☇ Avis sur la situation actuelle ; Le Magister n'a jamais été l'objet de ton intérêt. Sans doute est-il la malfaisance incarnée, la pire créature que la terre n'ait jamais porté, suivant les rumeurs qui se font et se défont. Tu souris à la crainte qui se perd dans les cœurs des faibles frissonnant à l'évocation de son nom. Car à tes yeux, il ne représentait au début qu'un vague danger qu'il suffirait de fuir. Tu considérait que tu avais mieux à faire que de t'occuper de sorciers maléfiques et de fous se dressant devant lui. Sombre indifférence envers un monde sur le déclin. Seule ta propre vie et ta tranquillité comptaient. Toi qui vis, tu n'en as cure de tous ces gens exécutés, encore et encore. Nulle révolte ne gronde en toi. Tu t'amuses de tous ces sorciers qui tournent leur veste au profit du gouvernement alors même qu'ils se plaignaient de lui quelques jours auparavant. Peu importe le nombre de morts qu'il laisse dans son sillage, tant que tu n'en fais pas partie. Puis tu as rejoint ses rangs. Parce que son pouvoir grandissait et que ton instinct de survie te pousse à rejoindre ceux qui ont le plus de chance de gagner la guerre. Et le jour où la chance tournera, tu la suivra, mentant, manipulant comme tu sais si bien le faire, désertant ce camp pour lequel tu semblait te battre alors qu'au fond tu ne t'es toujours battu que pour toi-même. Ou bien tu disparaîtra comme une ombre, le temps qu'on oublie tes forfaits, avant de revenir comme si de rien n'était.

☇ Infos complémentaires ; Une démarche indolente, nonchalante, tu demeures serein. «On avisera si ça foire.». Parfois exubérant et insolent tu n'as en apparence rien en commun avec ces personnalités calculatrices, versées dans la préméditation. Les événements prennent la tournure qu'ils souhaitent et ça n'a pas d'importance s'ils n'entreprennent pas le chemin désiré, tu estimes que la vie teste chaque être vivant et que tu dois prendre part à ce qui se présente sur ton parcours. Mais tu n'aimes pas être surpris, tu n'aimes pas quand les choses dérapent trop et que d'un coup tu te retrouves à risquer ta propre vie. • Le faible qui se fait tourmenter par le fort, ou l'éternelle lutte manichéenne du cruel méchant antipathique aux poches débordantes face au pauvre hère sans même un toit, ce n'est pas ton délire de croyance. Après tout pourquoi déverser de l'empathie ? Le pauvre ne l'aurait pas été, dans un tout autre contexte, il se délecterait aussi sournoisement de la faiblesse d'autrui. Question de contexte et de rôle à interpréter ici bas donc. Dit ainsi, tu sembles affreusement dénué de compassion. Mais ça, personne ne saurait le dire.•Tu es un insatiable curieux, toujours à fouiner, à mettre ton nez là où il ne faut pas. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle tu es devenu informateur. • Tu donnes le sentiment d'un personnage impertinent, désagréable par son assurance teintée d'arrogance. Le genre de type auquel on aurait facilement envie de coller un bon coup de poing parce qu'il s'adresse toujours à vous avec cet infime rictus qui signifie qu'il vous prend pour un con.• Tu n'enfiles aucun gant quand tu abordes des inconnus et froisses sans sourciller leur susceptibilité. Toujours avec le sourire. Cela t'importe peu. Par ailleurs, tu n'es toi-même absolument pas susceptible. Peu importe ce qu'on te lance à la figure, ton maudit sourire ne s'effacera jamais.  • Tu as toujours appris a garder ton sang froid et à ta connaissance ne t'es jamais donné en spectacle en t'énervant comme une furie. Tu es parfaitement maître de toi-même. • Lorsqu'on t'en parle, tu sifflotes avec innocence, mais tu as parfaitement conscience de tes tendances cleptomanes. Une vieille habitude. Quand quelque chose te plaît, tu mets la main dessus avec autant de discrétion que possible. •  T'es un traître, un être sournois qui a une conception très particulière de l'amitié. Que l'on ne te donne pas une confiance aveugle car tu sauras en profiter. Puis quand on a plus aucun intérêt à tes yeux, tu disparais sans laisser de traces. • Tu détestes l'échec et possède une grande volonté motivée par celle de ta propre survie. Tu n'abandonnes jamais. • T'as un petit côté paresseux et ne le cache pas, quand tu en as l'occasion, tu refiles tes tâches à d'autres pour aller manger un bout parce oui, tu est aussi un grand gourmand et ton estomac parle pour toi.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi Surimi. J'ai 18 ans, je viens de Basse-Normandie et j'ai connu le forum via ma soeur (si tu es là frappe trois fois o/). Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". Un dernier mot ? Bien l'bonsoir  

❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu
    Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu
    Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.