|
sujet; dévotion et damnation (lucius malfoy) |
| lucius septimus malfoycouronne dorée ornée de mille épines❝ We're running in circles again ❞war criminals ; scénario ☇ pseudo complet & surnom(s) ; unique enfant d'un couple qui n'a jamais eu la moindre affection l'un pour l'autre, héritier d'une dynastie qui s'étiole un peu plus chaque année, malfoy est son nom. Bien plus qu'un nom, un héritage qui a toujours permis à ceux qui le portent de caresser le pouvoir du bout des doigts, mais également à s'y brûler les ailes. Ses noms ont été donnés pour refléter la splendeur d'une famille qui a toujours souhaité avoir une couronne sur la tête. Lucius le prince qui souhaite devenir roi, Septimus qui mange la mort et symbolise l'effroi. Multiples visages pour un homme qui reste craint et fait naître la peur chez beaucoup de sorciers encore, même si les railleries et les moqueries sont également nombreuses une fois le dos tourné. Des surnoms, il en porte plusieurs, mais on le reconnaît principalement celui-ci, Midas car tout ce qu'il touche se transforme en or, du moins, jusqu'à sa propre chute car aujourd'hui, l'or fond et le poison se répand plus vite que le sang dans les veines. ☇ naissance ; sous l'égide des étoiles de l'hiver, l'enfant attendu par des parents qui ne se sont pas aimés est venu au monde le huit janvier de l'année 1954. Enfant chéri et fils unique, petit prince d'un monde qu'il a toujours souhaité gouverné, la mère l'a choyé en répondant à chacun de ses caprices tandis que le père, le grand Abraxas, lui a inculqué les valeurs communes de la famille et en lui donnant ce goût diabolique pour l'or et le luxe. ☇ ascendance; des reflets vermeil pour un sang qui se veut pur, toujours pur. Une idée persistante chez une famille qui a toujours pensé que conserver ce sang serait opportuniste chez eux et leur permettrait de se hisser au sommet. Une idée qui est presque devenue réalité, mais un mythe qui s'effondre aujourd'hui alors que le Seigneur des ténèbres a disparu définitivement. La pureté semble être devenu la nouvelle pathologie de ce monde où la mixité est une tard, idée tenace dans l'esprit de l'homme qui voit chez les sang-de-bourbes, les cracmols et les moldus, le reflet misérable du genre humain qui se perd dans sa décadence et sa vulgarité. ☇ métier ; mille et une visages ne suffiraient pas au sorcier pour dire réellement ce qu'il est, mais pour la société sorcière, Lucius a été sujet de haine, de colère, d'admiration et de prestige. A la fois ambassadeur pour sa nation, porte-parole de l'ancien ministre Fudge, pion manipulé avec aisance pendant si longtemps, le patriarche Malfoy est également connu pour être un malicieux investisseur sachant où placer sa fortune pour rendre ses investissements les plus lucratifs possibles. Amateur d'art et de belles choses, notamment de sculptures représentant l'antiquité grecque, on le connait comme collectionneur, influencé par le raffinement de sa chère femme. ☇ camp ; l'homme ne sert que ses propres intérêts et son nom. Hier mangemort, il est aujourd'hui un sorcier qui cherche à échapper une nouvelle fois à la justice et si la prison est une évidence, la peine capitale ne l'est pas. Lucius rassemble des fausses preuves pour montrer à tous qu'il est une victime subtilement manipulée par le seigneur des Ténèbres et qu'il n'est en rien, responsable de ses actes. La fuite, la malhonnêteté et l'ingéniosité sont ses meilleurs alliés pour s'échapper encore une fois. ☇ réputation ; considéré par tous comme un mangemort déchu, le sorcier est avant tout un homme spolié pour la société sorcière. Lucius a savamment orchestré la perte de ses acquis pour cacher ses intérêts ailleurs, à l'étranger et faire croire qu'il est désormais ruiné. Une preuve qui symbolise encore un peu plus la manipulation dont il aurait été victime par Voldemort. ☇ état civil ; marié au reflet de son miroir, une évidence qui ne l'était pourtant pas lors du mariage, Narcissa, plus qu'une femme, une muse qui n'aura de cesser de l'inspirer tout au long de sa vie. Père et grand-père, des rôles auxquels il ne répond pas. Maladroit et virulent, il fait tout son possible pour protéger Draco et Scorpius malgré tout, car ils sont son sang, ils sont sa chaire, ils sont des Malfoy. ☇ rang social ; un vulgaire criminel de guerre, un parmi tant d'autres, mais pas n'importe lequel pourtant. Un visage que beaucoup veulent voir tomber, tout un symbole et pourtant, s'il connait sa position et ce qu'il l'attend, Lucius ne fuit pas, ne se cache pas. Il orchestre les évènements qui vont se passer pour éviter d'embrasser la mort. Il fait tout son possible pour échapper à la justice et à son glaive tranchant. ☇ baguette ; une vieille baguette qui était jadis au père du sorcier, car la sienne a été prise de la main de Voldemort en personne. Cette nouvelle baguette n'est pas obéissante et fut sculptée dans le bois d'un vieux chêne rouge. En son sein se cache un crin de licorne et elle mesure très précisément trente-quatre centimètres. Flexible, elle est capricieuse et peu disposée à obéir. ☇ épouvantard ; la peur prend la forme de son propre reflet, lui-même, seul dans une pièce vide avec des souvenirs qui s'effritent et disparaissent en poussière. La fin de sa lignée, la perte de sa femme, son fils et de son petit fils. ☇ risèd ; la splendeur passée et regrettée de la famille malfoy, devenue une dynastie puissante dans un monde où la pureté gouverne tout autre chose. ☇ patronus ; jadis, il prenait la forme d'un chien-loup, ce n'est aujourd'hui plus qu'un souvenir, sortilège inexistant. ☇ particularités ; la magie a toujours été une source de fascination pour le sorcier, très tôt déjà, Lucius éprouvait un besoin d'approfondir ses connaissances, notamment dans des domaines prohibés comme les arcanes de la magie noire ou encore l'alchimie. Doté d'une profonde puissance pour manipuler son prochain et arriver à ses fins, c'est naturellement qu'il s'est entraîné pour maîtriser les domaines de la légilimencie et de l'occlumancie. Des disciplines qui lui ont apporté beaucoup dans sa vie, mais aujourd'hui, si Lucius reste talentueux en légilimencie, l'occlumancie lui fait défaut, notamment à cause des stigmates d'une année passée entre les murs d'Azkaban, la redoutée. ☇ animaux ; il possède un hibou grand-duc, animal fidèle et utile, sa fascination reste cependant dévouée aux paons, des volatiles qui sont à son image, beaux à parader, redoutables en profondeur. | ☇ Avis sur la situation actuelle : Le roi est mort, vive le roi. Des sourires et des réjouissances, maintenant que l'on a coupé la tête du serpent. Et les autres dans tout ça ? Lucius n'est qu'un pion parmi les autres, un ancien pantin qui a perdu la partie. La guerre est désormais terminée, on dénombre les morts, on plaint les blessés, on découvre les horreurs cachées et on réclame vengeance. Les procès arrivent alors que l'ombre du seigneur des Ténèbres s'éloigne, on cherche des responsables, on veut se venger, on veut des morts en public pour calmer la foule qui veut une justice maquillée en revanche. Tu ne seras pas l'un de ces martyrs. Une phrase que Lucius se répète en boucle depuis que son maître a disparu. Si le mage noir a été vaincu, c'est un soulagement pour le sorcier, un soulagement car il peut respirer, car il peut envisager un futur avec sa femme qui a trop longtemps souffert, car ils sont libérés de l'emprise de Voldemort, de sa traitrise, de sa malveillance et de son sadisme. Cependant, Lucius n'est pas tout blanc, au contraire. On peut lui reprocher de nombreux faits et embrasser la mort serait un supplice honorable et mérité pour la foule, mais il s'y refuse. Malin et perfide, le sorcier reste digne en toute circonstance et il prépare depuis plusieurs jours, semaines et même mois, une façon de s'en sortir encore et toujours, d'échapper au glaive tranchant de la justice. Des fausses preuves, un faux dossier pour faire croire qu'il a reçu un lavage de cerveau, qu'il est une victime parmi tant d'autres. Jeu du sort, jeu du mensonge, Lucius joue au poker, bluff et mise gros. Il ne souhaite qu'une chose, tirer la couverture à son avantage et s'en sortir encore avec une pirouette dont il est seul à avoir le secret, mais il ne veut pas s'en sortir seul. Il veut que le nom Malfoy retrouve son prestige d'autrefois, que son fils soit libre et que sa femme puisse retrouver une vie convenable, sans oublier le jeu Scorpius, symbole d'un avenir et d'un héritage qui doit continuer de vivre. Oui, la lignée ne peut disparaître et le roi ne courbera pas l'échine, jamais. |
☇ Infos complémentaires ; ELVENKING ; ... BRAINWHASING ; ... SHORT HAIR ; ... QUIDDITCH SPONSORING ; ... POSH AND ROTTEN ; ... BEAUTY ; ... PRINCE ; ... ANTARES ; ... ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi ewanel. J'ai 24 ans, je viens de France. et j'ai connu le forum via bazzart et un peu partout en fait. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 4 à 5 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [x] oui / [] non. Un dernier mot ? me revoilà avec un nouveau personnage, j'espère que lulu va vous plaire ! je suis désolée pour bill, mais je bloquais vraiment sur sa fiche n'hésitez pas à me contacter si vous voulez des liens, lulu a besoin d'amis, d'amants et d'ennemis, un peu de tout quoi Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Lucius Malfoy le Jeu 29 Déc 2016 - 16:42, édité 2 fois |
| | | |
| couronne d'or et de fer voler jusqu'au soleil pour s'y brûler les ailes❝ en tout cœur brûlera ❞Année & Lieu C'est du velours. Robe scintillante, robe nacrée de blanc, robe d'argent et aux reflets dorées, des perles au cou, des lèvres vermeil. Elle est belle, la poupée, elle est belle, Narcissa qui n'est plus Black, Narcissa qui est devenue Malfoy. Elle est la femme du petit prince, elle est le joyaux de sa couronne. Amour ? Pas d'amour. Lucius ne l'aime pas. C'est un mariage certes, mais un mariage de convenance, pour faire perdurer la lignée, pour prolonger une pureté de façade. Black et Malfoy, le prestige dans un seul et même écrin. Il ouvre la porte de chambre et observe celle qui est désormais sa femme. Elle ôte ses bijoux, détache ses cheveux qui tombe en cascade sur son dos, cascade blonde, crinière d'une lionne qui ne demande qu'à rugir. « Je vais t'aider. » souffle-t-il en approchant pour détacher le collier de perles blanches du cou de son épouse. Le touché fait frissonner, le désir physique est naissant, mais les sentiments s'attardent à naître. Vais-je l'aimer un jour ? Une poupée pour jouer, une poupée pour représenter. Des rôles qui semblent convenir à la sorcière. Dos à lui, son regard cobalt l'observe avec intérêt dans le reflet du miroir accroché au mur face à la coiffeuse. Lucius n'y prête aucun intention. Ses yeux sont posés sur la peau pâle de sa femme, ses doigts s'y posent et la caresse, il sent qu'elle frisonne, il sent qu'elle ne résiste pas. « Sommes-nous seuls ? » demande Narcissa soudainement. Il ne répond pas, pas immédiatement. Bruit du silence, les lèvres de l'homme se pose sur l'épaule et y déposent un léger baiser. « Nous le sommes. » Nouveau silence, les lèvres se détachent de la peau de porcelaine tandis que Narcissa se retourne et place une mèche de cheveux de l'homme derrière son oreille. Sa main frôle la joue, Lucius pose la sienne sur celle de la sorcière, conserver le contact. « Embrasse-moi. » une réclamation plus qu'une supplication, un ordre plus qu'une demande. Lèvres pincées, elle s'exécute, baiser volé, baiser arraché. Il ne rompt pas le contact, il l'étreinte de ses bras et tire les ficelles du velours, le marionnettiste joue avec sa nouvelle poupée, sans se douter qu'elle est sa pièce maîtresse, reine de coeur à jamais. ❝ yeux sombres et cruels ❞Année & Lieu « Lucius ! » il s'écroule à genou. Le monde bascule et la douleur est latente, comme si elle s'éveillait après un long sommeil. Narcissa approche, laisse tomber ses gants de velours et de soie. La femme saisit son mari pour l'aider à se relever jusqu'au fauteuil dans lequel il s'assoit. Sans attendre, il arrache ses boutons de manchette pour observer la marque des ténèbres. Scintillante de mille feux, elle brille dans la nuit, elle brille d'une lueur étrange, subtile mélange entre la terreur et la fascination. Les yeux du sorcier s'attardent de longues minutes sur ce trésor revenu d'un passé que l'on pensait prohibé. Cissa est vive d'esprit, elle comprend parfaitement la signification de tout cela, comme son époux. Elle s'empresse de saisir le visage de Lucius entre ses mains, pour le forcer à le regarder, pour le forcer à quitter des yeux la marque. « Il m'appelle. » dit-il enfin, comme un murmure prononcé en toute intimité. Narcissa entrouvre les lèvres pour parler, elle n'en a pas le temps que son mari la repousse pour se lever et saisir sa canne cachant sa baguette. « Il est de retour. Je dois y aller Narcissa. Reste ici, attends moi. » il ajuste ses gants et prend sa tenue de mangemort, tout de noir vêtu et ce masque qu'il ne pensait pas remettre un jour, une relique conservée dans le plus grand secret, une relique qui se referme sur le visage de son propriétaire. Mange la mort, mangemort. ❝ échec et mat ❞Année & LieuCoupable.L'encre ressort sur le papier du dernier numéro de la gazette du sorcier. Les procès ne cessent de s'enchaîner depuis la chute du Seigneur des ténèbres et pourtant, c'est avec un léger sourire planant sur le coin des lèvres que Lucius feuillette le journal. Son autre verre tient un verre d'hydromel et il ne peut pas s'empêcher de laisser échapper un rire moqueur en lisant le nom de Karkaroff sur l'article. Tellement prévisible. Le rire n'échappe à l'hôte, confortablement installé dans le fauteuil voisin et qui s'empiffre de petits fours et de vin. « Vous appréciez les nouvelles, mon cher Lucius ? » la voix de Fudge sort le sang-pur de sa torpeur qui repose ses iris azur sur l'homme joufflu. « Précisément. Je me réjouis de l'arrestation de Igor Karkaroff. » Fudge termine son verre de vin d'un trait avant de s'essuyer les lèvres et d'enchérir les paroles du sorcier. « Oui et nous avons réussi grâce à vos précieuses informations. Il comptait quitter le pays et nous avons réussi à l'arrêter alors qu'il fuyait dans les Highlands. Votre aide a été des plus précieuses, le ministère a une dette envers vous ! » Lucius acquiesce d'un signe de tête, comme pour signifier que cela n'est rien. Non, ce n'est rien du tout qu'une ruse de plus orchestrée par un maître dans la matière. Malhonnête et hypocrite à souhait, Fudge n'est qu'un pantin, un pion, mais avec une certaine utilité. Sa fascination pour la richesse, les lignées de sang-pur, le faste et la décadence n'a d'égal que sa naïveté. Il a été aisé de le manipuler, une proie de choix dans tout le gratin du ministère, pour faire de lui le parfait porte parole de la bonne foi des Malfoy. La chute du mage noir, maître admiré et respecté a ébranlé la communauté sorcière. Lucius n'a pas eu une nuit pour réfléchir à la meilleure façon de sortir sa famille et son précieux héritage de cette situation. ll a été l'un des premiers à rédiger un courrier à plusieurs représentants du ministère pour clamer son innocence, fournir des noms, des preuves concrètes et prétendre avoir été manipulé comme tant d'autres, cependant, comparé aux autres menteurs, il avait un moyen de corruption puissant pour appuyer ses théories, l'argent. D'or, de bronze, d'argent, Lucius peut se vanter de jouir d'une fortune puissante et c'est avec aisance qu'il a attiré Fudge dans sa toile pour l'emprisonner. « Je vous en prie, Cornelius, c'était tout naturel. N'est-ce pas mon devoir et le devoir de tout sorcier de Grande-Bretagne que d'aider les autorités à arrêter des partisans de Vous-Savez-Qui ? » « Tout à fait, tout à fait ! » léger sourire qui se dessin sur les lèvres du souverain Malfoy. « D'autre part, je me posais la question suivante, mon cher Cornelius. Savez-vous si Barty va devenir notre prochain ministre de la magie ? » l'homme attend avant de répondre, il fixe son verre vide avant de revenir à la discussion. « Il y a de fortes chances pour cela soit le cas. Qui d'autre pourrait avoir ce rôle à part lui ? Dumbledore refuse. » Petit être idiot et trop facile à manipuler, c'est presque dommage et amer de gagner aussi facilement. « Vous ? » Fudge se tait, stupéfait, la bouche ouverte. Lui ? Bien sûr. Pour le manipuler plus facilement, pour avoir accès au plus haut sommet de l'état, pour avoir une couronne invisible mais sciée sur la tête du souverain. « Dobby, ramène une nouvelle bouteille, vite ! » l'elfe couine et disparaît, Fudge s'éprend d'un sourire et s'imagine déjà à la tête d'un ministère à son nom. Oui, la marionnette agit en suivant les ordres de son maître.Cher Bartemius Crouch SR, C'est avec une profonde dévotion pour ma nation et dans le but de vous aider dans votre quête d'arrêter les derniers partisans de Vous-Savez-Qui que je vous écris. Voici déjà trois semaines que nous connaissons un temps de paix et je sais que les susptitions sont nombreuses à mon égard, je le comprends et l'entends. Cependant, je tiens à vous expliquer la situation du mieux que je le peux. Votre poigne de fer est légendaire, monsieur le ministre, mais également votre justice. Vous en êtes le glaive et je ne compte pas y échapper. Les rumeurs à mon sujet sont nombreuses et ont été sifflées jusqu'à vos oreilles. On m'accuse de nombreux faits, notamment d'avoir été un des plus fidèles partisans de Celui-Dont-On-Ne-Pas-Prononcer-Le-Nom, d'avoir orchestré des attaques contre ces malheureux moldus et d'avoir utilisé à plusieurs reprises les trois sortilèges impardonnables. Tout ceci n'est que mensonge, mais je ne peux nier ma proximité avec Vous-Savez-Qui. Comme vous le savez, Crouch SR, ma lignée est pure et je possède une fortune importante ainsi qu'une certaine renommée. C'est naturellement que j'ai attiré, involontairement bien sûr, l'attention du mage noir et de ses partisans. Un soir, ces-derniers ont frappé à ma porte et je n'ai eu d'autres choix que de les recevoir. Ma femme étant enceinte, je ne pouvais risquer une confrontation directe et fuir nous aurait condamné. J'ai donc reçu ces hôtes et j'ai écouté les divagations de quelques partisans, prêchant leurs convictions auxquelles je ne crois pas. Ces barbares ont parlé au nom de leur maître, me demandant de mettre ma baguette à leur service et de leur fournir de l'argent pour financer des actions contre la société moldue. J'ai accepté, car je n'avais pas le choix de le faire à ce moment là, pensant avant tout à ma femme et mon fils qui allait naître quelques mois plus tard. J'ai ainsi répondu au chantage en fournissant des galions à l'ennemi pour sauver ma famille. Je pense que c'est le rôle de tout père d'agir ainsi et je me reconnais coupable de ce crime. Mon argent est sale et a financé je ne sais quelle action sanglante. J'assume mes choix et je répondrai de mes actes devant votre justice, Bartemius. Néanmoins, je réfute avoir été partisan du mage noir, encore moins avoir été dans son intimité. Je ne l'ai jamais rencontré directement et j'ai essayé de fuir dès que les mangemorts ont quitté ma demeure pour faire taire ce chantage. A ce titre, je me suis procurée des armoires à disparaître et j'ai envoyé ma femme dans les Higlands pour la préserver autant que possible. Les partisans sont revenus et j'ai essayé de lutter. Vous n'êtes pas sans savoir que le douze avril, j'ai été reçu à St-Mangouste pour des blessures magiques. J'ai été torturé par plusieurs partisans pour avoir refusé de leur fournir encore plus d'argent. Des entailles profondes et des douleurs psychologiques, nul doute qu'ils m'ont fait sentir à plusieurs reprises le sortilège Doloris. Frôlant la mort et faible à ce moment, je n'ai pas pu empêcher les partisans de prendre le contrôle de mon esprit par le biais de l'Impero. Ils ont ainsi réussi à obtenir encore plus d'argent jusqu'à ce que je retrouve le contrôle de mon corps et de mon esprit au moment où leur maître a été vaincu, me libérant de ma prison mentale. Cependant, vengeurs et haineux, certains d'entre eux n'ont pas hésité à revenir chez moi pour s'en prendre à ma femme revenue avec notre jeune fils Draco, le combat a été dur et ils ont réussi à faire une victime avant que je ne les chasse, mon elfe de maison Ulgris qui a succombé au sortilège de la mort.
Ainsi, monsieur Crouch SR, j'assume mes actes comme dit précédemment et je serai prêt à être reçu devant votre Cour pour être jugé pour mes actes. Je joins à cette lettre, les documents attestant de mon séjour à St-Mangouste et les témoignages de mes employés de maison ainsi que d'autres déclarations, dont celle signée de la main de Cornelius Fudge. D'autre part et souhaitant vous aider dans votre chasse, notamment Wilkes, Mulciber pour ne citer qu'eux, j'assure être prêt à donner les noms de mangemorts qui m'ont attaqué à plusieurs reprises et à participer à leur arrestation. Mon manoir reste à votre disposition, tout comme ma personne pour votre enquête.
Votre dévoué collaborateur, Lucius S. Malfoy.
Dernière édition par Lucius Malfoy le Jeu 29 Déc 2016 - 17:05, édité 9 fois |
| | | |
| couronne d'épines et de cristal le roi est mort, vive le roi❝ déchéance et disgrâce ❞Année & LieuRelevez lui la manche gauche, relevez lui sa manche ! il tonne, il scande, il ordonne, ce vieux incapable de Fudge. Le regard féroce, Lucius se débat, mais la poigne des deux aurors qui le tiennent est plus forte tandis qu'un troisième auror saisit le bras du sorcier. Les yeux se croisent, des regards qui veulent dire plein de choses, de la haine, de la colère, de la méfiance, mais surtout, de la peur. La peur de découvrir la vérité sur ce cher Lucius Malfoy, la peur de faire tomber le masque, la peur de ne plus rien maîtriser du tout, la peur de voir le dernier chapitre de la vie du marionnettiste expirer dans un souffle rauque et grave. Il est venu le temps de la vérité, aussi douloureuse soit-elle. Fudge lâche un cri de stupeur quand l'auror soulève la manche. La marque des ténèbres est là, profondément encrée dans la chaire, elle respire la magie noire. Le serpent disparaît dans la gueule béante du crâne alors que Lucius esquisse un petit sourire. « Voyons Fudge, vous n'allez quand même pas croire que... » « Hors de ma vue. Emmenez moi cet être infâme loin de moi ! » les aurors maltraitent la beauté du sang-pur, ils l'entraînent plus loin et par la magie, resserrent ses liens. Plus de déjeuner avec monsieur le ministre de la magie, plus de parties d'échec où sa stupidité reflète son incapacité à distinguer le jeu de l'adversaire, plus d'hypocrisie et de belles paroles, plus de marionnettes à manipuler, plus rien. « Vous allez le regretter Fudge, croyez moi, vous allez le regretter ! VOUS M'ENTENDEZ SALE VERMINE !? » des paroles en l'air, des menaces sans fondement. Nul doute que Lucius n'a pas perdu que sa liberté, il a également perdu tout son pouvoir. Un pouvoir avec lequel il s'abreuve depuis la nuit des temps, un pouvoir auquel il est devenu complètement dépendant, mais un pouvoir qui vient de lui glisser entre les mains, à jamais. Les portes de la cellule se ferment, le glas vient de sonner. Les souvenirs persistent et inondent l'esprit, le marteau du jugement qui s'écrase, les applaudissements de la foule se mêlant aux injures, à mort, à mort, à mort. Il n'en est pourtant rien. Condamnation sévère, des années derrière les barreaux et les murs humides de la prison d'Azkaban. Les genoux s'écroulent au sol, les sorciers s'éloignent. L'air est froid, l'air est puant, l'air n'est qu'un poison dégueulé par la mort en personne qui rôde en ces lieux. Comment cela-a-t-il pu se produire ? Les questions se répètent en boucle dans l'esprit du prisonnier, des questions qui ne trouvent aucune réponse satisfaisante. Tout était parfait pourtant, tout devait être parfait. Potter avait mordu à l'hameçon, Black était un appât parfait pour un jeune orphelin un peu trop naïf. La prophétie était à porter de main et pourtant ce fut un échec cuisant. L'ordre du Phoenix a tout fait rater, tout a échoué et le seul responsable reconnu c'est Lucius Malfoy. Un nom désormais ruiné, un nom qui n'a plus aucune importance, un nom que l'on ne retiendra pas à travers les âges. Cri de guerre, cri de rage, la voix de l'homme à l'honneur terni et bafoué résonne dans le couloir tandis qu'il se lève sur les jambes et saisit les barreaux pour tirer, comme s'il allait réussir à les briser par la seule force de sa volonté. Foutaises. Et le sol se dérobe sous les pieds du mangemort, l'ombre passe, drapée de son voile noire, elle passe et aspire la vie, aspire le bonheur et les souvenirs. Narcissa, ses lèvres, ses baisers, ses caresses. Tout cela disparaît. Draco, sa chaire, son sang, sa descendance. Il n'y a plus que le néant. Lucius lâche les barreaux et sent son corps qui bascule en arrière. Le choc est rude, la tête claque au sol, tout devient noir, tout s'efface, il ne reste plus rien, que l'amertume, le dégoût, la solitude et le temps qui suspend son vol. Tu n'es plus qu'une ombre parmi les ombres. ❝ perte de contrôle ❞Année & Lieu« Elle ne m'obéit pas. » il siffle, il crache, il a envie de jeter dans le feu, la vieille baguette de son père. Dépouillé de la sienne, sa plus précieuse amie, le mangemort n'est plus que le reflet de lui-même. Sa longue chevelure est aussi terne que son visage où des cernes épaisses sont apparues, le corps est rongé par le temps passé derrière Azkaban, mais surtout, par la pression du seigneur des Ténèbres. Celui-ci prend un malin plaisir à faire souffrir Lucius pour son échec passé, un échec qui le ronge, un échec qui est comme un fruit pourri écrasé entre ses mains, un échec qui se répand comme un poison, le tuant lentement mais sûrement à petit feu. Une traîtrise sans nom que Narcissa a rapidement perçu quand le mage noir a fait de Draco son bras armé. Son objectif n'était pas que le fils réussisse, mais qu'il meurt en essayant de tuer Dumbledore. Si cela s'est finalement fait, la pression ne retombe pas et plus le temps passe, plus la situation devient critique, déplorable, invivable. Les bras de Narcissa entourent le dos voûté de son époux. Une chaleur puissante envahi le corps et l'esprit du sorcier. Elle est son bouclier, garde-fou qui empêche Lucius de sombrer. Son rôle est essentiel dans la vie de l'homme, élément qu'on ne peut dissocier. Lucius seul n'est qu'une ombre, Lucius avec Narcissa devient divin. « Apprends à l'apprivoiser. » souffle-t-elle avant de déposer un baiser sur la joue de l'homme. « Je veux ma baguette. » « Tu sais que ce n'est pas possible. » Atroce vérité qui retombe, un nœud se forme au creux de l'estomac tandis que Lucius range la baguette de son père dans sa poche avant de se laisser tomber dans un fauteuil. Cette pièce, un petit fumoir privé, est sans doute un des derniers lieux où le couple peut encore jouir d'une intimité. Les oreilles sont nombreuses, mais ici, seul le crépitement du feu qui brûle avec intensité dans le foyer de la cheminée se fait entendre. Ils sont seuls. Narcissa le sait et elle doit profiter de cet instant pour parler, parler et faire des révélations, révéler l'erreur de leur fils Draco, de la grossesse de la fille de Wyatt, du bâtard qui va arriver dans quelques mois. « Lucius, j'ai reçu une nouvelle importante tôt ce matin. » commence-t-elle avant d'entendre une créature couiner dans le coin de la pièce. Le regard glacial de Lucius suffit à faire fuir l'elfe qui disparaître. « C'est à propos de Draco et d'Astoria. » ajoute la sorcière. « Vraiment ? » il tique, un sourcil rehaussé sur son visage tandis que l'homme sent la pression naître chez son épouse. Elle le connait, mais il la connait aussi. Il sait déjà qu'il ne va pas apprécier les prochaines paroles de Narcissa. « Elle attend un enfant, l'enfant de Draco. » il n'aime pas ça du tout. Et le ton monte, les martyrs s'insurgent, les mots deviennent des reproches, les reproches deviennent des injures. Et les cris résonnent, la violence n'engendre que de la violence, elle le pousse, il la repousse, elle l'embrasse, il répond à sa fougue. Lucius, comment peux-tu te supporter ? Le sifflement du serpent, la démarche d'un conquérant, un visage blafard et une noirceur ancrée dans un coeur qui palpite, dépourvu du moindre sentiment. Il tremble Lucius, il tremble et transpire, il courbe l'échine comme le parfait petit chien qu'il est devenu. Puni pour avoir échoué, puni pour avoir apporté la honte, puni pour susciter la jaloux, puni parce qu'il n'inspire que méfiance, médisance et coup bas. C'est ça, un coup bas que le maître va faire et qu'il craint. Assieds face au mage noir qui se déplace autour de lui, accompagné de son fidèle reptible, l'horrible Nagini, Lord Voldemort arpente le petit salon d'hiver du manoir de long en large. Il parle, il siffle, dans la langue commune, comme dans une langue inconnue. Langue de vipère. C'est une audience privée, c'est une condamnation que le souverain déchu attend à chaque minute. Les yeux presque clos, il essai vainement de maîtriser ses tremblements, mais rien n'échappe au serpent. « As-tu peur, Lucius ? » le principal intéressé ne répond pas, mais il ne retient pas un hoquet de surprise quand Nagini se glisse entre ses jambes pour disparaître sous le fauteuil. « Apparemment oui. Sais-tu pourquoi tu es ici ? » il ne répond toujours pas, agacement de la part du seigneur des ténèbres. « Réponds moi, Lucius ! » il lui fait face, son visage contre le sien. Lucius bafouille et n'articule pas avant d'inspirer et d'expirer lentement pour réussir enfin à parler. « Non maître, je... je l'ignore. » ricanement léger, Voldemort reprend ses allés et retour dans la pièce. « Voyez-vous ça. » d'un geste de la main, la baguette du sorcier s'illumine et des flammes jaillissent pour s'écraser dans le foyer de la cheminée, embrasant son contenu, des cendres et du bois. « Vois-tu Lucius, ton passé te rattrape. Tu n'es pas digne de ma confiance. Ton fils également. Je suppose que cela doit être dans votre sang. » léger froncement de sourcils, où veut-il en venir ? la réponse ne se fait pas attendre. « Et pour m'assurer de votre parfaite loyauté et de votre obéissance suprême, j'ai décidé de m'emparer de ton bien le plus précieux, le joyau de ta couronne comme tu aimes l'appeler. » NARCISSA ! Le déclic est immédiat et Lucius se redresse avant de sentir Nagini qui s'enroule contre ses chevilles pour le forcer à rester à sa place. Les tremblements deviennent incontrôlables, la sueur perle sur le front et serpente le long de l'arcade sourcilière. « Elle sera ma prisonnière à compter de ce jour. J'ai envoyé deux serviteurs digne de confiance l'enlever et désormais, à chacun de tes échecs, Nagini se délectera de la chaire de ta bien-aimée. » avada kedavra. Le maléfice sonne en boucle dans l'esprit du sorcier, il a envie de prononcer ses mots, de briser l'emprise du mage noir sur son esprit, mais il sait que c'est peine perdu. Voldemort le sait aussi et il lâche un nouveau rire glacial avant d'approcher face à sa proie. « Ne me déçois plus jamais, sinon, le prix a payé sera la tête de ton épouse. » crac sonore, le mage noir disparaît avec son reptile et laisse l'homme seul. L'homme qui se lève, envoi une chaise dans le foyer qui s'éclaire, torche de lumière avant d'ouvrir une armoire pour prendre la bouteille de blended scotch à demi-pleine. Il en boit une longue gorgée, sent l'alcool qui lui brûle la gorge, qui coule le long de son cou, crache et jette la bouteille dans le feu. La couronne est fendue. ❝ ce que l'orgueil a forgé ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par Lucius Malfoy le Ven 23 Déc 2016 - 16:32, édité 5 fois |
| | | |
| je te lis et je meurs mais tellement fuirgvfiref |
| | | |
OUTCAST • all hail the underdogs Seán Dunegan | Y a toujours possibilité d'un lien avec Ron Bon il sera pas aussi amical qu'avec Bill, mais je pense qu'on peut se faire un truc bien sympa REBIENVENUE WESH Bon courage avec cette nouvelle fiche et hâte hâte hâte de voir vos rps père/fils |
| | | |
HERO • we saved the world Luna Lovegood ‹ inscription : 31/05/2015
‹ messages : 5660
‹ crédits : LUX AETERNA (avatar), TUMBLR + MATHY LA BEST (gifs), KAZUO ISHIGURO (quote).
‹ dialogues : bleu (luna - #669999) ; rosé (marie - #cc6666).
‹ âge : (depuis le 13/02/04) 23
‹ occupation : aventurière dans l'âme, souvent bénévole, étudiante par correspondance et mère à plein temps.
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : septembre 1992 et décembre 1997.
‹ baguette : mesure 25, 8 centimètres, a été taillée dans du bois de sorbier et son cœur recèle un ventricule de dragon.
‹ gallions (ʛ) : 10416
‹ réputation : je suis différente ; même je ne suis plus aussi loony qu'auparavant.
‹ particularité : douée d'un sixième sens tel qu'on me soupçonne d'avoir le troisième œil.
‹ faits : Marie n'est plus ; que je me réhabitue à mon nom, mon visage et ma vie d'autrefois, tant bien que mal ; que les conséquences d'une année et demie volée sont rudes ; que je crois en Harry Potter depuis toujours ; que je suis une héroïne de guerre ; qu'il me manque du bon sens et une part d'humanité ; que je ne pourrais pas survivre sans ma fille, Lesath, ni son père, Rolf Scamander, à mes côtés ; que notre famille détonne ; que je suis l'une des sacrifiés scolaires de la guerre ; que Lesath est atteinte du syndrome Rosier.
‹ résidence : dans cette drôle de demeure du Devon, en forme de tour d'échecs, avec Rolf et notre fille, Lesath. Autrefois musée du gouvernement, aujourd'hui réhabilitée, elle s'élève toujours aux abords de Loutry-Ste-Chapsoule.
‹ patronus : un sombral, après de nombreuses métamorphoses (le lièvre et le panda ont été les plus marquantes).
‹ épouvantard : une forme prostrée dans un sous-sol tantôt calciné, tantôt humide (représentation d'un retour en arrière inéluctable, sans Lesath, sans Rolf, sans ceux qui comptent pour moi).
‹ risèd : une longue chaine dorée, sertie de six pendentifs très particuliers.
| huhuuuuu mon ancien maître On a moult choses à se dire toi et moi Trop api de voir ce scenar' tenté, omfg, je sens les keels venir tout droit de MalfoyLand et jpp (RE)BIENVENUUUUUUUUUUUE CHEZ NOUS Le dbt Hâte de lire le reste en tout cas |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Astoria Greengrass ‹ inscription : 29/10/2015
‹ messages : 966
‹ crédits : whorecrux, tumblr, skam.
‹ dialogues : indianred.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-trois (03/07)
‹ occupation : volontaire à Saint-Mangouste (TIG) et créatrice de mode, co-fondatrice de la marque OXOX, premier et populaire prêt-à-porter sorcier.
‹ maison : serpentard
‹ scolarité : 1992 à avril 98.
‹ baguette : est neuve et capricieuse. Elle mesure vingt-trois centimètres virgule six, est faite de bois d'érable et continent un crin de licorne.
‹ gallions (ʛ) : 3968
‹ réputation : je suis une petite bitch écervelée qui ne mérite pas la miséricorde avec laquelle on la traite.
‹ particularité : soigneuse, capable de guérir (presque) tous les maux.
‹ faits : j'ai été enlevée par ma propre soeur et utilisée comme otage par les insurgés pendant quatre ans Je suis aussi la mère du petit Scorpius Malfoy. J'ai été en procès parce que j'ai été Adhérente pendant la Guerre, mais j'ai été innocentée ou du moins, condamnée à plusieurs mois de TIG notamment à Saint-Mangouste.
‹ résidence : dans un petit appartement du Chemin de Traverse avec ma mère et ma soeur, loué par les soins de ma tante.
‹ patronus : impossible pour moi à invoquer
‹ épouvantard : Frank Hudson, un ancien leader Belliqueux désormais mort, tenant la main de Daphne et m'observant d'un air cruel.
‹ risèd : Scorpius, heureux et épanoui.
| | | | |
WIZARD • always the first casuality Flora Carrow ‹ disponibilité : hold that thought
‹ inscription : 11/12/2015
‹ messages : 1109
‹ crédits : MUDBLOØD. (avatar), sovereign (gif)
‹ dialogues : #336699.
‹ âge : vingt-deux ans (04/02)
‹ occupation : pour le monde, je suis une ancienne médicomage légiste (en réalité, l'ancienne assistante personnelle de l'Ambassadeur).
‹ maison : ravenclaw
‹ scolarité : 1993 et 2000.
‹ baguette : est toute neuve, taillée dans un délicat bois d'aubépine renfermant un ventricule de dragon, elle mesure trente centimètres et des poussières dépassant ainsi de loin celle que j'ai perdu dans l'attentat de saint-mangouste.
‹ gallions (ʛ) : 5114
‹ réputation : je suis Hestia Carrow, une fille bizarre, porte-malheurs, instable et incestueuse qui ferait tout pour sa sœur.
‹ particularité : clairvoyante.
‹ faits : je n'étais pas maîtresse de mes actions pendant la guerre, mon cerveau ayant été lavé après l'exécution des rebuts. J'ai fuit la bataille finale bien avant sa fin et je hais la marque à mon bras. Retrouver le contrôle de mon esprit n'est pas si aisé que ça et je fais encore de nombreux cauchemars. En fuite avec ma jumelle et mon niffleur albinos, Idris, logeant chez des moldus j'ai fini par me rendre en espérant rendre à ma sœur une vie normale, sauf que par un procédé qui m'est inconnu elle a réussi à échanger nos corps.
‹ résidence : bonne question.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : moi-même, ou Hestia qui sait, restreinte par une camisole de force.
‹ risèd : moi-même de nouveau identique à Hestia.
| | | | |
HUNTED • running man Owen Avery | QUEL CHOIX ! Bill était parfait mais mon amour pour les DE est sans limite, alors bienvenue dans la team de bras cassés, maintenant que papa est plus là on va pouvoir se serrer les coudes -ha-ha (ou pas). J'ai hâte de lire la suite ! CE DEBUT TROP PROMETTEUROJDOIHUGYUG |
| | |
|
|