|
sujet; (M/FAMILY) Andrew Lincoln + In the beginning, we reveled in our unholiness |
| Eckart P.² Grimaldi feat Andrew Lincoln • crédit Shiya | • surnom(s) ; Au choix, en fait tout son prénom est libre. • naissance ; En 1962, date au choix. • ascendance; Sang-pur. • camp ; Gouvernement. • réputation ; Homme cruel, homme entêté, on le dit particulièrement doué pour « dompter » les rebuts et ne pas craindre de les tuer dans le processus. On le dit méticuleux, on le dit sadique, mais on le connait aussi particulièrement protecteur envers ses filles et légèrement paranoïaque. Ceux le connaissant mieux le diront totalement parano et brisé, malheureusement pour tout le monde, il le vit plutôt bien. • état civil ; Veuf depuis plusieurs années déjà. (Mais possibilité de lui trouver une fiancée ou qu'il vive d'autres histoires.) • rang social ; Mangemort ou Racheté à vous de voir. Personnellement je le vois davantage comme un mangemort, de par son éducation, mais aussi pour le côté pratique de la chose. Et puis, s'il n'en est pas un, je le vois assez bien le devenir plus tard. • épouvantard ; Au choix. • risèd ; Au choix. • caractéristiques ; À vous de voir. • particularités ; À vous de voir, mais je ne lui en voyais aucune personnellement. • objets ; À vous de voir. • caractère ; Cruel, Minutieux, Paranoïaque, Acharné, Froid, Protecteur, Violent, Réfléchis, Méfiant, Confiant, Entêté, Fier, Borné, Attentif, Sans pitié, Créatif. |
• À 16 ans, on l'a fiancé à une sang-pur, malheureusement, il est tombé amoureux d'une cousine de la jeune femme : Niahm. Plus âgé que lui de 5 ans, elle n'avait pas le sang suffisamment pur, mais sa peau chocolaté valait tout le sang du monde. Pour la première fois de sa vie, il a préféré suivre son coeur, une première, bien entendu. Aussi bien dire que la jeune femme lui a totalement fait tourner la tête, certains prétendent même qu'elle lui aurait jeté des sorts, que de la magie noir serait mêlé a l'histoire. Lui n'y a jamais cru, trop fier et puis, trop certain de l'avoir toujours aimé. Elle était sienne, tout simplement. • Il est devenu père à 18 ans, bien malgré lui et si ça n'a pas été facile, avec le rejet de sa famille et la charge d'un poupon, il a sut faire face. Il n'a jamais regretté la venue au monde de sa première fille, ni de la seconde et encore moins son choix d'avoir pris Niahm comme femme. Peu importe si la société sorcière a alors redressé le nez sur ses choix, cela n'aura finalement servit qu'à le rapprocher de sa famille, faisant de ses filles des joyaux à protéger. • Lors de la bataille à Poudlard, il c'est retrouvé à combattre sa femme, qui avait pris le partit opposé. Il n'a jamais su l'accepter et refuse encore aujourd'hui de voir la réalité en face. Il raconte que Niahm se battait à ses côtés, qu'elle est tombé sous la baguette d'un insurgé, pourtant c'est faux. C'est lui qui l'a tué, lui qui a mis fin à sa folie. Si elle ne pouvait pas être avec lui, elle ne pouvait pas vivre contre lui. (Il raconte à ses filles la même histoire, mais sa cadette, Dulcinea, se rappelle relativement bien la position que sa mère tenait dans la bataille, même s'il a tout fait pour dissimuler la mère à ses enfants.) • À quelque part, c'est un homme brisé. Il a fait de mauvais choix, en mariant une femme inférieure à son rang, en tuant l'amour de sa vie par honneur, en désirant regagner du pouvoir au sein d'une société malade, encore incapable de l'accepter entièrement, lui et ses choix. • Il est devenu paranoïaque avec la naissance de ses enfants, craignant qu'on les ridiculise de par leur sang, faisant d'elle des filles capable de se défendre, faisant d'elle des prédateurs et pas des proies. Puis Voldemort a gagné et il a resserré les liens encore une fois, cherchant à protéger sa famille coûte que coûte, de tout ce qui serait leur ennemi : le reste du monde. • Quand la mode des rebuts à été lancé, il a été l'un des premiers intéressés. Ayant hérité d'une partie de l'héritage familial, un cadeau de sa mère, son père l'ayant tout bonnement rejeté, il c'est fait le plaisir de s'offrir un premier esclave : un auror. C'est le « dressage » de ce dernier qui a redoré son blason, qui lui a permis de revenir dans la société, ayant fait d'un auror, un chien docile. Encore aujourd'hui, "Daft" le suis partout. Il est la preuve vivante que papa Grimaldi à un talent certain dans la torture.• Certains racontent que c'est la mort de sa femme qui lui a fait péter un plomb et si on le respect pour son taux de réussite en dressage de rebut récalcitrant, on s'en méfie aussi. Il n'est plus le même depuis la mort de Niahm, il guette ses filles, on entend parfois des cris depuis sa maison, relativement isolée à Pré-au-Lard. On oscille entre s'en faire un allié ou le fuir à tout prix. • Il a pour habitude de rebaptiser ses rebuts avec des noms humiliants, comme "Daft" qui signifie stupide. Il aime voler l'identité « humaine » à ses rebuts, faire d'eux des sous-entités. Il est très imaginatif, ne se limite pas aux sévices physiques et s'assure de devenir un dieu à leurs yeux. Et les pertes ? Il n'y a jamais de perte, que des âmes pas suffisamment fortes pour encaisser ses opérations. Parce que non, il n'a jamais « tué » physiquement aucun de ses rebuts, seulement quelques uns sont devenus fous. Brisé à jamais, incapable de s'incliner devant lui, incapable de fonctionner. C'est là le prix à payer quand on est faible de nature. Dulcinea E. Grimaldi • Ashley Moore | Petite fille capricieuse, elle est sa cadette et celle ressemblant le plus à sa mère, que ce soit à travers son caractère ou son physique. Entêtée, elle n'en reste pas moins impulsive, une véritable petite lionne qu'il essai de tempérer autant que possible. Il connait pourtant bien sa fille, il sait qu'elle lui dissimule des choses et n'hésite jamais à envoyer Daft la surveiller, la suivre, pour en avoir le coeur net. Si elle est plus difficile à gérer que son ainée, si elle ne sait pas réfléchir aussi rapidement que lui, elle aura au moins hérité de son sadisme, une qualité qu'il apprécie de plus en plus chez elle. Là où son ainée n'aime pas se salir les mains, Cinea n'a jamais eu peur de se barbouiller le visage de sang, à son plus grand plaisir. Bien entendu, il la considère encore comme maladroite, parce que lui n'a encore jamais tué un rebut par accident, mais il excuse son emportement par sa jeunesse.
Du reste, il aimerait qu'elle change de métier, le théâtre est une belle connerie à ses yeux, mais il lui donne un peu de temps, il espère qu'elle réalisera d'elle-même sa bêtise en somme. Quant à ses jeux avec le sexe opposé, à ses moeurs légères, il ne les supportent pas et les quelques fois où il a découvert sa fille dans des situations délicates, il n'a pas hésité à la corriger. Fort. Assez pour qu'elle fasse maintenant tout pour échapper à son radar, tout pour éviter de souffrir encore des coups de son père. Autant dire que s'il veille sur ses filles, il se veut tout autant sans pitié avec elles quand elles se font indisciplinées. Puis il y a le statut de louve-garou de Cinea, une honte qu'elle traine avec elle, un obstacle à sa réussite, à sa vie. Des deux, il est celui acceptant le mieux la situation, tentant d'aider sa fille au maximum, ayant tout autant soif de vengeance qu'elle, face à son créateur. C'est d'ailleurs lui qui a tout fait pour le coincer, pour en faire un jouet à sa petite fille. |
S. "Chav" Paternoster • Sid Ellisdon Ennemi à abattre, Samwell n'est à ses yeux qu'une nuisance : un parasite. Déjà, il trouvait ses tentatives pour attirer l'attention de sa fille, à Poudlard, pathétique, mais il fallait que ce petit avorton touche Dulcinea, qu'il fasse d'elle un monstre. Or, s'il accepte relativement bien que sa fille cadette se transforme en bête sanguinaire lors des pleines lunes, il n'a aucune pitié envers le jeune homme, qu'il considère comme un animal. D'ailleurs, son premier projet concernant Samwell consistait à le tuer, mais ça aurait été trop doux, trop clément. Il a donc influencer sa fille pour qu'elle l'aide à le coincer, il a aiguisé la vengeance vivant en elle, en a fait une arme tranchante.
Depuis, même si sa fortune commence à manquer, que ses économies sont dilapidés pour la plupart. En rebut, en fortification, en potion, tout pour se protéger, lui et ses deux enfants, il n'a pas hésité a offrir Samwell à Dulcinea. Il l'a encouragé à lui offrir un nouveau prénom, à lui faire du mal, à se venger, à l'affaiblir, à en faire un animal de compagnie. Quant aux doutes de sa fille, à ses regards parfois enflammé qu'elle jette au rebut, ils sont tous inacceptables et inconvenants. Il n'a pas encore pris conscience que la destinée de sa fille était étroitement liée à celle du loup-garou, que la mort de ce dernier entrainerait probablement celle de sa cadette. | |
Prénom P.² Nom • célébrité | Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. |
Prénom P.² Nom • célébrité Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia. | |
Dernière édition par Dulcinea E. Grimaldi le Lun 17 Nov 2014 - 5:52, édité 2 fois |
| | | |
| My Church offers no absolutes I was born sick but I love it. Command me to be well, Amen. Tout d'abord, merci d'avoir lu le scénario de papa Grimaldi jusqu'au bout ! Peu importe ton intérêt ou ta décision, je suis comblée ! AHEM, sinon, comme tu as pu le voir plus haut, je ne me suis pas penché sur tous les détails concernant sa personne. J'aimerais qu'il soit facile à s'approprier, aussi les grandes lignes de son histoire sont assez négociable. • Histoire ; En fait, les seules obligations (et encore, je suis certaine qu'on peut retoucher les détails si jamais quelque chose ne te va pas) sont les bouts que j'ai mis en gras. [ Soit l'union avec maman + qu'elle soit plus âgée, qu'il l'ai tué sur le champ de bataille, son intérêt pour martyriser les gens + son rebut Daft, qu'il ait aidé Dulcinea à coincer son rebut. ] Bref, presque tout est retouchable dans son histoire, je suis quelqu'un d'ouvert d'esprit et je serais déjà TROP contente de retrouver papa sur le forum !!! • Avatar ; J'adore Andrew, je trouve qu'il a la gueule parfaite pour jouer un maniaque sachant aimer et torturer. Mais je peux aussi proposer Alexander Skarsgård ou Joe Manganiello, qui ont tous les deux un look que je vois très bien pour papa Grimaldi. Bref, si vous avez envie d'autre chose, n'hésitez pas ! • Âge ; Non négociable, parce que voilà, je veux que papa ait été plus jeune, qu'il ait eu le poids d'être père jeune. Donc désolé, il a obligatoirement 39 ans. • Tout ce qui n'a pas été décrit plus haut ; Est bien entendu au choix, y compris ses prénoms (j'ai mis Eckart par défaut, mais je n'y tiens pas vraiment) et puis le groupe, ses particularités et j'en passe. Si vous avez besoin d'aide, ce sera avec grand plaisir, mais sinon, allez-y, il est à vous ! Quant au métier, je le vois être en rapport avec les rebuts, leur traque, leur classement, etc. Bref, un métier lui permettant de faire preuve d'imagination, le poussant plus loin dans son vice en quelque sorte. Après, si vous n'êtes pas intéressé, il y a toujours moyen de s'arranger. • Autres détails ; J'ai inscris papa Grimaldi dans un comité d'évènement, avec d'autres adultes de bonne réputation, afin de participer à la vie sociale sorcière. Il a ainsi été lié à l'event d'halloween et a gérer les rebuts avec d'autres sorciers. C'est à tenir en compte. :3: Voili voilà, j'ai terminé et puis si tu as encore des questions, envie de quelque chose de plus, n'hésite SURTOUT PAS à venir me voir. (Ou à me mpotter sur mon premier compte : Susanna P. Carrow. Du reste, merci encore et j'espère que tu deviendras mon papa ! |
| | | |
WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9003
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| | | | |
| | | | | (M/FAMILY) Andrew Lincoln + In the beginning, we reveled in our unholiness | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
|
|
|