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sujet; (Froth) ☩ “Wisdom is where the brain meets the heart.” |
| Froth Walkisur feat Landon Liboiron • wanderlust
| ◄ | • nom complet ; Froth Walkisur, nom typiquement roumain qu'il tient de son père. Frotharya était le prénom de sa grand-mère maternelle, mais pseudonyme féminin et vieux, il a fini par devenir Froth. • surnom(s) ; Sa mère avait pour habitude de l'appeler cățeluș ce qui veut dire chiot. Mais il haïssait ce surnom. • naissance ; Le 8 Janvier 1980 à Cardiff, il a passé son enfance sur la route ou dans des camps Gitans avant d'être scolarisé à Poudlard. • ascendance ; Né-moldu, cela n'a pourtant pas étonné ses parents de le voir naître avec des pouvoirs magiques. Rien ne surprenait vraiment ses géniteurs. • camp ; Il n'est évidemment pas pour le ministère qui l'a enchaîné et réduit au statut d'Elfe de Maison. Il comptait rejoindre les insurgés avant de se faire attraper. "Un Walkisur ne se soumet pas". La devise familiale n'a jamais été aussi ironique. Mais il préfère troquer sa liberté plutôt que se retrouver à Askaban. • métier ; Il n'en a pas et n'en aura surement jamais si l'on omet ses devoirs de quasi "esclave". • réputation ; Fils de Gitans et né-moldu, autant dire qu'il est en bas du bas de l'échelle sociale. • état civil ; Célibataire. • rang social ; Un rebut, n'ayant à racheter que la non-pureté de son sang et son désir d'égalité et de justice. • particularité(s) ; Il n'en a pas particulièrement et aime à penser que c'est une bonne chose dans sa condition actuelle. • patronus ; Un coyote. • épouvantard ; Paradoxal compte tenue de sa situation, ce sont les chaînes et l'emprisonnement qui l'effraient le plus. Ne plus voir la lumière du jour et contempler la lune qu'au travers de barreaux sales. • risèd ; La fuite. Dans le miroir, Froth se voit libre, au volant de sa vieille voiture dans le monde moldu, loin du conflit, de Voldemort et de toutes ces conneries. • animaux ; Aucun, même si la compagnie d'une créature amicale ne serait pas de trop. • baguette ; Bois d'Acajou, mesurant 29,5 cm et composée d'un cœur de dragon. Cela n'a plus vraiment d'importance maintenant qu'elle lui a été confisqué.
• ENSLAVED • Personnage Inventé |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : Victime directe de cette guerre et de ses conséquences, Froth donnerait tout pour y échapper. Que Lord Voldemort prône la pureté du sang est une chose, mais qu'il s'en serve pour tuer ou enchaîner les « sang de bourbe » est une conception que Froth a du mal à assimiler. Comme si les nés-moldus avaient choisi de se voir accorder des pouvoirs surnaturels. Il aurait préféré se tenir loin de l'action depuis le début. Bien sûr, cette dictature tyrannique lui rappelle un peu trop les histoires que lui racontait son grand-père, quand les Tziganes étaient exterminés par milliers par l'Allemagne Nazie. Ironie de la chose, quand son côté moldu n'attire pas les propos racistes, c'est son sang sorcier qui en fait les frais. Dans tous les cas, lui qui comptait se tenir à l'écart des barreaux et des chaînes, se retrouve esclave en rédemption de sa qualité de sang. Il n'aurait pas bronché si la guerre avait visé une autre catégorie de personnes que la sienne, égoïste et lâche qu'il est. Seulement c'est le cas, et il se contente de subir en limitant les dégâts, espérant fuir un jour. Et ça fait trop longtemps qu'il guette la moindre opportunité. ► Infos en vrac : Il était plutôt doué au quidditch à Poudlard mais n'a été accepté dans l'équipe qu'en tant qu'attaquant remplaçant. Il ne jouait que rarement lors des matchs inter-maisons. • C'est un garçon plutôt charmeur. Il a un don pour choisir les mots et séduire, mais n'a jamais été vu en compagnie d'une fille plus d'une semaine. Non pas qu'il les enchaînait, mais plutôt qu'il n'arrivait pas à s'impliquer dans des relations sérieuses. Du moins avec la gente féminine. • Dès qu'il est nerveux, il a le réflexe de passer ses mains dans ses cheveux et de les plaquer en arrière. Autant dire que ces-derniers ont beaucoup souffert de son emprisonnement temporaire • Il ne supporte pas l'enfermement. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a choisit la servitude envers ces pourritures de Sang-purs rampants aux pieds de leur « maître » plutôt qu'Azkaban. • C'est un garçon très indépendant, souvent forcé de résoudre les problèmes par lui même quand il était enfant. Il avait le droit à une grande liberté à l'époque où il habitait avec ses parents. • Il a fait plusieurs fois le tour des Royaumes Unis en compagnie de ses parents et a déménagé plus d'une vingtaine de fois depuis sa naissance. Autant dire qu'il n'a jamais vraiment eu le temps de s'attacher à un lieu. • Il a déjà un tatouage sur le flanc, un simple signe distinctif des Tziganes et particulièrement de la famille Walkisur. Même si le nom en lui même est inconnu de la plupart de la population moldue, entre gitans, les Walkisur sont très respectés. • Dire qu'il était mauvais élève serait un euphémisme. Seul les cours de potion l'intéressaient et lui apportaient des notes satisfaisantes. Nothing compares to you • pseudo & âge ; CREEPSHOW et j'ai 18 années à mon compteur ! • comment as-tu trouvé le forum ? Par pur hasard en voguant de partenariat en partenariat. • ton avis, tes suggestions ; J'adore simplement le contexte, moi qui n'accroche pourtant que très rarement aux forums HP. Même le règlement était intéressant à lire, c'est pour dire é.é. • connexion ; J'essayerai de passer un peu tous les jours :3 • quelque chose à ajouter ? Je fais ma pub au cas où quelqu'un veut faire l'acquisition de mon gitan il a des jolies fesses regardez.
Dernière édition par Froth Walkisur le Ven 31 Oct 2014 - 15:11, édité 13 fois |
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| Here comes the hurricane ――――――-―• Je te laisserai lire certains passages du livre sans nom •――――-――― Les murmures sur son passage, il y avait été habitué. Les gens se retournaient toujours sur lui avec des yeux accusateurs et des visages dégoûtés. « Regarde c'est lui. Il est sale. Jette un œil à son uniforme, je suis sûr qu'il l'a volé. Mon père m'a affirmé que les gitans étaient tous des vauriens. Lisa est dans sa classe, elle dit qu'il ne sait même pas écrire. » Certains clichés le faisaient sourire tellement ils étaient ridicules. Et parfois véridiques. Non, il n'avait pas dépensé 100 livres dans un ensemble ridicule comme les autres. Sa mère avait profité d'un moment inattention de la vendeuse et avait fourré les vêtements dans son grand sac à malice avant de s'en aller avec pour seul véritable achat une cravate. Les Walkisur étaient de bons voleurs et arnaqueurs. Mais s'ils avaient eu suffisamment d'argent, ils n'auraient pas eu à enfreindre la loi. C'était le même schéma qui se répétait dans chaque ville, dans chaque école où la voiture de ses parents s'arrêtait. Chez des cousins éloignés, dans une vieille caravane qui n'avait jamais connu la route, au sein d'une maison tellement branlante que le moindre coup de vent avait menacé de la raser. Froth avait connu bien des foyers mais jamais un n'avait équivaut Poudlard. Dans ce château, il s'était sentit chez lui, en sécurité. C'était devenu son pied d'attache. « Ton foyer est là où tu te trouves » Il avait longtemps cru à ce dicton que lui répétait sa mère, mais maintenant qu'il avait connu une véritable maison, une qui changeait plus tous les mois, alors il comprenait pourquoi les non-Tsiganes s'enfermaient dans des propriétés pour ne plus y bouger. Froth avait l'habitude qu'on l'appelle sorcier. Les Gitans étaient réputés pour leurs soit-disant dons de voyance. Une arnaque plus qu'autre chose, mais ça suffisait à alimenter les rumeurs. Et des ragots, il y en avait à colporter parce que les événements surnaturels autour du jeune Walkisur n'étaient pas ce qui manquaient. Coup de vents dans des pièces closes, combustion spontanée de ses devoirs de mathématiques (ses profs avaient tous été des salauds à ce niveau) ou même attaques inhabituelles d'oiseaux migrateurs envers quiconque venait lui chercher des noises. Toutes ces étrangetés qui arrivaient autour de lui avaient achevé de le marquer comme « personne indésirable et potentiellement dangereuse » aux yeux de ses camarades. Après avoir reçu la lettre signalant son inscription à Poudlard, puis avoir voyagé pour la première fois dans le Poudlard Express, il avait été placé à Gryffondor. Il ne savait pas ce qui était passé dans l'esprit de ce chapeau maléfique (sérieusement, cette horreur hantait ses nuits), mais il avait intégré la maison des braves. Ce n'était pas comme s'il avait réellement eu un avis sur les différentes maisons mais la petite chanson qui avait précédé son appel l'avait presque convaincu qu'il n'intégrerait jamais les lions. Pourtant, il était là, dans la tour, une cravate dorée et carmin autour de la gorge. Une laisse à laquelle il n'attachait aucune importance. Mais les autres élèves semblaient si attachés à leurs maisons, il se sentait comme obligé d'en faire de même. Il ne voulait plus être l'étranger, il voulait une famille. Les Gryffondors en étaient une. ――――――-―• You only miss the sun when it starts to snow •――――-――― Sept galions. Sa vie avait été évaluée à sept misérables galions. Pendant qu'il pourrissait dans sa cellule provisoire, des types qui ne le connaissaient pas s'amusaient à donner un prix à son existence. Des 'hommes', il n'en était même pas certain. Ils avaient abandonné leurs âmes au « Seigneur des Ténèbres » pour la soit-disant pureté d'une société déjà en déclin. Ces gens là n'étaient plus des hommes car tuer avait un prix. Un prix qui salissait l'âme et effaçait la moindre trace d'altruisme. Mais il n'était pas seul dans sa cage temporaire. Tu étais là. Un parfait inconnu, encore plus terrorisé qu'il ne l'était. Tu tremblais comme une feuille. A peine assez fort pour soulever une baguette. Froth avait cet avantage d'être grand et résistant, habitué à faire travailler son corps. Mais avantage ou non, il n'était qu'un sang de bourbe, un gitan qui plus est. Le summum de la décadence sorcière et moldue. Pourtant, vous aviez été entraînés ensemble. Entraînés pour obéir. Brisés était un mot plus adapté. « Parce qu'un être sans espoir est plus facile à manipuler et commander ». Rahat. Il ne voulait pas perdre sa liberté. Il ne voulait pas servir. Il ne voulait pas de ces pouvoirs, de ce sang semi-magique qui ne lui apportait que des problèmes depuis sa naissance. Pour la toute première fois de son existence, il ne souhaitait qu'être normal. C'était douloureux. Ces chaînes à ses chevilles. Inutiles, et douloureux. Où pouvait-il bien fuir de toute manière ? Même s'il trouvait un moyen de traverser ces barreaux d'acier, il n'avait nulle part où se réfugier. Il ne savait même pas où se trouvaient ses parents actuellement. Sur les routes anglaises, loin de tout, il l'espérait. Tu fus le premier à être appelé. Florian Miller. Tu ne lui avais pas répondu quand il t'avait demandé quel était ton prénom tout à l'heure, maintenant il le connaissait. La voix du garde l'avait fait claquer comme un fouet et il avait résonné dans la cellule comme une sentence mortelle. Définitive. Il aurait aimé faire quelque chose pour faire cesser tes larmes, mais tout ce qui franchit ses lèvres fut un gargouillement angoissé. Il craignait qu'à te voir pleurer, il ne craque à son tour. Mais rien. Ses yeux restaient aussi secs que les tiens humides. Il ne pouvait pas se permettre de pleurer pour quelqu'un d'autre. Il ne pouvait même pas se permettre de pleurer pour lui même. A quoi cela pouvait bien servir ? Il allait être vendu, aussi insignifiant que les topazes que son père vendait sur le marché. Une arnaque, voilà ce qu'il était devenu. Toute sa vie était une arnaque. Lui offrir un toit, lui offrir une famille. Lui offrir un foyer. Puis tout lui retirer au nom d'un connard sans âme. Sarpe bastard. Rebut. Pour racheter quoi ? Son existence ? S'il avait su, il ne serait jamais monté dans le Poudlard Express. Un dernier regard et tu disparus de sa vue, sur le chemin de ta pseudo rédemption. Il se demandait pourquoi tu avais été arrêté. Pour tes actes, ou pour ton sang ? Cela importait peu, ta valeur restait la même. Ce qui comptait, c'était le nom et le passif. Le passif. Il allait devoir s'y résoudre lui aussi. Les Walkisur auraient choisi Azkaban plutôt que le déshonneur. Froth était une disgrâce. Si son grand-père, Dumnezeu să-l odihnească, le voyait il aurait honte. Mais plutôt les coups que la prison. Le souffle glacé des détraqueurs n'était pas quelque chose qu'il était prêt à subir. Déjà une demie heure que tu avais quitté la cellule, Florian. Sufletul sărac, il espérait que tu tomberais sur un propriétaire correcte. Toi qui semblait prêt à te briser au moindre coup de vent, il n'imaginait pas ce que les coups pourraient te faire. Mais maintenant, c'était à lui. Il entendait les pas claquants dans le couloirs. Il entendait les clés se glisser dans la serrure de la porte et son nom résonner avec dédain dans la salle. « Frosst Oualkisur ». Pas capable de prononcer son nom correctement. Il se retint de faire une remarque acide. Il ne pouvait pas se le permettre non plus. A la place, il acquiesça alors que la voix de sa maternelle résonnait dans son crâne. « Ne laisse personne cracher sur ton nom, Froth. ». Désolé m'man. Le couloir de la mort, voilà à quoi cette traversée lui faisait penser. Il n'était qu'un dead man walking. Il suivait le garde qui tirait sur ses chaînes pour le faire trébucher, riant bruyamment. Lui ne dit rien et continua, même quand on le força à se placer au milieu de la salle, comme un vulgaire exposant. Il imaginait déjà la brûlure du tatouage contre sa peau. Cela le fit frissonner et il commença à prier les ancêtres. « Froth Walkisur, né de moldus, a atteint sa 6ème année à Gryffondor. Il a fuit l'emprisonnement en 1997 et a tenté de rejoindre les insurgés cette année mais fut arrêté à Londres le 17 juillet dernier . Accusé de trahison, de vol de l’État et non-pureté du sang, il a été jugé utile aux travaux physiques et bon stratège. L'enchère commence à sept galions. »
Dernière édition par Froth Walkisur le Ven 31 Oct 2014 - 15:37, édité 20 fois |
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