sujet; (ophelia) seven devils all around me
MessageSujet: (ophelia) seven devils all around me    (ophelia) seven devils all around me  EmptyMar 23 Fév 2016 - 23:50

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ophelia jaelyn carrow
feat nina dobrev • crédit nina-gifs
❝ We're running in circles again ❞wizard ; Inventé

☇ pseudo complet & surnom(s) ; carrow pénétré des maux sanglants, accablants, héritage à la lignée des impénitents et des inconscients. fièrement, elle s'empare du pire, s'égare dans l'empire s'injuriant sur leurs restes fumants, leurs soupirs de mourants. ophelia l'hommage à la muse qui s'abuse, arrachée des mirages du célèbre anglais shakespeare, emportée dans les lignes d'autres poèmes ; une douceur au destin de malheur, une candeur qui se meurt.  hel, hela. triste révérence à la déesse des morts, dans le froid du nord. comme la promesse de décadences, d'un sort sans délivrance, on l'affuble de l'ivresse des désespérances.
☇ naissance ; 21 décembre 1980. le solstice d'hiver où s'esquisse la vie meurtrière. la nuit s'honore, dévore le jour et de son sombre amour berce l'impie dans la pénombre et ses atours. prédestinée à l'obscurité, aux éclats enténébrés.  
☇ ascendance; le sang est pur et le reste se souille, rouille sous les milles crimes et la terrible estime.
☇ métier ; officiellement employée au commerce international, versatile araignée tissant sans peur ses fils corrupteurs en l'âme de ses proies infâmes, un peu trop fades. officieusement, tueuse à gages, versant le sang sans émoi pour satisfaire ses convoitises sur le dos de la loi.  
☇ camp ; elle n'est fidèle qu'au sang. le reste, c'est utilisable, rentable. le reste, c'est parfois attrayant, parfois ennuyant, une multitude sans amplitude. sa loyauté jamais ne s'est vendue aux idéologies, aux hypocrisies et aux utopies, indéfectiblement attachée aux siens, seulement aux siens, eux et leurs invincibles liens.   
☇ réputation ;mystérieuse et sulfureuse. elle garde ses jolis secrets, ses infamies dérobées à la vérité. elle s'amuse, glisse à l'oreille de ceux qui accusent l'énigme des immondices et des vices. elle abîme leurs certitudes désuètes, sublime ses incertitudes malhonnêtes. ils murmurent l'immoral, les incestes triviales, les substances illégales. ils murmurent mais ne sont pas sûrs. vacillants, ils s'enlisent en ces pièges envoûtants où s'irisent triomphants les sacrilèges effrénés de la reine des damnés.
☇ état civil ; inaccessible. gracile, elle danse sur le fil d'envies volubiles, effleurant le firmament de ses solitudes et ses habitudes. altesse sans tendresse, elle rabaisse et délaisse, ignore les regards fugaces, les regards salaces. car si la renommée effraie, le mystère est l'attrait.
☇ rang social ; élite sorcière, elle est de celles qui se pâment dans l'or et le faste quand d'autres crèvent, se soulèvent, et dans la misère se dévastent. pourtant, elle est différente, chancelante entre deux mondes, le sang sur les mains et le froid en son sein.
☇ baguette ; ciselée dans du bois d'if, elle renferme en son cœur une plume de phénix. entre souplesse et rudesse, elle s'hésite, et d'un accord tacite n'est fidèle qu'à l'unique. elle mesure vingt-sept centimètres, une taille estimée correcte.
☇ épouvantard ; lui, perdu entre ses crocs sanglants, déments, le corps désarticulé, lacéré de ses propres mains. elle le tue, et elle se tue.
☇ risèd ; eux, main dans la main, elle un cœur battant, vivant, les sentiments qui le comblent.
☇ patronus ; bafouée dans les difformités éthérées de ces volutes argentées, évasives et fictives, celles-là qui attestent sans conteste de son incapacité à créer, elle a cessé les stériles essais.
☇ particularités ; sur les ivoires ensanglantés le théâtre de ses atrocités, ses excès. les hurlements sur l'astre luminescent appellent en cadence la décadence, se mêlent aux échos de leurs souffrances. bête sanguinaire ivre de chair, elle se fait calvaire précaire, libérant la louve qui couve.  
☇ animaux ;juste un chat. elle apprécie la compagnie silencieuse et indéfectible de celle qu'elle a nommé bastet
☇ miroir ;

☇ Avis sur la situation actuelle ;ophelia, elle s'indiffère. les morts jonchent les rues et les craintes s'insinuent, alors qu'immuable, elle s'obstine dans ses certitudes d'abominable ingénue. elle ne voit pas le mal dans les cruautés et les atrocités, les désespoirs et les rêves contradictoires qui se fracassent et se cassent sous ses froides moires. ce sont des jouets, un peu abîmés, un peu fatigués. ils s'usent et elle en abuse, virevoltant sur l'échiquier du pouvoir sans que personne ne perce les mystères de ses manies outrancières. parmi les cupides et les insipides, les rêveurs et les tueurs, seuls trouvent grâce à ses yeux ceux qui trompent son ennui, satisfont ses envies, éveillent la curiosité et l'intérêt. des deux camps, elle ne partage aucune conviction, aucune ambition. elle aimerait, peut-être, comprendre d'où vient l'éternel égoïsme, l'habituel onirisme. comprendre la sempiternelle neutralité, qui erre et s'enterre quand dans les enfers de l'obscurité, elle devient l'instrument de leurs vanités, la voleuse de leurs vies fauchées pour ses curiosités. et au cœur de ce maelstrom difforme, règne la famille, loyale et inébranlable, qu'elle aime à sa façon, sans hésitation. un pilier intemporel, immortel, auquel elle se raccroche et s'écorche, et qui de sa présence lui offre la sérénité, la stabilité. plus que toutes ces intrigues dans lesquelles elle joue et se désavoue, trichant et mentant d'un naturel désarmant, c'est dans la compagnie de ceux qui partagent son sang qu'elle recherche l'accalmie, les relents de ces étranges harmonies.
☇ Infos complémentaires ; elle a toujours été douée en botanique, la carrow. ça la passionne, les plantes belles et mortelles — celles qui préservent la vie, celles qui provoquent les agonies. un univers qu'elle connaît par cœur, dans ses noirceurs et ses grandeurs  atteinte du trouble de la personnalité antisocial , elle est imperméable aux normes sociales, aux arabesques sentimentales. bien malgré elle, elle se fait cruelle, arrachant les vies sans concevoir leur prix, perpétrant l'horreur dans la candeur peu intéressée par la politique, il n'a jamais été dans ses ambitions d'avoir auprès du lord une place de choix ; son poste au sein du commerce international a pour principal objectif d'agrandir son carnet de relations elle amasse et chasse les artefacts magiques et autres objets anciens, une étrange passion pour ces antiquités dont elle s'est éprise et qui reste incomprise. (ses meurtres ne sont d'ailleurs pas tous payés traditionnellement) son apathie et son inexpérience émotionnelle l'ont conduite à devenir une parfaite imitatrice. les simulacres qui se succèdent sur les traits de son visage, apparences auxquelles elle se consacre, illusionnent et étonnent. fusionnelle avec son frère, ils sont inséparables et indissociables. nul besoin de mots pour se comprendre, se surprendre. c'est comme s'ils savaient toujours ce que pensait l'autre, que les ignorants murmurent il est par ailleurs extrêmement difficile de savoir — pour qui n'est pas dans son entourage proche — ce qu'elle pense, sous ses airs d'innocence mêlés d'arrogance. une langue de vipère, qu'ils disent lorsque sous ses sourires effrontés, elle provoque leurs fureurs déchaînées. elle semble connaître tous leurs secrets, leurs infidélités, comme si partout ses oreilles traînaient. en vérité, cela relève de la présence de nombreux contacts disséminés ici et là, certains reconnaissants de l'acquittement d'anciens contrats, d'autres mus par la peur — la réputation réfrène les ardeurs — et encore pour de nombreuses raisons toujours plus fumeuses dans les tréfonds de cet univers marbré de sang et forgé dans l'anéantissement, ils l'appellent hellhound et avec ironie, hell. s'ils savaient.   elle fait attention à son apparence, la princesse insensée, ses éclats de vanités se concédant sur les caprices de la beauté. une habitude sans lassitude, de prendre soin de ses boucles d'ébène, ses traits de porcelaine  elle cache la bête, s'attache à la garder en son intimité. une tâche sur l'honneur, qu'ils diraient s'ils savaient. elle, elle ne voit que les nouvelles saveurs, l'abondance des humeurs, jusqu'à ce qu'il la ramène sur terre, rappelle les vieilles guerres. (mais ça craquèle, elle a peur d'entendre monstre, de comprendre monstre) depuis, elle s'est faite consommatrice de navitas, juste dans l'urgence, pour calmer la démence, maintenir les apparences.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi snow. J'ai 17 printemps, je viens de france et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 4 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé". Un dernier mot ? je veux la viande promise  :russe:  :jambon: .



Dernière édition par Ophelia Carrow le Mar 29 Mar 2016 - 11:37, édité 21 fois
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the other night, i had a dream
There was a world full of kings and queens


❝ no matter how many times did you told me you wanted to leave ❞1987 & manoir carrow

Silencieuse, elle se glisse entre les draps, se hisse jusqu'à son corps, ses bras. L'habitude s'est installée, triomphant par la lassitude des réprimandes maternelles, du fracas des grondements sempiternels. tu es trop grande. tu as ta chambre. cesse tes caprices. Elle n'a rien voulu entendre, l'obstinée — comme si elle n'arrivait pas à s'endormir sans sa présence, sa chaleur, le rythme de son cœur. Jamais la mère n'a réussi à lui faire entendre raison, à lui apprendre la modération ; ses colères, ses œillades meurtrières, rien n'a fonctionné sur la sale gamine qui se dresse et encaisse. C'est une rivalité d'enfant, de celle qui préserve son frère de l'amour d'une autre, obsédant, déplaisant. elle ne lui volera pas. « eden ? » qu'elle murmure — déjà sur ses lippes malicieuses, rieuses le sourire s'aventure. Elle sait qu'il est réveillé, qu'il l'attend dans l'obscurité. Parfois, elle s'amuse à le faire patienter, aime à le voir s'inquiéter. Mais inlassablement elle lui revient, lui appartient, et ils les retrouvent entrelacés au petit matin, jolis anges enfantins, un peu malsains. Nés sous ces astres sanglants, ces faiseurs de tourments, ils se bercent des ombres, paressent dans la pénombre. S'amourachant de l'obscur, ils trouvent plus de confort, de réconfort, dans les milliers de mystères qu'ils défigurent, ces vulgaires préjugés qu'ils fracturent. le noir ne fait pas peur. le noir est douceur, accueille le frère, la sœur, les deux cœurs sans pudeur. Ses doigts froids viennent sans effroi effleurer sa peau, danser sur son dos. Brusquement, il se tourne, l'enlace et sous la soie qui se froisse s'échouent les rires vivaces, l'euphorie fugace. « t'en as mis du temps ! » qu'il gronde, la dévorant de ses prunelles faussement furibondes. Nullement impressionnée, elle le gratifie d'un clin d’œil effronté et d'un baiser scelle leur complicité. « tais-toi et suis-moi » qu'elle assène, espiègle, en saisissant son bras pour le tirer hors du lit, vers leurs douces insomnies. Dans les couloirs vides, leurs silhouettes enfantines, lutines, s'avancent en silence, se balancent sur l'ode de leurs concordances, les harmonies de l'enfance. C'est un rythme secret, une mélodie composée seulement pour eux, seulement pour deux. Sa main a lâché son bras pour serrer la sienne. pour ne jamais l'abandonner. Les escaliers défilent, et gracile elle se faufile, là-haut. Alors elle apparaît, silencieuse et majestueuse, éblouissant le firmament de ses éclats luminescents, ses alliées aux milles fastes incandescents reflétées dans leurs yeux brillants, leurs yeux d'enfants. Soudainement, sous l'orbe blafard éclairant leurs êtres frissonnants, elle tournoie, les pans de sa robe immaculée ondoyant sous ses mouvements captivants, presque inconvenants. Son rire angélique se perd dans cet empire énigmatique, un peu ésotérique, et délicatement sa paume vint caresser son visage, s'égarer dans ses boucles volages. « tu aimes ? » elle lui demande, l'ingénue, juste pour entendre sa voix, sa joie. Juste pour savoir qu'elle en est l'instigatrice, la compositrice. « tu connais déjà la réponse. » qu'il rétorque, un sourire au coin des lèvres. il la connaît, peut-être mieux qu'elle-même. Innocemment, elle hausse les épaules, de naïveté s'auréole. Machinalement, ils s'assoient sur le toit, il la prend dans ses bras. Contemplateurs de la nuit, de ses beautés et ses secrets, ils l'observent dans son intimité, sa simplicité. Puis, d'un geste de la main, elle désigne les cieux ténébreux, leurs feux glorieux. « j'ai demandé à mère pourquoi on ne voyait pas les étoiles le jour, et elle a dit que c'était à cause de la lumière du soleil. » Elle rompt le silence, en toute conscience. Soupçon de mépris pour la mère, qu'elle terre sous ses rêves éphémères. Elle n'aime pas son explication, le soleil qui éclipse ses étoiles, ses jolies étoiles. « moi, je crois qu'on ne voit pas les étoiles le jour parce qu'elles aiment la lune, qu'elles la suivent où qu'elle aille et qu'elles ne veulent pas exister tant qu'elle n'existe pas. Que c'est auprès de sa lumière qu'elles brillent le plus. » qu'elle affirme, sa tête reposant contre la poitrine de son frère. Elle entend les martèlements de son palpitant. Calmement, paisiblement, il chante sa berceuse à l'oreille de la rêveuse. « c'est pareil pour moi. je t'aime, je te suivrais où tu iras et tant que tu seras, je serais. » elle lui murmure, lui jure, l'éternité. il dépose un baiser sur le haut de son crâne, et leurs doigts s'entrelacent tendrement, presque sensuellement. « moi aussi, hel. pour toujours. »

«Je te connais aussi bien que je me connais moi-même. Nous sommes deux morceaux d'une étoile qui s'est brisée en tombant un jour sur la terre.»

❝ no matter how many breaths that you took you still couldn't breathe ❞1991 & poudlard

« ophelia ... » elle l'ennuie, la défie. Et l'habitude, la lassitude, se mêlent, pour qu'à l'image de ses jours sages, elle garde ses silences, ses arrogances. « tu devrais sortir, tu sais. » Et elle ne répond pas, ne s'intéresse pas. Les doigts écorchant les pages racornies, les histoires d'hommes à l'agonie, de sinistres nuits, elle joue à la puérile, l'imbécile. Et l'autre souffle, l'exaspération devient tangible, indicible, arrachée à ce soupçon de pitié qu'elle n'a jamais su déchiffrer. De ses extravagances, elle a forgé cette routine d'indécence, préférant à ses heures le son du silence, les jeux des impatiences. Et l'autre ne comprend pas, les vides qu'elle comble en leurs compagnies, les froideurs succédant à l'écho d'harmonies, dévoilant un instant le véritable, l'abominable. Et elle les laisse croire, qu'elle est la même, qu'elle a de la peine. Elle utilise et brise, tait et se complait dans ce quotidien qu'elle s'est inventé. « je n'en ai pas envie. » qu'elle murmure, dérivant à peine de ces écrits obscurs. Il n'est pas temps, de jouer, d'abuser. Elle est lasse, se délasse des serpents qui sifflent sur ses délices. Lunatique, jamais elle ne s'applique à ménager, consoler quand la patience est déjà trop rongée. Elle illusionne, pourtant, ceux qu'elle passionne lorsqu'elle se peint rayonnante, charmante.« je ne te comprends pas. » et tu ne le peux pas. elle pense, l'offense. Comme elle l'a toujours fait, jugeant de ses critères les mines austères, décidant si l'un ou l'autre était ennuyant, intéressant. « laisse-moi. je te dis que je n'ai pas envie de jouer, ni de parler, ni de combler ton ennui. » la langue claque et l'autre se braque. Elle tente de comprendre, d'apprendre l'étrange qu'elle dérange, la folle frivole mais se heurte au mur d'incompréhension, d'indécision. Changeante, elle l'est, un peu trop, et elle est perdue, ne sait plus laquelle est la vraie. « il n'est pas l'heure. » que la carrow ajoute. pas encore. « qui es-tu, hel ? » le livre claque et la tigresse se dresse, l'oppresse de cette aura de mystères et de misères. Un sourire, juste pour ne rien dire, pour garder la vérité, les choses inavouées et le dos tourné comme dernier souvenir.

« le gouffre de tes yeux, plein d'horribles pensées,
exhale le vertige, et les danseurs prudents
ne contempleront pas sans d'amères nausées
le sourire éternel de tes trente-deux dents.
»

❝ no matter how many nights that you'd lie wide awake ❞Année & angleterre

Sur sa silhouette envoûtante s'écorchent la clameur des rivalités latentes, des obscénités inconscientes. Les rires tonnent et l'hypocrisie résonne, fallacieuse hymne à ces charognes qui rivalisent d'illusions, ainsi pâmées de leurs désuètes ambitions, bêtes aux tristes inventions qui n'ont d'humain que le nom. Comme rythmant les plus noires de ses abîmes, ses talons claquent et sa morgue assassine. Son bras élégamment noué à celui de l'aimé, elle s'avance, martèle le marbre de leurs offensantes défiances. Aucun de ceux qui admirent et s'aiment à maudire de leurs lèvres impies les deux portant en leur sein cette drôle de folie ne percent les mystères de ces ébènes austères, où se parent milles artifices, s'égarent les subtiles vices. D'une moue mutine elle dépose sur la joue fraternelle un baiser au chaste angélique, presque platonique. « je vais m'amuser un peu. » qu'elle murmure, la malice éclosant sur ses lippes en son plus charmant présage, ses plus désarmants ravages. Vilaine princesse qui s'ose à sans cesse ébranler de ses fausses délicatesses les assurances des figures de la noblesse, elle s'encrasse de grâce et de disgrâces, apparaissant aux devants de leurs regards médisants tel un miroir reflétant cette myriade de faux-semblants. Vide, elle s'emplit de ces fables qu'elle se murmure à elle-même, maquillant sur ses traits figés les arabesques de ces émotions si fragiles, si dociles. Désinvolte, elle s'approche de sa sœur et de ses doigts fins s'empare de sa coupe pour y tremper ses lèvres. sale insolente. Volte-face, elle s'en va déjà, ignorant le regard outré, les soupirs abusés. Le masque se forme et les commissures se retroussent en un charmant sourire. factice. Une voix l’appelle, alors elle se retourne, observe l'importun de ces dédains sans fin. Sans doute l'a t-elle déjà vu, à l'une de ces énièmes soirées mondaines dans lesquelles elle se plait à abuser, s'amuser.  « ophelia » la mère foudroie, la fille déçoit. Des marques sur son corps, pour les efforts. je t'aime, disait-elle, peut-être pour s'en convaincre elle-même. « vous m'empêchez de me divertir, mère.  » qu'elle rétorque, sentant sur son dos le poids de ces mots que d'autres susurrent dans leurs dos. inceste, qui sonne comme ignoble sur leurs lèvres. S'ils savaient, un peu, que c'était différent, qu'étriqués et dans la banalité enfermés ils ne voyaient qu'atrocités là où il n'y avait que l'osmose d'une complicité. « qui donc pourrait ici te divertir ? tu ne sais même pas ce qu'est l'amusement. de plus, je crains que ces gens-là n'aient de toi une bien trop mauvaise opinion pour oser t'approcher. » sur le ton de l'innocente, les paroles blessantes. Et le néant à ses injures, ses blessures. Elle sait que sa fille n'est rien, jamais rien. La princesse hausse les épaules, feint l'indifférence qui lui sied si bien.  « peut-être vous aussi devriez-vous rester à l'écart. Je pourrais vous tuer pendant votre sommeil, ou verser dans votre vin le plus douloureux des poisons pour ensuite regarder avec délectation vos dernières convulsions. » sur le ton badin, les mots malsains. Elle la dévisage et soupire ses sourires, ses affectueuses rages. Ce soir non plus, elle n'empêchera pas sa fille de tisser sa mascarade autour de ces êtres un peu trop fades, ne l'empêchera pas de jouer avec eux. Le voulait-elle vraiment ? Il était bien plus amusant de regarder le cadavre se faire passer pour vivant.

❝ no matter how many deaths that i die, i will never forget  ❞Année & Lieu

Les doigts tâchés de sang, comme les vêtements, l'âme, le cœur. comme tout. Les regards vides, l'instant où tristement ils expirent la lente agonie de leur vie en sursis, elle avait essayé de les compter, se rappeler les nuances de leurs défaillances. Puis elle avait arrêté de se demander, si c'était mal. Peut-être que simplement, elle n'en avait jamais porté l'intérêt, comme si elle n'avait jamais été que cette contemplatrice froide et illogique. Imperturbable et irrationnelle. Oh, elle a essayé, de ressentir, souffrir, mais rien d'autre que l'insensible n'a répondu à ses prières. Ses doigts caressèrent le bois de sa baguette.  Fidèle qui a noué en son ombre les éclats des jours sombres, elle qui tue, la douceur et la chaleur de leurs rêves qui ne l'effleurent, et pour quoi ? Refaire un monde, peut-être, aussi froid que toi. Ses muscles se nouent et se dénouent, harmonisent la danse mortelle, éternelle, les avances de cette sépulcrale promesse, ces animales prouesses. C'est une ronde immonde, une enfant inhumaine, gracile, versatile, fragile. Elle la répète, jour après jour, mort après mort, vie après vie. Et il entre. Il n'a pas fait de bruit mais elle sait qu'il est là, elle sent sa présence, sa fragrance. « c'est l'heure. » qu'il annonce, en lui tendant un paquet. Elle sait ce qui se cache sous la soie — un souvenir d'autrefois.

elle vit dans ses cadavres, ses ravages. le père aux mains souillées, ensanglantées. le père un peu rude, sa vaillante certitude. peur et frayeur n'existent pas pour cet être qu'elle aime, ses blasphèmes et ses haines. elle l'attend tous les soirs, désinvolte à ces désespoirs qu'il engendre sans égard, comme un art. elle est devenue son assistante, un peu impatiente. c'est peut-être à force de demander, de suivre ses méfaits de ses prunelles émerveillées, sa curiosité éveillée. au mépris du refus de la mère, elle a appris à aiguiser (à utiliser) ses lames, ses belles et mortelles lames, plutôt qu'à être une dame. sous ses doigts se sont animés les poisons, les passions. la mère a abandonné, soupiré, et a jeté ses espoirs sur l'autre sœur, la moins insensée, la moins déséquilibrée. soudain, ses pas résonnent et la porte s'ouvre, le découvre. il savait qu'elle serait là. elle est toujours là. alors il sourit, de ce sourire qui lui réchauffe étrangement la poitrine. lui, il ne l'a jamais réprimandée pour ses écarts, ses comportements bizarres ; il est même fier de son petit démon, au cœur de pierre, aux utopies meurtrières. lui, il la comprend, elle et ses folies, ses humanités endormies. son regard se pose sur les lames, calme. « c'est du bon travail. » sa main de tueur vient se poser sur la tête de sa fille, jouer avec ses boucles d'ébène. elle le savait, que c'était bien fait. c'était des gestes répétés, affirmés, et ele n'avait jamais échoué. « tu l'as tué. » qu'elle commence. elle n'est pas triste, ni fataliste. c'est la vérité, c'est une banalité qui n'a rien d'horrible, rien d'inadmissible. il hoche la tête, la contemple un long moment et finit par se détourner. il fouille dans un tiroir et s'empare d'un poignard ouvragé représentant un élégant serpent sinuant sur le manche pour se mordre la queue — comme le cycle de vie et de mort, il lui avait dit. « quand tu seras plus grande, il sera à toi ophelia. » elle le dévisage, un sourire radieux éclairant son visage. il est joli le poignard, il peut arracher les vies, se parer du rouge, éclatant, excitant.  « bientôt ? » qu'elle ne peut s'empêcher de demander. « bientôt. »
c'est une promesse.
≫  


Elle ne s'était jamais demandée, pourquoi elle faisait ça. Elle était douée, son père le lui répétait à chaque contrat honoré, chaque vie volée. Et elle, forgée dans ses candeurs et leurs malheurs, se disait, une lumière s'est éteinte, une étoile s'est évaporée. Elle avait compté, combien la lame avait fauché de ces éclats. Elle s'était rappelée, l'enfance, les filles normales, banales, mais heureuses. Était-elle heureuse, elle ? Alors, devant le miroir, elle les imitait, comme elle s'en souvenait, comme elle l'avait toujours fait. Un sourire, un gloussement presque innocent. Elle avait tout regardé, observé, peut-être pour croire qu'elle le pouvait, être comme elles. Puis le regard dérivait sur la lame, ses reflets d'infâmes occultes, et elle riait, oubliait. Tuait. Et c'était beau, plus beau que ces marionnettes obsolètes à qui elle empruntait les traits pour duper, tromper. Alors elle continue, l'ingénue, à se souiller l'âme.

« et elle se contente de tuer le temps en attendant que le temps la tue »

❝ no matter how many lives that i live, i will never regret ❞Année & Lieu

Il l'admirait et la dévorait, se moquait et la tuait. Elle n'était plus meurtrière, elle était enfant à terre, figée dans l'incompréhension de la douleur, des horreurs, de ses chairs déchirées, son être éraflé. elle allait mourir. Un instant, elle fut la proie, la victime du plus atroce des crimes. L'animal la surplombe, creuse sa tombe, se joue de ses efforts, la dévore lentement, bestialement. La souffrance est berceau de ronces, elle l'étreint et doucereusement trace sur sa peau milles marbrures écarlates, un sourire malsain, la vie et la mort se tenant la main. ce n'était pas possible. Sa main tremblante serrait compulsivement sa hanche ensanglantée. Le monde basculait, se fracassait sous l'éclat sanglant du firmament nocturne tâché de ses tourments, son châtiment. Tout disparaissait, s'évaporait, tout sauf ses prunelles sauvages, monstrueux présages qui sans cesse la torturaient, dénaturaient ces lueurs de raison qui n'eussent existé, peut-être, que dans un autre monde. Folie et agonie tissaient cette lascive litanie, assassinant hors de leur étreinte les volutes persistantes de cette conscience à peine vivante, survivante. Puis un éclair transperça le ciel, des mots, qu'elle ne comprit pas. Et sa voix. c'était sa voix. Une plainte s'exhala de ses lippes serrées, murmure inconscient, inconsistant. Elle voulu lever le bras, tendre les doigts mais elle n'y arrivait pas. Un bras vint se loger sous son dos et elle se sentit soulevée, sauvée. « tiens bon, tiens bon. ça va aller » qu'elle compris, rai de lumière au sein de son calvaire. ça va aller. Elle se le répétait, encore et encore, vacillant sur le fil traversant ce gouffre de délires rugissants, ce dérèglement qui déjà dérobait le contrôle de son être tremblant, ses pensées, son cœur fané. poupée de chair, tu te laisse délabrer. poupée de misère, tu te laisse emporter. poupée de poussière, tu te laisse disperser.
dis, poupée servile, qui tient les fils ?



Et puis la première fois, derrière les barreaux. Les ténèbres de son regard qui la dévisageaient tristement, fatalement. Il le faisait pour elle, pour eux. Pour empêcher le massacre, les théâtres trop âcres. Ses doigts s'accrochent, s'écorchent. Elle a mal d'être ainsi, loin de lui. Puis l'évidence sans conscience se teinte du fiel de ses désespérances. Et elle se met à le haïr, comme elle n'a jamais haï. Il la met en cage, juste pour les autres, ces autres qu'elle saccage et qui dévisagent ces atrocités de leurs airs faussement sages. La fureur l'enchaîne, la traine entre ses bras ravageurs, destructeurs. Elle aime bien, sentir ses os brûler sous la morsure d'une passion démesurée, acharnée. Ses bras se tendent pour l'attraper, le lacérer, ses doigts se muent en griffes acérées, ses hurlements de rage se répercutent contre les murs insonorisés dans cette hymne névrosée, insensée. Monstre qui se nie, le cœur à l'agonie hurlant cette litanie coupable, et si véritable. Elle se complait, se plait à s'entendre hurler, se penser vivante sous les plaintes déchirantes, les promesses qui l'ensanglantent. C'est l'équilibre sans fil, le vacillement entre le plaisir coupable et le désir insatiable. L'égoïsme et son être qu'elle décime, qu'elle a peur que l'autre abîme. Elle se tord et compte les torts, et là, pourtant, ça l'englouti, la dévore.

« sans cesse à mes côtés s'agite le Démon ;
il nage autour de moi comme un air impalpable ;
je l'avale et le sens qui brûle mon poumon
et l'emplit d'un désir éternel et coupable.
»

❝ no matter how we try, it's too much history 2003 & london apartment

Elle hurle, renverse le décor de ses colères, ses pulsions vélléitaires. Elle se fracture, se fissure, les eaux calmes de ses méandres impures désormais troublées par les griffes qui raclent son crâne, les murmures de ses crocs profanes. elle était là, elle était elle. La bête et la bête, la glaciale et l'animale. Et un corps. Elle voulait se donner, s'abandonner, juste pour essayer. C'était étrange, le feu dans sa poitrine, la rage au creux de son cœur, ses malheurs. C'était fort, c'était puissant, c'était nouveau. Mais il ne voulait pas, lui criait que ce n'était pas bon, qu'ils allaient savoir, qu'elle ne pourrait plus vivre comme avant. Les larmes ravageaient son visage, ses contradictions usaient ses passions, ses déraisons. Et puis elle lui soufflait l'horrible, l'indicible. le tuer, lui, qui nous enchaîne, nous gangrène de son amour, ton oxygène. La haine de cette imperfection, cette ignoble damnation, l'abomination de cet amalgame infâme qu'ils appelaient âme, qui n'était sauvée que par ses regards, ses espoirs. Il battait pour lui, l'hérétique, lui et seulement lui, le pilier de sa vie, son utopie. Un peu romantique, comme un rêve famélique, elle l'aimait de cette ruine racornie fracassant sa poitrine de ses grondements intimes. Et l'autre lui rappelait, inlassable, comment ce serait si facile. Elle lui rappelait les cadavres, les corps priant la décence, la clémence, et finalement ne voir que se fracasser leurs espoirs contre ce cœur d'ivoire, d'une autre nuance de noir, se refléter leur mort dans ces abîmes qui les dévorent. Les mains tremblent et la raison s'ébranle, et les ténèbres effarées se posèrent sur sa rédemption, son illusion. s'oublier, dans ces délires volés, ces chimères qui l'apprivoisent et te toisent de leur trône forgé dans les rêves, les dualités qui crèvent.

« tout ce que nous voyons ou paraissons,
n’est-il qu’un rêve dans un rêve ?
»


[/i]


Dernière édition par Ophelia Carrow le Jeu 31 Mar 2016 - 21:33, édité 26 fois
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WIZARD • always the first casuality
Amara Bataglia
Amara Bataglia
‹ disponibilité : 100% dispo
‹ inscription : 25/10/2015
‹ messages : 2024
‹ crédits : avatar : balaclava / signature : ucey
‹ dialogues : #DB7093 / palevioletred
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : 17 ans
‹ occupation : membre des little jinx ♡
‹ maison : beauxbâtons alumn
‹ scolarité : 1993 / 2004
‹ baguette : bois de frêne, crin de licorne
‹ gallions (ʛ) : 5719
‹ réputation : surnommée Baby Spice, elle est la plus jeune membre des Little Jinx et elle on dit d'Amara qu'elle est aussi adorable que touchante.
‹ particularité : championne toute catégorie du gobage de dragées surprises
‹ faits : elle parle avec un accent français, tombe souvent, est scotchée à son pow, gère secrètement un MSN dédié aux memes.
‹ résidence : /
‹ patronus : non-corporel la plupart du temps, écureuil autrement.
‹ épouvantard : les cafards et la haine, accessoirement.
‹ risèd : une paix stable et durable, du bonheur pour tout le monde.
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PRENOM + NOM ( bravo, j'associe Hamlet à cette famille maintenant, c'est étrange comme ça colle gaah ) ET PUIS NINA potte
bienvenue sur le forum. N'hésite pas si tu as la moindre question, besoin de quoi que ce soit, le staff est là pour ça. Bon courage pour la suite gaah kr

EDIT : j'avais même pas fait gaffe, t'as mentionné la pièce dans ton début :russe: j'approuve yeah
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Invité
Invité
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche minikr
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Invité
Invité
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(florence + the machine rougit rougit )
bienvenue sur exci ma belle, j'espère que tu vas te plaire ici I love you et bon courage pour la suite de ta fiche yeah
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Invité
Invité
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hermione je vois que tu partages mes connaissances littéraires  yeah (je dirais bien que j'en suis désolée ... mais non  hehe  kr #hamletenforce ) gosh, si j'ai ton approbation, je vois pas ce qui peut m'arriver ow  hinhin  (en vrai ça me fait trop plez iiih  inlove )
thanks ma belle  kr

dante merci à toi  rougit (penny dreadful en force inlove iiih  c'est la première fois que je vois Reeve sur un fofo  trognon je plussoie tellement  tbe  kr   )

sansa je suis démasquée hehe merci pour ton petit message rougit kr kr (bryden est so sex gaah han )
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WIZARD • always the first casuality
Flora Carrow
Flora Carrow
‹ disponibilité : hold that thought
‹ inscription : 11/12/2015
‹ messages : 1109
‹ crédits : MUDBLOØD. (avatar), sovereign (gif)
‹ dialogues : #336699.
(ophelia) seven devils all around me  EAsOZA

‹ âge : vingt-deux ans (04/02)
‹ occupation : pour le monde, je suis une ancienne médicomage légiste (en réalité, l'ancienne assistante personnelle de l'Ambassadeur).
‹ maison : ravenclaw
‹ scolarité : 1993 et 2000.
‹ baguette : est toute neuve, taillée dans un délicat bois d'aubépine renfermant un ventricule de dragon, elle mesure trente centimètres et des poussières dépassant ainsi de loin celle que j'ai perdu dans l'attentat de saint-mangouste.
‹ gallions (ʛ) : 5114
‹ réputation : je suis Hestia Carrow, une fille bizarre, porte-malheurs, instable et incestueuse qui ferait tout pour sa sœur.
‹ particularité : clairvoyante.
‹ faits : je n'étais pas maîtresse de mes actions pendant la guerre, mon cerveau ayant été lavé après l'exécution des rebuts. J'ai fuit la bataille finale bien avant sa fin et je hais la marque à mon bras. Retrouver le contrôle de mon esprit n'est pas si aisé que ça et je fais encore de nombreux cauchemars. En fuite avec ma jumelle et mon niffleur albinos, Idris, logeant chez des moldus j'ai fini par me rendre en espérant rendre à ma sœur une vie normale, sauf que par un procédé qui m'est inconnu elle a réussi à échanger nos corps.
‹ résidence : bonne question.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : moi-même, ou Hestia qui sait, restreinte par une camisole de force.
‹ risèd : moi-même de nouveau identique à Hestia.
http://www.smoking-ruins.com/t6904-wicked-game-flora
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Invasion de Carrow iiih iiih iiih
la référence à Hamlet je plussoie mille fois brille
Bienvenue (cousine ? potte ) et bon courage pour ta fiche I love you
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Reaghan Phillips
Reaghan Phillips
‹ inscription : 26/08/2015
‹ messages : 743
‹ crédits : inspiration et la signature est à crackle bones.
‹ dialogues : #533d6a
(ophelia) seven devils all around me  Tumblr_inline_nuo4b7rnD61qlt39u_500

‹ liens utiles :
présentationjuneronalddaphnemoodlyannalorcànremus

‹ âge : trente ans.
‹ occupation : ancien prisonnier à Azkaban, devenu un fugitif à plein temps.
‹ maison : serdaigle.
‹ scolarité : 1983 et 1990.
‹ baguette : anciennemet, elle faisait trente centimètres, elle était en bois de saule et un cœur avec un cheveu de banshee. maintenant, c'est le ministère qui l'a, elle ne lui est pas utile en prison.
‹ gallions (ʛ) : 4256
‹ réputation : Il dégoûte. Il répugne. Il effraie. Il fascine. La malédiction des Phillips existe réellement et c'est presque devenu un jeu d'essayer de croiser Reaghan à la tombée de la nuit lorsque sa tête mal peignée laisse place à un cadavre déambulant dans les rues. Personne ne souhaite le côtoyer à la nuit tombée sauf les curieux et son ancienne équipe. Il est considéré comme un assassin par les médias et les sorciers. C'est vrai qu'il a rétamé la gueule de plusieurs insurgés, mais c'était pas contre eux, il a aussi tabassé des mangemorts parce qu'on l'avait grassement payé.
‹ particularité : Il est maudit. Une malédiction qu'il compte bien enlever une fois sorti d'Azkaban.
‹ résidence : il squatte chez ariane moriarty en évitant de sortir parce qu'il est toujours un peu recherché par le gouvernement.
‹ patronus : inconnu.
‹ épouvantard : On ne dirait pas quand on le voit plaisanter sur ça, mais son apparence nocturne lui fait peur. Il se voit sans cesse rejeté par sa mère, par les autres et il finit par se voir lui dans ce corps décharné et ça lui fait peur. Il n'aime pas cette autre partie de lui.
‹ risèd : Une vie normale. Une famille.
http://www.smoking-ruins.com/t6912-reaghan-the-walking-dead
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Ce prénom de l'amour absolu et cet avatar de l'amour absolu aussi I love you je t'adopte déjà yeah bienvenuuuue sur exci ma toute belle ! Si tu as des questions, n'hésite vraiment pas à nous mp trognon bon courage pour le reste de ta fiche et j'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous ow
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Invité
Invité
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flora la couuuuz  iiih  inlove  kr ( et oui c'est bien cousine wi  love ) t'es trop belle rougit  (mais bon, c'est normal, les carrow sont les plus beaux, best mifa ever ow  facepalm ) hanlala, j'suis trop contente que vous aimiez ma référence, ça me fait tout plaisir  yeux  kr merci & oublie pas de me garder un lien au chaud calin kr  kr

reaghan vrai de vrai ? iiih ça fait gonfler mon petit cœur d'orgueil et de joie yeah facepalm (et puis là, si tu m'adopte, que demande le peuple ? ow  mdr  placard )  merci beaucoup, ct'accueil trop adorable trognon  minikr
je suis sûre que je vais pas m'ennuyer, ça à l'air de pas manquer pas d'animation par ici :-^: youpi
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
(ophelia) seven devils all around me  Tumblr_ob1ibueZ761rmsoypo3_250

‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14278
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
(ophelia) seven devils all around me  489546spea
Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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oh mais ton ramage a l’air d’être à la hauteur de ton plumage jule c’est tellement bon de voir Nina tentée, et avec un début prometteur pour ne rien gâcher tbe iiih BIENVENUUUE parmi nous et bon courage pour le reste de ta fiche ! comme l'ont dit les autres on est à ta disposition si besoin donc n'hésite pas à nous mp si tu as des questions superman
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