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sujet; (ABSOLEM), smells like teen spirit. |
| Absolem Barbary feat Ashley Stymest • tumblr | ❝ We're running in circles again ❞WIZARD ; PRÉDÉFINI☇ pseudo complet & surnom(s) ; Prendahl. Ça rime avec scandale. L'enfant blêmit, et le renégat s'embrase lorsque ça gratte au tympan. La dénomination est férocement niée d'un regard chaotique. Macbeth. Mais ta couronne, altesse, l'as-tu jamais seulement portée ? (Il la garde bien cachée au fond du cœur ; sinon, il n'a que du vide dans la poitrine.) Barbary. La dynastie vénérée, la lignée de ces hommes qui se nippent tels des princes. Et puis, règnent en leur insipide empire. Absolem. Relique d'une sérénité qu'il ne saurait porter en son sein. Tendre ironie qui ourle sa lippe, avec son sourire va-t-en-guerre. ☇ naissance ; 14 février 1977, à St. Mungo. ☇ ascendance; Mêlée. ☇ métier ; Guitariste — et auteur-compositeur sporadique — des Rotten Apple. ☇ camp ; Neutre, collaborant néanmoins avec le gouvernement. ☇ réputation ; Musicien en vogue ; on dit qu’il porte le paradis au bout des doigts, et qu’il s’ouvre, à chaque fois, lorsqu’il joue quelque mélodie que ce soit. Il est la fantaisie dans l’esprit des femmes, et la soudaine hantise de ses fans. Aussi, demi-frère d’Heathcote Barbary, célèbre guitariste des Weird Sisters. La fibre musicale, comme un gêne récessif ; unique trace du géniteur dans son patrimoine génétique. ☇ état civil ; Célibâtard. Hétérosexuel, fervent pratiquant. ☇ rang social ; Racheté. ☇ baguette ; Bois de sorbier, renfermant un cheveu de sirène, et mesurant 33,3 centimètres, la baguette est à l’image de son propriétaire : véloce, inflexible et gorgée de fiel. ☇ épouvantard ; Jeté à bas de son Olympe, dans les bas-fonds infernaux. Autour de lui, la tyrannie du blanc, salle aseptisée, et tout autant de douleur injectée dans ses veines. Réminiscences d’un passé désavoué. ☇ risèd ; Ô, esprit vicié et tortueux. Le décor est le même que celui de l’épouvante, la scène en tout point semblable, si ce n’est qu’il n’est que le spectateur, éprouvant une jouissance malsaine à contempler son père adoptif supplicié. ☇ patronus ; L’abnégation de souvenirs suffisamment puissants : étincelles vacillantes. ☇ animaux ; Écho, jobarbille aux ailes atrophiées.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; exécution des rebuts / intervention des insurgés, comportements étranges au sein de la population (fanatisme soudain de personnes qui, à peine quelques semaines plus tôt, se plaignaient du gouvernement), dégâts, propagande anti-insurgés sur la base des dégâts qu'ils causent...
☇ Infos complémentaires ; Hufflepunk, lorgnant sur les lions. La loyauté poussée jusqu’au vice ; Absolem, poussé au bord du précipice. Icare à la nuque brisée pour les beaux yeux de Nephtys. Et sa vie, abdiquée aux pieds de Lilith. Et les crocs dehors, prêt à rugir, pour les préserver de n’importe quels sévices. • Il a la chair profondément meurtrie, saccagée aux expériences morbides, puis à divers sortilèges. Œuvre d’autodestruction, pour les dernières, de son propre chef. Séances d’auto-psychanalyse douteuse et barbare. Personnalité borderline troublée. • La musique en son cœur ; sa précieuse guitare fait souvent office de catharsis — lui permettant d’exorciser tous ses démons lancinants. Et les cordes qui grincent d’une plainte déchirante, vibrent sous l’écho de ces mélodies emportées et résolument conservées dans un recoin alambiqué de son esprit damné. Il sombre dans une consommation dangereusement excessive d’Orviétan — du Fabuleo, en particulier. • Au creux de sa peau, encre mouvante, encre dansante ; les tatouages s’enchaînent. Moldus pour la plupart, mais persistent quelques dessins enchantés. Et puis, aussi, ses poignets encrés d’une manière plus funeste : entailles d’un suicide raté. Obstinément dérobées aux yeux du monde — sauf Nephtys, lui saisissant le poignet avec tant de force qu’elle lui en broie les os, et le regard de Cersei qui lui pulvérise le cœur. • Il demeure en ses yeux, quelque chose de dérangeant. Une flamme haletante, tambour silencieux dans sa poitrine. Parfois, oui, on dirait un môme. Sale gosse. Petit garçon planqué sous le marbre trompeur. L’enfant, chétif et perdu, qui tremble là, bien caché. Magie purement instinctive, parfois, qui lui échappe ; la candeur éphémère de l’orbe saphir, rapidement supplée par la dureté de l’acier. • Malgré ses griefs portés contre les Moldus, il argue un plaisir coupable à l’égard de leur musique, notamment les groupes mythiques de (hard) rock. Les Beatles, Queen, Led Zeppelin, les Stones, ou autres Police, comme autant de paroles expirant sur ses lèvres desséchées. Des sorciers, seuls les Weird Sisters peuvent les égaler — et encore, il dit sans doute ça faute d’objectivité. Et les vinyles rayés, les voix éraillées, la musique enraillée, autour d’une cigarette carbonisée. • uc. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi pseudo/prénom. J'ai âge, je viens de pays/région et j'ai connu le forum via top site / membre / bazzart / prd / ... Si tout va bien vous me verrez connecté(e) x jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé" . Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Un dernier mot ? facultatif.
Dernière édition par Absolem Barbary le Dim 21 Fév 2016 - 17:56, édité 1 fois |
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| kids aren't alright when you're cursed you're always hoping that a prophet would be grieved ❝ under star disguise we are lost ❞2003 & ON TOP OF THE WORLDLa journée débute au milieu de la nuit. On borde les chérubins dans la quiétude de leurs couffins, et puis, les portes infernales s’ouvrent en grinçant. Les monstres s’en extirpent. Furie, homme-phalène, et la sirène. Corsage sublime, elle leur chante ses dangereux chants. Et combien encore d’Ulysse loin d’Ithaque a-t-elle fait chavirer ? Le monde tangue, et Absolem a le cœur qui valse. Il ne fait attention à rien, sauf à la guitare dans ses mains, et la voix de Cersei dans ses oreilles. La foule s’affole, les groupies se déshabillent, Nephtys tambourine comme une damnée, Lilith chante. Et il est le métronhomme. Il est le tic-tac. (Bombe à retardement.) Il est le pouls. (Il s’emballe.) Il est, en filigrane, la moindre seconde de ce moment. Ils n’ont pas de limite. Au sommet du monde. Les fans pètent un câble, des gars déchirent leurs chemises en hurlant le nom de leur chanteuse. De loin, il la soutient. Il s’argue son pilier, et il se veut pierre de voûte de son existence, l’empêchant de sombrer par simple attrait de la décadence. Et ces hommes, putain, s’il s’écoutait, il les aurait tous déjà tués. Il plane, même si ses pieds ne remuent pas. Il suinte la sueur, la malveillance, et le désir. Il ponctue, et il perfore, et il perce l’air de sa carcasse, tandis que ses doigts pincent les cordes de toute leur force. Au-delà des projecteurs, il distingue une hydre à mille têtes qui s’agite, et qui saute, et qui contemple Lilith avec une étincelle dans les yeux, quelque chose comme du vice. Il leur balance ses riffs à la figure, il les noie sous des vagues de sons. (Qu’ils crèvent, crèvent, crèvent. Plutôt que de la souiller. Plutôt que de le tuer.) Ils colorent le temps, et brisent le silence morbide de cette époque décadente. Parfois, il surprend des silhouettes, ombres funestes, se glisser jusqu’au pied de la scène, et extirper quelqu’un. Il ne bronche pas. Il ne comprend même pas ; il plane. Il vole, et vogue vers des cieux trop hauts pour qu’on puisse l’atteindre. Et puis, parfois, dans la foule il l’aperçoit. Et se délite. Ses doigts ont dérapé, et son rythme a perdu de son acuité ; le cri en lui se transforme en hurlement. Ses cicatrices le démangent, et il goutte à son sang du bout de la langue. C’est un Moldu, se morigène-t-il. Il n’existe pas dans ce Monde-là. (Son havre de paix.) Il secoue la tête, et couvre l’assistance d’une moue enjôleuse et carmine. Il ne trébuche plus sur les notes, pourtant, Nephtys le foudroie de ses grands yeux verts. (Regard Avada.) Cersei est passée à la phrase suivante. Il joue à peine plus vite pour la rattraper, et dédie à sa Furie un rictus sardonique. Elle lève les yeux au ciel. (Plus tard.) Leur douce chanteuse embarque le titre vers des sommets qu’ils n’ont encore jamais atteints. Toujours plus haut. Avides. Il ralentit, guettant la chute. (Celle de la chanson, attention. Pas la leur. Jamais la leur. Seulement en ascension.) Et lorsqu’elle s’arrache une bouffée d’énergie assez puissante pour arrêter les frais, il les met au tapis avec une ultime embardée. La foule leur envoie une vague de son propre vacarme. Rien à faire : il n’a que l’écho de la voix de Lilith résonnant à ses tympans. (Dans le creux du jour, elle continue parfois ; et il ne maudit même pas la nuit blanche qui lui arrache son sommeil.) Douce succube, elle lui tend sa pomme, richement veinée de luxure, et il lui prend les lèvres. Lorsqu’ils quittent scène, elle a glissé son bras sous celui de Nephtys, et son nez contre sa jugulaire. Et il les suit des yeux jusqu'à ce qu'elles disparaissent. À chaque fois, il les regarde, avec une sorte d'appréhension douloureuse. Comme s'il avait peur que ce soit la dernière fois. Comme s'il cherchait à les avaler dans le creux de sa pupille pour qu'elles ne puissent jamais le quitter. Contraint de redescendre abruptement sur terre, il doit ranger le matos. Il se débranche, et il débranche. Il se coupe, et il coupe le son. Un gars du staff lui récupère les caisses au fond de la scène, mais c’est lui qui range les instruments, qui les couche gentiment pour le reste de la nuit. Souvent, des filles se hissent en gloussant sur la scène et le rejoignent ; il attrape le regard brûlant de la plus brune, et le sourire de la plus blonde. Audacieuses, elles se lancent des coups de coudes entre les côtes les unes aux autres ; il les invite à parler d’un mouvement brusque du menton. “ On se demandait s— Prendahl ! ” Il tourne son corps et son cœur vers Nephtys. Sa furie nocturne, vraisemblablement agacée, tape un rythme saccadé avec son pied. Bras croisés, ramenés contre sa poitrine — pour en cacher l’absence de cœur, qu’il lui dit, depuis que les fans l’accusent d’avoir capturé le sien —, elle darde un regard apocalyptique sur les innocentes donzelles. Deux doigts contre la tempe, il lui sert la parodie d’un salut militaire, avant de se tourner de nouveau vers les groupies, saisissant la première qui lui passe sous la main ; et d’inscrire quelque chose tout en lettres penchées et presque illisibles dans le creux de son avant-bras. Et puis, il les abandonne sans un mot. Parvenu à la hauteur de la brune, et passant son bras autour de ses épaules pour la ramener contre son flanc, il lui chaparde la cigarette bordant ses lèvres dans un sourire satisfait. Il en aspire une longue bouffée, qu’il recrache doucement, avec un long soupir d’aise. Ils marchent au même rythme ; la symbiose, pas seulement sur scène, mais à la vie aussi. (Les hommes ont la faiblesse de cœur de porter des étiquettes à tout ce qu’ils ne connaissent pas. En couple, hurle-t-on à leur sujet. Les sots ignorent qu’elle est plus qu’une amante. Elle est son essence, sa plus belle cadence.) Ils sont devant la porte de leur loge. Absent, il dépose néanmoins un baiser sur son front fatigué. Elle répond d’une claque administrée à l’arrière de son crâne, ravivant son intérêt, alors qu’il tourne un regard bleu et dilaté vers elle. “ Me dis pas que t’es suffisamment con pour leur avoir donné ton adresse ? T’as conscience que tu vas être envahi ? ” Il ouvre la porte et affiche un air mi-scandalisé, mi-évangélique. “ Bien sûr que non, tu me prends pour qui ? Je leur ai filé la tienne. ” Il s’écarte avant d’essuyer le courroux légendaire. Nephtys écarquille les yeux, et ouvre grand la bouche. Prête à l’engueuler en un mot comme en cent, et surtout à lui déverser mille maux. “ De quoi ? ” interrompt Cersei. Et son regard merveilleux vient s’ancrer sous l’épiderme d’Absolem. Il lui sourit avec douceur. Et puis, s’avachit sur le sofa, et l’attire contre lui, jusqu’à la hisser sur ses jambes, renfermant l’étau de ses bras autour de sa taille. Dragon protégeant un trésor, il use subtilement d’elle comme l’inexpugnable bouclier contre la colère de leur tendre furie.
Dernière édition par Absolem Barbary le Dim 21 Fév 2016 - 22:02, édité 5 fois |
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| Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
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WIZARD • always the first casuality Nephtys Shafiq ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 01/02/2015
‹ messages : 2013
‹ crédits : avatar : freesia / signature : whorecrux
‹ dialogues : #8FBC8B
‹ âge : vingt-six
‹ occupation : musicienne, batteuse des Rotten Apple avant que le groupe ne se disloque. Autrefois elle était également une des boules de cristal ambulantes du gouvernement. Aujourd'hui, elle tente encore de créer mais passe surtout son temps à jouer pour les patients de Ste Mangouste.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1987 et 1994.
‹ baguette : fait 21 cm, elle est en saule et contient de la poudre de griffe de sphinge.
‹ gallions (ʛ) : 5426
‹ réputation : Traîtresse, lâche, infâme catin du gouvernement de Voldemort. Parce qu'elle a aidé en toute connaissance de cause le Lord et ses sbires, par ses visions et par sa musique, et parce qu'elle est longtemps restée fiancée à un mangemort même lorsqu'elle était libre de se défaire de la promesse, Nephtys est regardée de travers la plupart du temps. Son sang pur n'aide en rien.
‹ particularité : voyante, affublée à sa naissance d'un don lui provoquant dans son sommeil des visions sporadiques et imprévisibles mais particulièrement violentes.
‹ faits : Orpheline de mère, il lui reste son père, Aswad Shafiq, devenu fou après l'attaque d'Herpo Creek.
‹ résidence : dans un appartement miteux sous les toits, quelque part dans un immeuble peu rutilant de l'allée des embrumes.
‹ patronus : un chacal, symbole de clairvoyance dans l’Égypte ancienne. Elle n'arrive que rarement à en conjurer une forme corporelle.
‹ épouvantard : Tantôt, elle craint que l'on abrège les souffrances d'Aswad et panique. Parfois, elle se dit que ça serait pour le mieux, moins égoïste. A ce moment là, sa véritable peur prend le dessus. Elle voit les gros titres, "Mangemort appréhendé et abattu" et l'avis de décès de Nott quelques lignes plus bas.
‹ risèd : Theodore en sécurité, avec ou sans elle. Des nuits calmes. Du silence. Ne plus rien sentir, à défaut de l'avoir lui.
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| Bienvenue Spleen est contente de voir un de ses musiciens préférés débarquer. Theodore un peu moins de voir la tentation faite chair pour Nephtys sur le forum J'ai lu ce que tu as déjà posté et gooosh t'as cerné le perso Je veux pas trop m'avancer, mais Choue j'crois que t'as enfin trouvé un bon candidat pour Absolem
Dernière édition par S. Spleen 'Joy' van Buren le Dim 21 Fév 2016 - 18:04, édité 1 fois |
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