|
sujet; léo ▼ fight like a brave |
| Léonie Léo Algant feat cara delevingne • burning-baby (tumblr)
| ◄ | • nom complet ; son prénom c'est Léonie. Celui d'une lionne. Lorsque ses parents l'ont choisi, ils n'imaginaient pas pour un sou ce qu'allait devenir leur fille, ils n'imaginaient pas qu'un seul prénom puisse déterminer une personnalité, un physique. Son nom de famille c'est Algant, d'origine française, cette famille trouve ses racines dans le sud mais s'est installée dans la capitale depuis deux générations. • surnom(s) ; Léo c'est le prénom que lui donnent les gens, parce qu'ils lui trouve un petit côté masculin, téméraire et casse-cou. • naissance ; 20 janvier 1992 à Paris. • ascendance ; une famille de sang pur du sud de la France, il y en avait si peu qu'ils ont préféré déménager vers la capitale, ne supportant plus les remarques et rumeurs qui courraient à leur sujet. • camp ; Léonie n'a pas choisi de camp, elle n'a pas eu le choix. Il lui est impossible d'aller en prison après tant d'années de "captivité", ce que Léonie veut, c'est sauver sa peau et celle des gens qu'elle aime. Pour ça, elle a rejoint le camp du bien. • métier ; Léonie enseigne aux enfants la lecture, et utilise à cet effet, certains livre moldus qu'elle a pu lire pendant les quelques années passées dans une maison moldue. Mais étant recherchée, il lui est difficile d'occuper un poste stable, elle gagne son argent de petits boulots. • réputation ; Léonie a pour réputation d'être égoïste, naïve et volage. A savoir qu'elle n'est absolument pas naïve, peut être légèrement passive. Elle rencontre d'énorme difficulté d'adaptation avec le monde sorcier, ayant préféré vivre auprès de moldus, ce qui fait qu'elle n'est d'aucune utilité pour les insurgés, ou très peu. • état civil ; célibataire. • rang social ; insurgée. • particularité(s) ; aucune. • patronus ; un chat. • épouvantard ; son père. • risèd ; remonter le temps, vivre avec sa mère et son père, être aimée. • animaux ; aucun. • baguette ; bois de sapin, crin de licorne, 25,1 cm. • miroir à double sens; losange, reflets bleus.
• INSURGES • Perso inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Léonie se fiche complètement du régime politique au sens théorique du terme. Comme une lionne, elle veut être libre, elle veut être forte, et défendre ses intérêts et ceux de ses proches. Alors, si elle admet que le bien fondé du gouvernement est clairement discutable, elle ne prendra pas part aux débats enflammés ainsi qu'aux missions meurtrières à moins qu'elle ne se sente en danger. Léonie tente de vivre le plus simplement possible malgré la traque, elle s'est un peu retrouvée chez les insurgés par hasard, pour ses talents d'oratrice, et sa tendance à vouloir apaiser les tentions, elle reste une plus-value indéniable au sein d'un groupe mais certainement pas au sein d'une armée. ► Infos en vrac : particulièrement douée en sortilège, complètement nulle en potion car manque cruellement de patience et légèrement de précision, elle est également douée en histoire tant sorcière que moldue et très bonne oratrice • elle vérifie constamment que les portes soient bien verrouillée partout où elle se trouve de peur d'être suivie ou découverte. • active, curieuse, courageuse et douce. • inconstante, manipulatrice, séductrice et acharnée. • elle cache de nombreuses cicatrices sur son dos et quelques unes sur ses jambes, ce sont des marques dont elle a honte et qui, lorsqu'on les touche lui procure une douleur physique inventée de toute pièce par son cerveau. • on dit que Léonie se fait payer pour avoir des relations sexuelles, c'est faux. • etc. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Creamco & 20 ans. • comment as-tu trouvé le forum ? jesaisplus . • ton avis, tes suggestions ; je le trouve superbe, j'aime beaucoup le contexte qui change de ce qu'on a l'habitude de voir en rpg hp. • connexion ; je cravaille toute la semaine mais je passe aussi quand je suis au taf. • quelque chose à ajouter ? réponse. • coup de main pour le bottin ;2. Si ton personnage est un inventé ; ▋ ▋ CARA DELEVINGNE ; léonie algant - Code:
-
▋ <a href="http://excidium.bbactif.com/u59">▋</a> <pris>CARA DELEVINGNE ;</pris> léonie algant
Dernière édition par Léonie Algant le Dim 14 Sep 2014 - 22:17, édité 5 fois |
| | | |
| Here comes the hurricane • Paris, naissance à 17 ans • Enfant, elle l'aimait, elle l'aimait plus que tout au monde, parce qu'elle ne possédait rien d'autre. Un père, c'est un pilier, un référant. Au fil du temps elle apprendrait qu'il ne lui était pas indispensable, et qu'il ne le serait jamais. Il ne voulait que des fils, ce qu'il souhaitait plus que tout au monde, c'était que sa lignée soit perpétrée jusqu'à la fin des temps, que son nom brille par sa pureté à travers les âges, que les esprits brûlent d'admiration devant tant d'héritage. Alors, lorsque l'amour de sa vie tomba enceinte, il n'eut de cesse de prier pour qu'elle lui donne ce cadeau. Quelle fut sa déception lorsqu'il posa pour la première fois ses yeux sur Léonard, l'enfant tant attendu, celui qui animait depuis neuf mois ses plus grandes ambitions, ses plus profonds désirs. Une fille. Et comme si ce n'était pas assez, cette fille, qui aimait tant sa mère, qui aimait la chaleur de son ventre, comme si elle savait qu'une fois née, elle ne serait jamais aimée, ne voulait pas, ne pouvait pas la quitter. Alors, et parce que c'était la dernière chose à faire, ils ont dû l'y forcer, et, lorsqu'elle prit son premier souffle d'être vivant, sa mère, épuisée par tant d'acharnement, offrait à la vie, son ultime soupir. Léonie, ne se souviendrait jamais de ce moment, mais elle en porterait le poids, toujours. Le début de sa vie fut marqué par l'affection de ses grands-parents maternels, son père ne pouvant supporter le décès de sa femme n'arrivant pas à pardonner son meurtrier. Ils lui racontèrent des histoires, des mensonges, certainement pour la protéger parce qu'ils estimaient qu'elle était trop jeune pour savoir, pour comprendre. Mais un jour eux aussi sont partis, et, n'étant pas encore capable de prendre soin d'elle-même, elle fut confiée à son père, à son plus grand regret. C'est une nouvelle vie qui commençait. Il fallait trouver de nouveaux repère, apprendre à vivre avec un inconnu pourtant si familier. Il était absent le jour, il rentrait tard le soir. Si tard que Léonie, malgré ses efforts, n'arrivait à l'attendre. Elle s'endormait, et les semaines défilaient sans que jamais elle ne puisse l'apercevoir. Enfant sage, mais un peu maladroit, Léonie avait pour habitude de briser beaucoup de vaisselle, maladresse camouflée par le travail de la femme de ménage, qui s'était prise d'affection pour la petite. Mais il est des objets irremplaçables. Un cadre, un cadre renfermant l'un des plus beau souvenir d'un homme et d'une femme. Une photographie d'un mariage grandiose, le mariage des Algant. Lorsqu'il était entré chez lui ce jour là, il était minuit passé de quelques minutes. Il découvrait le massacre, des éclats de verre sur le sol, la photographie habituellement animée, désormais complètement éteinte. Il avait perdu une seconde fois l'amour de sa vie, et ce, par la main du même assassin, sa fille tant détestée. Alors pris d'une colère noire, il s'était dirigé vers sa chambre, l'avait attrapée par sa sublime chevelure blonde et, armé d'une seule main, lui avait infligé de nombreux sévices corporels. Sur la peau de l'enfant s'étaient alors dessinés de nombreux hématomes aux couleurs de l'arc en ciel, et ils ne disparurent jamais. Parce que ce rituel se répéta dès lors tous les soirs, parce que cela lui faisait du bien, parce que de cette façon il pouvait la venger, parce que de cette façon, il pouvait soulager sa peine, celle de ne pouvoir accéder à une destinée d'exception et celle d'avoir perdu l'amour de sa vie. • Londres, 17 ans • Elle marche, le temps est gris et froid, il est environ six heures de l'après-midi. Elle est enfin arrivée. Elle a quitté Paris. Elle marche en fixant ses pieds et elle compte ses pas, pour oublier sa tristesse. Elle est seule. Elle est frigorifiée. Après quelques heures d'errance, la fatigue se fit sentir. Les genoux tremblotants, Léonie s'arrêtait aux portes d'une bouche de métro. Face à elle, un escalier composé d'une dizaine de marches, grises, le béton abîmé par des années de vie, piétiné par l'homme. Cette couleur n'avait rien de rassurant, mais de l'endroit s'échappait une douce chaleur, attirante, réconfortante. Alors, non sans craintes, Léonie s'engouffrait dans le tunnel dont s'échappait une forte odeur, celle de l'immonde union entre l'urine et la bière. De nombreux journaux jonchaient le sol, sortes de cache misère tant il était accidenté, on pouvait y lire tout un tas d'histoires moldues, de problématiques étrangères au monde sorcier. Perdue dans l'inconnu, elle s'adossait à un mur de carrelage blanc, savourant cette soudaine impression de chaleur. Elle clignait des yeux de plus en plus vite et ses paupières devenaient à mesure, de plus en plus lourdes, jusqu'à ce que finalement, elles se ferment. Une tiédeur humide s'échappait des ventilations, enrobant tout son corps d'un doux réconfort. Léonie porte un manteau de laine orné d’un peu de fourrure autour de son cou. Son jean est déchiré au niveau de ses genoux, et ses petits souliers de cuir conservent ses pieds au frais plutôt que de les protéger. Epuisée, frigorifiée, seule, sans toit, une situation délicate pour une si frêle et jolie fille. Une minuscule larme perlait sur sa joue, mais elle n’avait pas peur. Si son physique ne lui permettait certainement pas de se défendre contre l’assaillant, sa baguette elle, serait son arme fatale. Elle se rassurait en se répétant que quoi qu’il puisse arriver, sa vie serait plus simple à Londres, elle ne souffrirait plus ou plus autant qu’à la maison familiale. Léonie restait là parce qu’elle ne pouvait rien faire d’autre. Alors se laissant glisser contre le mur, jusqu’à toucher le sol, ses genoux repliés sous le menton, les minutes passèrent et le sommeil finit par la gagner. Bercée par les passages successifs des navettes, par le son de l’aération. « Mademoiselle ! » Léonie se réveilla en sursaut et agrippa presque instinctivement sa baguette dans la poche intérieure de son manteau sans pour autant la découvrir. Une femme, cheveux gris et veste rouge, se tient face à elle, accroupie, la main posé sur l’épaule de la jeune fille. Son visage, creusé par l’âge inspire clairement la confiance, et ses yeux verts enchanteurs donnaient le sentiment qu’ils lui caressaient le la peau de leur passage. « Mademoiselle, vous ne pouvez pas rester ici, c'est dangereux. » La vielle dame saisit la main libre de Léonie comme pour l'entraîner avec elle. Cette dernière se lève, les articulations encore engourdies par le sommeil. C'est une moldue, elle en est persuadée, aucun sorcier ne traîne à cette heure dans ce genre de quartier, Léonie l'avait d'ailleurs choisi en conséquence. Malgré toutes les horreurs qu'on a pu lui raconter sur ces personnes, elle décide de la suivre. La nuit est tombée depuis longtemps maintenant, il doit être 22 heures. Pendant tout le trajet, aucune des deux femmes de dit mot. Lorsqu'elles s'arrêtent enfin, Léonie découvre un vieux manoir londonien, peu entretenu mais plein de charme. La femme se tourne vers Léonie et avec bienveillance. « Tu es ici chez toi. » • Londres, 21 ans • « Léonie, tu sais, par les temps qui courent tu devrais m'être reconnaissant de ne pas te livrer au gouvernement. » Léonie fixait le sol avec une insistance caractéristique de l'indifférence. Elle était assise sur son lit de fortune, enfermée dans une cave qui ne disposait d'aucune fenêtre. L'humidité ambiante avait graissé ses cheveux et trempé ses vêtements. Elle n'avait plus aucune tenue, pourtant, et ce même dans l'obscurité, elle rayonnait par sa beauté. « Dis-moi Marcus, peut-être devrais-je te remercier ? » Marcus s'approchait de sa captive, le regard lubrique. Il s'asseyait à côté d'elle, et apposait sa main brûlante de désir, sur sa cuisse nue. Il était tombé amoureux d'elle à l'instant où il l'avait aperçue, féline et pourtant si maladroite, séductrice et pourtant si masculine, inconstante et pourtant si prévisible. Mais il était partisan du gouvernement et elle était une sorcière hébergée par des moldus. Alors pour l'aimer, il n'avait d'autres choix que de l'enlever, pour ne pas trahir son serment de fidélité au gouvernement et déchiré par son désir pour cette traitre. Ils se sont fréquentés longtemps avant d'en venir à de telles extrémités. Ils se sont appréciés, puis, quand les choses sont devenues trop critiques, pour lui mais aussi pour elle il l'a arraché à sa famille d'adoption moldue, pour la séquestrer dans la cave de son manoir. « Tu n'as pas à me remercier, je veux juste que tu comprennes que ce que je fais, je le fais pour ton bien. » L'enfance battue avait laissé tant de trace à Léonie. Traces indélébiles sur la peau et l'âme. Cette nouvelle épreuve était un rappel terrifiant de ses années de souffrances, une nouvelle fois, un homme qu'elle aimait la privait de ses libertés, la privait de sa vie. Une nouvelle fois, elle s'était laissé faire trop longtemps. « Tu as certainement raison. » Quatre mots vides de vérité, mais il ne s'en rendit pas compte. De la même main qui occupait jusque-là la cuisse de son aimée, il caressa son visage et posait un baiser sur sa joue. Lassée, elle se laissait faire, et, dans un geste méticuleusement calculé, entrait dans son jeu et l'embrassait à son tour longuement. N'y tenant plus, il fit glisser sa main sous sa chemise et l'allongeait sur le lit. Lorsqu'il eut terminé son affaire, il s'endormit. Ecoeurée, souillée, Léonie ne put contenir sa tristesse, quelques larmes s'échappèrent de ses somptueux yeux bleus, et ce pendant plus d'une heure. L'obscurité rendait la tâche ardue, mais elle se décidait enfin à ramasser ses affaires éparpillées un peu partout dans l'endroit. C'est en tâtonnant le sol qu'elle fut intriguée par une étrangeté. Ce qui semblait être la robe de Marcus. Il y avait un petit objet rigide et fin. Une baguette. Pourtant, il ne l'emportait jamais, il avait bien trop peur qu'elle puisse s'en servir contre lui lorsqu'il se laissait aller aux plaisirs charnels, oubliant qu'il devait surveiller ses moindres faits et gestes. Vérifiant bien que ce dernier ne s'était pas réveillé, elle s'en emparait comme d'une pierre précieuse et soupirait de bonheur. Elle hésitait, plusieurs question venant atténuer le soulagement qu'elle éprouvait à l'idée qu'elle serait enfin libre, viendrait-il la chercher lorsqu'elle serait dehors ? Serait-elle traquée, à la fois par le gouvernement et par son tourmenteur, auquel cas, devrait-elle le tuer ? Son coeur se mit à battre à un rythme effréné contre sa poitrine, si fort qu'elle craignait que cela ne réveille l'endormi. Elle devait agir vite, alors dirigeant la pointe de la baguette sur le corps de Marcus, elle murmura une formule, une de celles qui n'avait jamais franchi ses lèvres auparavant tout en fermant les yeux. Il était mort, elle était libre. Crédit : d3l3vign3 @ tumblr, inconnu sur melinahunts @ tumblr.
Dernière édition par Léonie Algant le Dim 14 Sep 2014 - 22:07, édité 6 fois |
| | |
|
|