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sujet; Demande de particularité |
WIZARD • always the first casuality Arhen Lambrecht | merci merci merciiii je suis joie et vulupté, trop hâte |
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| Mon tour. J'espère n'avoir commis aucune bourde et surtout avoir rédigé un machin relativement intelligible, m'enfin s'il faut des précisions, ou des éclaircissements ou même tout réécrire, je m'y plierai fissa bonnes gens. En vous remerciant (et en vous souhaitant bon courage pour la lecture de pavey ) !
* * * Rodolphus Lestrange ; Nécromancie & Occlumancie. Motivation ; Au regard de la NÉCROMANCIE, il s’y est naturellement jeté dès l’enfance. Son père a très tôt fait ployer sa curiosité en direction des arts obscurs de la magie noire, et Rodolphus n’a jamais plus détourné son intérêt des déviances occultes l’attendant patiemment sur les étagères de la bibliothèque familiale. Si le sempiternel désir de combler les attentes patriarcales lui a donné l’élan nécessaire pour plonger corps et âme dans les opuscules tabous, c’est bel et bien son goût pour l’interdit qui a entraîné son intellect acéré vers cette ignominie qu’est la Nécromancie. En effet obsédé par l’idée d’exceller – désidérata on ne peut plus façonné par Aldebaran Sr –, le garçon a dès l’adolescence commencé à développer une passion pour la Mort. Non pas grotesque, barbare et purement sanguinaire comme on pourrait le croire, mais bien spirituelle. Intangible, immuable, indomptable, la Mort lui est apparue comme étant la Force suprême face à laquelle même les plus puissants mages ne pouvaient – quasiment – rien faire. Quoi de plus extatique pour un attentiste tel que lui, que de s’imaginer un jour pouvoir assujettir complètement la Camarde à son bon vouloir ?
L’érudition s’est faite bien plus aisément que s’il avait été issu d’un milieu modeste, ne le nions pas. Il n’a eu qu’à tendre la main pour trouver les premières allusions à la Nécromancie dans les illustres grimoires hérités de son grand-père, et à pénétrer clandestinement dans le cabinet de son pater pour y glaner les ingrédients nécessaires à des tentatives d’aspirant nécromancien. Ses débuts n’ont toutefois été ponctués que par des échecs, mettant à mal la pratique alors qu’à tout juste dix-sept années la théorie était gobée, digérée et pleinement acquise. Fatigué d’entasser ses petites monstruosités claustrées dans des bocaux à formol – une sinistre collection de ratés précieusement cachée dans sa chambre à Birmingham –, il a fini par fréquenter l’Allée des Embrumes dans laquelle des sommes folles de galions ont été dépensées pour satisfaire sa soif d’apprentissage. Entre autres choses, Rodolphus s’est à cette époque acoquiné avec la pire gouape possible rôdaillant en ces lieux, gueuserie au grand jamais estimée mais lui ayant procuré le nécessaire afin d’étudier cet art macabre. Manuel et ne grimaçant guère devant le labeur salissant, il s’est décidé à étudier les cadavres – d’abord d’animaux, puis d’humains – pour en comprendre le fonctionnement physiologique avant de s’attaquer à leur rouage cabalistique. Ce n’est qu’une fois ses études à Poudlard terminées qu’il a véritablement – et secrètement – poursuivi en autodidacte sa formation, jalonnée çà et là par des rencontres faites avec d’autres mages noirs davantage expérimentés.
Conscient d’avoir jeté son dévolu sur un culte on ne peut plus controversé et spécifiquement guetté par le Maître, Rodolphus a, en parallèle, travaillé la science qu’est l’OCCLUMANCIE. À dire vrai et pour l’ainé des Lestrange, ces deux particularités sont pour lui intrinsèques ; l’Occlumancie lui a permis durant toutes ces années de camoufler ses prédispositions de Nécromancien. Ironiquement, la concentration nécessaire à l’exercice de cette pratique n’aurait jamais été possible sans les heures de silence passées à disséquer des macchabées – une besogne conviant discipline et patience, durant laquelle il lui était alors aisé de vider le calice de ses pensées.
Puisqu’inéluctablement fasciné par la Nécromancie et sans cesse porté par le perfectionnement de cet art, il est devenu nécessaire – voire vital – pour Rodolphus d’accroître pareillement ses capacités d’Occlumen, afin d’engloutir sous bonne garde ses funestes et dangereux penchants.
Maîtrise ; Jadis maître occlumen, cette habileté s’est nettement dégradée une fois Azkaban intégrée. Le sorcier d’autrefois n’a jamais plus été le même après ces quinze années d’incarcération qui ont, sans nul doute, désagrégé ses capacités psychiques. Son prompt retour auprès de Voldemort n’a guère permis la rémission de ses affres et n’a fait, au contraire, qu’entretenir l’obscurité définitivement tassée dans l’esprit du Lestrange. Conscient d’avoir perdu sa maestria, Rodolphus n’a dès lors plus employé ses dons d’occlumancie que pour camoufler ses capacités de nécromancien au Lord, et épisodiquement échapper aux intrusions agressives d’autrui. Il n’est pas étonnant que le sorcier tienne tant à maintenir son infâme notoriété ; c’est un gage de protection ayant, jusqu’ici, pallié à cette carence. Nécromant expérimenté, il écope néanmoins des contrecoups perfides que la Mort se plaît à lui vomir, notamment à cause des failles mentales provoquées par son emprisonnement. Son aura magnétise les âmes en peine. Et pour un assassin de la trempe du Lestrange, il s’agirait presque d’une cohorte suivant ses faits et gestes, toujours là, toujours prête à bondir pour le torturer de peines étrangères à son cœur. S’il est blessé ou tout simplement épuisé, les Hantises profitent alors de cette opportunité pour lui apparaître en des visions cauchemardesques, ou carrément dégoiser leur énergie négative à la gueule de ses affects. Ainsi peut-il ressentir un chagrin colossal l’entraînant dans une détresse sans nom, lui qui, de coutume, n’est qu’un roc grinçant d’amertume. Les jours les plus sombres, ce n’est qu’à renfort de Navitas qu’il parvient à taire le maelström négatif travaillant son âme ; flirtant continûment avec l’addiction de cette drogue pour lui davantage signifiance de panacée.
Dernière édition par Rodolphus Lestrange* le Sam 10 Déc 2016 - 19:58, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Je remonte ça en ZA et on te dit au plus vite |
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| Peter C. Morgan ; Runiste Motivation ; Est-ce que le pouvoir est essentiel pour le personnage ? Essentiel, c’est une question de point de vue je dirai, mais ça ajouterait une singulière plu value au personnage, c’est indéniable ^^ Edit: ça permettrait également de lui faire prendre pied à fond dans le contexte de guerre actuel, parce que sans, j'ai peur que ça reste quelque chose de très lointain pour lui (assez égoïste le bonhomme). Et le jouer chassé par des tiers me ferait complètement délirer en fait. ça serait un plaisir de jeu hors normes et une possibilité de création de situations abusay infinie. J'adorerai. A tel point que ça serait évoqué et/ou creusé dans tous mes sujets, sans exception (vous le sentez le flash complet sur cette aptitude et le contexte dans lequel vous la proposez oopah? xD).Tel que je l’imagine, Pete est chasseur de trésors et de primes, quand il s’agit d’objets et non de personnes. Il aurait travaillé pendant plusieurs années pour Gringotts avant de se mettre à son compte. Je l’imagine également avoir nourrit l’ambition de devenir aventurier toute sa vie, et s’il aurait pris l’étude des runes à la base comme une corvée, encouragé par sa mère pour faire plaisir à la grand-mère (un peu la même ambiance que le latin au collège, ‘voyez), il aurait fini par se passionner pour cette matière et devenir assez, voire très bon. Cependant, le gros de sa maîtrise il l’aurait d’avantage acquise sur le terrain qu’en classe, question de survie quand on chasse des trésors protégés depuis des millénaires par de puissants sorciers vous ne trouvez pas ? ^^ Maîtrise ; A quel point votre personnage contrôle-t-il sa particularité ? Il la gère super bien, mais de façon extrêmement intuitive, ce qui lui joue régulièrement des tours. Pete est du genre à expérimenter sans réfléchir et à aviser sur le tard. Il a déjà inventé plusieurs sortilèges grâce aux runes, mais rien qui ne soit offensif, uniquement quelques distractions mineures ou protections. En revanche, si on lui demande comment ça fonctionne, il serait incapable d’expliquer quoi que ce soit. Il serait incapable d’enseigner à qui que ce soit comment fonctionnent les runes. C’est un langage qui parle à ses tripes avant de parler à sa tête. Il y va à l’instinct, et son intuition est insolemment aiguisée. C’est ce qui en fait un excellent chasseur, et un enseignant incapable, voire désastreux. Peter aime les énigmes, craquer les codes et repousser sans arrêt ses propres limites, autant physiques que mentales, ses réflexes, son habileté... Il est en quête du "mieux" et ne connaît pas de repos. Ce travail lui va donc comme un gant et il n’imagine pas une seule seconde faire autre chose de sa vie. Au fur et à mesure, il a fait de ses aptitudes en runes son jardin secret, et il entend bien à ce qu’il le reste, secret. Bon, j’admets que c’est un petit peu concis mais j’aimerai développer d’avantage dans la préso si jamais vous seriez d’accord En fait, tout va tellement être intrinsèquement lié avec ce personnage que ça me semble difficile d’en décrire un aspect sans tartiner… ><
Dernière édition par Peter C. Morgan le Ven 9 Déc 2016 - 15:02, édité 6 fois |
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| je remonte et on te répond vite |
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| Me voilà enfin, j'espère que ça ira sinon, n'hésitez pas à me le dire et je peaufinerai tout ça du mieux que je peux. Même si cette particularité est présente dans les livres, elle n'est pas assez exploitée selon moi puisque William est un personnage secondaire. J'ai vraiment essayé d'impacter sur la vie quotidienne le fait que Bill soit un semi loup-garou. Merci d'avance
Willia Weasley ; semi loup-garou.
Motivation ; concrètement, oui elle l'est. Pas uniquement parce que c'est un fait dans les livres et la saga, mais aussi parce que je cherche réellement à exploiter cette particularité sur le plan psychologique de Bill. Cela le change et l'éloigne de ses proches, sa personnalité prend un autre tournant, sa condition l'handicape et il ne se rend pas compte. Je souhaite vraiment développer cet aspect chez William, que cela ne soit pas juste un avantage sur le plan physique avec des sens et une force plus développé ainsi que des cicatrices (parce que les cicatrices, c'est badass) mais vraiment un handicap, comme une chute lente vers les ténèbres. C'est un tout, le contexte, la situation des Weasley et sa propre situation vis à vis de Fleur et des enfants qui va plonger lentement William vers une perte de contrôle, une perte de soi-même qui peut avoir plusieurs conséquences, ça va dépendre des rps et des situations à laquelle Bill il sera confronté, enfin voilà, les pistes sont nombreuses et je pense que cela peut être intéressant à développer pour William, montrer qu'il a aussi de grosses faiblesses et que le poids des responsabilités est trop lourd pour lui. Ses relations avec ses proches vont forcément changer et ne pas être toute rose et parfaite, comme avec sa famille ou sa femme, ses enfants peuvent même craindre leur père qui devient plus froid et brutal.
Maîtrise ; il n'y a pas de réel maîtrise de cette particularité. On la subit plus qu'on ne le veut vraiment. Le corps, le sang, tout est contaminé, tout est souillé. C'est ainsi que Bill perçoit cette blessure qui ne guérira jamais complètement et qui le fait souffrir toujours aujourd'hui. Pas physiquement non, car les entailles ne saignent plus, mais psychologiquement, il est plus atteint qu'il ne veut l'admettre. Se regarder dans un miroir devient une torture, parce qu'il n'admet pas ces foutues cicatrices qui lui barrent le visage en deux, comme si d'un côté, il y avait l'homme et de l'autre, la bête qui dort en lui. Une bête qui ne demande qu'à s'éveiller pour faire un carnage. En effet, si après avoir subi l'assaut de Greyback, Bill a commencé à percevoir des changements dans ses aptitudes physiques, notamment ses sens et une force physique plus développés, il n'a pas compris tout de suite les effets pervers et sournois de la demi malédiction du loup-garou. Sur le plan du caractère, sa condition l'handicape de plus en plus. En effet, dans le contexte actuel, l'angoisse et la peur sont amplifiés ainsi que le sentiment de perte lié aux décès de son père et de son frère ainsi que la démence de sa mère. C'est là que sa condition de semi loup-garou prend le dessus, que le bête s'éveille et le rend plus nerveux, également plus violent et vindicatif. D'un naturel calme et confiant, Bill change. Il refuse de l'admettre, mais il change, c'est un fait que sa femme voit, que ses proches peuvent percevoir, mais pas lui car il y est complètement aveugle. Bill prend des responsabilités, il les accumule, sans doute trop et cela le rend trop protecteur, trop étouffant, trop directif, trop tout. Il veut tout diriger au point de refuser les avis contraires, de refuser de perdre encore un peu. Le loup-garou endormi s'éveille et prend le contrôle alors et si William n'était pas violent, il le devient. Frapper du poing sur la table pour faire les gens, cogner les murs ou repousser ses proches, des agissements qui prennent le dessus sur la raison, sur l'homme au point de ne plus pouvoir fermer l'oeil, de devenir de plus en plus méfiant, d'avoir peur, de laisser cette peur gagner et le loup-garou dévorer l'homme, entièrement désarmé. |
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OUTCAST • all hail the underdogs Aspen Dunstan | je te remonte et on revient vers toi rapidement |
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| Bien le bonjour. En vous remerciant par avance du temps que vous m'accorderez ! Bellatrix Lestrange ; Occlumancie • Légilimancie. Motivation ; Le trépas précoce de Druella Black, née Rosier, est vécue comme une brutale mutilation. Portée aux nues par l'orpheline, la défunte revêt des airs de madone iconique, archétype d'une féminité tout autant idéalisée que biaisée, que synthétise à la perfection l'adage de la lignée maternelle arguant que Tout Rosier a ses épines. C'est ainsi que Bellatrix se dote d'une obsessionnelle propension à auréoler sa personne d'un nébuleux mystère, qu'elle n'aura plus de cesse, dès lors, d'entretenir tout au long de son demi-siècle d'existence. Son initiation à l' occlumancie parachève de lui conférer cette opacité absolue. Ses maîtres successifs seront, dans un premier temps, sa tante Walburga Black ; puis le Maître en personne, qui s'assure ainsi que ses noirs secrets sont parfaitement scellés, y compris dans la caboche de l'une de ses plus proches lieutenants. Bellatrix initiera par la suite, à la demande du Seigneur, son jeune neveu Draco Malfoy, lorsque celui-ci se voit recevoir la périlleuse mission d'assassiner Dumbledore, en 1996. Si la sorcière inhibe à autrui ses pensées profondes, c'est aussi parce qu'elle est convaincue que savoir, c'est pouvoir. Et de pouvoir, Bellatrix est avide. Aussi, l'apprentissage de la Legilimancie a-t-il été le juste pendant de sa pratique de l'Occlumancie. Les arcanes spirituelles n'ont plus guère de secret pour elle, et c'est cette double maîtrise qui lui octroie, tout à la fois la confiance que lui accorde le Lord, mais aussi sa valeur auprès de lui. C'est parce qu'elle sait lire les pensées, tout en étant apte à taire les siennes, qu'elle mènera, au nom de son Maître, de délicats interrogatoires — notamment d'Aurors, cibles d'autant plus rétives qu'entraînées. Du reste, c'est usant (entre autre) de tel art qu'elle mènera le fameux interrogatoire des époux Longbottom, en saccageant leurs psychés à trop vouloir en extraire, de force, une information qu'elles ne détenaient pas. Enfin, c'est parce qu'elle a fait de la science de l'esprit sa spécialité que Bellatrix a été désignée par le Maître pour former son neveu : qui mieux que le chasseur peut attirer l'attention de la proie sur les pièges tendus sur sa route ? • • • Maîtrise ; Si Bellatrix peut se targuer d'être l'une des sorcières vivantes les plus chevronnées dans tels arts, elle n'a toutefois pas fait preuve de suffisamment de prudence, en fouettant de façon trop répétitive ses aptitudes jusqu'à leur paroxysme. Lourdes sont les conséquences de ses présomptueuses appétences. • D'une part, le temps n'a plus le moindre effet lénitif quant aux souvenirs lancinants que ressasse son esprit. Chaque deuil, chaque douleur, chaque affliction s'avère aussi déchirant dix ans plus tard qu'ils ne l'étaient sur le coup même de leur survenance. En revanche, les souvenirs joyeux et tendres ont tendance à s'étioler plus prestement et il lui faut désormais accomplir un effort exceptionnel pour s'en remémorer tout à fait — encore que certains détails ont tendance à lui échapper. •• D'autre part, quelques crises d'une violence rare la guettent. Observées de l'extérieur, elles n'ont pourtant rien d'alarmant : Bellatrix est alors plongée dans une léthargie corporelle, et demeure alitée jusqu'à ce que l'épisode s'abroge de lui-même (en effet, il n'existe à sa connaissance aucun remède à son mal). C'est que les sévices sont invisibles, puisque psychiques. Non seulement resurgissent ses peines les plus virulentes, mais aussi celles que la légilimancie a récemment exhumé chez ses victimes. Ces épisodes se mélangent, se superposent et l'esprit est contraint de les affronter, ou plutôt de tâcher tant bien que mal d'y résister. Preuve en sont ses récurrents et abondants saignements de nez qui précèdent chaque crise ; l'esprit tente de se barricader, mais le mur de défense, qui résiste à toute intrusion extérieure, n'est alors plus capable de faire obstacle à ses propres assauts autodestructeurs. ••• L'usage (abusif, dans le cas de Bellatrix) de potions d'imperméabilité permet de repousser ces terribles effets secondaires, mais en aucun cas ce subterfuge n'est-il voué à la dispenser de l'inévitable, d'autant que, plus l'échéance est repoussée, plus pénible en est la survenue. |
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| je remonte et on revient vers toi rapidement |
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| Finalement, j'ai craqué Ren Akiyama ; Troisième Oeil (songes) Motivation ; J'ai envie de tester ;o; La communauté de la Terre qui est installée au Japon dépend des montagnes alentours à Kyoto où, dit-on, s'est installé l'esprit Inari, pourvoyeur de récoltes abondantes et de richesses. Cependant, ancestral et puissant, le kitsune (esprit-renard) est capricieux, protecteur craint pourtant par les sorciers car prompt à les posséder et à déchaîner son courroux si les rites et les offrandes ne sont pas dûment respectés. Depuis plusieurs générations, la branche maternelle dont est issue Ren a la charge de rites et d'offrandes qui apaisent l'ambivalent protecteur des enfants de la Terre ; et, dit-on traditionnellement, ces prêtresses, naturellement perceptives aux flux et reflux du Temps, reçoivent en échange le don de voyance par les rêves, moyen de communication avec l'esprit. Maîtrise ; L'esprit-renard étant ambivalent, tantôt bienfaisant, tantôt malveillant ; la prêtresse doit apprendre à démêler le vrai du faux, les rêves prémonitoires des facéties de l'esprit au risque d'être manipulée par Inari et de finir possédée. Les rituels onmyodo permettent d'aider à l'exercice et de rendre plus précis les rêves, d'améliorer la communication avec Inari et de mieux discerner les intentions du kami ; mais ne permettent et ne visent ni contrôle, ni accentuation, ni atténuation de celles-ci.[/b] (et je remonte comme une grande )
Dernière édition par Ren Akiyama le Dim 11 Déc 2016 - 1:47, édité 1 fois |
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