Le Deal du moment : -17%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular ...
Voir le deal
249 €


sujet; (alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard.

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
AlectoPersephóneiaCarrow
feat katie mcgrath • crédit kyungsoe
❝ We're running in circles again ❞Death Eaters ; Inventé

☇ pseudo complet & surnom(s) ; ALECTO. l’Implacable. Celle qui manifeste un acharnement, une dureté, une violence que rien ne peut faire fléchir. Celle avec qui on ne peut s'échapper et dont on ne modifier le tempérament malsain et destructeur en un coup de baguette magique. - PERSEPHÓNEIA. La vie et la mort. Le printemps et l'hiver. L'avant et l'après. Celle qui a une double personnalité comme Mr. Jekyll et Mister Hyde. Celle qui peut se montrer douce comme un agneau, qui découvre le monde pour la toute première de ses yeux ébahis et qui soudain, peut se montrer agressive comme une louve prise au piège cherchant à se ronger la patte pour se sortir de ce mauvais pas. - CARROW. Provocateur. Incestueux. Soudés et Dérangés. Ceux qui n'ont peur de rien, ni de personne. Ceux qui crachent sur les lois et le règlement comme tous ces anarchistes et idéologistes-punk vers la fin des années 70. Ceux qui n'ont besoin de personne - ceux qui se rient du danger en lui tendant un doigt. Ceux qui préfèrent crever debout que vivre à genoux. Ceux qui préfèrent être envoyés à Azkaban, plutôt que partager leur monde avec des Nés-Moldus et de trouver ça parfaitement normal. Ceux pour qui le racisme et le meurtre sont devenus monnaie courante et qui ne l'ont jamais caché à personne. Ceux qui sont prêts à mourir pour défendre les idées en lesquelles ils croient et pour celui en qui ils croient. La "main-noire" c'est comme ça, qu'ils aiment qu'on les appelle.
☇ naissance ; Elle aurait dû naître en décembre 1961, mais elle a décidé de sortir de son cocon de confort, deux mois avant la mise à terme normal. Octobre 1961, née une prématurée - petite, fragile et faible comme elle l'était, il était certain qu'elle ne passerait pas la nuit avec son petit cœur mal formé, mais lorsque son regard croisa celui de ce petit garçon de deux ans, elle s'est battue pour rester en vie et pour revoir ce regard une nouvelle fois. Ce regard qui lui a sauvé la vie, c'était celui d'Amycus. Elle a su en un regard qu'entre lui et elle, ça serait plus qu'une simple histoire fraternelle, qu'ils étaient destinés à faire de grandes choses pour une personne importante.
☇ ascendance; la pureté de leur sang n'est plus à prouver. Il n'est pas né celui qui viendra dire que l'arbre généalogique des Carrow est infesté de sang-mêlé où de sang moldu. Et puis, tout le monde sait que la pureté de leur sang est l'unique chose qui pourra rester immaculé et à l'abri de l'insanité de cette famille aux mœurs très particulières.
☇ métier ; membre de la direction de Poudlard, en tant que directrice de la maison de Serpentard. Son ancienne maison dans laquelle, Amycus et elle, ont vécu les meilleures années de leur vie. Par ailleurs, c'est la seule maison à laquelle elle ajoute des points, même quand ils n'ont rien fait de spécial pur en recevoir. Elle fait également partie du membre du corps enseignant, en tant que professeur d'initiation à la magie noire. Elle l'enseigne exclusivement aux élèves de Serpentard et se sert des sang-de-bourbe où des élèves de Gryffondor comme pantins d’entraînements. Elle donne même mes cours du soir - en cas de besoin.
☇ camp ; Le gouvernement. Elle et les autres mangemorts ont aidé le Lord a atteindre les échelons, il est plus évident qu'elle soit de son côté. Comme Naguini, la "main noire" du Lord, la suivra partout où qu'il aille. Ces idéaux, ses caprices - peu importe ce qu'il décidera de faire la sœur et le frère Carrow, le suivront. Elle a atteint un tel point de fanatisme, que ça en devient presque une maladie - bouffant chacune de ses cellules comme un vieux cancer tenace.
☇ réputation ; Certains disent d'elle, qu'elle n'a pas de cœur où que son cœur est en réalité un iceberg - un glaçon que seul son frère Amycus est capable de décongeler. On dit, qu'elle aurait tué toute une famille de moldus pour pouvoir intégrer les rangs du Seigneur des Ténèbres. On dit d'elle, qu'elle est la relève de Bellatrix Lestrange et que cette dernière, lui servirait de modèle. On dit qu'elle est sadique et méchante - et qu'elle s'acharnerait sur les élèves en retenue en leur lançant le sortilège Doloris. On raconte qu'elle aurait des relations incestueuses avec Amycus - et aurait eu d'autres relations de ce genre avec des cousins éloignés.
☇ état civil ; célibataire, mais tout le monde sait qu'elle vit une relation incestueuse avec son frère, Amycus. Toutefois, cela ne l'empêche pas d'aller voir ailleurs - on est très libre et volage dans la famille Carrow.
☇ rang social ; mangemort. C'est son frère qui l'a entraîné la-dedans parce qu'il savait que faire partie de l'élite pour la Suprématie des Sang-Pur lui plairait. Et il ne s'était pas trompée, Alecto est fière de faire partie de cette haute et puissante élite. Ses mains sont recouvertes de sang, mais tout ça en aura valu la peine.
☇ baguette ; faite à partir d'un bois d'aulne rigide et capricieux, mesurant pas moins et pas plus de 23 cm - et contient en guise de cœur un cheveu de Velane. Ce qui lui donne encore plus mauvais caractère. Comme on dit, telle baguette, telle propriétaire.
☇ épouvantard ; elle en position de faiblesse, découvrant le corps d'Amycus complètement absent de toute forme de vie, froid et totalement inerte. A chaque fois qu'elle pense à cette fatalité, une amertume immense l'envie et celle qui ne pleure jamais, se surprend à pleurer devant son miroir.
☇ risèd ; désir le plus cher.
☇ patronus ; il est absolument inexistant. Il existe tout un tas d'autres moyens pour repousser les détraqeurs et les moremplis.
☇ particularités ; être une femme mangemort crainte de tous et de toutes. Et, elle peut vous l'assurer que ça vaut largement toutes les particularités du monde.
☇ animaux ; Un husky sibérien de 3 ans, que son frère lui a gagné dans un combat de rebuts pour son anniversaire. Elle l’a baptisé Sade en référence au grand marquis Français dont, elle adore les œuvres.
☇ miroir ; inexistant. Seulement si, elle parvint à choper un élève avec. Un moyen sur de retrouver les derniers insurgés encore vivants.

☇ Avis sur la situation actuelle ;
Vous souhaitez réellement connaître le point de vue d'Alecto sur la situation actuelle. Eh bien soit, mais vous risquez d'avoir un choc, vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenu. Pour elle, ce nouveau régime est une renaissance, une bénédiction. Ce nouveau régime est un halte à l'hypocrisie et aux langues de bois. Enfin chacun a retrouvé sa place - enfin la suprématie des Sang-Pur est ultime. Enfin, il est possible de dire ce que l'ont pense de l'ancien régime, sans craindre de finir à Azkaban où de trouver une bande d'Aurors devant chez-soit à une heure pas possible. Enfin les anti-moldu, peuvent se dévoiler au grand jour et être fière, d'être ceux qu'ils sont - sans craindre des préjugés où des jugés. Avec le Lord au pouvoir, Alecto n'a jamais été aussi fière de faire partie du monde des sorciers. Avec le Lord au pouvoir, le monde n'a jamais autant bien tourné. Elle n'était pas présente lors de l'exécution de masse de 2002, et elle l'a regretté - parce qu'elle aurait aimé ça, être au première loge pour voir tous ces parasites recevoir le baiser du détraqueur où pour les plus chanceux, le sortilège de Mort. En ce qui concerne ceux qui ont retourné leur veste, alors qu'ils n'ont jamais été pour ce nouveau régime - Alecto les traite de girouettes, de traites, ils n'ont rien à voir avec les vrais partisans du partie. C'est facile de changer de camp, en cours de route, quand celui qu'on soutenait autrefois ne répond plus à nos attentes - encore faut-il être accepté dans le camp adverse. Et pour Alecto, tous ceux-là méritent autant que les insurgés d'être exécutés sur la place publique. D'ailleurs, la prochaine exécution, elle espère être là - et pourquoi pas être l'exécutrice en chef. Si le Maître le lui demanderait, elle n'hésiterait pas une seule seconde.
 
☇ Infos complémentaires ;

grâce au bois de sa baguette, elle est capable de lancer des sorts sans avoir besoin de les formuler. elle adore user du sort Doloris sur les élèves, et toujours sous n'importe quel prétexte elle aime donner des surnoms aux élèves par rapport  à leur aspect physique. elle est très fraternelle et fusionnelle avec son frère - il est comme ainsi dire, l'unique homme de  sa vie. elle est lunatique, son humeur varie souvent en fonction de l'endroit où elle est et en présence de la personne avec qui elle est. A un moment, elle se montrera calme et inflexible, et dans la seconde qui suit, elle pourra se montrer agacée et agressive. elle a cicatrice près du cœur, à cause d'une chirurgie qui a raté, en plus de la marque des ténèbres si reconnaissable que tout mangemort digne de ce nom possède elle entretient une relation incestueuse avec Amycus et elle s'amuse avec cette rumeur fondée et si véridique dans le fond elle a une malformation cardiaque depuis sa naissance personne ne le sait, mais elle est obligée de dormir sous assistance respiratoire - ayant fait de multiples attaques cardiaques. C'était ça, où elle devait porter une prothèse respiratoire jour comme nuit. elle doit prendre trois gélules matin, midi et soir pour le cœur mais elle ne les prend que le matin, parce qu'elle considère qu'il est inutile de les prendre à midi et le soir - de plus, ça lui évite d'aller à St Mangouste pour aller en chercher elle prit son berger allemand de trois ans avec elle à Poudlard et il la suit partout ou elle va elle mange beaucoup de fruits et de de légumes, mais moins de viandes rouges et plus de viandes blanches - c'est plus conseillé pour elle elle n'aime pas trop les câlins ni les gestes affectifs, n'étant pas très tactile comme personne, sauf quand c'est Amycus qui veut lui en faire - là c'est différent vestimentairement parlant, elle reste sobre et sombre - une robe noire et là voilà habillée pour la semaine il lui de plus en plus souvent d'avoir des souffles au cœur pendant qu'elle fait ses cours -et quand ça arrive, elle suspend le cours, le temps que ça se calme avec Amycus, elle aime se moquer des élèves laids et en surpoids - forçant ceux qui sont trop gros à faire davantage de sport et ceux qui sont laids à se  cacher le visage pour ne pas déranger les autres tous les weekends, elle et Amycus vont jouer aux cartes ensanglantés avec le vieux Borgin et le Burke au-delà de ça, ils vont souvent boire un verre dans l'allée des embrumes - discutant de tout et de rien avec les partisans du nouveau régime, afin d'avoir des nouvelles de Londres elle mange énormément de friandises surtout des dragées surprises, à force d'en manger, elle connait les couleurs et les goûts par cœur. Alors, les mauvais, elle les offre aux élèves qu'elle aime pas elle joue beaucoup aux échecs version sorciers et version moldu aussi - il lui arrive de faire des tournois avec les meilleurs élèves de l'école. Et si elle a le malheur de perdre, elle colle l'élève toute une journée et peu importe la maison à laquelle il appartient quand elle s'ennuie, elle s'amuse à embêter Amycus, malgré ses quarante ans passés, elle reste une grande enfant et n'est jamais la dernière pour s'amuser elle est nostalgique et à toujours des photos animés de sa famille et d'Amycus et elle, quand ils étaient gamins elle a son propre elfe de maison à Poudlard, c'est une femelle qui s'apelle Lixy elle a l'habitude de promener son chien tous les matins, deux heures avant le commencement des cours à Pré-au-Lard elle aime commencer ses matins en buvant un jus de citrouille et un thé à la myrtille.


❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi spacecake. J'ai 21 ans, je viens de lorraine et j'ai connu le forum via forumactif. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? je suis un licornet  :3:



Dernière édition par Alecto Carrow le Sam 13 Fév 2016 - 2:19, édité 13 fois
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Never Ending Story
la route est longue jusqu'à Saint-Pierre.


❝ UN BÉBÉ MIRACLE ❞OCTOBRE 1961 - MANOIR CARROW

Il est minuit passé est pourtant, il y a encore du mouvement dans le Manoir de la famille Carrow. Madame Carrow est enceinte de sept mois, elle n'est pas censé accoucher aujourd'hui - et pourtant, c'est en train de se passer. Elle a perdu les eaux et a des contractions toutes les cinq minutes. Elle a tellement mal qu'elle insulte le pauvre Monsieur Carrow qui ne sait pas plus quoi faire où quoi dire. Cependant, ce n'est pas le premier enfant qu'ils attendent - avant ça, il y a eu le petit Amycus tout juste âgé de deux ans. Sauf que lui, il est venu à terme pas comme sa petite sœur qui a décidé de naître prématurément. Madame Carrow va accoucher dans le lit conjugal - parce qu'à St Mangouste, plus personne ne veut entendre parler la famille Carrow. Depuis que cette dernière a traité de sang-de-bourbe la sage-femme de son premier accouchement. De puis ce jour, l'hôpital a décidé de ne plus s'occuper du cas de cette famille pro-mangemorts. Hors donc, c'est la mère de Monsieur Carrow, une sage-femme à la retraite qui a pris les commandes de cette accouchement soudain. Elle ne voulait personne dans ces pattes - pas même son propre fils. Alors, c'est assis dans le couloir avec le petit Amycus contre lui que le futur-papa, à la fois euphorique et terrifié attend la venue de son deuxième enfant. Dans la chambre, tout se passe mal - le bébé ne veut pas sortir. La grand-mère n'a plus qu'une seule solution : la césarienne. Elle a besoin de son fils pour l'aider. Amycus est resté dans le couloir sous les ordres de son père. Il obéit, mais ne peut s'empêcher de garder une oreille tout contre la porte. Et pendant que Monsieur Carrow s'occupe d'endormir sa femme et de la garder contre lui, de son côté, mamie Carrow prépare sa baguette magique pour l'intervention. Elle fait apparaître devant elle, tout le matériel chirurgical dont elle a besoin. Et une fois Madame Carrow endormie, d'un coup de baguette magique, la vieille sage-femme commence à manipuler ses outils - qui font tout le travail à sa place. Trente-minutes plus tard, sort un bébé chétif - avec tout juste un souffle de vie dans le corps. Elle a été conduite à St-Mangouste qui en la voyant dans un tel état de fébrilité ont consenti à prendre soin d'elle. Elle a été placé sous couveuse en attendant que son état s'améliore, mais les guérisseurs ne lui donnaient peu d'espoir de survie - avec son cœur mal formé, il y avait peu de chance pour qu'elle tienne jusqu'au lendemain. Le petit Amycus dans les bras de son papa, posa ses petites mains sur la couveuse, l'embrassa et regarda droit dans les yeux sa petite sœur avant de lui dire de sa petite voix enfantine tremblotante de larmes : « Ne meurs pas Alecto ... ne me laisse pas ... je t'en-prie ... bats-toi ... je t'aime. » Il pouvait rester des heures à la contempler, mais il fallait aussi rentrer au Manoir. Alors après lui avoir dit au revoir, il a été dire au revoir à sa mère - les adieux déchirants, mais il n'en resté pas moins touchants. C'était difficile pour lui de quitter sa petite sœur, mais il savait qu'il la reverrait très bientôt. Car contrairement à son père, qui avait perdu tout espoir, le petit était convaincu que tout l'amour qu'il avait pour elle, l'aiderait à guérir. Et le lendemain matin, le miracle opéra. La petite prématurée était toujours en vie, ce qui a surpris l'ordre médical, mais pas son petit frère qui lorsqu'il est revenu avec son père, n'avait jamais désespéré - il y a cru jusqu'au bout à ce miracle. Un bébé miracle - voilà ce qu'était sa sœur. Et maintenant, ils ont toute la vie devant eux pour se découvrir l'un et l'autre.

❝ UN AMOUR FUSIONNEL ❞JUILLET 1969 - MANOIR CARROW (JARDIN)

Le frère et la sœur ont bien grandi. Alecto a huit ans et Amycus dix ans. La petite prématurée a des petits soucis cardiaques - dû à la mal formation de son cœur, mais ça ne l'a jamais empêché d'être une petite fille vivante et pleine de joie de vivre. Surtout qu'aujourd'hui, il faisait beau et chaud - alors il était pas question de rester enfermé dans le manoir à rien faire. Les deux petits chenapans ont couru dans les escaliers et ont emprunté une porte arrière qui les a conduits dans un jardin immense. Dans ce jardin, siégeait une majestueux chêne centenaire - à l'une de ses branches, à la plus solide étaient attachées deux balançoires l'une à côté de l'autre. Alecto a pris celle de droite et Amycus celle de gauche. Tous les deux se balançaient énergiquement et avec une parfaite synchronisation. « Alecto ! ... Alecto ! l’appelait-il en donnant davantage de coups dans le vide en avant et arrière avec ses jambes - afin d’accélérer sa balançoire. » « Qu'est qu'il y a Amycus ?! Lui demanda-elle en le regardant dans les yeux. » « T'es cap de faire ça ?! lui demanda-il avant de lâcher ses deux mains et de sauter de sa balançoire - pour finalement atterrir sur ses deux jambes. » Alecto était comme son grand-frère, elle n'avait peur de rien. Aussi casse-cou que lui - enchaînant plâtre sur plâtre - ne manquant pas de se faire disputer par ses parents à cause de sa santé fragile, mais elle n'écoutait et suivait toujours l'exemple que lui donnait Amycus. Elle le regarda et lui dit avant de lâcher une de ses mains de la balançoire : « Je suis cap, mais tu me rattrapes hein ?! » « Je te le promet ! lui  confirma-il en ouvrant grand ses bras, prêt à la réceptionner. » Alors, elle s'élança et atterri pile dans les bras de son grand-frère - qui mal positionné sur ses jambes s'écroula avec sa sœur sur lui. Allongés dans l'herbe, les deux enfants se mirent à rire de bon cœur - jusqu'à en avoir mal aux côtes. « C'est ça que t'appelles rattraper ?! » « C'est pas ma faute, j'avais un mauvais appuie. rétorqua-il dans une moue faussement boudeuse - sous les yeux d'une Alecto morte de rire. » « Oui c'est ça. Avoue juste que t'as rien dans les bras. lui dit-elle avant de lui tirer la langue et de désigner les petits bras en question. » Outré, le jeune garçon s'approcha de sa jeune sœur et lui dit d'une voix assurée : « Tu vas voir si j'ai rien dans les bras. » Et il se mit à la chatouiller de partout et ce malgré les suppliques d'Alecto. Il ne s'arrêta que lorsqu'elle se mit à changer brusquement de couleur d'avoir trop rigolé. Elle reprit lentement son souffle et se coucha à nouveau dans l'herbe à côté de son frère. Elle le regarda et se rapprocha de lui pour poser sa tête tout contre son épaule. Il la serra contre lui pour l'embrasser sur le front. Un baiser innocent qui dans plusieurs années, n'aurait plus la même signification aux yeux du monde. Ils restèrent des heures à contempler les nuages - jouant à deviner à quoi tel et tel nuage pouvait ressembler - jusqu'à ce que Lixy l'elfe de maison de la famille Carrow viennent les chercher pour l'heure du goûter. Pour ressortir juste après, jouer à un nouveau t'es cap ou t'es pas cap. C'était peut-être un jeu débile, mais c'était leur jeu débile rien qu'à eux deux.
❝ PREMIÈRE ANNÉE ❞SEPTEMBRE 1972 - GRANDE SALLE

C'était un grand jour pour Alecto. Parce qu'aujourd'hui, elle allait faire sa première rentrée à Poudlard. Elle l'avait attendu durant toutes les vacances d'Été. Non pas qu'elle était impatiente de découvrir l'école - non ça, elle s'en fichait pas mal. Elle tout ce qui l’intéressait, s'était de passer sa première année avec son grand frère à son côté. Lui, il allait faire sa troisième année dans la maison de Serpentard - alors, elle avait hâte de le rejoindre pour pouvoir à nouveau faire les quatre cents coups ensemble - comme au bon vieux temps. Sa répartition se passa rapidement - à peine le choixpeau sur la tête qu'il l'envoya rejoindre son frère qui s'était levé pour l'applaudir. Elle lui a sauté des les bras et s'est installée à côté de lui. Et à la fin de la répartition, elle pût être présentée au reste des amis de son frère. Pendant le repas, elle fût intriguée par un drôle de petit garçon à peine plus âgé qu'elle - avec des cheveux noirs corbeau lui tombant sur les yeux. « Qui c'est le garçon là-bas, Amycus ?! désigna-elle du regard le jeune garçon en bout de table - qui mangeait seul, sans un mot et qui ne parlait à personne. » « Ça c'est Severus, un deuxième année. Il est pas très causant comme gamin. Il préfère rester en solitaire avec ses livres de potions. Il est un peu étrange, mais ça c'est la caractéristique des sang-mêlés. » « Un sang-mêlé ?! Lequel de ses parents est un moldu. le questionna-elle intéressée d'en savoir un peu plus sur le mystérieux garçon. » « C'est son père si je me trompe pas. » « Oui c'est bien ça. » Confirma l'un de ses amis. « Pourquoi Il t’intéresse tant. Tu veux qu'on t'arrange un truc avec lui ?! » l'interrogea un autre de ses amis qui se mit à rigoler suivit de son frère et de ses deux autres copains que se mirent à chanter en cœur : " ♪ Alecto & Severus sont sous un pommier, ils se font des petits baisers ♪ ". « Oh, mais n'importe quoi vous ! Je préfère largement embrasser un gobelin, qu'un sang-mêlé. » affirma-elle en croissant les bras, une mine de dégoût se décryptant sur son visage - à la seule pensée que ses lèvres pures puissent toucher celles d'un sang-mêlé. Il en été hors de question. Voyant sa sœur boudeuse, Amycus lui ébouriffa les cheveux et l'embrassa sur la joue. « Allez-va fais pas la tête Alec'. On déconne. Tu veux que je marave Aithusa quand on sortira de la grande salle pour rejoindre notre salle commune ?! » lui proposa son frère en lui lançant un léger sourire. La jeune fille acquiesça tout simplement - lançant un regard mauvais vers Aithusa. « Hein ?! Quoi ?! Et les autres alors ?! Eux aussi ils ont chanté. » dit-il en pointant les deux autres copains mort de de rire du doigt. « Ouais mais t'es toujours le premier à foutre la merde. Alors peut-être que si je te pète une dent où deux ça te fera peut-être fermer ta gueule. » Aithusa ne répondit rien de plus et baissa simplement le regard face au frère Carrow. Seulement treize ans, et il avait déjà la carrure et l'âme d'un futur chef de rang. Alecto était émerveillée de voir avec quelle facilité et rapidité, son grand-frère arrivait à se faire respecter par ses copains. Elle lança un sourire mesquin à ce pauvre Aithusa, qui se chiait à moitié dessus - redoutant le moment où il devrait sortir de la grande salle pour rejoindre leur salle commune. Parce que, ce que Amycus promettait, Amycus le faisait. Et ça n'a pas raté. À peine étaient-ils tous sortis, que le frère Carrow balança un coup de poing tellement fort sur le visage d'Aithusa - qu'il lui a cassé les deux dents de devant. Alecto était vengée et satisfaite, mais cela envoya son frère en retenue pendant toute une semaine. Après ça, plus personne n'osait contrarier Alecto - sous quoi, il subissait le poing vengeur de son frère. Même le jeune Aithusa n'a pas recommençait - une fois pas deux.

❝ CINQUIÈME ANNÉE ❞JUIN 1976 - SALLE COMMUNE SERPENTARD

« Après l'effort, le réconfort. » s'écria la meilleure amie d'Alecto qui balança un sac en papier rempli à ras bord de confiseries magiques achetés quelques heures avant les B.U.S.E de l'après-midi à Pré-au-Lard chez Honeydukes. Alecto se jeta sur le premier paquet de bonbons explosifs qui dépassait du sac. « Grave ! Tu vas chercher les garçons, pendant que je vais chercher le jeu de cartes. » Et pendant que sa meilleure amie, se hâtait dans le dortoir des garçons, Alecto fouilla dans sa valise à la recherche des cartes à jouer qu'elle avait volé à un groupe d'élèves de troisième année. La main prise sur le jeu, elle descendit les marches et se retrouva nez à nez avec Amycus, deux de ses amis et sa meilleure amie - qui ne pouvait s'empêcher de rougir à chaque fois que ses yeux croisés ceux de son frère. Ça la faisait bien rire. Elle trouvait sa meilleure amie complètement idiote - de rougir ainsi. Son frère était trop narcissique pour aimer une autre personne que lui même. Elle pouvait bien l'aimer, lui tout ce qu'il accepterait de faire, c'est de la sauter et rien de plus. Faut pas qu'elle s'attende à ce que son frère lui fasse la cour, lui offre des fleurs où lui demande de sortir avec. C'était pas du tout dans ses habitudes. Il couchait d'abord et après, il voit si la fille vaut la peine où pas. Alecto l'a prévenu pourtant sur le genre d'homme qu'est son frère, mais apparemment elle est trop aveuglé par son amour pour lui, pour voir qu'entre elle et lui s'était déjà perdu d'avance. Enfin bref, c'était pas son problème - le principal c'était que son frère se fasse plaisir, avant qu'il ne quitte Poudlard. Rien que de se dire que c'était la dernière année de son frère, une larme coula le long de sa joue. Remarquant cette larme Amycus leva un sourcil. « Ça va Alec' ?! » lui demanda-il en posant une main sur son épaule. « Oui, oui t'inquiète pas. On se la fait cette partie de poker ou pas ?! » les questionna-elle en s'asseyant par terre près de la cheminée - piquant un autre bonbon explosif au passage. Pendant que les autres s’installaient, elle sortit les cartes du paquet et les mélangea. Elle en distribua deux à chacun et se mit à mâcher une bulle baveuse. Au bout d'une trentaine de partie, le sachet était à moitié vide et Alecto avait envie de pimenter un peu le jeu - maintenant qu'il y avait plus personne dans la salle commune, ils pouvaient se faire un strip-poker. Elle proposa l'idée à tout le monde et ils acceptèrent tous sans exception - de faire une partie où deux avant d'aller faire comme les autres et de se coucher. Au bout de cinq parties, Alecto n'avait perdu aucun vêtement - alors que son frère et ses potes avaient déjà perdu une partie de leurs vêtements, tout comme la meilleure d'Alecto qui commençait à se les cailler en sous-vêtement.
La raison à ça, c'est que depuis le début, elle trichait - et pour l'instant, personne n'avait rien remarqué. Enfin ... jusqu'à ce qu'une carte qu'elle avait caché dans sa manche ne tombe malencontreusement au milieu du cercle d'amis. Tous arrêtèrent de jouer pour lancer des regards interrogateurs à Alecto - même son frère s'y était mis. « Ah ouais tu triches et même pas tu m'en fais profiter. Sympa, la meilleure amie. » « Désolé, mais au strip-poker c'est chacun pour soit. » affirma-elle, sans une once de remord dans le regard - avant de ranger les cartes dans leur paquet et de prendre un caramel. Et pendant qu'ils se rhabillaient, Alecto dans le dortoir pour ranger les cartes dans a valise - elle fût suivi par Amycus qui lui toucha les côtes pour lui faire peur. Elle sursauta et frappa son frère sur l'épaule. « Amycus ! Grand crétin. Ne fais plus jamais ça. Qu'est ce que tu fais là ?! » le questionna-elle en croisant ses bras contre elle. « Je suis venue te dire bonne nuit et aussi pour savoir pourquoi tu as pleuré tout à l'heure. Quelqu'un t'a fait du tort ?! » lui demanda-il, près à aller réveiller la pourriture qui avait osé faire pleurer sa petite sœur. « Non, personne ne m'a fait du tort. C'est juste que ... c'est la dernière année que je te vois et ça me rend triste de devoir passer les deux prochaines années sans toi. » lui avoua-elle en se jetant dans ses bras, le serrant fort contre elle - son visage coller contre son torse. « T'en fais pas Alecto, ça ira. Je sais que c'est dur, mais je sais qu'on est capable de vivre l'un sans l'autre plus d'une journée. Et puis, c'est pas comme si on allait plus se revoir. On aura les vacances de Noël et d'Été pour en profiter. Et puis, je t'écrirais. » Alecto releva son visage plein de larmes vers Amycus et lui lança un faible sourire. « Tu m'écriras, tu me le promets ?! » Il vint essuyer du pouce les larmes de sa petite sœur et vint l'embrasser sur le haut du front. « Je te le promets ! »

❝ DERNIÈRE ANNÉE ❞NOËL 1979 - LE CHAUDRON DANSANT

Et comme il l'avait promis, Amycus avait écrit à Alecto une fois qu'il avait quitté Poudlard. Par ailleurs, son frère était en plein entrainement pour rejoindre les rangs du mage noir. Il lui raconté tout en détail dans ses lettres et ça fasciné de plus en plus Alecto - qui se disait prête à rejoindre les rangs elle aussi, une fois qu'elle aurait fini son cursus scolaire. Elle est en dernière année. Actuellement, ce sont les vacances de Nöel et c'est Amycus qui est venu la chercher à la Gare de King's Cross. Les retrouvailles ont été poignantes et touchantes - autant pour l'un que l'autre pour l'autre. Et pour fêter ça, ils ont décidé de fêter le 25 décembre en boîte. Une boîte sorcière bien sûr, où passe de la  bonne musique qu'ils connaissent et qui bouge plus que la saleté de cacophonie qu'écoute ces vermines de moldu. Alecto s'était vêtue d'une robe de soirée digne de son statut de sang-pur et s'est légèrement maquillée - avec sa beauté naturelle et son teint frais de jeune adulte, elle n'en avait pas grande nécessité. Amycus quant à lui, était comme à son habitude parfait - et sa petite sœur ne pût s'empêcher de le lui faire remarquer. Et ils purent partir, bras dessus et bras dessous vers ladite boîte de nuit. Le chaudron dansant était réputée pour son ambiance et sa bonne musique - et en période de fête, comme celle de Noël, il y avait encore plus de monde et plus de boissons à volonté. Notamment le vin chaud, boisson typiquement moldu, mais que le frère et la sœur  affectionnaient - serait servi à flot ce soir. Ils ont dansé, ils ont bu et ils ont dragué aussi, mais à contrario d'Amycus, Alecto ne se laissait pas prendre au jeu et pendant que son frère fricotait avec des jumelles - la jeune femme en profita pour sortir de la boîte de nuit pour fumer une cigarette. Personne même pas son frère n'était au courant qu'elle fumait, si il le savait, il lui ferait fumer tout le paquet jusqu'à ce qu'elle vomisse ses tripes et ses boyaux. Normalement, elle ne devrait pas y toucher à cause de ses problèmes cardiaques, mais elle s'en contre-fichait pas mal de ça. Sentir cette fumée nocive lui remplir les poumons, lui faisait tellement un bien fou, qu'elle en oubliait que cette saloperie pouvait la tuer. « Hey ma mignonne. » Son cœur rate un battement, car elle reconnait cette voix avinée sans grande peine. Un sang-de-bourbe qui a tenté de la draguer, mais qu'elle a rejeté, sans un mot. Pompant sur sa cigarette, elle le regardait de haut en bas avant de lui lancer un regard mauvais. « Dégage erreur de la nature avant que je me débarrasse de toi définitivement. cracha-elle finalement avant de tourner la tête pour ne plus avoir à supporter cette face de rat. « Oh, mais c'est pas très gentil ça. Peut-être que t'envoyer en l'air te rendrait plus aimable. » « Je te toucherais même pas avec une paire de gants en latex stériles. » Il était trop près, tellement près qu'elle pouvait sentir son haleine fétide et lourde d’alcool. À reculons, elle s'écartait un peu, l’air de rien. Elle jeta quelques coups d’œil à droite et à gauche. Personne. « Ahaha ! C'est ce qu'on va voir. » Coincée par un mur, elle sentit bientôt sa main qui se poser sur elle. Elle était gelée contre ta cuisse. « C'est tout vu connard ! » affirma-elle en lui donnant un coup de genou pile dans ses parties intimes. Si elle aurait sa baguette, elle aurait pu se défendre mieux que ça, mais elle pas eu vraiment le choix - et avant même qu'elle eu le temps de rentrer à l'intérieur de la boîte pour prévenir Amycus que le moldu l'attrapa par l'épaule et la plaqua violemment contre le mur. « Salope ! Attend un peu. » vociféra, l'homme le poing levé près à frapper. « STUPÉFIX !» et le moldu se retrouva projeté loin d'Alecto - totalement paralysé et incapable de bouger. Amycus apparu sous la lumière de la peine lune. Les babines retroussés comme un animal en colère, il releva l'homme et le plaqua avec une telle violence que sa tête heurta avec dureté le mur de la ruelle. Il le roua de coups, sous le regard haineux et mauvais d'Alecto qui se chargerait de cette vermine elle-même. Au bout d'une vingtaine de minutes, les coups cessèrent de pleuvoir, laissant les doigts d'Amycus totalement recouvèrent de sang moldu. Il sortit un mouchoir et s’essuya les mains, avant de se retourner vers sa sœur. « Tout va bien ?! » La questionna-il de son regard bienveillant. « Oui ça va. » « Pourquoi tu t'es pas servie de ta baguette ?! » « Parce que je l'ai oublié, voilà pourquoi. » Alecto s'approcha du né-moldu, le visage ensanglanté et lui donna un violent coup de pied dans les côtes - ce qui le fit tousser de douleur. Elle le dévisagea avant de reporter son attention vers son frère. « On le ramène au manoir, j'en ai pas fini avec lui. » Amycus acquiesça sans un mot, attrapa le corps lourd de l'homme pour le prendre sur ses épaule - comme si il n'était qu'un vulgaire sac de pommes de terre.

❝ PREMIER MEURTRE ❞SUITE NOEL 1979 - MANOIR CARROW

En arrivant, le né-moldu répondant au nom de Jake fût descendu dans ce qui ressemblait à une crypte aménagée en salle de torture médiévale. Le plafond était bas et voûté selon les techniques antiques mais l'architecture, bien qu'impressionnante, n'était qu'une grossière imitation des chapelles romaines. Le sol était recouvert de grosses dalles noires et les murs ornés d'instruments de supplice et de nombreuses torches qui s'embrasèrent à leur entrée. Leur feu était le seul moyen d'y voir clair dans l'obscurité épaisse du tombeau -d'après ce qu'il en savait au moins trois générations de Carrow dormaient sous le manoir- et Alecto regrettait souvent l'absence de la moindre petite ouverture par laquelle le jour pourrait filtrer. L'odeur dégagée par la combustion des flambeaux n'était vraiment pas agréable, une odeur de pois chaude qui piquait la gorge, et il ne fallait jamais oublier de lancer le sortilège pour la contenir près des torches sous peine d'asphyxie lente dans cet espace fermé. Ce fut la première chose que fit la sœur Carrow. Puis elle attacha sa proie sur un chevalet dont les pieds traînaient par terre. Baguette en main, Alecto réfléchissait aux multiples possibilités qui s'offraient à elle. De son côté, Amycus est resté à l'écart, dans l'ombre - afin de laisser sa sœur, seule maîtresse de la situation et n’interviendrait que si elle le lui demanderait. Pointant sa baguette, un sourire carnassier étira les lèvres de la jeune femme d'à peine 18 ans. « Endoloris ! » Et l'homme se tortilla de douleur - il hurlait, suppliait la jeune femme d'arrêter - même sous le sortilège, il arrivait encore à la menacer de mort. Ça faisait bien rire la jeune sorcière qui en rajouta une couche. « Endoloris ! » renchérissait-elle pour la seconde fois, sous un sourire malsain. Cette fois-ci, elle leva sa baguette au dessus de la tête de la victime et un chaudron remplie d'eau en ébullition apparu. « Non ... non ... pitié fais-pas ça. » Alecto n'en fit rien et d'un coup de baguette fit couler le contenu brûlant du chaudron sur le pauvre bougre - qui ne pouvait rien faire d'autre qu'hurler à pleins poumons. La peau totalement ébouillantée, l'homme était à deux doigts de s'évanouir, mais Alecto ne le laissa pas faire et lui donna une bonne gifle. « Oh non que tu ne vas pas t'évanouir, ce n'est que le début d'une longue souffrance pour toi. » affirma Alecto qui dans un sourire en coin, qui se dirigeait vers un élégant établi croulant sous les instruments de torture et les objets de magie noire les plus variés. Les Aurors n'avaient jamais pu mettre la main sur cette collection appartenant au père de famille à cause du sortilège de fidelitas qui protégeait la demeure ancestrale des Carrow. La jeune sorcière s'empara d'une boite en bois noir qui tenait dans la paume de la main. Son design sobre n'était frappé que d'un C, initiale de la lignée. La jeune femme en retira le couvercle avec beaucoup de douceur, puis elle retourna se placer devant le chevalet. Et avec des gestes infiniment précautionneux, marques du respect que la jeune femme éprouvait pour ce que la boite contenait, elle en extirpa en la faisant léviter ce qui ressemblait à une statuette de scorpion à échelle réelle. Un autre sort, et l'enchantement séculaire qui régissait l'objet se réveilla. La statue perdit peu à peu sa coloration grisâtre et se teinta d'une pigmentation jaune pâle sur les pattes et brune sur la carapace. Sa peau eut l'air de devenir plus souple, plus vivante. Elle remua ses pinces. « Magnifique, n'est-ce pas ? » demanda-elle en penchant légèrement sa main pour que Jake puisse voir la créature. « Les familles issues de Serpentard n'ont pas toutes un serpent pour blason. La mienne s'est choisie ce scorpion il y a très longtemps. Son venin est si foudroyant qu'on le surnomme « le semeur de mort ». C'est une bestiole qui a son charme... » Elle laissa s'écouler quelques secondes, le temps pour l'angoisse de monter chez le prisonnier, puis pointa soudainement sa baguette sur Jake. Un sortilège le força à ouvrir la bouche comme si deux mains invisibles surpuissantes lui tenaient les mâchoires. Alecto s'empara délicatement du scorpion par la queue. « N'aies crainte, il n'injectera son poison que si je le lui ordonne. », souffla-t-elle d'une voix doucereuse. Elle le déposa sur la langue du jeune homme et l'animal ne broncha pas, comme s'il n'avait pas quitté son état de pierre. Cette fois un sortilège força Jake à refermer la bouche et quatre gros clous décollèrent d'un bocal posé sur une étagère. Mouvements lents de baguette. Deux clous s'enfoncèrent aux extrémités de la bouche, deux autres sous le nez pour sceller les lèvres. L'instant suivant, le scorpion emmuré devenait fou et mordait, pinçait, s'acharnait sur chaque bout de chair qu'il touchait ; langue, palais, intérieur des lèvres. Le visage de la jeune Carrow affichait une satisfaction fière et cruelle.  « On ne croirait pas qu'une aussi petite bête puisse faire autant de mal, hein ? Mais ça n'est que le début de votre cohabitation, sang-de-bourbe... » A l'intérieur de la bouche de Jake, le scorpion s'immobilisa une poignée de secondes alors qu'il s'entêtait à creuser une brèche dans les lèvres scellées et fit soudain volte-face. Il glissa sur la langue du captif de toute la vitesse de ses six pattes et s'engouffra dans l'œsophage. Il descendit jusqu'à l'estomac. La magie qui l'animait le protégeait de l'acide des sucs gastriques. Il nagea dans le liquide épais jusqu'à atteindre une paroi de l'organe et y mordit profondément. Devant le visage transfiguré par la souffrance du jeune homme, Alecto se mit à rire, puis lança, méprisante : « La compagnie de l'emblème de la lignée te plait ? » La créature poursuivit ses attaques internes avec entêtement, mordant les parois de l'estomac et déclenchant de multiples petits saignements. Comme elle ne trouvait pas d'issue ici non plus, et qu'Alecto lui interdisait de percer un trou pour aller vagabonder entre les autres organes, elle prit le chemin de l'aller dans l'autre sens. Elle remonta l'œsophage. Pendant que la jeune femme s’avançait vers le meuble en bois pour prendre un poignard, qu’elle faisait rouler entre ses doigts. Et d’un coup de baguette fit disparaître la totalité des vêtements du jeune homme – qui se retrouva nu comme un ver. Et de sa main libre, Alecto appliqua une pression sur le sexe flasque du jeune homme. Le scorpion, de retour dans la bouche de Jake, se promena quelques secondes sur la langue, comme s'il faisait les cent pas en cherchant une idée pour s'évader. Exactement au même instant bête et homme se laissèrent aller à ce que leur soufflait leur instinct ; l'animal se jeta sur les lèvres comme un bélier en espérant les faire céder – lentement Alecto fit glisser la lame sous les glandes génitales du captif, qui lui faisait les yeux ronds et qui gesticulait dans tous les sens. Dans un soubresaut brusque, elle sectionna entièrement la partie génitale du jeune homme du reste du corps – et balança le morceau de chair à l’autre bout de la pièce, sous le regard médusait d’Amycus qui n’avait vu sa sœur dans un tel état de colère et de folie. Jake quant à lui hurlait à en perdre haleine et plus il hurlait plus les sons prisonniers de sa bouche fermée résonnaient ; ils créaient des vibrations insupportables pour le scorpion dont la rage piquante augmenta. Alecto s’essuya les mains avec le mouchoir d’Amycus et de quatre coups de baguette précis, retira les clous de leur enveloppe de chair. Il les laissa choir au sol, enduits de sang et baignant en plus dans la flaque d'un rouge foncé qui s'était formée sous le chevalet. Deux nouveaux mouvements du poignet délivrèrent les bras et les jambes de Jake de leurs entraves et la jeune femme le laissa s'effondrer. Elle récupéra le scorpion qui venait de sauter hors de la bouche sanglante et pendant que le blason de la lignée retrouvait son immobilité de pierre dans sa paume ouverte, Alecto s'amusa à contempler sa victime ; pauvre créature sans défense, pauvre petite chose faible à la dignité à jamais perdue. Pauvre petit sang-de-bourbe. « Voilà ce qui arrive quand un sang de bourbe de ton espèce s’en prend à un sang pur comme le mien. C’était amusant, mais il est temps de nous dire au revoir. On se reverra en Enfer. » Pointant sa baguette, elle lui lança un dernier sourire – un dernier regard avant de formuler le sortilège de mort : « Avada Kedavra ! » Et le jeune homme fût foudroyé de tout son long dans un éclair verdâtre et brumeux. Alecto fixa un instant le cadavre de sa victime avant de reporter son attention sur son frère toujours éberlué, par le spectacle que lui avait offert sa petite sœur. Maintenant il en été intimement convaincu, elle avait les épaules qu’ils faillaient pour pouvoir entrer dans les rangs du Seigneur des Ténèbres.

❝ VERS LES SOMMETS ❞AOUT 1981 - MANOIR JEDUSOR

A la fin de son cursus scolaire, il y a deux ans de celà, Alecto a choisi de marcher dans les pas de son frère. Avec lui, elle a transplané jusqu'à la demeure du Seigneur des Ténèbres. Il était à l'étage, dans son bureau face à une grande fenêtre qui reflétait tout l'aura noire, de puissance qu'il pouvait dégager à lui tout seul. Puis, il se retournait pour leur faire face, Alecto resta bouche bée d'admiration, alors qu'Amycus, lui s'agenouillait face lui - avant de s'avancer à sa rencontre. Il la présenta comme étant sa petite sœur et qu'à son tour, elle souhaitait rejoindre les rangs et combattre pour un monde nouveau, où les sang-pur régneraient en suprématie et où les autres sangs, n'auraient guère la place dans le leur. Il ajouta par la suite, tous les détails de son premier meurtre, alors qu'elle n'avait que dix-huit ans - en n'oubliant pas de préciser qu'il s'agissait d'un sang-de-bourbe. Ainsi que l'entrainement intensif qu'il lui avait fait suivre, durant ces deux dernières années. Une lumière malsaine illumina les yeux du mage noir, et quelque chose qui ressemblait très portrait à un sourire écorcha ses lèvres. « Bien, siffla l'homme rongeait par son désir de puissance, laisse nous à présent, Amycus. J'ai besoin de parler en tête à tête avec ta sœur. À ces mots, Amycus s'agenouilla respectueusement et quitta la pièce - laissant sa sœur, légèrement paniqué de devoir faire à cet homme toute seule. Il la regardait, elle le regardait - ils se toisaient du regard, Alecto avait peur, mais elle ne le lâchait pas du regard et l'homme au visage presque reptilien semblait aimer ça - celà prouvait qu'elle n'avait pas peur de regarder la mort en face. « Approche-toi plus près, jeune Carrow. » Et sans se faire trop prier, Alecto s'avança plus près de cet homme qui serait bientôt son maître. Soudain, il me mit à tournoyer autour de la jeune femme - comme la lune et la soleil  tournent autour de la Terre. Cherchant à un peu à la déstabiliser. « Alors comme ça, tu souhaites intégrer mon armée, c'est exact ?! » la questionna-il en s'arrêtant face à elle. « Oui, c'est exact ! » confirma-elle, le mage acquiesça tout simplement et reprit la parole - juste après avoir entendu la réponse de l'apprentie. « Bien, est-il vrai que tu as tué un sang-de-bourbe de sang froid ?! » « Oui, c'est exact ! » affirma-elle, mentir ne servirait à rien, le mage étant legilimens - il est capable de déceler le vrai du faux dans ce que lui disait la jeune femme - et pour l'instant, tout ce qu'elle lui racontait était la pure vérité et il était ravie de l'entendre - et le voir par la même occasion. « Je suis ravie de l'entendre, il y a bien longtemps que je n'avais plus rencontré une jeune femme avec autant d'antipathie à l'égard de sa victime. Il faisait bien référence à une certaine Bellatrix Lestrange, dont l'antipathie n'a d'égale que sa cruauté et sa folie sanguinaire. Et c'est une qualité primordiale que je recherche chez chacun de mes suivants. Amycus a parlé d'un entrainement intensif, quel genre d'entrainement était-ce exactement ?! » « il m'a enseigné l'art de la magie noire, le combat à distance et en mouvement, à maîtriser les trois sortilèges impardonnables et à les utiliser sur un être vivant. Notre ancien elfe de maison m'a servi de cobaye. » Le mage noir nota tout ce qui avait été dit par la jeune et acquiesça tout simplement. Alecto resta de marbre, mais ne pouvait pas rester insensible à la puissance que dégager l'homme en face d'elle. D'habitude, elle était plus sûre d'elle, mais c'était difficile pour elle de garder sa superbe, lorsqu'elle était en face de lui. Elle le regardait dans les yeux, mais son regard la déstabilisait plus qu'autre chose - et elle comprenait ce qu'il cherchait à faire, et elle acceptait qu'il puisse fouiller dans la moindre parcelle de souvenirs et sentiments - parce que quoi qu'elle fasse, elle ne pouvait l'empêcher de le faire de toute façon, n'ayant pas la capacité qu'il faut pour cela. Le seigneur des ténèbres laissa planer un silence de mort, avant de lui lancer un bref sourire et d'appeler à nouveau Amycus à lui pour qu’il puisse être l’enchaîner du serment inviolable, qu'il allait passer avec la jeune Alecto Carrow. Le jeune Carrow apparu, alors que le seigneur des ténèbres et la jeune femme joignirent leur main pour sceller leur contrat. Le frère Carrow, passa sa baguette sur les mains jointent et commença son serment : « T'engages-tu Alecto Carrow, à servir les intérêts du Seigneur des Ténèbres jusqu'à ce que la mort te décharge de tout engagement ?! » « je m'y engage ! » Une première clause, vient s’enchaîner à la chaîne - dans un filet de feu rougeâtre. « Et t'engages-tu à débarrasser tous les individus qui tenteraient de se mettre en travers de le route du Seigneur des Ténèbres, au péril de ta vie ?! » « je m'y engage ! » Et une seconde clause, vient s’enchaîner à la première - avant que le frère Carrow finisse son serment par une troisième et dernière clause. « Et t'engages-tu à obéir aveuglement à chacun de ses ordres et peu importe ce qu'il te demandera de faire ?! » « je m'y engage ! » À ce dernier engagement, les chaînes disparurent et à son tour, le Lord sortit sa baguette : « Donne-moi ton bras gauche, je te prie. » Alecto releva la manche gauche de sa robe en dentelle et présenta son avant-bras au seigneur des ténèbres - qui l'agrippa d'une poigne de fer avant de poser baguette et de la marquer comme on marque le bétail. Une vive douleur lui traversa tout le bras, pendant que le tatouage indélébile prenait forme. Elle souffrait par la brûlure que lui causait cette marque, mais elle ne montra rien, voulant rester digne et fière face lui et surtout, rester digne face à son frère et tout ce qu'il lui avait enseigné. La marque apposé, la jeune regarda son frère et lui sourit, il lui rendit son sourire et lui lança un clin d’œil. « À présent, ton frère et toi êtes liés à moi par la marque. Vous êtes désormais ma main noire. Et maintenant disparaissez ! » S’agenouillant, Alecto et Amycus partirent du bureau de leur maître commun et transplanèrent jusque dans un bar de l'allée des embrumes, où ils fêtèrent l'entrée d'Alecto dans les rangs de Lord Voldemort.

❝ LA SECONDE CHANCE ❞ANNÉE 1996 - MANOIR MALEFOY

« Endoloris ! » La voix sifflante et glacée du Lord résonna plusieurs fois dans son esprit, en même temps que la douleur ne pouvait être plus atroce. Pourtant, cela ne se stoppait pas. Comparable à mille aiguilles s'enfonçant dans chaque parcelle de son corps puis ensuite, plus violent encore, la sensation d'une épée lui hachant les jambes. Ses propres hurlements déchiraient l'atmosphère silencieuse de la nuit. Ce fut à l'instant où elle eut l'impression que son être était prêt à exploser que les effets du Doloris se dissipèrent, avec une lenteur exaspérante et son cœur qui criait au désespoir. Ses paupières étaient à présent entrouvertes, son souffle coupé. Tous étaient présents. Les Mangemorts, ses condisciples. Des camarades qui n'avaient pas bougé le pouce pour mettre fin au supplice de la redoutable Carrow, reléguée au statut de pauvre esclave d'un Maître invincible. Elle était lamentable, gisant sur le sol trop propre et trop blanc du Manoir Malefoy - peinant à remettre debout sur ses deux jambes. Une force invisible le fit à sa place, entraînée par la baguette magique de celui qu'on appelait le Seigneur des Ténèbres, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom ou Vous-Savez-Qui. Désormais face à face avec l'horrible visage privé de toute humanité de son Maître, un long frisson d'effroi passa le long de son dos lorsque la tête reptilienne et verdâtre s'approcha dangereusement de la sienne, se penchant pour l'observer sous toutes ses coutures. Comme pour atteindre le moindre recoin de son esprit. « Regarde-toi Alecto, tu n'es plus que l'ombre de la jeune sorcière pleine d'ambition et de cruauté que j'ai marqué, il y a quinze ans de cela. Où es-tu pendant que Bellatrix, les frères Lestrange et le jeune Croupton pourrissez à Azkaban pour avoir essayé de me retrouver ?! Où étais-tu lorsque Potter m'a échappé dans le cimetière de Little Hangleton ?! » Lui a-il hurlé à s'en briser les cordes vocales. Alecto n'avait jamais ressenti la peur et pour la toute première, elle tremblait - jamais elle n'avait eu aussi peur de la colère du Maître - jusqu'à aujourd'hui. Tous observaient, tous écoutaient, sans oser émettre ne serait-ce qu'un son. La panique d'Amycus, quant à elle, était palpable à distance. Amycus savait qu'il y passerait également. Lui aussi, ne s'était pas rendu au cimetière de Little Hangleton afin d'assister à la renaissance de leur Maître. « Je ... je n'ai aucune excuse, Maître. Je ne mérite pas votre pardon, mais je vous supplie à genoux de me laisser une seconde chance. » À genoux, la sorcière suppliait le Lord de lui pardonner sa faute, sa désinvolture et sa trahison. Elle regrettait ce qu'elle avait fait - et elle était sincère. Jamais elle ne s'était retrouvée dans une telle position de faiblesse et à dire vrai, elle détestait ça. Elle détestait tout à un tas de chose et se retrouver dans cette position était la pire de toutes, mais elle savait qu'il n'y avait de comme ça qu'elle pourrait recevoir les absolutions du Maître. Elle s'accrocha même aux pans de sa robe, pour paraître encore plus désolé. Elle avait mal aux genoux, mais ce n'était rien à ce qu'elle avait ressenti le soir-même où sa marque s'était mise à lui brûler méchamment le bras. Amycus et elle n'y croyaient pas, leur maître ne pouvait pas être vivant - c'était impossible et pourtant lorsqu'il fit exploser la porte du manoir Carrow et apparu dans un nuage de fumée noire. Son cœur malade manqua un battement, mais elle n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'elle et son frère furent emmené de force jusqu'au manoir Malefoy pour y être torturé. Et maintenant, elle payait sa trahison, elle payait son manque d'investigation et d'avoir passé les quinze dernières années de sa vie tranquille, pendant que ses petits camarades avaient pourri à Azkaban comme des rats. Tenant toujours les pans de la cape du Lord, celui-ci lui donna un violant coup de pied, pour qu'elle daigne lâcher prise - ce qu'elle fit, son regard toujours ancré sur le sol. « Une seconde chance ?!  Un rire grinçant émana de sa bouche - rire qui fut aussitôt suivi par les autres mangemorts et qui cessèrent dès que le Lord cessa. Il s’approcha d'Alecto et violemment, la tira par les cheveux pour avoir son regard directement connecté au sien. Donne-moi une seule bonne raison de le faire. » Il lui faisait mal, mais ce n'était pas ça le plus important. Il était important qu'elle ouvre intelligemment et trouve rapidement une raison valable pour qu'il ne tue pas sur place. Une raison pour lui de la garder en vie, une raison qui le pousserait à lui donner une seconde chance et à passe le fait qu'elle a failli à sa mission de mangemort - retrouver son maître jusqu'au bout du monde. « Parce que je peux encore vous être utile, Maitre. Et que je veux redevenir cette mangemort avide de cruauté que j'étais il y a quinze ans et aussi, pour vous aider à mettre la main sur la garçon et le détruire une bonne fois pour toute. » Le Seigneur des Ténèbres laissa planer un long silence. Tous retenaient leur souffle et Amycus priait pour que les dires de sa petite sœur suffisent à faire redescendre la colère de leur maître. Apparemment, les dires de la jeune femme firent leur effet, puisque le Lord lui lâche les cheveux et la laissa se relever. Alecto respira lentement, elle n'était sauvée pour autant et elle le savait pertinemment. « Oui tu peux encore mettre utile Alecto. Lorsque j'aurais investi Poudlard, celle-ci aura besoin de nouveaux professeurs et c'est à toi que je pense quand je dis cela. Tu feras partie du corps enseignant en temps que professeur d'étude anti-moldus. Et je compte sur toi pour que tous ces jeunes gens ressortent d'ici avec la haine et le dégoût des moldus et des sang-de-bourbe.» Professeur ?! Elle. Alecto n'aurait jamais cru avoir a retourner à Poudlard - afin si, elle s'y attendait, mais pas en tant que professeur. Cependant, apprendre aux élèves à haïr les moldus et les sang-de-bourbe ça, elle pouvait le faire. Si le Lord lui a confiait cette mission, ce n'est pas que pour la punir - c'est aussi parce qu'il sait que la haine d'Alecto pour les sangs-impurs est plus forte que tout. Aucune famille ne hait plus l'impureté que les Carrow, si ce n'est celle des Black et encore - il avait un mouton noir en la personne de Sirius Black.  « Comptez sur moi Maître, je serais être à la hauteur de cette tâche que vous me confiez. Et je vous promet, que tout ces élèves ressortiront de cette école avec la haine des moldus et des sang-de-bourbe. » Elle écorcha un faible sourire, qui lui fût rendu par le Lord. « Bien ! Et surtout n'oublie pas Alecto, un seul faux pas et je te promet un sort aussi funeste que celui que tu as fait subir à ce sang-de-bourbe, la nuit du 25 décembre 1979.» Elle baissa le regard avant de répondre dans un souffle à peine audible : « Oui, Maître.» Et elle disparut dans la marée de mangemorts pour rejoindre son frère qui n'allait pas tarder, lui aussi à passer un sale quart-d'heure.

❝ ÉTUDE ANTI-MOLDUS ❞AOUT 1997 - SALLE DE CLASSE

Après le Ministère de la Magie, ce fût au tour de l'école de sorcellerie Poudlard, d'être prise d'assaut par les forces du Lord. Et pendant que Snape occupait le poste de Directeur, Alecto et son frère, eux, occupaient les postes de professeur. Alecto était Madame Carrow, professeur d'étude des moldus où plutôt d'anti-moldus - et Amycus lui, s'occupait d'enseigner la Magie Noire. Les cloches sonnent, dans un tintement lent, sur une seule note, d'une cloche d'église comme pour annoncer l'agonie qui allait suivre. Elle avait dans son cours des élèves de tous les âges, de tous les sangs, de toutes les années et des quatre maisons mélangées. Aucun bruit, juste le bourdonnement d'une mouche piégée dans une toile d'araignée. Alecto entra dans la salle de cours et claqua violemment la porte derrière elle. « Bonjour à tous et à toutes. Je suis votre nouvelle professeur d'étude des moldus où devrais-je plutôt dire d'étude d'anti-moldus. Professeur Alecto Carrow. » Une élève de cinquième année venant de Gryffondor leva la main - peu sûre d'elle, la demoiselle. « Oui Mademoiselle ?! » La questionna la mangemort, ne sachant pas le nom de celle-ci. « Rollings, Professeur Carrow. » « Mademoiselle Rollings ! Un soucis ?! » La questionna-elle, croissant ses bras - se demandant bien, ce que cette Gryffondor allait lui poser comme question. « Qu'est-il arrivé au Professeur Burbage ?! » Alecto lui lança un sourire en coin. Alors aucun élève n'étaient au courant que leur ancienne et chère professeur avait été dévoré par Nagini - ce n'est pas grave, la sœur Carrow se ferait un plaisir de leur apprendre la nouvelle. « Eh bien, la dernière fois que je  l'ai vu, elle se faisait dévorer par le serpent géant du Seigneur des Ténèbres. Cela répond à votre question, Mademoiselle Rollings où bien, voulez-vous des détails sur comment le serpent l'a ingurgité ?! » Elle resta de marbre, face à l'élève qui venait de changer de couleur - comme choquée par ce qu'elle venait d'entendre. « Non ... non, ça ira ! » confirma-elle en baissant - ce qui permis à Alecto de continuer son cous. « Bien, si personne n'a plus de questions nous pouvons débuter le cours. Pour commencer, oubliez tout ce que vous saviez sur les moldus. Tout ce qu'on vous a racontez sur eux est totalement faux. Ils ne sont pas les égaux des sorciers, ne valent pas mieux que des animaux et copuler avec eux est contre nature et dégoûtant. Les nés-moldus où plus joliment appelés Sang-de-Bourbe sont des abominations et ne devraient pas avoir le droit d'apprendre la magie. » déclara-elle, d'un ton cru - sans mâcher aucun de ses mots. Ses mots plaisaient aux élèves de Serpentard, mais beaucoup moins aux élèves des trois autres maisons et elle l'a bien remarqué, mais elle s'en fichait pas mal. Ils apprendraient à haïr les sang-de-bourbe, elle en faisait le serment. « Par pur curiosité, levez la main ceux qui ont uniquement et je dis bien uniquement, ceux qui ont du sang-moldu qui coule dans leurs veines ?! » Personne n'osaient lever la main - menteurs ou tout simplement trouillards. Les deux à n'en pas douter. Elles savaient très bien que se cachaient parmi tous ses élèves, des vermines au sang-impur et indignent d'être dans cette école, mais qu'aucuns n'avaient assez de cran pour l'avouer. Et puis, soudain une main se leva. Celle d'un jeune homme, un dernière année portant l'uniforme de Gryffondor - et ça n'étonnait guère la mangemort, qu'il puisse venir de cette maison - car, elle acceptait n'importe qui et n'avaient aucune estime pour la pureté du sang. À contrario de Serpentard, qui elle en avait une. « Ah ! En voilà un qui  n'a pas honte d'être ce qu'il est et je ne sais pas si je dois le féliciter où l'insulter d'imbécile. Approchez et présentez vous au reste du groupe. » lui ordonna-elle. Le jeune homme se leva, s'approcha et resta figé devant le tableau noir. Il laissa plané une seconde de silence avant de prendre la parole. « Je m'appelle Grigory Belinger et je suis en dernière année dans la maison de Gryffondor. Mes parents son des moldus et ..., un nouveau silence et il lança un regard mauvais à Alecto avant de crier haut et fort. JE SUIS FIÈRE D’ÊTRE UN NE-MOLDU. ET JE VOUS EMMERDE VOUS ET VOTRE SALE RACISME À LA CON ! » Si son regard aurait pu tuer, Alecto serait morte à l'heure qu'il est. Après la rage que le jeune homme venait de déverser comme une coulée de lave, il régna un grand silence dans la sale de cours. Quelques chuchotements commencèrent à résonner ici et là, mais Alecto n'y prêta pas attention. Elle était bien trop concentré sur le jeune homme qui été en train de la toiser du regard, comme si il pensait pouvoir lui faire peur, comme si il pensait pouvoir ébranler une mangemort de la carrure d'Alecto. Tout ce qu'il arrivait à faire, c'était de la faire rire. Et sans gêne, elle se mit à rire de bon cœur. Au moins, ce sang-de-bourbe à défaut d'être un monstre, était un bon comique. « Ahahaha, très amusant Monsieur Belinger, mais le fait que vous soyez fière d'être une erreur de la nature ne regarde que vous. Et comme vous semblez si fière d'être ce que vous êtes, j'enlève 150 points à Gryffondor plus 50 points pour votre insolence. De plus, vous avez le droit d'aller en retenue et vous ne le savez peut-être pas, mais le professeur qui s'occupe des élèves en retenue est également le professeur qui s'occupe d'enseigner la magie noire. Il est aussi mon frère, et je ne manquerais pas de lui dire tout ce que vous m'avez dit. Si moi, ça m'a fait rire, lui en revanche, ça risque de le faire beaucoup moins rire. affirma-elle en s’approchant de lui, son regard ancré au plus profond du sien. Et une dernière chose ... et sans crier gare, elle lui balança une gifle qui lui décolla presque la mâchoire, mais qui lui laissa une belle marque rouge bien visible - avant de le plaquer contre le mur, une main enserrant sa gorge et dans l'autre sa baguette braquée sur sa tempe ... si jamais vous osez me parler à nouveau de la sorte, je peux vous assurer que le baiser d'un détraqueur vous semblera plus agréable comparait à ceux que je suis capable de faire lorsqu'un sang-de-bourbe ose me manquer de respect. » Un dernier regard et elle le lâcha. Dos au mur, le jeune resta comme ça à la regarder. Il avait compris le message et regretterait amèrement toute sa vie, d'avoir été trop téméraire. Face aux Carrow, il n'avait aucune chance, aucun des élèves ici n'en avaient. C'était le début de la fin pour tous, mais le commencent d'un nouvel air de terreur pour la sœur Carrow.

❝ MA BELLE TÉNÉBREUSE ❞AVRIL 2001 - ENCHÈRES REBUTS

Alecto se rendait très peu en ville, mais ce jour-là, elle avait besoin de s'y rendre. Elle avait des emplettes à faire sur l'allée des Embrumes - flanqué de Sade, son fidèle husky. Cet animal ne l'a quitté plus d'une semelle - il était devenu comme son ombre. Cependant, il ne pouvait la suivre dans les échoppes, alors il restait assis devant les portes, en attendant que sa maîtresse revienne. Et une fois ces achats complétés, elle décida de faire un tour du côté des enchères de rebuts - il paraît que la fournée d'aujourd'hui était meilleure que les présentes. Au milieu de la foule, au fil des enchères, les prix ne cessèrent d’accroître. C'était de la folie, jamais la mangemort ne mettrait un sous la-dedans  ... Enfin jusqu'à ce qu'arrive la prochaine mise en vente. Une de ses anciennes élèves. Emily Callaghan. Une petite peste, rebelle et insupportable qui prenait un malin plaisir à jouer avec l'autorité d'Alecto. Un sourire narquois écorcha ses lèvres à la vue de la jeune femme - et l'idée de l'acheter lui traversa finalement l'esprit. Se servir d'elle comme simple esclave - voilà qui pourrait mettre les pendules à l'heure.  « Et maintenant, mesdames et monsieur, nous passons au rebut suivant. Elle est belle, jeune, rebelle, et à bien besoin qu'on la remettre en main. Une main de fer dans un gant de velours. Les enchères pour cette beauté députe à 500 Gallions » annonça le commissaire-priseur en tenant fermement la jeune demoiselle, pour la présenter à l'assemblé. « 600 Gallions ! » hurla la femme mangemort en s'approchant plus près de l'estrade. « 600 Gallions, proposé par madame Carrow, qui m'en offre plus. Allez, allez cette pouliche vaut bien plus que 600 Gallions. Regardez là !  Allez, un petit effort. » Alecto regarda autour d'elle, personne n'osait faire une contre-offre. Et alors qu'elle pensait empocher la mise - quelqu'un d'autre fit une nouvelle offre. « 1000 Gallions ! » hurla la voix d'un inconnu, qu'Alecto ne connaissait pas - elle lui lança malgré tout un regard aussi noir que sa robe elle même. Elle ne pouvait décidément pas, lui laisser la jeune femme aussi facilement - elle l'aurait même si elle devait faire flamber toute la fortune de la Famille. « 2000 Gallions ! » « 3000 Gallions ! » Et une guerre débuta entre la soeur Carrow et l'inconnu - chacun tour à tour renchérir jusqu'à ce qu'Alecto fasse une offre qui laissa son adverse complètement impuissant : « 1000000 Gallions et c'est ma dernière offre. » affirma-elle en regardant l'homme qui fou de rage jeta son chapeau par-terre. Mauvais perdant le vieux. « C'est trop pour moi, je vous la laisse Madame Carrow. » Et sans plus de discours, il la salua et se retira - le commissaire-priseur était tout bonnement aux anges, car au grand jamais on le lui avait proposé une telle offre, même les plus riches sorciers, n'avaient pas osé monter aussi haut - surtout pour un être aussi dénué d’intérêt qu'un rebut, mais ce qu'il ne savait pas ce qu'Alecto aurait rendu sa famille pauvre juste pour mettre la main sur cette petite garce. « une fois ... deux fois ... trois fois, adjugé à 1000000 de Gallions à Madame Alecto Carrow. Toutes mes félicitations, vous avez fait une très bonne affaire. » lui disait-il en lui tendant la laisse, par laquelle était attachée la captive. « Ça je le sais ! » confirma-elle en lui tendant une bourse contenant aux Gallions près, le compte exact de ce qu'elle lui devait. Tenant fermement la laisse, elle quitta la foule et siffla pour appeler son chien à elle. A l'abri des regard, elle plaqua violemment la jeune Callaghan contre le mur d'une ruelle et la fixa un long instant - laissant planer un silence pesant entre elles.  « Je vous ai manqué Mademoiselle Callaghan ?!  Au visage qu'elle faisait , elle savait très bien que non - ce n'est que par pur provocation qu'elle lui avait lancé cette question et avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, la mangemort la coupa dans son élan. Non, taisez-vous, je ne vous demande pas de répondre. Simplement de vous taire; d'écouter ce que je dis et d'obéir au doigt et à l’œil. Je sais que ça parait compliqué pour la rebelle que vous êtes, mais avec un petit coup de pouce de la magie noire, je sais que je parviendrais à vous faire marcher droite. » Un dernier regard échangé avec son esclave, et la mangemort toujours suivi de son chien - prirent la chemin le plus rapide pour se rendre au Manoir Carrow - où la première tâche de la jeune femme serait de briquer la demeure séculaire des Carrow du sol au plafond.

❝ RETOUR AU BERCAIL ❞ANNÉE 2002 à 2003 - POUDLARD

Après les derniers événements survenus, Alecto a décidé de rester à Poudlard, à contrario d'Amycus qui a préféré quitter son poste de professeur d'art de la magie pour celui de régulateur des créatures magiques, au sein du Ministère de la Magie. Alors, la petite sœur a récupéré le poste de son grand-frère et a demandé à Snape le poste de directrice de la maison de Serpentard - qu'il lui a accordé à condition qu'elle cesse de leur donner des cours du soir, sans y avoir été informé avant. Elle accepta, mais ce n'est pas pour autant qu'elle lui obéissait au doigt et à l’œil. Après la deuxième guerre, elle n'avait guère changé - toujours aussi désinvolte et cruelle avec ses élèves. Sans Amycus ce n'était plus aussi marrant de se moquer des élèves, mais elle faisait ce qu'elle pouvait avec les moyens du bord. Elle essayait de prendre son pied avec Snape, mais il était si cartésien, si sérieux - qu'il était difficile pour la jeune femme de le faire participer dans ses jeux visant à humilier la proie qu'elle avait choisi pour être son nouveau jouet. En parlant de jouet, son ancienne rebut lui manque atrocement. Non, pas qu'elle ressente à manque - où plutôt si, elle en ressent un, mais pas le même manque qu'elle peut ressentir quand Amycus n'est pas à ses côtés. Non, c'est un manque différent qui l'anime quand elle pense à sa rebut. Sa lui pèse de ne plus pouvoir jouer avec elle et de la punir lorsqu'elle osé se rebeller. Aujourd'hui, elle n'a plus aucun pouvoir sur elle, maintenant qu'elle l'a libéré, mais il lui arrive encore de la croiser, lorsque celle-ci à besoin de sa potion - comme une droguée qui a besoin de sa dose de coke pour se sentir en vie. Seulement, il y a prix à celà - tout se paye avec Alecto et le prix est salé. Tout ce qu'elle lui demande en échange, c'est de lui rapporter des informations - d'être son espionne en quelque sorte. Et pour l'instant, tout ce qu'elle a obtenu ne lui sert à rien où si peu. Sa rebut recommence à la faire tourner en bourrique - pour l'instant ça amuse la sœur Carrow, mais bientôt l'amusement deviendra de l'agacement et ce jour-là, mieux vaut pour la jeune Callaghan de ne pas être sur son chemin quand ça arrivera. Elle qui a déjà tué pour bien moins que ça.




Dernière édition par Alecto Carrow le Dim 14 Fév 2016 - 23:45, édité 33 fois
Revenir en haut Aller en bas

PRISONERS • bloodstains on the carpet
Simon Rosier
Simon Rosier
‹ disponibilité : dispo (1/6)
‹ inscription : 07/09/2014
‹ messages : 1145
‹ crédits : tplrs (avatar), tumblr (gifs).
‹ dialogues : #669999.
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Tumblr_o4bilvKd3z1tg7oa1o1_400

‹ liens utiles :
‹ âge : trente-huit ans (24/05/66).
‹ occupation : criminel, propriétaire déchu du Centuries.
‹ maison : Serpentard.
‹ scolarité : 1977 et 1984.
‹ baguette : brisée.
‹ gallions (ʛ) : 5331
‹ réputation : il n'est plus rien, l'héritier réprouvé d'une famille presque extincte, indigne de toute confiance et bon à moisir dans les geôles d'Azkaban.
‹ faits : toujours considéré comme une ordure remplaçable, dans le clan désuni de Voldemort, Rosier est désormais perçu comme un lâche ayant déserté avant la bataille finale. Un monstre qui a abusé de la confiance d'une sorcière honnête (Anna), et un père indigne par-dessus le marché. Nombreux sont ceux qui auraient aimé maintenir la peine de mort jusqu'à ce qu'il y passe.
‹ résidence : Azkaban.
‹ patronus : un vague filet argenté, sans forme ni consistance.
‹ épouvantard : un précipice.
‹ risèd : une plage, avec Anna et Charlotte.
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
une Alectooooo iiih iiih iiih le choix de perso et Katie fire gaah
bienvenuue ! pétille
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
merci beaucoup collègue yiih lapin

Il nous faudra un lien obligé - parce que Jared Leto mourru bave
Revenir en haut Aller en bas

HERO • we saved the world
Severus T. Snape
Severus T. Snape
‹ inscription : 03/01/2016
‹ messages : 341
‹ crédits : ultraviolences.
‹ dialogues : #006633
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Tumblr_inline_nfzggcGMid1sj4qvu

‹ liens utiles :
Présentation Liens & Chronologie

Percy I. Weasley ft. Richard Madden
Terrence Appleton ft. Hugh Dancy

‹ âge : 44 (09/01)
‹ occupation : En recherche d'emploi, il se demande surtout à quoi il pourrait bien servir aujourd'hui.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : De septembre 1971 à juin 1978.
‹ baguette : Elle est sculptée dans du pin, contient une plume de phénix et mesure 29.3 centimètres. Idéale pour les sorts informulés, elle est souple mais difficilement maniable.
‹ gallions (ʛ) : 3830
‹ réputation : Il est le plus grand arnaqueur de la dernière guerre. Bras droit du Lord il a réussi à obtenir le titre de War Heroes et ça ne plaît pas à tout le monde. Pourtant, certains aujourd'hui reconnaissent son implication auprès de Dumbledore et ne le jugent plus coupable de sa mort. Le gouvernement a essayé d'utiliser son procès pour apaiser les foules et les #nomoresirius mais fort heureusement personne n'a l'air d'y avoir prêté une grande attention. Ou tout du moins quelques personnes se sont insurgées sur MSN avec le hashtag #SeverusSnapeTheHero.
‹ particularité : Legilimens, Occlumens et pratiquant le vol sans balai mais il n'est plus autorisé à utiliser ses particularités depuis son procès. Il lui reste cependant une importante prédisposition pour les sorts informulés.
‹ faits : Il est resté dans les geôles du ministère pendant deux mois. Son procès s'est tenu le 27 février 2004 et a duré plusieurs jours. Il a finalement été relâché grâce à sa sorcière de la défense qui a fait un travail exceptionnel, au soutien de Meda et à de nombreux témoignages (June/Fred/...). Depuis il doit se rendre à Sainte-Mangouste pour un bilan médicomagique et psychomagique complet deux fois par mois. Il est aussi à la recherche de Gwen, sa protégée qu'il n'a pas revu depuis des mois. Il s'apprête également à travailler sur des potions destinées aux lycans en collaboration avec June.

Or lors des perturbations liées à l'orage magique, Meda a perdu la vie. Depuis ce jour, dans l'obligation de confier Teddy à son parrain et à sa marraine, Severus se sent très seul. Meda était l'une des seules personnes à le pousser à reprendre sa vie et à aller de l'avant. Encore plus perdu qu'à l'annonce de la fin de la guerre il ne sait plus quoi faire.
‹ résidence : Dans la maison de Meda à Londres. Cette dernière lui avait confié qu'il était le bienvenu aussi longtemps qu'il le souhaitait et qu'elle désirait conserver cette maison pour son petit-fils Teddy quand il serait plus grand.
‹ patronus : Une biche
‹ épouvantard : Le monde sorcier plongé de nouveau dans la guerre.
‹ risèd : Meda à ses côtés. Meda le poussant à sortir de chez lui et à ne pas prêter attention aux regards défiants.
http://www.smoking-ruins.com/t6773-severus-t-snape-l-antre-du-pa
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Bienvenue sur Exci! :3: De beaux RP en perspectives avec Sev jule Bon courage pour ta fiche et rejoins nous vite! :)
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Oh Servilus, comme tu es beau hinhin iiih cette sang-de-bourbe de Lily ne te méritait pas de toute façon bde tu étais trop bien pour elle :neir:

Oui ça promet de beaux rp's entre nous deux mon beau et j'y compte bien mwaha

merci à toi et j'arrive, j'arrive ! superman leche minikr
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche minikr
Revenir en haut Aller en bas

WIZARD • always the first casuality
Anna Grimaldi
Anna Grimaldi
‹ inscription : 07/06/2015
‹ messages : 1824
‹ crédits : mathy.
‹ dialogues : #e95353.
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Tumblr_odns43L5A91vc5ojjo3_r1_400

‹ âge : trente-quatre
‹ occupation : guérisseuse au service d'infection par virus et microbe magique et co-présidente de l'association "Rosier's Disease Research Trust".
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1980 et 1987.
‹ baguette : est en bois de charme, contient une plume de phénix et mesure 26,4 centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 5574
‹ réputation : je suis fragile et que j'ai été manipulée par mon compagnon.
‹ particularité : occlumens.
‹ faits : je suis de sang pur, que je fais partie de la famille Grimaldi, que je suis d'origine italienne, que j'adhère aux idées insurgées mais que je me suis résolue à ne jamais les rejoindre pour le bien être de ma fille, que je suis une ancienne guérisseuse et que je sais donc comment soigner les gens de diverses pathologies, que je me défends en duel, que j'adore lire, que j'apprécie les jolies choses.
‹ résidence : dans un petit studio sur le chemin de traverse que le gouvernement a bien voulu me donner pour mon implication de guérisseuse durant la guerre. La demeure des Grimaldi à Herpo Creek ainsi que mon appartement à la Bran Tower avaient été saisis. Je dispose toujours d'une résidence secondaire et tertiaire à Brighton (maison d'été) et à Florence (terres italiennes).
‹ patronus : un lapin, patronus de Thomas
‹ épouvantard : un entassement de corps, celui de mes enfants et des êtres qui me sont chers.
‹ risèd : ma famille heureuse et recomposée.
http://www.smoking-ruins.com/t1958-anna-loooove-me
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
HEEEEY bellissima ! Bienvenue sur Excidium ! je ne vais pas tarder à envahir ta boîte mp, mais vu qu'à chaque fois que je le fais, ça me porte malheur et l'Alecto ne finit pas sa fiche, je vais attendre un peu ! yeux sache tout de même que ton ex-rebut t'attend ! Laughing d'ici là, bon courage pour ta fiche ! kr
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Dante A. Ehrensvärd a écrit:
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche minikr

merci beaucoup, mon mignon hinhin

Anna Grimaldi a écrit:
HEEEEY bellissima ! Bienvenue sur Excidium ! je ne vais pas tarder à envahir ta boîte mp, mais vu qu'à chaque fois que je le fais, ça me porte malheur et l'Alecto ne finit pas sa fiche, je vais attendre un peu ! yeux  sache tout de même que ton ex-rebut t'attend ! Laughing d'ici là, bon courage pour ta fiche ! kr

Oh d'accord gaah - eh bien, dès que j'arrive à la partie histoire, je t'enverrais moi-même un mp pour qu'on puisse discuter ma belle jule . Mon ex-rebut mwaha intéressant, je vais faire vite alors hinhin

et merci pour ton accueil minikr
Revenir en haut Aller en bas

HUNTED • running man
Adele Bones
Adele Bones
‹ inscription : 03/08/2015
‹ messages : 2056
‹ crédits : LUX AETERNA, astra, sia, tumblr, simon/mathydabest.
‹ dialogues : #336699
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Y65Mxt4

‹ âge : 38
‹ occupation : en fuite, déchue de tout type de privilèges.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1976 et 1983.
‹ baguette : est en bois d'if, mesure 23,7 centimètres et possède un ventricule de dragon en son cœur.
‹ gallions (ʛ) : 5982
‹ réputation : je suis sans aucun scrupule.
‹ particularité : semi-Vélane.
‹ résidence : ici et là, clamant comme miens les différents cottages investis durant notre cavale.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : une vie silencieuse, ponctuée par des râles de douleur, et non plus par les rires des rares personnes auxquelles je tiens.
‹ risèd : une journée d'été, Artur m'aidant au jardin ; Owen Avery se moquant de l'activité sans chercher à dérober son regard attendri.
http://www.smoking-ruins.com/t2469-adele-you-re-gonna-wish-you-n
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
ALECTOOOOO iiih je ne peux que féliciter ce choix, c'est magique tbe en Katie en plus, c'est superbe jule

BIENVENUUUUUUUUUE CHEZ NOUUUUUS inlove J'ai hâte de lire la suite de ta fichette, le début est déjà top (ce second prénom tbe ) bon courage pour tout kr
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé
(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard. Empty
Revenir en haut Aller en bas
 

(alecto) ≈ c'est un lit douillet, une belle grande suite à même l'arrière d'un corbillard.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
EXCIDIUM :: “ Leaky cauldron ”
I know chasing after you is like a fairytale
 :: Présentation; walk the line :: aux oubliettes
-