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sujet; Mordoh - d'Orphée à Morphée, il n'y a qu'une lettre. |
| Orphélia Élyzabetha Mordoh feat Ksenia Solo • crédit undercover
| Wizards • Inventé
• nom complet ; Oprhélia Elyzabetha Mordoh. Un nom étrange, un nom qui ne m'appartient pas, un nom qui la ronge, mais qu'elle endure par nécessité. • surnom(s) ; Morphée, le nom sur toutes les lèvres. Celui qui me colle à la peau et qui ne s'explique qu'avec de longues conversations. • naissance ; Il y a 24 ans, la date est inconnue et pourtant, elle sait que c'était à Volos en Grèce. • ascendance ; Sang rouge! SANG COULEUR DE RUBIS! SANG ROYALE DE MORVEUSE! SANG FAIT DE SANG? Qu'est-ce que son prédigéré à avoir avec son utilité? Oh! Okay, j'ai le sang complètement pur. Si, si. Je vous le jure. Aussi pur que l'alcool dans mon verre. Enfin, je porte le nom d'un sang-pur et je suis présentée comme tel. Le reste, ne regarde que mes secrets et moi. • camp ; Celui qui me convient. • métier ; Marchande de rêve. Officiellement, je suis femme à la maison et j'essaie d'avoir un enfant au sang aussi pur que le mien. Seulement, mon mari est peu présent et les occasions sont rare. Je suis une femme délaissée et qui dépérit par manque de tendresse! Que de drames dans ma vie d'épouse d'un gay! • réputation ; Je n'en ai aucune en Angleterre, je viens tristement de m'installer. Je ne suis pas encore connue. Je suis... Enfin, Morphée, elle, est sur toutes les lèvres des drogué et des curieux de cette ville. Vendeuse de talent et respectable, on la cherche pour sa discrétion légendaire. • état civil ; Mariée depuis deux ans. Épouse de l'héritier des Mordoh. Une famille de sang-pur qui vient directement d'Angleterre. Une famille qui est plus ou moins présente dans les mangemorts. Ils sont, disons, nouveau en ville? Mais, leur réputation est sans tâche et leur permet d'intégrer la haute sphère. • rang social ; Élite. Enfin, enduré dans l'élite pour son rang d'épouse acceptable. Elle y est tolérée. • particularité(s) ; Je vend darling, je suis particulière. • patronus ; Un lémurien surnommé Doudelinou. • épouvantard ; Je l'ignore, chaque fois que je me retrouve confronté à ma peur, je sombre dans l’inconscient et oublie... • risèd ; Devant ce miroir, il n'y a que moi, je me souris et d'un clin d’œil je le sais... Je me possède entièrement. • animaux ; Un lémurien que j'ai surnommé Masha. Oui, elle est en couple avec mon patronus et alors? • baguette ; Attendez, elle devrait être proche! Ah! Voilà! Elle est fragmentée de couleur. Rosé et noirâtre, elle est faite de bois de cerisier et d'un poil de boursouf. Elle semble si peu puissante, malgré sa souplesse, mais elle est parfaite pour les sorts qui demandent subtilité. • miroir à double sens; Un miroir à un sens c'est mieux... Je n'aime pas me voir en double. |
The stars have faded away ► Avis sur la situation actuelle : La vente c’est mon domaine, j’en suis une fidèle adepte et je considère qu’un pays sans principe de vente est bien ennuyant. Mais… La vente d’humains me lève le cœur. Autant les torturer et les laisser mourir de faim dans les bois, les pourchasser jusqu’à la mort. Mais les vendre? Un humain, ça n’a pas de prix. Pour le reste, je n’y vois que des avantages pour mon métier. Je suis née pour profiter du chaos et quoi de mieux qu’une guerre? Comment ça je suis sans scrupule? Roh! Ferme ton clapet monsieur principe! Tu as les tiens, moi j’ai le mien et il consiste à me faire survivre. Je suis peut-être égoïste, mais je profite de ces histoires d’insurgés et de guerre des sangs pour m’instaurer un moyen de subvenir à mes besoins. Que cela me transforme en monstre aux yeux des gens qui ont une cause, ne changera rien à mes décisions. ► Infos en vrac : Doigts magiques, doigts agiles, doigts qui méritent l'ovation! Oui, ça peut sembler douteux dit ainsi, mais mes doigts sont une entité capable de tout subtiliser. Cleptomane, ce talent a été développé très jeune et j'en suis fière. Il n'y a aucune serrure, ni aucun snobinard qui résistera à mes doigts. • Je suis une catastrophe en tout sport, exception faites de la course à pied. Très pratique quand on doit disparaître. • Ma langue va plus vite qu'un vif d'or, lorsque je dois baratiner, on peut découvrir l’ampleur de ce que je suis capable de sortir comme ânerie. • Je bouge toujours mes lèvres selon mes émotions. Je suis incapable de m'en empêcher, elles me sont traite les salopes! • Ma discrétion, je suis capable de distraire ou de détourner l'attention de quiconque. Je suis aussi, incapable de trahir les secrets qu'on me confit. • Je suis égoïste et je ferme les yeux sur le malheur des autres pour obtenir ce que je désire. • Mes yeux font concurrence à la glace ou aux chiens husky. On les voit de loin, on ne peut pas les éviter. Ils sont mon meilleur atout. • On raconte que j'ai épousé un homme qui n'aime pas ce qui se trouve sur moi. Qu'il préférait la compagnie des messieurs et que je ne serais qu'une pauvre parure. Nothing compares to you • pseudo & âge ; Mon chaton 21 ans et trois dents en moins... • comment as-tu trouvé le forum ? Une vilaine coquine m'a fait miroiter quelques fantasmes... • ton avis, tes suggestions ; Pffff rien? • connexion ; Un peu chaque jour. • quelque chose à ajouter ? OH YEAHHHH!
Dernière édition par Orphélia E. Mordoh le Mer 14 Jan 2015 - 4:23, édité 42 fois |
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| Here comes the hurricane Ready or not, Here I come. Where you at? The night is young in the crowd the music's loud but I will find you.
She stole me again. « M’aimeras-tu? Même lorsque je t’aurai tout raconter? Lorsque sous ton regard qui me juge, je te révélerai chacun de mes secrets les plus crades? Que doucement, mais sûrement, cette petite gamine marginale et innocente, se transformera en véritable personne. Qui possède ses défauts et ses vices, une femme, plus qu’une enfant? M’aimeras-tu? Encore et toujours, si je ne suis pas exactement comme tu veux que je le sois? Si je te révélais que je ne suis pas une victime qui ne savait pas où elle mettait les pieds et qui ne veut pas s’en sortir? Le pourras-tu encore, lorsque je te raconterai combien de personnes ont été mes propres péchés? Combien de tes compagnons ridicules et fanfaronnant j’ai escroqué de mes cuisses et de mes sourires? Non, tu ne le pourrais pas. Puisqu’à la simple idée que je sois responsable de six gosses, tu as failli t’évanouir. Alors, va petite nature! VA! Et ne te retourne pas, puisque moi, je ne m’arrête jamais sur le bord d’une route pour ramasser les naufragés. Je continue mon chemin et jamais mon regard ne te regardera à nouveau. » Sur ces mots plutôt théâtre, je me retournais abandonnant ce semblant d'homme sur place. Il avait réussi l'impossible, il m'avait intéressée plus d'une semaine. Enfin, quand je disais intéressé, je parlais de sa fortune et de sa compagnie. Pas de sa personne en tant que tel. J'étais d'humeur si changeante que je n'arrivais pas à butiner longtemps la même personne. Comme si, une fois que j'avais fait le tour de surface, je ne trouvais plus aucun frisson qui me donnait envie de m'accrocher. Oui... Je m'ennuyais peut-être trop rapidement. Mes hanches se déhanchant légèrement, je traversais le hall d'entrée pour remonter dans le taxi qui m'attendait. Il n'avait pas bougé d'un centimètre, lorsque d'une voix soulager je lâchais à mon chauffeur : « Allez mon beau, comme d'habitude, tu auras ton pourcentage sur ce que j'ai chipé. Tu me ramènes au bercail? » La voix du chauffeur me fit rire à mon tour, lorsqu'il s'écria soulagé : « J'ai cru que celui-là allait finir par t'avoir. Le pauvre, il ne saurait même pas comment traiter une femme telle que toi bébé! » Oui, c'était là qu'était ma place. Dans l'illégalité. Arnaquer des fils de riches et me faire aider de mon vieux complice. Puis retourner à l'Orphelinat et aider mes frères et sœurs d'adoption à manger correctement chaque jour. Lasse d'être englouti sous l'avalanche de garnements, je m'écroulais sous leur poids, imitant à la perfection un cadavre. Immobile de longues minutes à me faire tirer dans tous les sens, je ne cédais que lorsqu'un chenapan trouva plus intéressant de s'attaquer à une chaise. Grimpant sur le meuble pour s'imaginer dans les airs, tous suivirent son exemple et je pu enfin reprendre ma respiration. Ils étaient envahissants par moment, mais du haut de mes seize ans, je n'avais connu que cette ambiance. Soupirant, j'étirais mes muscles malmenés ignorant que derrière moi se trouvait un visiteur. Pencher pour mieux m'occuper de mes jambes, je l'aperçus d'entre mes jambes et me contentais de lui faire un petit signe de la main. Restant dans cette position qui en aura rendu mal à l'aise plus d'un, je lui lançais : « Vous êtes là pour un gosse? Faudra attendre le retour de la marâtre, elle est sortie chercher de quoi nourrir les monstres. » Il sembla hésiter un instant, puis il reprit son visage de calculateur. Malgré le bruit environnant, j’entendais parfaitement ce qu’il dit. « Je suis là pour discuter avec vous. Ce matin, vous avez cambriolé ma maison en passant par l’appétit étrange de mon cadet pour les filles… tout aussi étrange. » Vous savez cette envie de s’enfuir en courant devant la mort, je crois que je l’ai ressenti à cet instant précis. Je n’avais pas pensé que cette famille avait les moyens de me retrouver. Souriant avec les dents bien en évidence, je me redressais vivement. « Les gamins tous au salon! MAINTENANT! » Ils bougonnèrent, mais obéir. Refermant derrière la marmaille d’orphelins, je me retournais pour mieux observer le… le monstre venu troubler mon plaisir? Ne voulant pas laisser paraître la nervosité qui m’envahissait, je m’assoyais sans élégance sur la table de cuisine. « C’était rapide. Vous avez des contacts dans la police où quoi? » Il sourit en coin, semblant soudainement un peu moins fabriquer dans le marbre. « Un simple sort de localisation et où vous étiez. Non! Ne me prenez pas pour un fou. Je dois vous avouer, toutefois, que je ne m'attendais pas à retrouver le bâtard que j'avais fait disparaître il y a des années. » M'attrapant le menton comme si j'étais un cheval de course qu'il examinait, il s'arrêta en contemplant mes yeux. « Orphélia n'est-ce pas? » J'acquiesçais... Ignorant que cette simple rencontre, allait changer ma vie dans son ensemble. Ce père de famille, ce second né, ce bras droit de l'hériter Mordoh fut le premier sorcier de ma vie. Il m'obligea à l'écouter et même, à le suivre. M'apprenant que mon père avait fait une erreur de calcul et lui avait demandé d'abandonner un bébé dans un orphelinat Moldu. Prenant le temps de m'expliquer ce qu'était un moldu, par la même occasion. Il ignorait qui était ma mère et ce que mon sang valait, mais il avait besoin de moi. Étant dans l'incapacité de dire non, je dus subir un apprentissage particulier des années durant. Apprenant la magie, les bonnes manières et surtout, découvrant un univers que je pensais impossible. Honnêtement, je le pensais fou. Cette histoire de sorcier n’avait ni queue, ni tête. Mais, je ne voulais pas encore être aux prises de la police et je me laissais entraîner. Jusqu’à ce que je ne puisse plus douter. Baguette, dragons, sort… Balais? Tout cela était vrai? Une fois le choc digérer, une fois que je ne le regardais plus comme s’il était fou, il m’avoua qu’il ne voyait aucune solution autre que moi pour son neveu. Oui, je sais... Cette histoire peu ressemblé à un conte de fée, pour petite désespérée. Mais, croyez-moi, lorsque je vous disais que pour moi c'était un cauchemar. On chamboulait mon univers et en plus, on m'obligea à devenir la fiancée d'un gay. Oui, l'hériter de cette famille au sang-pur était définitivement un honte. Attirer par les mecs, il repoussait toutes les sorcières de son entourage et les alliances qui leur seraient utile. Puis, sa réputation s'étant faites, les familles retiraient une à une les opportunités. Aucune n'étant prête à risquer qu'il n'y ait pas d'hériter. Il y avait pensé et c'est là, que j'avais fait irruption dans la vie de son fils. Mes yeux lui avaient rappelé ceux de mon père, aujourd'hui décédé et il avait réfléchi. Pensant qu'il pourrait bien venir me récupérer. Une fiancée qui ne pourrait pas lui dire non. Il m'offrait un nom important, un retour à mes racines et surtout, une chance d'être en sécurité le restant de ma vie. Bien entendu, ce plan lui avait paru aussi farfelu qu'idiot. Il s'était traité de tous les noms, avant de se rendre compte de ce que je volais peu à peu. En les allégeant d'objets de valeur, j'avais signé mon arrêt de mort. Je serais obligée de lui manger dans la main et il avait bien jugé de moi. Je ne pouvais refuser cette chance. everything begin with a kiss Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. 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Dernière édition par Orphélia E. Mordoh le Mer 14 Jan 2015 - 4:31, édité 24 fois |
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WIZARD • always the first casuality Pansy Parkinson ‹ disponibilité : dispo bitches
‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
| Ooooh, Chloé ! Bienvenue et bon courage pour la suite |
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