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sujet; Rabastan, Nannie, Zacharias tirent leur révérence (et Cornelius son chapeau) |
 | Prénom & Nom ; Rabastan Aldebaran Lestrange
Vos multicomptes ; Nehanda Hlembiwe Lukombo, Zacharias Amédée Smith & Cornelius Oswald Adar Fudge.
Raison de votre départ;
Ouh, c'est dur dur de venir poster ça mais bon quand il le faut  ça fait un certain temps que je me traîne une absence et je n'arrive pas à revenir. Avec les soucis IRL qui se sont un peu accumulés cette années j'ai été un peu plus à la masse niveau rp ces derniers temps et maintenant je n'arrive plus à réadapter mes persos au nouveau contexte.
Du coup voilà  c'est le départ mais omg les filles (et les garçons, pour certains) qu'est-ce que ça a été épique ces deux dernières années avec vous sur Exci  (ce smiley, sisi, toujours là, toujours présent dans mon âme, même à l'écrit en manuscrit je le mets quoi). Je pourrais faire une petite rétrospective mais allez j'ai promis de tenter de faire court alors je vais faire l'impasse sur mon émotion et tout. Je me contenterai de faire remonter à la surface les instants dans le flood où on se battait bec et ongle pour vaincre les filles dans le "accio" (tmtc draco, bro de flood qu'est ce qu'on leur a mis !), tout ces moments de keels inrp, ces events où c'était le gros bordel et où on tentait de poster avant les autres. C'était le cataclysme dans le flood privé des QG et les lettres se sont légèrement effacées sur nos claviers tellement on tapait dessus. Les rps à 3k qui nous faisait pleurer. Les ships de la mort. Les brotp de la mort. AZKABAN DE LA MORT (oui oui, ben quoi, pouvais-je ne pas le faire ??) Bref, mes agneaux, vous m'avez fait kiffer mes deux dernières années et sans vous je sais pas ce que j'aurais fait (je me serais sans doute shooté au fanta pour oublier ) Du coup merci à tous mes partenaires rps, merci à tous ceux que j'ai croisé sur le flood, merci à tous ceux qui ont fait vivre ce forum, vous êtes des perles à la crème  
Bien, du coup je vais faire comme la gueuse de gg, un petit post pour indiquer ce qui arrive à mes persos 
- Le futur:
• Nannie retourne en Haïti, même si elle n'a plus de famille là bas et se met en couple avec une superbe Haïtienne qui a fait des études de médicomagie et qui finira par trouver un remède pour la soigner de son analgésie.
• Zacharias continue son petit ménage à trois (quatre si on compte le chat) il s'investit en politique et commence à devenir très doué dans la fabrication de tract communo-gauchiste. Il se fait souvent tabasser lors de manifestations mais Katie ne l'en trouve que plus beau.
• Cornelius après avoir tenté de repercé en politique s'est rendu compte que son acharnement à se mettre sur le devant de la scène faisait du mal à Ludo et donc à son couple. Après avoir pris pleinement conscience de l'enjeu du problème il est revenu un soir chez lui pour parler à Ludo, s'excuser de son comportement et lui proposer de retourner à Quiberon. Le couple repart donc en Bretagne où ils retrouvent leurs anciens voisins et où ils peuvent de nouveau mener une vie agréable loin du jugement et de la politique.
• Pour Rabastan, voir le spoiler suivant.
- Rabastan Karma Lestrange:
Ça faisait plusieurs jours qu’il se préparait. Et plusieurs semaines qu’il attendait. Il ne comptait plus les nuits et croyait sur parole son geolier lorsqu’il lui disait la date, certains matins, en lui lançant un journal pour l’occuper.
Les mois défilaient. Il avait l’impression qu’il allait finir dingue, enfermé dans son bureau. Ses yeux accrochaient la fenêtre, il voyait toujours la même chose, le ciel et un peu plus bas des toits. Rien de plus. Parfois un oiseau qui s’aventurait à passer devant la vitre. Rien de plus. Parfois de la pluie qui tapait contre les carreaux. Rien de plus.
Il s’ennuyait à crever.
Il avait l’impression qu’il allait finir par se bouffer lui-même. Ses jambes tremblaient continuellement, en raison du manque d’exercice. Il sentait ses nerfs réclamer du mouvement. Il les étendait puis les repliait. C’était le maximum. Il ne marchait que quand on le conduisait aux toilettes ou à la douche. Et pendant ces courts instants il sentait le sang se remettre à circuler brutalement, le forçant à prendre une démarche lente qui énervait systématiquement Lestrange et Murdock.
Il le lui répétait, l’ancien Mangemort, que ça allait, qu’il était juste retenu dans un bureau depuis quelques petits mois alors que lui, le pauvre martyr, avait passé QUINZE ANS enfermé dans une vraie prison. Il n’avait pas besoin d’imaginer les paroles de Rabastan pour les entendre, c’était un de ses discours récurrents. Il avait dû le taire un peu trop souvent ces dernières années et maintenant qu’il était en mesure de laisser libre-cours à son ressenti il se lâchait.
Sauf que Josiah n’avait pas de diplôme en psychologie analytique.
Il n’avait pas non plus commis des meutres en masse qui auraient pu justifier un quelconque enfermement. Sauf que bien sûr, si vous commenciez à sortir à Lestrange qu’il avait sans doute un peu mériter ce qui lui était arrivé, vous aviez le droit à un regard mi-noir, mi-attristé qui disait clairement : tais-toi sang de bourbe, tu ne sais pas ce que c’est que la souffrance. Ce qui était, il fallait bien l’admettre, un peu fort de café de la part d’un rejeton sang pur d’une famille friquée comme les Lestrange. Il se demandait bien quel genre de souffrance un privilégié dans son genre avait pu connaître, hormis la prison bien méritée.
Au cours de sa sequestration, il avait pu tout de même se faire une petite idée. Le problème de Lestrange, c’était qu’il ne dormait pas. Et comme il avait laissé la chambre de l’appartement à son acolyte Murdock, lui créchait dans le salon, tout près du bureau. Et quand il ne dormait pas, Josiah non plus ne dormait pas. Si seulement il avait pu faire des cauchemars silencieux… mais non, visiblement les terreurs nocturnes ponctuées par des réveils hurlants faisaient parties du personnage. Il ne savait pas exactement ce qu’il voyait dans ses cauchemars, mais il avait cru comprendre qu’entre les détraqueurs et son paternel il avait de quoi peupler ses nuits.
Le père de Josiah aussi avait été assez sévère dans son genre. Pas une raison pour en faire toute une maladie non ?
Quand Rabastan venait le voir dans le bureau, le matin, pour lui apporter du café, il essayait d’accumuler des informations. Il avait vite compris quelque chose : ce que ce type aimait, c’était qu’on le considère comme quelqu’un de normal. Pas de grands regards terrifiés, pas de mépris non plus, Josiah faisait de son mieux pour avoir l’air de papoter avec un ancien camarade de classe. Et Lestrange lui répondait.
C’était assez impressionnant de voir à quel point il était facile de le manipuler quand on savait où placer les leviers. Il l’écoutait lui parler de sa femme, de ses enfants, de sa mère, de son elfe de maison… Josiah avait compris au silence qui entourait le père que ça devait être un gros morceau. Il hochait la tête en entendant parler de sa femme, l’insultait quand il sentait qu’il le pouvait. Il faisait des moues d’appréciation quand il lui racontait des histoires impliquants ses enfants.
Petit à petit, il avait réussi à se rendre appréciable aux yeux de Rabastan. Et il pouvait commencer à lui demander des faveurs. À ne plus être attaché, juste enfermé. Puis à pouvoir être libre dans le salon, sous sa surveillance, quand Hell n’était pas là.
Il commençait par refuser, mais finissait par accepter. Il voulait juste de la compagnie. Il voulait juste qu’on l’écoute, et qu’on fasse mine de l’excuser. Qu’on fasse semblant de croire qu’il était jute un mec normal qui n’avait jamais commis d’horreur de sa vie. C’était trop simple.
Il attendait Josiah, il voulait juste être libre.
Lui, le méritait, contrairement à ce tueur en série.
Ils étaient devant la TV, Rabastan avait les yeux dans le vide et Josiah était certain qu’il ne devait pas suivre l’épisode de House MD qui était en train de passer. Ça lui arrivait parfois, c’était comme s’il s’éteignait. Il regardait sa main droite passer machinalement sur son avant bras gauche. À un moment il appuie, puis grimace. Et recommence. Les yeux toujours dans le vide. Josiah inspire. Regarde sa baguette que Lestrange garde à sa ceinture.
Puis il regarde sur la table basse. Deux verres, un tas de papiers publicitaires maintenus par un presse-papier. C’était un gros truc, ramené par un ami de Josiah d’un voyage en Italie. Ça représentait une constellation.
Il respire un peu plus rapidement. Lestrange se redresse : « Un nouveau café ? » il demande, toujours perdu dans ses pensées. Josiah acquiesce, sans parole. Il le regarde lui tourner le dos en s’avançant vers la cuisine ouverte. Il n’ose pas bouger tout d’abord, puis finit par tendre la main vers la télécommande pour augmenter le son, juste un peu. Puis il prend le presse-papier entre ses mains. Et le cache dans son dos. Lestrange revient, avec deux nouvelles tasses.
Josiah a du mal à respirer. Mais Rabastan ne semble pas le remarquer. Toujours ses yeux clairs dans le vide, sa main gauche tenant la tasse, son autre encore posée sur son avant bras. Il ne tient pas sa baguette, n’est pas en position de la dégainer.
Il déglutit.
Sa main droite se resserre sur le presse-papier. Il peut le faire. Il peut le faire ?
Finalement Rabastan tourne son regard vers lui. Puis sourit. Ce qui chez lui se rapproche d’un sourire. Quelque chose d’amer et de triste. Ses yeux s’éclairent un bref moment : « Tu peux le faire. » il souffle.
Josiah ne sait pas s’il hallucine ou bien si Lestrange vient réellement de lui donner sa bénédiction. Un instant plus tard, Rabastan regarde de nouveau devant lui, comme s’il n’avait pas bouger.
Quand Josiah soulève le presse-papier, Lestrange a un mouvement de recul et renverse sa tasse de café. La porcelaine se brise sur le parquet, mais il n’arrive pas à esquiver le coup. Le coin de l’objet fracasse sa tempe droite. Il le voit tenter de prendre sa baguette, mais lui donne un nouveau coup dans le visage. Une main se serre autour de sa gorge. Il lui donne un nouveau coup. Il entend un cri, un râle. Il lui donne un nouveau coup. Et encore un, et encore un.
Au final, il ne le reconnait plus.
Il l’avait vu poutant prendre son apparence tant de fois. Il l’avait vu avec sa gueule de Lestrange tellement souvent aussi. Et maintenant ce n’était plus rien. Il n’était plus rien.
Est-ce que les sang pur pouvaient revivre ? Comme les phénix ?
Il lui donne un ultime coup dans la mâchoire pour être certain de bien avoir terminé le travail. Les dents sautent. Il y avait mis de la force.
Il était libre maintenant.
Et la cervelle de Rabastan Lestrange dégueulassait son tapis haut-de-gamme.
Là il est trop tard pour mon cerveau pour faire la liste des sujets à archiver mais si vous voulez que je le fasse je pourrais le faire demain ! 
Je vous aime très très fort et j'espère que je pourrais vous retrouver sur d'autres forums Plein de gros bisous, et que vos coeurs soient toujours emplis de feels
- Spoiler:
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Dernière édition par Rabastan Lestrange le Lun 10 Juil 2017 - 0:49, édité 1 fois |
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| | Au début de ton OS, moi, team Josiah :  A la fin, en ayant renoncé à être insensible.  RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAB.  (PS : Je n'oublierai jamais tout ce qu'on a écrit ensemble meuf. On ne se séparera jamais de nos BBs. Augustan ont encore mille mondes à détruire en se serrant la main. Angelina veut péter mille nez de Smith.) (Et le Lune.) (Tu as réussi à me keeler alors que je sais très bien ce qui était prévu.)  |
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| | The deed is done comme on dit  LE LUNE OUI NON MAIS LA CE N'EST QUE FLUFF ET AMOUR MAIS TMTC CE NEY PAS TOUJOURS LE CAS  |
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HERO • we saved the world Neville Longbottom  ‹ disponibilité : always
‹ inscription : 07/10/2016
‹ messages : 644
‹ crédits : freesia, tumblr et khalid.
‹ dialogues : firebrick
‹ liens utiles :
rolf ft. ryan gosling, astoria ft. lily collins, theodore ft. dylan o'brien, édouard ft. bob morley, neville ft. daniel sharman, elijah ft. chris evans, ambroise ft. sen mitsuji, alexander ft. alfie enoch, olivia ft. emeraude toubia, brienne ft. natalia dyer, dean ft. john boyega, gregory ft. alden ehrenreich, priscilla ft. daria sidorchuk, charles ft. james norton, hwan ft. vernon choi, jay ft. gong yoo, hiram ft. abel tesfaye, adidja ft. reece king.
‹ âge : vingt-quatre ans (30/07)
‹ occupation : chômage technique.
‹ maison : gryffondor.
‹ scolarité : septembre 91 et janvier 1999.
‹ baguette : bois d'if, crin de licorne, 28 centimètres 8, souple et rapide, inadaptée mais j'ai la flemme de la changer.
‹ gallions (ʛ) : 3812
‹ réputation : la guerre m'a endurci et changé, que je suis devenu assoiffé de sang et parfois incontrôlable, les longues années de conflit ayant brisé le garçon maladroit et parfois simplet que j'ai été.
‹ particularité : un semi-loup depuis septembre 2003.
‹ faits : je suis très différent du garçon que j'ai été à Poudlard, forgé par des années de guerre, de meurtres et de missions suicidaires. Je suis trop en colère, trop extrême, je n'ai plus rien du garçon timide que j'étais avant même si les blessure d'antan demeurent. La fin de la guerre m'a laissé détruit, et je me suis plongé dans les excès, surtout l'alcool, jusqu'à la naissance de mon neveu James, le fils de Ginny et d'Harry. J'essaie de joindre les deux bouts.
‹ résidence : dans la maison familiale à Blackpool, Angleterre, avec Ginny et son fils James.
‹ patronus : très difficile pour moi à invoquer, mais il a pris la forme d'un lama, une fois.
‹ épouvantard : alternativement le professeur Snape et les cadavres des gens à qui je tiens le plus: ma grand-mère, Luna, Ginny, Hannah, etc.
‹ risèd : une vie heureuse et ennuyante.
| je n'ai pas encore lu l'OS mais je sais que je vais être mal et je te hais.  jtm tu le sais et rien n'enlèvera jamais ça, on se revoit dans un autre univers, theo dit au revoir à ses deux daddies mais je vous attends au tournant pour une petite bière et un pomito.   EDIT. JOSIAH VIEILLE PUTE JE MEURS JPP PK TU ME FAIS ÇA I LOVE MY DAD #RABDESERVEDBETTER SPIGHSDPIGHSDPIGHSDPIGHSPDHG JTE HAIS ET TU ME MANQUERAS BCP BCP BCP JTM |
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WIZARD • always the first casuality Even Li  ‹ disponibilité : dispo !
‹ inscription : 29/01/2017
‹ messages : 766
‹ crédits : neo venus.
‹ dialogues : sienna.
‹ âge : 18 yo (19.12.85).
‹ occupation : ancien élève de Mahoutokoro, 1er cycle achevé au RU par correspondance (vitmagic). désormais étudiant à la WADA cursus Arts visuels. jobbe en tant qu'animateur au CEPAS en semaine et au dirico express le samedi (club d'art pour une ribambelle de gosses qu'il adore).
‹ scolarité : 1992 à aujourd'hui.
‹ baguette : cerisier, 27cm, écailles de kappa.
‹ gallions (ʛ) : 3664
‹ réputation : party boy, slut assumée, toujours partant pour des hook up sans signification et probablement un brin obsédé par le sexe, sans limite, dork en compagnie de ses potes, skater taré, doué avec les gosses, artiste prometteur.
‹ faits : - personnalité:
steven jiélùn li, dit even • pyrokinésiste • il porte le nom de sa mère, sorcière pangcah (taïwanaise), plutôt que le "Matsuoka" hérité de son père (japonais) • il a 4 soeurs • tyrannisé à l'école, il a fait une tentative de suicide à 13 ans et est encore aujourd'hui terrifié par le vide. • il a un soft spot pour les gosses mal aimés de son club d'art. • sa famille paternelle est propriétaire de Shape the Future (grand groupe spécialisé en technomagie), où sa mère travaille en tant que directrice marketing de la branche brit. son père a délaissé l'entreprise familiale au profit de sa passion pour l'art et est désormais directeur de la Wada. sa soeur aînée est créatrice de mode, la cadette ingémage chez des concurrents, tandis que les deux dernières sont encore aux études.
- vu par le monde:
Even est de ces jeunes qu'aucun adulte ayant une vie stable et un boulot respectable ne prend au sérieux. de ces énergumènes aux fringues déchirées et aux piercings jugés rebutants, évoluant au sein de bandes qui dérangent l'ordre social, qu'on qualifie de punks et que l'on considère comme d'éternels adolescents attardés. on le fixe avec un agacement mêlé de dédain losqu'il déambule dans les rues avec sa planche coincée sous un avant-bras peinturluré, on le blâme lorsque les roues sales souillent les coussins d'un café, on l'accuse de risquer de cogner les passants lorsqu'il slalome à vive allure parmi la foule, on s'exclame qu'il est complètement inconscient quand il perd le contrôle en plein trick et que son board file entre les pattes des pauvres badauds (ou fait un vole-plané dans une vitrine) après l'avoir envoyé heurter une calèche de plein fouet. on dévisage ses membres couturés de cicatrices, d'égratignures ou pire, et ses genoux ouverts, en le traitant de casse-cou infréquentable. il s'en fiche, ces gens là ne comprennent pas la passion, refusent de voir que c'est un mode de vie, un vecteur de culture, un regard sur la ville et l'architecture. c'est une chose qu'on lui reproche aussi, d'ailleurs : de sembler se foutre de tout. héritier de culture fun et d'une contre-culture urbaine devenue street culture, adepte de pratique sauvage, obnubilé par l'esthétique underground, revendicateur d'un idéal libertaire. lorsqu'une girlfriend exigeant plus d'attention ou un rabat-joie critique le prend de haut, il soupire lourdement et réplique irrémédiablement, avec une patience feinte : "you don’t understand, mom. it’s not a phase. this is who I am."
il a toujours un appareil photo, des multiplettes ou un pinceau au bout des doigts • big softie sous ses allures punk • aime être sous les feux des projecteurs lorsqu'il est dans son élément mais devient socially awkward et mal à l'aise avec les gens aussitôt qu'il doute de lui-même. • praise kink • il préfère cependant se tenir derrière la caméra plutôt qu'être mis en avant. • dents de lapin, sourire de bunny. • veut devenir photographe pro. • poste des cover de chant et de danse sur son msn pour satisfaire ses autres passions. • trop d'alcool, trop de sexe, trop d'orviétan, trop de boissons énergisantes. il ne peut pas s'empêcher d'abuser, bien qu'il ait vu sa sœur Lily frôler la mort à cause d'une overdose. • ses potes et lui sont adeptes de bodypainting et font office de toiles humaines les uns pour les autres. • a l'air mort quand il dort. • infoutu de cuisiner, vit de bouffe à emporter et de gras de fast food. • passe un quart de son temps au skatepark, un autre à l'Espresso Patronum, et sèche beaucoup trop les cours pour son bien. • il a un caméléon (kowalski) et mickey et lui ont adopté d'autres animaux, dont un hérisson et un chien.
‹ résidence : vit au Sawl Yard, dans un appart pour deux avec son bff Rhee Min Ki (aka Mickey), rentre chez ses vieux un week-end sur deux environ.
‹ patronus : un kappa, encore une fois. Son animal totem, décidément : très protecteur de son territoire.
‹ épouvantard : ses proches privés de mémoire. Depuis qu'on leur a rendu un Shin tout sauf lui-même, Even s'aperçoit qu'être totalement oublié par quelqu'un qu'on aime est presque aussi terrible que le perdre à jamais... ou peut-être pire.
‹ risèd : quelque chose ayant trait à son paternel, probablement, mais Even préférerait crever plutôt que l'avouer.
 | ELEO FQOIDHPOSIFHS je t'ai déjà tout dit du coup je la refais pas, je veux pas pleurer ok (ne me jugez pas je suis une dure à cuire...... sous les larmes )  mais cette plume merveilleuse dont tu nous as fait profiter, tes interprétations extra, ton HUMOUR, ta GENTILLESSE meuf formidable que t'es, EST-CE QU'oN PARLE DU FAIT QUE T'ES LA MEILLEURE PROF DU MONDE QUI FAIT ETUDIER HP A SES PTITS VEINARDS D'ELEVES ET EST-CE QU'ON PARLE DE TES COMMENTAIRES LONGS COMME MES DEUX BRAS BOUT A BOUT  C'EST DANGEUREUX DE RESSASSER LES BONS MOMENTS PSK LA MON CERVEAU DIT A MON OEIL GAUCHE  le droit tique à la vitesse de la lumière pour contenir le flot  TU MÉRITERAIS TON POIDS EN MOTS D'AMOUR, TELLEMENT T'AS DONNE A EXCI, et si t'as l'impression qu'on t'a donné tout autant alors c'est parfait  RIP A TOUS TES BEBES TU ME MANQUERAS TELLEMENT JE SAIS PAS COMMENT FINIR J'AI MAL A L'IDEE DE BOUCLER J'AVOUE OMG ET PUIS POURQUOI METTRE UN POINT MEME, JE VEUX PAS QUE CE SOIT LA FIN j'T'AIME ET ENCORE MERCI MILLE FOIS, BONNE CONTINUATION, PRENDS SOIN DE TOI ET TOUT TOUT TOUT CE QU'ON S'EST DIT EN LONG EN LARGE ET EN TRAVERS D'ACCORD ? SOIS LE BONHEUR POUR LA SUITE, C'EST TOUT CE QUE TU MERITES  |
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HERO • we saved the world Neelam Rosier | ça va être si étrange sans toi, j'aime pas trop beaucoup ça et puis rabastan était vraiment un pilier d'exci, déjà là quand je suis arrivée alors ça va faire un vide mais si tu sens que le mieux pour toi c'est de partir alors c'est la bonne décision, j'espère qu'irl tout va bien se passer  bonne continuation du coup et j'espère qu'on se recroisera |
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WIZARD • always the first casuality Flora Carrow  ‹ disponibilité : hold that thought
‹ inscription : 11/12/2015
‹ messages : 1109
‹ crédits : MUDBLOØD. (avatar), sovereign (gif)
‹ dialogues : #336699.
‹ âge : vingt-deux ans (04/02)
‹ occupation : pour le monde, je suis une ancienne médicomage légiste (en réalité, l'ancienne assistante personnelle de l'Ambassadeur).
‹ maison : ravenclaw
‹ scolarité : 1993 et 2000.
‹ baguette : est toute neuve, taillée dans un délicat bois d'aubépine renfermant un ventricule de dragon, elle mesure trente centimètres et des poussières dépassant ainsi de loin celle que j'ai perdu dans l'attentat de saint-mangouste.
‹ gallions (ʛ) : 5131
‹ réputation : je suis Hestia Carrow, une fille bizarre, porte-malheurs, instable et incestueuse qui ferait tout pour sa sœur.
‹ particularité : clairvoyante.
‹ faits : je n'étais pas maîtresse de mes actions pendant la guerre, mon cerveau ayant été lavé après l'exécution des rebuts. J'ai fuit la bataille finale bien avant sa fin et je hais la marque à mon bras. Retrouver le contrôle de mon esprit n'est pas si aisé que ça et je fais encore de nombreux cauchemars. En fuite avec ma jumelle et mon niffleur albinos, Idris, logeant chez des moldus j'ai fini par me rendre en espérant rendre à ma sœur une vie normale, sauf que par un procédé qui m'est inconnu elle a réussi à échanger nos corps.
‹ résidence : bonne question.
‹ patronus : inexistant
‹ épouvantard : moi-même, ou Hestia qui sait, restreinte par une camisole de force.
‹ risèd : moi-même de nouveau identique à Hestia.
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson  ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
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HERO • we saved the world Ronald Weasley  ‹ inscription : 22/02/2016
‹ messages : 615
‹ crédits : cristalline et crackle bones pour la signature.
‹ dialogues : salmon
‹ âge : vingt-quatre ans.
‹ occupation : C'est la grosse question que se pose Ronald en ce moment. Il n'aspire plus à devenir Auror, être autant de temps en guerre lui a passé l'envie de partir à la chasse aux mages noirs et il ne veut pas non plus avoir de contact avec les autres êtres humains alors il ne sait pas. Il aide Charlie avec ses dragons de temps en temps et ça ne lui déplaît pas. Peut-être qu'il va finir par se lancer dans des études de magizoologie ?
‹ maison : gryffondor
‹ scolarité : septembre 1991 et juin 1998.
‹ baguette : Bois de saule, trente-cinq centimètres et contient un crin de licorne. Cette baguette le suit depuis qu'il a détruit celle de son frère Charlie en deuxième année.
‹ gallions (ʛ) : 4036
‹ réputation : Difficile de passer à côté de la famille Weasley tout de même. Connue pour l'immense fratrie qui la compose, il est difficile de passer à côté d'eux. Famille emblématique des insurgés, ils ont tous presque reçu l'Ordre de Merlin et une jolie somme pour les services rendus à la société sorcière. On sourit beaucoup plus à Ron depuis la fin de la guerre et étrangement, il déteste cette célébrité. Lui qui convoitait tant celle de Harry quand ils étaient à Poudlard, il a fini par comprendre pourquoi son meilleur ami la fuit.
‹ particularité : aucune.
‹ résidence : il a retapé le Terrier alors en attendant c'est là-bas qu'il est.
‹ patronus : un jack russel terrier
‹ épouvantard : Celle-ci ne changera pas, pour rien au monde. Ronald peut faire face à n'importe quelle horreur, mais si vous le mettez devant une araignée... vous pouvez dire adieu au Gryffondor qui sommeille en lui.
‹ risèd : Il se revoit à Poudlard, quand tout allait bien, avec Harry, avec Hermione. Quand il pouvait encore entendre son père pester contre le fonctionnement d'un objet moldu et que Fred et George étaient en train d'inventer des confiseries piégées pour leur boutique tandis que leur mère s'affairait à la cuisine avec ce sourire si caractéristique. Ronald souhaiterait pouvoir revenir à cette période où tout le monde était encore là.
| Cet os quoi je rip papa Lestrange Et c'est d'autant plus triste parce que tu pars On n'a pas eu l'occasion de se croiser (shame on me) inrp et je le regrette vraiment parce que j'ai adoré chacun de tes personnages et chacun de tes rps. Comme pour gégé, ta plume va grandement me manquer J'espère en tout cas que tu vas mieux et que ça continuera d'aller  si un jour tu as envie de recroiser notre route, tu sais où nous trouver  en espérant recroiser ta route dans le monde du rpg un jour, je te souhaite une excellente continuation et tout le bonheur possible ( du monde) |
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WIZARD • always the first casuality Yohan Park | TU VAS ME MANQUEEEEEEEEEEEER  en vrai malheureusement on n'a jamais pu se croiser en rp et c'est une TRAGÉDIE ok ?  je prie pour que ça arrive un jour  je suis tellement contente de t'avoir rencontrée, j'espère vraiment qu'on pourra vite se recroiser, t'es trop perf ça va être chelou exci sans tes personnages qui traînent  mais of course je comprends mille fois et it's for the best EN TOUS CAS JE T'ENVOIE PLEIN DE LOVE.  PARCE QUE JE TE LOVE et j'ai pas assez de couilles pour lire l'os maintenant, j'suis trop fatiguée pour ces conneries, je le lis dés que je suis stronger et ready  |
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| | | | | | | | Rabastan, Nannie, Zacharias tirent leur révérence (et Cornelius son chapeau) | |
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