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sujet; DAVIUS / I'm just a soul whose intentions are good |
 | Davius "Rook" Llewellynthere's a heart, trapped under all the crumbled walls❝ We're running in circles again ❞RENAISSANCE ; Inventé☇ pseudo complet & surnoms ; Davius Llewellyn. Un nom sans histoire, s'il en est. Ses amis ont toujours aimé l'appeler Dave, ou Davy, même s'il avoue une haine féroce pour les surnoms et reprend avec sécheresse ceux qui s'y risquent. Son surnom d'insurgé est Rook, du nom de la tour aux échecs. Une pièce lourde, forte, à longue portée.
☇ naissance ; 13 mai 1960, Ste-Mangouste, malgré une vie entièrement passée dans la bourgade sorcière de Harriet's Garden, au Pays de Galles. Il a eu l'immense honneur d'être de la même promotion que les légendaires Maraudeurs et de tous les personnages exécrables que vous connaissez.
☇ ascendance; Sang-mêlé, des deux côtés.
☇ métier ; Ancien Auror, pas celui avec la meilleure réputation.
☇ camp ; Ancien insurgé Belliqueux, membre uis chef des Loups, désormais membre de la Renaissance du Phénix.
☇ réputation ; Dangereux. Davius était un des Aurors les plus incontrôlables, jadis, et la torture, ainsi que la perte de sa famille, a brisé quelque chose chez lui. Il est un élément imprévisible.
☇ état civil ; Jadis marié et père de deux filles. Désormais veuf et sans enfants. Il a hérité de la garde de Juliet Pepper, fille d’onze ans d’un de ses meilleurs et plus anciens amis, mort au combat.
☇ rang social ; Rebelle en fuite.
☇ baguette ; Bois de prunellier, ventricule de cœur de dragon, 29.2 centimètres. Une baguette au tempérament fort, heureusement balancée par sa longueur et sa rigidité. Elle n'aime pas s'ennuyer et se rebiffe parfois sur les sorts plus doux, ou trop fréquemment exécutés. Prédisposée à l'offense et aux maléfices.
☇ épouvantard ; Sa femme décédée l'accusant de la mort de leurs filles. Il en rêve la nuit et cela explique pourquoi il est incapable de trouver le sommeil.
☇ risèd ; Rien d'original dans son désir. Il verrait ses filles, adolescentes, souriantes, rieuses, diplômées de Poudlard. Vivantes, surtout.
☇ patronus ; L'apprentissage du patronus corporel est obligatoire, dans la formation pour devenir Auror, et il s'est donc appliqué sur ce sort jusqu'à le réussir parfaitement. L'animal qui sort de sa baguette est donc une chouette hulotte. Un animal nocturne, sans surprise quand on apprend à le connaître, un rapace silencieux aux sens affinés, mais tout de même vulnérable. Il ne sait cela dit plus s'il est capable de produire un patronus, ou si celui-ci s'est modifié.
☇ particularités ; Il est capable de rester éveillé quatre jours sans dormir (c'est une capacité spéciale comme une autre) et son accent gallois le rend incompréhensible quand il est en colère, soit 95 % du temps.
☇ animaux ; Aucun, outre les autres rebelles et quelques loups sympathiques.
☇ miroir ; Un miroir en forme d'étoile,aux reflets brun rougeâtre. Keziah, Victoria et lui ont tous trois des miroirs frères provenant du même grand miroir originel. | ☇ Avis sur la situation actuelle :
Ce qu’il pense de la situation actuelle est une question qui se répond d’elle-même, sans même avoir besoin de connaître Davius plus que nécessaire. Il est temps que ce gouvernement fantoche tombe et la chose prend déjà beaucoup trop de temps à son goût. Son impatience le rend susceptible d'adhérer à toutes les idées dangereuses, tant que celles-ci permettent d'obtenir des résultats immédiats, et c’est même surprenant qu’il ait accepté de se joindre à la Renaissance du Phénix. Il est temps de mettre les conflits de côté et de s’allier véritablement, pour que la victoire de l’insurrection soit leur dès que possible. |
☇ Infos complémentaires ; Il a été champion de duel, à Poudlard, et a fréquemment disputé son titre contre ses camarades. Il a été connu pour son style passablement agressif. •Davius a toujours été notablement lunatique. Sa voix laconique et blasée, sa patience proverbiale, ont toujours su rapidement faire place à des colères effroyables et à des méthodes hautement réprouvées par le bureau des Aurors. • Poufsouffle paisible et quelque peu connu au sein de l'école pour ses talents de duelliste, il restait cela dit peu sociable. • Plusieurs cicatrices ornent son corps musculeux, mais il n'en a aucunement honte. Elles sont bien les preuves de sa bataille constante. La plus cruelle est une brûlure qui couvre la moitié de son dos. • Son accent gallois est particulièrement marqué et il a toujours eu tendance à être plus audible lorsqu'il se met en colère. Vu l'ambiance actuelle au Royaume-Uni, comprenons que c'est la majorité du temps. • Il n'a pas été un mari fidèle et s'en veut beaucoup, désormais, mais il n'a plus le temps de penser à ses aventures passées. Taciturne et distant, ses airs mystérieux ont toujours eu leur charme et il en a joué. • Dans ses bons jours, il se révèle espiègle et blagueur, amusant. Dans ses mauvais, il s'éloigne des autres insurgés pour ne pas les amputer de quelques membres superflus (au hasard, un bras). La plupart du temps, il réussit à se maintenir sur une fine ligne et passe pour quelqu'un de sec et de brusque, mais capable de se contrôler. • Davius a déjà été excellent en magie sans baguette, mais la débandade de son caractère rend l'exercice extrêmement difficile, voire impossible. Il travaille beaucoup à récupérer ses moyens magiques et personnels, pour le bien de tous, mais surtout le sien. • L'épaisseur de son casier « d'interventions déplacées et condamnables », au bureau des Aurors, était sa petite fierté. • Sa formation professionnelle le rend très utile au sein des insurgés, même si on pourrait attendre de lui un peu plus de tactique, de diplomatie et de plans impliquant autre chose que des morts et des explosions. Ce n'est pas pour rien qu'il arbore le ruban rouge des Belliqueux. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL
Appelez-moi deadpool/Fred. J'ai 25 ans, je viens du Québec et j'ai connu le forum via Bazzart. Si tout va bien vous me verrez connectée 4 jours sur 7. Un dernier mot ? AMOUR SUR VOUS.Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Davius Llewellyn le Sam 27 Aoû 2016 - 3:24, édité 20 fois |
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| | The beast withinall growing and trembling, all biting and fainting❝ It's a rebellion, isn't it ? I rebel ❞2001, Daeva « Et reviens quand tu sauras faire autre chose que mutiler tes alliés ! T'en fais pas, la prochaine fois, c'est ta tête que je vise. » Le Poufsouffle quitte rageusement le campement en faisant flamber un arbre d'un mouvement de baguette indolent. Les hurlements de fureur ne sont rien à son oreille, ne génèrent même pas un tantinet du soulagement qu'il cherche en agissant ainsi, et il marche plusieurs minutes en frappant furieusement dans les feuilles mortes. Il transplane finalement plus loin, jusqu'à une cascade isolée. Un petit con. Un nouveau. Un crétin. Il ne sait plus ce qu'il a dit. Il a blagué. Davius est dans un mauvais jour. Un très mauvais jour. Il a été patient, pourtant, jusqu'à ce que l'énergie exubérante du nouveau se porte sur lui. On l'a averti, le nouveau. Évite le type là-bas, parle-lui demain. Pas aujourd'hui.C'est l'anniversaire de mort de sa femme. Son esprit ne se rappelle plus de ce qui a été dit, il sait seulement que tout a disparu dans un nuage de rage noire et rouge et que quelques doigts du gamin sont tombés au sol. Rien de grave, on peut les faire repousser voyons. On lui a quand même hurlé dessus. Il est quand même parti pour ne pas tuer personne et aggraver son cas. Il se déshabille entièrement, plonge dans le bassin formé par l'eau glaciale et sent son souffle se couper sous le choc. Il reste quelques secondes sous l'eau, jusqu'à sentir une brûlure dans ses poumons, et émerge finalement pour prendre une grande goulée d'air. La baignade lui fait toujours du bien, mais il ne peut s'empêcher de craindre le jour où ce genre de méthode naturelle ne pourra plus rien pour lui. Il chasse ses mèches noires de son front et regarde le ciel, pensif. Le Llewellyn aurait dû se contrôler – mais il ne peut pas, pas pour ça. Pas pour un crétin qui parle à tort et à travers. La colère remonte et il serre son poing sur sa baguette, toujours dans sa main. Un hurlement de bête qu'il étouffe en mordant sa paume, coulant sous l'eau du même mouvement. Ce n'est pas pour rien qu'il n'est chef d'aucun groupe insurgé, pas même chez les Belliqueux. Davius ne peut même pas se contrôler lui-même, alors toute cette bande de merdeux ? Irréaliste. Mais il le doit. Il doit se reprendre, réapprendre, redevenir ce qu'il a déjà été. ❝ Big bad wolf ❞1994, Ministère « MAIS TU VAS PARLER, PAR MORGANE ! » Le rugissement de Davius pourrait faire trembler les tableaux accrochés sur les murs du Ministère, s'il n'était pas dans une salle insonorisée à cet instant. Lui qui est habituellement si placide et en contrôle de ses émotions, lui dont la voix laconique et blasée sait encore plus énerver que les cris, est hors de ses gonds. Déjà qu'ils ont eu un mal de chien à capturer ce sorcier, celui-ci est en train d'épuiser ses dernières réserves de patience, déjà minimes. Ilse vient à ses côtés et serre brièvement son épaule, comme pour lui intimer de se calmer. Chose qu'il était sur le point de faire. L'homme lui crache au visage – et Davius ne réfléchit pas une seconde de plus avant de lui envoyer un crochet du droit et d'ensuite essuyer la salive qui descend sur sa joue. Il essuie sa main avec dégoût sur la robe de sorcier du criminel, qui gémit de douleur contenue. Ilse commente, sur un ton quelque peu détaché : « Pas très diplomate, ta méthode. Tout le monde s'en fout, d'ma méthode. » Vrai. Surtout en ce moment. Personne ne va protester pour l’œil au beurre noir qui va bientôt orner le visage du criminel devant lui. Ce n'est pas le premier. Dave souffle sur ses jointures et reprend sa baguette, entraînant derrière lui sa collègue. La porte de la salle d'interrogatoire claque derrière eux et se verrouille magiquement. Ses doigts se serrent sur sa baguette, machinalement, et les sorts qui brûlent au bout de celle-ci le démangent. Autant qu'à sa baguette, en fait. Son calme proverbial fout rarement le camp, mais quand ça arrive, ce n'est jamais heureux. « C'est ce que vous appreniez, dans le club de duel ? Si j'avais su, je m'y serais jointe, au lieu de simplement m'intéresser aux Bavboules. » Le babillage joyeux de l'Auror réussit à étirer un mince sourire sur son visage sérieux, pendant une fraction de seconde, avant qu'il revienne à son habituel faciès exténué. Il est fatigué. Il a besoin de dormir. Il n'écoute même pas ce que sa collègue raconte pour meubler le silence. « Et qu'est-ce que tu diras, pour expliquer sa tête, à celui-là ? Le Poufsouffle réfléchit quelques secondes, avant de hausser les épaules. Ils rajouteront ça à mon dossier. » Un coup de poing de plus ou de moins. Ça ne va rien changer à sa vie. Et puis, il a une réputation à garder. Peu importe laquelle. ❝ Broken ❞26 février 1999, QG Mangemort « Voyons, Davy, on pourrait croire qu'un homme comme toi sait où se trouvent ses intérêts. On pourrait croire qu'un homme comme toi sait où se foutre ses conneries. » Le Mangemort éclata de rire et un autre, un énième, « Endoloris » passe ses lèvres et frappe la silhouette enchaînée de l'Auror. Celui-ci hurle jusqu'à s'en casser la voix, se tordant de douleur sur le sol poisseux de la demeure. Poisseux de son propre sang et sans doute de celui de ceux qui l'ont précédé. Les spectres sombres d'Alice et Frank Longbottom flottent dans son esprit embrumé par la douleur. L'homme lève le sort et profite de la vue, un sourire malin aux lèvres. Mettre la main sur cet animal belliqueux de Llewellyn avait été miraculeux (ils avaient dû s'y mettre à trois) et être la personne désignée à sa torture est plus que divertissant, vu la résistance de celui-ci et son obstination crasse. Le Mangemort a des souvenirs de leurs années communes à Poudlard, ces années où le champion de duel lui avait presque rompu le cou dans une joute qui reste dans les mémoires des rares larrons de cette époque encore en vie. Rien pour chérir le souvenir de ce faciès sombre, qui se révèle ici fort en expressions de souffrance. Délicieux. Un coup de baguette et Davius redresse la tête, forcé par une main invisible de regarder son bourreau. Il a fière allure, l'Auror ! Dans ses vêtements déchirés, ses membres traversés de blessures et le visage taché de sang ! Que subsiste-t-il de ce fanfaron brutal qui défendait ses écarts de conduite avec un haussement d'épaules détaché dans le bureau de ses supérieurs ? « Réfléchis. Un sang-mêlé, avec tes qualités... cela prendrait un peu de temps, mais tu pourrais te racheter. Vivre une belle vie. Pas de réponse. Tu pourras même recommencer à zéro, vu que ta vie familiale s'est... brusquement terminée. » C'est un coup bas, déclaré avec délectation. Il voit les iris bleus trembler, les lèvres pleines se serrer, mais rien ne sort. Quelle déception. « Si tu coopérais... tout se terminerait. Cette fois, une réponse vint, mais il ne comprit rien au grognement gallois. Tu peux répéter ? Je n'ai pas bien entendu. Le Llewellyn ricana, avant de répéter en articulant soigneusement. J'ai dit : va te faire enculer par un troll. » Le sort jaillit instantanément – le ricanement se transforme en un cri de bête blessée. Un autre sort. Un autre encore. Une salve de couleurs jaillit, avant que le Mangemort se calme. Il ne doit pas le tuer tout de suite. Ce crétin de Gallois peut se révéler encore utile, s'il s'emploie à utiliser sa langue pour autre chose que l'insulter. Avant qu'il se décide à couper ladite langue. Ses grandes enjambées l'amènent auprès de l'Auror. Il empoigne la tignasse noire et la serre avec force, presque jusqu'à en arracher une poignée, et rapproche ses lèvres de l'oreille de Davius. « Tu sais ce qu'on a fait à tes... à tes filles ? Oui. Il sait. On l'a forcé à regarder. Il a hurlé, il a rué, il a pleuré. Ils l'ont brisé. Pourquoi ne parle-t-il toujours pas ? Tu te rappelles... comme elles n'arrêtaient pas de crier ton nom ? Comme elles voulaient que tu... que tu les aides. Mais Papa... Papa il ne pouvait pas, hein. » Ses larmes s'obstinent pour ne pas couler, mais elles tracent tout de même leur chemin sur les joues barbouillées de sang – et un autre « Endoloris » écourte la conversation.div> ❝ O Father ❞29 janvier 1995, Pays de Galles Les événements du monde magique vont de mal en pis. Et il se sent tellement impuissant face à tout cela. Davius est étendu dans son lit, incapable de dormir malgré la respiration paisible de son épouse à ses côtés. Il a toujours été prompt à l'insomnie et toutes les potions ramenées par Jillian n'ont pas réussi à y changer quoi que ce soit. Les temps actuels n'aident rien. Les réunions et plans effectués avec Tonks, Maugrey, Shacklebolt, Dawlish et les autres larrons mènent toujours dans le mur et de plus en plus, certains désertent les rangs. Il faut dire que les méthodes ministérielles n'ont rien pour ravir son cœur épris de liberté. Le Llewellyn se lève finalement et va se servir un trop grand verre de whisky pur feu, avant de s'écraser dans le canapé du salon. Les lumières de Noël éclairent la pièce et la neige tombe paisiblement à l'extérieur, apaisant son esprit tourmenté. Dans deux jours, l'année 1996 laissera place à une nouvelle année et il craint qu'elle ne soit pas meilleure. Un bruit subtil, discret, le fait bondir sur ses pieds et pointer sa baguette avec vigueur... sur ses filles. Oh. Il rabaisse sa baguette. Il est nerveux. Il l'a toujours été. Champion de duel. La baguette vive, chatouilleuse, facile à bondir. Il affecte une expression faussement sévère en reprenant place dans le canapé. « Qu'est-ce que vous faites encore debout, vous deux ? Ava répond, prenant à cœur son rôle d'aînée, donc de déléguée du duo qu'elle forme avec Gemma. On ne pouvait plus dormir. » Classique. Elles tiennent cela de lui et il aurait préféré ne pas leur laisser cela en héritage. Davius soupire et fait un geste pour les inviter à le rejoindre, ce qu'elles font avec empressement, s'emparant chacune d'un genou de leur père pour mieux l'enfoncer dans le canapé sous leur poids conjugués. « Dites donc, qu'est-ce qu'ils vous donnent à manger, à Poudlard, mes crapules ? Vous êtes lourdes comme des Grapcornes. Papa ! » Des éclats de rire. Il fait disparaître son verre d'alcool d'un geste leste de la baguette avant de se laisser aller à écouter les souffles des deux brunettes de sa vie. Il aime Jillian, évidemment, mais on n'aime jamais autant que l'on aime ses enfants. Il tuerait, pour ces gamines. Pour sa Serpentard frondeuse et boudeuse, pour sa Poufsouffle patiente et rieuse. La voix d'Ava fend l'air, chuchotement prudent et quelque peu rouspéteur : « Tu ne dors pas beaucoup. Non. Ça ne va pas, au travail ? Un soupir. Pas vraiment... mais ce ne sont pas les affaires de sorcières de votre âge. Oh, s'il avait su. S'il avait su que oui, elles auraient dû savoir. J'ai quand même quinze ans, Papa, et Gemma treize. Oh, pardonnez-moi, Votre Altesse. » Sa réplique avait été acide et il se sent aussitôt coupable. Il doit faire attention, avec elles. Elles sont sensibles et lui souvent trop brusque. « Tu as ton BUSE cette année et Gemma a sa première année avec options. Concentrez-vous là-dessus, mes cœurs, et tout ira bien. Je m'occupe des méchants. » La réponse ne semble satisfaire aucune des deux adolescentes, qui froncent le nez dans un mouvement miroir – identique à sa propre moue – pour marquer leur désapprobation. Elles lui ressemblent de façon affolante et il ne sait pas s'il doit en être rassuré. Il n'a pas si mal tourné, certes, mais... enfin. L'Auror dépose un baiser sur chacun de leur front. « On va s'en sortir, d'accord ? Tous ensembles. Je vous le promets. » Un mensonge. Un si beau mensonge auquel lui-même a crû.
Dernière édition par Davius Llewellyn le Sam 27 Aoû 2016 - 4:18, édité 15 fois |
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:wéé: 
& j'exige un lien d'avance 
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