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sujet; la danse maccabre - beatrix.
MessageSujet: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:13

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Beatrix Penelope Carrow
feat Bree Fry• crédit wild heart

Wizard • Inventé
• nom complet ;Elle porte deux prénoms; Beatrix et Penelope. Le premier signifiant « qui rend heureux », n'aurait pu être mieux choisi pour elle. Beatrix sème le bonheur sous ses sourires, un bonheur cruel et éphémère, un bonheur faux et manipulateur. Penelope est quand à elle plus rugueuse sur les langues anglaises qui la massacre. On dit que Penelope est secrète et sauvage, mais également irrationnelle. Personne ne sait trop pourtant si elle est plus Beatrix ou Penelope, mais ils font partis de cette dualité qui la compose : Beatrix Penelope Carrow. • surnom(s) ;  a surnomme-t-on ? La réduire, c'est lui faire offense. Très peu osent se montrer familiers avec elle, parce qu'elle est de ses dames froides qui sembles inatteignables. Comme s'il était impossible de s'approcher d'elle sans être brûlé, transformé en glace ou déchiqueté. Pourtant elle attire vers elle, comme une sirène chantant doucement, une sirène qu'on appelle Madame, par respect et peur de mourir en buvant tout l'eau de la mer d'un coup. Son père l'appelle Bea ou parfois Bela. Sa mère la surnommait ma sirène lorsqu'elle l'appelait, mais maintenant elle ne l'entend plus. • naissance ;  La date et le lieux de sa naissance sont nébuleux. Quelque part dans la forêt encerclant Herpo Creek, un jour d'automne. Sa date d'anniversaire lui fut pourtant imposée le jour où elle a rejoint son père de force, le 31 octobre 1981. • ascendance ; Son sang est le savant mélange de la pureté de l'héritier Carrow qui s'est fait enguirlander par une pure vélane qui traînant dans les bois. Le sang de moldu n'empoisonne pas ses veines et on tend à la traiter comme une pure, même si le reste de sa fratrie tiens mordicus à dire qu'elle est sang-mêlée étant donné que son sang n'est pas purement sorcier. Elle, s'en fiche bien, tant que son père tient à elle et la protège, tout vas bien. • camp ; Les mangemorts, bien sur. Ceux qui se délectent de cette chaire défunte pour cause de naissance ou de trahison. Aucune marque n'est apposée à son bras pâle et virginal, mais son père à de grandes ambitions pour elle, au détriment de deux autres enfants qui se sentent oubliés dans son admiration. Ils suivent pourtant tous le même chemin, même si celui de Beatrix semble beaucoup plus facile. Comme si on lui ouvrait toutes grandes les portes que le reste de sa fraterie avait du défoncées pour se montrer à la hauteur de leur nom. • métier ;  Raffleuse grâce à son oncle, même si elle a su y faire sa place. Pourtant, elle se dirige lentement vers l'armée personelle du Magister, même si elle est beaucoup trop jeune. Elle convoite l'un des postes d'effaceurs, pour faire disparaître les nuisibles d'un claquement de doigt. • réputation ; Charmeuse innocente. Une jeune femme qui est si adorable qu'elle pourrait vous tuer sans même s'en rendre compte. Aussi changeante et insaisissable que le vent, ont la convoite tout en la craignant. Elle est la perle de son père, malgré tous les mauvais murmures qui peuvent s'y rattacher. Elle est connue pour sa grande beauté, ses colères rares, mais pourtant puissantes. • état civil ; Célibataire, même si on lui cherche un fiancé digne de ce nom. Un sang-pur, de préférence, pour faire oublier qu'elle descend de la vélane et que son sang n'est pas uniquement sorcier. Des nombreux prétendants se sont proposés, mais aucuns ne semblent être à la hauteur pour son paternel. • rang social ; Entre future mangemorts et élite, parce que son sang n'est pas aussi noble qu'il pourrait l'être, mais qu'en même temps, elle était une dame à trois ans. Prête à plaire de déplaire comme bon vous semblera. Son père tente d'étouffer sa véritable nature pour la monter tout au sommet. • particularité(s) ;  Enfant de verre née de la vélane et du sorcier de sang-pur. Elle possède la beauté enchantresse et le don pour la guérison mineure des êtres des bois comme sa mère. Elle est marquée par une fascination pour l'eau et un désir de connaître l'avenir sans pour autant pouvoir les embrasser comme la guérison. Elle abuse également de ses charmes sans gêne, sans pour autant donner ce que ses sourires promettent. • patronus ;Un gracieux et pourtant très frêle cerf, presqu'un bébé, un du moins, un adulescent qui court rapidement et qui frappe brutalement. Un patronus qu'elle trouve fascinant, bien qu'elle ne voit pas spécialement pourquoi il prend cette forme cornue qu'elle ne retrouve aucunement dans sa personnalité. • épouvantard ; Un miroir, vieux et emplis de toiles d’araignée lui renvoyant le reflet de son visage, vieux et défiguré de nombreuses marques de guerres. Ses longs cheveux devenus termes et sa peau presque transparente. Elle a peur de perdre définitivement sa beauté. • risèd ; Une couronne, sur sa tête. Une couronne de roses noires sur sa tête. Dans une robe blanche qui se mélange à la neige et au sang. À sa droite sa mère, à sa gauche Jaz, assise au sol, attachée à son trône. Reine des vélanes, avec sa petite esclave née-moldue. Et sur le sol, les têtes d'hommes qui voulaient avoir le pouvoir à leur place. Matriarcat. MATRIARCAT. • animaux ; Elle possède une chatte noire qui la suit presque constamment. Il est même étonnant qu'elle ait survécut chez les Carrow. Sa soeur à tenté de lui faire la peau, sans succès. La bête est rapide, rusée et furtive. Aussi sauvage que sa propriétaire. Elle se prénomme Macchabée. • baguette ; La baguette faite de pommier l'as aimée toute suite. Pourtant, les sorts faibles qui en sortaient la laissait de glace. Elle en exigea une autre. On lui donna une baguette de noisetier, une baguette qu'on disait spéciale et fidèle. Avec son coeur de crin de licorne, elle fut charmée bien avant de la tenir. Sa première baguette qu'elle conserve depuis le début de ses études à Poudlard. Elle ne s'est pas encore fanée, heureusement. Elle se montre pourtant imprévisible lorsqu'elle se laisse aller à sa colère. C'est pourquoi elle préfère les armes pointues plutôt que sa baguette pour faire le mal. • miroir à double sens;Elle en a entendu parlé, mais n'en possèdes pas. Objet fascinant, dit-on.

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle :  Beatrix y est quelque peu indifférente étant donné qu'elle n'est pas directement frappée par les décisions prises. Elle suit le courant de la guerre en souriant, comme si c'était un jeu. La vente des rebuts lui est des plus intéressantes. Appétissante, même. Elle menace tranquillement son amie Jaz de la dénoncée, faire d'elle un rebut, puis se l'approprier si elle vient à la pousser encore à bout. Quelque part, cette guerre lui plaît, parce qu'elle est de ceux qui la gagnent, qui l'ont déclenchés et qui la mène. Pourtant, si le courant venait à changer de direction, elle serait la première lâche à s'enfuir. Elle partirait dans les bois retrouver sa mère, au risque de sa vie, préférant mourir dans les bois, parmi les siens plutôt que sur la terre anglaise comme un chien sur lequel on marche. Son ambition pour que les mangemorts gagnent naît simplement et uniquement de son père et ses idées qu'il a mises dans sa jolie tête blonde. Elle est prête à tout faire pour lui plaire, mais certainement pas à mourir. Elle espère pourtant que les Vélanes n'en viennent pas à trop s'impliquer dans la guerre comme les géants, par exemple. Elle veut simplement avoir sa voie de sortie si jamais les choses tournaient mal et qu'elle devenait la chassée plutôt qu'être la chasseresse.

► Infos en vrac : Elle prépare plus facilement les potions de guérison et les poisons, paradoxalement. Il lui est arrivé d'empoisonner des gens simplement pour voir si son antidote était au point. Son sport préféré est la nage. Elle aime l'eau bien froide et se baigne très tôt au printemps et très tard l'automne. Grâce à sa baguette, elle connait même une source d'eau souterraine suffisamment agréable pour s'y baigner tout l'hiver sans mourir. Elle joue constamment dans sa chevelure. Que ce soit en l'enroulant contre ses doigts ou les envoyant par l'arrière, le recoiffant. Elle refuse également de les couper depuis aux moins deux ans. Elle verrouille à double tours la porte de sa chambre à toutes les nuits. Ses fenêtres aussi. Elle traîne toujours une dague avec elle, attachée à son mollet, où qu'elle aille. Lorsqu'on sait passer sa sauvagerie, Bea est douce. Douce comme on ne croirait pas que c'est possible de l'être. Ses caresses et ses regards si voluptueux qu'on les croiraient angéliques. Elle est changeante pourtant, passant du blanc au noir en quelques secondes. Du baisers au coup de poignard, puis à l'indifférence et l’inquiétude comme s'ils ne faisaient qu'un. Très peu de gens arrivent à cerner les résonnement de la jeune femme. Affreusement possessive des gens comme s'ils étaient des objets, elle semble vouloir être la seule qui ait le droit de vie de de mort sur eux. Même sa soeur qui la déteste est sa propriété et elle en arrive à jalouser quiconque s'en approche de trop près. Elle à une cicatrice sur son pied gauche, causée par une guérison qui a mal tournée. Elle en a honte, on ne la voit que très rarement et, heureusement, elle est à un endroit peu apparent. Après la disparition du jeune frère de leurs voisins, son aîné raconte aux autres enfants que les Carrow sont liés à la disparition. Il jure l'avoir vu prendre la main de Beatrix avant de s'enfoncer avec elle dans les bois. Il est pourtant retourné le voir, mais il n'était plus là. Il est convaincu que Beatrix est cannibale et l'as mangée. Rêves et fabulations d'un jeune homme effrayé par la beauté cruelle. On raconte qu'un prétendant aurait enfin été choisi pour devenir sien, mais aucuns nom n'as encore été nommé.

Nothing compares to you
• pseudo & âge ; acidwolf. & 21 ans • comment as-tu trouvé le forum ? par Jaz  yeah . • ton avis, tes suggestions ;  panic  votre forum c'est la vie.  hehe  • connexion ;un peu tous les jours • quelque chose à ajouter ?   rougit



Dernière édition par Beatrix P. Carrow le Jeu 2 Juil 2015 - 1:41, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:13

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Honey don't feed me -
I will come back.
Oh please, give me mercy no more. That's a kindness you can't afford. I want you baby tonight, as sure as you're born.

Than to look at it, look at it like that.
Ils étaient quatre contre trois. Courant dans les bois pour faire payés à ses moldus d'avoir recherchés des sensations fortes en allant dans ce village qu'on disait hanté. Quatre mangemort contre trois moldus, du moins, c'était ce qu'ils croyaient. Leurs rires de loups-garous raisonnant sous la pâle lune tandis que l'heure du succulent massacre arrivait. Ils gagnaient ce festin, ils gagnaient jusqu'à ce que ton père tombe. Par terre, le souffle court, le corps inerte, incapable de bouger. La guerre commença. Ils n'étaient pas moldus, ils étaient insurgés, pire encore pour les mangemorts. Ils se battirent, les chassant du village non sans difficulté. Lorsque se fut terminé, ils fouillèrent la forêt à la recherche de leur compagnon, mais, pas une trace. Surtout en pleine nuit, tous vêtus de noirs. Il abandonnèrent et décidèrent qu'ils continueraient les fouilles au matin, espérant ne pas annoncer à sa femme qu'elle était devenue veuve. Et lui était resté là, sur le sol, pétrifié, ne pouvant pas répondre aux cris de ses camarades qui le cherchait. Il espérait ne pas mourir ici cette nuit, sans défenses, dévoré par des loups-garous ou pire. Il tentait de dormir, mais la peur possédait son ventre et prenait toute la place. Ses yeux étaient lourds, si bien, qu'il cru rêvé lorsqu'il la vit. Une femme à la peau plus pâle que la neige, aux cheveux argentés et à la démarche si délicate qu'elle semblait flotter. Il n'avait soudainement plus froid dans cette nuit pluvieuse, tout son torse se réchauffait, son ventre aussi alors qu'elle approchait. Son corps immobile se tendait vers elle jusqu'à ce qu'elle vienne le toucher et qu'il puisse enfin se mouvoir. Elle caressait son visage, s'approchait de lui. Et ton père, pauvre homme idiot, marié de force par ses parents, il s'est vu revivre. Il s'est cru amoureux. Alors il a embrassé cette inconnue, embrassée de toute sa pauvre âme. Il s'est collé à elle pour se réchauffer sous la pluie froide. Il s'est laissé emporté par la passion jusqu'à ce que ses yeux se ferment comme si tout cela n'avait été qu'un rêve. Il était pourtant persuadé du contraire et la preuve en était à un long cheveux blond qui s'était enroulé autour d'un bouton de sa chemise. Il l'as trouvé et l'as gardé, précieusement. Un pressentiment était né en lui depuis ce matin où il était allé retrouvé sa femme et ses deux enfants. Il lui avait volé quelque chose qu'il ne pouvait pas se réapproprier immédiatement, parce que cette chose fleurissait au creux de la créature magique. Ce n'est pas la culpabilité qui le poussa à attendre et aller reprendre ce qui lui appartenait, mais bien l'ambition. Il voyait sa descendance avec la créature comme un outil qui lui serait précieux.

Il n'en dit rien à personne, pourtant, sauf à son frère. C'est en Octobre, après un peu plus de neuf mois qu'ils partirent en expédition dans les bois avec un chien de chasse qu'ils avaient emprunté à un ami. Il lui fit sentir le cheveux blond, puis déjà, ils étaient sur ses traces. Quelques heures et elle était là, dans les bois avec son bébé. C'était elle, il n'y avait pas le moindre doutes. Alors ils attendirent que la créature soit assoupie, puis firent léviter le bébé jusqu'à eux. Lorsque ton père te sera dans ses bras, tu n'étais pourtant plus qu'un outil pour sa victoire. Il est tombé sous ton charme. Ton oncle raconte qu'il est resté là, immobile, à te fixer en souriant, pendant vingt minutes, alors que lui le pressait de te tuer et de partir, comme il le lui avait promis. Belle, ensorcelante. Ta belle-mère pourtant, n'était pas du même avis lorsque son mari passa la porte avec un bébé ''trouvé dans les bois''

Than to talk to it, talk to it like that.
« Tue-la. » Ordonnait froidement la méchante belle-mère, penchée au dessus du berceau. Elle n'y croyait pas, elle n'avait jamais cru que cette enfant avait été tout bonnement trouvée dans la forêt. Et avec quelques gouttes de véritasérum dans le verre de son beau-frère, elle avait découvert la vérité. Elle était furax, jalouse et voulait faire la peau à cette bâtarde. Ton père pourtant, s'y opposa férocement. Il avait d'abord tenté de la convaincre de comment tu leur serait utile plus tard. Comment ils devaient faire attention à toi et t'élever comme le reste de leurs enfants, mais elle n'arrivait pas à l'avaler. Elle promis qu'elle en finirait avec toi, que ce soit pendant ton sommeil ou en empoisonnant ta nourriture. Il avait quant à lui fait la promesse qu'il égorgerait leurs deux enfants en plein jour si elle touchait à un seul cheveux de sa fille. Elle s'est calmée, elle a passé des jours à faire des recherches, puis elle a décidé qu'elle s'y prendrait autrement. Tu étais à peine âgée de trois ans et, chaque soir, après que ton père t'ai bordé, ta belle-mère entrait également dans ta chambre. Elle venait ouvrir ta fenêtre et quittait en laissant ta porte ouverte, puis laissait également la porte de la cours arrière ouverte. Chaque soir, sans que personne ne s'en rende compte, car elle les fermaient au matin. Un soir, tu pensais rêvé, mais tes yeux s'ouvraient pourtant. Une voix, comme un chant tendre et mélodieux t'appelaient. Tu te relevais dans ton lit pour fixer les portes ouvertes et au fond de la nuit, la forêt au loin. Et cette voix qui t'invitait dans ses douces mélodies. « Maman ? » Appelas-tu à ton tour en rigolant. Et heureusement. Heureusement que tu te levais en appelant sans cesse le nom de ta mère. Tu le répétais, joviale, souriante alors que tu quittais la maison, pieds nus dans la cours arrière. Ta robe de nuit blanche et tes cheveux blonds battaient au vent, mais tu avançais malgré tout. Ton père s'était réveillé, alerté alors que ta belle-mère tendait de le retenir. Il dût même la frappé pour qu'elle le lâche et qu'il parte à ta poursuite. Tu t'étais déjà glissée dans les bois. Naïve enfant avançant vers la mort. Avançant vers ta mère qui te tendait la main et, derrière elle, le reste des vélanes. Toutes plus magnifiques les unes que les autres. Ton père dû s'empêcher de les regarder alors qu'il courrait pour te sauver, hurlant ton nom.  Tu te retournais vers lui tandis que ton père fonçait sur toi d'un côté, ta mère de l'autre. Ton père t'attrapa et te serra contre lui et en un éclair, vous transplaniez au milieu de ta chambre. Le coeur battant, tu n'avais rien pigé à ce qui s'était passé. Tu avais eut droit à des remontrances de la part de ton père. Tu dû lui faire des promesses, verrouiller ta porte tous les soirs, ne pas tenter de revoir ta mère, ne pas faire confiance à sa femme, et bien d'autres. Il resta avec toi toute la nuit, pour te protéger, mais également parce que retourner dormir aux côtés de cette femme qui l'avait trahie lui faisait mal. Et quelque part, il avait également peur de ne subir également sa foudre et d'être étouffé dans son sommeil.


Don't let it in with with no intention to keep it.
Les années passaient et tu devenais de plus en plus belle, de plus en plus dangereuse pour les Carrow. Ton demi-frère et ta demie-soeur avaient l'interdiction de s'amuser avec toi. Ta soeur suivait cette ordre à la lettre, ou presque. Lorsqu'elle était en ta compagnie, elle ne te renvoyait que mépris, bourrée de idées louches que sa mère lui fichait en tête. Votre frère pourtant, l'aîné, l'héritier, était bien au dessus de toutes ses querelles. Avec ses cinqs ans de plus, tu l'admirais, c'était un grand et ton père ne te laissais te balader en forêt qu'avec lui, parce qu'il lui faisait entièrement confiance. Peut-être qu'il n'aurait pas dû, parce que dès son plus jeune âge il démontrait être bel et bien un Carrow. Il entraînait sa magnifique demie-soeur dans les bois pour ''chasser''. Ce qui en fait se résumait à faire du mal à de pauvres bêtes sans défenses, sans intention de les manger. Ce n'était donc pas réellement de la chasse. Votre soeur était jalouse de ne pas pouvoir en être. Elle vous regardait quitter vers la forêt, emplis de jalousie. Elle aussi, voulait y aller, rire avec vous, jouer à vos jeux qu'elle ne comprenait pas. Revenir couverte de sang et de terre. Vous devinrent très proches, assez proche pour que tu ose te dévoiler à lui. Vous jouiez à chat, même si vous étiez un peu trop vieux pour vous y amuser encore. Tu avais neuf ans et lui, quatorze. Et pourtant vous courriez comme des gamins. Des sourires aux lèvres et les respirations épuisées. Lorsque ta main arrivait à toucher son épaule, tu le poussais brusquement au sol en rigolant. Il tombait sur une pierre, hurlant. Son pantalon brisé et le sang envahissant sa peau. Tu t'agenouillais près de lui, près de sa blessure alors qu'il gémissait, retenant ses larmes par fierté. « Chut, laisses-moi faire. » Lui murmurais-tu alors que tes mains se posèrent sur son genoux qui transparaissait au travers de son genoux ouvert, sa blessure et son sang. Tu fermais les yeux et laissais la douleur t'envahir tandis que tu guérissais la plaie presque minuscule. Une douleur irradiait ton propre genoux, mais lorsque t'eu terminé, tu n'avais qu'une égratignure. Il regardait son genoux comme neuf, certainement impressionné, un peu dans l'incompréhension. Ses yeux brillaient devant toi, tes pouvoirs et ta beauté. Son visage s'approchait du tiens alors qu'il venait plaquer un baiser sur ta joue, t'encerclant de ses bras pour te faire tomber contre-lui tandis que tu te débattais. Son baiser devenait trop accaparant, surtout que ses lèvres étaient mouillées et bientôt ta joue aussi. Sous tes cris plaintifs, mais amusés, il lécha carrément ta joue pour le comble de ton exaspération. Il te libéra enfin alors que tu retombais sur le côté, te relevant pour t'enfuir en courant. « Attrapes-moi ! » Le défiais-tu alors que tu filais dans les bois. Il se relevait pour partir à ta suite. Ton frère, à toi, celui que tu avais volé à Sue. Celui qui te protègeais, sans pour autant être toujours tendre avec toi. Il voulait que tu sois forte et fière, que tu sois la plus charmant, que tu sois la meilleure, comme lui. Il voulait qu'on oublie que ton sang n'était pas fait que ce celui sorcier. Il t'entraînais à détester les moldus comme lui, te préparais à devenir mangemort bien avant l'âge.

Jesus Christ! Don't be kind to it.
Une interminable chevelure blonde, un corps fin et pâle, des yeux d'océan, des sourires de paradis, des lèvres venues de l'enfer et le tout enveloppé dans une robe de sorcière noire. Elle était impatiente d'entrer à Poudlard et de retrouver son grand-frère qui lui manquait tant quand il était à l'école. Malheureusement, ils ne partagèrent que deux années ensemble à Poudlard et dans des maisons bien distinctes. « C'est une Carrow, elle ira à Serpentard. » Avait ricané l'un des amis de ton frère en regardant la répartition. Ton frère avait sourit, tandis qu'un autre imbécile de septième année ajoutait « Ouais, et moi j'irais la bordée le soir avec plaisir. » Ton frère lui avait foutu un bon coup dans les côtes tandis que ta soeur roulait des yeux un peu plus loin devant l'assemblée de jeunes hommes qui bavaient devant la demoiselle beaucoup trop jeune pour eux. Pourtant, la peine envahis les pauvres serpents lorsque le choixpeau hurla : « SERDAIGLE ! » Le jeune homme, déçu, pinçait ses lèvres ensemble tandis que les aigles hurlaient de joie, applaudissaient et l’accueillait chez-eux. Brillante, sa beauté le faisait presque oublié, mais Beatrix était une gamine non seulement assoiffée d'ambition et de désir de plaire, mais encore plus de désir de s'améliorer, de performer, d'être la meilleure. Et pour se faire, elle avait dévoré avant l'âge les livres de leur bibliothèque. L'intelligence était sa vertue, pas la ruse. Il agissait pourtant plus souvent qu'autrement de manière irrationnelle, mais sa soif de connaissance était tel que la maison des aigles lui avait ouvert les aigles.

Une aigle cruelle, qui mange les petites bêtes se soucier de leur avis. Répondant à la justice avec de la justice. La magnifique reine des serdaigle, qui, avec sa petite bande semaient probablement autant la terreur que les serpentardes pouvaient le faire. Sa passion pour les potions n'était pas un secret, mais pour les poisons, il fallait bien se garder quelques mystères. Ainsi, c'est près de ses quatorze ans et de la dernière année de scolarité de sa soeur qu'elle décida de lui jouer un vilain tour. Au beau matin, une coupe de jus de citrouille l'attendait à sa place prédéfinie, aux côtés de son petit ami du moment. Elle n'y resta malheureusement pas assise très longtemps. Tombant sur le sol, étouffée. Une foule coulait sur elle, hurlant d'aller chercher les secours. Tu te glissais vers elle, versant ton antidote dans sa bouche alors que sa gorge commençait à se desserrer pour la laisser respirer. Elle fut tout de même apportée jusqu'à l'infirmerie où tu allas le visitée. Immédiatement, elle t'accusa, mais toi, tu t'en amusais. « Allez, c'était marrant. T'as vraiment eut peur ? Pauvre petite. » Rigolais-tu, un magnifique sourire aux lèvres. La serpentard fronçait ses sourcils bruns alors que la colère envahissait ses traits fatigués. « Je vais leur dire. » Menaçait-elle alors que tu sortais ta baguette d'un geste brusque pour la plaquer contre sa tempe. Elle ne bougeait plus alors que tu jetais un regard dans la pièce du coin de l'oeil. « Ça, c'est si t'arrives à t'en souvenir. » Un sourire mauvais au coin de tes lèvres avant que tu ne gommes cette mésaventure de son esprit, y arrachant les preuves avec.


You know better, babe.
Ta dernière année à Poudlard s'était soldé par l'attaque des mangemort. Tu te tenais à leurs côtés en lutant contre le reste du commun des mortels. Ton père y était, protégeant férocement sa petite colombe qui pourtant savait très bien se protéger seule. Après la bataille, tu retournais tranquillement chez-toi avec le reste de ta famille. Ta scolarité était désormais terminée et, déjà, cette été, ton oncle avait promis de te recruter pour être rafleuse. En attendant, tu aidais comme tu pouvais dans cette bataille. Surveillant les cachots où tu avais chercher sa foutue tignasse sans la trouver. Perte de temps. Tu t'étais très vite plainte à ton père de ce travail qui n'était pas à ta hauteur et, ainsi, avec les autres enfants de Poudlard qui s'étaient liés à la cause, vous cherchiez les villages voisins pour trouver les traites qui s'étaient battus contre vous. Tu la trouvais. Après avoir perdu espoir. Tu te séparais lentement de ton groupe dans la nuit pour suivre ses pas mal assurés qui se faisaient plus rapides alors qu'elle ne comprenait pas qui la suivait, enroulée dans sa cape noire. Tu la poursuivais dans les rues de Londres tandis que vos pas rapides devinrent effrénés. Jusqu'à ce qu'elle tombe, que tu l'attrapes en le coinçant en ton corps et un mur. Tu passais un doigt sur sa joue de porcelaine avant de ne découvrir ton visage d'un coup, dans un sourire. « Pourquoi tu te sauves, tu as quelques chose à cacher, Jaz ? » Lui souffles-tu, remplie de mauvaises intentions. Pires encore que celle que tu as bien pu avoir alors qu'elle te dérangeait dans la réserve de la bibliothèque. Cette fille à qui tu ne tiens pas particulièrement, mais qui pourtant, sais t'emplir par moment, te faire vivre un peu et te donne une envie démesurée de lui plaire. Plaire à une femme à pas qu'aux hommes. Un autre vilain secret qui ne doit pas être murmuré trop fort. « Ta tête vaut relativement cher en ce moment, qu'est-ce que t'as à m'offrir pour que je te laisses la vie sauve ? » Lui avais-tu souffler tandis que ton nez glissait dans ses cheveux roux, ta main retrouvant sa cuisse dans un frisson. Ta petite Jaz, cette moins que rien, tu ne laisserais personne d'autre que toi-même lui faire du mal. Et tu ne la quittais qu'au petit matin, lorsque tu avais la promesse de la revoir, de savoir où elle serait. Tu lui donnais un livre, vide, votre moyen de communiquer. Ton moyen de la retracer si jamais elle te mentait et se dérobait. Pourtant, tu savais quelque part qu'elle ne le ferait pas, elle avait trop peur d'attirer l'attention et que tu la mettes en danger.  

How easy you are to need
Raffleuse depuis maintenant quatre ans. Quatre ans qu'elle vie en vagabonde et que toujours, elle te reviens. Désormais, c'est pire encore avec les enchères de rebuts. Tu attends impatiemment qu'elle te trahisse pour la dénoncer, la faire capturer et qu'elle se retrouve vendue. Vous l'achèterais, peu importe le prix et elle sera à toi, pour toujours. N'est-ce pas l'unique façons de s'assurer sa vie, calme et tranquille ? Ton avenir se trace devant toi et, qu'elle le veuille ou non, elle en fait partie. Plus que deux ans et tu pourras enfin joindre les rangs du Lord comme ton frère. Ton frère, ce pauvre diable qui était sensé se marier cette automne. Sa fiancée pourtant, empoisonnée avant que le mariage n'ait lieu. Empoisonnée par une insurgés qui était autrefois amoureuse de ton frère, dit-on. Les prétendantes accourent vers lui, même s'il ne semble peu enclin à en trouver une autre immédiatement. C'est le cas de ton fiancé qui occupe votre père. Sa première fille mariée à un sang-pur, il ne s'inquiète pas que ton frère en fera rapidement de même. Toi, par contre, les choses sont légèrement plus compliqués. Ils passent chez-vous les prétendants, ils sont nombreux. Ton père est pourtant strict, aucuns sang-mêlés. Il leur ferment tous la porte. Les sang-purs ont droit à des dîner avec vous, mais rien n'est encore soldé depuis qu'il a décidé de donner ta main. Aujourd'hui : Les Flint et leur fils de vingt-trois ans. Une ambiance lourde. Des regards sévère du père au père, puis du frère au père. Les deux jeunes gens se sourient tendrement, quant à eux. Le charme de Beatrix opère déjà. Le repas est délicieux et les discussions vont de bon train un peu partout. Tu ris de la blague pas si marrante de Marcus, les mecs aiment quand tu ris, alors tu ris, même si c'est faux et que ce n'est pas de bon coeur. Marcus, avec son regard charmeur tend doucement sa main vers une longue mèche blonde qui est tombée devant tes yeux. Il la replace, la faisant doucement couler derrière ton oreille, sa main caressant ton visage en passant. Ton père ni voit rien et le sien non plus, mais ton frère, oui. Et c'est dans le fracas de son verre qu'il sort de table. Marcus s'éloigne de toi alors que tous les yeux se posent sur le brun qui part. Tu soupires, t'excuses de table en disant que tu vas voir s'il se sent bien. Tu te glisses vers la porte, tu le cherches jusqu'à ce qu'un autre fracas provenant du bureau de ton père te montre là voie. Il est là, rageur, puis découragé alors qu'il se retourne vers toi. Il sort sa baguette, ferme la porte brutalement puis la verrouille. Il s'approche de toi, presque brutalement et ton corps se serre. Il est souvent dur avec toi, Ulysse, malgré tout l'amour qu'il te porte. « Tu ne vas pas sérieusement te fiancée à Marcus Flint ? » Fuse-t-il rageusement. Ta main se lève pour le calmer, se posant doucement sur sa joue « Peut-être, pourquoi pas ? » Son regard lourd est posé sur toi comme si tu étais une idiote. Il prend tes mains pour les retirer de son visage alors qu'il est plus près de toi, te surplombes, t'inquiètes. « Tu l'as vu ? Il est hideux, c'est une insulte face à ta beauté. En plus, on dit qu'il torturait son ancienne fiancée et que, quand sa famille l'a su, ils ont rompus l'alliance. » Tu roules tes yeux, c'est ridicule. Ridicule qu'il s'inquiète. Surtout venant d'un frère qui a levé la main sur toi il y a de cela un moins, parce que tu l'avais contrarié. Est-ce si grave que tu ai un fiancé qui lui ressemble ? « Peut-être que ce n'est pas vrai. » Rouspètes-tu, croisant tes bras sur ta poitrine, ne sachant même pas pourquoi tu t'obstines à aimer l'idée de vos fiançailles. Y'as quelque chose dans le regard de Marcus qui te fait croire qu'il pourrait être le mari que tu cherches. Ton regard devenu tu aussi noir se pose sur ton frère alors que tu amorces un mouvement pour faire volte-face. Il te rattrape, attrapes tes poignets et te tires vers lui. Tu tentes de t'en défaire, mais il est plus fort que toi. Un couinement de terreur quitte ta poitrine. «J'ai dis non. » « Lâches-moi ! » Le supplies-tu alors que tu tentes encore de te défaire de sa poigne. Tu ne comprends pas pourquoi il réagit de la sorte. Tu ne comprend pas pourquoi il refuses systématiquement tout tes fiancés, est-ce qu'il à peur de perdre ''SA'' soeur ? Il te plaques contre le mur, empoignant ton fragile visage d'une main, l'autre s'élève derrière. Tu fermes tes yeux, tu le supplies milles fois, tu pleures. Il te jettes au sol avant de ne quitter la pièce en claquant la porte, te laissant là, en sanglot, même si tu l'aimes ton frère, quand il est gentil.




Dernière édition par Beatrix P. Carrow le Jeu 2 Juil 2015 - 2:07, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:15

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BIENVENUUUUE yeux hehe I love you ta signature est vraiment trop canon + ton personnage, d'après ce que j'ai vu, a l'air fameux ! bon courage pour la suite de ta fichette, n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu as une question, une revendication ou si tu veux organiser une soirée ciné entre potes gaah
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:18

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Soirée ciné, ramenez-vous chez-moi. rougit hehe I love you
Oh, merci, je n'hésiterai pas à vous envahir d'amour. palpite
Et pour la signa, ce code sublime est d'Alaska, c'est une déesse, j'y connais rien aux codes. Arrow
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:25

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
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‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14295
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
la danse maccabre - beatrix. 489546spea
Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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WELC'HOME (officiellement jule ) iiih de ce que tu as révélé jusque-là ton personnage promet d'être tout à fait intéressant (et puis ce pseudo + ce choix de famille, graouh), j'ai hâte d'en lire plus ! comme l'a dit la rouquine, si tu as des questions on est là pour ça, idem s'il te manque des popcorn pour la soirée ciné gaah
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 20:31

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Oh, oui, ramène du pop-corn, faut qu'on nage dedans. hug
Ça devrait pas tarder à se compléter cette petite fiche étant donné ma journée de congé devant moi. inlove Trop contente que l'idée de personnage vous plaise. perv Et merci une millième fois. miam
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 21:11

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Bienvenue à toi jeune étrangère I love you
Super choix d'avatar et le début de ta fiche me met en haleine! J'ai hâte d'en savoir plus!

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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 21:21

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Vous savez comment flatter les gens par ici. hehe
Merci énormément, le meilleur reste à venir (du moins, je l'espère mdr ). inlove
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 21:53

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Beatrix P. Travers a écrit:

Et pour la signa, ce code sublime est d'Alaska, c'est une déesse, j'y connais rien aux codes. Arrow

faut pas dire des trucs comme ça, je vais plus me sentir pisser. yeux hehe
bienvenue, le nom + l'avatar, c'est toi la déesse. I love you iiih
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MessageSujet: Re: la danse maccabre - beatrix.   la danse maccabre - beatrix. EmptySam 13 Sep 2014 - 21:58

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Trop tard, c'est dit, faut que je t'aide à remédier à la situation maintenant. hehe bounce
Une déesse qui me nomme déesse, j'ai pas le choix alors. leche tbe inlove
Merci beaucoup. trognon
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