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WIZARD • always the first casuality Jules Ackerman | jay rhee Elle déteste les hôpitaux, elle a toujours détesté les hôpitaux qu'ils soient moldus ou sorciers, ils dégagent tous à la fois une odeur de trop propre et de maladie, elle déteste le silence, mais déteste encore plus les toux chroniques dans le couloir sur lequel donne sa chambre, elle déteste la solitude de sa chambre individuelle mais haïrait plus encore d'avoir à partager avec un parfait inconnu. On ne lui a promis qu'un court séjour, mais elle a déjà passé la nuit et elle s'ennuie proprement. C'est pas faute pour son POW de vibrer sur ses genoux, messages dans le quickenger de l'équipe sur lequel elle refuse de répondre pour l'instant et puis quelques quickies individuels, à commencer par ceux de Cassius qu'elle a presque du virer à coup de pieds la veille, déterminé qu'il était à rester à son chevet. Elle va bien, c'est qu'une petite blessure parmi d'autres et elle préfère que ça arrive en entraînement plutôt que pendant un match important; parce qu'ils feraient quoi sans leur gardienne et capitaine ? Elle veut se dire qu'ils ont besoin d'elle en tous cas, même si elle les ignore un peu actuellement, retournant son miroir pour ne plus voir l'écran s'allumer de manière intempestive. Elle doit sa présence à Sainte-Mangouste à Greg. Jules lui doit pas mal de choses en ce moment. Sa patience s'épuise, elle essaye de passer l'éponge, même quand il lui a éclaté la gueule avec sa batte - exprès, il peut dire tout ce qu'il voudra elle sait que c'est le cas - elle a accepté de lui envoyé un pixie souriant par quicky à force de messages sans réponses. Elle ne lui hurle pas beaucoup plus dessus que les autres (plus souvent parce qu'il fait plus de conneries, mais pas plus fort), mais sa patience s'effrite. Ce n'est pas sa faute, c'est ses putain de pilules, ok, mais ça devient difficile de ne pas lui taper dessus avec son balai, surtout quand il l'en fait tomber avec son cognard. Elle a dit à Sal de lui dire que s'il osait s'amener à moins de trois mètres d'elle avant qu'elle lui en ait donné le feu vert, ils risqueraient tous de finir par assister aux funérailles de Gargoyle bien plus tôt que prévu. Et puis ça l'agace proprement d'être hors-jeu ne serait-ce que pour quelques jours à peine, parce que Fagman s'est tiré, Wymack est de retour et c'est comme si elle avait sa famille au complet ; il ne manquerait plus que Marcus et elle pourrait croire l'espace d'un moment sur le terrain que la guerre n'a jamais été qu'une illusion. Sauf que non Marcus est à Azkaban, Greg est insupportable, elle est capitaine et elle se retrouve à l'hôpital suite à un entraînement, parce qu'un membre de son équipe est complètement incontrôlable.
Quand la porte de sa chambre grince, elle se redresse un peu sur ses oreillers, s'attendant à voir un médicomage vérifier qu'elle va bien — c'est le cas, elle veut juste qu'on lui signe sa fiche de sortie, merci, sauf que le battant s'ouvre sur du vide....enfin c'est ce qu'elle pense jusqu'à ce qu'elle baisse les yeux jusqu'à croiser ceux d'un enfant. Il a l'air encore plus jeune que la gamine de Marcus qu'elle a rencontré au dernier match des Falcons et surtout, ses traits ne lui disent rien du tout (à moins que Chang aussi leur ait fait un gosse sans prévenir)(elle a l'impression que Greg est en train de déteindre sur elle et s'assène une claque mentale)(ew). “ Are you the wall? ” Il a une toute petite voix et ça la fait sourire un peu malgré elle. Elle n'a jamais trop eu la main avec les enfants (même quand elle en était une), mais ça l'attendrit toujours un peu malgré elle. “ Hi! Yeah I guess I am? ” Elle pourrait appuyer sur le petit bouton à son chevet pour appeler une infirmière et le faire sortir, ou elle pourrait lui demander de la laisser tranquille plus simplement, mais elle le laisse s'avancer timidement dans la pièce. “ I love Quidditch. ” Elle sourit un peu plus franchement; ils ont de quoi s'entendre. “ Oh really? What position do you play in? ” question classique quand elle rencontre un jeune fan, avec ensuite l'usuel et dans quelle équipe tu voudrais jouer qui se clôt avec leurs cheveux ébouriffés s'ils ont la jugeote de répondre les Falmouth Falcons en montrant leurs quenottes. Il se renfrogne tout doucement et ça lui arrache son sourire à elle aussi de le voir baisser les yeux. “ I don't...can't..play.. ” Elle fronce les sourcils, s'apprête à lui demander pourquoi pas et puis se souvient d'où elle est; il est peut-être malade, c'est la première idée qui lui vient quand elle voit un enfant se balader seule à Sainte-Mangouste. Ça serait triste quand même, d'être si petit et de déjà devoir être privé de tant. Elle va pour lui demander son nom quand la porte s'ouvre de nouveau sur un autre inconnu plus vieux qu'elle cette fois. À croire que sa chambre a été transformée en réception de Sainte-Mangouste sans qu'on la prévienne; sauf qu'il y a tout à penser que ce second visiteur n'est là qu'à cause du premier.
Dernière édition par Jules Ackerman le Dim 18 Juin 2017 - 20:45, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Jay Rhee ‹ disponibilité : toujours.
‹ inscription : 12/06/2017
‹ messages : 114
‹ crédits : kinjiki. tumblr. anne carson.
‹ dialogues : lavender.
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : trente ans.
‹ occupation : CEO de WINGS, cabinet d'archimagie international.
‹ maison : serdaigle.
‹ scolarité : 1985 et 1992.
‹ baguette : asiatique et fabriquée en corée, ayant appartenue à son grand-père, composée de châtaignier chinois et ayant en son coeur une plume enflammée de bonghwang, oiseau de feu asiatique, longue de vingt-neuf centimètres trois, jay ne la contrôle quasiment pas.
‹ gallions (ʛ) : 2858
‹ réputation : hommes d'affaire requin, frère médiocre et père nul, considéré comme lâche, opportuniste, ennuyeux et trop sérieux.
‹ particularité : maître de l'eau.
‹ faits : écrasé sous la pression familiale, avec le devoir d'aller droit dans ses bottes, a épousé une femme qui ne l'a jamais aimé parce qu'elle était enceinte de lui (et a plus tard perdu l'enfant), a courbé l'échine pendant la guerre et a sauté sur l'occasion de la paix pour racheter le nom de sa famille, honorable mais maladroit, il a un fils duquel il s'occupe seul depuis sa séparation avec sa femme, day, qui est insensible à la douleur et maître du feu.
‹ résidence : dans un énorme appartement au sommet d'un immeuble du londres moldu.
‹ patronus : il ne peut pas en produire.
‹ épouvantard : son père lui hurlant des insultes dans une langue qu'il ne connait pas en le pointant du doigt.
‹ risèd : lui, sa femme et son fils, heureux.
| jules ackerman Le CEPAS l'a appelé, Day s'est blessé, il est à Saint-Mangouste, et Jay n'a pas quitté son pow une seule seconde depuis. Simon, en commençant son départ pour Los Angeles comme Jay le lui a offert (en même temps que sa femme) (c'est vrai qu'il aurait peut-être dû insister pour qu'il reste et éventuellement, arrête son affaire avec sa femme, ça aurait été généreux et sympathique de sa part; mais Jay reste convaincu qu'Erin va finir par voir la lumière et comprendre le ridicule de la situation dans laquelle elle les met tous les trois) a décidé de renouveler complètement l'équipe de LA en mettant la moitié de l'équipe de Londres à la place. Et Jay n'a même pas pu lui dire non. En affaires il est intraitable mais Simon est son cousin, il fait partie de sa famille (son cousin qui lui a volé sa femme certes, mais son cousin tout de même) alors il n'a même pas pu lui dire non et maintenant il est bien dans la merde, si bien que son pow n'arrête pas de sonner et qu'il a trop une conscience professionnelle pour ne pas décrocher. Day va bien. Il croit. C'est ce que les médicomages ont dit et ça fait longtemps que Jay a décidé de les croire; comme d'habitude, son fils va devoir passer la nuit ici en observation, au cas où. Jay est ravi. Erin viendra le récupérer demain matin mais, même si il y est habitué, Day n'aime pas les hôpitaux et ne veut pas être laissé seul. Alors, plutôt que de passer le reste de la journée au bureau à s'occuper de l'Hurrican Siwon, il se retrouve dans la chambre de son gamin qui pourrait presque porter son nom tant il y est resté tant de fois.
Jay non plus n'est pas trop fan des hôpitaux. Surtout parce que la plupart du temps, c'est parce que c'est Day qui s'y retrouve à cause d'un accident stupide qui aurait pu être évité facilement. Depuis qu'il l'emmène au CEPAS chaque matin, Jay a peur à chaque instant de la journée qu'un accident du genre arrive quoiqu'en l'occurence, ce ne soit la faute que personne que Day ait trébuché en courant dans la cours et se soit cassé le poignet d'un coup net. En revanche, il est un peu énervé qu'aucun professeur n'ait remarqué qu'il avait la main tordue pendant la moitié de la journée... surtout que Day qui, justement, n'aime jamais passer par la case Ste Mangouste et se rendant parfaitement compte que son poignet était cassé, a préféré passer ça sous silence, espérant peut-être que ça se répare tout seul. Ça lui apprendra bien: il a dû avaler son poids en potions apparemment dégoûtantes et depuis, se tortille dans son lit. “ Hold on, Day, I got to take this. ” Comme tous les appels précédents, sauf qu'il ne s'est pas gêné pour les prendre dans sa chambre; mais en l'occurence, là, c'est son père et il n'a aucune envie que Day puisse voir son visage livide et presque apeuré de son père qui, en tant que chairman de WINGS, connait tous les tenants et aboutissants de la situation actuelle. “ Don't move, okay? — Where would I gooooo???? ” lui demande son fils supplicié, exaggérant bien entendu, et Jay sourit légèrement, maladroitement, avant de sortir de la chambre pour arpenter d'un pas vif les couloirs, son pow à l'oreille, évitant habilement infirmières et médicomages pour ne pas les déranger dans leur travail.
Quand, au bout d'une dizaine agonisante de minutes, son père finit par raccrocher, Jay est épuisé (enfin, encore plus que d'habitude). Et Day n'est pas dans sa chambre. La confusion, la peur, l'angoisse, puis la terreur, la panique, l'horreur alors qu'il se jette dans le couloir en cherchant la petite silhouette de son fils du regard, en vain. Le couloir est étonnament vide, sauf pour de l'activité dans le fond, et Jay ne sait pas quoi faire, commençant par un petit “ Day? ” hésitant et certainement pas assez fort pour que son fils l'entende derrière une porte close. Peut-être avait-il besoin d'aller aux toilettes — non, elles sont accessibles depuis sa chambre. Peut-être qu'il a été KIDNAPPÉ? Non. C'est ridicule. Les enfants ne se font plus kidnapper; ce n'est plus le règne du Magister. Au hasard et en désespoir de cause, il ouvre la porte la plus proche pour demander si ils n'ont pas vu passer un nain asiatique incapable de courir directement — et, merci Merlin, il est là. “ Day, what are you doing?! — Uhhhhh, Daaaaaaad-- ” (Il a l'habitude d'étirer les voyelles quand il est joyeux, gêné, veut plaisanter ou simplement agacer; en revanche, quand il s'énerve, il parle tropvitesansdétacherlesmots ce qui agace encore plus Jay si c'est possible). Les yeux de Jay vont de son fils à la pauvre patiente que ça ne semble pourtant pas déranger, et aussitôt, son visage horrifié se transforme en inquiétude. “ Sorry for the inconvenience, ” dit-il en inclinant machinalement la tête, certainement un peu trop cérémonieux pour la situation (c'est ce que Day semble penser en roulant des yeux avant que Jay lui donne une pinchenette à l'arrière du crâne et qu'il l'imite) avant de lentement commencer à reculer vers la porte de la chambre. “ Very sorry, very sorry, veeeery sooooorry. ” (il a la même habitude que son fils) “ Dad, it's The Wall, and she don't mind. — Doesn't, Day. ”
Ce n'est pas un mur, c'est une jeune femme- wait, The Wall? “ From the Falcons? ” Jay ne suit pas le Quidditch. Il apprécie le sport, bien entendu, à regarder à la télévision d'un air vide, mais n'a jamais assisté aux matches que quand Erin et Simon l'y traînaient. La seule chose qui l'intéresse dans le Quidditch, c'est l'argent que ça rapporte à ses investisseurs. “ Oh really. ” La question tombe à plat mais Day sent tout de suite que son père est onto something alors il lâche la main qu'il a glissé dans la sienne pour se rapprocher du lit. “ She could teach me Quidditch! — Day, she's a professional player. (Puis, à la joueuse justement:) Sorry about that. (À son fils:) She doesn't have time for that. (À la joueuse:) You're pretty busy, I've read about your matches! Fantastic team you've got there. (À Day:) Also, you don't play Quidditch. — Daaaaaaad. ” |
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WIZARD • always the first casuality Jules Ackerman | “ Day, what are you doing?! — Uhhhhh, Daaaaaaad-- ” L’intonation du gamin arrache un second sourire à Jules qui secoue la tête devant le regard inquiet du père. “ Sorry for the inconvenience, ” elle retient le rire qui menace de passer ses lèvres devant la réaction du gamin qui a l’air de trouver le côté cérémonieux de celui qui l’accompagne absolument hilarant et secoue simplement la tête. “ I suppose he’s yours. ” Elle jette un regard amusé au gamin puis rend son attention au père. “It’s no problem really. ” Pour l’instant en tous cas, il ne lui causait aucun ennui, au contraire, il l’avait plutôt arrachée à ce dernier. Elle en serait presque reconnaissante en soi, elle en a presque oublié le buzz de son POW sur ses genoux. “ Very sorry, very sorry, veeeery sooooorry. ” Elle comprend vite que le fils tient du père qui retourne à reculons vers la porte, ce qui est assez comique. “ Dad, it's The Wall, and she don't mind. — Doesn't, Day. ” Jules sourit encore, mais y a quelque chose de mélancolique qui se glisse dans ses yeux. C’est anecdotique comme scène, à peine une entrevue dans la relation entre un père et son fils, mais ça lui rappelle quelque chose, ça lui rappelle son enfance et l’énergie de Day un miroir de la sienne. Ce père-là n’a rien avoir avec le sien (ça se voit tout de suite, qu’il a un travail sérieux pour commencer, qu’il n’est pas juste musicien et toujours sur la route). Et ça ne devrait donc vraiment pas lui serrer le cœur le moins du monde, mais ça lui rappelle son père et ça lui rappelle sa mère aussi et ça lui rappelle qu’elle n’a plus vraiment ni de l’un ni de l’autre.
“ From the Falcons? ” Le regard perdu sur ses draps se relève. “ The very ones.” Le sourire fier qui s’étale sur ses lèvres est une constante quand elle évoque son équipe. Ça a le mérite de lui remettre les idées en place. Elle tendrait volontiers la main s’il n’était pas trop loin du lit pour la lui serrer. De toute façon il n’a pas l’air très intéressé, pas autant que son fils. “ She could teach me Quidditch!” Oui alors, elle n’est pas enseignante et n’a pas exactement le temps de prendre tous ses fans par la main pour leur apprendre à jouer (un jour peut-être que c’est là-dedans qu’elle se reconvertira, elle n’a pas encore pensé à ce qu’elle fera quand elle sera trop vieille pour jouer). “Day, she's a professional player. ” fait l’autre, raisonnable. “ Sorry about that. ” Elle hausse une épaule. “She doesn't have time for that. ” C’est vrai. Ce n’est pas tellement qu’elle soit joueuse, le problème c’est surtout qu’elle est capitaine d’une équipe d’idiots. “ You're pretty busy, I've read about your matches! Fantastic team you've got there. ” Elle va pour le remercier, mais il enchaîne déjà à l’intention de Day “Also, you don’t play Quidditch. — Daaaaaaad. ” Le même sentiment gênant qu’un peu plus tôt s’empare de nouveau d’elle, mais elle le repousse d’un revers de main mental et toussote. “ I don’t want to impose or anything I know it’s not my place” (pas du tout même et elle devrait la fermer, mais) “but…I wouldn’t mind…maybe showing him around the stadium one day?” Elle regarde le fils, puis le père: “He doesn’t have to play.” Elle ne va pas quand même pas faire l’indiscrète au point de demander pourquoi il peut pas jouer, et s’il ne peut vraiment pas ou si c’est juste que ses parents n'aiment pas le Quidditch ou un truc du genre (ça n’a pas l’air d’être le cas puisqu’il sait quand même qui elle est et dans quelle équipe elle joue). “ We do it for kids that are interested sometimes.” Par kids, ils faut entendre des adolescents sortis de Poudlard et par sometimes, sous le gouvernement du Magister, idée de Wymack pour occuper les jeunes, qu’ils fassent autre chose que de se laisser enroll et tatouer (ce qui n'a jamais été dit comme ça bien évidemment). Mais ils n’ont pas besoin de le savoir. En réalité les vestiaires des Falmouth Falcons ne sont pas un endroit pour un enfant, sauf si ce dernier a envie d’apprendre 30 jurons en autant de secondes, mais bon, elle saura peut-être retenir les six autres le temps d’une courte visite ? (Déjà Gregory sera dans une autre pièce c’est sûr et certain, il risquerait de faire des blagues racistes en plus de mal parler)(peut-être même qu’il ne rencontrera personne d’ailleurs, c’est plus safe). “I didn’t catch your name earlier, it’s Day isn’t it?” Pas très commun, mais vu qu’elle se trimballe Juliet depuis l’enfance, elle est mal placée pour critiquer les prénoms de qui que ce soit, surtout quand ils sont plus originaux que le sien (ce qui n’est pas bien dur à faire). “ Mine's Jules, but I guess you can keep calling me the wall if you want. ” Elle hausse une épaule (ce surnom là la dérange pas autant, bien au contraire, que le nazi que lui réservent ses coéquipiers) et regarde le père: “He’s a cutie. I really wouldn’t mind.” Elle le connait depuis très exactement deux minutes et il est possible qu’elle s’en lasse vite, mais elle ne s’engage pas beaucoup, un après-midi dans le flou d’un one day, d’un whenever. Whatever. |
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WIZARD • always the first casuality Jay Rhee ‹ disponibilité : toujours.
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‹ âge : trente ans.
‹ occupation : CEO de WINGS, cabinet d'archimagie international.
‹ maison : serdaigle.
‹ scolarité : 1985 et 1992.
‹ baguette : asiatique et fabriquée en corée, ayant appartenue à son grand-père, composée de châtaignier chinois et ayant en son coeur une plume enflammée de bonghwang, oiseau de feu asiatique, longue de vingt-neuf centimètres trois, jay ne la contrôle quasiment pas.
‹ gallions (ʛ) : 2858
‹ réputation : hommes d'affaire requin, frère médiocre et père nul, considéré comme lâche, opportuniste, ennuyeux et trop sérieux.
‹ particularité : maître de l'eau.
‹ faits : écrasé sous la pression familiale, avec le devoir d'aller droit dans ses bottes, a épousé une femme qui ne l'a jamais aimé parce qu'elle était enceinte de lui (et a plus tard perdu l'enfant), a courbé l'échine pendant la guerre et a sauté sur l'occasion de la paix pour racheter le nom de sa famille, honorable mais maladroit, il a un fils duquel il s'occupe seul depuis sa séparation avec sa femme, day, qui est insensible à la douleur et maître du feu.
‹ résidence : dans un énorme appartement au sommet d'un immeuble du londres moldu.
‹ patronus : il ne peut pas en produire.
‹ épouvantard : son père lui hurlant des insultes dans une langue qu'il ne connait pas en le pointant du doigt.
‹ risèd : lui, sa femme et son fils, heureux.
| “ I don’t want to impose or anything I know it’s not my place but…I wouldn’t mind…maybe showing him around the stadium one day? ” Jay n'a même pas besoin de baisser les yeux vers son fils pour savoir qu'il est déjà impatient et on ne peut plus ravi de cette perspective; en fait, il semble tellement heureux par ce que lui propose la capitaine des Falcons que la main de Day vient chercher celle de son père pour la serrer de toutes ses forces. “ Dad. — He doesn’t have to play. — Dad. ” Difficile de lui dire non maintenant, et même si il est un peu embarrassé par la position dans laquelle le met la pauvre quidditchplayer qui a l'air de s'ennuyer ferme dans son lit d'hôpital, il doit avouer que c'est tentant. Il a rapidement suit ce qui s'était passé dans leur équipe, avec le retour-départ éclair de Fudge-Bagman (à moins que ce soit Bagman-Fudge) et c'est vrai qu'il est curieux des économies du Quidditch, et de comment fonctionne le sponsorat (et combien ça rapporte, aussi). Mais il y a autre chose, aussi, et c'est la nervosité qu'il sent dans la main serrée de Day qui, normalement, fait une crise quand il veut quelque chose; là il veut tant cette exploration du stade qu'il ne dit rien, regarde son père qui fait mine de se focaliser sur Ackerman, réfléchissant et réticent mais aussi... comment dire? il a peur, tellement peur pour son fils. Il ne veut que sa sécurité et son bonheur. Et parfois, ça veut dire ne pas l'enfermer à la maison. Sans doute. “ We do it for kids that are interested sometimes. — I'm interested! — Adeul, please. ”
Parce que oui, c'est tentant, terriblement tentant, mais Jay est terrifié à la perspective de laisser Day être exposé au danger. Il n'a pas non plus envie de devenir comme leurs parents avec Miran leur ancien frère, mais mieux que quiconque il comprend désormais ce que sa mère ressentait dès que son fils cadet était exposé à un danger certain ou se faisait mal sans s'en rendre compte. “ I didn’t catch your name earlier, it’s Day isn’t it? ” Day hoche la tête et après un dernier regard vers son père qui semble toujours plongé dans une profonde réflexion, se détache pour s'approcher timidement du lit. “ Yeah, Daehyun! But everyone calls me Day. — Mine's Jules, but I guess you can keep calling me the wall if you want. ” Il semble ravi qu'elle lui dise son prénom (apparemment il ne l'avait pas retenu, puis qu'il répète un “ Jules! ” ravi, suivi d'un murmure: “ like the emperor ” qui fait grincer les dents à Jay parce que c'est faux mais que Day est bien le seul gamin de cinq ans avec qui il ne se lancera pas dans un défi de culture générale). Les yeux de la gardienne reviennent sur lui. “ He’s a cutie. I really wouldn’t mind. — Yeah, I mean. Yeah. That would be very nice of you. Thank you. ” Il incline la tête légèrement de nouveau, s'approche à petits pas timides de son fils qui a le visage de celui qui vient venir Yule des mois plus tôt. “ It's not that I don't want him to play, it's just, uh-- — I don't feel pain. ” Day s'en fiche, il ne sait même pas ce que ça veut dire et Jay soupçonne qu'il ne comprend pas vraiment ce que ça implique. Il n'a même pas la délicatesse de garder ça pour lui. Lui et Erin l'ont élevé dans un cocon et c'est seulement depuis le départ de sa mère de leur appartement qu'il va au CEPAS, fréquente réellement d'autres enfants de son âge, sort de la cellule familiale. C'est terrifiant pour ses parents, pour Jay surtout, mais c'est exaltant pour lui.
Et Jay, autant qu'il craint que son fils souffre du moindre mal, ne veut pas qu'il manque trop de choses de la vie. Il ne veut pas que leur relation se dégrade comme celle entre ses parents et Miran... “ What happened to you? ” Day se penche presque pour monter sur le lit et Jay s'approche en deux grands pas pour poser une main sur son crâne et le garder près de lui en arrière. “ Come on, don't make her uncomfortable. Sorry about that, ” marmonne-t-il mais son fils, bien entendu, n'en fait qu'à sa tête. “ Did you get hit by a Bludger?! So cool! Or did you fall from your broom? did you break your arm? DID YOU GET THE QUAFFLE IN THE STOMACH? (Jay grimace à chaque possibilité en imaginant la douleur) This is so cool. You look so tough! I want to be like you when I grow up, I want to be a Falcon. With the wings, the beak and everything! I'll be the best Keeper there is so I think you should train more. — Day?! ” |
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WIZARD • always the first casuality Jules Ackerman | “ Jules! like the emperor ” aussi faux que cute, mais la comparaison ne la dérange pas le moins du monde. “ Yeah, I mean. Yeah. That would be very nice of you. Thank you. ” Consent enfin l'autre adulte contre lequel Day et elle se sont ligués (et elle s'en voudrait presque un peu, parce qu'elle se rend compte qu'elle l'a un peu mis dos au mur et elle ne sait même pas pourquoi). C'est réglé donc, le petit a l'air content (ok plutôt comme si on venait de lui annoncer Noël et son anniversaire en même temps), Jules aussi. “ It's not that I don't want him to play, it's just, uh-- Elle n'a vraiment pas besoin de savoir, ça ne la regarde pas du tout, sauf que Day l'interrompt avant qu'elle-même n'en ait eu le temps I don't feel pain. ” Il ne peut vraiment pas jouer donc, et pas d’une façon qui peut passer avec le temps. Elle veut bien croire que ça serait incroyablement dangereux de pratiquer un sport aussi intrinsèquement violent que le Quidditch quand on peut pas ressentir la douleur ; même avec toutes les protections du monde, elle comprend qu’aucun parent digne de ce nom ne laisserait pas son gosse courir au danger comme ça. C’est triste, elle-même ne peut pas s’imaginer sa vie sans ça aujourd'hui, mais aussi plus simplement son enfance sans courir partout et trébucher et tomber et se relever, mais avec les limites et la sécurité finalement offerte par la douleur. L’élan de compassion qu’elle ressent pour Day est suffisant pour l’empêcher de répondre immédiatement à cette confession.
“ What happened to you? ” Le gamin a l’air de vouloir grimper sur son lit, mais son père le retient d’une main sur son crâne, Jules, elle, se redresse un peu plus contre ses oreilles, comme pour éventuellement lui laisser de la place. “ Come on, don't make her uncomfortable. Sorry about that, ” elle s’en fiche un peut qu’il se hisse jusqu’à son lit comme s’ils se connaissaient de puis toujours, en dépit de la retenue à laquelle l’a invité son père, c’est un poids plume et il la dérange pas du tout. “ Did you get hit by a Bludger?! So cool! Or did you fall from your broom? did you break your arm? DID YOU GET THE QUAFFLE IN THE STOMACH? ” Jules commence à comprendre qu’elle a peut-être sous-estimé ce dans quoi elle s’engageait en proposant une journée au stade à Day. Il reste cute, mais il est aussi très bruyant. “ This is so cool. You look so tough!” Ok elle décide qu’il est malin et qu’elle l’aime bien, il peut continue de parler si c’est pour dire ça. “I want to be like you when I grow up, I want to be a Falcon. With the wings, the beak and everything! I'll be the best Keeper there is so I think you should train more. ” Elle ne peut pas dire qu’être le modèle de gens qu’on a jamais rencontré ou à peine, est quelque chose à laquelle on peut s’habituer. Autant qu’elle a de haters Jules a aussi des fans et ça lui fait toujours un peu bizarre, parce que ce n’est clairement pas pour ça qu’elle s’est lancée dans le Quidditch — même si elle ne s’en plaint pas non plus. Mais ça reste étrange de se rendre compte qu’elle peut influencer un jeune aussi simplement que ça. Et ça la gêne un peu en cet instant précis parce qu’il talk a big game et elle a envie de l’indulge, comme elle le fait à chaque fois avec d'autres gosses, mais en même temps elle sait qu’il ne sera jamais joueur et surtout pas un Faucon parce que s’il y a une équipe plus brutale que les autres c’est bien la leur ; elle est à Sainte-Mangouste des suites d’un entraînements for fuck’s sake (même si ça c’est juste Greg). “ Day?! ” Elle secoue la tête à l’adresse du père. “It’s fine.” Machinalement elle retourne son POW au moment où l’écran s’illumine d’un nouveau message ; elle a presque envie de leur répondre cette fois. “I fell off my broom because of a bludger.” fait-elle le plus simplement du monde, parce qu’au fond c’est ça la vie d’un joueur de Quidditch professionnel et c’est rien, il s’agit juste de se relever et de remonter sur son balai ensuite. Ce qui l’énerve le plus, c’est que le cognard (en plus de venir d’un de ses coéquipiers) a failli lui péter son balai. “ It was epic. ” lance-t-elle avec un sourire à l’intention de Day, pour lui faire plaisir, même si, en vrai, non. En vrai c’était nul et il n’y avait rien d’epic que peut-être sa colère contre Gregory. Il a failli lui péter son balai et la figure en même temps. Elle s’en est sortie avec quelques côtes de brisées, rien qu’on ne sache pas réparer à la perfection dans cet hôpital, rien comparé à ce qu’elle aurait pu lui faire avant qu'on la transfère dans cette chambre. La colère retombe ceci dit. “ So who's your favourite quid player then? You don't have to say me because I'm standing there, I swear! ” Elle n'est pas certaine que son père soit très heureux que la conversation s'éternise, mais Jules est reconnaissante de la distraction et puis Day a l'air bien installé sur ses draps blancs. |
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‹ âge : trente ans.
‹ occupation : CEO de WINGS, cabinet d'archimagie international.
‹ maison : serdaigle.
‹ scolarité : 1985 et 1992.
‹ baguette : asiatique et fabriquée en corée, ayant appartenue à son grand-père, composée de châtaignier chinois et ayant en son coeur une plume enflammée de bonghwang, oiseau de feu asiatique, longue de vingt-neuf centimètres trois, jay ne la contrôle quasiment pas.
‹ gallions (ʛ) : 2858
‹ réputation : hommes d'affaire requin, frère médiocre et père nul, considéré comme lâche, opportuniste, ennuyeux et trop sérieux.
‹ particularité : maître de l'eau.
‹ faits : écrasé sous la pression familiale, avec le devoir d'aller droit dans ses bottes, a épousé une femme qui ne l'a jamais aimé parce qu'elle était enceinte de lui (et a plus tard perdu l'enfant), a courbé l'échine pendant la guerre et a sauté sur l'occasion de la paix pour racheter le nom de sa famille, honorable mais maladroit, il a un fils duquel il s'occupe seul depuis sa séparation avec sa femme, day, qui est insensible à la douleur et maître du feu.
‹ résidence : dans un énorme appartement au sommet d'un immeuble du londres moldu.
‹ patronus : il ne peut pas en produire.
‹ épouvantard : son père lui hurlant des insultes dans une langue qu'il ne connait pas en le pointant du doigt.
‹ risèd : lui, sa femme et son fils, heureux.
| Let us win, but if we cannot win, let us break a few heads: ça lui revient maintenant, parce que Day a un poster comme ça dans sa chambre, aux couleurs grises des Falcons. Ravissant, donc; mais d'un autre côté, Jay sait pertinemment qu'il ne sera jamais un joueur de Quidditch, qu'aucune personne in their right mind le mettrait sur le terrain alors qu'il est physiquement incapable de se rendre compte de ses limites. Mais il n'empêche que ça lui arrache des frissons de peur et de malaise quand il entend son fils s'enthousiasmer comme ça par rapport au Quidditch, à la perspective de devenir un Falcon. Il se demande si Ackerman ressent elle aussi cette gêne — il a refusé de la regarder quand Day a simplement dit qu'il ne ressentait pas la douleur, pas par honte mais par gêne, de peur de lire de la compassion sur le visage de la joueuse. Ça reste insupportable, même après cinq ans. De ne rien pouvoir faire pour son fils et en plus, de souffrir la pitié des autres. “ It’s fine. ” Is it though? Jay se mord la lèvre malgré lui, sa main relâchant peu à peu Day qui, tout content, finit par grimper sur le lit en regardant la joueuse avec des yeux brillants, impatient d'entendre la raison de sa venue à l'hôpital. “ I fell off my broom because of a bludger. ” Day pousse un petit bruit ravi. “ Cool! ” Non, pas cool du tout! Jay ne peut même pas imaginer la douleur ou combien elle a dû avoir peur, même si une partie de lui lui rappelle qu'elle est littéralement payée pour ça, qu'elle joue au Quidditch tous les jours. Impossible pour lui de s'approcher d'un stade sans avoir un frisson de peur lui courir le long de l'échine. Des balles plus ou moins sentientes qui viennent vous frapper à plusieurs reprises? Non merci.
“ It was epic. ” Day hoche la tête avec véhémence, comme si il avait été sur le terrain avec elle et avait tout vu de ses propres yeux. Jay ne peut pas s'empêcher d'être légèrement attendri en regardant son fils, maladroit dans tout ce qu'il fait et dit avec les autres, et pourtant tellement... souriant à la perspective que la jeune femme en face de lui soit tombée de son balai, tellement content d'être là, in a hospital of all places. “ So who's your favourite quid player then? You don't have to say me because I'm standing there, I swear! — Oh! ” Day a l'air surpris par la question, puis l'air de quelqu'un qui réfléchit intensément pour ne pas dire une bêtise. “ Hm, I like Beaaaaaaak and Puke! I love Puke. He's really good! And he looks nice. I don't really like Gargoyle though. — Day, those are her teammates! Sorry about that. — I'm just saying. ” Day lève les yeux au ciel avant de foudroyer son père du regard genre: qu'est-ce que tu fais encore là?! et Jay lève à son tour les yeux au ciel, sans bouger ceci dit, croisant les bras en observant son fils. Il n'entend rien au Quidditch, il comprend juste que c'est les camarades de jeu d'Ackerman, et il n'aimerait pas qu'elle pense qu'il ait appris à son fils d'être insolent avec les gens qu'il rencontre.
Day s'apprête à continuer sa liste que Jay imagine sans fin quand on frappe à la porte; il se retourne, s'attendant à voir une infirmière leur demander de partir, ou juste venir check in on Ackerman mais à la place, c'est un jeune homme à l'air passablement excité qui entre, suivi d'un autre à l'air embêté. Day gasps, Ackerman a l'air de quelqu'un qui vient de voir un fantôme et le nouveau venu se met à rire et il faut une seconde à Jay pour finalement reconnaître le fameux Gargoyle qu'il connait pour avoir vu à de nombreuses reprises son visage dans la presse. “ Sweeeeetieeeee ~ ” Il ne fait même pas attention à Jay en lui passant devant, venant plutôt se poster près du lit d'Ackerman; derrière celui qui l'accompagne a l'air d'hésiter sur le pas de la porte, regardant Jay, puis Day, puis Ackerman d'un air curieux. “ I'm just- we're just- we were just leaving actually-- ” Mais ses mots sont noyés dans l'autre tornade: “ I BOUGHT YOU A GIFT IT'S A PLANT THAT SCREECHES WHEN IT HEARS A CURSE WORD!!! ” |
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WIZARD • always the first casuality Jules Ackerman | “ Hm, I like Beaaaaaaak and Puke! I love Puke. He's really good! And he looks nice. I don't really like Gargoyle though.” Elle doit retenir un rire, le gamin n’a pas menti il aime vraiment bien les Falcons (sauf Gregory, mais qui aime Gregory eh). “ Day, those are her teammates! Sorry about that. — I'm just saying. ” Day lève les yeux au ciel et Jules hausses les épaules, elle lui a demandé son avis, il le donne, il n’y a rien de mal à ça. “ Yes Beak and Puke are really good and both of them are nice.” sourit-elle. Et Gargoyle? Jules ne semble pas avoir entendu la critique à son sujet, ou alors elle est peut-être d’accord, parce qu’elle ne commente pas. Elle n’aime pas trop Gargoyle non plus, là tout de suite, alors elle peut le comprendre. Elle pense qu’ils vont se faire virer quand on frappe à la porte et reprend machinalement son POW, sauf que Day gasps de façon audible et quand elle relève les yeux vers l’entrée de sa chambre, elle en perd quelques couleurs. Ce connard a le culot de rire. “ Sweeeeetieeeee ~ ” Il ignore complètement le fait qu’elle ait déjà d’autres visiteurs et qu’ils soient en pleine conversation et vient rejoindre son lit à grand pas, alors qu’Adrian — bien sûr qu’Adrian est là — plus poli, ce qui n'est cependant pas difficile à faire, reste sur le pas de la porte. La colère ça passe oui, mais quand elle l'a en face d'elle, elle se rend compte que ça n'est quand même pas encore tout à fait derrière elle. “ I'm just- we're just- we were just leaving actually-- ” Please don’t, pourrait presque supplier Jules en cet instant précis, ses doigts crispés autour de son miroir de poche. Me laissez pas avec cet imbécile heureux. (Elle n'a pas très envie d'être envoyée à Azkaban pour meurtre, just yet). “ I BOUGHT YOU A GIFT IT'S A PLANT THAT SCREECHES WHEN IT HEARS A CURSE WORD!!! ” beugle Goyle a lui en faire péter un tympan. Elle grimace regard par dessus l’épaule de Gregory pour demander silencieusement à Adrian ce qui lui a pris de le ramener ici alors qu’elle a très clairement dit qu’elle ne voulait PAS le voir jusqu'à nouvel ordre, puis Day parce qu’elle a un flot de jurons qui menace de passer ses lèvres et qu’elle préfèrerait préserver ses oreilles innocentes, leurs oreilles à tous en fait si la plante est réellement dotée de la capacité que lui vante son coéquipier.
“ Let me guess its screech reminds you of me? ” Même si en cet instant il est le seul à hurler, elle ne doute pas qu'il s'agisse d'une mauvaise blague comme ça (objectivement ça lui arrive de crier assez souvent sur le terrain). Elle ne tend pas les bras pour accepter son cadeau, il faudrait être absolument malade pour accepter un truc pareil quand on jure ou est entourée de gens qui jurent comme si leur vie en dépendait à longueur de journée. Il n'y a que lui pour trouver ça drôle, évidemment. Elle n’est même pas belle sa plante, mais ce n’est pas comme si elle s’attendait à un cadeau bien de la part de Gregory. “ So smart of you to bring this to a hopsital wow. ” roule-t-elle des yeux, même si ça aura au moins le mérite (ose-t-elle espérer) de lui faire surveiller son langage. “ What the — , elle se retient de justesse et lance un regard désolé au père de Day, are you doing here?” Elle jette un regard aux derniers messages sur son POW. Adrian a essayé de la prévenir, remarque-t-elle quand même. A good guy, consent-elle. Un type bien qui aurait quand même du enfermer Gregory dans un placard. Et puis: “ Day here’s Puke the one you like and Gargoyle the one you don’t.” Elle sourit innocemment à Greg et murmure à l’intention du gamin, “ I don’t like him too much either at the moment.” assez fort quand même pour que le concerné l'entende. “ Adrian, Greg, this is Day, a fan, and his father- uh…” Elle lui jette un regard mi-curieux mi-désolée, elle ne lui a jamais demandé son nom et il ne l'a pas offert non plus, leur attention à tous les deux portée exclusivement sur Day avant qu'ils ne se fassent interrompre. Jules se demande vaguement si elle a même le droit d'avoir autant de personne dans sa chambre en même temps — elle doute que Gregory ait demandé la permission en tous cas — et elle a un peu peur de la tournure que risque de prendre la conversation, cherche un moyen sympa délicat de se débarrasser d'une des paires de de visiteurs ; malheureusement ça risque d'être le père et son fils puisqu'elle doute très fortement que Greg accepte de partir sans faire une scène d'abord. |
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WIZARD • always the first casuality Jay Rhee ‹ disponibilité : toujours.
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‹ âge : trente ans.
‹ occupation : CEO de WINGS, cabinet d'archimagie international.
‹ maison : serdaigle.
‹ scolarité : 1985 et 1992.
‹ baguette : asiatique et fabriquée en corée, ayant appartenue à son grand-père, composée de châtaignier chinois et ayant en son coeur une plume enflammée de bonghwang, oiseau de feu asiatique, longue de vingt-neuf centimètres trois, jay ne la contrôle quasiment pas.
‹ gallions (ʛ) : 2858
‹ réputation : hommes d'affaire requin, frère médiocre et père nul, considéré comme lâche, opportuniste, ennuyeux et trop sérieux.
‹ particularité : maître de l'eau.
‹ faits : écrasé sous la pression familiale, avec le devoir d'aller droit dans ses bottes, a épousé une femme qui ne l'a jamais aimé parce qu'elle était enceinte de lui (et a plus tard perdu l'enfant), a courbé l'échine pendant la guerre et a sauté sur l'occasion de la paix pour racheter le nom de sa famille, honorable mais maladroit, il a un fils duquel il s'occupe seul depuis sa séparation avec sa femme, day, qui est insensible à la douleur et maître du feu.
‹ résidence : dans un énorme appartement au sommet d'un immeuble du londres moldu.
‹ patronus : il ne peut pas en produire.
‹ épouvantard : son père lui hurlant des insultes dans une langue qu'il ne connait pas en le pointant du doigt.
‹ risèd : lui, sa femme et son fils, heureux.
| Jay prendrait presque Ackerman en pitié parce qu'en voyant arriver Gargoyle, elle semblerait presque gênée, presque livide, presque rouge de rage. Et, même si il est clairement nul en la matière, il compatit un peu pour le cadeau au goût douteux de l'autre joueur; ce n'est pas tant un cadeau pour lui souhaiter de se remettre, songe Jay, mais presque une moquerie — les joueurs de Quidditch sont, après tout, des grosses brutes qui jurent tout le temps... non? “ Let me guess its screech reminds you of me? ” Jay remarque qu'elle ne tend pas le bras pour accueillir le cadeau mais l'autre ne semble pas du tout s'en soucier, riant légèrement en posant le pot sur la table de nuit avec autorité, arrangeant avec une étrange douceur les feuilles. La fleur n'est pas moche (quoiqu'il faut avouer que les goûts de Jay sont douteux) juste... criarde, plutôt littéralement d'après celui qui vient de l'amener dans la chambre. “ Exactly. — So smart of you to bring this to a hopsital wow. — I know right?! Everyone keeps telling me that I'm getting smarter. Right Adrian? ” Jay se demande si il a compris que ce que vient de dire Ackerman est sarcastique, et préfère ne même pas s'en mêler, tirant Day vers lui pour lentement les diriger vers la sortie; elle a de la visite et il ne veut pas qu'ils soient des intrus au milieu de cette émouvante scène de retrouvailles.
“ What the — are you doing here? — What the what? ” Gargoyle semble s'amuser comme un fou de la situation, caressant toujours pensivement la plante. Celui qui se trouve dans l'encadrement de la porte — Adrian, comme Jay a entendu Ackerman l'appeler — s'approche lentement, toujours avec un sourire d'excuse pour lui et Day qui reste silencieux, les yeux rivés sur lui. “ Day here’s Puke the one you like and Gargoyle the one you don’t. — What?! ” Gargoyle semble enfin se rendre compte de leur présence, ses yeux bleus se vissant sur eux, sur Day particulièrement, qui machinalement se presse contre la jambe de son père avant de se rapprocher d'Ackerman quand elle se penche vers lui. “ I don’t like him too much either at the moment. — What?! ” Il semble véritablement blessé, et Jay est vraiment désolé (se sent devenir rouge) en sentant déjà des excuses se former sur es lèvres. “ Adrian, Greg, this is Day, a fan, and his father- uh… — J-Jay, but it's okay, truly, we were leaving, we don't want to intrude, right Day? — Right. — Wait, you're named Day as in daylight? That is not a very chinese name. — Greg! Please don't mind him. ” Jay reste immobile sans savoir quoi dire, ouvrant puis fermant la bouche tandis que Day cligne des yeux d'un air très intense. “ We're not... chinese... — Do you know Nao?! — Oh for fuck's sake, Greg! ”
Le cri de la plante est horrifiant. Les mains de Jay viennent presque aussitôt s'envelopper autour du crâne de Day pour recouvrir ses oreilles; mais il n'a pas le temps de faire ça que la plante s'arrête aussi brutalement qu'elle s'est déclenchée. Le silence qui suit est tout aussi assourdissant; même Gargoyle semble être surpris de l'intensité de la plante de laquelle il s'est sensiblement éloigné avec un air horrifié. “ Right, okay, I think we should leave... ” marmonne un Jay un peu piteux en tirant Day avec lui. Ça a le mérite de sortir Gargoyle et Puke de leurs torpeurs, ce dernier s'approchant d'eux quand ils sont sur le point de sortir de la chambre. “ You're right, Day, you shouldn't like him, he's not really nice, ” murmure-t-il à son fils sous l'air complètement paralysé de Jay qui vient d'évaluer que tous les Falcons étaient des tarés congénitaux. “ Can I sign something for you? — Oh! ” Puke sort un stylo de sa veste et finit par lui signer le bras avec un petit sourire avant de lui ébouriffer les cheveux. “ Keep flying, I guess? — Yeah! Thanks! ” Et comme ça ils quittent la chambre, alors que Gargoyle se met à rire comme un dément et que la plante menace un million de fois de se remettre à hurler. |
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WIZARD • always the first casuality Jules Ackerman | Jules a relativement conscience que son attitude légèrement passive-agressive avec Gregory en cet instant doit être assez gênante au moins pour Jay — Day a juste l'air de ne pas encore se remettre de la présence non plus d'un mais trois joueurs des Faucons — mais elle ne peut tout simplement pas s'en empêcher et estime sincèrement que son coéquipier a de la chance qu'elle se contente de ça. C'est parce qu'ils sont en public et dans un hôpital et que techniquement elle est encore alitée. “ but it's okay, truly, we were leaving, we don't want to intrude, right Day? ” Ça la saoule, ce ne sont pas eux qui dérangent. “Right. — Wait, you're named Day as in daylight? That is not a very chinese name. ” Oh lord. Adrian réagit un temps avant elle: “ Greg! Please don't mind him. ” Mais Gregory s'arrête jamais à une bêtise, elles viennent par paires ou plus, Jules préfèrent qu'ils s'en aillent maintenant, avant qu'il aille plus loin dans son racisme habituel. C'en est même plus surprenant, juste terriblement agaçant. Elle se demande bien comment Nao fait pour ne pas lui en foutre une tous les quatre matins, peut-être qu'il a peur de lui ; elle renifle, y a pas de quoi. “ We're not... chinese... — Do you know Nao?! — Jesus Greg- — Oh for fuck's sake, Greg! ” Adrian et elles s'exclament en même temps, mais ça n'empêche pas la plante de relever le juron du premier. Le temps qu'elle se couvre les oreilles le cri strident s'est épanché. Ce qu'elle peut le détester, elle serait presque contente de voir son mouvement de recul et l'horreur sur visage à lui aussi devant son propre cadeau (elle pourrait lui balancer plante et pot à la figure, mais ça suffirait pas à la soulager).
“ Right, okay, I think we should leave... ” Ça vaudrait vraiment mieux parce que Jules commence à devenir très rouge. Ses coéquipiers la narguent souvent en disant qu'elle a une veine sur le front qui ressort quand elle s'énerve un peu trop et bien sûr le lui faire remarquer ne peut que provoquer un peu plus de colère de sa part, mais ils n'ont pas tord. Et là, la veine commence à se montrer juste au dessus de ses sourcils. Jules peut presque la sentir trembler sous sa peau. Adrian les accompagne jusqu'à la porte, Jules sait qu'elle peut compter sur lui pour essayer d'adoucir leur sortie, mais elle lui en veut aussi à Puke d'avoir ramené Gregory. Ce dernier n'a pas le droit de se déplacer sans ; ça tuerait Adrian de résister une fois au moins à son nagging et de refuser de sortir ? “ That went well. ” crache-t-elle à Gregory alors que du coin de l'œil elle voit Adrian signer le bras de Day. Et puis comme l'autre à l'air sur le point d'ouvrir la bouche pour agréer, “ That was sarcasm Gargoyle. ” Il est capable de ne pas le voir si on lui dit pas clairement, il a quand même eu la bonne idée de croire qu'elle le complimentait réellement d'avoir ramener une plante beuglante dans un hôpital. Elle est surprise qu'on ne soit pas déjà venu leur en toucher deux mots après ce premier essai. Elle a presque envie de la provoquer de nouveau pour qu'une infirmière les fasse partir. Elle jette un regard mauvais à la fleur qui en plus de tout est laide, ce qui ceci dit ne l'étonne pas vraiment parce qu'il n'est pas connu pour son bon goût et ça ne veut même pas dire qu'il n'a pas fait d'effort. “ Are you proud of yourself- ” Jay et Day sont partis et Adrian revient vers eux sous le regard noir de sa capitaine. “ I said I did not want to see that f— ” les dents finissent par s'enfoncer dans la lèvre inférieure, si elle compte les faire éjecter comme ça, autant qu'elle est terminé de dire ce qu'elle a dire. Elle désigne Gregory du menton à la place. “ Or did you not get the bloody message? ” Ce qui est un peu ironique parce que c'est elle qui ignore leurs messages depuis des heures. |
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