Ichabod & Vincianne Each of us needs to be willing to die to save humanity. Anything less...and they've already won!
(yutaka yamada) Et ça gueulait. Encore et encore. Et ça se déchirait. Encore et encore. D'un côté, les Audacieux à l'honneur brûlant qui voulaient tenter un éclat, agir et rétablir la vérité. De l'autre, les Pacifiques bien-pensants qui ne voulaient surtout pas faire de vagues parce que les insurgés en ont bien assez fait à Londres. Et les Belliqueux. Les Belliqueux au sang chaud qui proposaient de poser une bombe magique dans les locaux de la Gazette pour les punir de les avoir fait passer pour de simples psychopathes. Vincianne soupira en secouant la tête. ●●● On s'en balance de la Gazette, posez votre foutue bombe directement dans le Ministère. Ou dans Herpo Creek, tiens. Je suis volontaire pour l'armer. ● Un Pacifique à sa droite la fusilla du regard comme si elle venait de lâcher la pire hérésie du monde. Mais elle se contenta de hausser les épaules, indifférente. Si le journal anglais ne peignait qu'un pan du tableau, si il ne disait qu'une demi-vérité, qu'est-ce que ça pouvait faire ? Ils avaient effectivement tué des gens. Posé des bombes. Elle l'avait fait aussi. C'était nécessaire à la réussite de la mission - et bien sûr, comme disaient certains, ce n'était pas absolument nécessaire mais ses sorts explosifs avaient gentiment taillé dans les rangs des Mangemorts et ça leur avait laissé assez de temps pour s'occuper de la petite Beaudelaire. A la guerre comme à la guerre après tout. Même les Belliqueux ne semblaient pas voir ce que ça impliquait réellement. Ils tenaient bien trop à leur réputation, bien trop à leur honneur parce que les méchants étaient de l'autre côté, celui qui soufflait ces lignes au quotidien sorcier. Mais on s'en foutait, pas vrai ? L'honneur, c'était mignon en tapisserie sur un profil psychologique mais ça tuait plus de gens que ça n'en sauvait dans les faits. C'était inutile, surtout en temps de guerre.
Sauf que, bien sûr, ils étaient tous en train de se battre pour savoir comment conserver ce machin sans valeur. Tch. Foutus british.
Morte d'ennui devant ce rassemblement qui tournait au règlement de compte entre les différents groupes insurgés, elle jeta un regard aux alentours, cherchant un moyen de s'éclipser sans qu'on l'emmerde. Malgré sa veste de cuir et ses mitaines de laine, il faisait un froid de chien dans cette forêt humide. Dans ses bottes, elle sentait à peine ses orteils, engourdis par l'inactivité autant que par l'automne anglais. Soudain, alors qu'elle regardait derrière elle, son regard capta le reflet des feux dans deux iris qui se détournèrent aussitôt. Une mélodie de feuilles foulées par un pas maladroit suivit. Pas besoin d'alerter les autres (et de déclencher un débat aussi explosif que stérile) : Vincianne décida qu'elle pouvait se charger de l'indiscret elle-même. Presqu'avec trop de joie, sa silhouette se décolla du tronc sur lequel elle était appuyée et ses doigts glacés jouèrent contre le bois de sa baguette.
Marchant sur les traces de l'inconnue - elle s'en rendit compte quand elle entendit la femme étouffer un gémissement de douleur en trébuchant -, la française sentit son corps entier qui se réchauffa (ou peut-être était-ce l'adrénaline qui lui fit ignorer le froid ambiant ?) et sa magie palpiter d'anticipation alors qu'elle travestissait légèrement son visage, agrandissant ses yeux, amincissant ses lèvres, éclaircissant ses cheveux. Jusqu'à ne plus tout à fait ressembler à Vincianne. Une vague parentèle, peut-être. Un air de familier qui s'incruste un instant avant de s'évaporer. Elle avait terminé son oeuvre lorsqu'elle stoppa brusquement devant une maison. Tournant la tête, elle ravala savamment sa surprise de trouver Ichabod à ses côtés. Elle ne l'avait ni vu, ni entendu la suivre et pourtant, il était bien là, à deux pas d'elle, à fixer la vieille demeure. Qu'importe, décida-t-elle. C'était un insurgé avec lequel elle n'avait pas eu de mal à travailler pendant le carnage de l'Allée des Embrumes. Alors, sans un mot, la bouche-cousue s'approcha de la porte d'entrée, signe qu'elle l'acceptait. Lorsqu'elle eut la confirmation qu'il était prêt, sa baguette cracha un sort qui fit céder la porte. Devant eux, deux baguettes les visaient. Mais avec une allure de conquérante et un sourire railleur, Vincianne entra dans la demeure. Contre sa propre baguette, ses doigts s'étaient détendus alors qu'elle était prête à lancer ses sorts. ●●● Vous n'avez pas envie de commencer un duel avec nous. ● Le regard qu'elle porta sur le couple laissa aucun doute sur le fait qu'elle ne se sentirait ni lésée, ni embêtée s'ils refusaient d'obéir. Dans son sang, l'adrénaline embrasait déjà sa magie. ● Vos baguettes. ● Sa voix claqua comme un fouet. Mais si les deux adultes ne semblaient pas prêts à quitter leur posture défensive (une erreur d'amateurs, jugea l'espionne, il faut toujours être aggressif et attaquer quand on se méfie), les deux enfants gémirent leur peur en se cachant derrière les jambes du couple et s'attirèrent l'attention de Vincianne.
Dernière édition par Vincianne de Lancastre le Sam 24 Jan 2015 - 5:26, édité 2 fois
Après ses retrouvailles avec Daphné, Ichabod avait choisi de rejoindre le groupe de rebelle duquel elle faisait partie. Il avait plutôt l’habitude de faire bande à part, avant, il n’y avait eu qu’Emilia et lui. Ils étaient restés rien que tous les deux pendant tellement longtemps. Maintenant, elle n’était plus là. Elle était prise au piège entre les griffes malsaines d’une famille pourrie jusqu’à la moelle faisant partie de l’élite. Il aurait pu quitter le groupe pour simplement essayer de retrouver la jeune femme. Mais il savait que seul, il avait bien moins de chance d’atteindre son but qu’en compagnie d’un groupe. Seul, il avait certainement plus de chance de mourir sans avoir ne serait-ce que revu Emilia. Le fait que Daphné lui avait sauvé la vie lors de leurs retrouvailles en était une preuve. Maintenant, il n’avait pas d’autre choix que de se plier aux règles du groupe auquel il appartenait et d’accomplir les missions qu’on lui donnait. Au beau milieu de la forêt noire, il y avait des réunions, débouchant sur des missions, alors Ichabod attendait sagement qu’on lui dise quoi faire et avec qui. Il ne voulait pas prendre part aux disputes qui naissaient entre les deux camps d’insurgés. Qu’on lui dise quoi faire, ça lui suffisait, il n’était pas particulièrement doué pour prendre de décisions et dans le fond, malgré a participations aux différentes missions qu’on pouvait lui confier, son but principal restait Emilia, le reste, il préférait laisser les autres prendre les décisions. Cependant, malgré le fait qu’il soit peu enclin à prendre des décisions et proposer des idées, il faisait preuve de bonne volonté et d’une grande motivation lors des missions qu’on lui confiait. La stratégie ça n’avait jamais été son point fort de toute façon. A la limite, il voulait bien proposé de faire flamber le ministère de la magie, il faisait malheureusement parti de ceux qui oubliaient qu’il y avait encore des innocents entre les murs du ministère et pourtant sa sœur y travaillait encore.
Finalement, las de la situation, il avait su observer les gens autour de lui et il y avait bien des visages qu’il connaissait, il y avait Vincianne qu’il avait vu rapidement en observant les gens quelques autres, sur qui il reposait encore son regard, mais au moment de retrouver le visage de la jeune femme, il constata remarqua quelqu’un dans les buissons et aussitôt, elle l’insurgée était partie à la poursuite de cette personne. Trouvant la situation plus passionnante que les discussions ayant lieu, il se précipita pour suivre sa piste jusqu’à tomber sur Vincianne dont les traits avaient légèrement changés. De simples échanges de regards, ils se mirent d’accord et baguette en mains entrèrent de force dans la vielle maison en bois. Dans la maison, il remarqua deux personnes, baguettes en main ainsi que deux enfants dissimulés derrière eux. « Faites ce qu’elle dit et on vous fera aucun mal c’est promis. » Son regard ne pouvait s’empêcher de fixer les deux enfants, il ne voulait surtout pas qu’une bagarre explose juste devant les yeux d’enfants innocents. Ils n’avaient pas l’air de mangemorts de toute évidence, mais pourquoi étaient-ils cachés dans les buissons à espionner une réunion alors. « On veut juste parler. » Dans la mesure du possible en tout cas. « Soyez raisonnable, on ne va pas se battre devant des enfants. » Lui en tout cas, il n’en avait pas la moindre envie.
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(yutaka yamada) ●●● Faites ce qu’elle dit et on vous fera aucun mal c’est promis. ● Ça, ça restait à négocier encore alors inutile de faire des promesses qui seraient probablement brisées dans les prochaines minutes. La possibilité que le couple les dénonce existait. Merlin, c'était plus qu'une possibilité ! Ils ne semblaient pas rouler sur l'or (ils vivaient dans une vieille bicoque en bordure de forêt, sérieusement) et le Magister promettait toujours une récompense pour ceux qui avaient des informations à fournir sur les insurgés. Et si Ichabod s'en foutait, Vincianne n'aimait jamais éparpiller des indices sur sa présence. Elle n'était pas fichée, son visage n'était pas encore connu. Alors moins on en savait sur sa présence et plus elle serait efficace. ● On veut juste parler. Soyez raisonnable, on ne va pas se battre devant des enfants. ● Vincianne roula des yeux devant la remarque d'Ichabod. Et pourquoi pas ? Elle avait déjà tué des gens de sang froid devant des enfants sans en être plus perturbée que ça. Et si on ne voulait pas traumatiser ces jeunes âmes, la magie avait ça de bien qu'on pouvait effacer les souvenirs des gens, non ? ● Ils pourraient donner des informations au gouvernement. Qu'est-ce que vous faisiez dans la forêt ? ● La femme hésita à répondre et son époux sembla se sentir l'âme stupide d'un héros car il s'avança d'un pas. Agacée et impatiente, Vincianne donna un coup de baguette vers la gauche et un vase explosa sur le vieux buffet. Les enfants se mirent à pleurer. ● Vous avez promis ! ● S'indigna l'homme. Vincianne s'avança, surveillant la main tremblante avec laquelle il tenait sa baguette. Vraiment des amateurs. ● Vous avez encore vos baguettes, non ? Et moi, je n'ai rien promis. ● Précisa-t-elle en arquant un sourcil. Le sous-entendu sembla suffisant pour décider la femme à parler. Enfin ! ● J'étais venue chercher des champignons et je me suis perdue. ● La voix était tremblante et fragile. Ca n'empêcha pas Vincianne de lancer un regard sceptique vers Ichabod. Est-ce qu'il y croyait lui ? Voyant que ça ne suffisait pas à leur faire baisser leurs baguettes, la femme paniqua. Elle jeta sa baguette au sol et s'accrochant au poignet de son époux pour lui faire baisser la sienne, elle continua d'une voix affolée. ● Je le jure ! Je n'espionnais pas ! On n'est même pas pour le gouvernement ! ● Pourquoi on vous croirait ? ● Ce n'était pas qu'elle ne voulait pas les croire. Mais la française en avait assez vu dans sa vie pour savoir que l'être humain était prêt à tout sa survie. Et maintenant, parce que leurs vies étaient en danger, ce couple ne voulait pas les trahir. Mais dans quelques heures ? quelques jours ? L'hiver approchait dangereusement, et si une poignée de gallions les aidait à traverser les prochains mois, Vincianne était persuadée que la trahision deviendrait une option envisageable. Et cette clairière perdue dans les entrailles de la forêt serait un de leurs points de ralliement pour une prochaine mission. Trop risqué. ● Elle dit la vérité, on est des nés moldus. ● Et contre le paquet poli par le temps, le bruit d'une baguette qui tombe.
Dernière édition par Vincianne de Lancastre le Sam 24 Jan 2015 - 5:26, édité 1 fois
Ichabod n’était pas particulièrement pacifiste, il avait bien souvent foncé dans le tas sans réfléchir et il en avait payé les conséquences. Pourtant, il recommencerait si c’était pour Emilia. Là en l’occurrence, il avait tendance à penser qu’il était plus juste de réfléchir avant d’agir. Ces gens étaient peut-être innocents et il y avait des enfants. Pour avoir vu son père mourir devant ses yeux au cours de cette maudite guerre, il ne souhaitait pas qu’une telle chose puisse arriver à ses gamins qui étaient bien trop jeunes pour supporter ça. Contrairement à Vincianne, il était plutôt d’avis à discuter avec eux avant de s’engager dans un quelconque combat. La sorcière ne partageait définitivement pas cet avis et il sentait la situation plus que tendue. Suite aux questions posées par sa collègue, la femme répondit qu’elle était venue chercher des champignons et qu’elle s’était perdue. Pourquoi pas ? Certes, un peu étrange, mais rien n’était impossible, exilé au milieu de nulle part, il fallait survivre tant bien que mal. Restant cependant quelque peu septique il répondit au regard de sa camarade par un léger haussement d’épaule, marquant son incertitude face à la réponse fournie. Ils avaient fini par lâcher leurs baguettes, annonçant qu’ils étaient des nés-moldus. Ceci pouvait facilement expliquer cela. « Qu’est-ce que vous faites ici ? » Pour appuyé ses propos, il regarda autour de lui, cette petite maison abandonnée au milieu de nulle part. Personne ne pouvait sérieusement vivre ici, survivre sans doute. « On est obligés de se cacher pour échapper au gouvernement. On doit protéger les enfants, la forêt est peut-être l’un des lieux les plus sûrs, mais on ne va pas rester, on bouge beaucoup. » C’était peut-être la réponse qu’il voulait entendre. Ils pouvaient les laisser tranquilles, il y avait des enfants après tout. Le sorcier se tourna vers sa collègue, sans pour autant tourner le dos aux personnes à qui ils parlaient. Il prit quand même soin de chuchoter pour qu’on ne l’entende pas. « On devrait les laisser. Ils ont raison, ils doivent protéger leurs enfants. Quoi qu’elle ait pu entendre, on peut s’en aller en leur lançant un sortilège d’amnésie, s’ils oublient ce qu’il vient de se passer, ils ne seront un problème pour personne. » Si elle était vraiment une espionne – ce dont il doutait – elle n’avait pas eu le temps de transmettre ce qu’elle savait, alors, lui faire oublier cette dernière heure était suffisant pour ne pas prendre de risque. C’était du moins, la façon dont lui, il voyait les choses.
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(yutaka yamada) C'était amusant de voir comme la présence d'enfants avait le don de pacifier les gens. Les gens, mais pas Vince. Comme les objets neufs, leur vie à peine entamée semblait avoir, pour les autres, une valeur supérieure. Alors qu'à ses yeux, ils étaient des vecteurs de risque tout aussi importants que les autres. Peut-être même qu'ils aggravaient le tout, justement parce que les autres étaient prêts à tout pour ces humains en version miniature. Honnêtement, si ça n'avait tenu qu'à elle, la petite famille serait morte, et le problème serait réglé. Mais voilà, il y avait Ichabod, et aussi son souci de ne pas traumatiser les marmots (puisqu'on parlait de facteur aggravant, justement).
●●● Qu’est-ce que vous faites ici ? ● Si la réponse sembla satisfaire Ichabod, ce n'était pas le cas de Vincianne. Ils bougeaient beaucoup ? Encombrés de leur marmaille, les risques de se faire prendre étaient grands. C'était même étonnant qu'ils aient survécu aussi longtemps au vu de leurs piètres performances de duellistes. (Ils ne s'étaient pas vraiment battu en duel, mais leur port de baguette était pitoyable). Ils voulaient échapper au gouvernement ? Jusqu'à quel point étaient-ils capables de rançonner des informations contre leur liberté ? Les risques étaient trop grands pour Vincianne. ● On devrait les laisser. Ils ont raison, ils doivent protéger leurs enfants. Quoi qu’elle ait pu entendre, on peut s’en aller en leur lançant un sortilège d’amnésie, s’ils oublient ce qu’il vient de se passer, ils ne seront un problème pour personne. ● Elle secoua la tête, pas convaincue. ● Et si l'interrogateur est un legilimens ? C'est trop risqué. ● Contrairement à Ichabod, déjà recherché par le ministère anglais, elle ne pouvait pas se permettre le luxe de laisser traîner des traces, aussi infirmes et supposément négligeables semblaient-elles. ● Pourquoi ne pas les confier à Adamson ? ● Greg Adamson, le faux nom d'un des passeurs qui officiait pour les pacifistes. L'anglais s'assurerait de la véracité de leurs dires et s'occuperait de les intégrer dans un des camps pacifistes. ● Les gamins seraient plus en sécurité avec les pacifistes. ● Ajouta-t-elle en désignant les deux chiards de la tête (Merlin, elle jurait que ses gosses à elle ne chialeraient pas autant que ça). Pas qu'elle s'en soucie réellement mais il semblait que c'était l'argument qui convaincrait le mieux, et les parents, et Ichabod. ● Vous-, la femme s'avança prudemment, les deux mains en l'air : Vous pouvez les mettre en sécurité ? ● Vincianne acquiesça, un peu à contrecoeur, avant que l'homme prenne assez de confiance pour lui attrapper la main avec un air de profonde gratitude. ● Cinq minutes pour rassembler vos affaires. Et reprenez vos baguettes. ● Les deux adultes acquiescèrent avant de se mettre de nouveau en mouvement, affichant ce qui ressemblait à de la gratitude. Mal placée, selon la Française. Elle les aurait tué sans sourciller. Elle le ferait encore si Ichabod n'avait pas été dans ses pattes (elle était à peu près certaine qu'il aurait été prêt à l'attaquer dans le dos et qui savait ce qu'il irait faire avec cette famille ensuite).
Après avoir inspecté la maison et lancé quelques sorts pour nettoyer les traces de présence humaine, Vincianne observa la troupe qui s'était rassemblée devant la maison. Les enfants étaient calmes mais apeurés tandis que le couple semblait incertain sur la suite des évènements. Elle secoua une vieille vasque en cuivre qu'elle avait trouvé dans la cuisine délabrée. ● Vous y allez par portoloin. ● Mais c'est ill- ● Vous en êtes encore à ça près ? ● La femme afficha une moue contrite par son réflexe (et Vincianne jugea qu'avant la guerre, elle était probablement de ceux qui adoraient rester dans le cadre de la loi). La française finit signe à Ichabod qu'il venait aussi (eh, c'était lui qui voulait épargner les enfants, non ?) et une minute plus tard, tout le monde disparaissait.
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