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sujet; (sandalec) rescue me
MessageSujet: (sandalec) rescue me   (sandalec) rescue me EmptyLun 15 Mai 2017 - 18:36

OUTCAST • all hail the underdogs
Sana Mehndi
Sana Mehndi
‹ disponibilité : always ready.
‹ inscription : 13/03/2017
‹ messages : 260
‹ crédits : bramble heart, tumblr,
‹ dialogues : #sandybrown
(sandalec) rescue me Tumblr_og8tq2bxK01rz3s6qo7_r1_400

‹ âge : dix-neuf (24/07)
‹ occupation : underboss des shadow moses.
‹ scolarité : je n'ai jamais été à l'école de magie.
‹ baguette : est taillée dans de l'acacia, renferme une plume de phénix en son cœur et mesure vingt-six centimètres, que des détails que j'ignore parce que je l'ai récupérée sur un cadavre et qu'à ce stade-là j'aurais pris n'importe quoi pourvu que ça puisse faire quelques étincelles.
‹ gallions (ʛ) : 3045
‹ réputation : je n'existe pas, la société me connaît pas, les autorités me connaissent pas, mes parents sont à l'autre bout du monde et me croient morte depuis longtemps. Y a qu'auprès des autres exclus, des autres rebuts de la société, que j'existe, et eux trouvent juste que je suis plus "sympas" que Mood (ce qui n'est pas dur à faire), mais redoutable avec un peu de sable sous la main.
‹ particularité : je suis une sorcière de la terre (earthbender).
‹ faits : née en Inde, j'ai pris le mauvais train un jour et me suis retrouvée au Népal, incapable de retourner chez moi, raflée ensuite pour un réseau de trafic d'enfants perdus j'ai été vendue pour servir sorcier résidant à Singapour. J'ai fini par m'enfuir dans un bateau et c'est comme ça que je me suis retrouvée parfaitement clandestinement en Angleterre.
J'ai encore un accent quand je parle anglais, mais je le comprends très bien.
Je contrôle le sable que je mélange à de la poudre de plantes venimeuses pour endormir mes ennemis.
‹ résidence : au Wuthering Heights Cemetery.
‹ patronus : inconnu, j'ai jamais appris à l'invoquer
‹ épouvantard : une cage, claustrophobe que je suis.
‹ risèd : des retrouvailles avec les Mehndi.
http://www.smoking-ruins.com/t6867-sand-savages
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alexander howardWe meet fear. We greet the unexpected visitor and listen to what he has to tell us. When fear arrives, something is about to happen.
Elle ne sait plus comment elle s’est retrouvée-là. Tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a des coudes qui lui rentrent dans les côtes et des mains qui la poussent dans tous les sens et elle se prend plusieurs sacs dans la figure. Elle ne sait plus comment elle s’est retrouvée-là, dans Broadgate Circle, après une escapade à Brick Lane, mais tout ce qu’elle sait c’est qu’elle doit se tirer de la foule au plus vite. Elle a l’impression d’étouffer entre tous ces inconnus qui scandent des slogans qu’elle comprend à peine. Elle n’est pas agoraphobe pourtant et, gamine, Sana détestait la solitude, lui préférant de loin la foule des festivals de Jaipur. Mais Sand déteste se sentir enfermée, elle déteste être ballottée comme ça dans une cage, si vivante soit-elle. Même le Holi Festival à Londres, qui lui rappelle son enfance et son Inde oubliée et sa famille arrachée, elle ne peut à son apogée y assister que de loin, l'observant depuis les toits. Et puis, surtout, il y a l’artefact de Johnny-not-Johnny qui vibre à en déchirer la poche de son jean ; la foule est hostile, ça se voit, mais certains dedans doivent lui être hostiles à elle aussi, pour ce qu’elle est devine-t-elle, que ce soit sorcière, indienne, ou hors-la-loi. Elle arrive à se faufiler entre plusieurs manifestants, résistant à la tentation presque naturelle de leur faire les poches au passage, mais elle a ses priorités et c’est l’air libre qu’elle recherche avant tout. Elle n’a jamais eu de problèmes particuliers avec les moldus, quelque part elle les aime même bien, mais elle sait qu’ils ont peur des gens comme elle – quoique les quelques banderoles qu’elle parvient à lire, laissent à penser que ce n’est pas le cas de ceux-ci. Qu’ils sont pacifistes. Pour la plupart. Elle ne se sent pas en sécurité ce qui est étrange à admettre, parce que quand s’est-elle jamais sentie en sécurité depuis qu’elle est Sand ?

Quand elle arrive enfin à s’extirper de la masse de corps, un peu hagarde, elle manque de trébucher sur quelqu’un déjà à terre ; en lisière de la foule à peu près organisée, quelques altercations ont débuté. Elle file sans demander son reste, mais on l’arrête rapidement d’un bras sur son épaule. Un adolescent avec une poignée de poils sur le menton et une batte de baseball dans un main la regarde un peu hostile. C’est compliqué parce que Sana a une baguette magique dans sa poche, qu’elle n’utilise jamais ou presque parce qu’elle ne l’aime pas, ne la comprend pas et n’a jamais vraiment appris à s’en servir. Il lui est arrivé de la sortir juste pour menacer, bluffer et elle pourrait songer à en faire autant si elle n’était pas entourée de moldus inamicaux. Elle a aussi son "arme spéciale" dans sa poche, mais pas assez bien évidemment pour endormir tout le monde autour d’elle, pas même seulement le groupe qui s’est réuni derrière le jeune homme à la batte. Alors elle ne fait rien, les mains bien en vue et relève la tête, avec un petit sourire innocent. La panique vibre un peu dans son cœur qui n’a pas encore su se calmer depuis le bain de foule forcé, mais elle n’en montre rien. “You a wizard-lover girl?” Elle secoue la tête férocement. “You a witch?” Même réponse sans voix. “Check 'er out.” fait le petit chef, à un des garçons à sa droite. Les yeux alertes de l'indienne cherchent un échappatoire, mais outre le fait de replonger dans la foule qui disparaît déjà au coin de la rue, elle ne voit pas vraiment d'option. À sa gauche un groupe assez similaire se bat avec d'autres adolescents, elle ne sait pas s'ils sont tous moldus et s'il s'agit d'un simple conflit d'opinions ou si ce certains sont sorciers. Des mains viennent tâter ses poches jusqu'à trouver la brindille qu'elle a volé sur un cadavre il y a plusieurs années et le type la brandit triomphant et effrayé à la fois. “So what's tha' then?” Elle hausse une épaule. “A fake.” Il y en a un qui a l'air d'avoir mal au genou, peut-être que si elle met toute sa force dedans elle peut le faire tomber, mais et après ? Que faire des quatre autres ? “A fake? You think I'm an idiot you little spawn of S-” Le combat d'à côté à pris fin et l'un des vainqueurs assomme justement le leader du groupe qui fait face à Sana. Il a une baguette dans les mains, sorciers then. Le groupe qui lui était hostile se dissipe dès la mise hors-jeu de son leader, celui qui avait sa baguette à elle dans les mains la laissant tomber par terre avant de fuir. Malgré tout, le cadeau de not-Johnny secoue encore sa poche arrière et elle se baisse à peine pour récupérer sa baguette, reculant doucement, prête à prendre la fuite. “You ok?” elle hoche la tête, serre les doigts autour du morceau bois inutile et se détourne déjà.

Hey ain't she one of them?” Elle n'a pas fait trois pas, elle pourrait encore se mettre à courir, disparaître au coin de la rue, s'infiltrer dans un immeuble moldu s'il le faut. “One of them dregs that got your brother?” La grimace de dégoût a à peine eu le temps d'étirer ses lèvres et ses jambes de se mettre à courir vers une ruelle, que les doigts s'agrippent à son t-shirt et déchirent quand elle se débat dévoilant l'encre noire des Shadow Moses et de leur boussole sur son rein gauche. “Yeah they had one of them tattoos.” Si elle n'avait pas la baguette de l'un contre sa jugulaire, elle aurait sûrement l'audace de cracher au sol. La confondre avec une Dregs et se faire tabasser pour ça, ça la rendrait presque plus furieuse que le passage à tabac en lui même. Elle n'est pas aussi petty que Fangs avec l'autre gamine, ni même que Mood qui les hait farouchement, mais ce sont des ennemis et par définition ils sont moins bien qu'eux et puis, Sand est somme toute fière de son gang à elle, de sa famille, elle préfère qu'on la haïsse pour ça plutôt qu'on l'amalgame à ces raclures de Dregs. C'est à ça qu'elle pense quand vole le premier coup; elle encaisse sans mal, même si ça fait longtemps qu'un poing ne s'est pas écrasé contre son visage. Ses doigts cherchent discrètement sa poche, même si elle n'en touche que deux, elle peut aveugler le reste avec les graviers de l'allée, de quoi se laisser le temps de filer. Sauf qu'il y a un éclat de lumière rouge et celui qui est le plus proche d'elle tombe au sol, suivi par celui à sa droite, pétrifié. Elle en profite pour attraper une bonne poignée de sable et la souffler en direction des deux autres qui rejoignent leur camarade par terre. Il n'y a plus qu'elle et l'inconnu qui vient de mettre la moitié de la bande hors d'état de nuire dans la ruelle, de la poudre magique encore dans le creux de sa main, elle hésite: l'artefact dans sa poche ne tremble plus. Il y a encore des cris qui sont poussés un peu plus loin, il faut croire que ça n'est que le début des échauffourées et elle ne compte pas s'éterniser, mais “Thank you”. Il n'y a que quand elle parle qu'elle remarque qu'elle saigne, le goût métallique du filet rouge qui s'échappe de son nez, coulant jusque sur sa langue. Elle porte les doigts de sa main libre à son visage et secoue la tête. Someone will have to patch her up et elle va devoir admettre aux autres qu'elle s'est fait battre, l'humiliation de l'underboss, la brûle plus que la douleur.
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