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sujet; DORJE + I’d say go to hell, but I never want to see you again. |
| Cetan-Dhargey Dorje Seo feat min yoongi • crédit the coven | ❝ We're running in circles again ❞Hunted ; Inventé☇ pseudo complet & surnom(s) ; Cetan-Dhargey (faucon et progrès) - des prénoms qu'il a fini par oublier, pour fuir, pour briser son existence en une infinité de rumeurs s'éteignant unes à unes. Des prénoms qu'il a renié au profit de Dorje (indomptable), un pseudonyme dont il s'est baptisé le jour suivant sa chute, sa fuite. Seo est encore un réflexe au coin de ses lèvres lorsqu'on lui demande son nom, lorsque cela arrive. Bientôt il l'oubliera à son tour et ne demeurera que Dorje. ☇ naissance ; C'est au Tibet que Dorje est né, un matin dès plus ordinaire. Un 15 juin. Il ne sait plus dans quelle ville c'était. Est-ce que ça a une quelconque importance ? Il en doute. ☇ ascendance; Il aurait pu grimper les échelons de la société, il aurait pu être de ceux qui dirigent grâce au sang coulant dans son être. Sa mère, Sang-Pur tibétaine n'a cependant fait face qu'à une suite sans fin de malédictions et malheureux incidents. Cracmol, elle fut reniée. Dépourvue de magie, elle épousa un moldu. Dorje est sang-mêlé. ☇ métier ; Avant il était mannequin à la solde dès plus grandes maisons de couture sorcières. Modèle photo, mannequin de podium, rien qu'une poupée devant les flash et sous les étoffes. Aujourd'hui, c'est de crasse qu'il se revêt le matin. Ils sont loin les flash, ils ne reviendront jamais. ☇ camp ; Neutre et ce après avoir eu la bêtise de croire qu'un camp était plus judicieux que l'autre. Voldemort, Insurgés, c'est la même histoire sous différents titres. ☇ réputation ; Dorje c'était la poupée des maisons de luxe, c'était le visage ravageur sur les posters animés des demoiselles. Avant qu'il ne sombre dans l'épave qu'il est aujourd'hui, Dorje était une pépite esthétique dont le visage à ouvert bien des portes, entendu bien des secrets, vu bien des choses. Aujourd'hui, il n'est rien d'autre qu'un meurtrier en cavale. ☇ état civil ; Il aurait dû être fiancé, marié, père, époux. C'était un avenir prometteur qui lui était offert, mais sans façon. Dorje n'a d'attache nul part, il est célibataire et il vaudrait mieux pour tout le monde qu'il le reste. ☇ rang social ; C'est un hors-la-loi depuis déjà quelques mois. Il air, il se sauve, il se protège en priant pour qu'un jour il puisse prendre la poudre d'escampette à l'étranger. Qu'on oublie son nom, son visage, son existence. Il tend de plus en plus à n'être qu'une ombre. ☇ baguette ; la baguette du jeune homme a été forgé par un ami proche des Seo, la communauté de Sang-Pur tibétaine étant d’avantage tournée vers le sectarisme plutôt que vers l'ouverture aux autres. Forgée dans un bois de chêne rouge, prédisposée aux duels et demandant une rapidité exemplaire du sorcier, elle contient une tige de dictame et mesure vingt-huit centimètres. ☇ épouvantard ; une femme, grande, mince, au regard noir tenant dans sa main un mètre ruban magique. Trop de poids, toujours trop. Pas assez mince, pas assez élancé, pas assez beau. Moins manger. Moins dormir. Moins vivre pour mieux rendre sur les photos et les podiums. ☇ risèd ; Dorje rêve de beaucoup de choses et sa cavale ne fait qu'ajouter d'avantages de chimères et utopies au jeune homme. A l'heure d'aujourd'hui, il désire profondément redorer le blason des Seo au Tibet. Mais pour cela, il lui faudrait pouvoir quitter le continent. ☇ patronus ; Il n'en a jamais produit un, il n'en a jamais eu l'occasion, il n'a jamais su le faire. Pauvre enfant à peine bon en classe pour savoir changer un rat en pendentif. Les écoles de magie asiatiques n'étaient en rien similaires à Poudlard. Ce genre de sortilèges ? Dorje n'en savait même pas l'existence. Alors quant à savoir quelle forme prendrait son patronus... ☇ particularités ; aucune si ce n'est son mutisme presque constant depuis qu'il est en fuite. ☇ animaux ; il serait bien inconscient dans sa situation d'avoir un animal, aussi petit soit-il. ☇ miroir ; //
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☇ Avis sur la situation actuelle ; Les mots d'un fugitif ont-ils une quelconque valeur lorsqu'ils ne sont prononcés que dans son esprit ? En fuite, son avis semblerait déjà tout écrit, flagrant de logique. Dorje devrait détester le Gouvernement, il devrait le haïr de tout son être en nourrissant secrètement le désir de le voir s'effondrer, laissant place aux insurgés, à Potter, à tout ces gens prétendants vouloir la guérison du monde magique. Mais non. Loin de tout ça. Dorje n'a rien contre Voldemort, ses sbires et les imbéciles persuadés que c'est la bonne façon de faire. Il pourrait, oui, il pourrait...mais son esprit ne peut s'empêcher de comprendre les motivations des Sangs-Purs à la tête du pays. L'ancienne poupée comprend. Il saisie quel plaisir intense il doit y avoir à contrôler les masses sous le joug de la peur et de la délation abusive. Ce doit être exaltant, excitant, de se dire que demain tout pourrait s'arrêter suite à une parole énoncée. Après tout, ce n'est rien d'autre qu'une tyrannie et personne n'a jamais réussi à prouver qu'une démocratie était plus convenable qu'une dictature. Cependant, Dorje n’adhère pas, n'adhère plus à cette façon de faire. Rien contre Voldemort, rien contre ses partisans. C'est l'ambiance, le mode de vie, la crainte omnipotente qui a fini par le dégoûter, lui faire perdre la raison. Tout s'effondre sous la main de Voldemort. Il le sait. Il l'a vu. Il l'a vécu. S'en est assez. Mais les insurgés ne sont en rien meilleurs et ça, aussi, il en est convaincu. Insurgé. Voldemort. Autant de morts, autant de haine, autant de violence et des idéaux déjà vus et revus pour la plupart. Alors les deux camps essaient tant bien que mal de convaincre que leurs dogmes sont les plus avantageux, les plus aptes à rendre hommage à la magie et aux sorciers. Affabulations, mensonges. Combien de morts encore avant que le peuple magique ne se rende compte que ni l'un, ni l'autre, n'est bon ? Un an ? Dix ? Cela prendra le temps qu'il faut et l'on creusera autant de tombes que nécessaires avant qu'un troisième parti ne fasse entendre sa voix, proposant une nouvelle alternative à tout ces gens qui n'ont plus foi en l'homme.
☇ Infos complémentaires ; Il adore le café. Non, sérieusement, un bon café avec un peu de lait et un sucre c'est le genre de boisson qu'il faut lui servir si on veut être dans ses bonnes grâces. Cela semble être une éternité qu'il n'y a plus goûté. Douce boisson corsé par ses arômes qu'il n'a goûté qu'en arrivant en Angleterre. Sa mère en raffolait, ne jurant que par un café aussi noir que le charbon. • Il n'a jamais été très proche de son beau-père, voire même totalement indifférent à ce dernier. Les deux hommes n'ont jamais tissé de quelconque lien et ne comptent pas le faire, même si ça chagrine énormément la mère de Dorje. Ô quel genre de chagrin doit-elle aujourd'hui affronter avec un fils unique en cavale. • Dorje a toujours complexé sur son corps. Ses jambes, ses bras, ses yeux, ses origines. Ce n'est que récemment qu'il s'est, en quelque sorte, libéré de cette prison d'incertitudes et de dégoût. Ce n'était pas grâce aux flashs ou aux défilés. Non, c'était grâce à elle. Elle. Elle est partie, elle. • Dorje est pansexuel et ce dès qu'il a pu mettre un nom dessus. Il n'y a d'important pour lui que l'âme d'une personne et sa volonté à vivre, à dévorer le monde pour mourir apaisé et heureux. • Petit il était victime de terreurs nocturnes. Des nuits d'horreurs où il affrontait milles et uns démons qu'il n'arriva jamais à vaincre. Il lui arrive encore d'en avoir, même si sa fuite semble les avoir fait diminuer encore d'avantage. Intriguant, sachant qu'il n'a jamais été dans cette situation mêlant sérieux, stress, discrétion et peur constante auparavant. • Dorje a les oreilles percées trois fois à chaque lobe et possède un tatouage sur les côtes gauches représentant une tête de renard stylisé et géométrique. • Lorsqu'il était plus jeune, il voulait devenir créateur de talismans et ouvrir une petite boutique à Domo, au Tibet. Les nombreuses mutations de sa mère lui ont fait tirer un trait là-dessus. • Son tatouage n'est pas dénué de sens. En effet, il représente l'intelligence, la ruse. Lorsqu'il avait seize ans, Eun Sil -la mère de Dorje- lui a fait passer des tests de QI et il s'est avéré que le jeune garçon est surdoué, son QI indiquant le chiffre conséquent de 138.
Dorje est un artiste dont on à brisé les ailes. Le piano était son échappatoire, le violon sa muse et le pinceau son arme de prédilection. Ses doigts furent brisés et son inspiration avalée par un monde trop sombre. Comme il est loin le temps où il rentrait le soir après un défilé, épuisé, brisé sous les applaudissements et le regard toujours plus mécontent de sa responsable. Et pourtant, il jouait toujours. Les notes du piano mettaient du baume sur son cœur blessé tandis que les toiles accrochées sur les murs regorgeaient de tout ces cris mués qu'il ne pouvait se permettre de pousser. • Avant, Dorje, il aimait la vie. Il l'aime toujours. Juste...un peu moins. Il se réveillait le matin et appréciait l'odeur des draps dans lesquels son corps et celui de l'être aimé avaient dormis. Il s'émerveillait des baisers et des promesses. Il était naïf. Il était amoureux. Il était con. Petite marionnette trop habituée à être manipulé qu'il n'a pu que s'écrouler le jour où on lui a coupé les files, le jour où sa marionnettiste est parti, le jour où il a changé. De cet amour vif et mordant pour la vie, il ne lui reste que des cicatrices et des bleus trop profonds pour qu'ils ne s’effacent un jour complètement. • Enfant curieux, il adorait lire, écrire et en apprendre toujours d'avantage sur les sujets qui l'intéressaient. Parmi eux, l'Egypte et ses secrets. Les pharaons, les momies, ces croyances en des dieux si charismatiques et diversifiés que Dorje s'évadait de son quotidien à chaque fois qu'il trouvait une gravure sur Rà ou Apophis. Ô comme il aurait aimé devenir archéologue, égyptologue, qu'importe. Magie ou pas, il aurait voulu passer sa vie à lire les récits des pharaons et les témoignages laissés le long des murs des pyramides. Puis il a grandi et on lui a dit de choisir un métier convenable et logique, sain, sans surprises. Dorje n'est jamais devenu égyptologue, encore moins violoniste ou peintre. Non, il n'a apprit que trop rapidement la véritable couleur de la vie d'adulte. D'enfant, il est devenu potiche pour un monde dont il n'a jamais eu le sentiment de faire parti. • Quand il était petit, sa grand-mère lui a offert un pendentif renfermant un rubis de Birmanie, aussi appelé "Sang de Pigeon" pour sa couleur rouge sanguine. La vieille femme raconta à l'enfant que ce talisman, qui n'en était pas un, lui garantirait bonheur et longévité tant qu'il le garderait auprès de lui. Naïf, Dorje y cru et chéri cette gemme durant des années jusqu'à ce la chaîne se brisa sous les doigts d'un assaillant bien trop familier. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi Julie. J'ai 19 ans, je viens d' alsace et j'ai connu le forum via mes favoris, et parce que j'y ai déjà été il y a quelques temps. Si tout va bien vous me verrez connectée 4 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé" . Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? I'M BACK BOUM SHAKALAKA
Dernière édition par C-D. Dorje Seo le Sam 7 Nov 2015 - 23:55, édité 7 fois |
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| You are magic Don’t ever apologize for the fire in you. ❝ Welcome to your life ❞1983 & District de Samzhubzê J'étais assis sur le canapé, un vieux canapé qui semblait avoir toujours été là. Mes souvenirs sont confus et je ne saurais dire si il était vert ou brun, mais une chose était certaine, c'est que les ressors se faisaient la malle sans demander leurs restes. Un vieux canapé, à n'en pas douter. De ces objets que l'on reçoit en cadeau de mariage et que l'on accepte par politesse pour ensuite les traîner derrière soit toute sa vie. J'étais donc assis sur ce canapé à me demander ce que j'avais bien pu faire de mal pour être ainsi consigné à l'immobilité totale en attendant le retour de maman. Papa tournait en rond, à l'instar de ces félins tourmentés qui ne savent plus quoi faire de leurs journées enfermés dans des cages trop grandes pour les tuer mais trop petites pour être doté d'une quelconque humanité. Il marchait encore et toujours. Son visage n'exprimait rien d'autre que le doute et la perturbation. Il ne me regardait pas. Ça je m'en souviens bien. Son regard fuyant. Comme si j'avais soudainement déclaré une tare à la face du monde. Il était en colère, de ces fureurs sourdes qui menacent d'éclater à la moindre perturbation. Et je ne savais que trop bien les dégâts que mon père pouvait engendrer une fois mis en colère. Je ne voulais pas le fâcher, pas d'avantage. Alors j'obéissais comme le bon garçon que j'étais et j'attendais, immobile, à compter mes doigts de pieds à répétition. 45éme compte et voilà que le bruit de la clé enfoncée dans la serrure s'élève dans l'appartement. Papa s'arrête de marcher et se tourne vers la porte, les yeux fixés sur la silhouette chétive qui apparaît bien rapidement, des sacs de course à la main. Un bonsoir mes amours joyeux suivi d'un sourire qui s'efface lorsque les yeux de maman se posent sur ceux de papa, puis sur ma figure immobile pour enfin s'échouer sur le vase éclaté sur le sol devant moi. Les souvenirs sont flous, les bruis vifs. J'entend encore mon père hurler à ma maman ô combien elle le dégouttait, ô combien elle avait mit au monde un monstre...Elle lui avait promis, oui, elle lui avait promis que je ne montrerais jamais aucuns signes de pouvoirs magiques. Promesse stupide car désormais brisée. J'étais le lien qui allait rouvrir les portes du monde magique à ma cracmol de mère, le fils bénie qui justifierait le retour dans le domaine familial. Je n'étais rien d'autre qu'une excuse. Papa est parti ce soir-là et maman a pleuré. De joie. Elle était heureuse. Tellement heureuse...et moi je comprenais pas. J'ai jamais compris grand chose. ❝ All the things she said ❞1997 & DaeguMes traits creusés par le maquillage et les fards sombres, je plongeais mon regard d'ébène dans mon propre reflet. La jeunesse criait sur mon visage tandis que les lumières du miroir effaçaient le teint d'or de ma peau. Des traits noirs affinaient encore d'avantage mes yeux déjà d'amande lorsqu'une jeune femme s'attelait rapidement à ma coiffure, ordonnant chaque mèche, maîtrisant chaque vague, chaque épis, chaque échappé de contrôle. J'étais d'un calme olympien, on m'avait appris que de paniquer ne ferait que rendre le port de ces vêtements qu'encore plus ardu. Les matières n'étaient pas agréables, elles rendaient aussi bien qu'elles m'irritaient le torse et les cuisses. Ce n'était pas le premier défilé, mais définitivement l'un des plus important. Si je me loupais, je restais coincé en Corée. Si je me faisais remarquer, si je faisais ce qu'elle m'avait dit de faire, alors je partirais. Sir Ellington était présent, j'avais attrapé son ombre lorsque le public était entré dans la salle de défilé. C'était lui, ma clé de sorti. Si j'arrivais à attirer sa grâce et son intérêt, alors je m’envolerais pour l’Angleterre et tout mes problèmes seraient terminés. Je n'aurais plus à rendre de comptes à ma famille, je n'aurais plus à vivre dans une société magique méprisant les autres nations. J'avais besoin d'air, j'avais besoin de m'échapper de cette cage de verre. La jeune femme à mes côté se releva et pointa le bout de sa baguette vers une mèche rebelle. Une formule magique plus tard, un moulinet du poignet et voilà mon visage fin prêt. Je me levais doucement, clignant des yeux et vérifiant mon reflet une dernière fois. Était-ce vraiment moi ? Là, dans ce reflet, je ne voyais qu'un corps trop mince pour que ça ne soit saint, je ne voyais rien d'autre qu'une poupée de chiffon. Mais c'est ainsi que je quitterais Daegu, c'est ainsi que je prendrais mon envol vers une autre terre. Une terre où l'on traite ses habitants correctement, où les figures de modes sont respectés et traités convenablement. D'un pas assuré je me détournais du miroir, prenant la direction du podium, ne me doutant pas une seule seconde que j'aurais mieux fait de m'y tordre les chevilles. Soo Hee m'avait repéré lors d'un shooting photo amateur. J'avais seize ans. Un de mes ami, apprenti photographe pour une gazette de Seoul, avait réussi à la contacter et la convaincre de se rendre sur le lieu de shoot. Elle est venu, m'a vu et nous sommes repartis ensemble. Elle me permit de finir mes études avant de m'engager en temps que mannequin et modèle dans sa toute jeune maison de couture. A l'époque, ce n'était rien de fou, un petit local loué au mois où nous passions toutes nos heures à dessiner, créer et inventer toutes sortes de tenues. Des robes. Des pantalons, des colliers tous plus originaux les uns que les autres. J'avais l'impression de vivre une vie de bohème, de rêveur. A ce moment-là, elle se fichait bien de mon poids ou des courbes de ma mâchoire. Je posais pour elle et embellissait chaque tenue. Et puis nous nous sommes fait repéré par un magazine, puis deux. Ce fut ensuite au tour de gazettes nationales de parler du travail extraordinaire de Soo Hee. Soudain je ne fus plus assez. Les régimes s'enchaînèrent, la faim devint ma partenaire de vie tandis que je commençais à défiler parmi les grand noms de Corée. Étais-je encore heureux ? Je l'ignorais. Je ne pouvais cependant pas retourner en arrière. Alors je me taisais, je cessais de manger, je m'entraînais, me musclais, tailler un corps que je finissais par ne même plus voir comme miens mais comme bien publique. Un jour, la Corée ne sembla plus suffisante à Soo Hee, elle voulait plus. Le monde entier devait plier sous ses rêves de grandeurs vestimentaires. Je l'ai suivi. Nous nous sommes envolés pour Londres après ce fameux défilé où Sir Ellington ne posa les yeux que sur moi. J'ai cru naïvement qu'à Londres tout changerait, que j'allais pouvoir à nouveau me nourrir convenablement, que j'allais être heureux. Pauvre idiot. Non, décidément, je n'ai jamais rien compris. ❝ Titre de partie au choix ❞2002 & Londres sorcier -Léo- Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. ❝ Titre de partie au choix ❞2002 & Londres moldu -cavale- Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par C-D. Dorje Seo le Dim 8 Nov 2015 - 19:41, édité 3 fois |
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| Alors ça, si je m'attendais à ce qu'on reconnaisse Suga ici...dire que je suis aux anges, ce serait un euphémisme. Sansa, nous nous devons de nous trouver un lien, c'est une évidence. En tout les cas, merci vous deux, j'en aurais presque la larme à l’œil nom d'un biquet. Et voilà que je me retape ma playlist de Bangtan #cypher #tmtc. |
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| Je connaissais pas ton vava (mais c'est normal) mais j'aime beaucoup. Et j'aime énormément ton pseudo ! Bon retour sur Exci du coup, d'après ce que j'ai compris, et bon courage pour ta fiche !
Dernière édition par Lyudmyla S. Gregorovitch le Mar 27 Oct 2015 - 10:47, édité 1 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | - Sansa Rosier a écrit:
- nous sommes de retour
pour nous jouer un mauvais tour ? REBIENVENUUUUUE parmi nous bon courage pour ce nouveau perso, ça fait plaisir de te ravoir parmi nous tu connais la chanson, si besoin n'hésite pas à nous mp, on est à ta disposition |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Reaghan Phillips | REBIENVENUUUUUE :3: inutile de te sortir la chanson, tu connais maintenant bon courage avec cette fiche et ce nouveau personnage et reprends place chez toi |
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HUNTED • running man Adele Bones | - Draco Malfoy a écrit:
- Sansa Rosier a écrit:
- nous sommes de retour
pour nous jouer un mauvais tour ? Si vous vous faîtes appeler Jessie et James, promis, je viens faire Miaouss (RE)BIENVENUE CHEZ NOUS bon courage pour ta fichette, hâte de voir ce que tu vas faire de ce nouveau bébé |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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| | | | | DORJE + I’d say go to hell, but I never want to see you again. | |
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