• surnom(s) ; « la manticore », à l’image de la créature de ce nom, résultat de la réputation qu’il se traîne. S’il a déjà eu vent de ce sobriquet peu affectueux, il n’en dit rien, cela ne changerait rien à l’opinion des autres sur lui. • naissance ; Son extrait de naissance stipule très clairement qu’il est né en 1973, très certainement à Sainte-Mangouste (Londres). • ascendance; Il fait partie des vingt-huit sacrés et bon sang ne saurait mentir.  Issu d’une famille de pro-sang-pur, le Shafiq lui-même ne saurait vouloir déroger à la règle, souvenirs d’une lignée par les parasites moldus dans la mémoire ancestrale. • camp ; S’il fait partie du gouvernement, n’en demeure pas moins que le Shafiq n’est rien de moins qu’un collaborateur, peu disposé à assurer aussi facilement le règne du nouveau magister, jouant sur un tout autre tableau, fournissant à qui de droit ce qui est nécessaire pour leur survie, ou leurs prochaines attaques. • réputation ;  Manticore enragée est sans conteste l’expression qui lui est attribuée, tant on le sait impétueux, dangereusement inconstant. Et s’il ne fait rien pour attirer l’attention sur lui, lui en revanche, porte son attention sur ce qui l’entoure. • état civil ; en cours de réflexion • rang social ; De par son sang, de par la position qu’il occupe, c’est un membre de l’Élite, jouant de sa position pour obtenir ce qu’il désire, pour laisser libre court à ses ambitions. • épouvantard ; elle, cette fière prêtresse de la mort et ses soldats de chair, dépourvus d’âme et de volonté. Autrefois pourtant, il s’agissait de quelque chose ayant plus de sens, représenté par une boite l’invitant à entrer, claustrophobie représentée par ce symbole. • risèd ; Il ne cracherait pas sur la place de Ministre de la Magie, hélas, la place est prise et il faudrait être fou pour s’essayer à usurper le siège. Aussi son désir se fait il un peu moins provincial (libre à vous de voir ce qu’il désire ardemment) • caractéristiques ; Pour son plus grand déplaisir, sa peau s’est retrouvée marquée à l’encre indélébile par le sceau d’une malédiction dont il ne parvient à se défaire, funestes saillies blanchâtre. Il ne peut aussi s’empêcher de jurer lorsqu’il observe la cicatrice qui lui barre une partie du mollet, le résultat d’un affrontement avec la nécromancienne lui ayant volé son cœur, ou tout du moins, la trace laissée par un de ses fidèles soldats. • particularités ; Bien peu de personnes le savent, il possède le titre de maître des Runes. Un art qui lui vaudrait l’intérêt de beaucoup trop de personnes, et Merlin sait combien le Shafiq estime aider déjà bien assez ses pairs. C’est pourquoi il demeure très discret en la matière. (Il faudra néanmoins en faire la demande dans le sujet adéquat) • caractère ; De ce qu’il laisse apparaître, Shafiq est un homme ambitieux, suffisamment pour savoir ce à quoi il aspire réellement, calculateur allant de pair avec cette qualité. Cassant ? Assurément, ne craignant nullement les représailles que peut lui coûter son ton condescendant. Intellectuel, fou amoureux des livres, parchemins et tablettes, chercheur à ses heures perdues. Mais ses dernières recherches portent sur les malédictions et leurs remèdes. Méticuleux, dans les moindres détails, ne laissant jamais rien au hasard. Opportuniste, assurément, et qui n’irait pas cracher sur une quelconque circonstance lui permettant de mener ses ambitions au plus haut. Secret, trop secret pour des raisons personnelles, des raisons d’état. Il ne laisse jamais rien transparaitre qui puisse le mettre dans l’embarras, ou pire, en danger.

Oui, de ce que l’on voit de Shafiq, il est de ce genre d’homme que l’on préfère ne pas déranger, ni même approcher en toute sincérité. Dragon, Manticore, Gobelin… Les surnoms pour le qualifier ne manquent pas après tout, et tous reflétant son caractère.

Quant à ce qu’il était autrefois, lorsqu’il jouissait encore d’une certaine liberté de mouvements et de pensées… On ne pouvait le voir que comme un jeune homme arrogant, suffisant, imbus de sa personne et persuadé de pouvoir obtenir tout ce qu’il désirait en un claquement de doigts. Mal lui en a prit, l’obligent à revoir cette perspective de lui-même, trop tard pourtant, alors que la malédiction de sa dernière quête ronge petit à petit ses veines, tente de corrompre son âme.