| Alice Barjow feat jennifer morrison • crick | • surnom ; aucun. Alice n'apprécie pas spécialement les sobriquets. • naissance ; 30 avril 1971, Londres - Sainte-Mangouste (UK). • ascendance; de sang-mêlé. Son ascendance n'a jamais été une honte. Son nom de famille, en revanche... • camp ; neutre. Seul son confort (et sa survie) l'intéresse. • réputation ; elle a gagné le respect de ses pairs par la seule force de son travail, s'éloignant ainsi de l'aspect glauque que l'on assimile à sa famille. On la considère forte, indépendante, travailleuse - capable de tout faire, capable de diriger. Si Alice est consciente de ses capacités, il n'en reste pas moins que - contrairement à ce que l'on pense - elle a l'impression d'avoir raté une partie de sa vie. Autour d'elle, ni mari, ni enfant. • état civil ; célibataire. Elle a aimé une fois mais l'homme en question a préféré lui tournant le dos, n'envisageant pas de faire sa vie en compagnie d'une Barjow. Elle a retiré de cette relation une envie intense de faire ses preuves. • rang social ; Elite Sorcière, par la seule force de son travail acharné. • épouvantard ; ayant passé toute sa vie à travailler et à améliorer son rang social, Alice craint désormais de finir ses jours seule. Sans époux, sans enfant. Elle n'a toutefois jamais perçu le mariage ou l'accouchement comme une finalité en soi mais la sorcière a désormais l'impression d'avoir raté quelque chose. • risèd ; atteindre tous ses objectifs, détenir un certain pouvoir. Alice se verrait, sublime et élancée, entourée de gens lui quémandant des conseils. Être une figure incontournable. • caractéristiques ; au choix. • particularités ; aucune. Hormis ses remarques acerbes mais justes. • objets ; au choix. • caractère ; susceptible, arriviste, observatrice, aimante (même si elle ne le montre pas forcément toujours), caractérielle, dévouée. |
• Alice n'a de Barjow que le nom. Toute sa vie, elle n'a eu de cesse de repousser les initiatives de ses parents à son encontre ; les reliques, la boutique, elle n'en avait cure. Enfant, elle rouspétait dès que son père la traînait chez Barjow & Burke, ne parvenant pas à apprécier l'ambiance quelque peu glauque et mystérieuse qui se dégageait des objets entreposés sur les étagères. Elle n'a jamais affiché le moindre intérêt à ce propos, contrairement à son frère cadet. De fait, elle a toujours eu l'impression d'être la plus grande honte de son père, se targuant toutefois d'aller à l'encontre de ses demandes. Envoyée à Serdaigle, le nez toujours plongé dans les bouquins (surtout ceux de potions, dont elle était – et est toujours – passionnée), ses amis étaient rares mais tous admiraient sa verve et son orgueil. La réputation sordide des Barjow la précédant, Alice a toujours eu en tête de l'outrepasser, souhaitant être reconnue pour ce qu'elle faisait et non pas pour cette misérable boutique située dans l'Allée des Embrumes. • Continuant à entretenir des relations conflictuelles avec ses parents – son père en particulier, Alice se fit engager par l'apothicaire dont la boutique était située sur le Chemin de Traverse. Arriviste et prête à tout pour briller en société, la jeune femme n'hésitait pas à jouer de ses charmes avec la clientèle, maniant ses relations avec un certain brio. Les hommes, les enfants – elle s'en fichait et voulait satisfaire ses propres désirs. Pourtant, elle rencontra un jour un sorcier qui la fit miroiter un avenir radiaux avant de se raviser, se lamentant sur le fait qu'elle n'était qu'une simple Barjow. Cette révélation la poussa à exécrer davantage le nom qu'elle portait et à accentuer également les efforts qu'elle fournissait. • Début octobre 2001, Alice a sauvé une insurgée de la mort in extremis. Un soir, alors que son patron lui avait confié la fermeture de la boutique, la jeune femme a été attirée par des bruits peu ragoûtants. Sur les pavés, une gosse était en train de se vider de son sang, désartibulée à la suite d'un transplanage qui avait visiblement mal tourné. Mais son corps, couvert de coupures, lui indiqua que ses blessures ne résultaient pas d'un simple accident. Elle aurait pu ne pas la soigner, la vendant aux sbires du Magister – mais, en croisant son regard larmoyant, son ventre s'était tordu sous une envie maternelle impossible à satisfaire. Alice s'occupa d'elle du mieux possible, la choyant et pansant ses nombreuses plaies. Il fallut plusieurs semaines à la jeune fille pour lui révéler son nom : Norma Steinberg, née-moldue de son état. Voulant à tout prix retenir cette gamine à ses côtés, Alice lui donna des fioles de polynectar ainsi que plusieurs mèches de cheveux qui provenaient du crâne de sa propre cousine. Aux yeux de la plèbe, lorsqu'Alice l'autorise à sortir, Norma Steinberg est Jane Barjow. • Depuis peu, le patron d'Alice est régulièrement contraint à faire affaire avec les insurgés. La jeune femme sait qu'il risque gros et, même si elle apprécie ce vieil homme à qui elle doit la majeure partie de son savoir, elle ne peut s'empêcher de croiser les doigts quant à la suite des événements ; l'emprisonnement de l'apothicaire la propulserait sûrement à la tête de la boutique. | Frère et sœur – mais sensiblement différents – Alice est l'aînée de Clyde et sa voix moralisatrice hante toujours ses plus noirs cauchemars. L'amour vache, c'est ce qui les lie. Ils n'ont jamais été habitués à se faire des cadeaux, animant malgré eux la plupart des soirées auxquelles ils étaient invités ensemble. Aux yeux de leurs pairs, chacune de leurs paroles peut être prise pour une insulte ou pour une remarque un peu trop sèche (voire malhonnête) – mais Clyde et Alice savent eux qu'ils agissent ainsi pour leur bien. On peut penser qu'ils se détestent, qu'ils ne se supportent pas et, même s'ils ne se comprennent pas toujours, une loyauté sans faille les lie l'un à l'autre. Ils sont frère et sœur, et agissent comme tels mais à leur manière. Elle le pousse lorsqu'il rechigne à avancer, il la rattrape lorsqu'elle est à deux doigts de tomber. Les mots acides qui passent leurs lèvres ne sont finalement que superficialité face à toute cette tendresse féroce qu'ils ressentent l'un envers l'autre.
Et si Clyde lui a toujours tout avoué (que ce soit l'enfant de Maedge Fawley qui était en réalité le sien et ce soir de janvier 2001 où il a été mordu par un loup-garou), Alice rechigne à lui avouer que leur prétendue cousine qu'elle héberge est en réalité une insurgée qu'elle a pris la décision de secourir. |
Norma Steinberg • Marie Avgeropoulos En mal d'enfant, Alice a vu en Norma l'opportunité de s'occuper d'une jeune fille qui avait visiblement besoin d'aide. Elle l'a sauvée d'un transplanage qui a mal tourné – et peut-être de rafleurs qui la poursuivaient, Norma n'en a jamais rien dit – et lui a donné des fioles de polynectar, la présentant sous l’appellation de sa petite cousine : Jane Barjow. L'illusion est parfaite, même les membres de sa famille s'y laissent volontiers prendre, ignorant royalement les petites maladresses de Norma. Alice voit en cette paisible adolescente une fille de substitution qui, malgré quelques insécurités, est susceptible de lui apporter ce dont elle manque cruellement. En revanche, si Alice est prête à s'offrir corps et âme pour cette gosse qu'elle connaît à peine et à qui elle donne pourtant énormément d'affection, elle ne voit pas que Norma a saisi l'opportunité d'aider les insurgés par son biais et ce, bien malgré elle. Étant apothicaire, et prétextant avoir accueilli sa cousine chez elle pour un temps indéterminé, nombreuses sont les fois où l'adolescente s'est rendue sur son lieu de travail, n'hésitant pas à rafler au passage quelques ingrédients susceptibles d'aider sa cause. Alice n'a pas encore remarqué ces vols qui, s'ils restent peu fréquents, défient sa confiance. | |
| Alice aurait dû être une sorte de sœur… du moins, Ivy le suppose. En fait d’entente, il n’y a eu entre elles que discussions explosives : l’aînée des fratries n’a jamais compris la passion des plus jeunes pour le business familial et Ivory était trop entière pour encaisser ses commentaires. C’en est arrivé au point où, adolescente, elle ne pouvait plus supporter Alice et vice versa. Pourtant au départ de sa mère, la jeune femme a été la seule à avoir surpris son effondrement, et c’est elle qui lui a permis d’exprimer sa peine, sa frustration, sa rancœur. De digérer l’abandon. La culpabilité, aussi, parce qu’Alice l’a forcée sans ménagement à faire face à ses torts à l’encontre de Circé. Alice, depuis, est un peu sa conscience, son garde-fou. Là où les garçons de sa famille attiseraient son sale caractère, Alice le tempère. Un peu comme une figure maternelle de substitution, bien que leur relation ne soit pas comparable à celle, exclusivement conflictuelle, que partageait Ivy avec sa génitrice. Alors forcément, il y a des frictions – inévitables puisque l’aînée des Barjow ne se gêne pas pour mettre Ivory face à ses travers. Mais si Ivory part en claquant la porte, puis tempête des heures durant, elle finit toujours par comprendre que les remontrances étaient justifiées et par revenir, réserves de bièraubeurres en main. Elles s’accordent des heures pour faire un tour, commenter ensemble les beaux spécimens qui croisent leur route (avec autant de délicatesse et d’élégance que des mecs devant une femme aux formes généreuses – c’est-à-dire aucune), critiquer ceux qui ne correspondent pas à leurs critères, aborder des sujets délicats ou légers, balayer les restes de mauvaise humeur par des éclats de rire… et Alice sait que les conseils maladroitement martelés plus tôt ont fait leur chemin dans l’esprit buté d’Ivy. |
Alice et Callidora étaient deux naufragées au sein de familles dont elles ne partageaient pas les passions. Par désintérêt total dans le cas de la première, tandis que la seconde était tout simplement sans cesse repoussée de ce cercle d’étranges fanatiques. Elles ont trouvé en l’autre une confidente, et cette compréhension qui leur manquait du fait de leurs différences. Réparties dans la même maison à Poudlard (bien que de générations différentes), dotées de la même ambition ainsi que de caractères bûcheurs et sournois, elles sont toujours serré les coudes, montaient ensemble plans et projets, s’imaginaient un glorieux avenir. Elles sont toujours aussi proches à l’heure actuelle, conscientes de pouvoir toujours compter sur l’autre à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit – tant dans l’adversité que pour de précieux moments à partager. | |
Maddox Burke • Garrett Hedlund | Alice a toujours vu en Maddox un second petit frère ; non pas qu'elle l'appréciait particulièrement, même si elle ne tendait pas à le haïr non plus, mais Clyde et lui étaient constamment ensemble et leur première occupation consistait à lui rendre la vie impossible. N'hésitant pas à les qualifier de jumeaux/grumeaux lorsqu'ils traînaient trop souvent dans ses pattes, Alice a souvent perdu sa voix à force de lui hurler dessus. Ils se ressemblaient tellement que c'en était agaçant et presque intenable. Avec le temps, et les nombreuses fois où ils ont eu l'occasion de discuter de sujets qui intéressaient Alice, la jeune femme a tout simplement appris à oublier ces fois où, enfant, elle ne voyait en lui qu'un duplicata de son propre frangin. L'annonce de sa disparition brutale a été un véritable choc pour elle et, parvenant difficilement à encaisser le coup, la blonde a pris sur elle afin de ne rien laisser paraître, préférant être présente pour Clyde plutôt que de pleurer l'absence de ce garçon qu'elle connaissait depuis sa naissance.
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Castiel Burke-Rowle • Boyd Holbrook Par esprit de solidarité à l'égard de la douce Callidora, Alice exècre Castiel tant elle est capable de voir l'esprit de dépendance, mais aussi d'animosité, qui voile le caractère de son amie lorsqu'elle est en sa présence. Toutefois, le jeune homme est sûrement sa plus grande source d'inspiration. De la répulsion, il lui en apporte volontiers – mais son intérêt à son égard est grandissant. Leurs conversations sont nombreuses et passionnantes. Dès qu'ils s'adressent la parole, ils sentent grimper en eux le feu d'une passion inavouée, l'envie de défendre leurs intérêts pour mieux descendre ceux des autres. Ensemble, ils sont imaginatifs et leur verve n'en est que plus féroce. Ils agissent l'un envers l'autre avec une certaine empathie – même si celle-ci est souvent froide, voire glaciale. Ils se ressemblent plus qu'ils ne veulent bien l'accepter et peut-être est-ce pour cela qu'ils mettent autant d'adresse dans le simple fait de se défier.
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Dernière édition par Clyde Barjow le Jeu 6 Nov 2014 - 13:51, édité 5 fois |
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