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sujet; (elias) allons foutre la merde. |
| Elias Isaac Rosier feat jake gyllenhaal • crédit tumblr | ❝ We're running in circles again ❞insurgent ; scénario☇ pseudo complet & surnom(s) ; elias isaac rosier ; « le traitre », celui sur lequel certains crachent, d'autres fulminent ; on l'insulte, on l'ignore, devant lui ou dans son dos, peu importe : on considère qu'il ne mérite plus de porter ce nom. Habitué, l’héritier légitime préfère laisser le torrent couler sur sa réputation ; désormais, il a l'habitude de se ranger du côté de ceux qui préfèrent simplement l'appeler « elias ». ☇ naissance ; vingt-deux juin 1967, en Angleterre. ☇ ascendance; pure ; certainement sa plus grande honte chez lui ; habitué à ce qu'on lui dise qu'il s'agissait là d'un privilège, étant enfant, il ne s'était jamais vraiment posé la question de ce que lui permettait – et de ce que lui coûtait – la nature de son sang. Depuis peu, c'est à son tour de cracher sur son nom ; il serait prêt à tout, quitte à renier cet héritage sali par le passé durant toute sa vie, plutôt que de laisser couler dans ses veines ce sang souillé par des idéaux pro sang-pur. ☇ métier ; ancien médicomage-urgentiste en chef à sainte-mangouste ; désormais, il s'avère plus compliqué pour lui de pratiquer son métier au sein de l’hôpital magique. Il a démissionné délibérément de son poste et ne l'a plus exercé pendant ses mois d'esclavages ; désormais, il poursuit sa profession au sein des insurgés, comme une sorte de petite clinique privée, qu'il essaye de maintenir en activité malgré le manque affreux de ressources et de médicaments dont il est sujet. ☇ camp ; insurrection ; qu'il a rejoint peu après sa libération, en juin 2002. Il fut audacieux pendant quelques semaines, avant de prendre le parti des belliqueux. ☇ réputation ; traître & bonne compagnie ; ceux ayant eu le droit de le connaître avant son entrée à Poudlard, date où ses opinions politiques ont commencées à changer, le traitent aujourd'hui de traître à son sang, de pourriture, de sale vermine ; on se demande pourquoi l’aîné de cette lignée quasi disparue, le fils prodige de la famille s'en est allé se battre pour une cause perdue. Alors on émet des hypothèses, on le méprise, mais surtout, on préfère éviter le sujet ; son nom n'est plus que tâche, et on préfère l'oublier. Du côté des insurgés, elias est plutôt quelqu'un de très apprécié ; on le qualifie comme quelqu'un de sincère et d'honnête, sur lequel on peut compter. Son savoir-faire dans le domaine médicomagique lui vaut louanges et fascination ; on aime bien avoir recourt à son expérience quand on est dans le besoin. ☇ état civil ; veuf ; au cœur balafré d'une blessure tout juste cicatrisée. ☇ rang social ; fugitif, ancien rebut. ☇ baguette ; une demoiselle de cèdre, symbole de force de caractère et de loyauté, portant une plume de phénix en son cœur, vingt-sept centimètres, plutôt épaisse et assez souple. ☇ épouvantard ; elias mangemort ; sa pire peur, sa pire honte – au delà de l’appréhension quand au dénouement de cette longue et terrible bataille – serait de se voir attribuer la marque, torture à l'encre noire, visible sur son avant bras. ☇ risèd ; rosier rouge fleuri ; il a encore des doutes sur ce qu'il peut représenter. Elias, au fond, songe à cet avenir, cet espoir d'après-guerre heureux et utopique qu'il conserve qu'il scande ouvertement. Et, quelques fois, il lui arrive d’apercevoir le reflet de son frère cadet, et ses côté, eux et le rosier ; en général, il préfère fermer les yeux sur cette vision dont il ne connaît que trop bien la signification. ☇ patronus ; belette ; cratérisée à la fois par sa férocité et par sa ruse. ☇ particularités ; aucune. ☇ animaux ; capitaine ; un vieux chat hideux et sale, au caractère douteux, retrouvé presque mort dans le caniveau. Pourtant, Elias n'a pas réussit à s'en défaire, et depuis, il le garde ; tantôt capitaine n'est pas chez lui, tantôt il passe ses journées à dormir et grogner contre le monde entier. ☇ miroir ; un losange aux reflets orangés.
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☇ Avis sur la situation actuelle ; elias est indigné par ce que le monde sorcier est devenu, les horreurs qu'il habite ; crimes, trahison, il ne peut pas – il se demande comment fait-il pour vivre dans un monde si bas, si inhumain, si triste. Mais elias est fatigué, fatigué d'essayer de comprendre pourquoi, comment, certains sorciers autrefois sans opinion politique particulière décident de se ranger aux côtés du Lord ; parfois, il s'autorise à désespérer. Pourquoi préfère-t-on choisir la facilité, à la raison ? Elias est énervé – il s'emporte et parfois, on ne le reconnaît plus. Le rosier est animé par cette rébellion qui lui coule dans les veines, qui cohabite avec ce sang si pur et pourtant si sale ; s'il existe justice dans le monde sorcier, il aimerait qu'elle soit faite. L'ancien rébut qu'il est lui hurle de se venger ; l'élias au fond de son lui-même lui intime de ne pas verser trop de sang. Mais là est toute la question : faut-il accepter le fait que les deux camps doivent subir de lourdes pertes pour pouvoir être départagés ? Elias ne sait plus – il n'est plus certain de ce qu'il fait, cependant, il continue d'avancer. Car au-delà de tout les malheurs qu'il peut endurer, de toutes les horreurs qu'il peut voir ; il s'oblige, de toute ses forces, à garder espoir. ☇ Infos complémentaires ; elias est l'aîné de la famille, la plus grande fierté de son père ; pourtant, il n'est pas devenu orgueilleux pour autant, merlin soit loué • ce fut à partir de ses onze ans qu'il commença à briser les règles qui l'aveuglaient, étant enfant ; il fut accepté à la maison griffondor, contrairement à ses pairs, dont son frère, qui séjournaient depuis des générations à serpentard. Cependant, ce fut pour lui l'occasion de s'intéresser à d'autres idéologies, et le fait de côtoyer quotidiennement de sang-mêlés et né-moldu a rendu elias complètement différent ; il a délibérément décidé de se ranger du côté de l'ennemi • il faut savoir qu'elias porte difficilement son nom de famille, « rosier », entaché par les crimes de son cousin et de son oncle pendant la Première guerre (pour l'un, en manquant, notamment, de défigurer Fol Œil) • engagé, ses convictions bien en poche, aucunes des – nombreuses – défaites des insurgés ne suffirent à les remettre en question • au niveau de ses qualités – assez nombreuses, il faut le dire – assez appréciées, on peut compter la loyauté, l'honnêteté, la ruse et l'intelligence ; on peut aussi le qualifier comme quelqu'un de charismatique, d'idéaliste et de calme, tout le contraire de son pourri de frère • il porte un tatouage d'encre noir représentant un rosier sur son avant bras droit ; parfois, il lui arrive de s'étendre jusqu'à son index lorsqu'il est énervé. Les fleurs s'ouvrent et se ferment selon son humeur. Ce tatouage magique est un souvenir douloureux – parmi tant d'autres – de son enfance avec son frangin • parmi ses défauts – présents en nombre, là aussi ; mais tout est relatif – on le qualifie souvent de quelqu'un d'autoritaire, d'impitoyable, de vindicatif, de calculateur, de lunatique et d'un peu emporté • afin d'assurer la renaissance d'une lignée condamnée, on a décidé de marier elias à margot, une belle française, provenant d'une famille réputée ; ils ont prit le temps de s'apprécier et il a finit par tomber littéralement sous son charme. Ce fut un déchirement pour lui lorsqu'on lui arracha la vie • aujourd'hui, elias est un fugitif ; il survit comme il peut, tantôt occupé à soigner les malades, tantôt occupé à se battre contre l'ennemi invincible • ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi jambon. J'ai quinze ans, je viens de france et j'ai connu le forum via un top site. Si tout va bien vous me verrez connectée quatre à six jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [X] oui (simon, tu m'autorise hein ?) / [] non. Un dernier mot ? et hop, un petit coup de vieux à l’insurrection ; y'a pas que les ados prépubères qui savent se battre (et désolé, c'est pas tiptop, mais j'ai pas trop le temps de tout retravailler, et j'ai trop hâte de rp ) |
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| l'univers s'écroule mes larmes coulent ❝ premier ❞février 2001 & forêt fuir ; courirElias fuyait, Margot le devançait de peu, quatre rafleurs sur leurs talons. Il entendait ses pas sur le sol frais de la forêt, la brise glaciale lui lécher les joues. Ils étaient rapides, les deux époux : habitués à fuir depuis de nombreuses semaines, leur vitesse et leurs sens s’étaient améliorés, aiguisés. Seulement, ils étaient affaiblit ; abîmés par le froid, la fin, la guerre. Cependant, leur volonté était grande, immense : ils ne se laisseraient pas attraper. On les avait retrouvés – comment ? Simon les avait dénoncés – qui d'autre ? Elias l'ignorait et n'avait pas le temps de penser. Il fuyait, il courait, à s'en abîmer les poumons. Le Rosier sentait les éclairs rouges vifs derrière son dos, entendait les incantations de multiples sortilèges – en particulier celui de stupéfixion. Il voyait les menaces l'éviter de peu ; il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Le souffle court, il protégeait comme il pouvait Margot – sa chère Margot. Pourquoi avait-il fallut que la vie soit si compliquée ? Pourquoi n'était-il pas chez lui, devant la gazette du sorcier avec son épouse qu'il chérissait plus que tout au monde, à se demander ce qu'ils feraient le week end suivant ? Pourquoi avait-il fallut que la guerre les rattrape, par merlin, pourquoi ?! Depuis que les deux époux avaient prit – secrètement – le parti de la rébellion, depuis qu'ils aidaient les insurgés à passer la frontière grâce à l'influence de Margot et ses relations françaises, des rumeurs n'avaient cessées de courir sur le compte. Puis, visiblement, la vérité avait finit par éclater ; révélée par on-ne-sait-qui, mais dont Elias avait sa petite idée. battre ; combattreTantôt, au beau milieu de sa course, Elias se retournait et lançait un sortilège, qui ratait bien souvent sa cible. Margot faisait de même, mais il ne voulait pas – ô merlin, il ne voulait pas qu'elle soit là, à courir, à fuir. Mais Elias refusait de fuir – la meilleure défense étant l'attaque, il ne supportait pas l'idée de combattre sans se battre réellement. La fuite ne les mènerait à rien ; ils savaient, pour eux, pour tout. Alors il prit le bras de son épouse et la plaqua contre un arbre. Ils avaient momentanément réussit à semer les petits moutons du gouvernement ; aussi reviendraient-ils bientôt à la charge. Elias sortit sa baguette ; il n'en fallut pas plus à Margot pour comprendre. Il s'embrassèrent, un « je t'aime » effleura les lèvres de chacun, et ils firent volte-face. Pendant un long moment, la bataille faisait rage ; tout deux duellistes accomplis, les deux époux réduisirent au silence deux premiers rafleurs à l'aide de sortilège de stupéfixion. Les autres, plus coriaces, tenaient bon. Et tout arriva très vite. Ce fut un premier éclair vert qu'Elias esquiva in extremis, puis un second. Et le troisième.. le troisième. Elias ne vit pas, touché par un maléfice qui le figea tout entier ; il observa, impuissant, le l'Avada frapper Margot de plein fouet. Sans la possibilité d'hurler, sans la possibilité de riposter. Il était là, et la regardait mourir. mourir ; mourir ❝ second ❞mars 2001 & tribunal magique Elias est épuisé. Accablé de remords. A bout de ce monde cruel qu'est le siens. Épuisé de se battre, épuisé de ressentir autant de tristesse, pourtant si jeune ; épuisé de vivre – abîmé par les épreuves qu'il a dut surmonter, à seulement trente-quatre ans. Et pourtant, il lève la tête, avec cette dignité presque insolente, cet orgueil qui l'habite et qui lui ronge les os – lui même ne se reconnaît plus. Il ne pense plus, ne vit plus ; il se contente de cracher sur ses ennemis, conscient qu'il ne fait qu'envenimer la situation. Il a peur, peur de la mort peut-être ; il craint ses pairs, ceux ayant rejetés ses opinions politiques, autant qu'il a rejeté les leurs. Désormais, la haine a prit le dessus. Un sentiment puissant, presque violent, qui bouillonne et coule dans ses veines. Il en a assez – assez d'observer les autres se plier au nouveau régime comme si de rien n'était, assez de ne voir personne réagir, assez d'être le seul à se battre. Non, pas le seul, songea-t-il. Il y avait elle. Ils étaient deux. Avec son épouse.. Morte.« Elias Isaac Rosier, sang pur. » Une voix rauque, vieille et morne le tira de ses pensées. Pendant un instant, il avait presque oublié où il se trouvait, et pour quelle raison. Il scruta d'un regard las la pièce circulaire – il n'entendait pas les sorciers hurler leur rage, aboyer son insolence et sa traîtrise. Il se moquait bien de ce que ces vermines pouvaient penser de lui – il était fier de ses choix, et le resterait toute sa vie. Dans quel monde vivait-il pour que de telles brutes osent acheter un sorcier ? Lui même l'ignorait. Il scruta, pendant quelques secondes, ses plaies meurtries au niveau de ses poignets enchaînés ; cela faisait presque trois semaines qu'il avait été arrêté. Envoyé de suite à Azkaban, il avait attendu patiemment une sentence – la mort, peut-être ? – avant d'être envoyé ici. Il contemplait avec une mine de dégoût ces dizaines de visages illuminés d'une lueur curieuse presque perverse. La sale était bondée ; les sièges étaient tous occupés, bien que personne ne soit assis, trop occupé à scander leur rage et leur haine envers l'héritier légitime ; il y avait même des « spectateurs » un peu trop curieux posés aux quatre coins de la pièce, tantôt assis par terre, tantôt accoudés aux balustrades qui séparait les condamnés du « public ». Elias s'autorisa un regard vers le vieux juge aux cheveux gris, dont il ignorait pertinemment le nom – et dont il se moquait bien de l'identité. Il fixa ses prunelles mornes un moment avant de s'étonner d'y déceler une lueur de.. d’appréhension mesquine. Il lui aurait volontairement brisé les os si des chaînes ne lui entravait pas les poignets. Les enchères commencèrent. Elias n'écoutait pas – il se rappela soudain pourquoi on l'avait arrêté. A cause de sa collaboration avec les insurgés, lui et sa femme. Margot.. Il chassa un sanglot d'un battement de cil ; il avait bénéficier de plus de deux semaines, seul au fond de sa cellule, pour méditer sur son erreur – en avait-il fait ? Son erreur qui l'avait condamnée.. sa chère, tendre épouse ; guerrière dans l'âme, engagée, combattante. Elle n’existait plus ; elle était morte à cause de ses convictions et de ses opinions politiques. Il ne savait plus quoi penser : d'un côté, il se refusait de l’imaginer à sa place, là, au milieu de tout ces acheteurs potentiels, toutes ces brutes, ces salopards qui enrichissaient grâce – ou à cause – de son nom. D'un autre côté, il donnerait sa vie pour lui rendre la sienne ; elle n'avait pas le droit de mourir. Pas le droit – et pourtant, elle n'était plus. Là encore, les hurlements dégénérés le tirèrent de ses pensées. Et là, mille, et là deux mille, et là dix mille gallions. Comment pouvaient-ils, comment étaient-ils capable de ce genre d'atrocité ? Comment pouvait-on acheter un nom ? Le rebelle qu'il était – et qu'il avait toujours été – était révolté par ce que le monde sorcier était devenu. Et alors, une enchère sortit du lot, un cri calme, presque serein, aussi fou que cela puisse paraître. « cinq cents mille gallions. » L'assemblée se tut. Ce fut si soudain qu'Elias ne put s'empêcher de soupirer, épuisé par le vacarme que ces bêtes faisaient. Il ne put également s'empêcher d'être étonné. Toutes les têtes se tournèrent au même moment, comme un seul homme, vers celui qui venait de se lever. Les traits doux mais cependant marqués, le visage illuminé par un rictus mauvais, la tête haute. Elias ne connaissait que trop bien cet homme, avait eut vent de ses nombreux déboires avec son frère cadet – Simon. Il contemplait Maksim Dolohov avec une lueur mauvaise, et autant de fureur que son cœur était capable de lui en donner. Il savait pourquoi l'homme avait enchérit autant sur son compte ; il n'avait en tête que l'humiliation des Rosier, depuis le début. Elias releva la tête, en essayant d'afficher un air hautain, mais le russe le faisait bien mieux que lui. Les deux hommes se toisèrent dans un instant qui sembla durer une éternité, dans un silence presque respectueux, que seul le juge osa briser – toujours de sa voix rauque et monotone, dans laquelle Elias y décela une once de surprise et d'admiration (étrange) « adjugé, vendu à Maksim Dolohov pour 500 000 gallions. » ❝ troisième ❞juin 2002 & Londres Elias errait sans but. Depuis combien de temps errait-il ainsi ? Merlin seul le savait. Il était libre – mais au fond, qu'est ce que cela voulait dire ? Il ne savait plus très bien – Elias savait très peu de chose, et, parfois, il se contentait juste d’accepter. Cela faisait presque un an qu'il était un rebut, et aujourd'hui, qu'était-il ? Un énième fugitif parmi tant d'autres, qui fuyait autant le gouvernement que ses responsabilités – non. Elias n'était pas ce genre de type, il fallait qu'il se ressaisisse. Il sentait la pluie Londonienne s'abattre sur son crâne, sur son corps, en cette nuit d'été – pleuvait-il, en été ? Visiblement, c'était le cas. Il déambulait dans une rue sombre, sans destination précise – si, il devait fuir, certainement jusqu'à la fin de ces jours. Pendant un instant, l'idée d'aller retrouver son frère lui traversa l'esprit, mais il l'a repoussa aussi rapidement qu'elle était apparue. Premièrement, il ne savait pas où il logeait – et n'en avait strictement rien à faire. Deuxièmement, il avait peur – oui, peur de ce frère qu'il ne reconnaissait plus, qui l'avait dénoncé aux autorités magiques, condamnant Margot par la même occasion. Si jamais ils venaient à se croiser, il ne sait pas comment son frère réagirait. Elias décida de s’asseoir, pour réfléchir, certainement. Il avait besoin de mettre sa vie au point. Il porta ses mains sur son visage sali par la fatigue, les nombreux moi de services chez la famille Dolohov – qui, curieusement, ne furent pas si désagréable que ça. Pour tout dire, il avait même hésité avant de prendre la fuite – oui, il avait osé hésiter. Ulyana, sa maîtresse, n'avait rien de ces sangs purs sans cœur qui réduisaient les rebuts au même niveau que ceux des elfes maisons – niveau injustement bas, pour l'un comme pour l'autre. Elle était simplement perdue, un petit peu simpliste et rêveuse ; Elias avait dû s'en occuper comme il l'aurait fait avec un enfant, rendant son séjour en tant qu'esclave un peu moins désagréable. Et, aussi fou que cela puisse paraître, il s'était prit d'affection pour la jeune femme. Mais voilà, Elias était un rebelle, un combattant, un insurgé dans l'âme : même avec toutes les meilleurs raisons du monde, il ne pouvait pas ne pas se battre lors de cette guerre qui le concernait, qui l'avait éloigné de sa famille, de ses amis – de ses pairs, et de la nouvelle société en général. Convaincu qu'il y avait d'autres moyens de combattre que la fuite, il était bien décidé à aller remplir les rangs des insurgés et aider la rébellion du mieux qu'il pouvait – notamment grâce à ses talents de médicomage, profession qu'il n'avait pas exercé depuis presque deux ans. Et ça lui faisait mal. Mal de ne pas pouvoir faire ce qu'il voulait – ce qu'il aimait. Il en avait assez qu'on lui dicte ce qu'il devait faire : il voulait se battre. De toute ces forces – toutes celles qui lui restaient. Elias se releva, pieds dans la pluie, tête dans les nuages ; ses yeux étaient allumés d'une lueur de détermination presque obscène, qui le rendait aveugle – non. Il avait encore du bon sens. Il avait encore cet instinct qui le guidait, cette force d'esprit qu'il lui avait parmi de se hisser aussi haut – avant de retomber tout aussi sec. Il était déterminé à retrouvé les insurgés – peut importe où il se trouvaient. Il s'engagea dans une petite rue, tâta de sa main sa baguette qu'il avait subtilisé à sa maîtresse quelques heures plus tôt, bien décidé à rejoindre la rébellion. ❝ quatrième ❞chronologie Juin 1967 : naissance d'élias septembre 1978 : entrée d'élias à Poudlard 1985 : sortie d'élias de Poudlard + début de ses études dans la médicomagie octobre 1990 : rencontre d'élias et de margot février 1991 : mariage d'élias et margot mai 1991 : promotion d'élias : devient médicomage urgentiste en chef 1996 : « renaissance » du lord ; début des engagements des deux époux dans l'insurrection décembre 2000 : découverte de l'implication d'élias et de margot dans des projets d’ordre rebelles (réseau étranger etc) + démission d'élias + cavale des deux époux fin février 2001 : arrestation d'élias + meurtre de margot « séjour » à Azkabandébut mars 2001 : vente aux enchères d'élias durant ses mois d'esclavages, il dut s'occuper de la jeune Dolohov, Ulyana, une demoiselle plus perdue qu'autre chose, un peu – trop – rêveuse, dont il dut prendre soin d'elle, la nourrir, lui tenir compagnie etc. juin 2002 : libération d'élias par son frère juillet 2002 : élias trouve refuge chez les audacieux, prenant pleinement, cette fois, le parti rebelle septembre 2002 : avec ses opinions changeantes, élias intègre les belliqueux 25 mars 2003 : participation d'élias à la prise de Poudlard
Dernière édition par Elias I. Rosier le Mer 27 Juil 2016 - 13:02, édité 1 fois |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Édouard Douglas | | | | |
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| Ça c'est un titre comme je les aime Bienvenue ce que tu nous presentes est déjà bien intéressant, bienvenue monsieur le médecin |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Simon Rosier |
Dernière édition par Simon Rosier le Mer 27 Juil 2016 - 0:47, édité 1 fois |
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| bienvenuuuuuuuuuuuuuuue :kr tu as fait un super choix de scénario et j'adore déjà ta plume n'hésite pas si jamais tu as des questions, nous on t'adopte déjà bon courage pour ta fiche |
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| rooh vous êtes tous des amours en sucre v'nez là que nous copulâmes tout ensemble
coco ; eeeh oui, kestuveu, j'suis douée pour ça t'es adorable gniih, merci simon ; OK PAREIL J’ÉDITERAIS ALORS EDIT ; NAN MAIS ARRÊTEZ AVEC TOUT CET AMOUR JE SAIS PLUS QUOI EN FAIRE (nan en vrai continue à fond j'adore me faire aduler )
C'EST TOI MA VIE, MON TOUT MA MUSE MON AMOUR, LE TROISIÈME CHAT QUE JE N'AI JAMAIS EU - malgré mes nombreuses demandes, bouh. (c'pas too much, c'est perf )
y'a pas de cachotteries entre moi et anna KESTAH T'AS PAS CONFIANCE OUKOI - sisi en vrai inquiète toi, elle me drague à fond je suis déstabilisée.
MERCI PTIT CHAT T'ES TROP ADORABLE DANS TA VIE AAH je meurs ET VOUS ME METTEZ LA PRESSION LA AUSSI nyssandra ; merkiiiii j'sais j'sais, elias est trop canon arrêtez j'écris pas aussi que vous, z'êtes tous des dieux de toute façon
Dernière édition par Elias I. Rosier le Mer 27 Juil 2016 - 11:46, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi |
Dernière édition par Anna Grimaldi le Mar 26 Juil 2016 - 21:14, édité 2 fois |
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