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sujet; Andy - you need some medication |
WIZARD • always the first casuality Andrew Wyatt ‹ disponibilité : dès la validation
‹ inscription : 16/08/2017
‹ messages : 27
‹ crédits : avatar : darkdreams.
‹ dialogues : #
‹ âge : 33 ans
‹ occupation : Médicomage, Ste Mangouste. Accepte facilement les extras
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1981/1988
‹ baguette : Bois d'aubépine, celui des natures conflictuelles. Contient un cheveu de farfadet, connus pour leur duplicité. Elastique, maniable, précise. Idéale pour les enchantements et les sorts de soin.
‹ gallions (ʛ) : 2690
‹ réputation : handy andrew - le bon samaritain qui vient soigner qui lui demande sans rechigner, le type qui sait bricoler et réparer à peu près tout ce qui se répare. Sympa ... et terriblement neutre. Il se garde bien de se faire remarquer, traversant les périodes politiques comme un oiseau migrateur passant au-delà des frontières. Jusque-là, cela lui réussit.
‹ particularité : Sa belle gueule.
‹ résidence : Londres sorcier, proche du chaudron baveur.
‹ patronus : Renard
‹ épouvantard : La ruine de ses parents. Plus jeune, cela prenait la forme d'un papier d'hypothèques, négligemment posé à côté d'une lettre de licenciement provenant de l'usine de son père. Il a surtout peur de les voir mourir, maintenant qu'il peut les mettre à l'abri financièrement.
‹ risèd : Une version de lui-même légèrement plus âgé. Serein. Des vêtements élégants. Un journal annonçant un article sur sa carrière dans le fond de la pièce. Une main se noue amoureusement à ses doigts et veut l'entraîner dans un endroit que le miroir ne montre pas. Il est aimé, serein, suffisamment riche.
| Andrew Virgil Wyattft. sebastian stan • © crédit yourdesigndiairyWizard | ❝ The stars look very different today ❞Colour spectrum ☇ nom & surnom(s) ; Andy, bien sûr. Handy, en aspirant le h. Le type qui sait ce qu'il faut faire en situation de crise. Il aligne les idées très vite et sait poser un garot, prévenir les autorités, badiner pour vous faire oublier qu'il vous retire un énorme morceau de verre au même moment. Ca ne l'empêchera pas de venir, négligemment, quelques jours plus tard, soutirer un peu d'argent. C'est pas avec de la reconnaissance qu'il va remplir sa bibliothèque. Personne ne s'attarde sur son nom de famille et son deuxième prénom ne sert que sur sa carte d'identité. ☇ naissance ; 9 juin 1970, dans un hôpital moldu du Lancashire. Bébé arrivé à terme, rien à signaler. ☇ ascendance & origines ;Mi-figue mi-raisin. Mi-moldu (p'pa), mi sorcier (m'man). Elevé parmi les moldus, il a découvert sur le tard son statut de sorcier sans être ravi au début. Ses parents se sont saignés pour qu'il suive ses études à Poudlard et surtout qu'il trouve ce qu'il aimerait faire de sa vie. Petit, il hésitait entre astronaute-ayant-fait-de-l'Aviron-à-Cambridge et-star-du-rock-parti-de-la-maison-à-seize-ans. Il a curieusement choisi de faire la même chose que sa grand-mère paternelle, agréable personne tenant l'alcool comme un marin et disposant d'un stock d'anecdotes dégoûtantes : soigner les autres. Il s'est illustré dans l'internat à Sainte Mangouste par son absence de frayeur devant des plaies dégoûtantes et un intérêt certain pour les pathologies difficiles à traiter. Il connaît mal sa famille maternelle, qui a mal pris le mariage de leur petit génie de la botanique avec un mécanicien aux ongles noircis. Qu'importe, Andrew adore ses parents, ses soeurs (et sa grand-mère). ☇ occupation ; Médicomage. Il a suivi une spécialisation en pédiatrie quelques années. Il se conçoit aussi comme un infirmier et trouve de l'apaisement à soigner une plaie par des moyens magiques ou moldus. Il a toujours du désinfectant, des pansements et des sucreries sur lui. Ceux qui sont passés entre ses mains reviennent très souvent le voir. Il est si doux. A moins que ce ne soit pour son sourire enjôleur ? ☇ parti politicomagique ; Merlinois. Un choix raisonnable, celui de la majorité. ☇ réputation ; Difficile de dire ce qu'il a fait pendant la guerre. Il s'est illustré par son absence de parti pris. Quelques héros de guerre ont témoigné qu'il les avait soignés. Il ne s'en souvenait pas nécessairement, quand quelqu'un a besoin d'aide médicale, il y va sans s’embarrasser de formalités. S'il connaît le nom de son patient, c'est mieux (cf. son obsession pour le fric). Les jeunes femmes sang-pur qu'il a aidé à avorter ne sont pas venues témoigner qu'il les avait aidées. Quelque chose lui dit que ce n'est pas si grave. ☇ orientation & état civil ; célibataire curieux. Andrew teste ce qu'il peut tester. Il a donc embrassé des garçons, beaucoup plus de filles, eu des coups d'un soir, été trois fois en relation longue, rompu, été plaqué. ☇ niveau de vie ; Moyen. Il s'en sort mieux que ses parents - mécanicien et fleuriste - mais ce n'est pas un élément de comparaison bien valable. Ne lui laissez pas la possibilité de marchander, c'est un coup à y passer des heures. Économe, voire un peu pingre, il cherche toujours à se débrouiller lui-même : réparateur occasionnel, peintre du dimanche, récupérateur de tout type d'objets. Il trouve le prix de beaucoup de choses tout simplement scan-da-leux ( "Neuf livres pour un roman ? Vous voulez la mort de la culture ? "). Hormis les bières. Mais c'est uniquement parce qu'elles sont bon marché, voyons.☇ baguette ; Bois d'aubépine, celui des natures conflictuelles. Contient un cheveu de farfadet, connus pour leur duplicité. Elastique, maniable, précise. Idéale pour les enchantements et les sorts de soin. 28,5 centimètres. ☇ épouvantard ; La ruine de ses parents. Plus jeune, cela prenait la forme d'un papier d'hypothèques, négligemment posé à côté d'une lettre de licenciement provenant de l'usine de son père. Il a surtout peur de les voir mourir, maintenant qu'il peut presque les mettre à l'abri financièrement. ☇ risèd ; Une version de lui-même légèrement plus âgé. Serein. Des vêtements élégants. Un journal annonçant un article sur sa carrière dans le fond de la pièce. Une main se noue amoureusement à ses doigts et veut l'entraîner dans un endroit que le miroir ne montre pas. Il est aimé, serein, suffisamment riche. ☇ patronus ;renard. Pas follement original, mais la protection des siens, la dissimulation, la ruse ... La description lui paraît assez précise. ☇ particularités ; son joli sourire ? ☇ caractéristiques ;Deux tatouages qu'il a fait faire dans le monde moldu quand il avait dix huit ans. Pas sa meilleure idée. Une cicatrice sur le front, une deuxième sur l'épaule, une intéressante tâche de naissance située à un endroit que la décence ne permet pas de nommer. ☇ animaux ; Un corgi. Prince Albert, huit ans d'âge. Tendance à l'embonpoint, Andrew l'emmène aussi fréquemment que possible en balade. Un hibou qui mène sa vie sur son rebord de fenêtre et dans le ciel de Londres. ☇ objets connectés ; Possède un POW et une télévision magique qu'il allume principalement pour les émissions de cuisine ou les documentaires animaliers. Un téléphone moldu, pour envoyer des sms à ses amis. Un lecteur mp3 moldu, indispensable aussi. ☇ déplacement ; Depuis trois ans, il a mis au point un prototype de broomcycle. Cet hybride entre balai et vélo permet de se déplacer aussi bien chez les moldus que chez les sorciers moyennant un peu d'effort physique. Les roues moldus se détachent et sont fixées sur le dos au moyen de quelques sangles, les brins de paille du balai sont dissimulés par une sacoche moldue et un sortilège. Maintenant que le vent tourne, il se verrait tout à fait le commercialiser. Il va juste falloir trouver un modèle de pince à robe de sorcier, si on ne veut pas la voir se prendre dans la roue. Il a passé tous les permis de conduite possibles : son père est mécanicien, ça aurait été une insulte de ne pas s'intéresser à tout ça. La plupart du temps, il prend les transports publics. Moins cher. ☇ MBTI : ESTP/ab> Extraversion (E) ÉnergieIntroversion (I) besoin de contact avec les gens et le monde extérieur pour se régénérer indépendance, observation, besoin de calme et de solitude pour se ressourcerIntuition (N) CompréhensionSensation (S) intuition, plans sur la comète, quête de nouveauté et d'originalité, 6e sens faits concrets, perceptions par les 5 sens principaux, carpe diem mais méthodique et scrupuleuxPensée (T) DécisionsSentiment (F)esprit analytique, raisonnement logique, objectivité, honnêteté, argumentation décisions basées sur les valeurs personnelles, priorité à l’humain, à l'harmonie ; susceptibilitéJugement (J) OrganisationPerception (P) élaboration de plans d'action, ponctualité, décisions souplesse et impro, adaptation à la situation, procrastination ❝ Nothing compares to you ❞Your shadow's still there behind me
Appelez-moi Elo. J'ai 23, je viens de d'Ile-de-france et j'ai connu le forum via Sevde. Mais je le connaissais déjà pour avoir été Jem Moriarty et Ada Travers. Pas facile de s'en passer..
Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. |
☇ Anecdotes & infos ; Ni dieux ni maîtres, Andy ne croit qu'à une chose : le sacro-saint pouvoir de l'argent. Pour se mettre à l'abri et protéger sa famille également. ☼ beaucoup bazar dans son casier à Sainte Mangouste (St Mungo's) : c'est sa deuxième maison. Il y est depuis Poudlard ☼ Il a conscience d'avoir grandi dans un milieu modeste et prend un immense plaisir à s'acheter quand il le peut des objets un peu plus luxueux que l'ordinaire ☼ il se lasse vite, si vite ... boxe, natation, tir à l'arc, course à pied, danse rock. Il a changé très fréquemment de sport depuis l'enfance. ☼ capable de s'endormir n'importe où n'importe quand si on lui laisse dix minutes de silence ☼ adepte des paris débiles lorsqu'il était adolescent, il y a vu une alternative rentable quoi que dangereuse aux petits boulots. ☼ avait rejoint le S.P.E.W. d'Hermione Granger. Son petit côté lutte-des-classes. ☼ envoyé à Serdaigle car il était trop impatient pour être Poufsouffle, trop révolté pour être à Serpentard, trop prudent pour s'afficher parmi les Gryffondor. ☼ mélomane, il a fait longtemps du solfège, parfois en autodidacte et parfois avec un professeur. Comme Dumbledore voyait cela d'un bon oeil, il ne s'est jamais étonné de trouver des instruments à Poudlard. Un peu pour le clavecin et la cornemuse, quand même. ☼ sa meilleure utilisation des cours de solfège reste surtout le chant. Il s'en sert essentiellement ... hm, juste pour draguer. Mais franchement, c'est pas mal. En tout cas, c'est utile. ☼ Il drague beaucoup, du coup. ☼ Il avait totalement pris goût aux soirées comédie musicale avec une de ses ex petites copines, une moldue. Comment les sorciers font-ils pour ignorer Grease ? ☼ Il chantonne souvent quelque chose, qu'il s'agisse d'un air moldu ou sorcier, de musique classique ou de quelque chose de plus contemporain. ☼ Paraît qu'ils pourrait faire de grandes choses s'il s'en donnait la peine, c'est très improbable ☼ Ses professeurs n'ont pas été les seuls à lui reprocher de n'être jamais sérieux. ☼ S'il en a l'occasion, il voudrait bien trouver le grand amour. Mais il met ça juste derrière "trouver une riche héritière pour plus jamais être obligé de travailler". Paraît que les deux sont difficilement compatibles. ☼ Tout comme il a vendu une crème anti-acné & teint de rose pendant ses années Poudlard et après, ou comme ce projet de Broomcycle, il a un nouveau plan pour gagner de l'oseille : ramener la petite Thelma à sa famille, moyennant gallions. Il passera pour un sauveur auprès de la petite (toujours sympa) et empochera des sous pour sa B.A. ☼ Andrew est optimiste. Peut-être parce qu'il se faufile toujours comme une anguille, mais il est convaincu que sa gouaille et sa discrétion à plus grande échelle le tireront toujours du pétrin. ☼ En plus de fricoter actuellement avec Cornelia Rosier qui est ravie de s'afficher avec son petit Dr. Jawline qui la fait passer pour progressiste, Andrew est soupçonné d'avoir couché pour réussir lors de ses débuts à Sainte-Mangouste. Il n'a jamais vraiment démenti. Ce serait humiliant de parler de ses nuits à bosser ses cours et de ses allers-retours pour se faire consoler par ses parents après les examens avant d'emporter assez de tupperwares pour tenir un siège la semaine suivante. ☼ Il a un rythme de sommeil décalé par ses horaires de travail, et très, très, souvent faim ☼ Incapable de se passer de junk food bien longtemps, il se repère dans le Londres sorcier et le Londres moldu selon la proximité d'un bagel ou d'un burger pas loin ☼ abonné aux excitants en tout genre : café, thé, cigarette, on murmure qu'il prend autre chose aussi ☼ son visage prend une palette d'expressions sur demande, il n'a presque plus le sentiment de mentir i ☼ cauchemarde encore l'arrivée des Mangemorts à Sainte Mangouste en 1998. Ils se croyaient à l'abri. Qu'on lui arrache ses patients a été très difficile à accepter. Ils n'étaient pas encore remis ... Il a eu le sentiment de manquer à son devoir, de se trahir. ☼ A soigné tous ceux qui le lui demandaient dans les années suivantes. En leur demandant parfois d'arracher le souvenir de son esprit. ☼ L'exécution du professeur Flitwick en 1999 l'a marqué. S'il rencontre son fantôme ou son portrait, il s'excusera d'avoir un petit imbécile prétentieux ☼ Au pire de la guerre, il a lancé un sortilègede faux souvenirs à son père qui a oublié toute son existence. Sa mère, sorcière de naissance, a refusé. Ils ont repris contact récemment. Il leur envoyait des cartes de Nouvel An signées Doris Willis pour qu'elle sache qu'il était toujours en vie ☼ membre du club de potions et du club de duels de Poudlard, volontaire à l'infirmerie ☼ Guilty pleasure : lancer un sonorus dans son appartement pour mettre la musique à fond et chanter par-dessus ☼ A planqué du fric dans un coin secret de son appartement, au cas où ☼ on le trouve charmant ou insupportable, rarement autre chose ☼ Entre deux petits boulots et l'incruste là où il pouvait obtenir quelque chose, Andrew occupait ses vacances d'été à ... rattraper en partie le programme scolaire moldu. Il trouvait scandaleux de ne rien apprendre du théorème de Pythagore à Poudlard ou de ne pas étudier de romans en cours ☼ Il était aussi persuadé que le monde magique le rejetterai tôt ou tard ☼ Il y a trois couches sédimentaires dans sa bibliothèque. Les livres de magie. Les livres moldus. Les livres moldus qu'il n'assume pas : comme A la croisée des mondes. C'est pas seulement un livre pour enfants, d'accord ? Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Andrew Wyatt le Dim 20 Aoû 2017 - 10:49, édité 22 fois |
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WIZARD • always the first casuality Andrew Wyatt ‹ disponibilité : dès la validation
‹ inscription : 16/08/2017
‹ messages : 27
‹ crédits : avatar : darkdreams.
‹ dialogues : #
‹ âge : 33 ans
‹ occupation : Médicomage, Ste Mangouste. Accepte facilement les extras
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1981/1988
‹ baguette : Bois d'aubépine, celui des natures conflictuelles. Contient un cheveu de farfadet, connus pour leur duplicité. Elastique, maniable, précise. Idéale pour les enchantements et les sorts de soin.
‹ gallions (ʛ) : 2690
‹ réputation : handy andrew - le bon samaritain qui vient soigner qui lui demande sans rechigner, le type qui sait bricoler et réparer à peu près tout ce qui se répare. Sympa ... et terriblement neutre. Il se garde bien de se faire remarquer, traversant les périodes politiques comme un oiseau migrateur passant au-delà des frontières. Jusque-là, cela lui réussit.
‹ particularité : Sa belle gueule.
‹ résidence : Londres sorcier, proche du chaudron baveur.
‹ patronus : Renard
‹ épouvantard : La ruine de ses parents. Plus jeune, cela prenait la forme d'un papier d'hypothèques, négligemment posé à côté d'une lettre de licenciement provenant de l'usine de son père. Il a surtout peur de les voir mourir, maintenant qu'il peut les mettre à l'abri financièrement.
‹ risèd : Une version de lui-même légèrement plus âgé. Serein. Des vêtements élégants. Un journal annonçant un article sur sa carrière dans le fond de la pièce. Une main se noue amoureusement à ses doigts et veut l'entraîner dans un endroit que le miroir ne montre pas. Il est aimé, serein, suffisamment riche.
| The best things in life are free, but you can give them to the birds and bees. I need money.
❝ You're a wizard, Andy ❞1977 & Nord de l'Angleterre moldue « Papa ! On va faire du cerf-volant, dis ? On peut en faire à la lampe torche, tu crois ?» La télévision passe en mode muet, coupant la voix off du narrateur d'un documentaire sur les moeurs inuites. Andrew n'est qu'un gamin de sept ans, mais il comprend assez bien que c'est mauvais signe si son père s'écarte pendant le traditionnel hug de fin de journée, alors qu'il se précipitait vers lui comme d'habitude. Il prend un air étonnamment sceptique pour un enfant de cet âge.« Il faut qu'on parle, Andy. Tous les trois. » « J'ai pas poussé Josh ! Il a glissé seul par ... par un terrible concours de cirtonstances ! » « Voilà qui semble être une histoire très intéressante, jeune homme, mais ce n'est pas la question. On parle de circonstances, au fait. » « Oui, c'est bien ce que j'ai dit. »
*** « Nous allons déménager, Andy. » « L'usine où je travaille va fermer. Ton oncle Charlie a du travail pour moi. Dans le sud de l'Angleterre. » « C'est ... c'est injuste ! Et mes amis ? Et le club de natation ? Le solfège avec Mrs Gripp ? Le club de boxe ... ? » « Justement, nous allons sûrement devoir ... revoir nos dépenses ...choisir entre les activités et ... » « QUOI ? Et la bourse du collège que je pourrais décrocher pour ensuite aller au lycée suivre les cours d'astronomie et devenir astronaute, hein ? » « Je ne pense pas que ça te ferme beaucoup de portes. Tu sais, c'est très difficile de devenir astronaute ... et puis tu es un sorcier. » « Les adultes n'ont pas le droit de mentir. » « Ce n'est pas ... oh, doux Jésus, fais-lui une démonstration. » Le service à thé devient dansant. De frayeur, Andy balance son verre de lait chocolaté - verre inclus - dans l'évier. Un nouveau coup de baguette magique de sa mère efface tasse et débris de verre. Il y a perdu sa tasse Snoopy. Il reste coi. Et un peu triste pour Snoopy. « Tu te souviens quand la télé s'est rallumée pour que tu puisses regarder l'émission sur les lions, le jour de la panne de courant ? Ce n'était qu'une des fois où tu as fait de la magie sans le vouloir. C'est très important que tu apprennes à la contrôler. Tu pourrais nous faire du mal ou te faire du mal sans le vouloir. Mais ce qui est super, c'est que tu vas apprendre à jeter des sorts et plein d'autres choses ! Tu vas étudier l'astronomie, la botanique, les sortilèges ... A Poudlard, c'est une très belle école. J'y suis allée aussi quand j'étais petite. Tu as encore trois ans pour te préparer. Mais nous allons beaucop en parler. Pour te préparer, tu comprends ? » Andrew reste calme. Il quitte la table en reniflant puis éclate en sanglots quand il monte l'escalier conduisant à sa chambre. « Je suis dangereux et je ne deviendrai pas astronaute ! Et je vais perdre mes copains ! »
❝ Had you ever thought about ... ❞1983 & Poudlard « Wyatt, mon petit, asseyez-vous ! Vous permettez que je vous appelle Andrew ? » « Bien sûr, professeur Flitwick. Et si je peux me permettre à mon tour, j'aime beaucoup l'imprimé de la doublure de votre cape. Du pied-de-poule, je crois ? » Le professeur glousse. La pile de livres sur laquelle il est assis bouge un peu. Andrew a pris place sur la chaise de l'autre côté du bureau. C'est un garçon qu'on hésite à qualifier de fluet ou de trapu. Comme tous les adolescents de son âge qui font un peu d'exercice physique sans avoir fini leur croissance. « Mon petit Andrew, votre professeur de soins aux créatures magiques ne tarit pas d'éloges sur vous. Il est ravi de votre implication dans les cours de soins aux créatures magiques. Il a dit que vous aviez, je cite, un don. Et qu'il était merveilleux de voir un jeune garçon déployer autant de sensibilité avec les bêtes. J'ai cru savoir que vous aviez des animaux de compagnie à la maison ? » « Juste un corgi, professeur. » « Qu'est-ce ?» « Un petit chien. Comme ça.» Tirant un carnet de sa cape, Andrew esquisse un museau, des oreilles triangulaires, une silhouette aux courtes pattes. « Oh, comme c'est charmant ! Vous avez un vrai talent pour le dessin, mon petit. Ce qui m'amène à cette histoire de caricature de votre professeur de divination. Ce n'était pas très délicat, hum ? Bon, j'imagine qu'il faut que jeunesse se passe. L'ensemble de vos professeurs et moi-même sommes satisfaits de vos résultats. Vous faites preuve d'inventivité et on m'a dit que vous apportiez beaucoup de bonne humeur dans notre bonne maison de Serdaigle. Toutefois ... Vous êtes dissipé. Un peu trop farceur peut-être. J'ai entendu que vous vous promeniez parfois dans les couloirs. Vous n'abusez pas du fait que vous seriez pressenti comme préfet à la fin des études de notre actuel préfet, j'espère ?» « Je ne me le permettrais pas. Je ne sais pas qui vous a raconté ... » Sa voix flanche. Flitwick s'empresse de lui tendre un mouchoir et de le consoler. Il semble adhérer tout à fait aux quelques mots qu'Andrew rajoute, comme en proie à l'émotion : mensonges. Difficile de s'intégrer. Moitié moldu. « Allons, allons. Et si vous vous rapprochiez de Mme Pomfresh, hum ? Je suis certain que vous avez des aptitudes en médicomagie. Vous feriez un bon aspirant infirmier, elle sera ravie d'avoir de votre aide. Vous participez déjà au club de potions, mais vous aurez suffisamment de temps libre pour travailler comme vous le faites, pas vrai ? Votre professeur d'histoire me charge de vous dire qu'il apprécie vos comparaisons entre histoire moldue et histoire sorcière, qu'il trouve très précises. Hum ? Je vous souhaite une bonne continuation, Andrew. Nous nous reverrons la semaine prochaine. J'attends avec impatience de vous voir réaliser les derniers sorts. » ❝ You're a liar, Andy ❞1984 & petite-ville du sud de l'Angleterre Comme une ombre dans la nuit, la silhouette se glisse hors d'une fenêtre à guillotine d'une banlieue cossue du sud de l'Angleterre. Alerte, preste, elle s'apprête à franchir le portail en ne faisant pas plus de bruit qu'une feuille dans le vent ... Malheureusement, Andrew heurte de plein fouet son père qui faisait des heures supplémentaires et n'a pu rentrer que maintenant. « Andrew ! Je peux savoir où tu te rends à vingt-deux heures ? » « C'est pas ce que tu crois ! Je ... Je vais travailler. » « Travailler ! Tu as quatorze ans ! Je peux savoir où tu vas ? » C'était une pente glissante. Andrew se ratatina sous le regard furieux de son père. « C'est déclaré. J'ai une assurance. Ca se passe dans le centre ville, très sûr. Je vais juste ... He ben. Travailler dans un bar. » « Tu es mineur ! Un tenancier digne de ce nom ne te laissera même pas entrer ! »« Oh, j'ai juste jeté un petit sort pour modifier les chiffres et comme j'ai fait une poussée de croissance, jusque-là ça passe. Puis faut compter que les pourboires sont défiscalisés, ce qui es plutôt pas mal et ...» Il interrompt aussi vite que possible le sermon sur le fait de le cloîtrer jusqu'à la rentrée de Poudlard, l'inconséquence, le tu-conduis-un-vélo-trafiqué-magiquement-en-plus-alors-que-moi-ton-propre-père-je-suis-mécanicien-bravo-belle-utilisation-de-nos-après-midi-modélisme. « Ah mais merde, j'essaie juste de me débrouiller ! J'ai besoin de fric pour Poudlard et pour acheter des livres de soins infirmiers.» « Mais grands dieux, pourquoi veux-tu acheter des livres moldus alors que tu vas devenir sorcier, que tu étudies l'arithmancie et je ne sais pas quoi d'autre encore ! Tu voulais devenir médicomage, y a magicien dedans ou bien ? »« Parce que j'ai terriblement besoin d'un avantage comparatif ! Quand ils sortiront tous de leur réseau consanguin plein de fric et de relations et que moi je serai le seul prolo de la promo, j'aurais enfin un truc qu'ils ne connaissent pas ! Je vais enfin me démarquer ! C'est franchement ma chance ! Et ne me dis pas que vous pouvez vous en charger. J'ai trouvé ... par hasard ... le relevé de comptes et je sais qu'on roule pas sur l'or. Vois-le comme de l'esprit d'entreprise ! Tout de suite, c'est super, non ? Oh, merde, je vais être très en retard. » Il compte sur ses doigts, oubliant que ce n'est pas une grande démonstration de maturité. « Je serai prudent sur la route. Je bois pas avec les clients. Je me méfie des hommes seuls louches. J'vous aime maman et toi ! Bonne nuit ! »
❝ Crazy stupid broke ❞1986 & Poudlard « Tu vas vraiment le faire ? » « Tu me prends pour qui ? J’vais pas cracher sur autant de gallions et me dégonfler. » Faire un truc pour de l’argent, ça rappelle quelque chose qui commence par un p. La conscience d’Andrew s’en accommode plutôt bien. Entre ça ou fournir sa force de travail à un capitaliste, hein. L’argument est un peu facile, mais quand on a seize ans, on peut être très idéaliste. Et avoir terriblement besoin d’argent aussi. « Je prendrais bien un baiser d’encouragement, annonce-t-il en se tournant vers la jolie fille qui s’est retrouvée embarquée dans leur aventure. Non ? Tu ne sais pas ce que tu rates. » Andrew pose soigneusement le pull qu’il portait à même la peau – normalement, ça lui donne l’air un peu sexy. Il ôte également ses chaussures, chaussettes glissées dedans, et son jean. « Tu mentais pas. » Il n’est plus vêtu que d’un maillot de bain. Il fait frais au bord du lac de Poudlard mais il s’efforce de fanfaronner comme si ce n’était qu’un détail lointain. « Je plaisante pas non plus sur les gallions. » « C’était pas sans le maillot ? » « Que dalle. Je fais ça pour le bien des sirènes, pour leur éviter un béguin impossible. Parlant de béguin … Toujours pas pour le baiser ? Tout fout le camp. » A court de réparties, il recueille un peu d’eau dans sa main et se la passe dans le cou. Il a tout lu sur les risques d’hydrocution et décalé son repas exprès. Il prend un peu d’élan, avec l’assurance de ceux qui aiment et savent courir. Son corps fend l’eau avec précision. Il s’enfonce profondément lors de son petit plongeon, presque sans bruit. Toute sa peau se glace, il se sent frissonner sous la force. Qu’il se sent vivant ! Il remonte, adresse un petit signe de main, se laisse tomber en arrière. Il a pris sa respiration et ne revient à la surface qu’en ayant contourné le petit groupe. Il observe les silhouettes penchées vers l’eau, trouvant le temps long et s’inquiétant. Lorsqu’il remonte, il les éclabousse pour faire bonne figure. Ressort triomphant, écartant les bras. « Où sont gallions et récompense ? » badine-t-il en prenant sa serviette. Inutile de leur parler de ce qu’il a vu dans l’eau.
❝ The muggle doctor ❞1991 & Londres moldu« J'suis pas, j'suis pas bon. » Sans remarquer que la précédente n'est pas finie et gît dans le cendrier, Andrew allume une nouvelle cigarette. Son examen est demain, il ne se sent absolument pas prêt. Il jette un oeil à un de ses cours, pris d'un immense doute. « Ah, la truie ! » On lui a donné les mauvaises dates d'invention des sortilèges. Quelqu'un a volontairement truqué ses notes avant de lui passer. Il avait conscience d'être devenu un compétiteur sérieux ces derniers temps dans la course aux meilleures notes de l'internat de Sainte Mangouste, mais à ce point ... Ca le dépasse. « 'vont pas m'emmerder longtemps, les bourgeois. » maugrée-t-il. Dès demain, lui aussi il passe aux blagues méchantes de carabins, attaque la crédibilité des autres devant les profs et tout ce qui va avec. Seule limite, le bien-être des patients. Il maugrée en allant chercher les références dans sa bibliothèque personnelle, composée à grands frais. Lorsqu'il s'accorde une pause, il établit son plan de bataille. Il ne décolère pas et se fait la réflexion c'est un cou à avoir un ulcère, tout ça.
- faire son plus beau sourire aux secrétaires pour être certain d'avoir les bonnes dates et salles des examens. Moyens d'y parvenir : une boîte de chocolats à Noël, un sourire charmeur tout le temps, demander des nouvelles des enfants.
- se placer sous l'ombre d'un tuteur ou d'une tutrice de renom. Moyens d'y parvenir : choisir un sujet hardi auprès d'un professeur qui verra en lui un petit génie. Flatteries. Plan b : coucher pour réussir.
- gagner des places au classement. Moyens d'y parvenir : ne pas négliger sur le matos de révisions. Faire perdre des points aux autres (donner les mauvaises réponses ?).
- faire du réseau. Moyens d'y parvenir : sélectionner les patients ? Aller montrer sa belle gueule aux dîners de charité ? Investir dans un costume bleu sombre et une paire de souliers cognac, en mode élégance-nonchalance.
La fin de la liste le laisse moins dubitatif mais il se sent rassuré par son plan de bataille. Il se fait du café plus sereinement, prêt à passer une nuit blanche. D'ici quelques années, il reprendra une hygiène de vie correcte. ❝ You're still a liar, Andy ❞1996 & Londres moldu « Tu m'as menti, Andrew. » Il se fige dans l'entrée de l'appartement. Sa petite-amie le regarde. Il ne met pas longtemps à s'apercevoir de ses yeux rougis. Qu'est-ce qu'elle sait, au juste ? Andrew pose son vélo dans un coin de l'appartement, jette un oeil à sa tenue. Sa baguette est toujours bien cachée. Il se demande s'il a bien fait d'écouter ses parents qui lui disaient de ne jamais parler de magie avant le mariage. Son père qui lui certifiait que sans mariage et sans échographies de fin de grossesse, il se serait enfui au plus vite. « De quoi tu parles ? »Cette fois, le voilà presque sérieux. « Arrête. Je suis allée à Harley Street. Je voulais t'attendre après le travail ... Ils n'ont jamais entendu parler de toi. » « Ha. » Elle éclate en sanglots. « Alors c'est vrai ?! Sur quoi d'autre est-ce que tu m'as menti, Andrew ? » Il s'approche pour la réconforter mais elle s'éloigne plus loin sur le canapé. Rien ne lui vient, lui qui est d'habitude si prompt à mentir se retrouve complètement largué. Il risque de l'être au sens littéral. « C'est pas ce que tu crois ... » « Tu vas aussi m'avouer que tu n'as jamais été à King's College, c'est ça ? »« Oui, alors, là, comme ça ... je trouve que c'est une présentation un peu à charge de quelques ... » Lorsqu'elle claque la porte, il sait que c'est pour de bon. ❝ Just a regular whopper and onion rings ❞1999 & Londres sorcier Andrew se glisse dans l'arrière-cour du Chaudron Baveur. Il y a des passages plus confidentiels mais celui-ci est très proche de son domicile. L'idéal pour se rendre dans le monde moldu. Le passage se referme derrière-lui. Il tient dans sa main un sac odorant. Ce n'est pas tout ce qu'il a fait de sa soirée, et il n'a qu'une hâte : savourer cette récompense avant un sommeil réparateur. Demain, il travaille d'après-midi et de soirée. A moins qu'on ne l'appelle auparavant. Les heures supplémentaires, ça ne se refuse pas. Ca met de la sauce curry sur les frites. Tandis qu'il cherche son trousseau de clés dans sa poche, il aperçoit trois silhouettes se dirigeant vers lui. Il se fige, sur les gardes. «On peut savoir ce que tu fais-là à cette heure ? » « Moi ? J'ai juste été me chercher un petit quelque chose à manger. Rien de spécial, quoi. » Il se balance négligemment sur ses pieds. A trois heures du matin, il n'en mène pas large mais ne le reconnaîtra pas. Une chance qu'il n'ait pas pris son chien. «De la nourriture moldue ? La nôtre te suffit pas ? »« Ah non mais pas du tout, non, non. En fait, j'vous explique. J'ai fini ma garde ce soir, assez tard. Et même dans le coin, c'est pas facile-facile de trouver un commerce ouvert. J'ai pas d'elfe de maison - trop compliqué en appart. Alors je me suis rabattu sur de la nourriture moldue. J'avais vraiment trop faim, quoi. Ca a été une soirée compliquée ... » «T'as dit que tu travailles où, déjà ?»« Sainte-Mangouste. Aux urgences ... » Il prend un sourire contrit et leur lance un regard qu'il espère éloquent. C'est le moment où ils sont sensés se rendre compte que personne n'a intérêt à casser la gueule à quelqu'un pouvant vous soigner votre propre passage à tabac. « J'vous en propose ? Vous voyez, y a rien de très transcendant. Frite, hamburger, onions rings ... Franchement, ça c'est pas mal, ça vaut le coup d'être testé une fois. Ahlalala, ça sera moins bon si c'est froid, et j'avoue que je commence à être claqué. On fait des gardes hyper-longues ces temps-ci. Vraiment compliqué, je pense qu'on va arriver en sous-effectif et ... » «On s'est pas déjà vu quelque part ? » Andrew hausse les épaules, se recule un peu sous sa capuche et sous le smog. « Je sais pas trop, j'ai pas la mémoire des visages ... Un match de quidditch, peut-être ? Ou un concert ! Ou alors à l'hôpital ? C'est terrible, vraiment pas moyen de me souvenir. C'est comme ça depuis toujours, remarquez. » Un bruit dans une ruelle adjacente. C'est peut-être sa chance. Il reste là, l'innocence même. «C'est bon, tu peux y aller. Bon appétit. » Il les salue et reprend sa route. Quels tocards Dans le doute, Andrew ajoute un détour compliqué pour se rendre chez lui. Il ne reprend son souffle que lorsqu'il a poussé la porte de son appartement et que son chien revient vers lui. Son repas est froid, il peut bien allumer une cigarette.❝ Dr. Jawline ❞2003 & Ste Mangouste « ... Et c'est pour ça que tous les joueurs de Quidditch portent maintenant des protections. La dent n'a jamais été retrouvée, cela dit. Il paraît qu'elle se trouve encore sur les lieux du match. » Andrew marque une pause. Il pose la seringue à côté de lui. Les mains sur les hanches, il prend un air faussement sévère. « Est-ce que ça a fait mal comme, je cite, une morsure de Magyar à pointes ? Je crois pas, non ! » La petite-fille éclate de rire tandis qu'il lui pose délicatement un pansement coloré sur le bras. Sa mère semble rassurée. Au loin, Andrew a l'impression d'entendre le cliquetis caractéristique d'une paire de talons. Ridicule. Ce doit être son esprit. Il continue sa consultation, tout en charme et en professionnalisme : il veut continuer à remplir son carnet d'adresses. S'il dégage une clientèle privée suffisante, il quittera les urgences de Sainte Mangouste. C'est comme une drogue ce service, l'urgence, le stress, la satisfaction d'avoir aidé, mais c'est usant. Le Rosier's disease research trust est aussi un moyen de parvenir à ses fins. « Cela dit, c'était une grosse aiguille, je le reconnais. Mais tu as été très courageuse. Je pense que ta maman sera d'accord avec moi pour dire que tu mérites une dragée surprise. Vas-y, tu peux choisir. Framboise ? Tu as de la chance. Cela dit, j'espère bien que ça ne t'encouragera pas à essayer les jeux d'argent un jour, car c'est très mal. Et que tu vas continuer à bien te brosser les dents, n'est-ce pas ?» Le cliquetis s'intensifie lorsqu'il referme le paquet. Toujours un succès, le coup de la dragée surprise. Il ressent un frémissement d'excitation et tend l'oreille. Si c'est ce qu'il pense ... « Je vous laisse retourner à l'accueil pour les dernières formalités ? On se revoie dans trois mois, jeune fille. » Il n'a pas le temps de reconduire mère et fille à la porte qu'une silhouette sculpturale fait son apparition. Grande blonde aussi sulfureuse qu'élégante. Andrew ne peut s'empêcher de la dévorer des yeux, même s'il aimerait être discret. Il se donne une contenance, serre des mains, s'efface pour laisser sortir son rendez-vous médical puis pour laisser passer Cornelia Rosier. Même s'il se rapproche imperceptiblement pour la frôler. Une fois la porte refermée sur eux, il s'empresse de l'enlacer, l'embrasser. C'est une surprise aussi agréable qu'aguicheuse, il en aurait la tête qui tourne. Pourtant, il a bien envoyé ce message lui disant qu'il était occupé ... Ce que Cornelia ne peut pas avoir, elle le veut. Quelque chose lui dit que c'est parce qu'il est soudain indisponible qu'elle est pressée de le voir. Embrassades, murmures.« Si je veux partir en week-end avec toi dans un hôtel paradisiaque ? Je suis choqué que tu me le demandes seulement ! » La main sur le cœur, théâtral, il affecte d'être blessé avant de redevenir sucre et miel. Lorsqu'elle part, son sourire goguenard disparaît. C'est raté, il aura du mal à lui faire croire qu'il n'est pas quand même un peu beaucoup passionnément attaché. Il envoie les hiboux nécessaires pour préparer son absence. Les consultations suivantes lui paraissent se dérouler bien vite. Il n'est pas totalement satisfait, un vague soupçon de culpabilité ternit la perspective de vacances paradisiaques. Sentiment d'être un traître pour un peu de luxe. Mais qui est-il pour résister à l'attrait d'un hôtel avec piscine ?Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Andrew Wyatt le Lun 21 Aoû 2017 - 14:27, édité 19 fois |
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WIZARD • always the first casuality Even Li ‹ disponibilité : dispo !
‹ inscription : 29/01/2017
‹ messages : 766
‹ crédits : neo venus.
‹ dialogues : sienna.
‹ âge : 18 yo (19.12.85).
‹ occupation : ancien élève de Mahoutokoro, 1er cycle achevé au RU par correspondance (vitmagic). désormais étudiant à la WADA cursus Arts visuels. jobbe en tant qu'animateur au CEPAS en semaine et au dirico express le samedi (club d'art pour une ribambelle de gosses qu'il adore).
‹ scolarité : 1992 à aujourd'hui.
‹ baguette : cerisier, 27cm, écailles de kappa.
‹ gallions (ʛ) : 3647
‹ réputation : party boy, slut assumée, toujours partant pour des hook up sans signification et probablement un brin obsédé par le sexe, sans limite, dork en compagnie de ses potes, skater taré, doué avec les gosses, artiste prometteur.
‹ faits : - personnalité:
steven jiélùn li, dit even • pyrokinésiste • il porte le nom de sa mère, sorcière pangcah (taïwanaise), plutôt que le "Matsuoka" hérité de son père (japonais) • il a 4 soeurs • tyrannisé à l'école, il a fait une tentative de suicide à 13 ans et est encore aujourd'hui terrifié par le vide. • il a un soft spot pour les gosses mal aimés de son club d'art. • sa famille paternelle est propriétaire de Shape the Future (grand groupe spécialisé en technomagie), où sa mère travaille en tant que directrice marketing de la branche brit. son père a délaissé l'entreprise familiale au profit de sa passion pour l'art et est désormais directeur de la Wada. sa soeur aînée est créatrice de mode, la cadette ingémage chez des concurrents, tandis que les deux dernières sont encore aux études.
- vu par le monde:
Even est de ces jeunes qu'aucun adulte ayant une vie stable et un boulot respectable ne prend au sérieux. de ces énergumènes aux fringues déchirées et aux piercings jugés rebutants, évoluant au sein de bandes qui dérangent l'ordre social, qu'on qualifie de punks et que l'on considère comme d'éternels adolescents attardés. on le fixe avec un agacement mêlé de dédain losqu'il déambule dans les rues avec sa planche coincée sous un avant-bras peinturluré, on le blâme lorsque les roues sales souillent les coussins d'un café, on l'accuse de risquer de cogner les passants lorsqu'il slalome à vive allure parmi la foule, on s'exclame qu'il est complètement inconscient quand il perd le contrôle en plein trick et que son board file entre les pattes des pauvres badauds (ou fait un vole-plané dans une vitrine) après l'avoir envoyé heurter une calèche de plein fouet. on dévisage ses membres couturés de cicatrices, d'égratignures ou pire, et ses genoux ouverts, en le traitant de casse-cou infréquentable. il s'en fiche, ces gens là ne comprennent pas la passion, refusent de voir que c'est un mode de vie, un vecteur de culture, un regard sur la ville et l'architecture. c'est une chose qu'on lui reproche aussi, d'ailleurs : de sembler se foutre de tout. héritier de culture fun et d'une contre-culture urbaine devenue street culture, adepte de pratique sauvage, obnubilé par l'esthétique underground, revendicateur d'un idéal libertaire. lorsqu'une girlfriend exigeant plus d'attention ou un rabat-joie critique le prend de haut, il soupire lourdement et réplique irrémédiablement, avec une patience feinte : "you don’t understand, mom. it’s not a phase. this is who I am."
il a toujours un appareil photo, des multiplettes ou un pinceau au bout des doigts • big softie sous ses allures punk • aime être sous les feux des projecteurs lorsqu'il est dans son élément mais devient socially awkward et mal à l'aise avec les gens aussitôt qu'il doute de lui-même. • praise kink • il préfère cependant se tenir derrière la caméra plutôt qu'être mis en avant. • dents de lapin, sourire de bunny. • veut devenir photographe pro. • poste des cover de chant et de danse sur son msn pour satisfaire ses autres passions. • trop d'alcool, trop de sexe, trop d'orviétan, trop de boissons énergisantes. il ne peut pas s'empêcher d'abuser, bien qu'il ait vu sa sœur Lily frôler la mort à cause d'une overdose. • ses potes et lui sont adeptes de bodypainting et font office de toiles humaines les uns pour les autres. • a l'air mort quand il dort. • infoutu de cuisiner, vit de bouffe à emporter et de gras de fast food. • passe un quart de son temps au skatepark, un autre à l'Espresso Patronum, et sèche beaucoup trop les cours pour son bien. • il a un caméléon (kowalski) et mickey et lui ont adopté d'autres animaux, dont un hérisson et un chien.
‹ résidence : vit au Sawl Yard, dans un appart pour deux avec son bff Rhee Min Ki (aka Mickey), rentre chez ses vieux un week-end sur deux environ.
‹ patronus : un kappa, encore une fois. Son animal totem, décidément : très protecteur de son territoire.
‹ épouvantard : ses proches privés de mémoire. Depuis qu'on leur a rendu un Shin tout sauf lui-même, Even s'aperçoit qu'être totalement oublié par quelqu'un qu'on aime est presque aussi terrible que le perdre à jamais... ou peut-être pire.
‹ risèd : quelque chose ayant trait à son paternel, probablement, mais Even préférerait crever plutôt que l'avouer.
| REBIENVENUUUE c'est sympa de te revoir parmi nous ton début s'annonce super prometteur, c'est plein de bonnes idées comme d'hab, hâte de voir ce que tu prévois pour la suite ! si tu veux tu peux nous rejoindre dans le flood et les jeux le temps de faire ta fiche alors te gêne pas, et n'hésite pas non plus à mp le staff en cas de questions bon courage pour la suite |
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WIZARD • always the first casuality Yohan Park | | | | |
WANDLESS • wth is happening Helma Svalidottir |
Dernière édition par Helma Svalidottir le Jeu 17 Aoû 2017 - 1:13, édité 1 fois |
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WIZARD • always the first casuality Andrew Wyatt ‹ disponibilité : dès la validation
‹ inscription : 16/08/2017
‹ messages : 27
‹ crédits : avatar : darkdreams.
‹ dialogues : #
‹ âge : 33 ans
‹ occupation : Médicomage, Ste Mangouste. Accepte facilement les extras
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1981/1988
‹ baguette : Bois d'aubépine, celui des natures conflictuelles. Contient un cheveu de farfadet, connus pour leur duplicité. Elastique, maniable, précise. Idéale pour les enchantements et les sorts de soin.
‹ gallions (ʛ) : 2690
‹ réputation : handy andrew - le bon samaritain qui vient soigner qui lui demande sans rechigner, le type qui sait bricoler et réparer à peu près tout ce qui se répare. Sympa ... et terriblement neutre. Il se garde bien de se faire remarquer, traversant les périodes politiques comme un oiseau migrateur passant au-delà des frontières. Jusque-là, cela lui réussit.
‹ particularité : Sa belle gueule.
‹ résidence : Londres sorcier, proche du chaudron baveur.
‹ patronus : Renard
‹ épouvantard : La ruine de ses parents. Plus jeune, cela prenait la forme d'un papier d'hypothèques, négligemment posé à côté d'une lettre de licenciement provenant de l'usine de son père. Il a surtout peur de les voir mourir, maintenant qu'il peut les mettre à l'abri financièrement.
‹ risèd : Une version de lui-même légèrement plus âgé. Serein. Des vêtements élégants. Un journal annonçant un article sur sa carrière dans le fond de la pièce. Une main se noue amoureusement à ses doigts et veut l'entraîner dans un endroit que le miroir ne montre pas. Il est aimé, serein, suffisamment riche.
| Oh, vous êtes adorables ! Ne t'en fais pas, Helma, je compte bien ne pas te laisser filer ! |
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WANDLESS • wth is happening Helma Svalidottir | | | | |
HERO • we saved the world Neelam Rosier | TOI DE RETOUR, on avait jamais vraiment eu le temps de parler mais je zieutais ton moriarty de loin il me faut un lien cette fois, s'il te plaiiiit bon retour sur exci et bon courage pour la suite de ta fiche avec seb stan tu me prends déjà par les sentiments mais alors dans la peau médicomage un peu fourbe, je signe direct |
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WIZARD • always the first casuality Amara Bataglia | ooooh ! rebienvenue à la maison n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit Si les médicomages sont aussi cute et doux, Amara va aller mettre ses vaccins à jour bon courage pour ta fiche |
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WIZARD • always the first casuality Andrew Wyatt ‹ disponibilité : dès la validation
‹ inscription : 16/08/2017
‹ messages : 27
‹ crédits : avatar : darkdreams.
‹ dialogues : #
‹ âge : 33 ans
‹ occupation : Médicomage, Ste Mangouste. Accepte facilement les extras
‹ maison : Serdaigle
‹ scolarité : 1981/1988
‹ baguette : Bois d'aubépine, celui des natures conflictuelles. Contient un cheveu de farfadet, connus pour leur duplicité. Elastique, maniable, précise. Idéale pour les enchantements et les sorts de soin.
‹ gallions (ʛ) : 2690
‹ réputation : handy andrew - le bon samaritain qui vient soigner qui lui demande sans rechigner, le type qui sait bricoler et réparer à peu près tout ce qui se répare. Sympa ... et terriblement neutre. Il se garde bien de se faire remarquer, traversant les périodes politiques comme un oiseau migrateur passant au-delà des frontières. Jusque-là, cela lui réussit.
‹ particularité : Sa belle gueule.
‹ résidence : Londres sorcier, proche du chaudron baveur.
‹ patronus : Renard
‹ épouvantard : La ruine de ses parents. Plus jeune, cela prenait la forme d'un papier d'hypothèques, négligemment posé à côté d'une lettre de licenciement provenant de l'usine de son père. Il a surtout peur de les voir mourir, maintenant qu'il peut les mettre à l'abri financièrement.
‹ risèd : Une version de lui-même légèrement plus âgé. Serein. Des vêtements élégants. Un journal annonçant un article sur sa carrière dans le fond de la pièce. Une main se noue amoureusement à ses doigts et veut l'entraîner dans un endroit que le miroir ne montre pas. Il est aimé, serein, suffisamment riche.
| Je crois même qu'on avoir un ou deux liens à définir, Neelam ! Merci, Amara ! A force de consulter compulsivement les annexes, je pense m'en être sortie sans aide ! Mais je viendrai te pousser à mettre tes vaccins à jour si je n'ai pas besoin de précisions ! |
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| | | | | Andy - you need some medication | |
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