|
sujet; Daiki ♦ Taking my soul into the masses |
| Daiki Moriyama texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici☇ Avis sur le contexte : Quand Daiki a appris que la guerre était terminée, il a d'abord eu un moment de blanc. Il n'osait y croire. Il pensait encore que c'était un espoir sans fondement ou l'un de ses rêves. Mais quand il s'est avéré que tout était vrai, il n'a pas été soulagé. Enfin si, d'un certain côté mais la grande majorité de lui s'est retrouvé perdu. Qu'allait-il faire maintenant ? Retrouver son ancien job était trop surréaliste après tout ça et pourtant il ne voyait pas faire autrement. Finalement, il a vu un nouveau ministère se mettre en place, à son grand dam. Il avait de grands espoirs mais il a pu se rendre compte au fur et à mesure que la paix à laquelle il aspirait n'allait pas être si simple à atteindre. Il n'a aucune confiance en ce nouveau ministère et a peur de ce qu'ils pourraient faire. Le seul point positif serait cette ouverture au monde moldu. Malgré ses réticences et sa peur des réactions des moldus, il sait qu'ils devaient arriver à ça un jour ou l'autre. Il reste malgré tout sur ses gardes. Quand on voyait comment réagissaient certains sorciers face à des moldus, pourquoi ne pas se dire que l'inverse était possible ? Et puis est venu le moment où les enfants des sang-pur ont été arrachés à leurs familles. Daiki s'est révolté contre ces méthodes. Certes, certains sang-pur devait être punis mais pas ça... Non, pas ça... Daiki avait vu les conséquences de la séparation de Sun de son père, Shin. Aucun enfant ne mérite ça. Le ministère ne comprend pas qu'en punissant ainsi les parents, ils punissent et traumatisent aussi les enfants. Ce choix était mauvais à tout point de vue. En quoi cette décision était-elle différente de celles qu'avaient pris l'ancien gouvernement ? Certes, pas au même niveau mais quand même... Daiki se demande s'il va encore devoir se soulever pour que les choses soient faites de façon juste...
| ❝ We're running in circles again ❞War Heroes; Inventé
☇ nom & surnom(s) ; Son prénom est Daiki mais très souvent, les personnes qu'ils côtoient préfère le nommer Dai. Il n'aime pas particulièrement ce surnom mais ne va pas empêcher quiconque le nommera ainsi. Sa sœur avait pour habitude de l'appeler Ki-chan mais il ne supporte plus ce surnom depuis sa disparition. Moriyama est son nom de famille et, clairement, il ne l'aime pas. Ça lui rappelle trop son père avec qui il ne s'entend pas du tout car il n'a jamais incarné l'image du parfait fils pour lui. ☇ naissance ; Son frère et lui ont vu le jour à Ste Mangouste le 28 octobre 1977 ☇ ascendance & origines ; Daiki est sang-mêlé par sa mère. ☇ métier ; Journaliste. Il a souvent voyagé grâce à son travail et c'est d'ailleurs ce qu'il voulait. Ça lui a permis de partir loin de son père afin de pouvoir être lui-même - ironique quand on sait que son père était lui-même journaliste et qu'il a pu avoir son poste grâce à lui. ☇ camp ; Durant la guerre, Daiki a tout d'abord été belliqueux. Il voulait se battre, ne plus voir des gens innocents mourir comme sa sœur. Puis, quand il a eu la garde de sa nièce, il a décidé de les quitter pour rejoindre les audacieux car il ne voulait pas qu'elle se retrouve mêlée à tout ça. Maintenant que la guerre est finie, il est un peu perdu, ne sachant pas quoi faire. Il s'est toujours battu contre le gouvernement et les injustices. Il cherche un peu de paix mais ne veut pas pour autant abandonner ses convictions. Alors quand le choix s'est présenté à lui à savoir s'il fallait dire toute la vérité aux moldus, il a été réticent. Il est tout à fait ouvert au fait de mélanger leurs coutumes et objets ou technologie mais il ne sait pas comment tout ça va finir. Il a peur que ça engendre plus de merde qu'autre chose. Il a peur des moldus et surtout de leurs réactions. Il se considère donc comme modéré. ☇ réputation ; Daiki est quelqu'un de très apprécié. Il a toujours été très sociable. À Poudlard, c'était le mec qui faisait rire les autres et surtout qui faisait le plus grand nombre de conneries. Ça lui a d'ailleurs valu de nombreuses heures de retenues des professeurs et des regards lourds de la part de son père. Aujourd'hui, il aime toujours faire rire les autres mais il est devenu plus mature et surtout engagé. Il s'est très vite investi dans la guerre et s'est levé contre le gouvernement. Beaucoup le connaissent également comme un reporter et héros de guerre courageux et surtout intrépide. Il est gentil mais peut facilement s'enflammer et aura la rancune tenace. ☇ orientation & état civil ; Daiki est célibataire et il se considère comme pansexuel, peu importe le sexe de la personne qu'il aime ou par qui il est attiré. ☇ rang social ; Même s'il a fait partie des belliqueux pendant un peu plus d'un an, il a vite rejoint les audacieux et est donc considéré comme héros de guerre ☇ baguette ; Sa baguette mesure 27cm et est en bois de lierre. Elle se compose d'un poil de womatou ☇ épouvantard ; Sa sœur morte dans ses bras lors d'un attentat et Shin ne le reconnaissant pas. ☇ risèd ; Honnêtement, Daiki n'a jamais été quelqu'un de très "familial" mais s'il regardait dans le miroir de risèd, il sait ce qu'il y verrait : sa famille. Il verrait sa soeur, Joo-Eun encore vivante, il verrait Shin à nouveau lui-même avec Sun dans ses bras ainsi que sa femme Emi, il verrait Keiji toujours autant insensible aux sentiments environnant et il verrait même son père avec eux. Malgré les différents qu'il a eu avec ce dernier, il sait qu'il aimerait retrouver les repas pleins de joutes verbales mais d'amour qui, aujourd'hui, lui manquent tant... ☇ patronus ; Il prend la forme d'un renard ☇ particularités ; Nope, sauf si on compte le fait qu'il ait un jumeau schizophrène. Plus sérieusement, il est également Maître du feu hérité de la famille de son père. Sa défunte sœur avait également la même affinité et c'est elle qui lui a permis d'accepter tout ça. ☇ caractéristiques ; Daiki possède de nombreuses cicatrices dues à la guerre et aux nombreux reportages qu'il a fait dans le cadre de son métier de journaliste mais rien de vraiment notable, exceptée celle présente du haut de sa clavicule gauche à son pectoral gauche. Il a hérité cette cicatrice après avoir trouvé le cadavre de sa sœur, Joo-Eun, après un combat avec un mangemort. Il possède également un tatouage en haut de la nuque : un arbre qui représente ses racines, représente sa sœur et sa mère, ainsi que toutes les personnes disparues. Il ne montre jamais son tatouage. Peu importe le temps, sa nuque sera toujours couverte et même devant ses frères, il n'ose pas le montrer. Il ne sait pas pourquoi, mais il trouve que c'est un tatouage bien trop... "personnel". Shin l'a vu, quand il est venu avec lui le faire mais plus jamais depuis ce moment-là. ☇ animaux ; Daiki possède un renard, depuis qu'il est jeune. Un jour, alors qu'il se promenait dans les rues de Londres, il a retrouvé un jeune renard blessé par un chien. Il n'a pas hésité un instant et l'a sauvé et soigné au grand dam de son paternel. Celui-ci refusa qu'un animal sauvage vive chez lui. Le jeune homme, déjà en conflit avec son père, fut renforcer dans son idée de garder l'animal à partir de ce moment-là. Ils sont depuis inséparables et il est même rare de voir Daiki sans Kyûbi - nom donné au renard magique au grand désespoir de son frère jumeau, saoûlé. ☇ objets connectés ; ( msn, pocketowl, télévision magique). |
☇ Anecdotes & infos ; ☇ Gryffondor : Le choixpeau n'a pas mis longtemps avant de le répartir dans cette maison. Daiki est courageux et a toujours été borné - son père en témoignera. Il était plutôt du genre à se retrouver dans les mauvais coups, prêt à tout pour faire rire ses camarades et surtout à se faire remarquer. Daiki n'a jamais été un méchant garçon, mais il ne pouvait pas s'empêcher de se foutre dans les emmerdes. Il avait quand même un côté curieux, intéressé, qui aurait pu l'envoyer à serdaigle mais il n'a jamais pris le temps de vraiment étudier par pur esprit de contradiction envers son père qui voulait de braves petits soldats. ☇ Animaux : Malgré son côté, dirons-nous, viril, Daiki a une faiblesse : les animaux. Il a toujours aimé ces braves petites bêtes et s'il le pouvait, il ramenait toutes les créatures blessées qui croisaient son passage. Une fois soignées, il les laissait repartir dans la nature, à l'exception de Kyûbi, son renard magique. Dès qu'il est confronté à un animal, il ne peut pas s'empêcher de gagatiser comme un débile, telle une fan de wand direction ou des little jinx. ☇ Photographie : Daiki a pris la direction du journalisme, naturellement. Malgré ses différents avec son père - lui aussi journaliste- , il a tout de suite pris cette voie mais son premier amour reste la photographie. Il adore fixer un moment, une personne, un sourire au travers de son appareil. Avec la guerre, il a fini par laisser de côté cette passion mais il la reprend doucement, maintenant qu'il est retourné à la "vie civile". ❝ Nothing compares to you ❞Deux mots sur l'IRL Appelez-moi Eyzekielle/Eileen. J'ai 26, je viens de France et j'ai connu le forum via Manon, Marion, Lola et Margot qui sont le mal incarné. Si tout va bien vous me verrez connecté(e) 5 jours sur 7. Pour les scénarii uniquement : j'ai l'aval du créateur concernant ma fiche [] oui / [] non. Approuvé par le Ministère de la Magie
Dernière édition par Daiki Moriyama le Sam 17 Juin 2017 - 22:04, édité 14 fois |
| | | |
| Titre au choix texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici texte ici❝ Why can I be me ?❞1994 & Moriyama's house “Pourquoi ?!” Daiki resta silencieux, la tête basse alors que son père lui hurlait dessus. Il ne voulait pas lui répondre. Leurs relations avaient toujours été chaotiques mais les années n’avaient pas arrangé ça. Il n’avait jamais collé au cliché du parfait fils. Il était plutôt tout le contraire. Il se rebellait, sortait, n’écoutait aucun ordre et surtout - surtout - il n’avait jamais été assez bien pour son père. Ça ne l’avait jamais gêné jusque là - du moins, l’avait-il fait croire à tout le monde et particulièrement à lui-même. Mais là, aujourd’hui, il avait l’impression d’être le pire fils du monde car son père ne s’énervait jamais. Il ne haussait jamais la voix. Il vous regardait, il vous jugeait d’une manière désapprobatrice mais jamais au grand jamais il n’élevait la voix. Daiki pourrait au moins avoué qu’il avait réussi ça dans sa vie : faire sortir son père de ses gonds. Alors il restait là, immobile, sur le canapé tandis que son père faisait les cents pas, défaisant sa cravate et les premiers boutons de son costume. Nobuo était un homme bien. Tout le monde le disait. Toujours propre sur lui, il avait élevé ses enfants d’une main de fer afin qu’ils réussissent leur vie tout en menant sa carrière au plus haut. Mais son plus jeune fils n’était pas comme ça. Il ne l’avait jamais été. Il avait tout de suite été la honte de la famille. Le mouton noir. Le gamin qui ne tenait pas en place, l’adolescent qui ne respectait pas les règles… Et aujourd’hui ne faisait pas exception à la règle. “Je ne comprends pas. Je t’ai bien élevé. Tes frères et ta soeur réussissent, eux.” Plus que le ton accusateur de son père, ce fut la dissociation entre ses frères et sœur et lui qui lui fit mal. Il serra les poings tandis que ses coudes s'appuyaient sur ses genoux. Il ne devait rien dire. Il le savait. Serrer les dents, respirer, s’empêcher de dire quoi que ce soit… Il ne devait pas faire plus de mal qu’il ne l’avait fait. “Tu fais honte à notre famille. Tu fais honte à notre nom, non seulement par ton comportement mais par tes résultats scolaires.” Honte et honneur. Deux mots que Nobuo lui avait tellement répété qu’il était presque sûr que c’était les premiers qu’il avait dû dire étant jeune. Mais Daiki ne s’était jamais fait à tout ça. Il avait un grand respect pour ses origines asiatiques - il avait été élevé dedans - mais il ne s’y était jamais senti à sa place. Il ne s’y retrouvait pas. Peut-être était-ce dû au fait qu’il avait fini par grandir en Angleterre ou qu’il n’avait jamais eu un caractère facile, ou encore parce qu’il ressentait un vide qui n’avait jamais été comblé dû à l’absence de sa mère. Son père soupira avant de finir par garder le silence, face à lui. Daiki releva la tête, plongeant son regard sombre dans le sien. Son visage était crispé dans une expression de déception et de froideur. “Heureusement que ma pauvre Eun Jung n’est pas là. Qu’aurait pensé ta pauvre mère de tout ça ?” Les yeux du jeune homme s’écarquillèrent avant qu’il ne saute sur ses pieds, les poings serrés le long de son corps. “Ne parle pas d’elle.” Son regard se fit aussi froid que celui de Nobuo qui resta immobile à l’observer. Il devait rester calme. Il ne devait pas perdre son calme : ça prouverait à son père ce qu’il pensait de lui. Pendant un instant, Daiki se demanda ce que ça pouvait bien faire. Il pourrait faire tout ce qu’il voulait, ce ne serait jamais assez bien pour son père. Celui-ci poussa un soupir avant de décroiser les bras. Il haussa les épaules et Daiki se retrouva dans ce geste. Comment pouvaient-ils à ce point ne pas s’entendre alors qu’ils se ressemblaient tellement au niveau des mimiques ? “Je ne sais plus quoi faire de toi…” Le cœur du jeune homme se serra. Il aurait voulu être accepté par son père mais ce n’était pas possible, n’est-ce pas ? Daiki serra les poings et les dents et commença à partir du salon. “Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais partir ?” La voix était sèche mais froide. Il était clair qu’il n’avait pas le choix. “Non, père” Il utilisait toujours ce terme pour lui parler. Il ne l’a jamais appeler “papa”. Il se retourna vers ce dernier et plongea son regard si semblable à celui de son vis-à-vis dans le sien. “Tu me répètes tous les jours la même chose mais tu n’as pas compris que je ne suis pas comme Shin. Je ne suis pas lui. ” Il appuya le prénom de son père. Il s’entendait très bien avec son jumeau mais il ne pouvait pas s’empêcher d’avoir une rancoeur envers lui pour être si parfait, pour être comme leur père aimerait qu’il soit. Il ravala les larmes qui menaçaient de couler et tourna le dos à Nobuo. Ses pas s’accélérèrent au fur et à mesure de son avancé alors que le chef de famille hurlait son prénom. Il ne serait jamais comme son frère. Il ne veut pas l’être. Il veut être lui, tout simplement, mais était-ce seulement possible avec son père ?... ❝ I love you like a brother ❞25 Juillet 1998 & Corée Daiki sourit tendrement alors qu’il voit la gêne de son cousin, Yohan. C’est l’anniversaire de ce dernier aujourdhui et, par chance, ça tombe un jour avant qu’ils ne commencent leur pèlerinage dans leurs tribus respectives. Ils sont tous en Corée, réunis, et ça fait du bien au jeune Moriyama. Il ne pensait pas qu’être loin de son père avec ses cousins, cousines et frères et soeurs lui avait tant manqué. Au début, il détestait ces pèlerinages. Il ne s’y sentait pas à sa place. Il avait l’impression qu’avoir ce… pouvoir n’était pas pour lui. Mais sa soeur a changé les choses. Elle lui a permis de s’accepter. Elle lui a permis d’accepter sa condition et, surtout, il s’est rendu compte que c’était une occasion parfaite pour partir un peu de la maison et s’aérer l’esprit. Alors quand il a remarqué que les quelques jours qu’ils passaient en Corée avant d’aller en pèlerinage tombaient le jour de l’anniversaire du jeune homme, il n’a pas hésité un seul instant avant de lui préparer une fête surprise pour lui. Yohan n’a pas l’air dans son assiette ces derniers temps et ça blesse Daiki de le voir aussi renfermé et secret. Depuis tout petit, Daiki s’est pris d’affection pour lui et ne supporte pas de le voir ainsi. Il aimerait pouvoir le confronter et lui demander pourquoi mais il sait que ça ne servirait à rien. Le Park n’est pas du genre à s'épancher, bien au contraire. Ce dernier a toujours un sourire plaqué sur son visage et se refermerait comme une huître s’il n’osait que demander. Daiki pousse un soupir avant de boire à nouveau une gorgée de bière au beurre. Lui non plus ne se sent pas vraiment d’humeur à faire la fête. Il s’est disputé - encore - avec son père avant de partir. Il n’arrive même plus à se souvenir pourquoi mais il voit très bien le regard pleins de reproches de son paternel. Une mèche de cheveux tombe devant ses yeux qui s’illuminent en se souvenant. Il s’est décoloré les cheveux avant de partir. Nobuo a été horrifié de voir ce qu’il avait fait et l’avait presque menacé de lui raser la tête durant son sommeil. Alors qu’il est plongé dans ses pensées, Yohan s’approche de lui, presque timidement avant de le serrer dans ses bras. Le Moriyama est un peu surpris mais il finit par lui rendre son câlin tout en souriant. ”Merci Daiki ! Merci, merci, merci !” Il s’écarte du plus âgé, le visage rayonnant. Ce dernier lui rendit avant de passer sa main dans les cheveux de son vis-à-vis. ”Je suis content que ça te fasse plaisir !” De tous ses cousins, Yohan est sans doute son préféré et il serait prêt à tout pour lui. Il l’a toujours considéré plus comme un petit frère que comme vraiment le fils de sa tante. Naturellement, son regard est attiré par lui quand ils sont dans la même pièce. Il a ce besoin de le protéger et même quand ils étaient tout petit, c’était comme ça. Il pose sa main sur la nuque du plus jeune et lui fait un clin d’oeil. ”J’ai vu que ton ami Mika est aussi là, je me suis dit que ça te ferait plaisir qu’il nous rejoigne.” Yohan tourne son regard un instant vers son ami avant de reporter son attention vers Daiki. ”Ouais, c’est sympa que Mika soit là.” Le plus âgé marque une pause avant de jeter un coup d’oeil vers le Rhee qui discute avec d’autres membres de la famille. Il ne sait pas pourquoi, mais il a l’impression que Yohan lui cache quelque chose. Il ouvre la bouche afin de l’interroger mais le plus jeune sourit avant de partir vivement vers les autres convives. ”Merci encore, Daiki !“ Il observe quelques instants son cousin avant de pencher la tête sur le côté. Il est sûr de louper quelque chose… ~~~~~~~~~~~~ Dans l’obscurité, Daiki a les yeux grands ouverts et les bras croisés derrière sa tête. Il observe le plafond, concentré. Il partage sa chambre avec d’autres membres de sa famille. Le pèlerinage commence demain mais il n’arrive pas à dormir. Depuis la fête d’anniversaire de Yohan, il y a quelque chose qui le titille mais il ne sait pas quoi. Jusqu’à ce soir. Il a passé ces derniers jours à observer son jeune cousin et il a vu Yohan. Il l’a vu observer à la dérobée Mika, juste quelques instants mais assez pour que quelqu’un le remarque en faisant vraiment attention. Il sait reconnaître ce regard. Il l’a assez vu dans les yeux de Shin pour ça. Yohan est amoureux de Mika. Un sourire en coin naît sur les lèvres de Daiki. Il est content et inquiet pour lui en même temps. Il sait qu’ils ne sont pas encore ensemble, c’est clair, mais qui sait ? Peut-être que dans quelques mois ou quelques années, ils le seront ? Le Moriyama se retourne sur le côté, faisant face au mur. Aaaah, l’amour… ❝ Please don't leave me ❞Juillet 1997 & Chemin de Traverse Une attaque. Il y avait eu une attaque sur le chemin de Traverse. Daiki n’avait pu s’empêcher d’avoir une pensée pour Joo-Eun. Allait-elle bien ? Travaillait-elle ce jour-là ? Il sentit son coeur s’accélérer. Il fonça vers le bureau de son chef et entra d’un coup. “Moriyama ? Putain, qu’est-ce qui vous prend ?!” Daiki appuya ses mains sur le bureau et plongea son regard dans celui de ce dernier. “Je dois m’occuper de l’attaque au chemin de Traverse.” L’homme lui jeta un regard, sérieux. “Ce n’est pas vraiment votre secteur.” Le jeune homme se releva avant de passer sa main dans ses cheveux. “Je m’en fiche. Il me faut cette affaire.” Son chef l’observa quelques instants avant de soupirer. “Très bien, allez-y.” Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que déjà, Daiki transplanait vers la boutique où sa soeur travaillait. Il avait l’habitude des champs de batailles. Il s’en occupait depuis qu’il travaillait au journal mais il ne pensait pas voir un jour le chemin de Traverse dans cet état. Il pouvait entendre les gens hurler, crier “pitié” pour que les mangemorts les épargnent. Le chaos régnait et le jeune journaliste sentit son cœur s’accélérer. Où était sa sœur ? Par chance, il esquiva une attaque et se faufila entre les différents sorts pour arriver à la boutique où travaillait Joo-Eun. Arrivé face à la boutique, il pouvait sentir son estomac se tordre. La façade n’était plus qu’un vague souvenir. Il se dirigea d’un pas sûr à l’intérieur. “Joo-Eun ?” Il espérait, il priait pour qu’elle lui réponde. Il ne pouvait pas la perdre, pas elle, jamais. Elle avait toujours été la plus forte de la famille - la seule femme, la seule toujours là pour lui, peu importe ce qu’il se passait. Les sorts et les hurlements continuaient dehors, assourdis par les murs ou ce qu’il en restait. Il s’insinua à travers les gravats et reprit d’une voix plus forte. “Joo-Eun ?!” Il pouvait sentir son cœur battre à ses tempes sous la peur. Sa sœur allait bien. Il le savait. Elle allait forcément bien. Elle ne pouvait pas aller mal. Il se rapprocha un peu plus de l’arrière boutique et entendit la voix faible de la jeune femme. “Daiki… ?” Ce dernier accéléra son pas, ignorant les blessures qu’il récoltait en avançant. Un hurlement lui échappa alors qu’un bout du plafond le toucha à la poitrine. Il poussa un grognement et repoussa d’un sort le gravat qui l’avait touché. Il observa son côté gauche, ensanglanté. “Daiki…” La voix qui s’élevait se fit larmoyante. L’espoir y régnait et le jeune homme se releva, retenant un gémissement de douleur en sentant tout son côté gauche le faire souffrir. Il ne devait pas y penser. Il ne pouvait pas y penser. Sa sœur avait besoin de lui. Il se fit un chemin avant de voir les chaussures de sa sœur - ces foutus chaussures qu’elle l’avait forcé à acheter le jour de son anniversaire. Elle l’avait harcelé des jours pour qu’il lui offre ces chaussures et il avait fini par craquer. Il ne les trouvait même pas belle, ces foutus ballerines imprimés léopards qui lui faisaient lever les yeux au ciel à chaque fois qu’il les voyait. Mais elle avait été si contente en les voyant. Il se souvenait encore de son visage qui s’était illuminé en ouvrant le paquet. Elle l’avait souvent taquiné en l’imaginant acheter ces foutus chaussures et il se contentait de grogner car il ne lui en voulait jamais. Il l’aimait trop pour ça et n’avait jamais regretté quand il avait vu son visage s’illuminer. Il prit une brusque inspiration, espérant - au fond de lui - que ce n’était pas la voix de sa sœur, que ce n’était pas ses chaussures. Il s'avança, doucement mais sûrement. Ça ne pouvait pas être elle. Mais plus il s’approchait, plus la vérité lui éclatait au visage et plus son cœur battait la chamade. Il arriva devant elle et vit son sourire, faible mais bien présent sur son visage. “Joo-Eun !” Il l’attrapa, essayant d’arrêter l’hémorragie au niveau de son estomac. Du sang... Il y avait beaucoup trop de sang. Il rapprocha le corps de la jeune femme, la serrant contre lui afin de la réconforter - ou essayait-il de se réconforter lui-même ?... “Daiki…” Sa sœur eut un sourire alors que lui essayait de retenir les larmes qui lui montaient aux yeux. “Joo-Eun… Tu vas t’en sortir, je vais t’amener à Ste Mangouste et ils vont te soigner. Il vont prendre soin de toi, je te le promets !” Il essaya de transplaner, en vain. Les sorts anti-transplanage avaient dû être installé. Un sanglot lui coupa la respiration. Comment avait-il pu dire ça ? Comment avait-il pu alors que le trou dans le ventre de sa sœur s’agrandissait à vue d’œil et laissait son sang colorer le sol de la boutique ? “Ki-chan… Tu n’as pas besoin de me mentir… Je sais ce qui va se passer… Je vais mour.-” “-STOP !” Il refusait d’écouter sa sœur plus longtemps. Il allait la sauver. Il allait réussir. Il avait été un échec toute sa vie mais pas cette fois. Non, cette fois, il allait réussir. Il la sauverait. Peu importe ce qui lui en coûterait, elle serait toujours là pour le gronder, pour sourire à ses idioties, pour le harceler afin d’avoir les cadeaux qu’elle voulait… Il refusait tout ça. Ce n’était qu’un cauchemar. Il allait se réveiller et retrouver sa sœur, comme tous les matins, dans le petit café qu’ils adoraient et discuter de tout et de rien. Elle n’allait pas mourir. Il prit une respiration et passa l’un de ses bras sous ses genoux afin de la porter. Un hurlement de douleur l’arrêta. Ses mains se posèrent de chaque côté du visage de sa sœur, observant le moindre rictus de douleur de sa part. “Daiki… S’il te plaît, arrête…” Ce dernier la prit contre sa poitrine. “Je vais te sauver. Je vais y arriver, tu vas vivre, Joo-Eun.” Pourquoi voyait-il si mal ? Avait-il été touché durant son expédition pour arriver jusqu’à sa sœur ? La jeune femme eut un sourire attendri et porta l’une de ses mains à son visage et enleva d’un geste du pouce les larmes qui coulaient le long de son visage. “Tu ne peux rien pour moi Ki-chan…” Elle cracha un flot de sang alors qu’elle parlait et Daiki sentit son souffle se couper. D’un geste, il essuya le sang le long de la bouche de sa sœur, laissant les larmes couler le long de ses joues. “Si, je peux te sauver.” Le silence lui répondit alors que la jeune femme souriait, presque sereine. Elle avait toujours été la plus forte de la famille. “Tu te souviens de la comptine que je te chantais quand tu étais triste plus jeune ?” Daiki secoua la tête. Oui, il s’en souvenait mais il ne voulait pas en parler. Car se souvenir de choses comme ça, c’était trop, trop pour lui. Le ton que prenait Joo-Eun annonçait la mort et il ne voulait pas. Un sanglot lui échappa et il posa son front contre celui de la jeune femme. Ce n’était pas le moment pour ça. Il ne voulait pas se souvenir… “Repense à ça, Daiki.” Les larmes coulèrent à nouveau et il serra les dents. Il commença à se balancer, sa sœur toujours dans ses bras. Il ne pouvait pas la perdre. Il n’avait pas connu sa mère et n’avait pas supporté sa perte alors comment pourrait-il pour Joo-Eun ? Un gémissement passa la barrière de ses lèvres alors qu’il continuait de serrer sa soeur dans ses bras. “Quelqu’un va venir, quelqu’un va te sauver, Joo-Eun… Quelqu’un va venir et te sauver, je te le promet.” Elle eut un sourire et caressa sa nuque, comme quand ils étaient petits. “J’ai peur, Ki-chan.” Il ravala le sanglot qui menaçait de sortir et la serra un peu plus contre elle. Il devait le faire. Il devait la laisser partir. Il devait le faire pour elle et non pour lui. Il ne devait pas la faire souffrir inutilement. “Joo-Eun…” Il embrassa son front indéfiniment et ferma les yeux, comme pour garder en tête l’image de sa soeur, heureuse et vivante. “Je suis désolé, j’aurais tellement voulu arriver plus tôt…” Seul le silence lui répondit. Joo-Eun n’était plus. Il ouvrit les yeux et regarda les yeux vides de sa soeur. Il eut un flash des films moldus qu’il avait vu avec elle. Il repensa aux morts qui étaient partis le sourire aux lèvres. Ce n’était pas son cas. Elle était morte, les yeux et la bouche grands ouverts, comme si elle avait été surprise par sa propre mort. Un gémissement échappa à Daiki tandis que la souffrance attaquait son coeur. Il renforça sa prise autour du corps de la jeune femme et la berça, comme si elle était endormie. Il ne pourrait jamais oublier… Jamais oublier le visage de sa sœur dans la mort. Elle était partie. Elle l’avait abandonné et lui se sentait si seul…. ❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam. ❝ Titre de partie au choix ❞Année & Lieu Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam.
Dernière édition par Daiki Moriyama le Lun 19 Juin 2017 - 0:37, édité 7 fois |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Kenna Fitzgibbons ‹ inscription : 16/10/2016
‹ messages : 378
‹ crédits : .CRANBERRY SIGNA BY EXCEPTION.
‹ dialogues : indianred
‹ âge : 26 ANS
‹ occupation : ACTRICE, LANCELOT CENTRAL (intern lysa montez)
‹ maison : POUFSOUFFLE
‹ scolarité : 1988 - 1995.
‹ baguette : VINGT-SIX CENTIMETRES, BOIS DE POIRIER, PLUME D'OISEAU-TONNERRE.
‹ gallions (ʛ) : 3572
‹ réputation : elle apparaîtra dans la prochaine saisons de lancelot central + elle a été l'une des victimes des brainwash pendant la guerre + elle est proche des scamander + elle assume tout, n'a peur de rien + elle est très affectueuse, pleine d'amour et de bonne humeur + elle adore faire des pranks.
‹ faits : elle a grandi dans une famille stable et aimante + était une vraie party girl quand elle était à poudlard, elle en a organisé plus d'une, d'ailleurs + à la sortie de poudlard, elle est devenue assistante puis gouvernante dans un hôtel sorcier + elle a ensuite été employée par newt et tina scamander pendant plusieurs années + pendant la guerre, la plupart de ses proches sont devenus des insurgés, elle a choisi de conserver sa place dans la société pour faire passer des informations et aider à des sabotages, faisant le lien entre la rébellion et la société civile + elle a été capturée par le gouvernement lors d'une mission, et afin de la sauver des sanctions réservées aux insurgés, les scamander ont accepté à contre-coeur le brainwash pour elle, en pensant que c'était le seul moyen de la sauver + elle a vécu un an persuadée que le lord avait la solution à leurs problèmes, et qu'il fallait se débarrasser des insurgés + après la guerre, elle a suivi le programme réservé aux victimes + elle a encore parfois du mal à démêler le vrai du faux, ses faux souvenirs des vrais, et elle commence tout juste à renouer avec ses anciens amis + elle fait encore de violents cauchemars et peut se réveiller complètement désorientée, elle en veut encore aux scamander + kenna a enchaîné les petits jobs, mais vient d'être castée pour la nouvelle saison de lancelot central.
++ kenna a toujours eu un problème d'alcool, plus ou moins violent selon les périodes, mais n'a jamais voulu l'assumer + elle recherche très, très souvent l'affection, et elle a un tableau de chasse à faire pâlir le plus fier des playboys. il n'est pas rare qu'elle ramène quelqu'un chez elle, même si ça s'est calmé ces derniers temps.
‹ résidence : DANS UN APPARTEMENT DU LONDRES SORCIER. ELLE VIT SEULE.
‹ patronus : un chimpanzé.
‹ épouvantard : la solitude.
‹ risèd : avoir quelqu'un qui l'aime vraiment. vraiment, vraiment.
| | | | |
WIZARD • always the first casuality Shin Moriyama ‹ inscription : 31/12/2016
‹ messages : 188
‹ crédits : nelliel.
‹ dialogues : chocolate
‹ âge : 26
‹ occupation : au chômage, pour le moment, il ne sait pas tellement quoi faire de ses dix doigts. Shin était Oubliator, et Nazir Chasseur de Trésors, autant dire que ça n'a rien à voir.
‹ maison : Shin était à Serdaigle et Nazir à Gryffondor.
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : Nazir & Shin ont tous les deux perdu leur baguette, il a fallu leur en trouver une nouvelle : 29cm, taillée dans du saule, contenant une moustache de Tanuki.
‹ gallions (ʛ) : 2946
‹ réputation : on disait de Shin qu'il était intelligent, calme, discret, le genre de mec pas chiant, pas intéressant non plus. De Nazir, on disait que c'était une tête brûlée, un cancre, un type violent parmi les Insurgés, mais efficace. Aujourd'hui, les deux sont un peu morts, alors on en parle beaucoup, mais sans trop savoir quoi dire.
‹ particularité : c'est un Métamorphomage, mais il ne sait plus du tout contrôler son don et le tatouage qu'il a dans le dos l'empêche de l'utiliser correctement. C'est également un Maître de l'Air, qui a tout à réapprendre.
‹ faits : shin s'est marié jeune et a eu une gamine qui a maintenant six ans, Sun - sa femme et sa gosse, c'était tout pour lui - c'était un mec brillant, capable de parler trois langues (anglais, coréen & japonais) très à cheval sur son éducation stricte et rigoureuse, très branché culture asiatique - mais shin a été capturé par le gouvernement en 2001 et est devenu le cobaye du département des mystères - ils ont trafiqué son corps, joué avec son don de métamorphomage, ont fait de lui l'espion ultime - en 2002, il est devenu Nazir Peterson, Insurgé Belliqueux, meilleur ami d'Angelina Johnson - aujourd'hui, il ne sait plus qui il est, Shin ou Nazir, les deux ?
‹ résidence : il vit au Manoir Moriyama, sa famille ne veut pas le laisser tout seul après ce qu'il a vécu.
‹ patronus : informe désormais, autrefois il prenait la forme d'un porc-épic, il paraît que celui de Shin avait la forme d'une tortue géante
‹ épouvantard : un miroir, le plus souvent reflétant les traits de Shin.
‹ risèd : il se voit sous les traits de Nazir, avec Rocket et Doxy.
| LA GUEUSE!!!!!!
edit: MÊME PAS ELLE PRÉVIENT!!!!!! et ma PREMIERE PLACE DE TWIN ELLE EST OU???????
JE!!!! TE!!!!!!! RENIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE!!!!!!!!
edit2: ET JE SUIS PAS!!!!!!!!!!!!! SCHIZO!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
pédé va. |
| | | |
HERO • we saved the world Keiji Moriyama | Voilà la fratrie est au complet maintenant ! On va pouvoir faire du drama en veux-tu en voilà ! Ça va être fun ! Bon courage pour ta fiche ! :3: |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Nao Chang | OMGGGGGGGGGG DAIKIIII HYUNG |
| | | |
HERO • we saved the world June Winchester | LES MORIYAMA AU COMPLET OUIIIIIIIIIIIIIIII Tu connais la chanson, jtm (rebienvenue mon chat) |
| | | |
HERO • we saved the world 'Kid' T. O'Faoláin ‹ disponibilité : dispo as fuck
‹ inscription : 04/09/2015
‹ messages : 2131
‹ crédits : shiranui
‹ dialogues : 'firebrick' / #B22222
‹ âge : 25
‹ occupation : chasseur de prime, ancien rafleur du gouvernement devenu insurgé contre son gré et aujourd'hui occupé à traquer des criminels de guerre.
‹ maison : Gryffondor
‹ scolarité : 1989 et 1996.
‹ baguette : est en aubépine et contient un cheveu de vélane.
‹ gallions (ʛ) : 5968
‹ réputation : j'étais un chien fou dont il fallait se méfier mais que j'ai trouvé ma place, trouvé des gens avec qui travailler, avec qui être utile.
‹ particularité : particulièrement doué pour m'attirer des ennuis.
‹ faits : je suis sarcastique et insolent, que je démarre au quart de tour, que j'ai tendance à utiliser mes poings plutôt que ma baguette... mais il faut aussi savoir que je suis extrêmement loyal et qu'en dépit de ma tête brûlée, je ne laisse personne derrière.
‹ résidence : Après l'asile des aliénés, la planque des terroristes belliqueux et Poudlard, je suis de retour dans un appartement pas très reluisant du chemin de Traverse que j'occupe avec ma petit soeur Darcy, Blaise & Wendy.
‹ patronus : un rottweiler
‹ épouvantard : un fantôme.
‹ risèd : quelqu'un qui râle d'avoir été réveillée, perdue dans les draps défaits d'un lit baigné de soleil, un dimanche matin. Quelqu'un qui râle parce que "merde, pourquoi tu dois bosser le dimanche ? Putain ils se pensent tout permis ces aurors".
| ils sont lààà |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Mika Rhee ‹ inscription : 30/05/2017
‹ messages : 222
‹ crédits : moony (avatar) et uc (signature)
‹ dialogues : cornflowerblue
‹ âge : vingt-et-un ans. (08/04/1983)
‹ occupation : Il a failli être guérisseur. Il a suivi la formation pendant un moment avant de rencontrer Blue. Il n'a pas été franchement emballé par ce métier, mais il a bien fallue faire quelque chose de sa vie et quand il a vu à quel point ses parents s'en donnaient à cœur joie pour critiquer ses autres frères, il n'a pas voulu faire dans la fantaisie et a lâché vouloir devenir guérisseur parce qu'apparemment ça rapporte bien. Puis il a perdu Blue et il a décidé de raccrocher sa blouse pour reprendre le chemin des cours. Aujourd'hui, il est en 2e année en arts visuels au WADA et il s'y plaît totalement. L'Art (oui avec un grand A) a toujours fasciné et passionné Mika. Il a toujours griffonné dans un coin de parchemin et son coup de crayon s'est affiné en suivant ses cours pour devenir guérisseur. Il a pu s'entraîner à dessiner les corps et les visages et il s'est amélioré comme ça. Il commence à avoir une pile de cahier de croquis dans sa chambre. Il laisse rarement les personnes regarder parce que pour la plupart ce sont des représentations plus ou moins évidentes de Blue.
‹ maison : poufsouffle
‹ scolarité : uc.
‹ baguette : Sa baguette ne l'a jamais quitté et il en prend grandement soin. Elle est en bois de charme, elle contient une épine de monstre du fleuve blanc et mesure vingt-six centimètres.
‹ gallions (ʛ) : 2914
‹ réputation : Mika fait partie des populaires aussi bien sur MSN et dans son école. Il est toujours souriant, enjoué et glisse toujours une bonne blague dès qu'il en a l'occasion. On apprécie toujours la compagnie de Mika parce qu'il rayonne quand il est entouré par les autres. Pourtant, à côté de ça, il reste assez énigmatique comme garçon. Les étudiants qui sont avec lui ne comprennent pas pourquoi son art reflète autant de mélancolie et de tristesse. Dès qu'il est face à sa toile et concentré, ils découvrent un nouveau Mika plus sombre et triste. Chaque tableau a une âme, un visage lointain ou proche d'une fille aux traits doux avec des yeux bleus fantastiques. Et c'est dans ses yeux-là que Mika fait passer toutes les émotions possibles. Mika quand il travaille sur ses croquis devient brusquement silencieux et triture l'anneau qu'il porte sur un collier. Il attise la curiosité, beaucoup cherchent à savoir qui est réellement Mika Rhee et c'est un peu ça, aussi, qui fait qu'il est populaire.
‹ résidence : en colocation avec Even Li.
‹ patronus : Il n'a pas appris à en faire un.
‹ épouvantard : Imaginer le corps en décomposition de Blue dans son cercueil. Cette vision lui procure des angoisses énormes surtout quand il repense au visage souriant de la jeune fille et de la chaleur qui se dégageait de son sourire. C'est horrible, pour lui, de se dire qu'il ne va plus jamais voir ça et d'imaginer une chose pareille à la place.
‹ risèd : Blue en vie. Blue guérie. Blue et lui heureux. Blue qui ouvre son refuge animalier. Blue. Blue. Blue partout, vivante, souriante, heureuse et avec des joues bien roses. Blue et toujours Blue.
| Hé you besoin d'un délai pour ton bonhomme ? |
| | |
|
|