|
sujet; demandes de particularités réglées |
PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy   | ça marche pour nous  |
|  | | |
| | Prénom & Nom de votre personnage ; Morgana Ives Motivation ; En réfléchissant à la future intrigue et au rôle que mon personnage jouerait, je me suis dit qu’il serait très avantageux que ce dernier ait développé cette capacité. En effet, qui d’autres qu’un maître des runes pourrait user de ses compétences pour établir des rituels de protection autour des zones insurgées. (Vous ne voyez pas Morgana, traînant son seau de sang de Mangemort, aller repeindre les murs de l’Asile ? Moi, si… D’autant que ça donnerait un peu de boulot aux Mômes qui y traînent – genre la corvée de runes XD… Bref je m’égare). De même, cela permettrait aux insurgés d’avoir accès à des textes plus anciens afin d’établir notre domination sur le monde. Tout cela pour dire qu’Ives a les compétences pour faire un bon maître. C’est une ancienne langue de plomb. Elle a traversé moult tombeaux, connait relativement bien les civilisations tombées en désuétude, a décodés de nombreux langages aussi anciens, barbares et archaïques que le sumérien vulgaire sans se faire mettre en charpie ou souffrir d'explosion cérébrale majeure. Elle a donc les compétences théoriques suffisantes dans un certain nombre de domaine théorique (le seul soucis éventuel qui pourra se poser, c’est qu’elle connaît davantage les méthodes d’embaumement que les rituels de soins.) De plus, sa formation en animagie a montré sa patience légendaire quand il s’agit d’études. En tant que chef d’un groupe de belliqueux, cela lui permettra également d’assoir son autorité et de participer davantage à l’élaboration de stratégies puisqu’il lui faudra baliser le terrain afin d’obtenir quelques avantages. Cette capacité à la fois offensive et défensive serait un véritable atout pour la stabilité des Aliénés et d'éviter de trop grosses pertes à l'insurrection lors des sorties de grande ampleur en milieu hostile. . Maîtrise ; à quel point votre personnage contrôle-t-il sa particularité ? Entre savoir et pouvoir, il n’y a qu’un pas. Morgana, aussi étrange que cela puisse paraître, ne l’a pas franchi immédiatement. Ainsi, lorsqu’elle était encore prisonnière du confort relatif de la Salle de la Mort et de ses voyages transplanétaires, les runes n’étaient qu’un autre code à déchiffrer et à briser pour avoir accès à plus de connaissances. L’avidité de l’universitaire ne trouvait, alors, aucun frein, aucune limite. La langue est la clef des peuples, il lui fallait l’étudier. Pourtant, il ne lui serait jamais venu à l’esprit d’en user comme arme défensive ou offensive. Trop long à mettre en place, trop coûteux en énergie, cette méthode éculée ne lui aurait que peu apportée. Après tout, la jeune femme exerçait alors un métier honnête où les seuls êtres à craindre étaient les Filets du Diable et sa patronne tyrannique. Ce n’est que plus tard, alors qu’elle ourdit des plans d’évasions et vengeance en son sein amer que ces petits dessins du passé ont émergé sur la ligne de flottaison de sa mémoire. Au départ, il n’y avait des lignes vagues et brisées dans la cendre des feux de camps, puis ils se sont précisés, au fur et à mesure qu’elle collectait des grimoires et des livres. La science des runes est inexacte et capricieuse. Certaines combinaisons peuvent amener à de véritables catastrophes. De fait, Morgana est extrêmement prudente quand il s’agit de les manipuler (Il n’est, en effet, pas question d’aller faire sauter la Résistance avant l’ultime combat ou de lui faire pousser un troisième bras.). Un maître des runes est un spécialiste mais il ne cesse d'apprendre sur son domaine de compétences. Je pense que ses talents sont encore très perfectible d'autant qu'elle ne possède pas tous le matériel pour opérer au mieux. (Utiliser mes gallions ! J'ai des sous et des points d'xp ! Merci les crapauds !) |
| | | | |
WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | Anna Grimaldi ; Occlumens Motivation ; En premier lieu, parlons des origines, des prémisses de son apprentissage de l'occlumancie. Tout cela commence durant son enfance. Dès son plus jeune âge, Anna était une petite fille pleine d'énergie, elle connaissait les bonnes manières, elle savait ce qu'elle devait faire, mais elle le faisait rarement, parce qu'elle ne supportait pas les idéaux de sa famille, elle ne comprenait pas pourquoi ils devaient vivre dans le passé ... Elle savait pertinemment que l'âge d'or de la famille était révolu. Du coup, elle défiait souvent sa gouvernante, son père, sa mère, ne respectant pas toujours les règles de la noblesse. Sa mère, particulièrement déçue par ce comportement, prit l'habitude de la punir laissant des cicatrices béantes sur la peau et dans l'esprit d'Anna. Tout cela affectait la jeune rousse, mais jamais au point de la détruire. Malgré tout, ces actes lui ont permis de ranger soigneusement la douleur dans un coin de sa tête en essayant au mieux de ne jamais s'en souvenir. Cela constituera les fondements de sa qualité d'occlumens. Sa motivation bourgeonna réellement après la mort de Thomas. La souffrance, la colère, la rage, elle se devait de contrôler tout cela comme elle avait contrôlé la douleur durant toute sa vie (les violences de son enfance, sa fausse-couche, ...). Mais surtout elle devrait trouver un moyen de protéger ses souvenirs, de protéger ses émotions et ses sentiments pour ne pas se retrouver à la merci des Mangemorts ou des Insurgés quand elle décidera de faire ce qu'elle voulait faire. En effet, la mort de Thomas a marqué un déclic dans son existence, elle n'avait plus vraiment de but dans la vie ; de fait, elle a décidé de jouer un double jeu pour trouver un coupable, pour venger la mort de son mari, pour essayer de comprendre. Elle se fit donc engager au ministère dans un petit poste de secrétaire et commença à prendre contact et travailler avec les Insurgés. Cette double infiltration présentant de très gros risques si elle se faisait contrôler, elle en a conclu que la meilleure des protections était l'occlumancie. Ainsi, elle commença immédiatement un travail sur elle pour acquérir cette particularité. Maîtrise ;Actuellement, cela fait quatre ans qu'Anna pratique l'occlumancie. Elle s'exerce tous les jours, craignant à chaque seconde d'être contrôlée par le ministère. Elle maîtrise plutôt bien ce "don", mais a encore des difficultés lorsqu'elle est envahie par un sentiment très fort et prenant. Dans ces cas là, elle a besoin d'un temps un peu plus important pour retrouver la maîtrise de son esprit, l'exposant ainsi aux risques auxquels elle ne veut pas être exposés. Elle a notamment été contrôlée il y a un an. A l'époque, elle s'était bien insérée au ministère mais n'avait pas encore totalement démarché les insurgés. De fait elle n'avait rien à cacher, et la pratique de son occlumancie a donc été plus facile bien que fortement perturbée par la nouvelle de la mort de sa sœur. Seulement aujourd'hui, les choses sont différentes, elle est trempée au plus au point dans ses affaires, dans son double-jeu et son infiltration. Elle se doit de parfaire son talent d'occlumens car elle le sait, elle sera très régulièrement contrôlée que ce soit dans un camp ou dans l'autre. VOYAAAAA, merci beaucoup !  J'espère que ces motivations suffiront. Merci encore. Oups, je viens de me rendre compte que j'ai posté dans l'ancien sujet, je crois qu'un des liens dans un des sujets n'est pas à jour. Mais je sais plus lequel, si je le retrouve, je vous le dis ! :D |
| | | | |
WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9019
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Morgana : on en discute et on te tient vite au courant 
Anna : je te remonte en ZA tout de suite
|
| | | | |
PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | c'est tout bon pour vous |
| | | | |
| | Sansa Rosier ; animagus (jaguar) Motivation ; Animée par un fort complexe d'infériorité, Sansa s'est toujours sentie mal à l'idée de n'être rien. Sa mère possédait le troisième oeil, à ce qu'on lui a dit ; mais elle, en plus de ne pas avoir de mère, n'a même pas eu de don. Puis des rumeurs sont arrivées à propos de sa grande soeur, Yselia - et la blonde s'est définitivement sentie rejetée, diminuée, moins que rien. Dans une famille en déclin, entourée par les morts, elle n'avait qu'elle-même, sans aide. C'est à son entrée à Poudlard qu'elle a pris conscience qu'il ne servait à rien de se laisser abattre - qu'elle avait de sérieuses facultés et de grandes facilités à apprendre. De la haine à canaliser, aussi. L'apprentissage s'est imposé de lui-même, terrible, long, difficile. Mais elle a tenu bon, parce qu'il lui occupait l'esprit, l'empêchait de se miner encore plus, de sombrer. Elle avait un objectif, quelque chose à atteindre, c'était toujours mieux que rien. Elle voulait vérifier si ce qu'un animagus lui avait dit, un jour, était véridique : qu'on ne se sentait complet qu'un fois qu'on avait réussi, qu'on était parvenu à trouver l'animal qui vivait en nous, la véritable part de soi-même. Être complète. Enfin. Doux rêve qu'elle est parvenue à concrétiser, au cours de sa dernière année d'études. Capable de se transformer sans baguette, avec une fluidité déconcertante. Une prouesse remarquable, a t-on murmuré lorsque cela s'est su. Elle regrette aujourd'hui de s'être déclarée, mais pas seulement : il lui arrive souvent de regretter cet acharnement qu'elle a eu à devenir quelqu'un. Parce que même si elle ne s'imagine plus vivre sans cette partie d'elle-même, rien n'est plus effrayant que de voir ce qu'elle est devenue : un fauve. Elle l'était depuis le début, surement. Mais ce n'était pas aussi visible, et elle était moins fuie, moins monstrueuse. Maîtrise ; le contrôle n'a jamais été présent. Elle se rassure en se disant qu'avec des efforts supplémentaires, et de l'expérience, elle parviendra à dompter l'animal. Mais elle en est encore loin, terriblement loin. Chaque fois qu'elle est transformée, l'instinct primitif du félin prend le pas sur ce qui reste de l'humaine et menace de commettre des atrocités. Sansa n'en garde pas de souvenirs à proprement parler, seulement des flashs, des bribes qui ne font qu'attiser sa peur d'avoir commis l'irréparable. Chaque fois, elle se questionne sur ce goût de fer dans la gorge, panique en baissant les yeux sur ses mains pour vérifier qu'elles ne sont pas teintées de rouge. Elle a peur de chaque transformation, mais ces dernières s'avèrent régulièrement nécessaires, tant pour la guerre que d'un point de vue mental : elle sait, elle sent que sans ces dérapages quotidiens qui agissent comme une soupape de sécurité, elle n'aurait jamais été capable de tenir le choc. Le climat d'horreur pousse à devenir cruel et tant que le fauve l'est à sa place, elle se rassure en se disant que l'humaine ne l'est pas. C'est ce qu'elle a trouvé, inconsciemment, pour se protéger. Et pourtant peu à peu l'idée qu'ils sont la même entité, que les crimes commis, s'il y a crimes à l'avenir, seront fait par ses propres griffes et ses propres crocs, commence lentement à se faire une place. Peut-être bien que ça lui plait, d'être un monstre. Peut-être qu'au fond elle se complait dans cette situation, cette absence de contrôle, cette zone de non-droit qu'elle a elle-même générée. j'espère que c'était ce que vous attendiez, et j'ai essayé de faire court, mais... je suis pas tellement sure d'y être arrivée  anyway, désolée pour la lecture, et merci d'avance pour prendre le temps de discuter de tout ça  |
| | | | |
| | Alecto Carrow ; Voyante, « diseuse de bonnes aventures » Motivation ; Ce don est selon moi intrinsèque à la personnalité de Alec. Je m'explique et tente de vous convaincre ; j'ai créé une sorte de dualité chez elle, une hypersensibilité au monde / à la nature, en opposition directe avec son sadisme et son intransigeance face au genre humain. C'est à la fois son talon d'Achille et une façon pour moi de tempérer la belle, en plus d'être un moyen d'explorer d'autres possibilités d'évolution (jouer une grande méchante pour jouer une grande méchante ne m'intéresse pas, quand bien même cela puisse être grisant parfois, je tiens à ce que tout soit nuancé au maximum). Cela étant je tiens à correspondre et rendre hommage au personnage de base, et donc respecter ce que l'on sait de lui / son essence - et aux dernière nouvelle, celle-ci ne possédait pas de don, je ne la vois donc pas affublée d'une particularité plus « forte ». Connue pour ses débordements à Poudlard en temps qu'enseignante et son goût pour la torture physique et psychologique, j'ai vu en ce don très mystique et très en lien avec d'autres espèces / les rapports à l'autre, à l'âme, à la notion de destin, un moyen de l'adoucir sans pour autant contrer ses idéaux. Je pense qu'en plus de servir consciemment et volontairement sa cause grâce à sa voyance, donc (quoi que, il faudrait que l'on lui apporte suffisamment de crédit), ça ferait également office d'embûches quant à ses rapports sociaux au sein même des siens ; tous n'acceptent, ni ne croient, ni ne portent de crédit à ses prédispositions car comme précisé dans l'annexe, c'est une voyance « ingrate » et inexacte, propre parfois au monde moldu, monde que Carrow essaie d'ailleurs par tous les moyens de déprécier en tant que professeur. C'est aussi un moyen pour moi d'être en relation avec d'autres personnages, desquels à priori je n'aurai aucun intérêt à être en contact / à côtoyer en tant que Mangemort. Ainsi, il ne serait pas de notoriété publique qu'elle soit voyante ou conteuse de bonnes aventures, seul un nombre restreint de proches (collègues, alliés, mangemorts, fratrie ?) seraient tenus au courant de tout ça. Maîtrise ; Dans la mesure où il s'agit de la première source de voyance, la plus faible et plus courante, je ne pense pas qu'il y ait de maîtrise à proprement parler. Ni même que cela soit inné. Tout est une question de sensibilité, exacerbée, cultivée ou non. Parfois, une personne éveille quelque chose en elle, et elle s'avère réceptive à celle-ci. D'autres fois, plus couramment d'ailleurs, c'est le néant. Elle est soumise à ses sens, bien que connaisseuse en la matière ; elle sait lire les lignes de la main, le marc de café, tirer les cartes, mais se refuse (sauf si obligation) à la lecture d'entrailles animales. De même, puisque intéressée par la nature et le Monde, au-delà des Hommes, je la pense douée en botanique et potions, voire même en astronomie, mais il ne s'agirait là que de savoirs cueillis dans des ouvrages et non plus d'un don en soi. Voilà pour moi, en espérant vous avoir convaincus. |
| | | | |
PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | ok cette maj me déphase, j'pensais que t'avais déjà eu une rep bby  ta demande nous convient tout à fait  c'est top d'exploiter le côté "maîtrise totale de la transformation mais pas de l'animal", ça promet d'être intéressant en rp  et pour Alecto, idée inattendue mais intrigante/intéressante  c'est un perso peu développé dans les bouquins donc autant en profiter pour personnaliser le tout  c'est donc un oui pour toi aussi ! |
| | | |
|
|
Susanna, il y a eu la passion, les tensions, la séparation, la fureur, le manque. L'étape suivante aurait dû être la réconciliation - j'étais prêt à l'épouser. C'était avant qu'on ne la découvre coupable de trahison, avant qu'une vision d'Aramis ne révèle sa relation, avant que la dénonciation à laquelle j'ai consenti ne lui coûte la vie. Déchiré entre colère et regrets, j'ai fait le choix d'effacer les sentiments qui perduraient pour ne conserver que la haine. Rien d'autre que la haine.
