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sujet; eirene ☪ maybe this is what happens when a tornado meets a volcano |
| Eirene Mayfair feat brit marling • crédit fuckyeahbritmarling | ❝ No one's here to sleep ❞Wizards ; SC☇ pseudo complet & surnom(s) ; Eirene Danielle Mayfair. Fille de Zeus et de Thémis, Eiréné était la personnification de la paix dans la mythologie grecque. Mayfair (littéralement "la foire de mai") est un nom d'origine moldue, qu'Eirene traine lourdement depuis sa naissance, même si aujourd'hui il existe plus de Mayfair sorciers que moldus.☇ naissance ; née le 2 juin 1973 dans un village sorcier aux environs de Brighton. Elle est de nationalité anglaise mais traine des origines portugaises du côté de sa mère. ☇ ascendance; sang-mêlée. La famille Mayfair était entièrement moldue, jusqu'à ce qu'Eirene apparaîsse, fruit de l'union de Gustav Mayfair avec une sorcière de sang-mêlée du nom de Rhea Jensen.☇ métier ; Employée à la cour de justice magique mais aspirant à bien plus. Elle espère que ce métier n'est que temporaire. En attendant, elle doit faire ses preuves.☇ camp ; Neutre, mais prête à pencher vers celui qui l'aidera dans son désir d'atteindre les hautes sphères de la société. ☇ réputation ; Une jeune femme docile, manipulable. Un atout non négligeable pour le Gouvernement qui n'est pas prêt de s'en priver de sitôt.☇ état civil ; Fiancée depuis une éternité, et peut-être plus pour longtemps.☇ rang social ; adhérente et pion du Gouvernement.☇ baguette ; Bois de saule, 26 centimètres et crin de licorne.☇ épouvantard ; Son propre visage déformé par la vieillesse, à cause de l'usage intempestif de son don.☇ risèd ; uc☇ patronus ; un corbeau.☇ particularités ; métamorphomage.☇ animaux ; un crapaud nommé Alfie.☇ miroir ; voir l'onglet "miroirs". |
☇ Avis sur la situation actuelle ; Eirene se voile la face. Elle se force à trouver du bon et une justification dans ce qu'elle aurait autrefois appelé des crimes. Elle n'a pas d'autre choix que de se persuader qu'elle est du bon côté. Elle se retrouve aujourd'hui directement impliquée dans les actions du gouvernement, devant manipuler les victimes de ce régime par le biais de sa métamorphomagie. Il n'y a pas un jour où elle ne se réveille pas en se demandant si ce qu'elle fait est la bonne chose. Après tout, elle n'est motivée que par sa volonté de gravir les échelons et de se faire une place dans une société qui n'a au fond, jamais voulu d'elle et n'en voudra peut-être jamais. Mais elle persévère, acceptant avec difficulté ce qu'on lui demande mais ne montrant aucun signe d'opposition toute fois. Malgré ses doutes, elle est prête à tout pour atteindre ses objectifs, même si cela signifie trahir ceux qu'elle aime.
☇ Infos complémentaires ; D'un tempérament calme et discret, Eirene n'aime pas être au devant de l'action. Elle préfère réfléchir qu'agir, trouvant refuge dans ses études puis son travail et son ambition sans égale. Elle a toujours accepté les critiques sans ciller, prenant sur soi, maitrisant ses émotions au vu de tous, mais bouillant à l'intérieur. Toujours prête à se surpasser, elle n'accepte que difficilement que son sang soit une si grande barrière pour son ascension sociale et à l'aube de ses trente ans elle compte bien y remédier. • elle guette avec grande attention la moindre ride sur son visage tous les matins, et vit dans la peur permanente de vieillir • elle se passe une main dans les cheveux lorsqu'elle est nerveuse • malgré la maitrise de son don de métamorphomage qui n'est plus à prouver, elle n'a jamais réussi à effacer la cicatrice rougeâtre qui orne sa hanche. C'est ce défaut qui lui rappelle sans cesse qu'elle n'est pas infaillible. • Cicatrice qu'elle a eu suite à un face à face avec sa meilleure amie loup-garou. • son animal de compagnie, un crapaud était celui de son frère défunt, Felix • elle accepte très bien la solitude, se réfugiant dans la compagnie de livre et de musique • elle joue d'ailleurs d'une version sorcière du saxophone • elle est très intolérante à l'alcool et n'en boit jamais. Le lendemain de sa seule et unique cuite elle s'est retrouvée hospitalisée à ste mangouste, le corps entièrement recouvert de plaques rouges et l'estomac presque brûlé. • elle a une très bonne mémoire des visages mais a souvent des difficultés à mettre un nom dessus • elle a pour habitude de compter le nombres de "euh" que son interlocuteur prononce • elle pratique tous les soirs son don de métamorphomagie au moins une heure, dans le but de se perfectionner • elle imite très bien les accents, en particulier l'accent russe • elle n'a jamais réussi à faire une danse de salon correctement et finit toujours par piétiner son partenaire • elle a une admiration sans fin pour Rowena Serdaigle • elle s'est endormie dans le Poudlard express le premier jour de sa première année et a failli manquer de peu sa répartition • elle a eu ses BUSEs et ses ASPICs avec des E et des O dans toutes les matières sauf en divination, où elle écopa d'un ravissant T. • elle va toutes les semaines se recueillir sur la tombe de son petit frère et de sa mère. ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRLAppelez-moi Maïlys/Oblivion. J'ai 20 ans, je viens de la région du pastis et de la panisse et j'ai connu le forum via bazzart. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les membres désirant être parrainés uniquement : rendez-vous dans cette catégorie et postez dans le sujet "être parrainé" . Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [X] oui / [] non. Un dernier mot ? Chapeau pour ce forum, c'est un réel coup de coeur ! Ca faisait un moment que j'étais tentée de vous rejoindre, je suis contente d'enfin avoir sauté le pas avec la jolie Eirene Sinon ouais ça me perturbe que mon pseudo bazzart soit le nom du PNJ du forum
Dernière édition par Eirene Mayfair le Jeu 29 Oct 2015 - 23:36, édité 17 fois |
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| hunger of the pine Yawn yearns into me
❝ Sleeplessly embracing ❞ 1985 & Appartement Mayfair Tu te plaças devant ce miroir ; tu fermas les yeux. Tu te forças à réguler ta respiration, à te concentrer sur la moindre parcelle de ton corps de jeune adolescente. Tu avais beau être métamorphomage depuis ta naissance, tu ne parvenais toujours pas à contrôler ce don comme tu le voulais. Tes parents te rassuraient : tu étais jeune, tu avais le temps. Mais, toi, tu avais peur. Tu savais que certains métamophomages n’y arrivaient jamais parfaitement, et tu ne voulais pas être comme eux. Tu aspirais à tellement plus. Tes cheveux se raccourcirent, prirent une teinte brunâtre. Tellement mieux. Tu gagnas quelques centimètres.Tu voulais être parfaite. Tes traits se tordirent, lentement. Tu ouvris les yeux, affrontant ton nouveau reflet. Tu te mordis les lèvres très fort pour te retenir d’hurler. Tu avais encore raté. Des larmes coulèrent sur tes joues sans que tu ne puisses leur en empêcher. Tu ne ressemblais à rien. Tu avais beau t’entraîner plusieurs fois par jour, plusieurs nuits par semaine, ça ne donnait rien. Tu serras les poings, tentant de contenir ta rage. Aussitôt tes yeux se refermèrent, te préparant à une nouvelle tentative. Loin de te décourager, cet échec te poussait à vouloir t’entraîner davantage. Tu ne pouvais pas rester sur une défaite. Ton ambition ne te l’autorisait pas. Ton orgueil ne te le permettrait jamais. Tu serais gagnante sinon rien. ❝ Butterflies and needles line my seamed-up join ❞1987 & Poudlard Tu portais une pile de livres à bout de bras. On te bouscula, tu tombas, te faisant assommer par tes propres bouquins. Tu demeuras quelque temps ainsi, allongée au sol, les yeux fermés. Tu pris une brève inspiration avant de te relever sans un bruit. Tu n’étais que de sang-mêlée. La petite Serdaigle à demi impur, celle qui avait un père moldu et un frère cracmoll. Tu détestais quand on les insultait. Tu ignorais comment ils avaient su pour eux. Fallait croire que les nouvelles se propageaient vite dans le monde magique. Mais tu faisais la sourde oreille. Ils avaient tous les droits. Tu étais jeune et frêle, tu ne faisais pas le poids. Tu n’étais pas du genre à répliquer aux menaces et moqueries –de toute manière, tu avais une très mauvaise répartie. Tu subissais en silence. Tu te vengeais sur tes livres et tes études. C’était ça, ta force. Tu avais les meilleures notes. Tu n’étais pas surdouée, mais tu n’avais presque que des O, et ça, on le devait à ton caractère acharné et travailleur. C’était ton seul moyen de te faire une place, tes études. Tu devais travailler deux fois plus qu’eux pour avoir la moitié de ceux qu’ils avaient. Alors tu continuais, tu ne t’arrêtais pas. Tu savais qu’un jour ou l’autre tu parviendrais à t’hisser au même rang qu’eux, à la sueur de ton front. Tes parents te disaient de lâcher du lest. Tu étais leur aînée, et ils avaient peur que tu te mettes une pression là où il n’y en avait pas. Mais la vérité, c’est que tu avais peur. Tu voyais les nés moldus autour de toi et tu faisais de ton mieux pour te démarquer d’eux. Tu avais une chance : tes meilleurs amis étaient de sang-pur. Entre Tali et Matteo, tu étais bien entourée. Tu ne parlais jamais de ton frère, Felix. Aussi profond pouvait être l’amour que tu lui portais, tu faisais comme s’il n’existait pas. Tu avais honte. Sans le vouloir, tu rejetais la faute sur lui. Votre relation était délicate sans être dénuée de sentiments pour autant. On pouvait aisément comprendre que tu ne voulais pas en rajouter une couche. Tu étais sang-mêlée, sœur d’un cracmoll. Inutile d’afficher ta métamorphomagie au grand jour. Tu en connaissais à Poudlard qui l’exhibait sans complexes –et tu en étais morte de jalousie. C’était un don, mais pour quelqu’un d’aussi discret que toi c’était surtout une tare. Tu ne voulais pas être ce phénomène de foire à qui on demandait de prendre n’importe quelle apparence, pour rire. Non. Tu t’entrainais sans relâche pour cacher ce don, tu vivais avec ce lourd secret. Tu mis du temps à l’avouer à Tali, et encore plus pour le dire à Matteo. Surtout lui. Tu étais très observatrice. Tu avais remarqué que certaines choses avaient changé ente vous. Vous vous lanciez des regards furtifs, des sourires complices qui avaient une douceur toute autre. A vos seize ans vous ne pouviez plus vous regarder sans rougir. Ce qui arriva ensuite ne te surprit pas vraiment. Ce fut ta première vraie histoire, et la seule. La suite logique de votre amitié. Tu ne connus personne avant lui –il ne t’avait pas vraiment laissé le choix, du temps où vous n’étiez qu’amis. Par la suite, jamais il ne te traversa l’esprit d’être avec un autre homme. T’aurais aimé pouvoir affirmer avec certitude qu’il te serait tout aussi fidèle. Il fut un temps où tu lui faisais assez confiance pour lui dire absolument tout. Tes douleurs, tes doutes, tes ambitions et bien plus. Tu contemplais aujourd’hui ce passé avec amertume. ❝ Encased in case I need it ❞ 1996 & Ministère de la Magie Marche bien, tiens toi droite –mais pas trop tendue. Regarde les gens dans les yeux quand tu leur parles -mais pas trop longtemps. Note tout ce qu’on te dit –mais pas trop vite. Sois d’accord avec tout, hoche la tête avec conviction –mais pas trop précipitamment. C’était ce que Tali Rowle t’avait dit lorsqu’elle sut que tu entrais au Ministère, juste un an après elle. Elle n’osait pas te le dire, mais tu avais eu de la chance qu’elle et Matteo parlent assez bien de toi pour t’y faire entrer. La priorité était aux sang-purs comme eux, aux enfants de grands noms. La réputation de ta famille n’était pas allée en grandissant avec la rumeur de ton petit frère cracmoll, et encore pire à sa mort. Tu avais entendu les dires de tes parents ; tu avais écouté les rumeurs au sujet d’un gouvernement « cruel et intransigeant » ; tu avais lu les journaux officiels comme officieux. Ca ne t’avait pas dissuadé de te rapprocher du Ministère pour autant. Pour toi, Felix, c’était un accident. Tu considérais que tes parents s’étaient laissés aveuglés par leur chagrin, qu’ils n’avaient pas eu l’esprit clair. Ils avaient eu besoin de rejeter la faute de la mort de Felix sur quelqu’un -la tension politique au sujet des sorciers « indignes » avait été une excuse. Tu t’étais disputée gravement avec eux. Tout ça était ridicule, et injustifié. Mais pas dessus tout, tu avais peur. Parce qu’un fossé semblait de plus en plus se creuser entre vous. Tu les voyais chuchoter en secret. Comme s’ils complotaient quelque chose. Dès que tu arrivais dans les parages, c’était comme si de rien n’était. Ca te mettait hors de toi. Vous vous disputiez souvent à ce sujet. La tension était à son comble. Sitôt le deuil de ton frère effectué, tu décidas de d’emménager seule, te plongeant corps et âme dans tes études. Tu ne perdais pas tes objectifs de vue, malgré cette énorme frustration concernant ta famille qui était dans le faux. Tu savais, même si tu avais du mal à l’accepter, que tes parents avaient plus ou moins contacté la résistance. Tu ne regrettais pas de ne pas les avoir suivi dans leur folie. Dans le cas contraire tu ne serais pas aux portes du Ministère, aujourd’hui. ❝ Plenty much tears in the sea ❞ 2002 & Devant le ministère La foule était assemblée autour d’elle, qui était attachée à un poteau. Elle se sentait tellement vulnérable. Tellement sale. Mais il n’y avait pas de place à la honte ici. Elle se devait de mourir fièrement, pour l’honneur de tous ceux qui avaient été attaché ici avant elle. Pour l’honneur de son son fils qui était passé par là aussi, il y a bientôt dix ans. C’était pour lui, qu’elle avait commencé le combat. C’était pour lui qu’elle mourrait aujourd’hui. Elle regardait avec défi son bourreau. Elle lui souriait. Ses prunelles étaient plantées droit dans les siennes, et elle n’était pas prête de céder. Elle était déterminée à mourir en laissant une image d’une battante. Lui, chargé de mettre feu au bois qui était à ses pieds, sembla incapable de soutenir son regard plus longtemps. Il se tourna, pour discuter avec un collègue. Elle cracha violemment par terre, et embrassa d’un regard furieux l’assemblée. Cette foule semblait jubiler, attendre avec impatience que le feu touche ses pieds. Ils n’avaient aucune gêne à assister à la mort d’une des leurs. D’une des leurs qui se battait pour eux, pour un monde meilleur. Qu’ils aillent tous se faire foutre. C’est alors que ses yeux rencontrèrent les tiens. Les yeux de la seule personne qui semblait réellement terrorisée. La seule personne qui semblait avoir un peu de compassion pour elle. La seule personne qui avait un regard fuyant, un regard mouillé de larmes. La seule personne qui avait les yeux bouffis pour avoir trop pleuré. Quand tu compris que ta mère t’avait reconnu, les larmes redoublèrent et tu tentas instinctivement de te frayer un chemin dans la foule avant que tu ne sois retenue par Tali. Ta mère ne pouvait pas t’entendre avec les hurlements de la foule, mais elle lisait en revanche parfaitement sur tes lèvres ton cri déchirant. Et, malgré tous ses efforts, son visage déterminé se décomposa. Par ta faute. ❝ In my stomach, for my heart chainmail❞ 2002 & Ministère de la Magie Tu avais eu du mal à digérer la nouvelle. Tu regroupais tes pensées les plus intimes dans un journal, prudemment caché sous ton matelas. Tu écrivais tes peurs les plus honteuses, tes doutes les plus profonds. Tu ne jurais que par le gouvernement actuel. Mais tu l’avais vu assassiner ta mère devant tes yeux. C’était une traitre. Tu te voilais la face. Ils ont raison, tu te répétais en boucle. Elle méritait ça. Tu ne culpabilisais pas. Non, tu lui en voulais. Parce qu’en plus de tout le chagrin qu’elle t’avait causé en mourant, son exécution avait encore une fois mis à mal ton poste au Ministère, déjà pas grandiose en soit. Ton ascension se voyait freinée, une fois de plus. Tu étais la fille d’un rebut et d’un moldu. On se moquait ouvertement de toi dans les couloirs du Ministère. C’était comme si tous tes efforts n’avaient mené à rien. Tu trouvas le moyen de te faire racheter. Ta métamorphomagie. Pour la première fois, tu en voyais les aspects positifs. On te suggéra d’aider le gouvernement, et tu n’y réfléchis pas à deux fois avant d’accepter. On ne manipulait, mais tu ne voyais pas les choses sous cet angle. Pour toi, tu continuais la bataille. Tu te démenais pour faire tes preuves, dans ce combat dont tu ne voyais décidément pas le bout, à l’aube de ta trentaine. Tu luttais. Te plonger dans le travail c’était un moyen aussi d’oublier la mort de ta mère. Le travail, ça avait toujours été ton échappatoire. Tu changeais d’apparence plus vite que ton ombre. Tu te félicitais intérieurement pour ces années de pratique dans le but de parfaire la maîtrise de ton don. Ton travail n’était pas compliqué. Tu copiais des apparences. Tu répétais ce qu’on te disait. Tu intimidais les accusés. Tu ne voulais même pas tenter de voir les choses autrement. Parce que ce qu’on te demandait était trop. C’était inadapté à ton poste, aux études que tu avais fait. On t’exploitait. Tu le savais. Pourtant, tu ne voulais le voir. De toute manière, il n’y avait personne pour te faire entendre raison. Personne ne savait. Pas même Tali, pas même Matteo. Surtout pas lui. Tu le soupçonnais. Il devenait aussi évasif et cachottier que tes parents, à l’époque de leur engagement dans l’Ordre. Il y avait trop de non-dits entre vous. Matteo était ton fiancé, pas ton ami. Il avait perdu ce statut depuis qu’il t’avait avoué ses aventures. Depuis, vous aviez enchaîné mensonge sur mensonge, dispute sur dispute. Entre vous, il ne demeurait plus que de la méfiance. Restait à savoir quand est-ce que tu finirais par craquer. Qui sait de quoi tu serais capable, si ça te permettait d’arriver à tes fins.
Dernière édition par Eirene Mayfair le Mer 28 Oct 2015 - 23:11, édité 12 fois |
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HERO • we saved the world Matteo Grimaldi ‹ inscription : 04/10/2015
‹ messages : 953
‹ crédits : odistole.
‹ dialogues : #749585
‹ âge : trente
‹ occupation : tisseur de mots, journaliste, coureur de monde. à la dérive.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1984 et 1991.
‹ baguette : était en bois d'érable, relativement flexible, mesurait 26,8 cm et contenait un coeur de phoenix.Désormais brisée, j'ai hérité d'une baguette récupérée sur le cadavre d'un mangemort: bois de noyer noir, 32 cm, coeur inconnu, et absolument pas faite pour moi.
‹ gallions (ʛ) : 4239
‹ réputation : j'ai l'air de regretter la fin de cette guerre, que ce qui secoue ce monde nouveau paraît me révolter bien plus que les atrocités commises par le précédent gouvernement, que je suis un piètre journaliste et écrivain qui tente de percer dans un milieu qui n'a jamais voulu de lui.
‹ particularité : en plein flou.
‹ faits : j'ai soutenu la rébellion, bien que je n'ai quitté ma vie que sur le tard pour aller les retrouver, au détour de la création de la Renaissance du Phoenix ; que beaucoup n'ont pas cru à mon implication, du fait de ma naissance surtout ; que j'ai une tendance fâcheuse à commencer des choses et à ne pas les terminer ; que ma plus grande ambition est d'enfin publier un livre ; que ma fiancée est en fuite et que je n'ai aucune idée de si je la reverrai morte ou vive, offerte aux bons soins des Détraqueurs ; que la nouvelle société me répugne presque autant que la précédente, voir plus ; que je ferai sûrement tout pour ma soeur.
‹ résidence : dans le loft de la Bran Tower ou Eirene et moi vivions avant que tout ne vole en éclat. J'ai réussi à garder l'appartement par je ne sais pas quel miracle, il sert aujourd'hui à ma soeur et à mon beau-frère, Elias, parfois. En vérité je n'y suis pas souvent, je fuis l'endroit.
‹ patronus : une méduse géante
‹ épouvantard : un grand feu, l'anéantissement total de ma famille, rester seul au milieu des cendres
‹ risèd : Eirene se tenant à mes côtés, aussi heureuse qu'elle l'était à nos débuts, lorsque nous étions encore pleins de promesses et de projets fabuleux avant que tout ne soit jeté aux flammes.
| Gueuse de moi. Toi, tu restes là, tu bouges plus, no choice. J'édite dans la minute. (C'était pour prendre la première place, ouais ouais.) - Spoiler:
edit: MEINT GOT, MADRE MIA DE DIOS. Je te jure je pleure dans mon dedans tellement je suis contente là, j'ai tellement hâte que tu finisses ta fiche (ouais, déjà, ET ALORS #nopressure) pour qu'on fasse des enfants sur la lune, you know. ( ) T'ES BELLE, T'ES FAB, tu prends déjà toute la place dans mon coeur. ET UN PEU QUE TU M'AS TUEE J'essaye tant bien que mal de me contenir mais je vais plutôt me lâcher en mp. Histoire de pas me ridiculiser. Je te souhaite BIENVENUE CHEZ TOI en toute sobriété.
Dernière édition par Matteo Grimaldi le Mar 20 Oct 2015 - 23:49, édité 1 fois |
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HUNTED • running man Adele Bones | #thugMel. (je reviens en édit ) (ps, tu viens juste de tuer Mattéo, là, tu le sais ? ) ( j'en profite pour lui voler la première place )( ) edit1 ; (comment il a fait styleeeeeeeeeeee ) edit² ; MA MA MA MA MA MIA, MADRE DE DIOS ET SWEET MERLIN PERE DE DIEU RÉUNIS TOI, EN EIRENE, EN BRIT, AVEC CE TITRE, SUR LA VIE DE MON MAIRE DE COMMUNE, TU M'ENJAILLES TROP TROP BEAUCOUP Je suis heureuse que tu aies cédé à la tentation avec l'OTP de Mattéo, tu es fab rien que pour ça (et le pastis aussi, même si ça me plaît pas trop, j'aime bien quand même parce que ça appelle l'apéro, au vice, donc, ça m'appelle moi ). Ici Adele Bones + Luna Lovegood. Je t'offre donc d'office mon corps des tonnes de liens ! BIENVENUE CHEZ NOUS bon courage pour la suite de la fiche et saches que, désormais, tu es enchaînée au forum (tu es cuite ).
Dernière édition par Adele Bones le Mar 20 Oct 2015 - 23:49, édité 2 fois |
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| Mince, j'voulais stalker pour vous voler la place tous les deux, loupé Bienvenuuuuue ! TON AVATAR, IL EST BÔ (et bon, ce choix de scénar, il est topissime, voilà quoi, cey tout), du coup, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire, on va pouvoir jouer, ça va être bien #NoPressure |
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PRISONERS • bloodstains on the carpet Draco Malfoy | BIENVENUUUUUUUUE tu fais un heureux et ça, c'est trop cool j'te souhaite bon courage pour ta fiche, hâte de te voir interpréter ce perso à ta sauce si tu as des questions n'hésite pas |
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WIZARD • always the first casuality Anna Grimaldi | | | |
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