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sujet; ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one.

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Augustus Aaron RookwoodPower is in tearing human minds to pieces and putting them together again in new shapes of your own choosing.
❝ We're running in circles again ❞Hunted ; Scénario / Canonique

☇ pseudo complet & surnom(s) ; Le nom d'Augustus Aaron Rookwood est un murmure qui, depuis des années, parcourt les foyers du monde magique. Il a d'abord été Augustus, le jeune homme tendre et poli, un peu distant mais à la générosité inégalée. On s'extasiait sur ses manières, on se félicitait d'être proche de lui et on chuchotait, parfois, comme il s'était confié, un soir, comme il ne s'était jamais confié. Il y a bien sûr eu Aaron, l'étrange Aaron, aux yeux froids et au sourire mauvais, qui organisait les orgies les plus sombres de tout le Londres moldu, Aaron dont on ne connaissait pas l'identité, Aaron dont on chuchotait les atrocités avec une pointe d'excitation. Enfin, il y eu Rookwood. C'est effroyable comme on peut perdre tout respect pour le criminel. Le monde a découvert la véritable nature d'Augustus, et il ne resta plus de lui qu'un nom de famille. On se souvint, presque soudainement, qu'il faisait partie de cette étrange dynastie corrompue par la folie. Il vous a trompé, tout ce temps, mais au fond il est bien un Rookwood.
☇ naissance ; Impossible, pour les Rookwood, de faire accoucher Angelica à Ste-Mangouste. Elle n'en serait jamais ressortie. Augustus découvrit donc le goût amer de la vie le soir du 6 Février 1952, dans la chambre parentale, avec pour seule infirmière une elfe de maison.
☇ ascendance; Il fut un temps où les Rookwood faisaient partie des familles les plus pures et les plus influentes du monde sorcier. Il fallu cependant que le grand-père d'Augustus, unique héritier de la famille, épouse une moldue. Et depuis, la famille porte la tare du sang-mêlé, comme une anomalie. Augustus a toujours vécu comme un aristocrate, un membre de l'Elite, et tout en ayant toujours été dénigré pour ses origines, a toujours suivi leurs idéologies.
☇ métier ; Il est encore impossible, pour Augustus, de se considérer comme étant au chômage. Il a toujours été, et peut-être sera toujours, au fond la Langue-de-Plomb, l'être sombre et silencieux, aux plans étranges et tordus, aux longs doigts délicats qui travaillent sans discontinuer. C'est  lui, le traitre, la Langue-de-Plomb originelle à avoir trahi le plus profond des serments pour satisfaire son Lord. Il sait qu'il n'effacera jamais ses années de service, en tant que chercheur, en tant que Directeur du Département des Mystères, en tant que mangemort du Cercle. Sa magie est intimement liée à celle du régime qui vient de s'effondrer et il emmène toujours, avec lui, une partie de ce règne qu'il a tenu d'une main de fer sur le monde des ombres et des mystères magiques.
☇ camp ; Augustus n'a cure de la pureté du sang, il s'estime comme supérieur à beaucoup de sang-purs, tout en étant de sang-mêlé. Pourtant, d'un point de vue politique, il reste extrêmement attaché à la suprématie du gêne magique. Les moldus, à ses yeux, restent de vulgaires animaux avec lequel on peut se reproduire, sans jamais les considérer comme des égaux. Il rêve d'un régime traditionnaliste, pour ne pas dire dictatorial. Il cherche la Justice et l'Ordre, dans leurs promesses de calme.
☇ réputation ; Les murmures sur Augustus Rookwood ne s'arrêtent jamais. Ils sifflent, sans arrêt, qu'il est un traitre, un menteur, un vil manipulateur sans une once de morale. Ils ont raison. Et pourtant, ils sont encore si nombreux à glisser comme des enfants entre ses doigts tendres, à se laisser bercer par le ronronnement de sa voix et de ses yeux affectueux. Qui ignore encore qu'il n'y a rien d'honnête dans sa voix ? Qui arrive, cependant, à ne pas se laisser tromper par le tendre serpent au charme ensorceleur ?
☇ état civil ; Impossible de compter le nombre de personnes ayant profondément cru posséder le cœur et la fidélité d'Augustus Rookwood. Il a fait tourner la tête de tant de jeunes femmes de sang pur, grisées par l'interdit, charmées par sa chaleur distante. Elles ont cru, comme tant d'autres, arriver enfin à comprendre le mystère d'Augustus et recueillir ses confessions les plus secrètes. Elles ont été persuadées de lui être utile, et elles se sont laissées persuader d'être spéciales. Qui arrivera à trouver tous les enfants qu'il a disséminé, comme des tares, dans les arbres généalogiques si propres des familles de l'Elite ? Et pourtant, jamais il n'y a pris le moindre plaisir. Les courbes des femmes ne l'ont jamais satisfait.
☇ rang social ; C'est une évidence : Augustus Rookwood est tombé avec le Seigneur des Ténèbres. Il est en fuite et activement recherché depuis le 8 décembre 2003. Il n'a cependant pas l'air de le réaliser pleinement, alors qu'il coule des jours tranquille dans un petit cottage dissimulé dans les tréfonds de la campagne anglaise. Il attend son heure, tranquillement.
☇ baguette ; Depuis sa sortie d'Azkaban, Augustus se satisfait d'une baguette en ébène de 31,56cm avec un cœur de ventricule de dragon. S'il lui arrive de se plaindre de son manque de subtilité, il ne peut nier sa maniabilité.
☇ épouvantard ; Il est inchangé depuis plus de quarante ans : la fenêtre ouverte reste son épouvantard, la représentation la plus fidèle des rares peurs qu'il peut lui arriver de ressentir. Il craint de se laisser aller, comme le reste de sa famille, dans la folie.
☇ risèd ; Au quotidien, Augustus n'a pas de mal à obtenir tout ce qu'il peut désirer, ou à se contenter de ce dont il dispose déjà. Il n'est pas un homme compliqué, et ne recherche aucune possession matérielle, ni même une quelconque gloire. Lorsqu'il se regarde dans le miroir du Risèd, comme cela a pu lui arriver quelques fois, il se voit à ses vingt-sept ans. Il ne voit pas tant la jeunesse, le succès, l'amour de ses proches. Il voit un regard clair, froid, sec. Au fond, ce qu'il voit, dans le miroir, c'est ce qu'il était avant Azkaban.
☇ patronus ; Il n'a jamais été capable de produire la moindre poudre blanche, un handicap qu'il a toujours habilement dissimulé. Il ne comprend toujours pas pourquoi le sortilège n'a  jamais accepté de fonctionner entre ses doigts.
☇ particularités ; Ce n'est plus un secret pour personne, aujourd'hui : Augustus est un des legilimens les plus perfides du monde sorcier. Il a l'abominable réputation de pouvoir se faufiler dans votre cerveau sans jamais que vous ne vous en rendiez compte. De la même manière, on murmure que, même si on arriverait à le capturer, il serait impossible d'extraire la moindre information d'un occlumens tel que lui. Ses yeux sont des armes qu'il sait utiliser à merveille, avec une délicatesse qui frôlerait la tendresse.
Ces particularités paraissent, cependant, étranegement superflues. Il semble les considérer comme des raccourcis, presque des pratiques vulgaires à côté du lent et délicat travail qu'il peut produire, sans aucune once de magie, pour arriver à faire dévoiler à ses victimes leurs plus terribles secrets. Sa magie la plus noire tient dans le sourire qu'il arrive à esquisser en toute circonstance, et il n'y a pas besoin de baguette pour dépouiller les esprits faibles de leur âme.

☇ animaux ; Si des animaux ont souvent coexisté aux côtés d'Augustus, il n'en a jamais possédé. Ils n'échappent pas au piège de son charme, cela dit, et il leur arrive souvent de se glisser dans ses doigts. Ils ignorent, eux aussi, qu'il prend souvent plaisir à briser un à un les os de ces petites créatures. Bacchus Murdock, seul, semble faire exception.
☇ Avis sur la situation actuelle :
Détailler l'opinion exacte d'Augustus Rookwood sur la situation politique de l'Angleterre magique serait terriblement long et affreusement fastidieux. Le monstre social et politique qu'est l'ancien membre du Cercle n'a pas fait qu'observer la construction du régime du Lord : il y a activement participé. Il s'est montré zélé, sérieux et exigeant dans chacune des étapes de l'élaboration de ce qui pourrait être son rêve : une Angleterre privée de folie. Il a passé des années à travailler avec assiduité sur la lobotomie magique, la manipulation des souvenirs et toutes ces affreuses histoires qui agitent encore le sommeil des rescapés de guerre. Il ne s'est que très peu intéressé à la guerre du sang, et les chasses aux rebuts l'ont terriblement ennuyé. Avant de rechercher une révolution de classe, il a essayé d'atteindre un renversement idéologique. Il a toujours voulu ramener l'Ordre dans le monde.

Il n'a que mépris et dédain pour le régime politique actuel. Des enfants, pour lui, des idéalistes niais et moralisateurs qui se retrouvent à la tête d'un monstre plus vieux et plus gros qu'eux. Il attend sagement qu'ils se fassent dévorer par ce qu'ils essayent de dompter. Il croit profondément en la cause aristocrate, qui est pour lui la seule entité capable de pleine comprendre et gérer le monde magique.
Dans la situation actuelle, cependant, Augustus ne cherche pas à avoir un quelconque impact sur la vie politique. Il attend, très sagement, que des personnes plus téméraires et plus imbéciles que lui le fassent en premier. Il dispose de tout son temps, et il ne peut que profiter de ces vacances bien méritées.

☇ Journal des rêves ;
deux heures de sommeil • Autour de lui, les couleurs chatoient comme des promesses. Assis sur le sol gris et froid, il sourit en admirant toutes ces formes lumineuses qui tournent autour de lui. Il rit, avance la main, essaye d'en toucher une. Elle pulse contre sa peau, il arrive à l'attraper et, instinctivement, essaye de la manger... mais ne rencontre que le vide. Il reste un instant interdit puis, interloqué, tend la main vers une nouvelle couleur. Cette fois-ci, elle devient aussi grise que le sol à son contact. Il sent la peur commencer à monter, quelque chose qui lui tord les entrailles et qui le fait se lever pour attraper une autre couleur. Grise. Une autre. Grise. Il continue de s'approcher de toutes les couleurs et essaye, désespérément, de les attraper mais assez vite elles disparaissent dès qu'il s'en approche. Il commence à pleurer, parce qu'il sait, maintenant, que s'il n'arrive pas à trouver de couleur, il va lui arriver quelque chose de terrible. Il ne sait pas quoi, il ne le sait pas encore, mais il ne veut pas que cela arrive. Alors il se met à courir, désespéré, pour essayer d'attraper n'importe laquelle, n'importe quelle petite chose brûlante de vie. Il vise la couleur la plus éloignée, un rose très pale, très discret, presque du gris qui peut-être, elle, se laissera toucher. Il court et, autour de lui, tout s'éteint, petit à petit. Le gris devient de plus en plus sombre. Et le rose s'éteint. Et il se réveille en sueur.

quinze minutes de sommeil • Il se voit en train de marcher. Dans ses mains, il y a plein de fils, très complexes, qu'il actionne avec précision pour diriger la petite marionnette en bas. Il rigole en voyant tout le monde qui parle à la marionnette, la serre dans ses bras. Il s'agite, tout excité à l'idée de réussir à ce qu'ils croient tous parler à un véritable humain. Il n'a même pas besoin de bouger de sa chaise. Alors il fait bouger  la marionnette, elle récolte des lauriers, et elle sauve une princesse, et  elle a un fils, un très beau fils et même qu'elle est pleine de médailles. Et puis soudain, alors qu'il est concentré sur son jeu, il sent une main sur son épaule.
Il sursaute, se retourne, découvre que c'est Laeticia, qu'elle  l'a trouvé, qu'elle fronce les sourcils et qu'elle n'est pas contente. Il a peur. Elle l'a trouvé ! Il lâche aussitôt tous les fils qui contrôlent la marionnette, qui tombe et dégringole, et qui emmène avec elle la maison en carton, le fils en papier mâché, et toutes ses médailles en chocolat. Et Laeticia le pousse, le pousse encore, jusqu'à ce qu'il tombe lui aussi, et il traverse le sol, et il traverse le monde et il tombe, et il tombe, par la fenêtre et il - se réveille en sursaut.

une demi-heure de sommeil • Elles se collent à lui, pleines de sueur, de graisse et de gras. Elles sont nombreuses, beaucoup trop nombreuses et elles écartent leurs jambes contre lui avec des rires, des rires aigus qui le dégoûtent. Il le repousse, les frappe, les tue. Il en a déjà tué vingt. Plus. Il en a tué tellement avant, il s'en souvient maintenant, qu'il a déjà été tout rouge, du sang de toutes ces femmes qu'il tuait. C'est pour se protéger. C'est parce qu'elles sont sales. C'est parce qu'elles se collent à lui. Il n'a pas de problème, il est la victime et ce n'est pas sa faute. Il faut juste qu'elles arrêtent de se coller à lui avec leurs longs cheveux, leurs lèvres mesquines et leurs jambes qui s'ouvrent encore, encore, encore sur le néant qui va le dévorer avant qu'il ne se réveille en pleurant.

cinq minutes de sommeil • Il est allongé sur une grande table blanche. Tout est blanc. Il est blanc les gens sont blancs, la lumière est blanche. D'où vient la lumière ? Il est attaché mais ce n'est pas grave. Il attend. Parfois, il regarde en bas, au niveau de son ventre, et où il regarde les docteurs qui s'agitent sur son ventre. Ils l'ont ouvert, en grand, pour mieux voir. Il n'y a pas de sang. L'intérieur de son ventre est juste tout noir, en dehors des mains blanches qui s'enfoncent à l'intérieur et qui en sortent mille et unes choses. Parfois il rigole, de les voir trouver des vieux jouets, des livres et des serpents à l'intérieur de son ventre. Ils trouvent Esperanza, ils trouvent sa mère, il trouvent sa sœur, ils trouvent ses amis d'enfance et ses amants, ils trouvent ses vices, ils trouvent ses excès, il y a ses meurtres aussi, et son thé, beaucoup de thé. Ils continuent, ils s'acharnent, il y en a qui commencent à s'agiter et lui qui rigole, qui rigole de plus en plus. Ils ne trouveront pas, ils ne trouveront pas parce qu'il n'y a rien à trouver. Ils cherchent en vain. Ils le vident, encore, le trou sans fond qu'il est et lui il attend, il sifflote, il chantonne, il s'en fiche. Ils pourront toujours continuer de vider, il n'y arriveront jamais. Il n'est pas là. Il se réveille avec la langue en sang.

Vingt minutes de sommeil •  Il y a un chien. Il n'est pas censé il y avoir de chien à la maison. Il fronce les sourcils, regarde autour de lui, à la recherche du propriétaire du chien. Il doit être à Laeticia. Elle aime un peu trop les animaux, c'est pour cela qu'il a toujours voulu lui en laisser des cadavres. Mais elle n'est pas là et le chien est toujours là. Le chien est immense. Le chien le regarde. On peut voir sa bave et ses muscles tendus, il peut voir tous les détails de sa mâchoire découverte et même sans avoir à s'approcher il peut compter le nombre de poils sur son oreille gauche où il manque un morceau. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept huitneudixon- Il sursaute, parce que le chien a bougé. Le chien a fait un pas vers lui. Sauf que lui, ne peut pas bouger, il n'y arrive pas. Il regarde ses pieds et il voit qu'ils sont englués dans la terre, enterrés, comme Laeticia, comme elle. Il relève les yeux et le chien est plus proche, encore plus proche et il va le manger. Il a peur. Il ne veut pas être mangé. Il pleure, il pleure encore et il crie, et ça le réveille. Il se réveille dans son lit, haletant, tétanisé, tremblant de peur. Il ouvre les yeux et il sent la bave. Il y a le chien, il est là, immense, au dessus de lui dans son lit, ses yeux sont rouges comme la braise et ils le brûlent alors que la bave elle, continue de couler sur lui, depuis ses crocs acérés dévoilés par des babines éternellement grondantes. Il va mourir, il va se faire manger, il va mourir. Ou peut-être pire. Il veut hurler mais rien ne vient. Il veut hurler mais rien ne - Il se réveille dans un cri qui ne sort pas. Cela fait des années qu'il s'ensorcèle d'un Silencio avant de s'endormir.

❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL

Appelez-moi Gérard / Margaux. J'ai vingt-trois, je viens du sept-sept et j'ai connu le forum via Rababouche. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 7 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [X] oui / [] non. Un dernier mot ? La fiche d'Augustus date beaucoup, et il lui manque un nombre incalculable de choses. Alors le revoilà, plus grand, plus fort, plus clair.... plus long yeah
Quotes from Nineteen Eighty-Four.

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ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. Empty
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❝ Choc ❞12 Mai 1961 & Manoir  Rookwood

Donnie essayait parfois de se dire que certains elfes de maison vivaient une existence pire que la sienne. Elle essayait de se rappeler des histoires qu'elle avait pu entendre, d'autres elfes de maison connaissant d'autres manoirs (Donnie n'avait  jamais quitté le Manoir Rookwood). Il y avait des choses horribles qui se disaient parfois, sur l'absence de nourriture, la violence, les insultes et même l'exécution sommaire de certains d'entre eux. La vie d'un elfe de maison, de manière générale, n'était jamais vraiment drôle. Cela faisait partie de leur fierté, ou en tout cas de la fierté des vrais elfes de maison, ceux des grandes familles. Donnie ne faisait pas exception.
Ce qui affligeait l'elfe, la plupart du temps, c'était l'inquiétude qu'elle ressentait pour sa famille. Elle ne se souciait pas vraiment de son propre sort. Elle se félicitait de pouvoir toujours vivre de si peu. Elle se moquait qu'on lui jette de la vaisselle à la figure. Elle estimait comme un immense honneur d'être la seule à se charger du ménage dans cet immense et poussiéreux manoir. Oh non, Donnie était une bonne elfe de maison, et son propre sort ne lui importait pas. Celui de ses maîtres, cependant, était beaucoup plus préoccupant.

Maître Josiah et Maîtresse Angelica étaient des propriétaires très aimants. Oh ça oui, Donnie était aimée, et de nombreuses fois elle avait senti sa maîtresse se pencher pour lui déposer un baiser sur son petit crâne chauve. Elle les aimait, elle les aimait vraiment très fort, et elle aurait tout fait pour les aider dans ce... tout ce qui... Pas que Donnie veuille juger non, non pas du tout, elle ne se permettrait jamais de juger ses maîtres mais... elle ne les comprenait pas, parfois ? La plupart du temps, ils étaient deux personnes si belles, si tendres. Le port altier, le regard brillant, ils étaient les fiers héritiers d'une famille pure déchue. Et ils s'aimaient ! Ils s'aimaient avec une exubérance et une passion qui émerveillaient toujours l'humble elfe de maison, alors qu'elle trouvait en leur amour quelque chose d'encore plus fort que sa propre dévotion. Pourtant, parfois, son maître et sa maîtresse se haïssaient. Ils haïssaient aussi Donnie, et lui lançaient des choses, et lui envoyaient des horreurs, et Donnie ne comprenait pas, parce qu'elle avait forcément du faire quelque chose de mal, sans jamais arriver à comprendre quoi exactement. Elle passait parfois des nuits dehors, sous la neige, à s'empêcher de dormir pour se punir d'avoir ainsi énervé la famille qu'elle servait. Le lendemain, elle retrouvait leurs sourires et elle se disait qu'elle s'était bien assez punie, et qu'ils lui avaient pardonné.
La petite maîtresse Laeticia faisait aussi partie des joies de sa vie. Elle était très sage, et toute timide, mais avec Donnie, elle parlait toujours. Il fallait avouer qu'il n'y avait pas vraiment d'autres personnes à qui parler. La famille Rookwood ne sortait jamais, et personne ne venait jamais les voir. C'était Donnie et Flubby qui se chargeaient de tout : des finances, du ménage, des repas, des bains, de l'éducation des enfants, aussi. Donnie avait entendu des histoires, sur les autres maisons, sur les immenses réceptions qu'ils organisaient, sur le fait que les maîtres étaient souvent dehors. Les maîtres de Donnie ne partaient jamais, et elle  les aimait pour cela. Ils étaient tous dans leur petit monde, et elle s'était habituée à leurs tendresses capricieuses. Elle aimait Laeticia, parce qu'elle lui racontait toujours beaucoup d'histoires. Elles étaient parfois terribles, ces histoires, avec beaucoup de sang, et de violence, mais aussi beaucoup d'amour. Elle ajoutait toujours énormément de détails et Donnie avaient l'impression d'y être, et la petite fille  l'ajoutait même parfois à ses histoires, comme serviteur de l'héroïne, agissant dans les ombres pour que jamais rien de grave ne lui arrive. Et puis parfois, parfois les histoires devenaient réelles, et Donnie devait suivre la petite fille jusque dans le placard, celui qui les protégeait des dragons et des ombres, et rester là toute l'après-midi. Donnie était toujours un peu en retard sur le ménage ces jours-là, mais elle ne pouvait pas laisser sa maîtresse toute seule, dans le noir, à pleurer et crier. Donnie savait bien qu'il n'y avait personne à la porte du placard, et elle savait bien que les monstres n'existaient que dans la tête de l'enfant. Elle ne l'aurait cependant jamais abandonné.

Le seul qu'elle n'arrivait pas à apprécier, et ce malgré tous ses efforts, c'était le petit maître Augustus. Il n'avait que deux ans de plus que Laeticia, et pourtant Donnie n'arrivait pas à croire qu'ils soient apparentés. Augustus, contrairement au reste de sa famille, ne souriait pas. Il n'était jamais tendre. Il était un petit garçon sévère et silencieux, qui ne faisait jamais de bruit quand il marchait et qui, les rares fois où il remarquait Donnie, la regardait avec dégoût. Elle aurait bien voulu aimer Augustus, parce qu'elle était persuadée qu'il avait hérité de la bonté du reste de sa famille, mais c'était vraiment dur.
Il était le seul à sortir. Elle ne le suivait jamais à l'extérieur, parce qu'elle avait toujours eu l'impression qu'elle n'avait pas le droit de sortir. Lui, cependant, sortait. Elle pouvait le voir, depuis la fenêtre, s'éloigner dans les rues adjacentes. Il n'avait jamais l'air d'avoir une destination en tête, et revenait toujours après à peine quelques heures. Elle ne comprenait pas ce qu'il faisait. Il n'y avait pas d'expression sur son visage, en dehors des spasmes de dégoût, parfois, en la regardant. Donnie ne l'entendait pas parler, contrairement à sa sœur. Elle savait juste qu'il tuait les rats, dans la cave, et qu'il avait parfois ramené le cadavre d'un pigeon. Il laissait souvent les corps devant la porte de la chambre de sa sœur. Il savait pourtant qu'elle aimait les animaux. Donnie ne comprenait pas le petit maître. Parfois, il était dans le salon, ou dans la salle à manger, ou dans la chambre de Laeticia, et il regardait juste sa famille, sans jamais participer.

Le jour où il lui avait fait le plus peur, le plus peur de toute sa vie d'elfe, cela avait été le jour de la tragédie. Le 12 Mai 1962. Donnie n'oublierait jamais ce jour. Il devait être dix heures du matin, le maître et la maîtresse avaient foutu manger une oie, et ils s'étaient attablés avec le petit maître. Laeticia devait lire dans sa chambre. C'était un de ces jours, cependant, où rien n'allait. Donnie regardait le sol, alors que Josiah et Angelica hurlaient.
« Tu ne peux pas contrôler la foudre des cieux Angelica, tu ne peux pas prédire le sens de la toupie et la vie ne s'arrêtera pas de tourner parce que tu as pu croire aujourd'hui qu'il te revenait le devoir d'en décider ! Les forces de l'au-delà ne peuvent pas se comprendre, personne ne les comprend, impossible ! Impossible de comprendre ! -Tu ne sais pas de quoi tu parles, Esprit Maléfique ! Je suis la Nuit, les Folies m'écoutent et je Peux et je Dois croire en ce que la Vie me donne l'obligation d'exécuter ! Je te vois, toi et tes sourires, et tes dents blanches qui veulent mordre et m'arracher ce qui me revient, à moi et à moi seule ! Cela ne t'appartiendra pas, cela ne t'appartient pas ! » Donnie pouvait entendre Maître Josiah pleurer, et implorer le pardon de sa déesse, mais la déesse était violente ce jour-là et elle l'insulta, elle le ridiculisa et le détruisit, avec des mots que Donnie ne comprit pas. Il y avait souvent beaucoup de mots qu'elle ne comprenait pas, lorsque ses maîtres parlaient. Et Josiah pleurait, et criait, et elle le vit se rouler par terre sous la table, du coin de l’œil. Donnie ne bronchait pas. Elle n'avait jamais réussi à calmer les furies de ses maîtres, et attendait le plus souvent qu'elles s'assèchent. Elle les retrouvait souvent enlacés, bienheureux et paisibles, à se roucouler des tendresses, nus dans quelque canapé de la maison.
Cette fois-ci, cependant, Angelica du aller trop loin. Ou alors Josiah était allé trop loin. Ou alors c'était la Lumière, ce jour-là, qui était plus brillante que d'habitude. (Donnie les entendait souvent parler des chants de la lumière, et des couleurs des cris, et elle ne comprenait pas, mais elle  n'était qu'une elfe de maison, elle n'était pas censée comprendre.) Donnie n'aurait peut-être pas du ouvrir toutes les fenêtres de la maison. Angelica adorait lorsqu'on ouvrait toutes les fenêtres, elle disait toujours que cela lui clarifiait les pensées, et que le vent lui faisait entendre la Beauté et la Vérité du monde. Angelica avait toujours parlé avec des majuscules dans la voix. Ce jour-là, au milieu des larmes, Josiah réussit enfin à promettre à Angelica qu'il allait tout faire pour qu'elle l'aime. Et dans cette promesse, il se précipita, sans une once de délicatesse, vers le trou béant donnant sur le le vide. Il sauta, sans que Donnie ne le voit, à cause de ses yeux baissés. Elle comprit que quelque chose clochait lorsqu'elle entendit le hurlement, viscéral et déchirant, que poussa Angelica juste après. Relevant enfin les yeux, elle vit son magnifique visage tordu par quelque chose de bestial, de pire que toutes les illuminations qu'elle avait pu connaître auparavant.
Donnie aurait sûrement pu empêcher Angelica de sauter à son tour à  la suite de son mari. Elle n'eut pas cette cruauté.

Donnie se précipita vers la fenêtre dès que ses muscles le lui autorisèrent. Elle grimpa sur le rebord et jeta un regard à travers le vide. Les corps de ses deux maîtres s'étaient écrasés au sol, deux étages plus bas. Elle aurait du les faire manger dans la petite salle à manger du rez-de-chaussée, mais sa Maîtresse avait toujours aimé les chandeliers du deuxième étage... Leurs corps si gracieux se tordaient en d'étranges angles et le sang, rouge, si rouge, lui brûlait les yeux. Les larmes aussi, lui brûlaient les yeux. Elle se mit à crier et à geindre, bientôt rejoint par Flubby qui avait été attiré par les bruits, puis par Laeticia qui avait du le sentir. Voir mourir Angelica et Josiah Rookwood déchirait le cœur de Donnie. De sa vie, elle ne les avait jamais considéré comme des adultes. Ils avaient toujours été des enfants à ses yeux, de magnifiques enfants capricieux dont elle aurait voulu s'occuper tout au long de sa vie.
Ils passèrent de longues minutes, tous les trois, à pleurer et à se serrer les uns contre les autres, comme pour s'empêcher de s'enfuir et de sauter à leur tour. Puis Donnie s'arrêta, en remarquant que Laeticia s'était arrêtée, et qu'elle fixait quelque chose de l'autre côté de la pièce qui avait l'air de lui faire peur, si terriblement peur. Alors l'elfe de maison suivit son regard et découvrit enfin celui qu'elle avait oublié, dans toute cette horreur.

Augustus, toujours attablé, du haut de ses dix ans, continuait de manger son oie truffée en les observant.

❝ Emerveillement ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Diligence ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Immaturité ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Amitié ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.



Dernière édition par Augustus Rookwood le Jeu 19 Jan 2017 - 12:13, édité 1 fois
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imiterStupidity was as necessary as intelligence, and as difficult to attain.
❝ Humilité ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Fidélité ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Amour ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Honte ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Sadisme ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Trahison ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.



Dernière édition par Augustus Rookwood le Jeu 19 Jan 2017 - 0:20, édité 1 fois
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ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. Empty
simulerBeing in a minority, even in a minority of one, did not make you mad. There was truth and there was untruth, and if you clung to the truth even against the whole world, you were not mad.
❝ Désespoir ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Culpabilité ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Dévotion ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

❝ Fierté ❞Année & Lieu

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❝ Mépris ❞Année & Lieu

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ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. Empty
ressentirConfession is not betrayal. What you say or do doesn't matter; only feelings matter. If they could make me stop loving you-that would be the real betrayal.
❝ Affection ❞Année & Lieu

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❝ Bienveillance ❞Année & Lieu

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❝ Panique ❞Année & Lieu

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❝ Colère ❞Année & Lieu

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❝ Liberté ❞Année & Lieu

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❝ Tendresse ❞Année & Lieu

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.

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WIZARD • always the first casuality
Adelaïde Rookwood
Adelaïde Rookwood
‹ inscription : 29/08/2016
‹ messages : 219
‹ crédits : Myself + Paroles sign Lomepal - Enter the Void
‹ dialogues : #cc9999
ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. Tumblr_m4wsrqlASV1r38wiq

‹ liens utiles :
‹ âge : 24
‹ occupation : Anciennement chargée du Remplacement des Elfes de Maison.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1991 et 1998.
‹ baguette : est en chêne rouge, ventricule de dragon, 26 centimètres, légèrement rigide.
‹ gallions (ʛ) : 2989
‹ réputation : je suis une garce de l'élite qui a trop profité de son statut pendant la guerre ; que je suis la nièce et l'unique parente proche de l'un des anciens Mangemorts les plus recherchés, Augustus Rookwood.
‹ faits : j'étais une enfant froide et renfermée, qui s'occupait seule de sa mère mentalement dérangée, avant d'être placée sous la tutelle de mon oncle, à la mort de cette dernière. Après avoir joui de la vie pendant des années, profitant du compte en banque d'Augustus et de ma situation de privilégiée, j'ai aujourd'hui tout perdu suite à la destruction d'Herpo Creek et à la chute du gouvernement.
‹ résidence : dans l'appartement d'Abel Burke, assignée à résidence par le nouveau gouvernement, en attendant de m'interroger sur la fuite de mon oncle.
‹ patronus : un gros chat sauvage
‹ épouvantard : ma folle de mère me couvrant de baisers et de honte devant tous mes amis d'enfance.
‹ risèd : une petite fille dans mes bras.
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yeah yeah yeah yeah yeah yeah yeah

EDIT : GNIII j'ai trop hâte de lire cette petite refonte de fiche 8D Et avoir mille tranches de vie de tonton Augy et gah je meurs. Bon courage en tous cas, petit scarabée. :-^:
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WIZARD • always the first casuality
Léopoldine Turner
Léopoldine Turner
‹ inscription : 30/10/2016
‹ messages : 138
‹ crédits : (moi-même)
‹ dialogues : #ffcc99 (Joshua > #ffcc00)
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‹ âge : 27
‹ occupation : gérante du Chaudron Baveur sur le Chemin de Traverse depuis plusieurs années, même si l'établissement appartien officiellement à mon Oncle
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1987 et 1994
‹ baguette : est en bois de poirié et crin de licorne. Particulièrement rigide, elle mesure seulement 23 cm.
‹ gallions (ʛ) : 2850
‹ réputation : je n'ai pas de coeur et que je suis froide comme un glaçon. Cette réputation là me permet de tenir mon auberge d'une main de fer, et ça ne m'empeche pas de vendre la meilleure bière-au-beurre du chemin de traverse, à ce qu'il parait. On dit aussi que mon fils et le fruit d'une relation batarde avec un sang-pur, ou un moldu, certains disent même que ce n'est pas réellement mon fils puisqu'on ne me voit qu'avec des femme, mais ceux-là ont eu la chance de ne pas me voir enceinte.
‹ particularité : Voyante spécialisée dans la Cartomentie. Cependant je sais également lire les feuilles de thées, les lignes de la mains, et les boules de cristal.
‹ faits : j'ai un fils, que j'ai eu très jeune et que je suis prête à tout pour le protéger.
‹ résidence : Dans la partie privé du Chaudron Baveur, avec mon oncle Tom et mon fils Joshua. Tatie Gigie occupe la chambre du dernier étage.
‹ patronus : Un loup.
‹ épouvantard : mon fils piégé dans une maison en flamme.
‹ risèd : James, rentré à la maison pour Joshua.
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omg toutes ces parties je sens que tu vas nous tuer encore gaah J'ai si hâte yeah kr
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Invité
Invité
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ptn j'avais pas vu que c'était un nouveau topic :russe:
si j'avais su j'aurais tué père et mère pour choper la première place :russe:
honte sur moi, je manque à tous mes devoirs gaah

i need mooooar boss de mon coeur ow
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OUTCAST • all hail the underdogs
Seán Dunegan
Seán Dunegan
‹ inscription : 05/12/2016
‹ messages : 424
‹ crédits : moony et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : chocolate
ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. Tumblr_inline_odzmo8K0Sy1tae3h3_250

‹ liens utiles :
‹ âge : vingt-quatre ans.
‹ occupation : chef des Shadow Moses.
‹ maison : serdaigle
‹ scolarité : septembre 1991 et juin 1993.
‹ baguette : bois de vigne, ventricule de dragon et elle mesure vingt-cinq centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 3345
‹ réputation : je suis un meurtrier, un monstre.
‹ particularité : il a le Bole disorder. La maladie s'apparente à un trouble de la personnalité borderline couplé à de la magie. Mood ressent tout beaucoup plus intensément que les autres et sa magie déborde énormément à cause de ça. C'est généralement sans danger pour les autres, il faut faire attention à ne pas se prendre un éclair de magie quand il fait une crise. Le bout de ses doigts brûle pendant une crise, sa chair se consumme et ça devient noir une fois fini.
‹ résidence : comme toutes les personnes du gang, il loge au Wuthering Heights Cemetery.
‹ patronus : inconnu.
‹ épouvantard : l'obscurité.
‹ risèd : Mylan et lui, de nouveau ami, de nouveau complice.
http://www.smoking-ruins.com/t6942-mood-emperor-s-new-clothes
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Tu
Je
Le courage yeux
J'ai hâte de lire l'update en tout cas. Faut préparer les mouchoirs ? yeux
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HUNTED • running man
Isaiah Davis
Isaiah Davis
‹ inscription : 10/10/2016
‹ messages : 112
‹ crédits : ALASKA (avatar) ; TUMBLR (gifs) ; ASTRA (code) ; ELMORE (lyrics).
‹ dialogues : #004d4d.
ROOKWOOD • Perhaps a lunatic was simply a minority of one. TtJRHDc

‹ âge : soixante
‹ occupation : un Mangemort en fuite, poursuivi pour avoir été à la tête du bureau des Rafleurs.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1954 et 1961.
‹ baguette : est taillée dans du bois de cyprès, recèle un ventricule de dragon en son cœur et ses 31 centimètres sont restés relativement équilibrés, malgré les nombreux bouleversements vécus, à la frontière du flexible et du rigide.
‹ gallions (ʛ) : 2839
‹ réputation : je suis implacable et carriériste, un nemrod né, je serais capable du meilleur mais surtout du pire pour la sauvegarde de ma famille.
‹ particularité : legilimens.
‹ faits : la mort du Magister a une nouvelle fois changé ma logique ; que je suis en fuite, traînant ma fille Tracey dans mon sillage ; je cherche le moyen de mettre mes enfants à l'abri ; je suis prêt à tout pour les miens, et seulement les miens.
‹ résidence : ici et là. Mon manoir, reculé, loin de la demeure familiale, loin des sorciers, loin des moldus, loin de tout, me permet d'avoir un point de chute inconnu de tous en ces temps troublés.
‹ patronus : inexistant. la Marque des Ténèbres a réduit l'Occamy argenté en de vulgaires volutes de fumée blanche
‹ épouvantard : ma famille emprisonnée et exterminée par le gouvernement (peu importe lequel).
‹ risèd : mon autre reflet, Magnus, et moi-même entourés par les nôtres. En paix.
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ptn ET TU ME KINKSHAME POUR DE VRAI ? gaah
j'croyais que TOUTE la fiche était finie moi, comment tu me blouses yeah

/me pleure déjà :waterfall: :waterfall: :waterfall: :waterfall:
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