• nom complet ; Elias Rosier. Difficile héritier déchu d'une couronne d'épines pourrissante au dessus de son crâne qui lui semblait acquise, accompagné d'une pérennité familiale à soutenir parmi les vingt-huit. Ce besoin avide de gratter la ternissure incrustée sur les pétales fanées d'une lignée à des lieux de sa splendeur d'antan. Un titre et des obligations attenantes qui furent submergés par l'opprobre et la disgrâce suite à son affront, sa trahison sans nom.  Ses épaules aujourd'hui libérées font place à ses poignets entravés par des forces transparentes, ses deux nouvelles maîtresses, servitude&soumission.  

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• surnom(s) ; Il le transpire de tout ses pores et ce dernier est indissociable de sa figure. « Le Traître » est partout, il est connu par tous et résonne comme un chuintement victorieux dans toutes les hautes sphères nécrosées du pouvoir. Sublime illustration des sentences réservées aux contestataires, aux vents contraires de la pensée unique. Splendide démonstration d'un gouvernement à la fois juge et bourreau. Finalement il s'agit là d'une reconnaissance impartiale émanant tout droit de ses pairs, qu'elle soit positive ou négative. Celui qu'on flattait d'un gracieux « Docteur Rosier » , le naturaliste reconnu, s'est effacé comme un mirage dans le désert brûlant. La haine et le venin sont les dernières paroles qui harassent sa boîte crânienne à longueur de journée. 

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• naissance ; Au millieu du pays de naissance de la prestigieuse et respectée Church of England il y a trente quatre ans de cela, en dix-neuf cent soixante-sept. La vie n'est pas un long fleuve tranquille mais cela n'empêche pas aux années d'alimenter le moulin des décennies. Pour le moment.  

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• ascendance ; Traître à son sang. Maudit soit-il ce banni, cette infamie à jamais rayé de cette renversante généalogie au liquide ardent et cramoisi qui ruisselle dans leurs veines. Moindre soucis et mourante priorité sur le déclin. Ses fréquentations diversifiées tout au long de son existence ne sont que le reflet et l'honnête témoignage de son appréciation vis à vis de cette pureté. 

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• camp ; Siempre la libertad! Cette liberté anéantie sous le poids écrasant et autoritaire en place. Les penseurs ne sont plus, remplacés par l'endoctrinement forcé. La liberté est morte, vive la liberté! Fier insurgé, rebelle depuis ses jeunes années. Il à du gagner sa place à la dure, tout comme la confiance des rebelles. Un acharnement sans fin et une réussite avec quelques fois de lourds tributs à payer. Malgré sa futilité actuelle du à sa condition contraignante et à sa brisure intérieure jamais il n'a pensé une seconde au renoncement de son premier amour: La liberté.      

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• métier ; Rampant grouillant sur le bitume bouillant. Pourtant il fût là un brillant étudiant et un fascinant naturaliste possédant une boutique réputée mais peu fréquentée qui servait, parfois, de couverture. Rien, il n'est plus rien. Il est la pire immondice qui puisse exister aux yeux de la société. Une drôlerie, un passe-temps. La bouffonnerie personnelle d'une famille de bourgeois.

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• réputation ; On l'avait promis à moult destinées le prince héritier mais sans doute à pas s’égarer sur la voie à sens unique de la déchéance. Les éloges se sont éteintes et les flatteries ont laissés place à l'égarement et à la remise en question. Quel genre de chambardement à t-il pu se produire dans son esprit pour qu'un pur produit des vingt-huit, un naturaliste respectable et respecté puisse se perdre et trahir sa propre famille au sens large du terme. L'interrogation est encore valable aujourd'hui. Certaines de ses œuvres de l'époque furent des best-sceller dans des pays comme la Hongrie, la Roumanie et la Norvège. Dans le reste du monde il est inconnu ou comme sur sa terre natale, souvent mal jugé. Il n'est rien de moins qu'un rebut et il est connu comme tel.    

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• état civil ; Veuf. Dans leur frénésie libératrice les deux amoureux ont trouvés un but commun à leur vies. Néanmoins à travers cette exaltation exacerbée la jeune femme n'aura pas survécu dans cet engagement perdu - sans doute - d'avance.  

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• rang social ; Un des futurs brillants hommes qui forgeraient l'avenir du monde magique, en tout cas jusqu'à la révélation de son véritable but et l'éclatement total de son apparence de façade. Après avoir fricoté avec les sommets il en est réduit à fréquenter le caniveau. Son statut de rebut ne lui offre que cela. Les égouts et les rats. Sa prison ragoûtante et ses "nouveaux frères". Maigre consolation que de se dire qu'au milieu de cette crasseuse populace il est sans doute le rebut le plus populaire  et désiré d'entre tous.  

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• patronus ; Incapable d'un produire un de correct depuis son arrestation et le décès tragique de sa compagne.

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• épouvantard ; Les détraqueurs. Cette phobie est de loin accentuée depuis qu'il sait qu'il est dans l'impossibilité de s'en défendre à cause de son imputabilité à ne plus pouvoir réaliser de patronus qui tienne le coup.

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• risèd ; La liberté, ni plus, ni moins.

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• animaux ; Ysor, un chien géant qui sa femme  offrit en cadeau de mariage à son mari, connaissant son affection particulière pour les créatures dangereuses. Le mastodonte ne connaît que deux mots "Stop" et "Attaque" et ne réponds qu'à son propriétaire mais il n'en demeure pas moins affectueux avec ce dernier.   Peu après l'arrestation d'Elias, il fût capturé, blessant gravement deux agents de bridage avant d'être totalement maîtrisé. Il fût mis à mort devant le regard de son maître deux jours plus tard comme une des nombreuses récompenses" à sa trahison.

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• baguette ; Une baguette en bois de sorbier, parfaitement prédisposée pour les sortilèges défensifs. Elle abrite en son cœur un plume de phénix jumelle à celle de son frère, Simon. Elle mesure environ vingt-neuf centimètres mais cette dernière n'est plus en sa possession depuis son arrestation.  

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