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sujet; Drastus x God's away on business
MessageSujet: Drastus x God's away on business   Drastus x God's away on business EmptySam 5 Mar 2016 - 19:54

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I'd sell your heart to the junkman baby
For a buck, for a buck
If you're looking for someone to pull you out of that ditch
You're out of luck, you're out of luck

Augustus se contentait de plaisirs simples. La bonne nourriture, les plans qui se déroulent bien, les beaux vêtements parfaitement ajustés, et la facilité du mensonge. Augustus mentait quotidiennement, sans vergogne, sans sourciller, à quasiment tous ceux qui  le connaissaient. La vérité n'était là que pour être tordue par ses mains délicates. Il mentait sur beaucoup de choses, énormément de choses. Les mensonges les plus exquis étaient ceux qui étaient reconnus aussitôt par ses interlocuteurs, mais qui faisaient tout de même effet. Parler d'amour aux personnes qu'il trahissait provoquait toujours des réactions délicieuses.
Les mensonges les plus fréquents concernaient ses intensions. Il ne disait jamais ses réels objectifs, espoirs ou motivations dans tout ce qu'il faisait. Il n'y avait rien de plus terrible qu'un homme prévisible, et Augustus se sentait bien trop prévisible pour laisser la moindre chance de se faire avoir à l'air libre. Il mentait pour essayer de dissimuler qu'il était vide de tout caprice et de toute passion, et que toutes ses actions pouvaient être devinées par ses besoins. Même ses meurtres aléatoires étaient calculés.

Ainsi, pour quiconque lui demandait ce qu'il faisait à seize heures quarante ce jour-là, il prétendait devoir chercher quelque chose dans les archives. Tout le monde savait la passion de l'homme pour les archives, il adorait chercher la petite bête dans ces merveilleux registres, et ainsi personne  ne le questionnait ni ne doutait de sa déclaration. Pourquoi mentirait-il ? A quoi pouvait donc lui servir ce mensonge ? Tout simplement afin qu'il puisse dire plus tard que lorsqu'il passa devant la porte du brueau de Draco Malfoy, c'était un simple caprice qui le mena à en pousser la porte pour se retrouver en face de son ancien disciple.
La vérité, puisqu'il faut bien la citer, c'est qu'il avait terriblement envie de voir comment ce petit incapable se débrouillait. Absent depuis plusieurs mois pour des raisons diverses et variées, le jeune mangemort était revenu au Ministère il y avait de cela deux mois et était enfoui sous les travaux administratifs depuis. Il avait Augustus à remercier pour cela, son supérieur le punissant de son absence en le rendant absolument accessoire au département. Ce garçon était un véritable gâchis. Il aurait pu être un merveilleux mangemort. Mais entre ses erreurs, ses problèmes de santé et sa fidélité à la Cause assez douteuse, Augustus doutait de plus en plus en ses capacités. Tant d'heures d'entrainement, inutiles. Il soupirait parfois rien qu'en pensant au jour où il avait essayé de lui apprendre à tuer de sang froid.

Il retint son dégoût en passant la porte et son sourire habituel s'installa sur ses lèvres en découvrant le jeune homme derrière son bureau. Il avait cet air d'agréable plaisir que l'on prend en croisant des vieux camarades d'école au coin de la rue : « M. Malfoy ! Comment allez-vous ? J'ai l'impression que cela fait une éternité que nous ne nous sommes pas vus ! » Sûrement parce qu'il avait bien fait en sorte de le garder aussi loin que possible de son bureau et de n'envoyer ses directives que par moyen de sa secrétaire. Il s'avança pour lui serrer la main, tendre et chaleureux, presque paternel. « Que devenez-vous donc ? Je passais par ici en revenant des archives, j'ai vu votre nom sur la porte et j'ai voulu venir voir comment les choses se déroulaient pour vous. » On pourrait presque croire à sa considération. Il prit cependant la peine, entre deux phrases, de réaligner soigneusement une pile de papier sur le coin du bureau, petit geste maniaque de celui qui se sait chez lui (tous les bureaux du département des mystères sont un peu les bureaux d'Augustus). « Comment se porte votre père ? »
Et on pouvait presque sentir le venin sortir de la bouche du mangemort alors qu'il pose cette question.

La vérité, puisqu'il faut en parler, c'est qu'Augustus était intéressé par la malédiction de Draco. Ce petit quelque chose d'inédit que ces prépubères d'insurgés avaient réussi à élaborer. Il était presque fasciné par le sadisme du sortilège, le petit Harry avait bien grandi depuis la dernière fois. Il était surtout assez satisfait de pouvoir utiliser le rejeton Malfoy pour quelque chose. N'importe qui pouvait trier des factures, mais il n'y avait que ce petit incapable pour récupérer la dernière malédiction du moment à disséquer.


Dernière édition par Augustus Rookwood le Ven 13 Mai 2016 - 18:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Drastus x God's away on business   Drastus x God's away on business EmptyJeu 21 Avr 2016 - 16:45

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
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‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14278
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
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Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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God's away on business,

Digging up the dead with a shovel and a pick,
Bloody moon rising with a plague
5 MARS 2003 & DRASTUS


Il a tant endossé de rôles, Draco. Tant de titres et de costumes sur la scène politique faite arène de combat. Du petit roi maître de son royaume au serviteur de rien, homme de main ; des tâches ingrates aux faux privilèges en passant par les missions suicidaires – et puis victime, et bourreau, et marionnette en permanence, fils ancrés sur son avant-bras. Son regard clair en redessine les contours, indéchiffrable, et comme si nulle rancœur ne lui polluait l’esprit, il chasse les états d’âmes pour achever ses préparatifs.

Il y a comme un goût de renouveau dans cette routine bien huilée qui, peu à peu, se réinstalle. Quelques crises passagères, brèves – relents amers du handicap subi des semaines durant : parfois ses membres faiblissent, ses phalanges lâchent sans crier gare et menacent de briser au moindre écart. Parfois ce sont ses jambes qui menacent de ne plus supporter son poids et il s’appuie négligemment, l’air de rien, tout pétri de tension et de contrôle feint. Mais elles s’espacent de plus en plus, les crises, et ne sont plus ponctuées d’un élan de rage nourri par un sentiment angoissant de totale impuissance. Il reprend le contrôle, bien au contraire. Apprend ses nouvelles limites et discerne l’instant clé où agir pour les contourner. Se concentre sur la source de sa magie, celle qu’il a mis des mois entiers à apprendre, sonder, palper, comprendre, de son intensité à ses failles. Elle a été écorchée par un mystérieux sort qui tente de la gangréner, de la ronger progressivement. Et s’il le discerne désormais, il ne sait comment la réparer à long terme – il a appris à la restaurer, à la renouveler, à la réinitialiser en quelque sorte, en se transformant par le biais d’une Animagie dont l’apprentissage lui a déjà pris près d’un an, de juillet à mars, et dont il ne maîtrise pas encore tout à fait les aspérités. Chaque métamorphose purifie sa magie contaminée avant qu’elle ne s’étiole, sa forme animale s’avérant moins vulnérable aux impacts magiques nocifs que son enveloppe d’homme.

Reste que la source du Mal demeure introuvée et que plonger plus profondément dans la Théorie magique et les expérimentations serait un passage obligé pour cette étape somme toute capitale – expérimentateur lui-même, il y a une limite à sa tolérance du rafistolage et une soif de réponses concrètes et valables à long terme qui se languisse d’être enfin assouvie. Jamais Draco n’aurait songé se retrouver un jour au rang de sujet d’étude, cependant ; victime d’un sort expérimental, inconnu ; poupée de chaire livrable aux obscures salles de recherche de Sainte-Mangouste ou du Ministère.

Alors il se prétend guéri. Ne mentionne à aucun prix son astuce, mécréant absent des listes de recensement du gouvernement, jaloux du secret qu’est l’accomplissement atteint par des heures d’acharnement et d’application, et non moins de lecture assidue. Il ne partage le secret qu’avec celle qui lui a soufflé la solution – Nyssandra, source de connaissance inattendue et surtout, complice : l’émulsion du duo a sans doute aucun accéléré leur progression commune. Il se prétend guéri, donc, Draco, précédent chaque nouvel examen d’une transformation afin que les résultats indiquent un état stable. Et il clôture toute vulnérabilité derrière un masque taillé par l’habitude et l’occlumancie, un contrôle qui se veut de fer.

Il y a quelque chose de revivifiant dans ces petite règles du quotidien qui, peu à peu, se réapprennent, ces gestes perdus et longtemps bafoués qui reprennent leurs droits comme au sortir d’une simple parenthèse. Il enfile sa robe de travail et attrape sa mallette et le cartable de son fils d’une main qui tiraille à peine au moment de l’effort ; emprisonne la paume de Scorpius dans la sienne et l’accompagne jusqu’à l’âtre de l’une des cheminées du Centre où il est scolarisé. Les au revoir sont formels – pas d’avalanche de sentiments en public, seulement un signe de tête sec recelant à la fois un message affectueux et une mise en garde. Et un nouveau trajet, en direction du Ministère.

Il se sent étranger dans ce contexte pourtant familier, mais sur le point de réendosser sa propre peau après avoir été longuement tenu à l’écart – plongé dans la paperasse à domicile pendant deux longs mois mais tenu loin, très loin des laboratoires. Les barrières de l’occlumancie sont dressées de façon si rigide que tout ce qui pourrait les fragiliser est refoulé ; y compris l’inquiétude due à la reprise effective. Draco présente sa baguette à la sécurité comme s’il n’avait pas cessé de le faire depuis plus ou moins sept mois ; rejoint son bureau en saluant ses collègues sans emphase, fidèle à lui-même ; ne cille pas devant la pile de dossiers théoriques qui lui ont été attribués pour la journée. Ce n’est pas un labo mais c’est mieux qu’être confiné dans son appartement, avec sa paperasse cryptée pour échapper à la curiosité des non-initiés. C’est un pas vers l’étape suivante et il s’y attèle, semblant invulnérable, imperturbable.

Et il l’est – jusqu’à l’intrusion de Rookwood en après-midi. L’heure n’a rien d’indu, les Langues-de-Plomb n’approchent même pas la fin de leur journée à cette heure ; non, c’est la compagnie qui l’est. Le fait est que l’intérêt de l’homme est difficilement captée et vite perdue, et que Draco n’est pas à proprement parler dans ses petits papiers à l’heure actuelle. Voire pas du tout. Sens en alerte et stoïcisme appliqué, Draco se lève à son entrée pour prendre la main qui lui est tendue, décorum. « Monsieur », répond-il à la remarque concernant leur longue période de distance. Mais Draco ne s’inquiète pas de son courroux ; pas pour l’heure. Il a un problème plus urgent, plus déplaisant : l’âme de LDP de son mentor. « Que devenez-vous donc ? Je passais par ici en revenant des archives, j'ai vu votre nom sur la porte et j'ai voulu venir voir comment les choses se déroulaient pour vous. » Oh, mais quelle délicatesse du hasard que de les avoir réunis. Malfoy hoche prudemment la tête sans remettre en question l’alibis de son supérieur et – « Je me porte à merveille », qu’il offre sobrement, ne proposant pas d’ouvertures à la discussion. Ses iris anthracite suivent avec appréhension le mouvement des mains étrangères qui ajustent les dossiers, d’autorité, et lutte contre son propre toc : un dossier pair 5 cm vers le haut, un impair 5 cm vers le bas, et ainsi de suite ; telle est sa préférence. Celle qu’il ne peut s’autoriser à imposer pour l’instant. Il tique, mais se réprimande intérieurement et se retient de tout déplacer à sa guise. « Comment se porte votre père ? » Et cette fois, le  semblant de chaleur laisse ouvertement place à la froide aridité de l’inimitié. « Bien, au dernières nouvelles. » Laconique mais respectueux, avare en détails et en réactions. Le problème, cependant, reste qu’une fois les fioritures des salutations épuisées, Rookwood n’a pas spécialement besoin de son approbation pour lui imposer ses quatre volontés, et que lui opposer un manque d’engouement ne change rien au grand ordre des chose.
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MessageSujet: Re: Drastus x God's away on business   Drastus x God's away on business EmptyVen 13 Mai 2016 - 21:35

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Certaines personnes déçoivent plus que d'autres. Augustus était beaucoup trop entouré d'incapables pour se formaliser de chaque traitrise, de chaque erreur. Il était, aussi, beaucoup trop facilement déçu pour véritablement pleurer chaque perte. Même celle de Theodore Nott, bien que malheureuse, ne lui occuperait l'esprit que quelques minutes. Augustus était un homme aux humeurs et aux opinions capricieuses, et il oubliait parfois ceux qu'il diminuait et méprisait, leur pardonnant pour suivre ses besoins. Il n'était pas rancunier. La rancune lui était même quasi-inconnue. Il ne prenait que rarement personnellement les attaques qu'on lui faisait et ses punitions était justes, bien avant d'être revanchardes.
Heureusement pour lui, Draco ne faisait pas partie de ces personnes qui l'avait vraiment déçu. L'animal n'avait jamais été sensible à son charme, ou ne l'avait jamais montré. Il n'avait jamais été ni fidèle, ni dévoué, effectuant son travail comme n'importe quel être humain désintéressé de la reconnaissance de son supérieur. Et Augustus ne comprenait pas sa logique, et pour cela il s'occupait du Malfoy du bout des doigts, avec prudence et dédain, comme toujours avec ces choses que l'on ne comprend pas.

L'accueil dans le bureau fut glacial. Draco essaya bien d'y mettre les formes, son hypocrisie était affligeante, mais il semblait bien trop fainéant pour faire preuve de la plus simple des amabilités. L'égoïsme de ce comportement atterrait souvent le pauvre Rookwood qui, au fond, serait bien content si tout le monde pouvait se mettre à être aimable. C'était visiblement trop demander. Et puis il fallait avouer que la question sur son père avait été un peu trop mesquine, un peu inhabituelle de sa part, lorsqu'on savait qu'il n'aimait taquiner que les personnes qu'il appréciait. Sûrement un vestige d'affection, une nostalgique mélancolie au souvenir du petit blondinet dans la même classe que Potter. Ou juste qu'il était de bonne humeur, et que l'optique de recycler ce vieil objet qu'était Draco le rendait de bonne humeur.
En tout honnêteté, le sujet de Lucius l'ennuya aussi vite qu'il l'aborda. « J'ai entendu dire que vous avez pu pleinement reprendre vos fonctions, et je suis ravi de le savoir. Je voulais vous parler de quelque chose d'assez important, qui demanderait votre collaboration. » Enfin, les formalités sociales passées, ainsi que la petite pique dominicale, il abordait le cœur du sujet. Il déambulait dans le bureau, laissant son regard glisser sur les étagères de sa bibliothèque, détendu, tranquille, mais attentif. « J'ai  entendu parler de vos mésaventures avec les insurgés, j'ai été navré d'apprendre vos problèmes de santé. » Ce qui était profondément vrai. Il en avait marre de ces congés maladie, est-ce qu'il prenait des congés maladie lui ? Non. Seul Azkaban avait pu le garder loin de son travail, et merlin sait que dès le moment venu il y était retourné. Illégalement, mais tout de même.
Il se retourna de nouveau vers lui, toujours aussi aimable, aussi cordial. « Je suis cependant curieux du sort qui vous a frappé et de ses conséquences. Où en êtes-vous dans votre... traitement ? » Ou quoi que soit la chose qu'il fasse qui lui permettait d'être au travail de façon plus ou moins opérationnelle.

Augustus aurait tout simplement pu ordonner à Malfoy de venir se faire analyser par une équipe de scientifiques. Cela aurait pu être envisageable si  Augustus avait été une personne sans politesse ni finesse. Hors le mangemort était quelqu'un qui refusait de juste ordonner les choses aux gens, si on lui laissait la possibilité de leur proposer gentiment. Cela demandait peut-être plus de temps, mais c'était diablement plus agréable à l'oreille que les cris de révolte.
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