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sujet; f.m.h ☘ She calls my arms a crime scene

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Felix Meir Hvedrung
feat Garrett Hedlund • crédit Datura

DEATH EATER • Inventé
• nom complet ; Felix, pour la chance, pour que ma bonne étoile me souris, comme un souhait. Surtout parce que mon grand-père paternel le portait avant moi. Felix l’homme chanceux. Meir, pour éclairer mon chemin, pour me guider à travers les moments les plus sombres, un autre héritage familial. Tous ceux possédant le don d’empathie sont affublés de ce nom en second. Une distinction, une marque, pour me différencier. Meir celui qui voit clair dans le cœur des autres. Hvedrung, venu du Danemark, descendants direct du dieu Loki. Joueur, farceur, cruel à ses heures, un dieu terrible de qui tenir. Une réputation à ne pas sous-estimer. Hvedrung le terrible, à aimer et de qui se méfier. • surnom(s) ; Fel, pour les plus paresseux, Feli même parfois. Sinon, ma famille utilise mon deuxième prénom pour s’adresser à moi. Meir le liseur d’âme, celui qui voit clairement les cœurs des autres. • naissance ; København, au Danemark, plus précisément dans la demeure familial Hvedrung. Et tout ça un 10 juin, une super journée pour se balader à moitié à poil. • ascendance ; Pur, un choix familial, une mentalité. Mais surtout, pour que le don ne nous soit pas retirer. En effet, sans le sang pur, le don disparait. C’est quand même con, je sais. • camp ; Mangemort, une idée à mon père pour commencer, puis une maladie transmise à tous les autres membres de la famille. Par ennui. Parce qu’il faut bien prêter allégeance à quelqu’un. Parce que de participer à une guerre manquait à notre sang. Parce que nous avons toujours été des guerriers et des joueurs compulsifs. • métier ; Police magique, un choix mûrement réfléchis, pour être en contact avec l’intérieur et l’extérieur du gouvernement. Pour rassurer le peuple, mais garder un œil sur mes collègues. Moi, j’adore avoir plusieurs ouvertures, alors c’était un métier tout trouvé et puis, l’uniforme ça plait vachement aux filles. Ah bah oui, il ne faut pas en douter ! • réputation ; Jovial, farceur, sympathique, voir con, normalement on me remarque. Déjà avec mon accent, dur de ne pas deviner que je ne viens pas du coin, mais en plus il faut que je sorte des blagues pourries, que je colle trop les gens et que je parle fort. Après, difficile de ne pas m’apprécier, j’aime rendre service et terriblement social. Cela dit, je dérange pas mal aussi, je ne colle pas au moule « mangemort » classique. Parait que ça ne me dérange pas non plus. Sinon, on chuchote tout bas que derrière mon attitude de gamin, je suis un type louche. Sadique, cruel, tortionnaire ? Maso même ? Ha ha c’est mignon. • état civil ; Célibataire, le cœur à prendre, le corps déjà offert ici et là. Je n’ai rien de prude, j’aime même beaucoup jouer, quitte à passer pour un pervers. Les nouvelles mœurs m’amusent clairement, la liberté sexuelle, les amis avec bénéfices quelle trouvaille ! Mais ça ne durera pas, il me faut une femme et j’adore le petit accent des anglaises, ce serait mignon si mes enfants l’avait aussi, non ? Ouais clairement ! • rang social ; Mangemort, parce qu’il faut prendre partit et que moi, j’aime bien gagner. Et foutre le bordel, accessoirement hein. De ce fait je suis ce qu’on appelle un effaceur, aussi bien dire que je m’assure de virer les ennemis, mais à ma façon et sans faire trop de bruit. De toute manière, c’est mal de jouer ses cartes sur table, parole d’Hvedrung. Alors de temps en temps, je me fais bourreau aussi, des moments précieux et bien trop court, si délicieux. • particularité ; Empathe, un don qui traine dans la famille et qui saute normalement une génération. Alors papy l’était et moi aussi, je ne suis pas Meir sans raison hein ! Ça a un peu gâché mon enfance, parce que de ressentir les émotions de tout le monde ça peut vite créer des soucis mentaux, mais parait que je m’en suis tiré pas trop mal. Maintenant, je contrôle bien mon don, bon ce n’est pas encore parfait, il m’arrive de me taper une crise et de virer violent, mais c’est relativement rare. Quelques fois par années disons ? Bon, je ne vais pas nier, la prochaine crise que je pique en votre présence, vous n’êtes pas prêt de l’oublier, mais que voulez-vous, je suis inoubliable. En attendant, ça m’est très utile quand je questionne les autres, pour me lier d’amitié aussi. Et puis c’est marrant pour jouer avec les nerfs des autres. • patronus ; Renard Corsac, sans grande surprise hein ? Dans la famille, on a tous tendance a hérité d’un genre de vulpes. La faute à Loki si les renards nous collent à la peau. • épouvantard ; Ce n’est pas tant la vue de la chambre qui a été la mienne durant ma formation d’empathe, qui me fait peur. Mais plutôt les sentiments qui s’y rattache : l’impuissance, la douleur, le sentiment d’être perdu en mer. Une mer d’émotion, de sensation, sans savoir ce qui m’appartient. Je ne voudrais jamais retourné à cette époque. • risèd ; Une maison pleine de gamin, c’est cliché mais j’ai quand même trente ans. Je commence à sérieusement avoir envie de me reproduire hein ! Et pas juste pour le plaisir récréatif. Oh et dans ma tête, ils ont un petit accent anglais, c’est trop mignon tien. • animaux ; Un chien, Fenrir, un bouledogue français. Un cadeau de maman il y a déjà quelques années, une bête que j’adore. En fait, Fenrir c’est un peu mon fils en ce moment. Si j’avais le droit, je le trimballerais avec moi au boulot, mais Lola râlerait à coup sûr. Ce qui est une bonne idée en somme... • baguette ; Aubépine, de par ma nature conflictuelle il semblerait. Je suis mignon tout plein, mais aussi un gros enfoiré par moment, tant pis hein. 29 cm, une taille plus que correct. La taille ne fait pas tout mesdames ! Souple, ce qui me permet de l’utiliser pour offrir des pichenettes sur le nez des autres. Cœur de phoenix, ce qui la rend parfois très réactive. C’est une coquine ma baguette hein ! Elle a de qui tenir, papa est fier.

The stars have faded away
► Avis sur la situation actuelle : Je trouve toute la situation franchement passionnante ! La guerre apporte toujours son lot de nouveauté, d’apprentissage et de découverte. Après, est-ce que c’est juste ? La guerre est injuste, ne soyons pas stupide. Seulement, il faut savoir se mettre du bon côté et pour ça, dans la famille on est plutôt doué. Et puis, honnêtement, sans la guerre actuelle, je ne crois pas que je me serais posé dans le coin hein ? Ni ma famille. C’est bien beau Londres, mais ça ne vaut pas mon coin de pays. Mais le régime politique actuel m’intrigue, pour ne pas dire « me fascine ».

Quant à la vente des rebuts, quelle merveilleuse invention ! Acheté un esclave, franchement ça manquait cruellement à ma famille ! Je songe même à suggérer l’idée au reste de la famille, qui est resté au Danemark. C’est tellement utile, tellement divertissant, tellement amusant ! Il m’en faut rapidement un ! J’en rêve déjà, mais avec mon boulot, difficile de trouver du temps pour aller faire mon shopping. Homme ou femme ? Vieux ou jeune ? Tant de choix, j’en ai presque la chair de poule tellement je suis excité !

Du reste, la traque des insurgés m’intrigue terriblement. J’y vois une autre possibilité de divertissement sorcier, pour l’élite, pour les mangemorts. Bon, ça demanderait un max de boulot hein, mais je me vois déjà aller chasser l’insurgé dans le bois, comme certains humains chassent le cerf. Ce serait tellement bien ! Tellement amusant ! Et puis on pourrait même faire empailler leurs têtes et les poser au-dessus de nos cheminées. Ça aurait un chic fou !

► Infos en vrac : Je suis très tactile. J’adore toucher les gens et si ça a commencé par nécessité, ouais je ressens mieux les émotions quand je touche les gens, maintenant c’est devenue une habitude. C’est plus fort que moi, je tripote tout le monde. Je parle beaucoup. Mais vraiment BEAUCOUP. J’ai du mal à me taire, une fois lancée, je suis pareille à un sort de feu, je ne m’éteins pas avant un petit moment. J’assume. J’aime bien même. Ça me rend sympathique. Et agaçant. Oopsie ? J’adore cuisinier. Vraiment, je sais qu’on ne dirait pas en me regardant, mais c’est un de mes rares talents. Je suis presque aussi doué avec une spatule, qu’avec ma baguette. Bon ok, je suis meilleur avec la spatule. Une vraie petite sorcière d’intérieur, épousez moi. Je souris en permanence. Peu importe ce que je ressens vraiment, je suis TOUJOURS agréable, jovial. Quand je deviens sérieux, c’est que ça ne va pas du tout, qu’il faut s’inquiéter. Je ne déconne pas. Quand je fronce les sourcils sans sourire, il faut courir ! Je me lasse de pratiquement tout, au bout de 3 à 4 mois. Il ne faut pas croire, ça m’embête autant que les autres hein ! Tout y passe, vêtement, habitude alimentaire, restaurant, amants et maitresses, etc. En fait, les seuls trucs qui ne bougent pas, c’est ma famille, les petits déjeuners (bacon, œufs, bacon, saucisse, bacon, toast, bacon) et mon chien. Pas touche à Fenrir ! Je suis un tenace. Si j’ai décidé que vous alliez m’aimer, je ne lâcherais pas le morceau. Idem si j’ai décidé de vous faire chier. Je suis une plaie dans les deux cas. J’aime bien forcer les autres aussi subtilement que possible, au moins pour les autres. Je plisse les yeux et j’entrouvre les lèvres, quand j’utilise mon empathie. C’est ma façon à moi de me concentrer, mais ça, peu de gens le savent. Encore heureux. J’ai ma routine avec Fenrir. Ont sors tous les matins et soirs, j’adore mon chien. D’ailleurs, peu importe si j’ai de la compagnie ou pas, il dort dans mon lit. Bro over hoes, always ! J’ai un accent. Ça peut en agacer certain, mais ça a un attrait sexuel pour pas mal de gens, aussi bien dire que j’en profite un max. C’est super d’être un étranger parfois, he he ! J’ai un gros penchant sadique. Je n’en parle pas ouvertement, ça ne va pas trop avec mon sourire, mais oui j’adore le sang. La couleur, l’odeur, la texture, le bruit qu’il fait quand il goutte lentement. C’est sensuel, ça a tendance à m’exciter. Beaucoup même. Bon, ce n’est pas pour autant que j’ai envie de me farcir toutes les femmes qui sont dans leur cycle hein ? Il ne faut pas déconner… Je suis un homme très familial. Je veux ma propre famille, au moins cinq enfants si possible. J’aime quand il y a beaucoup de remue-ménage, quand une famille est plus qu’un micro-organisme.

Nothing compares to you
• pseudo & âge ; Stephy aka bat'phanie, toujours 27 ans. (on ne rajeunit pas hein...) • comment as-tu trouvé le forum ? Bea, encore et toujours. • ton avis, tes suggestions ; Exci, je t'aime !  chou  • connexion ; 1 jours sur 2, sinon tous les jours. Quant à mes RPs, c'est 1-3x semaine environ. • quelque chose à ajouter ? RWAR  lapin

   


Dernière édition par Felix M. Hvedrung le Mer 20 Mai 2015 - 4:45, édité 7 fois
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He was supposed to be an angel
but they took him from that light and turned him into something hungry, something that forgets what his hands are for when they aren’t shaking.

i'm telling you I have a purpose. a mission.
you touch me and i'm fire, painful and bright and oh so tempting. as my flames lick your neck, the burns sound like my laughter.
L’eau est froide. Trop probablement. Ce n’est rien, ça me réveille. C’est bien. Oui. C’est mieux même. L’eau m’éclaircit les idées, elle dilue les émotions en même temps que les voix. Oh je perçois encore l’inquiétude, puis le soulagement de mon grand-père, alors que je ferme les yeux. Mais tout le reste est étouffé par l’eau, celle-là même qui me porte en son sein, qui me pousse doucement vers le fond, puis tente plutôt de me rejeter vers le haut. Quand j’étais petit, j’avais peur de me noyer. Je combattais l’eau, je me débattais, j’écarquillais les yeux et je me vidais les poumons en criant. Mais battre des bras et hurler n’a rien d’intelligent. On y retrouve que de la fatigue et de l’eau dans les poumons, deux facteurs qui peuvent conduire à la noyade. Ce qui est relativement ironique. L’humain est stupide par défaut. Heureusement, j’ai appris avec les années, et grâce à grand-père l’eau a cessé d’être un ennemi. J’ai aussi accessoirement cessé de boire la tasse comme un con. Mais, pourquoi est-ce que je suis en train de flotter dans l’eau en ce moment ? Ha ha, c’est con vous allez voir. Bah voilà, je souris maintenant, ça va mieux. En fait, j’étais en train de déconner il y a quelques minutes de ça, ça m’arrive de temps en temps. Pas tellement souvent, je vous rassure, mais quand je n’arrive plus à différencier mes sentiments de ceux des autres, ça a tendance à vite partir en vrille. Disons que je commence à sortir ma baguette et que je lance des sorts ? Ce n’est pas si terrible, sauf quand je lance des sorts offensifs, parce que le but finalement, c’est que les autres cessent de « ressentir » quoi que ce soit. Bah oui, je veux me vider la tête moi, me durcir le cœur, faire taire celui des autres. Ce qui parfois veut dire qu’il faut le mettre en sourdine, le fameux cœur bavard. Là, ça se passe toujours mal. Mais c’est bon, normalement j’ai quelqu’un qui me tire hors de là, les gens autour de moi sont au courant : si je commence à déconner, faut me lancer dans un point d’eau. Simple et efficace. Après, vrai que c’est plus ou moins confortable de se balader dans des vêtements trempés, surtout l’hiver je dirais, mais vaut mieux ça que de buter tout le monde.

L’eau est curative. En fait, c’est de la merde tout ça, même moi je le sais. L’eau ne change rien aux émotions, ce n’est jamais que dans ma tête. C’est comme ça qu’on m’a dressé, parce que oui finalement tout mon délire avec l’eau n’est jamais qu’une façon de dompter un animal potentiellement dangereux, aka moi. L’empathie est un don, mais c’est aussi un putain de boulet. Du genre à vous tirer vers le fond, surtout quand on se débat et on cris. Après, suffit qu’on vous convainc que ce n’est pas SI terrible, qu’il y a toujours une façon de passer à travers, qu’il suffit de prendre un bain, pour que ça aille tout de suite mieux. Je suis gérable comme ça. Je peux survivre. Je gagne en confiance. Ouais, je suis quand même vachement sexy avec mes vêtements tout mouillé, ne vous laissez pas berné. Et voilà, mon visage émerge et j’avale l’air à grande goulée. Reconnaissant. Soulagé. À nouveau stable. Mais pour combien de temps hein ? Ça c’est la beauté de la chose : on ne peut jamais le savoir. Ha ha ! Heureusement, je n’ai plus besoin de cette chambre terrible, celle sombre où je vivais petit, dans la grande demeure familial. Une chambre immergée sous l’eau où il faisait froid comme pas possible. On fait difficilement plus désagréable, même Durmstrang me semblait plus joyeux durant ma scolarité, c’est dire. Non maintenant, on a plus besoin de m’enfermer le temps que mon pouls se calme, que je cesse de trembler, j’ai appris à apprécier mon don, à l’utiliser, à blinder mon cœur et ma tête. Bon, évidemment les deux sont un peu tordus, mais le premier qui râle, je lui tire la barbichette ! Et pareille pour ceux qui oseront rire quand ils entendront mes pieds couiner au sol, je vais les arroser, muhahaha !

   
you are ten percent horror - don’t worry
you want to tear things apart, watch them bleed and put them back together again. you craves that pain, that sharpness that only you and your blade can bring.
Putain, ça fait un mal de chien cette satanée marque ! Je suis là, plantée sur place, encore à grimacer et à me frotter le bras, alors qu’on m’a estampé le logo « je suis un mauvais garçon trop cool », aka je suis devenue mangemort, il y a quoi quelques heures déjà. Mais rien à faire, moi je me frotte le bras, encore un peu secoué. En fait, je ne m’attendais pas à ce que ça fasse aussi mal. Je ne suis pas douillet normalement. Pas vraiment. Mais là, je dois l’avouer, c’est vraiment terrible ce truc. Et des jeunes en rêve ? Putain la déception qu’ils doivent se farcir après coup. Autour de la table où je finis par m’installer, mon père s’installe sans même regarder son propre bras. C’est qu’aujourd’hui les Hvedrung ont prêtés serment au grand Voldemort. Je suis donc bel et bien le plus douillet du groupe, mais à ma décharge, mon frère cadet se frotte subtilement le bras sur la table et ma petite sœur n’a de cesse de nous regarder avec curiosité. Même mon frère ainé semble serrer les dents, moi au moins je souris. D’ailleurs nous formons un drôle de groupe là tout de suite, normalement nous sommes les plus joyeux membres des assemblés, à rire entre nous, à sourire, à lancer des répliques pas toujours bien accueillis. Pas aujourd’hui il semblerait. Mon père semble réfléchir et moi j’hésite. À sortir mes antennes d’empathe. À sonder leurs émotions. Enfin, du moins celles de papa. Est-ce qu’il regrette son choix ? Parce que moi non. Même si c’est douloureux, je considère que nous avions raison. Tout ça promet tellement !

Alors, utiliser le don ou pas ? C’est difficile de choisir, mais à voir comment mon frère cadet pousse un grognement et se décide à frotter sa marque, je me dis que nope ! Finalement, je n’ai aucune envie de ressentir la douleur et l’agacement de tout le monde. Sinon, je suis bon pour retourner bosser de mauvais poil et ça, Lola ne risque pas d’apprécier. Bon déjà, il faut dire qu’elle ne m’apprécie pas des masses, comme pas mal de gens malheureusement. Il y a beaucoup trop de balais distribués à Londres, tout le monde est d’un sérieux qui frôle la constipation. Je m’inquiéterais si j’étais anglais, quoi que non, si j’étais comme eux tous, je chercherais surement un balai à m’enfoncer là où je pense. BREF ouais, il faut que j’arrête de me frotter le bras, ça va finir par faire une marque, HA HA HA je suis drôle parfois ! Mais non. Bref je me calme un peu et je jette un regard au reste de la famille. Pour un repas entre Hvedrung, ce n’est pas la joie hein. Aller, un petit sourire et je me redresse, quant à devoir regarder tout le monde s’empêcher de se peloter le bras, je préfère encore rentrer bosser. Moi, j’ai à faire. Les autres aussi, mais eux, ils ne bossent pas avec Lola, ce qui explique tout. Je vais aller oublier la douleur agaçante en allant embêter ma collègue, ce sera marrant à tous les coups.

Évidemment, avant que je parte, mon père me retient pour me questionner. Est-ce que je comprends ce que nous venons de faire ? Je souris. Nous sommes tous ensemble, nous avons choisis un camp, évidemment nous allons nous amuser, nous nous amusons toujours, nous les descendants de Loki, mais c’est un jeu possiblement mortel. Ça aussi je le sais. C’est ce qui la rend la chose aussi intéressante, aussi excitante. Qui sait ce que demain nous réserve hein ? Bon, en fait moi je sais déjà, demain je me réserve de la lotion hydratante et probablement un mal de crâne dû à un surplus d’alcool ingérer pour oublier l’élancement qui ne me lâche pas le bras. Aller vite, que je retrouve Lola. Embêter les gens, ça fait tout oublier.


this is what i’ve been yearning for. divine.
this is what divine feels like, your skin beneath my fingertips, and god, i could destroy you, i think, but you wouldn’t let me, you’re the strong one, you keep it all back, you keep my mind from spilling out.
J’inspire un bon coup, puis relâche tout. Je suis bien. Je commence tout juste à m’échauffer et souris un peu plus fort quand mon regard croise celui de la femme que j’interroge en ce moment. Elle, elle ne sourit pas du tout. Je sens même sa peur, elle émane de partout, elle suinte de tous ses pores. C’est assez dégoûtant en fait, de la voir autant s’exposer à moi. Bon, on ne peut pas tous êtres des vainqueurs hein ! Mais tout de même, un peu de tenu ne lui ferait pas de mal. Je n’ai pas besoin d’utiliser mon don avec elle, son visage est un livre ouvert, un peu de sang répandu et elle avoue tout. Ce qu’elle a vu, ce qu’elle a fait, et elle a été vilaine la coquine. C’est mal de se mêler aux histoires des grands sans y être invité. Je fais claquer ma langue contre mon palais en secouant la tête, ma baguette tendu devant moi, sous son menton, que j’entaille très lentement. Elle pleure à nouveau et je lui caresse la tête de l’autre main. Je lui murmure des mots d’une voix douce. Elle va se vider de son sang lentement. Elle va souffrir jusqu’à la fin. Elle aurait une fin plus lente, plus agréable si elle m’avouait plus de chose. Mais c’est faux, elle ne pourra pas s’en tirer. Pas elle. J’ai un travail à faire, je suis venu à Londres pour une raison précise, mais j’y développe un autre penchant. Une passion pour le sang. Celui que je fais couler depuis la chaire meurtris de la femme. Celui que je goûte depuis le bout de ma baguette, que je lèche lentement, devant des yeux écarquillés d’horreur. De dégoût même ? La gifle part toute seule, d’une part reculé de ma personne. Un bout de moi qui ne tolère pas ce genre d’effronterie. Pas de la part d’une victime. D’un animal blessé.

La femme pleure maintenant. Elle sanglote et le bruit ne m’agace pas tant que ça. Non, en fait j’aime bien le son qu’elle fait, prostrée sur sa chaise. L’eau salé se mêle au sang, le dilue par endroit. Rehausse son goût. Alors je me penche et je lape sa joue lentement, je goûte la peur qui lui étreint l’intérieur, je savoure sa détresse. Elle n’est plus qu’une boule d’anxiété, elle craint le pire, sa mort, ma cruauté. Elle a mal, elle est malheureuse, elle est en perdition. Et si je laisse filtrer ses émotions jusqu’à moi, je ne les garde pas assez pour me laisser être affecté. Pas avec une victime. Jamais. Il y a des mesures à prendre quand on joue le rôle de bourreau et l’empathie n’a d’utilité que durant les questions, sinon, il faut la repousser. Alors je referme tout mon être, je laisse ses émotions me glisser dessus comme l’eau sur le dos des canards. Et quand je quitte finalement la pièce, quand je l’abandonne à son sort, soit à saigner à mort, je termine de me lécher le dessus d’une main. Je n’ai pas été très délicat aujourd’hui, je m’en suis mis un peu partout, c’est quand même con. Tant pis hein, j’en suis à frotter une tâche sur ma cravate, quand je rejoins Lola. Elle m’attendait, à ma demande ? Je ne sais plus trop mais je lui offre mon plus beau sourire. Cela dit, c’est plus fort que moi, le goût de sang mêlé de larme toujours en bouche, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer ce que ce serait de la faire saigner, ELLE. Lola la dur, Lola la grande, Lola l’acharné. Son sang doit être goûteux. Son sang doit flatter sa silhouette, son regard. Je l’en habillerais avec soin, pas pour la tuer, non. Je tiens bien trop à ma partenaire, j’adore l’entendre râler, et là elle soupire, agacée. C’était long hein ? Tant mieux, tant mieux. Je range ma baguette et m’arrête à côté de Lola, qui déjà se met en route pour sortir de la vieille maison à moitié détruite, un endroit de choix pour ramener des témoins et les questionner. Mais avant qu’elle ne se mette en route, j’ai le temps de glisser mes doigts dans ses cheveux, de quoi la faire enrager et me faire rire. Je la relâche aussitôt, peut-être que si je me tiens bien, elle acceptera qu’on passe prendre un encas en route hein ? Ou même de prendre un verre après le boulot ! Mais là, je rêve en couleur. Et pourtant, alors que je trotte derrière elle, je sens qu’elle est heureuse d’être près de moi, qu’elle a aimé sentir mes doigts dans ses cheveux. Jamais elle ne l’avouera et c’est pile pourquoi je la pourchasse. Les anglaises sont tellement amusantes !

   


Dernière édition par Felix M. Hvedrung le Lun 18 Mai 2015 - 19:38, édité 9 fois
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Ha, j'ai joué Hedlund avec un de mes persos préférés et je dois avouer que le revoir me fait toujours plaisir, surtout dans ce personnage qui s'annonce bien fun I love you Et va nous falloir un lien avec mon TC, qui va papillonner autour de Felix, je te le garantis mg Rebienvenue, donc, et bonne rédaction !
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PRISONERS • bloodstains on the carpet
Draco Malfoy
Draco Malfoy
‹ inscription : 13/09/2013
‹ messages : 8775
‹ crédits : faust.
‹ dialogues : seagreen.
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‹ liens utiles : draco malfoy w/ lucky blue smith ; ginevra weasley w/ holland roden ; calixe davis w/ audreyana michelle ; uc w/ uc ; indiana alderton w/ nicola peltz ; heath ravka w/ im jaebum ; even li w/ jeon jungkook ; jelena kuodzevikiute w/ ariana grande.

‹ âge : 23 yo (05.06.80).
‹ occupation : ancien langue de plomb (spécialisé dans les expérimentations magiques) ; fugitif et informateur de la RDP entre le 26.05.03 et le 08.12.03 ; condamné à 22 ans à Azkaban pour terrorisme, au terme d'une assignation à résidence et d'un procès bâclé, tenu à huis-clos.
‹ maison : Slytherin — “ you need a little bit of insanity to do great things ”.
‹ scolarité : entre 1991 et 1997.
‹ baguette : un emprunt, depuis qu'il est en fuite. elle n'est que temporaire et il ne souhaite pas s'y intéresser ou s'y attacher, puisque la compatibilité est manquante.
‹ gallions (ʛ) : 14295
‹ réputation : sale mangemort, assassin méritant de croupir à vie en prison pour expier ses crimes et ceux de ses ancètres.
‹ particularité : il est occlumens depuis ses 16 ans.
‹ faits : Famille.
Narcissa (mère) en convalescence. sortie de son silence depuis peu pour réfuter l'annonce de son décès ; reconnue martyr. lutte pour que le jugement de son fils soit révisé.
Lucius (père) mort durant la tempête du 03.03.2004.
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Spoiler:

‹ résidence : emprisonné à Azkaban depuis le 06.01.04. en fuite depuis le 08.05.04.
‹ patronus : inexistant.
‹ épouvantard : l'éxécution de juillet 02, ses proches en guise de victimes: leurs regards vidés par l'Imperium, la baguette de Draco dressée, les étincelles vertes des AK et leurs cadavres empilés comme de vulgaires déchets.
‹ risèd : un portrait de famille idéal, utopique.
http://www.smoking-ruins.com/t4710-draco-there-s-a-hole-in-my-so
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rolala, elle me plait vraiment cette idée de perso, j'ai hâte de te voir l'exploiter iiih WELC'HOME BACK ! tu connais la maison, mets-toi à l'aise avec ton blond gangnam (et puis j'veux pas dire mais Garrett. Garreeeeett, quoi tbe )
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LOOOOVE, LOVEEEE. panic yeux yeah hehe fire palpite :yiha: kr kiss bed
Ça te vas trop bien, hâte de tout savoir sur ce personnage. bounce bave adore
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REWELCOME MA COUZ ! t'es trop canon/sexy... j'suis contente d'être une fille, right now !
hâte de lire ta fichette et de découvrir ton perso... et d'avoir un lien de ouf et de rp...
Arrow leche
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WIZARD • always the first casuality
Pansy Parkinson
Pansy Parkinson
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‹ inscription : 25/10/2014
‹ messages : 4640
‹ crédits : prométhée
‹ dialogues : 'lightcoral'
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‹ liens utiles :
pansy parkinson ft. adelaide kane, nephtys shafiq ft. phoebe tonkin, kid o'faolain ft. richard harmon, maksim dolohov ft. tom hiddleston, amara bataglia ft. rowan blanchard

‹ âge : vingt-quatre ans (née le 5 mars 1980)
‹ occupation : rentière déchue, mondaine destituée.
‹ maison : le choixpeau s'est a peine attardé sur sa tignasse brune avant de l'envoyer à Serpentard, dont elle est devenue préfète en 5ème année.
‹ scolarité : de 1991 à 1998.
‹ baguette : Elle faisait 19 centimètres, en merisier et cheveux de vélane, capricieuse et imprévisible, sensible aux sentiments négatifs. Cette baguette a cependant été volée par le Limier et aujourd'hui, elle en utilise une autre, bien moins adaptée à sa main.
‹ gallions (ʛ) : 9020
‹ réputation : Rien qu'une sorcière de salon, une bonne à pas grand-chose en dehors des ragots et commérages, une peste se régalant du malheur des autres, une idiote aveuglée par ses sentiments, moralisatrice en dépit de son propre penchant pour les écarts et les erreurs. Le roquet de Malfoy, puis celle que Blaise Zabini a cocufié, abandonné puis engrossé avant de partir à nouveau. Une garce qui mérite tout ce qui lui arrive. Une enfant gâtée, malgré l’aide donnée aux insurgés dans l’infirmerie de fortune de Poudlard.
‹ particularité : Complètement à la dérive depuis la fin de la guerre, on la croise souvent alcoolisée et cruelle, prête à se greffer à la moindre rixe, au moindre esclandre.
‹ faits : Elle a perdu la garde de ses filles, les jumelles Violet et Briar-Rose (née en Aout 2002) à la fin des combats, car on a jugé son sang pur comme inapte à les élever et ce même si leur père, Blaise Zabini, est considéré comme un héros de guerre. Elle a également perdu sa fortune et son statut et n’a plus aucune influence. Personne n'est tendre avec elle car les anciens rebelles la voient comme une garce à abattre et les sorciers lambda n'ont l'image que d'une gamine pourrie gâtée qui vivait dans une tour d'ivoire alors qu'ils crevaient de faim. Condamnée à vivre dans une demeure autrefois grandiose mais maintenant totalement insalubre, elle ère coincée entre sa mère tyrannique et sa tante furieuse, désœuvrée et désabusée.
‹ résidence : Dans l'hôtel particulier Parkinson, situé dans le quartier de Barkwith, sur le Chemin de Traverse. Ancien symbole d'une grandeur aujourd'hui étiolée, la demeure tombe en ruine et menace de s'écrouler depuis les émeutes de janvier 2002. Ses parents possédaient un manoir à Herpo Creek, il n'en reste qu'un tas de cendres et elle n'a plus accès à son bel appartement de la Bran Tower depuis la désertion de Draco durant laquelle elle a également pris la fuite.
‹ patronus : Une hirondelle à peine corporelle
‹ épouvantard : Les corps inanimés de Briar-Rose et de Violet.
‹ risèd : Simplement un matin ordinaire, des draps clairs et propres, une chambre lumineuse, des rires d'enfant emplissant le couloir avant que les deux têtes brunes ne sautent sur l'épais duvet. Un avenir pour elles, aussi, surtout.
http://www.smoking-ruins.com/t3200-pansy-fleur-du-mal
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Dans une autre vie, toi et moi on aurait pu détrôner les Rotten Apple (a)


Rebienvenue et bon courage pour la suite, graou, tout ça jule kr
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Lancelot, c'est vrai qu'il a une bonne bouille, j'avais hâte de l'essayer ! iiih Et ce sera avec PLAISIR pour le lien et merci ! :3:

Draco, merci he he he ! J'espère que je serais à la hauteur ! foufou (ouaiiiiiis Garett ! wesh )

Samwell, mon bébé !! pétille bounce ouh miam bed huug kr
T'en fais pas, je risque de te saouler avec Felix, tu vas voir. string

Juliet, cousinette ! (: Oh mais tu sais, même si tu faisais un monsieur, Felix il serait partant. style Arrow AHEM, on se trouvera un bon lien !!:3:

Pansy, cette chanson elle est troooooop bien ! inlove On ne les aurait totalement buté les Rotten Apple oui, ils auraient pas survécu à notre talent / magnétisme / badasstitutde / autretructropcooletc wesh style Merci en tout cas ! leche
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*vient s'installer sur la fiche*
Chose promise, chose due mg
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Coquine... je retiens, je retiens. :3: hinhin
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