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sujet; Heath' - I see your true colors shining through |
| Heathcliff Isaac AveryTout ce qui sort de la norme, et donc considéré comme anormal, n’est pas nécessairement inférieur. ❝ We're running in circles again ❞Wizards ; Inventé ☇ pseudo complet & surnom(s) ; Comme souvent, la cooptation fut incommode pour mes parents. Pris dans l’étau d’une tergiversation sans réel fondement ils avaient, comme toujours, la préoccupation principale de ne pas s’accorder, sur quoi que ce soit. Le choix de mon prénom ne fit donc pas exception. Mère a choisi Heathcliff, signifiant la falaise près de la lande, dans l’espoir infime que niché au fond de mon cœur survivrait mes trois sœurs toutes enterrées sur les terres de cette résidence secondaire qu’elle chérie tant. Plutôt étrange quand on connait le petit “soucis” que connait mon oncle concernant, justement son étrange cohabitation avec ma tante mais cette demeure est bien plus qu’un cimetière. C’est son havre de paix, notre secret, un endroit rien que pour nous cinq. Père sélectionna Isaac, lors d’une hallucination hypnagogique. Le doute persiste quant à savoir l’image qu’il a bien voulu y voir à l’époque et qui lui a susurré ce prénom. J’ai moins même fait nombre de conjecture à ce sujet avec Morgane comme seul réceptacle de mes propositions. Elisheva aurait pu être l’une de ces apparitions choisissant ce prénom pour sa symbolique « l’enfant par lequel passe l’alliance » qui sait, un désir peu ou mal exprimé de voir un jour ses fils et son petit-fils rassemblés. Il y a également Marcus et son cynisme optant pour la traduction d’Isaac par « il a ri » connaissant mes difficultés à exprimer ces sons gutturaux au moment opportun ou « le sacrifié » symbole encore moins flatteur à mon propos. Mais je doute avoir un jour une réponse à cette interrogation. C’est donc dans cet ordre que je fus nommé Heathcliff Isaac. Mon patronyme n’a rien d’un mystère et si mon sang est le fruit d’un mélange Flint / Avery c’est bien le nom que mon père que je porte. Avery et le lourd passé qu’il entraine dans son sillage, un nom porteur de morts, de magie noire et de folie, mon héritage. Tout le monde m’appelle Heath, parce que c’est plus court, tout bêtement.
☇ naissance ; Le 1er mai 1986, le jour de Beltane dans l’arrière-boutique du salon de thé de Madame Pieddodu ou ma mère fêtait comme il se devait cette journée. Je n’ai, depuis ma naissance, pas dépensé la moindre mornille dans cette boutique. La propriétaire exigeant d’ailleurs que je déguste tout ce qui me ferait envie comme si j’étais « un peu de sa famille », elle arbore toujours un large sourire en ma présence et me pinçait régulièrement les joues il y a quelques mois de cela encore. Une femme incompréhensible si vous voulez mon avis.
☇ ascendance; Pur, c’est ce que vous voulez entendre n’est-ce pas? Je n’ai rien fait pour, rien contre non plus je suis un mélange de deux familles des 28 sacrés dont le mariage arrangé devait, nécessairement, se solder par la naissance d’un héritier c’est chose faite.
☇ études ; L’heure de la dernière année a sonné et avec elle l’arrivée de l’apprentissage orienté. C’est sans surprise pour la plupart de mes enseignants que je me suis dirigé vers le ministère pour faire mon stage et plus précisément au département de la Justice magique au sein de la brigade de police magique au plus près des tireurs d’élites, des modèles, mes modèles. Ils manient la magie avec dextérité et précision et c’est cette carrière que je souhaiterais embrasser.
☇ camp ; Lorsqu’on entend mon nom on attend de moi que le choix soit fait, simplement, presque comme une habitude prise depuis des années. Pourtant mon père ne porte pas la marque, ma mère non plus et je n’ai guère l’intention de rejoindre ce groupe d’hommes et de femmes marqués par un tatouage si néfaste qu’il m’empêcherait de réaliser certains sorts. Neutre semblerait satisfaire aux exigences cumulés de mon père et de tous les sorciers de sang-pur côtoyés jusqu’à lors. Mais au fond personne ne me demande réellement mon avis tant que celui-ci n’est pas hurler dans les rues de Londres. On me laisse vivre plutôt « tranquillement » grâce à mon statut d’élite, mon nom et la réputation qui y est accolé.
☇ réputation ; Je suis le garçon qui ne vous regardera pas d’abord dans les yeux mais autour de vous. Celui qui vous imitera, par habitude. Celui dont le sourire sonne souvent un peu faux et dont le ton n’est jamais vraiment approprié. Le garçon qui rigole de vos blagues avec un léger temps de retard et qui griffonne des dessins étranges. Je suis celui dont on murmure le nom en se gaussant de le trouver étrange, décalé, ailleurs. Le garçon bizarre, parfois même le fou voilà ce que ceux de mon âge pensent de moi en général et je ne peux pas vraiment les en blâmer ça n’est pas comme si c’était entièrement faux. Pour les adultes, ceux qui ne me connaissent que de nom savent surtout que je suis le Avery qui a fait l’affront à sa famille de finir à Poufsouffle et ceux qui me connaissent sont souvent surpris de mes capacités en sortilège, en duel mais tous s’accordent néanmoins à dire que je suis ce jeune homme charmant et étrangement bien élevé qui bien qu’un peu étrange reste un gentleman. Le fils de son père, toujours présent aux soirées, un cavalier recherché lors des festivités a défaut d’imaginer passer plus de temps qu’une soirée avec lui après tout il reste l’étrange Heathcliff Avery “Creepy kid”.
☇ état civil ; Célibataire. Ma mère se charge de me trouver l’épouse parfaite mais il n’y a de mon côté aucun empressement de voir ma magie liée à celle d’une jeune femme, ma vie non plus d’ailleurs. Les femmes sont bien trop complexes à comprendre en témoigne ma courte et désastreuse expérience en-là matière.
☇ rang social ; Je fais partie de l’élite sorcière, membre de la troisième branche des Avery sur le registre des 28 sacrés depuis sa création.
☇ baguette ; Ma baguette a été travaillé dans le charme et mesure très exactement 29.9 cm. Elle contient un poil de chimère ce qui rend l’alliance particulièrement surprenante. Force, rigueur, raffinement et sensibilité, un mélange peu académique pour cette baguette relativement rigide avec laquelle je me suis toujours senti en parfaite harmonie.
☇ épouvantard ; La solitude, l’abandon, l’épouvantard prend simplement ma propre apparence vêtu d’une tenue blanche brodé de mon nom et du sigle de Sainte Mangouste. J’y suis vraisemblablement interné et seul, sans aucune possibilité de communiquer avec qui que ce soit.
☇ risèd ; Je me vois serrant la main du directeur de la justice magique visiblement très satisfait de mon travail. Nous sommes dans un bureau qui semble être le mien, il y a un cadre accroché derrière nous ou l’on observe un couple et le jeune homme semble prêter toute son attention au ventre arrondie de cette jeune femme dont le sourire illumine la scène. Si l’image est trouble je n’en devine pas moins que mes plus profonds désirs sont au fond assez simples, la réussite personnelle et professionnelle dans un monde ou les sorciers comprendraient enfin que la magie n'a pas de sang.
☇ patronus ; Aucune forme distincte et c’est bien là un problème de taille à mes yeux. Je ne parviens pas à trouver un souvenir assez puissant pour réaliser un patronus corporel.
☇ particularités ; Traceur en devenir, si la théorie n’a aucun secret pour moi et les flux magique me sont aussi visible que la couleur de vos cheveux je ne suis pas encore capable de suivre, de poursuivre, de reconnaître toutes ces émotions qui rendent la magie plus puissante, plus éblouissante.
☇ animaux ; Une femelle fléreur offerte par mon père pour mes 5 ans, elle se prénomme Morgane mère ayant prononcé plus d’une fois ce nom lorsqu’elle nous trouvait tous deux dans ses jambes « par Morgane vous allez finir par me faire tomber ! » j’ai trouvé le sobriquet très approprié. Bien que capricieuse et toujours aussi sélective auprès des êtres qu’elle affectionne elle m’est d’une grande loyauté et d’une aide parfois précieuse pour entamer une conversation.
| ☇ Avis sur la situation actuelle : On parle souvent du pauvre Harry Potter et de ses jeunes amis au passé difficile au présent douloureux et l’avenir incertain. On parle tout autant du Lord et de tout ce qu’il a mit en oeuvre pour l’élite en bien ou en mal et surtout pour lui, sa réussite, son combat, sa vengeance. On parle de l’élite, bien sur, pour laquelle on se bat ou qu’on bat allez savoir. Mais qui se souvient des gamins qu’on avait enfermé dans les dortoirs? Ceux qu’on disait protéger en les laissant là, morts de peur, avec pour seule mission d’imaginer le pire sur ce qui se passe à l’extérieur. Qui se souvient de ses gamins qu’on a fait sortir rapidement, juste le temps, pour eux, de voir l’étendu des dégâts? Les morts qui jonchent le sol, le sang qui colore les murs avant qu’il ne retrouve les mangemorts pour être interrogés? Qui se souvient de ceux qu’on a obligé a retourner sur les lieux pour étudier? Et qu’on a pris pour cible, encore et encore. Qui se souvient de ces gamins qu’on a invité à des exécutions publiques pour être bien certain qu’ils ne reproduisent pas la même erreur. Mais ou est l’erreur? Etre né différent ou exécuter des semblables? Tout le monde a perdu des proches dans cette guerre mais combien ont vu leurs dortoirs déserter d’année en année, morts, disparus, devenu rebut... combien se sont senti depuis leur enfance pris au piège entre un nom et un sang? Les deux peut être. Moi je ne connais pas Harry Potter, vivant ou mort il n’est qu’un nom murmuré, un visage qu’on a donné a un ennemi imaginaire. Je ne veux pas devenir mangemorts, faire partis de ces sorciers sans libre arbitre, coincé dans une magie trop sombre qu’elle amenuise leurs dons. Je voudrais simplement être moi et étudier la magie dans son ensemble. Alors oui, mon attitude est lâche, discutable, haïssable. J’assiste aux soirées de l’élite dont je fais partie, dégustant des petits fours, buvant parfois plus que de raison. Je n’entache en rien la réputation de mes parents, gentil petit garçon. Je ne souffle pas quand un mangemort accompagne ma sortie, quand les restrictions se font plus pesantes. Je ne tremble plus quand les murs explosent, quand le sang coule. Mais je ne peux pas cautionner, je ne peux pas aider ces personnes, mangemorts ou insurgés je ne peux pas accepter ceux qui tuent la magie. Alors je suis juste ce gamin né en temps de guerre et qui tente d’y vivre en évitant ce qui ressemble de près ou de loin à un éclair vert. Parce que moi la guerre, je n’ai connu que ça et je ne perds pas l’espoir de découvrir autre chose et d’y participer, réellement. |
☇ Infos complémentaires ; un ou des talents (sport, matière de prédilection, etc. nb : ). • un tic. • une qualité. • un défaut. • une caractéristique (traits physiques, tatouages, cicatrices). • une rumeur. • etc. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Emeline ou Miline. Je vais bientôt changer de dizaine , je viens de Suisse et j'ai connu le forum via Elo . Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 9 jours sur 7. Un dernier mot ? Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Heathcliff Avery le Ven 21 Oct 2016 - 1:19, édité 11 fois |
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| Naître Il faut naître roi ou fou pour faire ce que l'on veut.❝ 1990 - Manoir Avery ❞ Elle tient dans ses bras un enfant en bonne santé sous le regard fier de son époux. Elle a donné naissance à un enfant en bonne santé et refuse depuis de le perdre des yeux plus de cinq minutes. C’est un véritable parcours du combattant pour elle. Vesta l’observe, le dévore du regard sans que cela ne soit réciproque. Elle sait depuis le premier jour que le nouveau né n’est pas vraiment comme les autres mais peu importe, il est en vie. Son fils est en vie et ça n’a pas de prix. Cet enfant rien ni personne ne lui enlèvera, du moins c’est ce qu’elle veut croire. Il a grandi son bébé, il marche, il cours, il parle, il regarde le monde qui l’entoure, il est curieux, c’est un enfant quasi normal. Alors Byron a accepté de lui trouver un parrain et une marraine malgré tout. Il ne nous regarde toujours pas directement dans les yeux. Il faut le lui répéter sans cesse. Il ne pleure pas, ne ri pas non plus tu ne peux pas me soutenir que tout est normal.Il voit au delas et le fait qu’il ne pleure jamais avait l’air de bien t’arranger jusqu’à présent. Ils l’ont conservé à la maison à l’abris du monde extérieur tout en le stimulant sans cesse, en lui offrant le meilleur. Parents attentionnés mais dont la crainte est palpable, ils ont l’espoir qu’il change mais leurs efforts n’ont pas eu l’effet escompté, le petit garçon est toujours un peu particuliers, différent. Il n’est pas méchant, il n’est pas sot, il est simplement ailleurs, il voit les choses différemment. Comme ce jour là ou il a rencontré pour la première fois son oncle, il avait seulement quatre ans et avait posé de nombreuses questions à son sujet. Lorsqu’il l’a vu le petit garçon l’a regardé durant de longues minutes, pas dans les yeux, jamais dans les yeux au premier contact. Un raclement de gorge de son père et ses deux billes marrons trouvait le chemin du regard étrange, froid de celui d’Owen. Il se tenait bien droit sur ses deux petites jambes quand il les a salué. Tous les deux. Bonjour Tante Selma, bonjour Oncle Owen. Pour l’enfant qui réfléchi différemment c’est assez “simple” son père lui a dit que Selma vivait dans l’esprit d’Owen, donc Selma vit donc il doit la saluer poliment. Bien sûr son oncle c’était emporté et il avait fallu une bonne dose de firewhisky pour le calmer. Comment pouvait on parler si librement à un enfant de chose aussi complexe que les problèmes mentaux de son oncle et de son père. Mais il les vivait ces problèmes, il avait vu son père partir, fuir loin d’eux lors d’une de ses crises et ça ne l’avait pas effrayé. Parce qu’il était différent et que sa mère lui répétait sans cesse que tout le monde était différent et puis il ne répétait rien. Heathcliff n’était pas muet il parlait avec parcimonie. Il n’était pas sourd mais préférait choisir ce qu’il entendait, il n’était pas aveugle mais préférait ne pas voir les effets de certains sorts. Il observe et sélectionne, comme ce soir là quand Owen lui sert un plein verre d’alcool qu’il attrape de ses petites mains. Owen n’a même pas fait attention, il a servi le gamin comme il aurait servi un homme. Ce n’est que lorsqu’il porte le verre à ses lèvres que son père se rend compte de la couleur ambré du liquide et envoie le verre valser contre un mur. MAIS PUTAIN OWEN A QUOI TU JOUES????? Il ne s’excusa pas ce soir là, il ne s’excuserait jamais de ses gestes parfois maladroits, souvent irréfléchies envers l’enfant. Mais tout ce qui ne tue pas rend plus fort n’est ce pas? Byron n’a pas besoin de protéger son fils de son frère, ils se voient si peu, s’entendent si mal et ce n’est certainement pas Vesta qui demandera à l’aîné d’être un oncle convenable pour son fils, non Owen est marqué, fidèle au Lord et si ce détails signifie qu’elle n’ira jamais à son encontre cela signifie aussi qu’il veut mieux maintenir son fils à une distance respectable du mangemort. ❝ 1er Mai 1991 - Manoir Avery ❞ Autour de moi tout le monde s’affaire, c’est Beltane et déjà ma mère porte sa plus belle robe blanche brodé de doré, elle a dans les cheveux cette couronne de fleur fraiche et rien ni personne ne pourrait l’empêcher de sortir ce soir. Rien, pas même le fait que ce soit mon anniversaire. La soirée de Beltane ne se manque pas, dit elle, et puis je suis trop petit pour comprendre, vraisemblablement trop petit pour qu’on m’explique, surtout. Assis sur le tapis en poils d’Ethonan, si doux et si léger, devant une cheminée qui crépite et crache de temps à autre des réponses à l’invitation du tournois de ce soir. L’elfe cours d’un bout à l’autre du manoir, préparant les tables, réorganisant les divers mets servis ce soir il obéit au doigt et à l’oeil de mon père. Mon père, lui, se tient droit, jette quelques sortilèges pour faire taire l’horloge qui me souhaite mon anniversaire en chantant, donne ses derniers ordres aux serveurs choisis pour la soirée jusqu’à ce que son regard ne se pose sur moi. Depuis combien de temps n’ont ils pas bougé? Cela va bientôt faire 11 heures qu’ils... se fixent. Le cadeau pour mes 5 ans aurait pu paraître anodin pour n’importe qui, mais pas pour moi. Le Fléreur, Morgane, m’observe avec une curiosité similaire à la mienne. Elle m’intrigue, cet animal détecte les mauvaises personnes mais elle saura t’être fidèle si tu es un bon maître, voilà ce que mon père m’avait dit et depuis qu’il m’avait confié la boule de poil celle ci m’étudiait. Cela signifiait-il que j’étais mauvais? Heathcliff, vos enfantillages vont finir par agacer votre père, laissez cette créature tranquille et allez vous changer. Mes invités vont arriver, ils doivent quitter les lieux. Korps, prépare le pour qu’il fasse une apparition, il restera jusqu’à la fin de la première partie! Heathcliff, par Morgane ne nous faites pas répéter! Je vais finir par être en retard! Ce fut ce moment que la petite créature décida de me lécher le bout du nez. C’est sans doute la première fois que mon sourire ne fut pas forcé. La surprise? Le fait d’être rassuré? Peut -être bien. Elle estimait que je n’étais pas mauvais et même si j’ignorais pourquoi je me sentais... mieux. Je me lève pour étreindre ma mère qui n’attend que ça, des preuves d’affection de ma part. Elle sait que c’est un peu automatique, un peu habituel et pas vraiment naturel mais elle s’en contente. Votre parrain est sur la liste des invités mais ne lui tenez pas rigueur s’il a oublié la date de votre anniversaire, c’est entendu? Elle me regarde et attend un signe de ma part pour me laisser partir et surtout pour filer retrouver ses “amies” du comité des femmes. L’important c’est qu’il soit là. Même si, en réalité Simon devait presque avoir été “forcé” de participer à une soirée, un des tournois poker sorcier de mon père. Elle hoche la tête, dépose un baiser sur mon front et me laisse suivre l’elfe. Je ne suis réapparu dans le grand salon que lorsque les joueurs étaient déjà attablés. Mon père attendait de moi que j’observe, “on apprends beaucoup d’un homme qui joue au poker sorcier” me répétait il. Alors même à cinq ans seulement je passe de longues heures à observer ses sorciers jouant aux cartes. Lorsque la première manche fut terminée je m’approche de la table ou mon parrain avait joué. S’il était parvenu a passer le second tour, il venait tout simplement de se faire “dépouiller” par un autre joueur que j’approchais. L’homme m’observa à son tour et me lança un regard froid. Que veux tu gamin? Mon père m’a dit que la victoire avait un gout particuliers lorsqu’on usait de magie pour gagner, est ce vrai? Oui, je venais tout simplement de dire à toute la table que cet homme venait bel et bien de tricher pour “voler” mon parrain et oui, je venais de le faire avec l’innocence qui est la mienne. Le ton est neutre presque déstabilisant et je ne bouge pas, comme si j’attendais une réponse à ma question. L’homme se lève baguette à la main avant d’être stoppé dans son élan par Simon qui c’était placé juste devant moi et tenait fermement la baguette du sorcier. Je ne voyais pas son visage, son expression mais, il devait être rudement en colère vu le pas en arrière et le signe de tête que l’autre homme venait de faire suite à ses paroles. C’est avec moi que tu régleras tes comptes à la prochaine partie. Mon parrain prit ma main et me raccompagne dans ma chambre. Il m’installe sur mon lit et se met à ma hauteur, quand les adultes font ça ce n’est jamais bon signe. J’ai pas menti parrain. Je vois la magie maman dit que je suis traceur. J’ignore encore tout ce que cela signifie, elle et mon père m’avait juste demandé de ne pas en parler mais Simon c’était différent, Simon c’est mon parrain. Ne t’inquiète pas pour ça, regarde ce que je t’ai ramené. Tu ne pensais tout de même pas que j’avais oublié ton anniversaire! Il sort de sa poche un petit paquet que je m’empresse d’ouvrir. Les adultes aiment que les enfants se dépêchent en ouvrant un paquet, j’ignore toujours pourquoi mais il en faut peut pour les contenter. Je découvre un jeu de carte autobattantes et relève le regard vers Simon. Touches les, il faut que ce soit les tiennes et tu gagneras à tous les coups si tu n’oublies pas une chose. Sers-toi toujours en dernier. Il me fait un clin d’oeil, que je ne comprend pas - avait il un soucis?- mais je touche le jeu qui se révélera plus tard être un jeu truqué qui n’obéissait qu’à moi, voilà pourquoi il avait fallu que je sois le premier à le toucher. Merci. Je me frotte les yeux et il place la couverture sur moi. Ne t’en fais pas pour moi, je vais tous les plumer ce soir. J’en suis certain. Parce qu’il est doué mon parrain, il fait partie de ses adultes qui ne savent pas qu’ils en sont et moi, je l’aime bien. Je baille et ferme les yeux, la dernière chose dont je me souvient c’est sa main qui ébouriffe mes cheveux et Morgane qui se cale dans mon dos alors que je m’endors serrant les cartes à joué dans mes petites mains. Simon quittait la chambre non sans avoir aperçu cette étagère ou était entreposé tous les cadeaux qu’il avait pu me faire comme si je les conservais comme des oeuvres d’art, des trésors. GrandirGrandir, c’est trouver le bon équilibre entre responsabilité et envie.❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. ❝ 1996 Sainte Mangouste ❞ Mon père m’emmène partout, il tente de me montrer le plus possible d’émotions sur le visage d’inconnus suivant à la lettre les recommandation du medicomage de la famille. Mon “petit problème” comme il l’appelle n’est pas sans remède, sans réponse, tout comme il n’est pas mortel. Ce qui dérange mes parents c’est bel et bien le fait que ce soucis soit visible dès lors qu’on discute un peu avec moi.Il souhaite que je sois armé pour Poudlard et s’efforce donc de multiplier les rencontres mais celle d’aujourd’hui est habituel. Tous les deux mois il m’emmène avec lui pour voir ma grand-mère Elisheva, internée à Sainte Mangouste depuis des années. Elle ne me parle jamais vraiment, c’est tout juste si je ne dois pas lui répéter mon nom à chaque fois mais aujourd’hui à peine arriver devant la porte de la chambre qu’une infirmière en sort. Messieurs Avery. Elle est réveillée mais reçoit des soins, vous pourrez la voir dans une petite dizaine de minutes. Très bien, je vous remercie. Heathcliff, restes ici je dois voir le médicomage, si je ne suis pas là quand l’infirmière sort tiens compagnie à ta grand-mère. Oui. Je m’étais adossé au mur devant la porte après avoir attrapé un dépliant sur le bureau des infirmières. Plongé dans la lecture des maladies infantiles je n’ai pas vu le temps passé, mais la porte de la chambre qui claque me ramena sur terre et j’entrais dans la chambre m’approchant de la vieille femme assise dans son lit. Bonjour Gr... Byron, Byron tu es venu me voir... Je ressemblais à mon père plus jeune, peut être avait elle simplement perdue la notion du temps. C’est Heathcliff grand-mère. Oh tu m’as apporté quelque chose... Je regarde la brochure qui n’est pas vraiment un cadeau... Approche, viens que je t’embrasse, tu es un si gentil garçon. Je referme la porte derrière moi et m’approche du lit un peu gauche. Elle m’étreint et embrasse ma joue avant de me prendre le dépliant des mains. Ce n’est clairement pas le cadeau que je souhaitais lui offrir.... Mère m’avait appris à préférer les chocolats pour les femmes. Les maladies infantiles? Serais-ce un message? Je secoue la tête frénétiquement mais déjà elle s’emporte. Ton amie est enceinte?!? Encore faudrait il avoir une amie et .... surtout avoir plus de dix ans ! C’est Heathcliff grand-mère, je venais pour te dire que j’ai reçu ma lettre pour Poudlard... Prends garde, prends bien garde à toi, au bébé !! Si c’est une fille, prends garde ton père serait capable de la faire disparaitre avant même sa naissance.Je suis trop jeune grand mère... La malédiction des Avery, n’oublie jamais une fille ne survivra pas à sa naissance, prends garde aux potions abortives de Marcus.Grand-mère je ne... Promets moi, promets moi de ne pas faire ça, prouves à Owen que j’avais raison, prouves lui sois un bon garçon!! Ne fais pas ça à tes filles promets moi. mais... J’étais complètement perdu et elle me maintenait si fort, elle me secouait presque. Promets. Je ... je le promets. Que faire autrement? Je n’avais qu’une envie, une idée un désir, quitter cette chambre, cet hôpital, m’éloigner le plus possible d’elle et de cette histoire de malédiction sur les filles Avery. J’ai promis, lâchez-moi s’il vous plait. Et elle me secoue encore et encore continuant de parler de malédiction d’enfant mort nés jusqu’à ce qu’une infirmière ne pénètre dans la chambre et parvienne à la calmer en usant de sorts et de potion. De mon côté, je trouvais la sécurité de l’extérieur de cette chambre ou mon père me retrouva quelques minutes plus tard. Après quelques explications de la part de l’infirmière nous nous dirigions vers une petite salle d’attente par chance vide. J’expliquais alors à mon père ce qu’Elisheva m’avait dit, mon père s’excusa de ne pas avoir été là et nous rentrions, promettant de ne pas raconter cette histoire à ma mère qui se serait inquiétée inutilement, disait il.
Dernière édition par Heathcliff Avery le Mar 18 Oct 2016 - 22:51, édité 9 fois |
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| Evoluer Il n'y a pas d'évolution sans liberté d'essayer.❝ 1997 - Poudlard ❞ Essai de te faire des amis. Regarde tes camarades dans les yeux. Présente Morgane, les enfants aiment bien les animaux. N’oublie pas de serrer la main, fermement comme je te l’ai appris. Souris, tu obtiendras toujours plus en souriant. Ne réponds pas à chaque question posée, personne n’aime les monsieur je sais tout. Ne parle pas de ton don. Ni de ton “petit problème”. Sois fier de qui tu es. Tu as tout pour réussir. Prends soin de toi et écris nous régulièrement. Vesta, notre fils n’est plus un enfant.Tu as tout ce qu’il te faut? Tu recevras la gazette comme tu me l’as demandé ainsi que le quidditch magazine. Tiens, tu t’achèteras toutes les sucreries que tu souhaites dans le train. Ecoutes bien tes professeurs et fait gagner la coupe à notre maison. Dépêchons, tu vas finir par louper le train. Ma mère se penche vers moi et m’embrasse. Profite de Poudlard. Furent les derniers mots de ma mère avant que je ne monte dans le train. J’avais hoché la tête acquiescé à tout en silence, de toute façon aucun commentaire n’attendait de réponse. Un dernier signe de la main et je rentrais dans le wagon cherchant un compartiment vide. Mais j’avais du trop attendre avant de quitter mes parents puisqu’ils étaient tous pleins, du moins jusqu’à ce que je trouve une demoiselle,plutôt jolie, seule avec son chat. Je prenais une profonde inspiration et frappais à la porte un petit coup timide. Bonjour, on peut s’installer avec toi? En me rappelant des paroles de ma mère je souriais, un brin en retard, en revanche, comme toujours je ne la regardais pas vraiment dans les yeux, juste à côté, un tout petit peu, j’allais vraiment devoir travailler ça. Bien sûr! Je m’appelle Blair et lui c’est Mister Mabble. Heathcliff et elle c’est Morgane. Je m’installe en face d’elle et Morgane prend place de façon à bien observer son nouvel ami. Je lui tend la main, il faut serrer la main des gens je n’ai pas oublié. Quand elle comprend elle tend la sienne et je la serre en la secouant. Doucement, t’es bizarre toi. Je suis particuliers mais on l’est tous non? C’est pas faux. Le voyage en train fut en réalité très court, nous avons beaucoup parlé tous les deux et aussi beaucoup mangé de bonbons en tout genre, elle avait sur elle des sucreries moldus, une vraie découverte pour moi. Malheureusement une fois le pied a terre nous nous sommes perdus de vue et je ne l’ai retrouvé que devant la porte de la grande salle. Ah! t’es là!! ça va? T’es tout blanc. Oui je crois je sais pas trop ça va sans doute. J’en oubliais même de lui demander ce qu’il lui était arrivé, j’étais comme déconnecté, observant le porte, rien que la porte, n’entendant même pas Blair, ne la voyant surtout pas jeter sa chaussure ou moment même ou le professeur McGonagall nous demandait d’entrer en silence alors, je me taisais, marchant mécaniquement vers la table des professeurs sous le regard surpris de Blair qui m’avait rejoint après avoir récupérer sa chaussure. Heathcliff Avery. Dans les premiers bien sur, c’est dans ses moments là qu’on regrette de pas s’appeler Weasley!Je m’avance et m’installe sur le tabouret avant que le professeur ne dépose ce vieux bout de tissus sur ma tête. Surprenant... voilà un Avery surprenant. Il ne commençait pas par bizarre c’était déjà pas si mal. Je vois de l’ambition, un grand besoin de faire ses preuves... mais aussi une grande soif de connaissance. Serpentard serait tout indiqué mais... Un blanc cela signifie que je dois faire ou dire quelque chose, paniqué je pique. C’est votre boulot de choisir la maison idéale. Je le sens se mouvoir sur ma tête alors que j’observe les tables une à une. Le choix n’est pas simple tu es aussi très loyal et... Dites Serpentard c’est ce que vous alliez dire de toute façon. Même si en réalité cette maison ne m’attirait pas réellement... la maison de mon père, de mon oncle, de bon nombres de sorciers de sang pur. Non, je n’étais pas vraiment comme eux. Poufsouffle! Mes yeux s’arrondirent alors que dans la salle les murmures commencèrent à fuser de toute part et le professeur de métamorphose du presque me pousser pour que je me lève et me dirige vers la table de ma “nouvelle maison” ou Blair me rejoignit rapidement. Je suis trop contente qu’on se retrouve! Qu’est ce qu’ils ont? Pourquoi tu fais cette tête là? Mon père va me tuer, il voulait que je sois envoyé comme lui à Serpentard et je suis... là. Son visage se modifia et je comprenais que mes paroles l’avaient peut être blessés, je ne savais ni quoi ni comment mais je devais me reprendre. Mais j’ai une amie n’est ce pas? Tu acceptes toujours qu’on soit ami hein? Toujours! Et elle me serra la main si fort en la secouant que mon visage repris peu à peu des couleurs au fond simplement heureux d’être là ou je devais être. ❝ 1998 - Poudlard ❞ blablablablabla blablablablablablabla blablablablablablab lablablablablabl ablablablabla blablablablabl ablablablablablab lablablablablablab lablablablabla blablablablablab lablablablablablablablabl ablablablablabla blablablablablab lablablablablablab lablablablablablabl ablablablablablabl ablablablablablab lablablablablablabl ablablablablablablablabla blablablabl ablablablablablablab lablablablablabl ablablablablabl ablablab lablablablab lablablablablabl ablablablablab lablablablablablab lablablablablab lablablablablablablab lablablablablab lablablablabla blablablablablablab lablablablablablabl ablablablablablablablabl ablablablablablablablab lablablablablabla blablablablablablabla blablablablablabla blablablablablabla blablablablablablabla blablablablablablab lablablablablablabla blablablablablablab lablablablablablabla blablablablablabla blablablablablablabla blablablablablabla blablablablablablabla blablablablablabla blablablablablablablablabl ablablablablablablabla blablablablablablablab lablablabla blablablablablabla blablablablab lablablablablablablablab lablablablabl ablablablablabla blablablablablablabla blablablablablablabla blablablablabla blablablablablab lablablablablablablab lablablablablab lablablablablablablabl ablablablablablablabla blablablablabl ablablablablabl ablablablablablablabl ablablablablab lablablablablablablabl ablablablablablab lablablablablablabl ablablablablablablablablablablablabl ablablablablablablab lablablablablabl ablablablablablablablablablablablabl ablablablablablablablab lablablablabl ablablablablablablablabl ablablablablabla blablablablab lablablablablablabla blablablablablablablablablabl ablablablablablabl ablablablablablabl ablablablablablab lablablablablablablablablablabl ablablablablabla blablablablablabl ablablab lablablablab lablablablablablablablablab lablablablablablabla blablablablabla blablablablablablablabla blablablablab lablablablablablabla blablablablablablablablablablabla blablablablab lablablablablablabl ablablablablablablablablablablab lablablablab lablablablablablabla blablablablablablablabla blablablablablablablablab lablablablablab lablablablabla blablablablabla blablablab lablablablablablabl ablablablablabl ablablablablablabla blablablablablablabl ablablablablablabla blablablablablablablablablablablabl ablablablablablab lablablablablablab lablablablablablablabl ablablablabla blablablablablablabla blablablablablablablablablablablabl ablablablablablablablablablablabl ablablabl ablablabla blablablablablabl ablablablablablab lablablablablabla blablablablablab lablablablablablab lablablablabla blablablablablablabla VieillirOn commence à vieillir quand on finit d’apprendre.❝ 2001 - Ministère ❞ Les enchères? Ce n’est pas vraiment une sortie pédagogique Byron. Il doit comprendre pourquoi nous lui répétons de ne pas énoncer à haute voix ce qu’il pense savoir. Ce que je sais. Sang-pur ou né-moldus la magie ne fait pas de différence. Heathcliff! Regarde le résultat de ton éducation permissive! Il nous fera tuer avec sa franchise déconcertante, ses sentiments mal contrôlés et ses idées farfelues. Père il n’a jamais été dans mes intentions de nuire à la famille. Le choix du choixpeau a déjà été une offense, un signe de faiblesse de notre part, d’une éducation extérieurement imparfaite. Tes relations n’ont pas été celles escomptés non plus. Tu nous a beaucoup déçu Heathcliff et aujourd’hui tu vas comprendre ce qu’on attend des nés moldus, ou est réellement leur place. Byron non, tu ne le penses même pas. Je pense à ce qui est bien pour notre famille, pour notre réputation et toi et ton fils devraient en faire de même. Prépares toi Heathcliff, nous partirons dans cinq minutes et nous reviendrons avec un rebut. A l’entendre je n’avais été jusqu’à présent qu’une source d’ennui et de déception pourtant je savais, je l’avais vu traiter avec des nés moldus, je savais qu’il ne faisait pas partie de ses sang-pur extrémistes. Mes parents l’un comme l’autre ne voyait que leurs réussite personnelle et familiale, leur sacro-sainte réputation mais il ne voyait pas comme moi. Ne comprenait pas comme moi. Heathcli... Je suis prêt père. Du moins j’en avais l’air. Quels sont les règles? Je les répétais depuis quoi... 15 ans maintenant? 13 si on ôte les années ou je ne parlais pas encore mais ou il me les énonçait déjà. Regarder les gens dans les yeux, sourire, serrer des mains, ne rien dire ou faire d’idiot. Te taire serait l’idéal. J’hoche la tête simplement et nous partons en direction du ministère. Les ventes s’enchainent, je sers des mains, arbore un sourire de circonstances, parle peu mais toujours a bon escient, les regards de mon père sont bien les rares que je puisse décrypter sans peine. Je ne regarde pas directement les sorciers qu’on vend sur cette estrade, je ne veux pas voir leur magie gâché, meurtri, bousillé. Je sais que mon père m’observe, attend de moi que je me montre à la hauteur mais je ne peux pas cautionner ce qui se déroule à seulement quelques mètres de moi. Ma simple présence en ces lieux me donne d’étranges maux de ventres dérangeant, écoeurant. Mais il y a ce flux qui passe puis cette chevelure rousse reconnaissable entre mille. Alors seulement mon regard se pose directement sur elle et la douleur s’étend brusquement jusqu’à ma poitrine, serrant le muscle cardiaque sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit. Peu m’importe ce qui est dit sur sa présentation. Je me tourne vers mon père et le regarde directement dans les yeux. Enchérissez. Ca n’est pas une demande, il doit le faire. Surpris de ma réaction il lève la main accède a ma demande sans questionnement mais il n’est pas le seul à la vouloir et il cesse de se battre pour elle bien vite. Le couperet tombe et Blair est achetée... par quelqu’un d’autre. Ma voix est tranchante y mettant des émotions que je ne maîtrise absolument pas, une colère froide. Pourquoi?!? Cesse immédiatement, nous avons besoin d’un rebut utile pas d’une gamine futile. Mes poings se serrent, l’émail contre l’émail grince presque quand je lui crache. JE TE DETESTE! Je me défait de sa main qui venait de serrer mon poignet et quitte le ministère. C’est la première fois qu’il me voit ressentir de cette façon, la première fois que j’ose, hausse le ton, la première fois que je le tutoie, fait fi des personnes présentent autour de nous. Il pourra toujours prétexter une crise d’adolescence, c’est de mon âge après tout il trouvera bien une façon d’excuser mon inqualifiable comportement. Je ne suis plus vraiment un enfant, pas comme il le voudrait à moins que ce ne soit l’inverse et que ma prise de position fasse de moi un sorcier moins “faible” qu’il ne le pensait jusqu’à présent ❝ 2003 ❞ Bonne nuit Elyana. Et elle m’embrasse... encore. Ca va faire un peu plus de six jours qu’elle ne fait que ça... enfin non plus depuis ce soir, on a fait plus que ça ce soir. Je ne l’ai pas vraiment dragué, sauf si demander une plume est une méthode de drague certifié auquel cas oui je l’ai dragué mais, j’étais d’accord. Avoir une petite amie c’est être un peu comme tout le monde et Elyana est une très jolie demoiselle. Ses longs cheveux blonds, ses yeux en amande oui j’étais plutôt content de devenir son petit ami. J’étais loin d’imaginer qu’elle allait passer son temps à coller ses lèvres aux miennes... franchement c’est presque devenu douloureux! Bonne nuit Heath... c’était génial. Vraiment. Je t’aime tu le sais. Tu m’aimes aussi n’est ce pas? J’hoche la tête pour lui faire plaisir mais aimer c’est vraiment trop complexe pour le moment et rebelote, elle m’embrasse de nouveau avant de faire un petit signe de la main et de pénétrer dans sa salle commune. Je l’ai raccompagné, il parait que ça se fait et elle dit de moi que je suis un parfait gentleman. Je ne sais pas trop pourquoi à dire vrai, elle dit que les garçons de notre âge n’ont pas la patience d’attendre 6 jours pour demander plus à une femme mais moi j’ai juste attendu qu’elle me le demande. Bien sûr j’étais prêts, difficile de faire autrement quand on passe sa soirée collé l’un à l’autre dans une salle de classe poussiéreuse. C’était bien c’est vrai mais il allait falloir faire quelque chose pour ses baisers, tout cela était vraiment compliqué. Je quitte la tour des serdaigles pour rejoindre rapidement ma salle commune avant que le couvre-feu ne soit mis en place et que je ne me retrouve coincé à l’extérieur. Loin très loin d’imaginer ce qui se trame. Non, moi je retrouve deux camarades qui m’attendaient a en croire la bribe de discussion que je captais à peine étais-je entré. ...yana devient une femme! Heath’ a pas choisi la plus moche! Tiens on parlait justement de toi!! Alors? T’as fait d’elle une femme? Comment elle est? J’hésitais entre lui dire de la fermer, lui dire que ça ne le regardait pas ou jouer le jeu. Après tout j’avais assisté a tant de discussion du genre que je savais parfaitement ce qu’on attendait de moi. Alors mon sourire se fit plus large et je prenais place dans le fauteuil du “gagnant” de la soirée. Cette fois c’était bel et bien moi. Ouais, une vraie femme, un moment qu’elle ne va pas oublier de sitôt. Bon d’accord j’étais sans doute moins doué pour vanter mes exploits qu’eux mais nous en avions ri, surtout eux en tout cas nous étions montés dans le dortoir et j’avais eu droit à deux tapes dans le dos et c’est, je crois, signe que j’étais bien dans le groupe des “mecs” selon leurs critères. En revanche la nuit fut on ne peut plus courte, des explosions, bruits de duel avaient réveillés toute la chambre et bientôt nous furent tous enjoint à fuir rapidement. Deux professeurs étaient parvenus à faire quitter l’école à une poignée d’entre nous. Malheureusement, presque habitués à subir ce genre d’attaque nous étions organisés, les plus âgés défendaient les plus jeunes. J’avais conservé la main d’un première année dans la mienne tout en le protégeant d’éventuels sorts perdus jusqu’à ce que nous soyons “en sécurité” si tant est qu’il y ait un endroit sûr en Angleterre. Les insurgés ou Phénix maintenant avaient repris Poudlard et nous nous retrouvions, encore, sans école. Je suis rentré chez moi, bien sûr ou serais-je aller sinon? Après les divers interrogatoires des membres du ministère, ma mère m’a laissé quelques jours “tranquille”, organisant la venu de précepteur pour clore mon année comme il se devait. Mais un beau jour ou je me pensais tranquille dans la bibliothèque, le sujet Elyana retombait sur le tapis. Je me suis renseignée. Je n’en attendais pas moins d’elle. Je conserve pourtant toute mon attention sur mon livre de sortilège certain que, quoi que je fasse ou dise elle allait poursuivre. Ta jeune amie est rentrée chez elle, bien entendu comme nous tous elle a été fort troublée par ce nouveau... changement. Elle appelait ça un changement ce qu’il ne fallait pas entendre par Merlin! Des sorciers étaient morts, une fois encore des enfants se trouvaient au milieu!! Tu devrais l’inviter. Je secouais la tête, je n’en avais pas envie. Pas ici mais à l’extérieur, la police magique à renforcé les protections et les patrouilles, vous seriez en sécurité au chemin de traverse. J’ai dit non. Outre l’agacement que je connaissais parfaitement maintenant nous n’étions en sécurité nulle part et j’en avais assez de vivre comme si de rien n’était. Mon sang, pur, me protégeait mais de quoi? ou de qui? Je n’avais aucun mérite d’être “bien” né. Ecris lui au moins. Ceci n’est pas un conseil Heathcliff, les relations s’entretiennent alors tu lui écris. Alors j’ai écris. Ma chère Elyana. J’espère que cette lettre vous trouvera en bonne santé. J’ai appris que vous aviez pu rentrer saine et sauve chez vos parents et vous m’en voyez rassuré. Votre jeune frère faisait lui aussi partie des rescapés qui ont été porté à mon attention bien qu’il vous soit, vous me l’avez dit une “plaie” vos parents ont du être heureux de le retrouver. Une fois encore Poudlard a été le théâtre d’exactions qui nous empêche de finir convenablement notre scolarité. J’ai la chance d’avoir à mes côtés des précepteurs qui pourvoient à mon éducation magique de façon très convenable. Qu’en est il pour vous? Les Serdaigles ont, parait-il fuit le château par les airs, je vous sais malaisée sur un balais, j’espère que cette mauvaise expérience n’a pas fini de vous dégouter des vols sorciers. Passez mes amitiés à votre famille. En espérant vous revoir en bonne forme. Mes amitiés sincères Heathcliff Avery.
Elle m’a répondu et sa réponse ne m’a pas semblé très...enthousiaste. Néanmoins nous avions échangés quelques lettres, que je tâchais d’espacer au maximum parce qu’écrire m’ennuyait profondément, jusqu’à ce qu’elle termine notre correspondance de façon très clair. Heathcliff -Plus de cher ou de “mon tendre Heathcliff” même moi qui ai du mal avec les émotions (d’autant plus celle rédigé sur papier) j’avais rapidement compris que cette lettre commençait mal- Je te remercie de ne plus JAMAIS prendre de mes nouvelles. - Jamais en majuscule signifiait que je ne devais vraiment pas le faire n’est ce pas?- Tu n’es qu’un odieux psychopathe! Comment oses-tu ne serais-ce que présumé que la mort de ma grand mère me rend heureuse? - Alors outre le fait que je me demandais pourquoi elle me posait une question si elle ne voulait pas entendre la réponse, je n’avais pas, vraiment, dit qu’elle était heureuse d’avoir perdu sa grand-mère dans l’explosion de Sainte-Mangouste. Non, elle m’avait parlé de la mère de sa mère comme d’une vieille dame acariâtre qui ne lui avait jamais prêté la moindre attention et qui en plus d’être pingre était également très peu propice aux démonstrations d’affection et qu’elle pensait tout simplement qu’elle ne l’aimait pas. Donc j’avais écris qu’elle devait être soulagée de ne plus avoir à la supporter. J’avais moi-même perdu ma grand-mère lors de cet attentat mais ça elle s’en fichait pas mal!- Je commence à croire que notre nuit n’a jamais rien représenté pour toi et moi non plus et ça me fend réellement le coeur, tu n’imagines pas à quel point. - A quoi s’attendait elle? Nous avons 17 ans et je n’avais pas l’intention de la demander en mariage! - Il a toujours fallu que je prenne les devants, que ce soit moi qui t’embrasse. - Oui, ça, c’était vrai, bien trop vrai- Tu n’as aucun tact. Tu es incapable de romantisme au lieu de me demander si j’étudiais bien tu aurais pu m’inviter, mais non, il n’y a que la magie qui intéresse môssieur! Je me demande bien ce que j’ai pu te trouver! - Est ce réellement à moi qu’elle pose la question? - Tu dois savoir qu’aucune femme n’acceptera jamais d’être traité comme un bouquin! Ne recroise plus JAMAIS mon chemin, tu m’as brisé le coeur et je ne suis même pas certaine que tu comprenne ce que cela signifie. Adieu. - Je trouvais tout cela très théâtrale tout de même mais je conservais cette lettre, parce qu’une idée avait traversé mon esprit. Blair aurait ri en lisant cela, oui, elle aurait sans doute ri. Ma première relation fut aussi chaotique que cette guerre en fin de compte et elle aura durée... un peu plus de six jours, oui je ne compte pas nos échanges de lettres, ou alors disons que toutes rassemblées ça fait 7 jours. Elle avait raison sur un point, elle ne me brisait pas le coeur en rompant avec moi et il faut avouer que son joliet visage, sa poitrine et son postérieur était bien plus agréable à regarder que sa magie, plutôt fade.
Dernière édition par Heathcliff Avery le Ven 21 Oct 2016 - 17:01, édité 11 fois |
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HUNTED • running man Owen Avery | | | | |
HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| FRAPADINGUE INDEED Okay je suis pas sous le bon compte mais tmtc ce que je pense de lui Même si SHAME ON YOUR COW QUOI. POUFSOUFFLE ? POUR UN AVERY ? MÊME ADELE SE FACEPALME REBIENVENUUUUUUUUE CHEZ NOUS AGAIN Hâte de voir la suite |
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HERO • we saved the world Severus T. Snape ‹ inscription : 03/01/2016
‹ messages : 341
‹ crédits : ultraviolences.
‹ dialogues : #006633
‹ âge : 44 (09/01)
‹ occupation : En recherche d'emploi, il se demande surtout à quoi il pourrait bien servir aujourd'hui.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : De septembre 1971 à juin 1978.
‹ baguette : Elle est sculptée dans du pin, contient une plume de phénix et mesure 29.3 centimètres. Idéale pour les sorts informulés, elle est souple mais difficilement maniable.
‹ gallions (ʛ) : 3813
‹ réputation : Il est le plus grand arnaqueur de la dernière guerre. Bras droit du Lord il a réussi à obtenir le titre de War Heroes et ça ne plaît pas à tout le monde. Pourtant, certains aujourd'hui reconnaissent son implication auprès de Dumbledore et ne le jugent plus coupable de sa mort. Le gouvernement a essayé d'utiliser son procès pour apaiser les foules et les #nomoresirius mais fort heureusement personne n'a l'air d'y avoir prêté une grande attention. Ou tout du moins quelques personnes se sont insurgées sur MSN avec le hashtag #SeverusSnapeTheHero.
‹ particularité : Legilimens, Occlumens et pratiquant le vol sans balai mais il n'est plus autorisé à utiliser ses particularités depuis son procès. Il lui reste cependant une importante prédisposition pour les sorts informulés.
‹ faits : Il est resté dans les geôles du ministère pendant deux mois. Son procès s'est tenu le 27 février 2004 et a duré plusieurs jours. Il a finalement été relâché grâce à sa sorcière de la défense qui a fait un travail exceptionnel, au soutien de Meda et à de nombreux témoignages (June/Fred/...). Depuis il doit se rendre à Sainte-Mangouste pour un bilan médicomagique et psychomagique complet deux fois par mois. Il est aussi à la recherche de Gwen, sa protégée qu'il n'a pas revu depuis des mois. Il s'apprête également à travailler sur des potions destinées aux lycans en collaboration avec June.
Or lors des perturbations liées à l'orage magique, Meda a perdu la vie. Depuis ce jour, dans l'obligation de confier Teddy à son parrain et à sa marraine, Severus se sent très seul. Meda était l'une des seules personnes à le pousser à reprendre sa vie et à aller de l'avant. Encore plus perdu qu'à l'annonce de la fin de la guerre il ne sait plus quoi faire.
‹ résidence : Dans la maison de Meda à Londres. Cette dernière lui avait confié qu'il était le bienvenu aussi longtemps qu'il le souhaitait et qu'elle désirait conserver cette maison pour son petit-fils Teddy quand il serait plus grand.
‹ patronus : Une biche
‹ épouvantard : Le monde sorcier plongé de nouveau dans la guerre.
‹ risèd : Meda à ses côtés. Meda le poussant à sortir de chez lui et à ne pas prêter attention aux regards défiants.
| Bon j'avais la flemme de changer de compte pour éditer et puis il y a pas foule par ici (bande de gueux et de gueuses, vous avez pas honte! ) donc je viens squatter avec Sevy. Ce Heath' franchement C'est une super idée de perso d'autant plus qu'on a besoin de jeunes. 17 ans, à Poufsouffle, sang-pur, de l'élite et neutre pas le choix ils se sont forcément déjà croisés avec Ada! Rebienvenue chez toi, j'ai hâte d'en lire plus sur le nouveau Avery. |
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HERO • we saved the world Mafalda Weasley | un autre bébé il a l'air vraiment trop cool en plus j'ai hâte d'en savoir plus et la famille stark avery s'agrandit (faisons comme si j'avais rien dit hein :siffle: je suis pas du tout en train de fangirler sur la fratrie stark C'EST FAUX :siffle: ) bon courage pour ta fiche |
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HUNTED • running man Theodore Nott ‹ disponibilité : always.
‹ inscription : 08/05/2016
‹ messages : 978
‹ crédits : killer from a gang pour l'avatar, tumblr, crooked fingers.
‹ dialogues : sienna.
‹ liens utiles :
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‹ âge : vingt-quatre ans. (21/06)
‹ occupation : un ancien langue-de-plomb, désormais un Mangemort en fuite.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1991 et 1998.
‹ baguette : m'a été rendue par Mafalda. Vingt-deux centimètres virgule trois, ventricule de dragon (boutefeu chinois) et bois de chêne rouge.
‹ gallions (ʛ) : 4348
‹ réputation : je suis un déchet, un étudiant qui a un jour été prometteur, et n'est plus que l'ombre de lui-même.
‹ faits : j'étais un Mangemort défectueux, déterminé mais sans passion. J'ai été capturé par Blaise et Draco peu avant la Bataille et ai passé deux mois dans les cachots de Poudlard à additionner les crises de manque et quelques crises cardiaques sympathiques, dues à mon addiction à l'Orviétan (Excess).
J'ai été condamné au Baiser du Détraqueur quelques jours avant l'abolition de la peine de mort. J'ai été condamné à perpétuité à la place. Je me suis évadé d'Azkaban avec Penelope Clearwater, avec l'aide extérieure de Percy Weasley et vit désormais la vie du parfait moldu.
‹ résidence : dans un petit cottage sorcier posé.
‹ patronus : impossible à invoquer
‹ épouvantard : des milliers frelons qui tournent autour de lui et l'achèvent; la résurrection de Voldemort; le cadavre de sa filleule Cat.
‹ risèd : l'indépendance, une vie paisible et sans remous, aux côtés de Nephtys.
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