qu’il lui fasse cette amitié, il avait détourné le regard. Elle avait imploré Rabastan de mettre fin à ses tourments il lui avait alors fait la moral. Une plainte passa ses lèvres alors que les crocs du reptile s’enfonça à nouveau dans sa chair, au moins n’attaquait-il jamais son visage, au moins n’était-elle pas défigurée. La finesse de ses traits était une insulte à son corps mutilé, ou peut-être était-ce l’inverse. Vieille poupée disloquée d’avoir été trop utilisé. Elle avait été reine elle n’était plus que le jouet d’un serpent. Réduite à envier le sort des rebuts, réduite à être moins que l’ombre de son ombre. Enfermée depuis trop longtemps, elle n’espérait plus. Elle payait les erreurs des jeux des hommes, elle payait d’être leur faiblesse. La faiblesse de son mari, celle de son fils. Que faisaient-ils ? Combien de temps s’était-il écoulé depuis qu’elle avait été arrachée à son foyer ? Parfois sans se l’avouer, elle en venait à les haïr, la rancœur la submergeait alors qu’alitée, ils pouvaient marcher. Ils étaient fautifs, elle payait pour leurs erreurs. Puis elle se mettait à se haïr de penser cela, à culpabiliser de n’être pas assez forte. Puis elle sombrait dans le mutisme et la passivité, jusqu’à ce que les ombres ne reviennent la hanter.
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Ven 16 Oct 2015 - 3:05, édité 16 fois |
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| PREUM'S ! j'édite plus tard (j'pose juste ma marque ok) edit ; OK LE DÉBUT FRANCHEMENT ma Cissy c'la plus belle nardine SÉRIEUX ON VA FAIRE DE TROP BELLES ET TROP BONNES CHOSES ENSEMBLES AMOUR ON TE RENDRA TA BEAUTÉ D'ANTAN TU VERRAS LE VILAIN PAS BEAU IL IRA SE FAIRE CUIR UN TACOS Sinon, plus sérieusement, bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche si t'as des questions, n'hésite pas hein, nous sommes là pour ça
Dernière édition par Lucius A. Malfoy le Jeu 15 Oct 2015 - 10:01, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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| la bienvenue sur exci |
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| Merci à tous !
(je suis stupide, j'ai complétement amalgamée Naomi Watts et January Jones, bien sur que je vais prendre Naomi Watts, désolée pour les changements d'avatars du coup !) |
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| Naomi Watts en Narcissa Malfoy, c'est une merveilleuse idée. Bienvenue sur Exci, bon courage pour le reste de ta fiche, je crois que tout la mifa t'attend avec impatience. |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | NAOMI C'EST LE DREAMCAST ULTIME BIENVENUUUUE & merci de tenter ce perso oijfdoifhpdoi comme dit, j'espère que l'évolution du perso ne te perturbera pas trop, Voldy n'a pas été tendre avec la pauvre Cissy mais t'en fais pas, tout sera mis en œuvre pour la sauver parce que voilà quoi, elle est indispensable anyway j'te souhaite bon courage pour la fiche du coup ! si tu as des doutes/questions, n'hésite sur tout pas à me mp |
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