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sujet; (1980) ISO + AUROR'S BUMPHING |
HUNTED • running man Isaiah Davis ‹ inscription : 10/10/2016
‹ messages : 112
‹ crédits : ALASKA (avatar) ; TUMBLR (gifs) ; ASTRA (code) ; ELMORE (lyrics).
‹ dialogues : #004d4d.
‹ âge : soixante
‹ occupation : un Mangemort en fuite, poursuivi pour avoir été à la tête du bureau des Rafleurs.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1954 et 1961.
‹ baguette : est taillée dans du bois de cyprès, recèle un ventricule de dragon en son cœur et ses 31 centimètres sont restés relativement équilibrés, malgré les nombreux bouleversements vécus, à la frontière du flexible et du rigide.
‹ gallions (ʛ) : 3031
‹ réputation : je suis implacable et carriériste, un nemrod né, je serais capable du meilleur mais surtout du pire pour la sauvegarde de ma famille.
‹ particularité : legilimens.
‹ faits : la mort du Magister a une nouvelle fois changé ma logique ; que je suis en fuite, traînant ma fille Tracey dans mon sillage ; je cherche le moyen de mettre mes enfants à l'abri ; je suis prêt à tout pour les miens, et seulement les miens.
‹ résidence : ici et là. Mon manoir, reculé, loin de la demeure familiale, loin des sorciers, loin des moldus, loin de tout, me permet d'avoir un point de chute inconnu de tous en ces temps troublés.
‹ patronus : inexistant. la Marque des Ténèbres a réduit l'Occamy argenté en de vulgaires volutes de fumée blanche
‹ épouvantard : ma famille emprisonnée et exterminée par le gouvernement (peu importe lequel).
‹ risèd : mon autre reflet, Magnus, et moi-même entourés par les nôtres. En paix.
| ludovic bagmanTwo things are infinite: the universe and human stupidity; and I'm not sure about the universe.« Qui est le chef d'astreinte au Bureau? – Il est quelle heure? – Presque vingt-deux heures. – What the f... Pilgrim retient l'injure dans un souffle ennuyé, à cette heure-ci, je crois que c'est Williamson. Tu te charges de les prévenir? – Le propriétaire est proche de l'apoplexie? – À ce stade, je dirais plus qu'il frôle la crise catatonique, » et là où Pilgrim grimace, Isaiah soupire, harassés. Les deux Aurors, qui n'ont habituellement rien en commun, partagent cette fois le même avis: le propriétaire de ce foutu stade de Quidditch devrait seulement s'estimer heureux que deux aurors aient répondu à son appel (à l'aide, cela va sans dire) et cesser de s'égosiller pour qu'on lui rende son stade plus vite. Il ne comprenait pas que brasser de l'air aussi vainement ne permettrait pas aux dizaines de sorciers installés sur sa pelouse de dégriser plus vite. Tout en ragrafant sa cape au reste de son uniforme, Davis se rappelle une nouvelle fois combien l'univers des sports magiques est sans nul doute le dernier refuge, havre utopique et ô combien naïf, du Royaume-Uni sorcier: il n'y plus que les joueurs, les ligues et les hooligans de Quidditch pour oublier qu'ils sont au beau milieu d'une guerre au jour d'aujourd'hui. « À demain, bon courage avec Tête de Citrouille. – Ha, ha, ha, Davis, faisant de l'humour, qui l'eut cru... » La porte qu'il vient d'ouvrir se referme à son passage et Isaiah se met aussitôt en marche, ignorant tout de go le fumeux trait d'esprit de son équipier tandis qu'il arpente les galeries souterraines du stade, espérant ne pas mettre trop longtemps avant d'enfin retrouver l'air frais et (surtout) pur de la surface du complexe sportif. Frais est un doux euphémisme. Pour un mois d'octobre, l'air est absolument glacial.Auror Davis au rapport. Conjointement aux équipes de sécurité du stade de Plymouth et aux forces de la BPM, l'agent Pilgrim et moi-même avons procédé à cent-cinquante-six interpellations: sept d'entre elles ont conduites à des arrestations effectives. Les débordements survenus aux abords de la zone sécurisée ont vraisemblablement débuté à l'annonce de la victoire des Wimbourne Wasps. Les rares interpellés encore sobres ont tous corroboré la même version des faits: ils tiennent pour responsables les sept suspects présumés de la débâcle. Cependant, aucune menace sérieuse n'a été constatée à notre arrivée: nous préconisons donc l'ouverture d'une enquête à l'encontre de la Ligue de Quidditch et des responsables du site de Plymouth pour fausses déclarations et demande de soutien abusive des forces Aurors. Terminé. L'obscurité rassurante de la nuit et les volutes argentées de son Occamy lui manquent déjà, à peine le Grand Hall investi. Il aurait du se douter que leur hiérarchie leur avait réservé une chambre, à Pilgrim et à lui, dans le même établissement que ces foutus joueurs de Quidditch. S'arrêtant au comptoir d'accueil, espérant s'enregistrer le plus rapidement possible, l'attention de l'Auror est attirée lorsque lui provient le son d'un capharnaüm étouffé jusqu'à l'oreille. Les chants victorieux s'élevant depuis le bar de l'hôtel atteste sans le moindre doute de la présence de l'équipe victorieuse du tournoi annuel: il aurait du se douter que sa journée était loin d'être finie. Davis patiente une bonne minute avant de se rendre à l'évidence et de finalement suivre le chemin tout tracé par son ouïe fine. Si le personnel hôtelier était trop accaparé par les Wasps, alors il irait jusqu'au personnel hôtelier pour trouver le confort et le calme de sa chambre. Davis se promit de féliciter l'enchanteur des lieux pour la prouesse technique. Contrairement à ce qu'il avait bien pu penser dans le grand hall, Isaiah ne se retrouve véritablement assourdi par la clameur populaire qu'une fois le seuil du bar franchi. Il y a quelque chose de paradoxal et d'irréel à la scène, note-t-il tout en s'approchant des longs comptoirs boisés. Selon Davis, un lieu suintant ainsi austérité et sévérité ne parait pas être le meilleur des choix en matière de festivités ; qui choisissait une sorte de lieu de ... culte (à défaut de trouver meilleur terme) pour accueillir les vainqueurs d'une finale sportive? À bien y réfléchir, c'est assez ironique: la Ligue de Quidditch doit avoir les mêmes responsables hiérarchiques que lui. « J'ai bon espoir que vous ne provoquerez pas le même bourbier ici qu'au stade de Quidditch, Bagman, lâche Isaiah, un peu sèchement, un peu brutalement, lorsqu'il s'arrête près du visage connu au comptoir. C'est une chose de passer pour un sorcier de la BPM, c'en est une autre de surveiller les arrières de votre équipe. » Davis est un Auror bien trop brillant et qualifié pour être seulement confondu avec un membre de la Brigade de la Police Magie alors, pour un vulgaire garde-du-corps de sportifs? Ça lui est intolérable. Il ne sait pas si c'est son flegme naturel, ou leur différence d'âge, qui l'a ainsi poussé à interpeller Ludovic Bagman. Toujours est-il que sa fierté et son audace n'ont que très peu apprécié le fait d'être assignés à la régulation d'un vulgaire débordement de foule: il ne peut pas laissé la vedette de l'année s'en tirer sans le lui faire savoir. Il chasse les mages noirs, Davis, pas les groupies hystériques et les sorciers échaudés par l'alcool et l'amour du Quidditch. |
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| isaiah davisI told you homeboy u can't touch this Yeah that's how we're livin' and you know u can't touch this Look in my eyes man u can't touch this You know let me bust the funky lyrics u can't touch this « Bah alors Bagman, on t’a pas dit d’arrêter de lécher les cognards ? » « Wow Bagman, sympa le nouveau look ! On doit remercier quelle fan ? » « Putain mec… Tu l’as dit à Moira ? Elle va t’exploser si elle a appris que tu t’en es encore pris un en pleine tronche. » « Bon Bagman, si un journaliste te demande, c’est bien un cognard qui t’a fait ça, et pas un fan des Falcons, on est bien clair ? Il ne manquerait plus que le public pense que ces barbares ont réussi à atteindre les joueurs ! »
Dix minutes après la fin du match, et Ludo ne compte déjà plus le nombre de réflexions du genre qu’il s’est pris. Il n’en est qu’à son quatrième verre et il a déjà explosé à la figure d’un des réservistes entre deux fous rires : « OUI ! On a compris ! J’ai un œil au beurre noir, j’ai l’air d’un con, ma femme va me trucider à mon retour, on a eu des émeutes à la fin du match mais est-ce qu’on peut s’arrêter CINQ MINUTES et se rappeler qu’on vient de GAGNER la PUTAIN de coupe de la LIGUE pour la TROISIÈME année CONSÉCUTIVE ? » Bien sûr, lorsque Ludo se met à hurler, tout le monde se tait parce que, de toute manière, personne n’arrive à se confronter à son volume sonore. On aurait pu croire qu’après une telle déclaration, ça comme à gueuler. Mais c’est sans compter que Ludo arrive à hurler de hargne et d’excitation en même temps et que, en finissant son discours, il lève les deux mains en l’air, un verre dans chaque, et que derrière lui le gardien de l’équipe s’est aussitôt mis à pousser des hurlements de victoire. Ils ont gagné, putain. Ils ont encore gagné la ligue de Grande-Bretagne. Alors certains peuvent peut-être se blaser d’être les meilleurs mais, clairement, Ludo, c’est à chaque fois comme si c’était la première fois. Il ne se lasse jamais de savoir qu’il est le plus grand batteur de sa génération et de son pays. Il n’en peut plus de lire partout, dans les journaux, à quel point le phénomène Bagman est en train de faire sa place dans l’histoire du Quidditch. Il est quasiment sûr de faire partie de l’équipe nationale pour la prochaine Coupe du Monde. Moira ne sera pas contente au début mais, bon, elle a beau dire, la célébrité, elle adore. Bref, en dehors des continuelles réflexions sur sa gueule cabossée (les risques du métier de batteur), Ludo est d’excellente humeur. Il boit, il hurle, il danse, il fait des blagues vaseuses sur les culs d’environ la moitié de la salle, il drague ostensiblement des femmes mariées, il boit encore, et il rit à gorge déployée quand on lui demande à quelle heure il compte rentrer.
Alors bon, franchement, le Davis, il ne l’a même pas tilté. C’est comme un filtre, qu’il a sur les yeux : les tronches d’enterrement, il les repère même pas. Ca marche sur tout, et c’est diablement pratique : aux yeux de Ludo la guerre n’a pas lieu, la violence n’a pas d’importance, son couple va bien, ses enfants son merveilleux et il est le plus de tous, malgré son coquard de cognard. Il faut donc qu’il entende la voix d’outre-tombe de l’Auror pour qu’il le remarque. « J'ai bon espoir que vous ne provoquerez pas le même bourbier ici qu'au stade de Quidditch, Bagman. » Ludo a un sourire sidéré et amusé, à la remarque du vieux con. « C’est pas ma faute si les fan des Falcons n’arrivent pas à accepter notre supériorité évidente. Tu remarqueras que ceux sont eux qui ont cherché des noises à nos joyeux lurons. Pour la suite… Nous avons des fan dévoués, que puis-je y faire ? Jouer comme un Falcon ? » Et il rit grassement, presque fier de sa blague, bien trop alcoolisé pour que quiconque puisse entacher sa bonne humeur. « C'est une chose de passer pour un sorcier de la BPM, c'en est une autre de surveiller les arrières de votre équipe. » Ludo soupire bruyamment, toujours souriant, toujours rieur, tapant même un moment sur le comptoir pour exprimer la profondeur de son amusement. Davis, c’est vraiment un vieux con, parfois. Il pourrait être rigolo, et fun, Merlin ils se croisent parfois dans les bars (Ludo est invité à toute soirée qui se respecte), et ça peut être sacrément fun. Mais alors, dès qu’il s’agit de boulot… « Roh faut se dilater un peu l’anus mon vieux, on voit déjà les rides de la chiantise sur ton front. Allez, respire un coup, viens t’asseoir à côté de moi et prends un verre. » Et pour appuyer son propos il tapote le siège à ses côtés. « C’est quand même plus rigolo d’être ici qu’au fin fond d’un trou à mages noirs. Allez, dis-moi plutôt comment va ta femme ? Toujours aussi parfaite ? T’es sûr qu’on peut pas échanger ? » Il montre sa tronche, avec sa gueule à moitié détruite, et lui lance une grimace dans un sourire (toujours). « Elle est un peu violente mais t’inquiète pas, elle sait compenser au pieu. »
Et sur ces mots si fins, il finit cul sec son verre. |
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HUNTED • running man Isaiah Davis ‹ inscription : 10/10/2016
‹ messages : 112
‹ crédits : ALASKA (avatar) ; TUMBLR (gifs) ; ASTRA (code) ; ELMORE (lyrics).
‹ dialogues : #004d4d.
‹ âge : soixante
‹ occupation : un Mangemort en fuite, poursuivi pour avoir été à la tête du bureau des Rafleurs.
‹ maison : Serpentard
‹ scolarité : 1954 et 1961.
‹ baguette : est taillée dans du bois de cyprès, recèle un ventricule de dragon en son cœur et ses 31 centimètres sont restés relativement équilibrés, malgré les nombreux bouleversements vécus, à la frontière du flexible et du rigide.
‹ gallions (ʛ) : 3031
‹ réputation : je suis implacable et carriériste, un nemrod né, je serais capable du meilleur mais surtout du pire pour la sauvegarde de ma famille.
‹ particularité : legilimens.
‹ faits : la mort du Magister a une nouvelle fois changé ma logique ; que je suis en fuite, traînant ma fille Tracey dans mon sillage ; je cherche le moyen de mettre mes enfants à l'abri ; je suis prêt à tout pour les miens, et seulement les miens.
‹ résidence : ici et là. Mon manoir, reculé, loin de la demeure familiale, loin des sorciers, loin des moldus, loin de tout, me permet d'avoir un point de chute inconnu de tous en ces temps troublés.
‹ patronus : inexistant. la Marque des Ténèbres a réduit l'Occamy argenté en de vulgaires volutes de fumée blanche
‹ épouvantard : ma famille emprisonnée et exterminée par le gouvernement (peu importe lequel).
‹ risèd : mon autre reflet, Magnus, et moi-même entourés par les nôtres. En paix.
| Davis hausse un sourcil circonspect devant le sourire éméché de Bagman. Il se demande vaguement le nombre effectif de verres ayant déjà infiltré le système de son vis-à-vis, avant de se reprendre: il vient de se souvenir que l'état d'ébriété de Bagman n'avait jamais fait parti de ses centres d'intérêts. « C’est pas ma faute si les fan des Falcons n’arrivent pas à accepter notre supériorité évidente. Tu remarqueras que ceux sont eux qui ont cherché des noises à nos joyeux lurons. Pour la suite… Nous avons des fan dévoués, que puis-je y faire ? – Servir d'exemple? – Jouer comme un Falcon ? » Great, la sacro-sainte utilisation du 'tu' de comptoir. Si le joueur de Quidditch décérébré par les coups de cognards intempestifs utilise d'emblée le tutoiement joyeux, ça répond à son questionnement mental (même s'il se contrefiche toujours autant de la réponse): il doit déjà y avoir assez d'alcool dans le sang de Ludovic Bagman pour remplir une bonne partie de magnum de firewhiskey. Isaiah agit comme à son habitude, reste stoïque aux gesticulations saccadées de Ludovic, mais il doit bien se l'avouer, le spectacle qu'il donne est assez amusant pour que l'Auror ne se contente pas simplement de lever les yeux au ciel à la moindre bravade. « Roh faut se dilater un peu l’anus mon vieux, rectification, c'était amusant de rester impassible jusqu'à maintenant; désormais, il ne voit même plus l'intérêt de rester poli ou courtois avec Bagman: du stoïque, son masque se fait juste blasé à l'écoute des tournures langagières les plus élaborées dont était capable le blond, on voit déjà les rides de la chiantise sur ton front. Allez, respire un coup, viens t’asseoir à côté de moi et prends un verre. – Bien sûr, tu payes. N'espère pas me coller ton ardoise sur le dos comme la dernière fois. » Et c'est en ignorant sciemment le siège molesté par la main Bagman qu'Isaiah en vient à le dépasser, s'installant sur le tabouret situé à sa droite avec autant d'assurance que de défiance: il ne manquerait plus qu'il oublie totalement à qui il avait à faire, le Wasp. « C’est quand même plus rigolo d’être ici qu’au fin fond d’un trou à mages noirs. – Je préfère mille fois mieux le 'trou à mages noirs', merci bien. – Allez, dis-moi plutôt comment va ta femme ? Toujours aussi parfaite ? T’es sûr qu’on peut pas échanger ? » Le barman fait soudainement son apparition, attirant son attention avant que Bagman ne la rattrape en se penchant vers lui, mettant au passage en valeur son visage salement amoché. Ridicule. « Elle est un peu violente mais t’inquiète pas, elle sait compenser au pieu. » Un son guttural et presque amusé s'échappe alors des lèvres de l'Auror: il n'a pas besoin d'user de son don de legilimens pour savoir qu'il s'est juste pris un cognard au coin de la caboche
« Merci, commence-t-il, le regardant boire la fin de son verre d'une traite tout en levant l'index et le majeur en direction du serveur pour commander deux nouvelles rations du liquide ambré, mais non merci. Je préfère mon épouse, elle est naturellement plus chaleureuse que ta balle de Quidditch. », n'en déplaise à cette chère Moira. Tout aussi rapidement qu'il n'avait enlevé le verre vide de Ludovic, le barman dépose devant eux les deux rations doubles sur le comptoir; Davis le remercie d'un vague hochement de tête avant qu'il ne s'éloigne, levant dans le même temps son verre devant lui, prompt à trinquer avec ce guignol malgré tout. « Elle va très bien, cela dit, merci. Elle m'a même confié quelque chose à ton sujet la dernière fois... quelque chose ayant rapport à la différence flagrante qu'il existe entre toi et l'image que tu véhicules dans les journaux Pensif, il fixe lourdement la cocarde sombre sous son œil, comme si fixer l'auburn l'aiderait à trouver plus vite les termes exacts employés par Suellen, tu ne ferais pas grâce à tes posters d'après ce que j'ai compris, » Bien entendu, des termes qui n'existent pas - Sue n'a pas une seule fois évoqué Ludovic en sa présence - mais l'occasion de lui renvoyer l'ascenseur était bien trop bonne pour qu'il la laisse passer aussi impunément. « Et tes enfants, comment vont-ils? » demande-t-il finalement, escomptant sur l'effet dégrisant d'un tel sujet pour ne plus avoir à supporter les tirades vulgaires et colorées de son acolyte. Davis n'est pas encore assez familier du phénomène Bagman pour savoir si oui ou non, il existait sur Terre un sujet assez sérieux pour détourner son attention et son sérieux du Quidditch plus de deux minutes consécutives. Derrière eux, le chant de la victoire est de nouveau entonné par les coéquipiers de Ludovic. Il en viendrait presque à regretter sa décision de s'être installé près de lui. Presque. |
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