Mission 1 : Bewitched feather The dumber people think you are, the more surprised they're going to be when you kill them.
Le soleil brillait dans le ciel alors que l'été vivait ses dernières chaleurs. Peu de choses pouvait la convaincre de se pointer dans un quartier moldu et si elle combattait la nausée ressentit à la vision de cette sous-race, c'était parce qu'elle devait gagner la confiance de certains d'entre eux. Le corps d'Alecto était habillé d'une petite robe soleil de couleur mauve et ses cheveux avaient été coiffés avec soin. Elle ne laissait jamais aucun détail au hasard lorsqu'elle se voyait attribuer un rôle. Un sourire aux lèvres, ses bras étaient entourés autour de celui de l'homme qui l'accompagnait. Augustus et elle s'étaient vus confiés une mission bien précise par le Seigneur des Ténèbres et elle conservait avec soin le morceau de papier leur indiquant deux noms et pas n'importe lesquels... Les deux noms étaient ceux de sang-de-bourbe dont le destin serait bientôt scellé. L'idée d'exterminé la vermine afin de faire en sorte de diminuer sa propagation l'enivrait... Cette famille allait très certainement regretté de ne pas avoir eu la chance de voir Hagrid arriver pour leur expliquer l'existence du monde de la sorcellerie.
S96 .... Ils y étaient enfin. Devant leurs yeux, se dessinait une maison moldue des plus banales et ils pouvaient apercevoir du mouvement par la fenêtre. D'un décompte rapide, elle calcula trois enfants. Alecto n'éprouvait aucun remord à l'idée de briser cette famille en entier au contraire.. Se tourna vers Augustus, elle lui adressa un sourire qu'il connaissait bien, un amusement complètement malsain et sadique. Alecto adorait faire des missions avec son frère, mais il n'y avait rien de désagréable à être jumelé à un homme comme Rookwood au contraire. Ils s'étaient toujours très bien entendu et elle le considérait comme l'un de ses véritables amis.
« Souris un peu... Tu n'a qu'à l'imaginer déjà mort...»
Elle avait lancé ça comme on parle de la météo et du repas de la veille. Ils franchirent alors les quelques mètres les séparant de la porte et Alecto y cogna à trois reprise avant d'attendre avec une gaieté qui ne lui appartenait pas, que la porte s'ouvre ce qui ne tarda pas. Le cadet de la famille dans les bras, le père les regardait avec un regard interrogateur ignorant pour quelle raison ils étaient là.
« Bonjour Monsieur Fitzgerald. Je suis Amélia et voici mon époux Mark. Nous avons été envoyés par l'école de Benjamin. Nous sommes désolé de ne pas nous être annoncé plus tôt. Nous ne prendrons pas beaucoup de votre temps. »
Alecto s'amusait toujours à utiliser une nouvelle approche et une nouvelle histoire à chaque fois. Elle feintait l'émerveillement en regardant l'enfant d'à peine trois ans que le père tenait dans ses bras. Patiente, elle attendit de voir s'ils les laissaient passer. Elle pouvait déjà entendre la souffrance et sentir la douce odeur du sang... Elle était prête.
Une mission comme les autres, peut-être plus complexe en réalité, mais pas pour lui. Tandis qu’ils marchaient pour rejoindre la maison du futur défunt, Augustus s’adressa à sa compagne de crime. « Je te préviens, tu te charges de le tuer, ce prénom est déjà sur ma liste. C’est incroyable, les parents n’ont aucune imagination, toujours les mêmes prénoms. Mais laisse-moi le torturer un peu avant… » C’était un jeu qu’il avait établi. Noter les prénoms et ne jamais croiser le même. Pour autant, la torture était autorisée.
Éradiquer la vermine dès le berceau, en faire des petits copeaux et les jeter au feu, ah que l’idée était plaisante, glorieuse! Il imaginait déjà un bûcher, avec pour tambours les cris d’agonie, mais son doux rêve fut coupé par le soleil trop éclatant qui lui vrilla la rétine. Il détestait le jour, détestait le soleil, en vérité, il détestait tout.
Rookwood jeta à peine un regard à l’homme, fixant les enfants, cherchant la victime. Et il ne pu empêcher un rictus de se former sur ses lèvres en entendant le mot époux. Merlin les préserve d’une union, ils seraient infernaux. « Probablement avez-vous pensé que la lettre était un canular, mais je vous assure que la sorcellerie existe » Il désira lui prouver ses paroles, mais le père de famille leur indiqua d’entrer sans poser plus de questions. « Mon fils est réellement un sorcier ? » Demanda l’homme tandis qu’il les entraînaient vers le salon où toute la petite famille s’était réunie. Une belle image. Augustus jeta un regard vers Alecto, s’assurant qu’elle jouait encore le jeu, que l’impatience ne l’avait pas déjà gagné, puis il reprit la parole, mains dans les poches de sa veste, le zippo entre ses doigts. Il sortit les mains au regard noir de Carrow qui avait certainement deviné ses intentions. « Bien… Benjamin a été accepté à Poudlard, où il y effectuera sept années… » L’aîné prononça quelques paroles, demandant pourquoi lui n’était pas un sorcier, mais Augustus ne lui accorda pas un seul regard, non, toute son attention était focalisée sur le dénommé Benjamin, celui qui était une vermine, un voleur, un déchet.
Comment parviens-tu à tuer des enfants, lui avait dit l’une de ses victimes. Parce que justement, il avait une nièce qu’il considérait comme sa fille, et qu’il connaissait l’amour que l’on pouvait porter à ses personnes, et surtout la souffrance qui en découlerait. Et c’était cette idée qui le réjouissait.
Spoiler:
Je fais le codage tout à l'heure, Tumblr me boude
Dernière édition par Augustus Rookwood le Jeu 4 Sep 2014 - 19:35, édité 1 fois
Mission 1 : Bewitched feather The dumber people think you are, the more surprised they're going to be when you kill them.
La spécialité d'Alecto avait toujours été la torture et habituellement elle laissait le meurtre à son frère où à la personne l'accompagnant dans la mission. Elle connaissait par contre parfaitement bien le petit jeu de son ami c'est pourquoi elle ne s'opposa pas à l'idée que les rôles soient inversés aujourd'hui. Elle n'avait jamais réellement cherché à comprendre pourquoi après tout, cela "briserait la magie".
Elle dut retenir un léger rire lorsque les moldus les laissèrent rentrer sans poser davantage de questions. Il était si facile de les berner... En même temps, elle n'était pas vraiment surprise de leur stupidité. Le dos bien droit et toujours le même sourire sur le visage, elle avança dans le salon et fit semblant d'être touchée lorsqu'elle vit la petite famille réunie. Sans vraiment s'en rendre compte, elle suivi du regard les mains de son ami qui disparurent dans ses poches et elle fronça les sourcils en le fusillant du regard afin qu'il arrête. Elle avait toujours adorée les finales ... enflammées.. mais il ne fallait pas sauter les actes.
Bien qu'Augustus ait complètement ignoré la voix du plus vieux, Alecto pour sa part ne pu pas résister à la tentation. « C'est peu fréquent de voir des pouvoirs apparaitre chez ceux dont les parents sont non-sorciers.. » Elle aurait préféré utiliser les termes infâmes moldus, mais elle se dit qu'elle aurait certainement à subir des représailles si elle le faisait. Reportant ensuite son attention sur le père et sur Benjamin, elle répondit à la question en imitant son collègue sur un point : J'aimais elle ne dirait qu'il était un sorcier. « Mais qu'est-ce que Poudlard exactement ? Tout ceci, est tellement nouveau pour nous. Bien sure nous avons remarqué à plusieurs reprises qu'il pouvait provoquer des choses autour de lui... mais un sorcier... » Elle avait bien envie de lui répondre de ne pas s'en faire avec cette idée comme de toute façon, son fils n'y mettrait jamais les pieds, mais elle avait bien envie de continuer un peu avant de passer à l'acte deux. « Poudlard est une école accueillant les enfants de leurs 13 à leurs 17 ans. On leur apprend à utiliser la magie, leur explique l'histoire de notre monde. Il s'agit d'un école réservée aux sorciers. » Catégorie à laquelle le pauvre Benjamin n'appartenait pas.
Doucement, elle se tourna vers Augustus. « Alors mon chéri... Et si tu leurs faisait une petite démonstration de sorcellerie. Permettons leurs de mieux comprendre notre univers. » Des paroles à double-sens, bien entendu, Il lui avait demandé de le laisser le torturer et elle comptait bien lui permettre une telle chose, mais avant ils devaient enlever la petite famille de leur pattes. Elle lui laissait par contre le choix entre continuer de répondre aux questions du père en se contentant d'utiliser un faible sortilège ou de profiter pleinement de ses pouvoirs afin de faire avancer le jeu. Pour sa part, les deux voies possibles l'amusaient.
Non-sorciers, non-sorciers. SANG DE BOURGE, RACLURE, DÉCHET. Voilà ce qu’hurlait son regard lorsqu’il le posait sur le dénommé Benjamin, celui dont les pouvoirs s’étaient manifestés d’une façon bien curieuse. VOLEUR. Le regard s’était fait plus sombre, assassin en vérité, et Augustus du se faire violence pour ne pas aller lui cramer la rétine directement à celui qui osait l’affronter.
Rookwood s’était tourné vers Carrow, un sourire peint sur les lèvres, celui n’annonçant rien de bon si ce n’était sa propre satisfaction. User d’un sort, maintenant, s’amuser un peu, l’idée était tentante, mais il voulait attendre, savourer encore le moment. Sa baguette était pointée vers le sol, il faisait quelques mouvements inutiles, comme des moldus pouvaient s’y attendre, mais sans crier gare, il l’avait levé vers Benjamin, où un regard avait suffi pour conjurer le sort. Jamais de paroles avec lui. Le gamin était en train de s’étouffer, se tenant le cou de ses deux mains, cherchant certainement à arracher une emprise invisible. « Voyez, la magie ce n’est pas uniquement réparer quelques tasses brisées, ou voler sur un balai il y a aussi ce petit plaisir étonnant qu’on appelle la torture… » Le sort lancé sur l’enfant avait été stoppé à temps, juste quelques secondes avant que les parents ne hurlent, se jettent sur leur fils pour l’aider. Quelques secondes. Un autre sort fut appelé, des liens qui obligèrent toute la petite famille à rester sagement assise. Le père proférait des insultes, cherchait à se débattre et la femme, pauvre pleurnicharde qui était à deux doigts de prononcer quelques supplications. Augustus s’était levé, lissant sa veste qu’il avait froissé. « Bien… bien. Nous allons rectifier nos paroles précédentes. Votre fils est une erreur, ça arrive, et comme pour toute anomalie il faut l’éradiquer » Il fit quelques pas dans la pièce, semblant observer la décoration. « Alecto… » Il tendit sa main vers sa fidèle compagne de meurtre. « Vous savez, j’hésite… je suis curieux de voir ce qu’il se produirait si j’enfonçais chacun de vos couteaux de cuisine dans le corps de votre sang de bourbe de fils. Est-ce qu’il va mourir plus vite ou au contraire, souffrir plus longtemps ? »
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S'il y avait quelque chose qui l'amusait à annoncer à des moldus que les sorciers existaient avant de les tuer ou de leurs effacer la mémoire, c'était bien de voir ce que leurs cervelles de troll pouvaient s'imaginer de la magie avant de comprendre ce qu'elle pouvait réellement faire. C'est alors qu'elle put entendre le gamin chercher son souffle et Alecto ferma les yeux, non pas pour se proteger de cette vision, mais bien pour la garder en tête le plus longtemps possible. Il s'agissait de ses moments favoris.
Alors que les parents saisissaient la portée des paroles d'Augustus, elle les regarda se précipiter vers lui. Vraiment ? Ils auraient beau lui donner toutes les caresses et les attentions du monde, son destin était déjà bien scellé. Alecto les regarda être poussé violemment contre leur siège et immobilisé pour la suite et elle sut que le moment le plus amusant était arrivé. Elle glissa sa main dans celle qu'il lui tendait et s'approchait de lui alors qu'il lui proposait une idée fort alléchante. Elle ignora complètement les suppliques provenant de la famille et vint coller son corps contre celui de son ami et amant. « Tu sais bien que j'ai toujours aimé les longues souffrances.. » Le sang et la souffrance avait toujours été un puissant aphrodisiaque chez Alecto qui ne put s'empêcher de poser ses lèvres contre celle de Rookwood. L'une de ses mains vint s'enfiler dans les cheveux de l'homme alors que l'autre touchait l'épaule. Elle laissa leur langue s'emmêler, dansant au rythme de leur excitation pour ce qui allait suivre. Alors qu'elle éloignait ses lèvres des siennes avec un sourire amusée, elle se mordit légèrement la lèvres inférieur et quitta le salon en direction de la cuisine. D'un coup de baguette, tous les couteaux volèrent et vint se positionner devant elle afin qu'elle les observes. Elle retourna ensuite dans le salon, laissant les couteaux flotter derrière elle. Elle se mit à genou auprès du garçon, continuant d'ignorer les demandes des parents. « J'adore quand ils pleurent... » Alecto ricana avant de lécher la joue de l'enfant là où la larme avait coulé. Après un coup d’œil avec Augustus pour s'assurer qu'il était prêt, elle fit enter le premier couteau dans la cuisse de l'enfant sans toucher aux veines principales afin de ne pas causer une mort trop rapide par hémorragie.
Elle se releva et se recula de quelques pas, profitant du cris de douleur de l'enfant, heureuse d'avoir prit le temps d'insonoriser la maison avant de commettre un tel acte. Elle fit jouer un nouveau couteau entre ses doigts, mais ne le planta pas avant d'avoir eu la confirmation de son ami qu'elle pouvait le faire, après tout, il était son jouet.
Les enfants sont parfois plus intéressants que les adultes, eux qui n’ont pas peur de poser les bonnes questions.
Alecto représente le vice, l’insatiable et la cruauté, voila pourquoi il l’apprécie tant, voila pourquoi ils s’entendent si bien. Des monstres avides. Il capture l’instant, mord les lèvres plus qu’il ne les embrasse, retient le corps qui veut s’échapper pour finalement la voir s’enfuir dans la cuisine et trouver les armes de leur futur crime. Rookwood se tient à l’écart, chef d’orchestre qui place les instruments, réinvente de belles symphonies macabres. Le garçon hurle à la première intrusion du métal, mélodieux, vraiment. Et soudain, il a une idée rocambolesque, fantastique, déraisonnée! Une image qu’il a vu autrefois, une folie moldue, une estampe d’un corps mutilé. Augustus attrape l’un des couteaux qui volent derrière Carrow, le plus fin, le plus petit, celui censé causer le moins de débats. « Tu es courageux, vraiment, le dernier enfant que j’ai tué n’arrêtait pas de hurler. » La voix ne s’élève jamais, reste posée, incroyablement calme vu l’instant. À genoux devant le corps meurtri. Les parents hurlent toujours, il cherche un sort pour les faire taire, un qui ne les tuerait pas. Répertoire de sortilèges, songer à une formule non douloureuse, c’est complexe, il ne joue qu’avec la souffrance et la mort. « Si vous pouviez arrêter d’hurler comme des porcs que l’on envoie à l’abattoir, ceci m’aiderait à me concentrer… » Le regard est furibond vers les parents. Ne pas les tuer, ils ne sont pas sur la liste. La lame glisse sous le coeur de l’enfant, s’enfonce avec résistance. Mauvais coup. Le corps tremble, soubresauts et quelques souffles plus tard, c’est l’éviction de la vie. « Pourquoi… pourquoi est-ce qu’ils meurent aussi facilement ?! Bon d’accord, j’ai touché une artère, peut-être le coeur. C’est qui le prochain sur la liste ? » Il se tourne vers Alecto, dépité, les mains en sang, ne sachant pas où essuyer ce liquide répugnant. « Je peux emprunter votre salle de bain ? Merci pour l’hospitalité » S’adresse t-il aux parents qui ne peuvent toujours pas bouger. Rookwood disparaît à l’étage, nettoie le sang de l’impur et remarque qu’il a taché SA CHEMISE. Il redescend, ne jette pas un regard vers la famille. « Excuse-moi, tu auras le droit de jouer avec le prochain ou la prochaine. C’est une gamine ? »
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Un sourire sadique se dessina contre ses lèvres alors qu'elle le regardait attraper le plus petit des couteaux. Ce serait tout simplement horrible pour le pauvre enfant comme cette arme faisait le moins de dégât et donc cela laissait prévoir une souffrance des plus longues. Elle regarda le reste de la famille suite à la demande d'Augustus est su qu'il ne parviendrait pas à se taire où du moins, s'ils ne criaient plus, ils continueraient de gémir légèrement, elle se rappela alors le long répertoire de sorts qu'utilisait son ami, aucun d'eux était sans danger. Saisissant sa baguette, elle fit en sorte que leur voix soit complètement coupée. Cela rendrait plus facile la suite de toute façon comme ils devraient leur effacé la mémoire afin de ne pas révéler leur monde aux moldus.
La sorcière se rapprocha ensuite du maître du chef d’œuvre alors qu'il enfonçait le couteau dans le corps fragile de l'enfant. Elle ignorait ce qu'il comptait faire, mais il voulait lui offrir une mort des plus souffrante ça c'était absolument certain. Alecto appréciait le spectacle, mais la réaction physique de l'enfant lui fit comprendre que l'amusement serait de courte durée malheureusement. Elle soupira de voir que c'était déjà terminé. « Les moldus sont faibles tout simplement... La prochaine est en Irlande. » La vue du sang semble la dégouter bien moins que lui. Elle le regarde quitter vers la salle de bain et se tourna vers les parents qui pleurent silencieusement. « Allez bande de faibles... Ce n'est qu'un enfant. » Elle s'approcha d'eux et d'un coup de baguette elle laissa seulement le corps et les couteaux. Elle transporta magiquement le reste de la famille afin qu'ils soient assis à table et elle leur efface la mémoire. Elle entendit Augustus revenir et fut légèrement déçue de ne pas pouvoir assister à la (re)découverte du cadavre du leur fils.
Ils se réveilleraient dans quelques minutes seulement, alors elle ne perdit pas de temps et s'accrocha à nouveau au bras d'Augustus. « T'inquiète... Tu sais bien que je n'attend pas seulement après des missions pour torturer des enfants. » Elle s'amusa de remarquer qu'il avait parler au féminin. « La jolie petite Sophya nous attend. » Ils quittèrent la maison et une fois à labrits des regards, transplanèrent à quelques reprises jusqu'à arriver dans un nouveau quartier. Ils firent le chemin dans le quartier moldu et il y avait déjà moins de gens à l’extérieur, l'heure du diner approchant. « Il arrive quoi lorsque tu tue deux personnes du même nom d'ailleurs ? » Après tout, il lui avait fait part de son désir de tuer le gamin lui-même la dernière fois. Devant la porte, Alecto cogna quelques coups. « Comme punissions de m'avoir voler ma victime. » Elle ne pouvait s'empêcher de sourire d'amusement, elle ne lui en voulait aucunement autre contraire, elle lui avait même dit plus tôt, mais elle ne pouvait pas ne pas en profiter pour saisir cette occasion. « C'est ton tour de les convaincre de nous laisser entrer. »
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