» Déplacements traditionnels

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Il existe bien des méthodes pour réduire les distances à néant.

1. Du balai-jouet sécurisé de son enfance à la Foudre en passant par les Éclairs de Feu 2.0 et autres Nimbus 2004, les sorciers ont bien progressé depuis les balais originels gravés dans la mémoire des moldus.

2. La poudre de cheminette est connue pour sa structure sécurisante et sa facilité d’emprunt. Le réseau de cheminette permet de se rendre aux quatre coins du Royaume-Uni (pas au-delà). Enfants, cracmols et même moldus peuvent l'employer. Le Ministère de la Magie contrôle, via la régie autonome des transports par cheminée, les cheminées utilisées pour se déplacer.

3. Le permis de transplanage se prépare et se passe à la majorité (dispensé au CEPAS par un agent du ministère) ou plus tard (au ministère). Outre les risques de désartibulation, il n'est que troisième dans les préférences des sorciers à cause du mal du transplanage qu'il provoque chez certains (tourbillon, sensation d’enfermement voire d’écrasement) et de l'énergie magique croissante qu'il requiert selon la distance à parcourir. Il est soumis à des restrictions : barrière anti-transplanage (on ne transplane pas d'un pays à l'autre : risque d'épuisement potentiellement mortel et de crash contre les frontières) ainsi que décrets dont le non respect peut mener à l'invalidation permis par le département des transports magiques. Il peut être repassé par la suite, à moins que la sanction soit définitive.

Il est interdit de transplaner enceinte (risques dus à la magie instable) et avec plus de 0,5 g d'alcool par litre de sang (transplaner ou boire, il faut choisir !). Certains lieux sont entourés de barrières anti-transplanage : Azkaban, Poudlard, Sainte-Mangouste, le Ministère et la gare de King’s Cross. Qui tente d'y pénétrer ainsi se retrouve directement dans une petite pièce du Ministère pour être interrogé.

4. Le portoloin est plus indiqué pour des déplacements sur une plus longue distance ou à plus de deux. Mais beaucoup sont sujets au Mal du portoloin (nausées, des étourdissements, voire même des crises de nerf).

Les particuliers ont l'interdiction de franchir sans autorisation la frontière anglaise : seul l’Office des portoloins internationaux (OPI) peut légalement créer des portoloins à destination étrangère. Sauf dérogation spéciale, la destination d’un portoloin ne peut être fixée à l’intérieur d’une institution. Enfin, le portoloin est contre-indiqué durant les sept premiers mois de grossesse (déclenchement de contractions). Mais au-delà, les sorcières se voient confier un portoloin d'urgence menant (de façon exceptionnelle) directement à l'intérieur de l'hôpital St Mungo's. Il est lié à leur emprunte magique pour ne fonctionner pour personne d'autre et éviter un détournement criminel.

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Les carrosses volants et diligences (privées ou taxis) sont obsolètes aujourd'hui. Les armoires à disparaître sont interdites et détruites par le Ministère à la fin de la guerre, par mesure se sécurité. Il n'en reste plus qu'une paire, au musée Poudlard : celle utilisée par les sbires de Voldemort pour s'y introduire. Elle est définitivement hors service.

» Transports roulants

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Le magicobus, bus à triple impériale de couleur violette pouvant apparaître presque instantanément sur un simple mouvement de baguette, s'est progressivement institutionnalisé.

D'abord par le biais de véhicules de secours motorisés roulants, comme le Service d'Aide Médicomagique d'Urgence (SAMU), qui peuvent traverser n'importe quelle ruelle si étroite soit-elle.

Puis, plus récemment, par l'établissement d'un réseau de magicobus de ville et scolaire qui traverse tant le monde sorcier que le monde moldu, trop rapides pour être perçus par les moldus et ensorcelés pour passer entre les obstacles. Les premiers desservent les nombreuses lignes et arrêts disséminés à travers le Royaume-Uni ; les seconds transportent les élèves au CEPAS matins et soirs.

» introduction

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Bannis pendant plusieurs années, les véhicules motorisés magiques sont désormais de nouveau accessibles. Avant la montée au pouvoir du Lord, rares étaient les sorciers à ne pas aimer les voitures. Seuls les suprémacistes s'y opposaient et encore : certains pro purs cachaient leur fascination pour les voitures de luxe. Cet amour des véhicules volants explose littéralement depuis la fin de la dictature.

» codes et permis

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» JONCTIONS MOLDUES, PEAGE & STATUT DU SECRET

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• Afin de préserver le statut du secret, de nombreuses mesures ont été mises en place. Des charmes de désillusion masquent les voitures et motos volantes pour donner l'illusion d'un ciel désert.
• Des espaces de jonction ont été remis en place afin de relier les routes et rues moldues à la voierie magique. Il faut traverser à bord du véhicule un mur ensorcelé faisant office de péage automatique et donnant accès à un tunnel. Ces tunnels sont coupés d’une cascade magique bardée de sortilèges veillant à la gestion du trafic et à l’intégration des engins magiques dans la circulation moldue : régulation de la vitesse en cas d’accident ou d’embouteillage, vérification du passage en conduite terrestre, sorts anti-piétons et anti-moldus, tout est prodigué par la cascade qui, une fois franchie, ouvre l’accès au côté non-magique.
• La plupart des villes et grandes communes possèdent des points de jonction permettant de voler jusqu'au plus proche de sa destination et d'ainsi éviter la voierie moldue et ses embouteillages. La liste officielle des péages disponibles est accessible depuis les POW ou directement au département des transports pour une version papier. A noter que Londres comporte cinq grands péages :

• Westminster : centre / sur les quais de la Tamise, devant le musée moderne Tate
• Camden Town : nord / sur Camden High Street
• Clapham : sud / à la sortie du parking du Clapham Common
• Globe Town : est / près du Parc Victoria
• Kensington ouest / le long du Royal Albert Hall
• De plus, des passages rouvrent un peu partout dans la grande agglomération londonnienne, à commencer à Twickenham, Croydon et Dagenham.

• Le péage est à régler par prélèvement automatique sur un compte en banque. En cas d'incapacité de règlement, les voitures et motos magiques se verront refoulées. Il existe une file avec un guichetier pour les sorciers étrangers et/ou ne possédant pas de contrat avec le service de péage.
• La circulation sur le Chemin de Traverse est autorisée dans les quartiers de Pinkstone, Monkstanley, Whitehorn et Waffling. À Barkwith, la circulation est strictement réservée aux balais (à moins de 40 km/h) et aux vélos volants. La priorité est aux piétons. Les stationnements sauvages sont interdits, tout comme il prohibé d’attacher son vélo volant ou son balai encore en vol à la barrière d’un balcon.

» CIRCULATION AÉRIENNE

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• Les voies sorcières aériennes (VSA) sont réglementées et suivent, d'une manière générale, un code de la route similaire à celui des moldus afin d'éviter les confusions lors des transitions.
• On y roule à gauche, la vitesse y est limitée même si supérieure à celle d'une voie terrestre et sauf contre-indication, il faut respecter la priorité aux intersections.
• Les voies sont équipées de sortilèges qui, couplés aux systèmes de sécurités des véhicules magiques, évitent la plupart des accidents en détectant les anomalies et en garant automatiquement et surement la voiture ou la moto en cas de problème. C'est en partie pour ça que les véhicules non-homologués sont interdits. C'est à travers le pare-brise ou les lunettes de moto que la route est visible, la rendant particulièrement discrète vis-à-vis des moldues.
• La signalétique s'affiche sur de faux nuages et s'adapte aux conditions de circulation pour informer les sorciers en temps réel. Lors des tempêtes ou en cas de vents très violents, il arrive que les routes costières soient fermées et que l'on renvoie les usagers vers les voies terrestres.
• Enfin, les voies sont dotées de sortilèges repousse-oiseaux afin d'éviter toute rencontre fâcheuse ou tragique. Elles évitent toutes trajectoires d'avions en cours de décollage ou d'atterrissage.

» ENTRETIEN, RAVITAILLEMENT, DÉPANNAGE, ASSURANCE

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• Il faut être agrée par le gouvernement pour pouvoir entretenir et réparer un véhicule motorisé magique. Ces sorciers et sorcières sont appelés des mécanomages et ils travaillent dans des garamagiques qui fleurissent depuis la levée de l’interdiction.
• C’est dans ces centres qu’il est possible de recharger son véhicule. Les voitures et motos volantes, ainsi que les vélos, fonctionnent à l’énergie magique. Difficile à concentrer et à manipuler, elle est soumise à réglementation et il est interdit de recharger soi-même les batteries de son véhicule. Les véhicules sont traçables, tout comme les batteries et la provenance de l’énergie magique utilisée pour faire avancer l’engin. Il n’existe pas de garamagiques du côté moldu, ce qui limite le temps passé sur la voierie non-sorcière.
• La fraude, le débridage des véhicules, la modification de véhicules non-homologués et l’auto-recharge sont punis par la loi. Les contrôles, s’ils ne sont pas systématiques, sont fréquents et ce en particulier aux péages. Il est strictement interdit de modifier une voiture moldue sans passer par un mécanomage certifié.
• Fleurissent également les compagnies d’assurance, jurant sécurité en cas d’accident avec un sorcier ou un moldu.
• Les véhicules motorisés magiques sont équipés d’un bouton d’appel d’urgence permettant d’appeler un dépanneur, que vous soyez du côté sorcier ou du côté moldu. Ce service est payant.