☇ Infos complémentaires ;  balafré — une ombre, un visage, des crocs, homme ou bête, carnassier, main droite ou gauche de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom et des entailles qui déchirent la peau, pénètrent la chaire. Le sang éclabousse et coagule, l'enfance est morte à cet instant, comme un coup de poignard, comme un éclair qui s'abat. Le visage change et le beau William n'est plus, il est désormais un homme au visage entaillé, aux cicatrices qui ne s'effaceront jamais, même quand quelques mèches rousses essaient de cacher l'effroi. Et si cela n'était que physique, mais non. L'homme est entaché, le coeur est noirci, le sang est maudit. Peut-être pas comme les enfants de la lune, mais il s'en approche. Violent et colérique, la bête domine l'homme quand il perd le contrôle, ses sens se développent et William se perd. Bill ou le loup, le loup ou Bill ? Perte de contrôle, perte d'identité, deux esprits qui luttent dans un même corps. fleur de printemps — des mèches blondes, de grands yeux plein d'innocence ou de malice, une évidence qui porte le nom de Fleur. Il a suffit de quelques regards, partager des traditions, choc des cultures et pause de thé dans un salon pour que le flirt se transforme en une belle histoire. Des fiançailles jugées trop rapide et pourtant, un sentiment qui n'a fait que grandir. Certains prétendent que ce sont les effets de la guerre, que l'on s'engage plus rapidement car on frôle la mort, que l'on veut faire des folies que l'on ne ferait pas si la situation n'était pas critique, peut-être, sans doute et alors ? Le mariage se termine dans une note sanglante, le couple scelle son destin ensemble et ne se quitte pas. Ils affrontent le combat ensemble, ils ne se lâchent pas la main, ils se répètent en boucle qu'on ne peut pas tout leur prendre, que leur amour sera plus fort que tout. Idée stupide, caprice de jeunes mariées trop teinté de rose et pourtant, ils s'accrochent à ce fait et n'hésitent pas à s'aimer, à montrer que la vie existe et que le bonheur survie dans cet univers de chaos. Elle est le meilleur de lui-même, celle qui apaise la bête, celle qui fait rugir le lion, celle qui est au centre de son univers. hope et louis — ça a commencé par Hope, un espoir venu au monde comme pour célébrer une victoire, une vie qui est venue au monde au moment de la grande bataille, mais cela fut un échec et elle a grandi dans la peur, elle a fait ses premiers pas dans le chaos. Et un second enfant est venu au monde, un petit garçon, Louis. Ils sont l'innocence, ils sont le reflet de la vie et de ce qu'il y a de meilleur dans ce monde chaotique. Des trésors, voilà ce qu'ils sont pour le père et la mère. Des trésors fragiles et précieux, à protéger à tout prix, contre vent et marée. C'est pour ça que le père les étouffe et peut se montrer injuste. Parce qu'il a peur qu'on casse ses deux petits diamants. Il a peur de les perdre et les empêche de vivre peut-être, mais leur vie n'a pas de prix. Eux avant tout, le reste après. six pieds sous terre — sept têtes rousses et deux parents comblés. Le portrait parfait, le portrait trop parfait. George est le premier garçon touché par l'ennemi, le premier à perdre la vie, le premier a être effacé du portrait. Et puis il y a eu le père, Arthur qui en faisant tomber sa couronne, laisse le trône à son ainé, à William qui reprend ce rôle, mais n'arrive pas à le tenir comme il faut. La reine perd la tête, maman ne se remet pas de la perte d'un de ses enfants et de Arthur. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, un spectre ni vivant ni mort qui hante ce monde. Alors il essai le nouveau roi, il essai de tenir son rôle et de protéger ce qu'il reste des Weasley tout en s'occupant de sa mère, mais il sature, il perd pied et souffre d'insomnies chroniques, de pertes de contrôle. La souillure reçue par Greyback prend le dessus et Bill disparaît pour laisser apparaître un homme autoritaire, un homme colérique, esprit vengeur à souhait, un homme qui veut à tout prix tenir ses serments, qui étouffe sa famille, qui croit qu'il doit et peut tout faire. Un homme empoisonné par le pêché d'orgueil, rongé à souhait. nuits blanches — une première nuit, sans doute sous l'influence de la pleine lune et une seconde, une troisième, depuis ce jour, on ne compte plus. On ne compte plus les nuits sans sommeil, des nuits torturées, des nuits sans fermer l'oeil et en rêvant, rêves éveillées ou cauchemars éveillés ? La question se pose. L'homme est sur les nerfs, l'homme craque, l'homme a les yeux fatigués, le visage amaigri, stigmates de la guerre, conséquence d'une fin qui n'apparaît pas et d'une histoire qui s'écrit dans le sang, dans son propre sang. Les yeux fermés, ce sont les souvenirs qui arrivent, septième vague qui annonce la marée haute et qui emporte avec elle, les regrets et les remords. Oui, quand les yeux se ferment, c'est le visage de George qui se dessine, puis les traits plus larges de papa et le sourire de maman quand elle préparait le soupé pour le soir. Il y a le bruit de la vieille horloge qui résonne pour annoncer que tout le monde va bien, que personne n'est en danger de mort, pas d'aiguille pointée à midi. Oui, dormir est une torture, dormir est un nid de regrets, dormir est le préquel de la mort.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi ewanel. J'ai un âge trop avancé pour être avoué, je viens de la france et j'ai connu le forum via bazzart et un peu partout en fait. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 4 jours sur 7, peut-être moins, ma vie professionnelle est très chargée malheureusement mais je ferai de mon mieux, promis   Un dernier mot ? je poste enfin ma fiche, je dois aussi faire ma demande de particularité, je vais essayer de la lancer dans la foulée   je vais aussi tenter de faire ma fiche jusqu'à dimanche sinon je risque d'avoir besoin d'un délai jusqu'à la semaine prochaine pour terminer faute de temps, mais voilà, ne parlons pas de malheur avant     je suis ouverte pour des liens, n'hésitez pas à me mp et me dire si quelque chose ne va pas, j'espère que Bill va vous plaire, surtout l'interprétation que j'en fais, sinon, j'ai hâte de vous rejoindre     et sinon, j'avoue avoir staklé vos profils, vous avez des personnages de dingues, je suis fan  

❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ clair de lune ❞1997 & june
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ plus dur sera la chute ❞1997 & july
Il ne doit rien lui arriver, il ne lui arrivera rien, il ne lui est rien arrivé, mais d'autres sont tombés. Le sombral se pose, ses sabots claquent sur le sol sec. Fleur n'a rien, à peine quelques égratignures et le couple descend, le fiancé s'efforce d'aider sa douce à marcher, sonnée par le combat, mais il n'a pas le temps de souffler que sa mère le saisit et lui offre une étreinte réconfortante. Cependant, Bill reste de marbre. Ses yeux foncés se posent sur ceux de son père, le teint pâle, il articule difficilement trois mots. « Fol Oeil est mort. » Effroi et choc, l'assistance se tait parce que personne ne sait pas quoi dire, parce qu'il n'y a rien à dire. Alors il fait son devoir, William. Il s'efforce à parler, à expliquer la situation. Sa voix se brise et sa mère ne le relâche pas. Les images tournent en boucle et quand Fleur saisit sa main discrètement, un échange suffit à tenir bon et ne pas craquer devant tout le monde.

❝ échec et mat ❞1998 & july
« Lumos. » quelques mots susurraient à voix basse, presque un soupir, presque un murmure qui s'évapore dans les ténèbres qui embaument la chaumière. Il se lève, le sorcier à la crinière rousse, il quitte le lit où dort sa muse aux boucles d'or et disparaît dans le couloir pour faire quelques pas jusqu'à la salle de bain. Il ferme la porte derrière lui, le verrou fait un bruit de vieilles ferrailles, petite pensée où Bill se dit qu'il devrait demander à son père de mettre de l'huile dans le mécanisme, car papa connait ses trucs de moldus, mais papa n'est pas là et la réalité revient en plein visage. La réalité d'un monde qui a sombré dans le chaos. La vie n'a aucune valeur et la mort domine, des valeurs qui s'effritent et un jeu d'alliances qui prend le dessus. Complots, mensonges et trahisons, tout ceci est devenu monnaie courante. « Nox. » nouveau murmure et la faible lueur qui émane du bout de bois s'évapore, comme si elle n'avait jamais existé, comme si elle était une victime de plus du croc mitaine ou n'est ce pas du grand méchant loup ? Car c'est son souvenir qui empêche l'ainé des sept Weasley de trouver le sommeil. Un souvenir sanglant, un souvenir qui a fait naître en lui, une peur sans nom. Une peur qui augmente un peu plus chaque jour, une peur qui s'amplifie à mesure que la guerre s'enlise et devient plus sanglante. Que devient la famille ? Les Weasley sont divisés, éparpillés ici et là. Faute de nouvelles, on écoute la radio en boucle, pour essaye se de rassurer. On avance autant que l'on peut, on avance oui. Bill laisse couler l'eau dans le lavabo et sort de sa poche, une vieille photo de famille qui s'anime. Il s'agit en fait d'une photo découpée dans un article de la gazette, la photo de la famille Weasley quand elle a rendu visite à l'ainé des sept en Egypte. On peut voir les pyramides derrière, ainsi que des sourires, des rires et même George qui plaisante avec son jumeau. C'était bien avant. Mais c'est fini, balayer comme le sable sur la plage. Ce n'est qu'un souvenir de plus. Bill range la photo dans un tiroir et joint ses mains comme une coupe pour recueillir l'eau froide à l'intérieur qu'il se lance sur le visage. Les yeux fermés quelques minutes, trop courtes à son goût, il les ouvre de nouveau et voit son visage dans le miroir. Le sorcier s'observe de longues minutes. Il contemple ses boucles rousses, sa barbe qu'il n'entretient pas, son nez légèrement tordu qui s'est cassé lors de la bataille de Poudlard, quelques mois auparavant, ses yeux en amande aux mêmes teintes noisettes que sa mère, mais surtout, ces cicatrices. Au nombre de trois, trois entailles profondément gravées dans la chaire, qui tranchent sa joue, sa pommette et une partie de l'arcade gauche. Greyback. Le regard toujours planté sur cette blessure qu'il haït plus que tout, il tend sa main sur le miroir de verre et effleure du bout des doigts, ce visage de guerre. Comment en sommes-nous arrivés là ? une phrase qui tourne en boucle et une colère qui grandit quand les rayons d'argent de la pleine lune traverse la fenêtre pour éclairer la salle de bain. La colère gronde, la colère frappe comme un éclair dans le ciel, le poing se referme sur le miroir fendu. Des années de malheur. Léger rire à cette pensée tendue que William recule la main. Le verre a entaillé légèrement le dos de la main, le sang s'écoule, un sang pur, un sang béni, un sang maudit. Et il sort de ses pensées, Bill, quand il entend sa fille se mettre à pleurer. Elle a besoin de son père, pas d'un homme qui perd pied. La colère s'efforce à disparaître et on murmure rapidement un sortilège pour fermer la blessure avant de sortir pour rejoindre la chambre et le petit être apeuré, symbole d'espoir. Quelque chose à quoi s'accrocher pour tenir car la défaite a un goût trop amer, comme un poison.

❝ Titre de partie au choix ❞2000 & september
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Titre de partie au choix ❞2003 & may
Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.