Je remonte ça en ZA et on te donne une réponse au plus vite

Lasya Cray ; Demi-Vélane & Don de guérison.
Motivation ; Intérêt de cette particularité, est-elle essentielle pour votre personnage ?

Ce n’est pas seulement essentielle pour Lasya cette particularité, c’est ce qu’elle est réellement. Bien au-delà d’être une sorcière, Lasya est une demi Vélane qui tient son don de guérison par sa mère. C’est une partie d’elle qu’elle tend toujours à maitriser et qu’elle chérit plus que tout au monde. Cette particularité est à la fois une bénédiction est une malédiction. Mal utilisée entre les mains d’un père vénale (et pas Vélane #OnNoteraLaVanneDeMerde) sa particularité est aussi, et malheureusement, la seule chose qui la relie à sa mère.

Elle se forge son caractère autour de cette idée. Elle espère un jour ne plus avoir à subir la pression de son père. Elle sait qu’à trop pousser son don elle peut en mourir et tente par tous les moyens de se ménager mais c’est plus fort qu’elle … Lasya a été élevé avec la simple idée qu’elle était une femme objet qui doit être prête à tout pour guérir son prochain. Alors elle se jette corps et âme dans cette tâche qu’on lui incombe.

Elle est douée dans ce qu’elle fait, elle n’est peut-être pas la meilleure mais elle se démarque très largement dans son domaine. Sa beauté rassure et ses sourires réchauffent les cœurs abimés. Elle prend soin de ses mains qu’elle juge être son outil principal. Lasya n’est pas seulement d’ôté d’un don de guérison, elle EST ce don. Sa particularité est à ses yeux, sa principale raison de vivre.
Maîtrise ; A quel point votre personnage contrôle-t-il sa particularité ?

Plutôt bien ! Descendante d’une famille de médicomages renommés, elle baigne dans cet univers depuis sa plus tendre enfance. Elle a été instrumentalisée dès toute petite pour servir son don. Quand il est arrivé, au-delà de sa particularité de Vélane elle semblait déjà prête à le maitriser. Elle est même vivement poussée à bout par son père qui la fait lourdement travailler pour lui pour qu’elle puisse s’améliorer de jour en jour. Elle est toutefois de plus en fatigué ces derniers jours et montre quelques signes de fatigues … Elle a fait dernièrement plusieurs malaises qui n’arrêtent pourtant pas son père. Elle doit être parfaite et la meilleure. Il serait inadmissible qu’un Cray manque à sa tâche.

MERCI DAVANCE LES AMOURS ♥

je te remonte bb

@Saoirse Morane & @Lasya Cray ► c'est bon pour vous deux
( Saoirse, j'arrive en mp pour une petite précision )

@Hazaël Byun c'est ok pour nous, merci pour les modifications

Lavande Brown ; Semi-loup
Motivation ;  Outre le fait que ce soit un point du PV, je pense que le fait que Lavande soit devenue à moitié lycan fait tout le personnage.

J'aimerais beaucoup travailler sur le fait que la demoiselle, même si elle a échappé aux transformations noctures, soit complètement dans le déni de sa nouvelle identité. enfin déni, c'est un grand mot mais qu'elle refoule tout ce qu'elle ressent par rapport à ça et qu'elle n'arrive pas du tout à accepter qui elle est, qu'elle essaie de faire comme si rien n'avait changé. Si Lavande était auparavant une fille très aimable, très aimante, elle est devenue vraiment difficile à cerner et à dompter. Elle refoule complètement ses excès de colère sauf qu'à force de refouler cette nouvelle nature (que cela soit sa hargne ou cette force accrue que la malédiction lui a procuré), les idées sombres ne font que s'amplifier et au fur et à mesure, elle a tendance à s'éloigner des gens qu'elle aime pour éviter de les blesser. J'aime cette idée qu'elle puisse se renfermer un peu sur elle-même alors que c'est vraiment une femme joyeuse et bavarde, pour la simple et bonne raison qu'elle pense que si elle se met de côté, elle arrivera à nier plus facilement qui elle est désormais et à se la jouer comme la bonne vieille Lavande qu'elle était.

Elle déteste cette violence qui sommeille entre elle, et a même honte de voir ce qu'elle est devenu à cause du loup-garou. Même si elle a échappé au pire, elle considère cette nouvelle partie d'elle-même comme une tare, selon elle, toutes les capacités que lui procure sa semi-lycanthropie sont vraiment des inconvénients. Elle déteste ça. Surtout qu'en plus de ça, manger de la viande la dégoûte, elle qui est une ancienne végétarienne. C'est donc en plus une double tare, elle a honte de qui elle est, elle a l'impression de rompre avec qui elle était au fur et à mesure, de ne plus correspondre aux valeurs et aux principes qu'on lui a véhiculé étant plus jeune. Elle a besoin d'aide mais préfère dire le contraire.

Maîtrise ; Lavande ne maitrise absolument pas sa nouvelle particularité. Pour cause, plus elle renie cette particularité, plus ça revient à la charge. Comme on dit, chasser le naturel il revient au galop. En effet, à force de tout refouler, de tout garder pour elle et ne pas laisser les gens qu'elle aime l'aider, cette violence, cette hargne est de plus en plus imposante, ce qui la rendrait presque folle. Sans parler de cette envie de viande qui lui est insupportable. Le plus simple pour elle serait d'accepter qui elle est, mais c'est tout simplement hors de question.

J'ai un peu réuni toutes mes idées donc j'espère que ça ne sera pas trop incompréhensible et que vous comprendrez ce que j'essaie de dire par rapport à Lavande et sa relation avec sa semi-lycanthropie. Si y'a un sushi, hésitez pas parce que je vous dis c'est peut-être incompréhensible. moi je me comprends mais bon je sors d'une grosse journée de travail merci d'avance

je te remoooonte on revient vers toi au plus vite

@Lavande Brown c'est bon pour nous, tu peux y aller

merci

Susan Dillinger : DON DE GUÉRISON (SOIGNEUSE).

Motivation :
De ceux que l’on appelle les soigneurs, Susan est détentrice d’un don de guérison. Innée et découverte un peu « par hasard » durant son enfance, cette particularité fait sans nul doute partie d’elle-même. Peut-être s’agit-il même de cette petite lumière guide au travers des brouillards de l’avenir facilitant ses choix et motivant son investissement scolaire. Quoi qu’il en soit, plus qu’une particularité, c’est un véritable talent qui fait pleinement partie de la Médicomage au jour d’aujourd’hui. Souvent employé en complément à sa pratique de la médecine magique, il n’en est pas moins gardé secret. Presque trop protégé et plus utile que jamais dans la lutte contre le Mage noir, il n’est néanmoins qu’une rumeur qui court, circule et se chuchote de lèvres en lèvres.
Initialement Guérisseuse au sein du service de Pathologies des Sortilèges de l’hôpital de Sainte Mangouste, puis Guérisseuse en Chef du même service et finalement Guérisseuse en titre des Insurgés, ce don l’a toujours accompagnée. Aujourd’hui encore, il est son plus fidèle atout et la pousse à donner le meilleur d’elle-même. Influençant jusque sa personnalité, c’est très certainement ce qui fait d’elle cette Directrice adjointe des Soins de Sainte Mangouste calme, patiente et douce.


Maîtrise :
L’absorption du mal, plus ou moins intense, parfois bénédiction et fréquemment maléfice des sorciers trop zélés. Parce que chaque talent, chaque capacité et chaque particularité à ses limites. Celle-ci y compris. Susan ne peu aller au-delà de ses propres moyens, ce qui a été et est encore un réel problème pour la Guérisseuse avide et désireuse de porter secours aux nécessiteux les plus souffrants. À tour de bras, de caresses et paroles enchanteresses, elle troque la guérison d’autrui contre sa propre énergie magique et à chaque utilisation trop poussée de ce don c’est son propre corps qui menace de céder, épuisé de toutes forces vitales. Ainsi, Sue est incapable de guérir les blessures mortelles, les maladies incurables et trop avancées sans risquer d’y laisser sa propre vie. Une leçon apprise à ses dépends et encore trop sous-estimée.
Souvenir de ces dites limites, elle a la colonne vertébrale parcourue d’une longue et pâle cicatrice. L’héritage d’une « aspiration » entêtée et irréfléchie de la plus atroce des blessures qui lui ai alors été donné de voir. C’est, sentimentale et plus déterminée que jamais, qu’elle a poussé son corps au delà de ses limites, dans ses retranchements les plus profonds. Pleine de l’espoir un peu naïf qu’elle parviendrait à sauver une vie supplémentaire, cette vie, avant de ne faire face à la triste réalité. Endeuillée, la convalescence en fût d’autant plus rude et douloureuse – que la leçon amère.

Spoiler: