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| Parvati Âdhya PatilYou don’t know the half of the abuse❝ We're running in circles again ❞WIZARDS ; PV☇ pseudo complet & surnom(s) ; Patil. Cette saveur d'ailleurs, reflet des terres lointaines et originelles, mais trop peu foulées. Parvati, pour les dorures. Un désir de doter l'enfant de l'orra céleste d'une entité supérieure. Âdhya, pour accentuer le premier cri, la première voix entendue et son pouvoir, selon les croyances plus robuste. Mais souvent ne vient que Vati, pour les proches, sincères et aimants. ☇ naissance ; le treize août de l'année 1980 à Blackpool dans le Lancashire, un comté d'Angleterre. ☇ ascendance; Le banal, le mêlé. ☇ métier ; Salariée du ministère de la magie, hôtesse d'accueil et chargée du contrôle du personnel et des visiteurs. Maigre prestige, mais le confort de la sûreté. ☇ camp ; Paraître ou ne pas être. Le magister dit la voix, la rébellion crient le cœur et la raison. ☇ réputation ; La sensée, la sage et raisonnable pour la plupart, mais traîtresse et opportuniste pour ceux qui vraiment comptent. ☇ état civil ; L'âme est seule. ☇ rang social ; L'échine courbée face au pouvoir. Rachetée, gamine de la haute société tentant de rester suffisamment rentable. ☇ baguette ; Vingt-six centimètres. Bois de sorbier et crin de licorne. ☇ épouvantard ; Le masque tombe, face à Rabastan Lestrange. ☇ risèd ; Ses parents et alliés auprès d'elle, la guerre n'est plus qu'un cauchemar lointain. ☇ patronus ; une chauve-souris. ☇ particularités ; aucune. ☇ animaux ; une chouette effraie. ☇ miroir ; triangle aux reflets gris. | ☇ Avis sur la situation actuelle : Non spectatrice du chaos, c'est pourtant ce qu'elle feint. Elle n'est que murmure, une ombre parmi tant d'autres qui assiste au désastre, tait sa vérité. Et quels songes, ceux qui la feraient tuer, ou enfermer, torturer, car la mort se révélerait être une trop douce fin pour les dupés. Sur le devant de la scène, faible demoiselle s'étant frayée une place dans l'élite en reniant ses idéologies, en assurant ne vouloir continuer à se battre pour une cause veine. Les échecs l'auraient refroidies, poussée à retourner sa veste afin d'assurer sa propre survie. Faux semblants, mais se hisser au rang de rachetée, même dans le plus lourd des silences a un prix. Traîtresse, pointée du doigt. Elle aimerait leur dire, crier qu'ils sont ceux qu'elle tente de sauver, au péril de son supposé confort de vie. Mais elle ne peut pas, alors elle continue d'éviter leurs regards et supporte le poids de la haine qu'éprouvent à son égard ses véritables alliés. En plus de celui de la peur, constante, d'être démasquée. |
☇ Infos complémentaires ; Répartie chez les rouge et or par un choixpeau indécis, Parvati a fièrement porté ces couleurs durant sept longues années, contrairement à sa sœur, envoyée à Serdaigle. Une séparation des plus douces pour ces âmes jumelles qui n'étaient que soulagement d'échapper un brin à l'éternelle proximité qui les liait – aussi nombreux étaient les murmures qui juraient le contraire. • Aînée d'un duo qui n'a d'identique que les traits, leurs caractères diverges, de plus en plus, mais ne cessent de se compléter. A deux elles sont ce diamant, solide, résistant. Et c'est par la force de cette alliance qu'elles ont pris la décision de s'unir dans le dos de tous, mentir au monde, se séparer pour mieux dominer. Padma est la seule à connaître le statut d'espionne de Parvati depuis le début de cette guerre, elle en est même l'instigatrice. Et aussi rares sont leurs échanges, sûrement valent-ils le poids des maux endurés. • Elle a combattu lors de la bataille de Poudlard, rejoignant les rangs d'une armée de Dumbledore fraîchement reformée dont elle faisait déjà partie durant sa cinquième année. • Pourvue d'une âme des plus indécise, elle préfère déléguer tout ce qui ressemble de près ou de loin à responsabilités ou décisions. Pourtant téméraire et aussi loyale qu'on la penserait fourbe, certes elle retourne aisément sa veste sur un coup de tête, mais se trancherait elle-même les veines pour les causes et personnes qui l'importent véritablement. • Elle possède un tatouage sorcier. L'encre injectée sous sa peau se déplace à son gré, mais se fige le plus souvent en un papillon coloré qui bat des ailes sur son épaule ou le long de son dos. • Fascinée par la divination, elle affectionnait particulièrement son ancien professeur, madame Trelawney, l'unique à laquelle elle pense avec regrets. L'aînée lui a transmis savoir et adoration pour cet art aussi nébuleux que captivant et elle aurait certainement poursuivit ses études en ce sens si seulement elle avait eu le choix et l'occasion. • Jeune femme immature qui se moque bien de sembler futile et superficielle aux tiers prunelles, tant qu'elle peut profiter de son existence. • Malgré le train de vie aisé que semble lui offrir son rôle de rachetée, celui dont elle ne cache profiter, tout cela finit par lui peser, lourdement. Et plus encore lorsqu'elle repense à ses parents qu'elle n'a plus revus depuis des années, mais surtout à la honte qu'ils éprouvent envers elle, l'enfant reniée. • Peu sûre d'elle en amour, toujours éprise de doutes, elle tend à se laisser facilement charmer, séduire, convaincre et pourtant redoute l'engagement, fuit les serments aussi dépendante se révèle-t-elle être. Alors elle part et reviens, semble jouer, mais n'est au fond que déchirée entre se laisser aller et consolider les barrières qui la protègent. • C'est durant sa quatrième année à Poudlard que les mains d'un homme ont pour la première fois touchées son corps. Si Harry Potter était son cavalier pour ce bal organisé durant le tournois des trois sorciers, c'est bel et bien dans les bras et draps d'un français qu'elle a vu le jour se lever. Quelques hiboux échangés après cela, puis vain la guerre qui lui enleva tout, jusqu'à cette douce et innocente correspondance. • Sensible, elle peine à gérer le trop plein d'émotions et peut rapidement se laisser déborder. Mais divers masques couvrent constamment ce faciès qu'on juge naïf. Tragédienne, belle actrice, même ses prunelles sont menteuses. Et elle se joue du monde sans remords, préfère saisir le bâton et frapper, plutôt que lâchement le tendre. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi natblida/jennifer. J'ai vingt-deux ans, je viens de france/bretagne et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connectée 7 jours sur 7. Un dernier mot ? vous êtes décidément toujours aussi beaux.Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Parvati Patil le Sam 1 Oct 2016 - 18:32, édité 7 fois |
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| Can a man still be brave if he’s afraid ?She was chaos and beauty intertwined. A tornado of roses from divine.❝ People are not rain, or snow. They don’t look pretty when they fall. ❞(1998) Chaudron baveur Tu aurais dû être avec tes parents, dans la demeure familiale à leurs côtés, ceux de ta sœur, de tes pairs. Tu aurais dû te réjouir des premiers rayons du soleil, de ces longues semaines de vacances qui t'attendaient avant ta prochaine rentrée, la dernière, celle au terme de laquelle tu serais enfin diplômée. Et les voyages, sur la terre de tes ancêtres et d'autres que tu n'avais encore foulées. Les rires, les si longs repas familiaux que tu avais appris à aimer, bien qu'ils demeuraient à tes prunelles temps saccagé. Mais à ce jour, tu aurais tout donné pour pouvoir simplement t'asseoir autour d'une table avec les tiens. Même sans parler, juste les regarder, pouvoir soutenir leurs regards fiers, aimants. Mais au lieu de ça, seule cette auberge pour toile de fond. « Alors t'as vraiment retourné ta veste, hein. » Tu ne savais s'il fallait lire l'amertume ou la sagesse dans sa voix. Tu ne savais même ce qu'il faisait là, pourquoi il te parlait, t'accordait l'attention que tu ne méritais pas, ne voulais pas. Au loin, son père semblait lire la gazette. Mais sûrement n'était-ce que prétexte pour vous épier, surveiller, ses regards en coin le trahissaient. « J'ai seulement pris la meilleure décision, comme tu l'as fait, visiblement. » Il haussait les épaules, sûrement n'avait-il eu le choix, lui. Poussé par ses aînés, forcé sûrement. Toi, tu n'avais eu besoin de personne pour te soumettre à l'autorité, pour accepter de plier, de vivre sous surveillance, de pouvoir jouir d'une pseudo liberté. Tu disais oui et elle filait, ta sœur, ta moitié. Mais nul ne le saurait jamais, pas avant des mois, des années, une vie entière même, peut-être. Alors ils continueraient tous de te regarder ainsi, te parler ainsi. Tu sentirais l'aigreur dans leurs voix, jusqu'à ce qu'elles ne s'adressent plus à toi. Jusqu'à ce que ton patronyme ne dépasse plus le seuil de leurs lèvres, jusqu'à ce qu'ils t'oublient et accolent à ton nom le rôle de traîtresse. « Et ta sœur ? » C'était elle, qui avait pris cette décision. La décision de fuir, de te laisser le beau rôle, ou le pire. Tu ne tarderais sûrement à le découvrir. C'était elle, la tête. Elle l'avait toujours été et toi tu acquiesçais, admirative devant tant de sagesse, de bonté. Elle était forte, Padma. Tu l'étais aussi, peut-être, mais à ta manière. Plus en finesse, tout en lâcheté. « L'altruisme deviendra bientôt la pire des tares, tu sais. » Sa main effleurait brièvement ton bras et dans son sourire, la compassion. Ou l'écœurement bien dissimulé, là encore difficile de déchiffrer. Mais ces mots ne venaient de lui, rien de cela ne lui ressemblait. Sûrement de son père et il y croyait, faisait semblant d'y croire comme toi aussi tu le ferais. Parce que c'était rassurant, déculpabilisant. « Tu as croisé d'autres gens ? » Ta voix, si fluette, osait enfin. Mais il se contentait de hocher la tête, de gauche à droite, une unique fois. Et ce n'était la réponse que tu espérais. Aussi louables étaient tes actions, une part de toi, égoïste, espérait que d'autres feraient ce terrible choix. Tu ne voulais pas être seule, tu ne voulais pas être l'unique pointée du doigt. « J'ai appris pour Colin. Et Lavande. » Tu savais, toi aussi. Pourtant tu refusais d'entendre ces noms, de les voir associés. « Elle ira bien. » « J'en suis certain. » Si l'un avait perdu la vie, tu ne pouvais croire que l'autre, ta meilleure amie, aussi. Elle devait être là, quelque part, se cacher. Mais tu avais vu ses blessures, tu étais là lorsque c'était arrivé. Son état ne lui permettrait la fuite. « Nous nous reverrons en septembre ? » Au loin, son père lui faisait signe. « Je présume, oui. » Si évasif, il ne semblait même vouloir faire semblant. « Prends soin de toi. » « Toi aussi. » Et il t'enlaçait, tu lui rendais cette étreinte, trop longue pour feindre la banalité.❝ There are no bargains between lion and men. ❞(2001) Ministère de la magie Tu croisais des prunelles qui ne semblaient voir les tiennes, pourtant si nombreux étaient les faciès que tu reconnaissais parmi cette foule funeste. Et si tu t'étais lâchement promis de ne pas leur adresser un regard, tu demeurais forcée de constater que cette mission s'avérait être un échec des plus cuisants. « Vous n'êtes pas sur la liste. » Tu ne pouvais t'empêcher, tu ne voyais qu'eux. Eux, leur allure fatiguée, leurs faciès fardés pour tenter d'effacer toute trace de tourments, pour faire oublier leurs statuts de martyrs, à eux, qui n'avaient pourtant encore connu le pire. « Vérifiez à nouveau. » « C'est ce que je viens de faire Monsieur Stevens, veuillez attendre sur le côté, quelqu'un va venir se charger de vous. » « Se charger de moi ? » Ils semblaient si beaux, dociles, paisibles. Habilement arrangés, rendus plaisants, pour plaire justement. Plaire à ceux dont ils deviendraient les objets, leurs possesseurs, leurs tyrans. « Je travaille ici depuis des années, sombre idiote. » Presque inconscients, sûrement leur avait-ont fait ingurgiter maintes potions pour les rendre si serein. C'était à se demander comment ils tenaient encore debout, comment ils pouvaient ne serait-ce que supporter le poids de leurs corps pourtant si frêles. Trop frêles. Changés. Et pourtant pas suffisamment pour les rendre méconnaissables. Pas assez, pour parer la mélancolie, les remords, la pitié. Car c'est tout ce qu'ils inspiraient à ceux qui osaient poser un regard sur eux. Ces rebuts. Parias de la société. L'ont ne voulait les regarder, tu ne voulais les regarder, mais tes pupilles comme les autres ne pouvaient toujours pas s'en détacher. « Ce n'est pas ce que ma liste me dit. » « Au diable votre liste, vous m'avez forcément déjà vu, vous devez reconnaître mon visage ? » Voyeurisme malsain. Si celui de l'homme qui te faisait face ne te disait rien, plus tu t'arrêtais sur ceux en arrière, plus tu en reconnaissais. Des amis, des alliés. Et tu ne pouvais t'empêcher d'en chercher un en particulier, le tien. Celui de ton double. « Veuillez attendre sur le côté. » Tes mains commençaient à trembler, ta gorge à se serrer, alors que tu t'imaginais, toi, parmi ce flot de condamnés. Tu aurais pu être là. Tu aurais dû, être là. Peut-être le serais-tu un jour, si la mort ne venait te chercher avant ça. « Laissez-moi passer. » Tes lèvres s'entrouvraient pour répondre à l'effronté, alors que tes prunelles en croisaient enfin d'autres. Celles d'un camarade. Un ancien camarade. Le regard vide, complètement vide. Et pourtant assassin. Tu le savais, tu le sentais, tu l'avais cherché. Tu le méritais, mais pas au point que tous le pensaient.❝ Just the beating of hearts, Like two drums in the grey. ❞(2003) Allée des embrumes Tu tenais ce fichu miroir entre tes doigts. De longues minutes déjà que tu l'observais, du coin de l'œil, sans vraiment vouloir le voir. Et pourtant tu ne pouvais t'empêcher de le saisir, de temps en temps. Trop souvent, bien trop longtemps. Peut-être pour vérifier qu'il ne se teintait de noir, ou simplement constater le manque, l'envie de lui parler, l'apercevoir. Et tu en crevais, d'envie. Autant qu'ardemment tu fuyais ces furtives retrouvailles. A tel point que lorsqu'elles arrivaient, tu te sentais presque soulagée de ne finalement rien voir d'autre qu'un reflet si semblable au tien. C'était plus aisé ainsi, presque convaincant même. Après tout, elle avait cette même crainte dans le regard, cette même pitié parfois lorsqu'elle n'était remplacée par la hargne, ou cette rancœur que vous ne preniez presque plus la peine de cacher. « C'est l'heure, nous sommes même déjà en retard. » Tu le tenais toujours, le satané miroir, le faisais rouler entre tes doigts. « Vati ? » Et tu n'avais qu'une envie, le fracasser contre la tapisserie. « J'arrive, deux minutes. » Mais tu ne le faisais pas, parce que viendraient les remords. Parce qu'au-delà du verre, c'est votre relation qui se briserait. Pire encore, ça réduirait en cendre tout ce qui avait été fait jusque-là, le pourquoi du comment vous en étiez rendu là. Mais serait-ce si terrible finalement, de renoncer, faire marche arrière, accepter la défaite ? Des années que cette question revenait, mais tu avais mis bien trop longtemps pour trouver la réponse, maintenant c'était trop tard. Temps écoulé, partie terminée. Tu devais continuer, de marcher, pas après pas, sans jamais t'arrêter. Tu ne devrais même plus te questionner, simplement accepter. La situation. Ta situation. Et tes regrets, ta faiblesse, son égoïsme. Ou l'inverse. « Tu ne peux pas sortir dans cette tenue, et encore moins au Centuries. » « Je ne sais même plus si j'ai envie d'y aller. » « Je te rappelle que c'est toi qui a insisté pour que je vienne, alors tu ne vas pas te défiler. » « Je suis fatiguée. » De tout, constamment. Mais ton sourire était fort et il ne prenait que rarement de pause. « Aller, lève-toi. C'est trop tard pour annuler de toute façon. » Tu finirais par te couper les doigts, tant la pression exercée par tes phalanges sur l'objet demeurait forte. Savamment caché au creux de ta paume, tu profitais du regard distrait de ton amie pour le ranger. Toujours entre ces piles de vêtements, dans une poche de pantalon ou au fond du capuchon d'une cape. Et toujours avec ce même sentiment d'échec, d'abandon, en te disant la prochaine fois peut-être. Tout en sachant que chaque tentative serait vaine, tu te déculpabiliserais en pensant que tu n'avais rien à dire. Rien d'important. Rien qu'elle ne pourrait apprendre d'une autre bouche, d'un autre murmure.
Dernière édition par Parvati Patil le Ven 30 Sep 2016 - 15:17, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Flora Carrow ‹ disponibilité : hold that thought
‹ inscription : 11/12/2015
‹ messages : 1109
‹ crédits : MUDBLOØD. (avatar), sovereign (gif)
‹ dialogues : #336699.
‹ âge : vingt-deux ans (04/02)
‹ occupation : pour le monde, je suis une ancienne médicomage légiste (en réalité, l'ancienne assistante personnelle de l'Ambassadeur).
‹ maison : ravenclaw
‹ scolarité : 1993 et 2000.
‹ baguette : est toute neuve, taillée dans un délicat bois d'aubépine renfermant un ventricule de dragon, elle mesure trente centimètres et des poussières dépassant ainsi de loin celle que j'ai perdu dans l'attentat de saint-mangouste.
‹ gallions (ʛ) : 5130
‹ réputation : je suis Hestia Carrow, une fille bizarre, porte-malheurs, instable et incestueuse qui ferait tout pour sa sœur.
‹ particularité : clairvoyante.
‹ faits : je n'étais pas maîtresse de mes actions pendant la guerre, mon cerveau ayant été lavé après l'exécution des rebuts. J'ai fuit la bataille finale bien avant sa fin et je hais la marque à mon bras. Retrouver le contrôle de mon esprit n'est pas si aisé que ça et je fais encore de nombreux cauchemars. En fuite avec ma jumelle et mon niffleur albinos, Idris, logeant chez des moldus j'ai fini par me rendre en espérant rendre à ma sœur une vie normale, sauf que par un procédé qui m'est inconnu elle a réussi à échanger nos corps.
‹ résidence : bonne question.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : moi-même, ou Hestia qui sait, restreinte par une camisole de force.
‹ risèd : moi-même de nouveau identique à Hestia.
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WIZARD • always the first casuality Adidja Zabini | | | | |
| Merci beaucoup les filles En effet Sasha, je sens que j'arrive au beau milieu de quelque chose là :euh: Et pour être honnête je ne connaissais pas non plus Alia avant de tenter de trouver un visage à Parvati, mais je suis directement tombée sous le charme, elle est vraiment sublime |
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HERO • we saved the world Ginevra Weasley | ELLE EST VRAIMENT SUPER CUTE PTN BIENVENUE officiellement, t'es trop bonne avec nous en plus, tu nous donnes déjà de la lecture graou si tu as des questions, ofc, n'hésite pas à contacter le staff et/ou les potentiels liens de ton perso, on est là pour ça tu pourras aussi passer faire un tour ici à l'occasion, bon moyen de prendre dès maintenant contact avec les membres. bon courage pour la suite de ta fiche ! |
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HERO • we saved the world Amelia Cartwright | | | | |
WIZARD • always the first casuality Daphne Greengrass | AAAAAAAAAAAAAAAAH VATI Je suis vraiment trop contente de voir qu'elle est prise bienvenuuue sur exci, bon courage pour ta fiche et j'espère que tu te plairas parmi nous |
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HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10432
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| VATI VATI VATI je suis si heureuse de voir ce PV tenté Elle est si parfaite, le vava est parfait, et le début me donne envie d'en lire encore plus Et puis #sorbier sisi BIENVENUUUUUUUE CHEZ NOUS Bon courage pour la suite |
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| Huuu, vous êtes adorables Merci beaucoup beaucoup à vous les filles et je suis ravie de voir que je ne suis pas la seule à trouver Alia parfaite pour Parvati :hhh: vous êtes toutes aussi belles, notamment Alycia en Daphne, gosh ce choix, j'suis amoureuse et Ginny, les fiches vides c'est le mal, je ne pouvais décemment pas vous faire ça |
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